Superbe hommage à Michel Chapuis, à son stage de Saint-Bertrand de Comminges, au très sympathique facteur d'orgue Jean-Pierre Swiderski, et bien entendu à la Sainte-Trinité!😊
Un grand merci encore pour ce concert sur cet instrument remarquable et pour Chapuis ! Je tiens à vous remercier pour votre importante encyclopédie sonore des orgues français et étrangers, à laquelle sont jointes nombre d'interprètes et des photos choisies bien illustratives et émouvantes des sites , car aucun amateur ou mélomane, sauf un organiste professionnel, ne peut réaliser une telle somme comprenant tant de visites, faute de leur vie professionnelle ou familiale !
Merci beaucoup, monsieur Munoz, pour le partage de cet enregistrement avec M. Chapuis. C’est toujours un plaisir d’entendre ce très beau Prélude et Fugue en mi bémol majeur entre autres.
Un orgue neuf dans un buffet mythique, ce qui donne un ensemble réussi & qui devient si intéressant avec Michel Chapuis, lui donnant tout son sens : exaltation des sens portée par cette musique géniale du Vieux Bach, ces timbres généreux, ce buffet vénérable, prenant toute son ampleur avec cet organiste incomparable. Merci, Frédéric, pour cette vidéo si sympa & touchante...
Wow! Playing the P&F in Eflat without romantic rubato adds a whole new dimension to the structure of the piece. I've never heard it like this before and I like it!
Michel Chapuis jouait vraiement très bien et avait un très bon goût pour les mélanges de jeux. En outre, j'ai toujours pensé: "voudrait Michel Chapuis avec les cheveaux longs faire une ressemblance physionomique avec Bach? J'ai la même opinion à propos du pianiste brésilien João Carlos Martins. Et intéressant a remarquer que Chapuis a toujours fait la réalisation de la basse continue pendant qu'il jouait plusieurs œuvres de Bach pour orgue où originellement il y en a seulment une ou au maximum deux lignes mélodiques comme la basse simple ou avec une aigüe, comme, pour exemple, le mouvement central du BWV 593. Je connais aucun autre cas où pourrait-il avoir faire du même.
C'est simple mais raffiné, c'est grand mais humain, savant mais totalement dépourvu de pédanterie. C'est beau !
Superbe hommage à Michel Chapuis, à son stage de Saint-Bertrand de Comminges, au très sympathique facteur d'orgue Jean-Pierre Swiderski, et bien entendu à la Sainte-Trinité!😊
Un grand merci encore pour ce concert sur cet instrument remarquable et pour Chapuis !
Je tiens à vous remercier pour votre importante encyclopédie sonore des orgues français et étrangers, à laquelle sont jointes nombre d'interprètes et des photos choisies bien illustratives et émouvantes des sites , car aucun amateur ou mélomane, sauf un organiste professionnel, ne peut réaliser une telle somme comprenant tant de visites, faute de leur vie professionnelle ou familiale !
Merci beaucoup, monsieur Munoz, pour le partage de cet enregistrement avec M. Chapuis. C’est toujours un plaisir d’entendre ce très beau Prélude et Fugue en mi bémol majeur entre autres.
Un orgue neuf dans un buffet mythique, ce qui donne un ensemble réussi & qui devient si intéressant avec Michel Chapuis, lui donnant tout son sens : exaltation des sens portée par cette musique géniale du Vieux Bach, ces timbres généreux, ce buffet vénérable, prenant toute son ampleur avec cet organiste incomparable.
Merci, Frédéric, pour cette vidéo si sympa & touchante...
what else, comme disait l'autre ? Nothing else, of course... Quelles sonorités...Merci aussi pour ces photos magnifiques .
Wow! Playing the P&F in Eflat without romantic rubato adds a whole new dimension to the structure of the piece. I've never heard it like this before and I like it!
Quel magnifique enregistrement ! Merci.
Michel Chapuis jouait vraiement très bien et avait un très bon goût pour les mélanges de jeux. En outre, j'ai toujours pensé: "voudrait Michel Chapuis avec les cheveaux longs faire une ressemblance physionomique avec Bach? J'ai la même opinion à propos du pianiste brésilien João Carlos Martins. Et intéressant a remarquer que Chapuis a toujours fait la réalisation de la basse continue pendant qu'il jouait plusieurs œuvres de Bach pour orgue où originellement il y en a seulment une ou au maximum deux lignes mélodiques comme la basse simple ou avec une aigüe, comme, pour exemple, le mouvement central du BWV 593. Je connais aucun autre cas où pourrait-il avoir faire du même.