Traduction mélodique de : Tavrats n slam (La lettre de salutations) - à 0.00 Lui écrivant, la saluant Elle ne répond pas Je me soucie et veillant Je ne patiente pas Aux étoiles, demandant A la lune, au soleil Qu'ils apportent des nouvelles Comment se portant Elle laisse mon cœur, tourmenté Partie, m'oubliant Des jours passent, moi endurant Si à moi, elle va penser Quand les gens, de toi, parlant Mon mal est très grand Les blessures laissées rechutant Tu troubles l'humeur Ton amour, durs, ses tourments Profonds, comme la mer Mon cœur, de t'avoir connue, regrettant Mêmes si, te voir, voulant Je dis au cœur : calme-toi Tu vas oublier Celle qui va t'aimer viendra Et tu guériras Laisse donc celle qui t'exécrait Et ne l'attends pas Tâche de l'oublier, celle-là La tienne te réjouira Aux étoiles, demandant A la lune, au soleil Qu'ils apportent des nouvelles Comment se portant Elle laisse mon cœur, tourmenté Partie, m'oubliant Des jours passent, moi endurant Si à moi, elle va penser N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Ma selvegh (Si je flippe) - à 11.00 Si je flippe, porte la nouvelle C'est plus fort que moi Ma vie est amère, sans elle Je ne supporte pas Si je flippe, porte la nouvelle S'il te plaît, ô lettre, dis-lui C'est plus fort que moi Amère est, pour moi, la vie Depuis que je suis loin d'elle Je ne supporte pas Je me rappelle cette journée Quand j'ai vu des filles passer Mon cœur a tremblé D'elle, je suis très éloigné Dis-lui, ô lettre, s'il te plaît Je suis déprimé Faites le vœu qu'il soit réjoui A son tour, dans cette vie Tels les jeunes comme lui Jamais je ne pardonnerai Au rêve, un après midi Un somme, je faisais La vie m'a fait miroiter tout ce que j'ai espéré A toi, me ramena Réveillé, tout, elle changea Miel, en benjoin, converti Elle m'avait trahi Maintenant, les jours sont tordus Les gens de Dieu ont tout vu J'attends la lumière Les nuits, veillant je suis fourbu Acceptant toute la misère Même si deux restant Ô chance, tout le temps, dormant Réveille-toi, montre ton pouvoir Lassé des cauchemars. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : yevgha wuliw (Mon cœur se brise) - à 5.11 En deux, mon cœur se déchire Sur celle que je désire Un seul chemin indiqué Mes parents refusent et Ma jeunesse hypothéquée Dieu, sur ma maladie, sait La fille de ta tante t’est choisie Elle rendra heureuse ta vie Point de discorde, il y aura Si on essuie un refus Tout seul, te débrouilleras Notre fils, tu ne seras plus Va chercher à changer Ton nom, tu seras renié Ta trace sort de la lignée Ô parents, comprenez-moi Si vous m'aimez, il faudra Me souhaiter, tous, la paix Si j'épouse ma cousine et Je ne la veux, ni me veut Pas la même mentalité Laissez-nous, donc, chercher Elle et moi, comme on peut Chacun trouvera ce qu'il veut Tu veux une fille qui te prenne Pour elle, seule, que tu deviennes Un homme sans sa dignité C’est elle qui va décider Tous tes amis, t’enlever Sa mère deviendra la tienne Ton honneur, piétiné Comme du bétail, gardé Et Dieu, Seul, peut te sauver J’aime une fille de lignée Née au pays adoré Où l’on est digne de respect Elle sait élever, cuisiner De la maison s’occupant Et sa seule vue égayant Très bonne, posée, sensée Tous deux, va vous aimer Comme elle, vous ne trouverez.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Merci notre grand poète à doré
inégalable ! ayen yelhan yelha !
Traduction mélodique de : Tavrats n slam (La lettre de salutations) - à 0.00
Lui écrivant, la saluant
Elle ne répond pas
Je me soucie et veillant
Je ne patiente pas
Aux étoiles, demandant
A la lune, au soleil
Qu'ils apportent des nouvelles
Comment se portant
Elle laisse mon cœur, tourmenté
Partie, m'oubliant
Des jours passent, moi endurant
Si à moi, elle va penser
Quand les gens, de toi, parlant
Mon mal est très grand
Les blessures laissées rechutant
Tu troubles l'humeur
Ton amour, durs, ses tourments
Profonds, comme la mer
Mon cœur, de t'avoir connue, regrettant
Mêmes si, te voir, voulant
Je dis au cœur : calme-toi
Tu vas oublier
Celle qui va t'aimer viendra
Et tu guériras
Laisse donc celle qui t'exécrait
Et ne l'attends pas
Tâche de l'oublier, celle-là
La tienne te réjouira
Aux étoiles, demandant
A la lune, au soleil
Qu'ils apportent des nouvelles
Comment se portant
Elle laisse mon cœur, tourmenté
Partie, m'oubliant
Des jours passent, moi endurant
Si à moi, elle va penser
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
merci pour la traduction
Traduction mélodique de : Ma selvegh (Si je flippe) - à 11.00
Si je flippe, porte la nouvelle
C'est plus fort que moi
Ma vie est amère, sans elle
Je ne supporte pas
Si je flippe, porte la nouvelle
S'il te plaît, ô lettre, dis-lui
C'est plus fort que moi
Amère est, pour moi, la vie
Depuis que je suis loin d'elle
Je ne supporte pas
Je me rappelle cette journée
Quand j'ai vu des filles passer
Mon cœur a tremblé
D'elle, je suis très éloigné
Dis-lui, ô lettre, s'il te plaît
Je suis déprimé
Faites le vœu qu'il soit réjoui
A son tour, dans cette vie
Tels les jeunes comme lui
Jamais je ne pardonnerai
Au rêve, un après midi
Un somme, je faisais
La vie m'a fait miroiter
tout ce que j'ai espéré
A toi, me ramena
Réveillé, tout, elle changea
Miel, en benjoin, converti
Elle m'avait trahi
Maintenant, les jours sont tordus
Les gens de Dieu ont tout vu
J'attends la lumière
Les nuits, veillant
je suis fourbu
Acceptant toute la misère
Même si deux restant
Ô chance, tout le temps, dormant
Réveille-toi, montre ton pouvoir
Lassé des cauchemars.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
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Traduction mélodique de : yevgha wuliw (Mon cœur se brise) - à 5.11
En deux, mon cœur se déchire
Sur celle que je désire
Un seul chemin indiqué
Mes parents refusent et
Ma jeunesse hypothéquée
Dieu, sur ma maladie, sait
La fille de ta tante t’est choisie
Elle rendra heureuse ta vie
Point de discorde, il y aura
Si on essuie un refus
Tout seul, te débrouilleras
Notre fils, tu ne seras plus
Va chercher à changer
Ton nom, tu seras renié
Ta trace sort de la lignée
Ô parents, comprenez-moi
Si vous m'aimez, il faudra
Me souhaiter, tous, la paix
Si j'épouse ma cousine et
Je ne la veux, ni me veut
Pas la même mentalité
Laissez-nous, donc, chercher
Elle et moi, comme on peut
Chacun trouvera ce qu'il veut
Tu veux une fille qui te prenne
Pour elle, seule, que tu deviennes
Un homme sans sa dignité
C’est elle qui va décider
Tous tes amis, t’enlever
Sa mère deviendra la tienne
Ton honneur, piétiné
Comme du bétail, gardé
Et Dieu, Seul, peut te sauver
J’aime une fille de lignée
Née au pays adoré
Où l’on est digne de respect
Elle sait élever, cuisiner
De la maison s’occupant
Et sa seule vue égayant
Très bonne, posée, sensée
Tous deux, va vous aimer
Comme elle, vous ne trouverez.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
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