Traduction mélodique de : Fkigh i ighevlan awal (J'ai écouté les tourments) - à 4.57 J'ai écouté mes soucis Jusqu'à ce que mes os pèlent Ton cœur, je sais, il m'appelle Le sommeil fuit, je l'oublie Fin de l'amour délétère Mon cœur, de toi, désespère L'impossible, ai-je demandé ? Ma chance ne veut écouter Ô mon Dieu, je me repens Qui les a subies, fais pitié Je te connais, tu me connais Ton cœur vers moi est froid Est-ce que tu m'aimes, toi Moi, je déteste tout ce que tu as Le cœur commence à t'aimer Quand tu as des prétendants Sur moi, soufflent les misères C'est ce que ne peut le stylet La valeur de la vie se voit Quand la mort visite la maison La valeur de la lumière Se voit à l'obscurité On t'a prise en mauvais moment Et ta valeur, je la vois Ô celle dont j'ai changé le nom Afin qu'il puisse rimer Tu ne me laisses qu'un poison Qui ne veut pas se soigner Tu ajoutes soucis aux soucis Le cœur n'en a-t-il pas assez Tout ce qui est bon, tu l'as pris Pour moi, les ennuis, laissés.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Akka i d as yehwa... (C'est ce que veut...) - à 10.17 C'est ce que veut la destinée Tous les liens tissés sont déliés Qui a commis un péché C'est ceux qui nous ont séparés. Je me rappelle, quand on s'est quittés J'ai regretté, elle, je ne sais Elle avait raison, moi aussi Chacun la mesure qu'il connaît Mon amour, avec elle, naquit Il ne serait, par des fleuves, lavé Je voyais notre soleil briller Des jaloux nous l'avaient caché. Mes yeux, pas encore séchés Des larmes pleurées sur toi Dans mon champ, en justice, esté J’ai patienté, les gens ont vu cela Voilà, amer est mon cas Il ne s’écrit pas au stylet Le venin augmentant, et là J’ai peur de voir le noir tomber Ô mon Dieu, comment ça se fait Le passé, on l’a répété Tu laisses le tourment s’installer Dans mon cœur, fondement assuré Tu as délié les soucis Très fort s’abattant sur lui Des cailloux, on lui a lancés Comme les hirondelles, leur nid. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Tnadigh Fellam (Je te cherche) - à 0.00 Je te cherche et Où est-ce que tu es ? Je t'ai recherchée La nuit, la journée J'ai soif de ta beauté De tes propos, affamé Pourquoi me tuer ? Même si je te vois Je te sais, éloignée Même si, avec toi Toi, tu ne le sais Même si je t'ai cherchée A ma vue, cachée En rêve, je trouvais Ce que tu m'ôtais Si je veux te voir Je ferme les yeux, ainsi Je t'imagine, le noir Seul, dans mon esprit Laisse-moi cacher Le secret dans mon secret Je ne veux m'en séparer Dans mon cœur, gravé Mes pleurs étaient narrés A ceux qui écoutaient Mes blessures montrées A ceux qui les voyaient Tout ce que j'ai cherché Tu demeures cachée Peut-être élucubrée Par mon cerveau, créée.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Le maître de la chanson kabyle digne de son nom qui ya donner beaucoup a notre culture depuis son jeune âge jusqu'à présent.
Les années d'or d'Aït menguellet qui nous a bouleversé notre jeunesse ❤
Traduction mélodique de : Fkigh i ighevlan awal (J'ai écouté les tourments) - à 4.57
J'ai écouté mes soucis
Jusqu'à ce que mes os pèlent
Ton cœur, je sais, il m'appelle
Le sommeil fuit, je l'oublie
Fin de l'amour délétère
Mon cœur, de toi, désespère
L'impossible, ai-je demandé ?
Ma chance ne veut écouter
Ô mon Dieu, je me repens
Qui les a subies, fais pitié
Je te connais, tu me connais
Ton cœur vers moi est froid
Est-ce que tu m'aimes, toi
Moi, je déteste tout ce que tu as
Le cœur commence à t'aimer
Quand tu as des prétendants
Sur moi, soufflent les misères
C'est ce que ne peut le stylet
La valeur de la vie se voit
Quand la mort visite la maison
La valeur de la lumière
Se voit à l'obscurité
On t'a prise en mauvais moment
Et ta valeur, je la vois
Ô celle dont j'ai changé le nom
Afin qu'il puisse rimer
Tu ne me laisses qu'un poison
Qui ne veut pas se soigner
Tu ajoutes soucis aux soucis
Le cœur n'en a-t-il pas assez
Tout ce qui est bon, tu l'as pris
Pour moi, les ennuis, laissés.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Akka i d as yehwa... (C'est ce que veut...) - à 10.17
C'est ce que veut la destinée
Tous les liens tissés sont déliés
Qui a commis un péché
C'est ceux qui nous ont séparés.
Je me rappelle, quand on s'est quittés
J'ai regretté, elle, je ne sais
Elle avait raison, moi aussi
Chacun la mesure qu'il connaît
Mon amour, avec elle, naquit
Il ne serait, par des fleuves, lavé
Je voyais notre soleil briller
Des jaloux nous l'avaient caché.
Mes yeux, pas encore séchés
Des larmes pleurées sur toi
Dans mon champ, en justice, esté
J’ai patienté, les gens ont vu cela
Voilà, amer est mon cas
Il ne s’écrit pas au stylet
Le venin augmentant, et là
J’ai peur de voir le noir tomber
Ô mon Dieu, comment ça se fait
Le passé, on l’a répété
Tu laisses le tourment s’installer
Dans mon cœur, fondement assuré
Tu as délié les soucis
Très fort s’abattant sur lui
Des cailloux, on lui a lancés
Comme les hirondelles, leur nid.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Traduction mélodique de : Tnadigh Fellam (Je te cherche) - à 0.00
Je te cherche et
Où est-ce que tu es ?
Je t'ai recherchée
La nuit, la journée
J'ai soif de ta beauté
De tes propos, affamé
Pourquoi me tuer ?
Même si je te vois
Je te sais, éloignée
Même si, avec toi
Toi, tu ne le sais
Même si je t'ai cherchée
A ma vue, cachée
En rêve, je trouvais
Ce que tu m'ôtais
Si je veux te voir
Je ferme les yeux, ainsi
Je t'imagine, le noir
Seul, dans mon esprit
Laisse-moi cacher
Le secret dans mon secret
Je ne veux m'en séparer
Dans mon cœur, gravé
Mes pleurs étaient narrés
A ceux qui écoutaient
Mes blessures montrées
A ceux qui les voyaient
Tout ce que j'ai cherché
Tu demeures cachée
Peut-être élucubrée
Par mon cerveau, créée.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.