Quand le cerveau devient masculin, conférence de Jacques Balthazart

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  • Опубликовано: 13 мар 2023
  • Conférence de Jacques Balthazart donnée le samedi 8 octobre 2022 lors du troisième salon Science en livre.
    Retrouvez routes des activités de science en livre à l'adresse : www.scienceenlivre.org

Комментарии • 5

  • @nicocava1772
    @nicocava1772 3 месяца назад

    Bonjour, en France le Professeur Odile Fillod est également un grand spécialiste international de la différence cérébrale homme/femme.

  • @patricedelestre3156
    @patricedelestre3156 Год назад

    La méconnaissance du fonctionnement du cerveau, principalement de l'inconscient qui n'est jamais que le cerveau d'origine de l'humain, est énorme. Cet inconscient composé de deux entités distinctes a son ensemble qui dysfonctionne, même si les deux entités prises séparément fonctionnent parfaitement, les directives de l'entité principale n'arrivant plus à l'entité secondaire qui sans elles fait des conneries que la principale ne peut corriger. Ce dysfonctionnement est l'unique raison de la présence de la conscience, soit nous qui pensons et raisonnons, pour que cette conscience, nous, aide à pallier les conséquences de ce dysfonctionnement. Le but de l'entité principale, la seule des deux entités au courant du problème, est donc de nous informer comme elle peut et selon ses moyens de ce qui merde et qu'elle voudrait voir corrigé. Comme nous ne voyons pas du tout la merde que l'entité principale voudrait que nous connaissions et aidions à pallier, elle laisse faire des tas de choses qu'elle empêcherait sinon, ce qui rajoute de la merde à la merde initiale, ce qui est pour l'instant un bien, au sens que ça montre encore plus que quelque chose merde. Lutter contre la merde rajoutée ne sert à rien, cette merde supplémentaire rajoutée étant la stratégie de l'entité principale qui n'en changera pas. Non seulement elle ne nous aide pas à combattre la merde rajoutée qu'elle permet mais elle y participe en l'encourageant chez ceux qui pensent très mal, en favorisant par exemple les fameux biais dont il est question dans cette vidéo qui ne parle pas de la cause mais seulement des conséquences. L'erreur primordiale est de penser que c'est notre volonté qui meut l'humain que nous croyons à tort être, alors que les véritables acteurs en sont l'entité principale de l'inconscient qui veut nous faire connaître ce qu'elle ne peut empêcher et l'entité secondaire qui crée ce que la première ne peut empêcher. Nous ne savons toujours pas ce qui ne va pas, et forcément ça tourne en rond. La cause n'étant pas du tout connue, les conséquences ne peuvent que continuer d'être. Les décideurs de la politique sont toujours des gens pourris de biais qui sont là pour que ces gens justifient ce qu'ils pensent, ce qu'ils pensent donnant les saloperies que nous constatons et empêchant l'écologie d'avancer vraiment par exemple. Tout le monde, à part des gens extrêmement "biens" très très rares, a des biais qui sont là aussi pour montrer l'énorme différence entre les très très rares gens "biens" et le reste de la population. Le brave Jésus a été un des très très rares, mais comme il n'en a pas su la finalité il a été incapable de fournir un mode d'emploi. Vouloir faire "bien" c'est croire qu'on puisse, mais on ne peut que si "notre" inconscient le permet, et le gris qu'il permet c'est de faire "mal".

  • @ingeniussoul8390
    @ingeniussoul8390 Год назад +1

    Je ne cesse de réfléchir sur le sujet suivant.
    De nombreuses études montrent que les stéréotypes de genre ont un impact négatif sur les performances des étudiants, ça nous le savons.
    Mais en même temps, nous savons également que sans stéréotype de genre, il y a aussi des différences, que ce soit de préférence, ou de compétence, en fonction du niveau de testostérone.
    Il y a un côté de moi qui dirait "il faut agir pour la parité, au moins dans la représentation culturelle et publique, pour combattre les stéréotypes de genre néfastes (et oui, ils sont néfastes et doivent être combattus), mais un autre côté de moi dit qu'il y a naturellement des différences et, bon c'est assez essentialiste, mais devons-nous aller à l'encontre des préférences ?
    Et dans le même temps, j'embraye sur l'idée que les stéréotypes de genre empiètent sur les préférences justement, car pleins de gens préféraient un domaine mais s'en sont détournés à cause des stéréotypes de genre. Et aussi tôt j'embraye sur une autre idée faisant pencher la balance du côté contraire, bref, c'est complexe et j'arrive pas à avoir les idées claires.a
    Bref, questions, questions, mais peu de réponse... 🙄 je ne sais pas je présume

    • @patricedelestre3156
      @patricedelestre3156 Год назад

      La méconnaissance du fonctionnement du cerveau, principalement de l'inconscient qui n'est jamais que le cerveau d'origine de l'humain, est énorme. Cet inconscient composé de deux entités distinctes a son ensemble qui dysfonctionne, même si les deux entités prises séparément fonctionnent parfaitement, les directives de l'entité principale n'arrivant plus à l'entité secondaire qui sans elles fait des conneries que la principale ne peut corriger. Ce dysfonctionnement est l'unique raison de la présence de la conscience, soit nous qui pensons et raisonnons, pour que cette conscience, nous, aide à pallier les conséquences de ce dysfonctionnement. Le but de l'entité principale, la seule des deux entités au courant du problème, est donc de nous informer comme elle peut et selon ses moyens de ce qui merde et qu'elle voudrait voir corrigé. Comme nous ne voyons pas du tout la merde que l'entité principale voudrait que nous connaissions et aidions à pallier, elle laisse faire des tas de choses qu'elle empêcherait sinon, ce qui rajoute de la merde à la merde initiale, ce qui est pour l'instant un bien, au sens que ça montre encore plus que quelque chose merde. Lutter contre la merde rajoutée ne sert à rien, cette merde supplémentaire rajoutée étant la stratégie de l'entité principale qui n'en changera pas. Non seulement elle ne nous aide pas à combattre la merde rajoutée qu'elle permet mais elle y participe en l'encourageant chez ceux qui pensent très mal, en favorisant par exemple les fameux biais dont il est question dans cette vidéo qui ne parle pas de la cause mais seulement des conséquences. L'erreur primordiale est de penser que c'est notre volonté qui meut l'humain que nous croyons à tort être, alors que les véritables acteurs en sont l'entité principale de l'inconscient qui veut nous faire connaître ce qu'elle ne peut empêcher et l'entité secondaire qui crée ce que la première ne peut empêcher. Nous ne savons toujours pas ce qui ne va pas, et forcément ça tourne en rond. La cause n'étant pas du tout connue, les conséquences ne peuvent que continuer d'être. Les décideurs de la politique sont toujours des gens pourris de biais qui sont là pour que ces gens justifient ce qu'ils pensent, ce qu'ils pensent donnant les saloperies que nous constatons et empêchant l'écologie d'avancer vraiment par exemple. Tout le monde, à part des gens extrêmement "biens" très très rares, a des biais qui sont là aussi pour montrer l'énorme différence entre les très très rares gens "biens" et le reste de la population. Le brave Jésus a été un des très très rares, mais comme il n'en a pas su la finalité il a été incapable de fournir un mode d'emploi. Vouloir faire "bien" c'est croire qu'on puisse, mais on ne peut que si "notre" inconscient le permet, et le gris qu'il permet c'est de faire "mal".

    • @nicocava1772
      @nicocava1772 3 месяца назад

      Bonjour, et si vous lisiez le livre de M. Balthazart ? Cela pourrait vous permettre d'affiner, de préciser votre questionnement 🙂