Ayant découvert Lordon il y a quelques mois, je ne pense pas que, malgré un vocabulaire conceptuel assez poussé, sa pensée soit si compliquée. Mais après réflexion, je me rends compte qu'il y a plus d'un an, c'est-à-dire avant d'entamer ma formation universitaire, je n'aurais pas compris grand chose. Pour cette raison, je conseille vraiment à ceux qui ont du mal à tout saisir et qui du coup, penserait à "abandonner" Lordon, de faire l'effort de visionner plusieurs vidéos de ses vidéos, voir de les revisionner car la pensée de Lordon est extraordinairement passionnante et riche et mérite d'être connue du plus grand nombre.
Tout à fait d'accord ! J'ai essayé plusieurs fois de regarder cette vidéo depuis quelques mois, je n'y comprenais jamais rien et maintenant que j'ai lu plusieurs de ses bouquins je comprends très bien. C'est très satisfaisant !
@@awkw3589 Perso, j'ai jamais rien pipé à Deleuze, dont le style ampoulé ne m'a pas trop donné envie d'insister. Alors que je bois Lordon comme du petit lait.
@@naskountel8328 Lordon utilise Spinoza pour ses propres travaux de recherche, on découvre Spinoza par incidence alors les cours de Deleuze traitent de L'éthique, je trouve que ça donne des clés intéressantes. Quand au style de Deleuze je trouve qu'il n'a rien d'ampoulé, il est simple on a presque l'impression d'entendre quelqu'un raconter une histoire. Par contre le son est mauvais c'est vrai sue ça n'aide pas.
Il suffit d'écouter, et de prendre des notes le cas échéant, et éventuellement de relire ses notes. C'est un travail, ça se mérite, mais ça vaut le jus!!
+Huguette Tata C'est vrai que sans avoir lut le bouquin dont il parle c'est pas évident. Vocabulaire et mots reconstruit au point de devenir presque absconse: du Spinoza...
+Chantry Loïc Effectivement, c'est fait pour des gens connaissant le travail Spinoziste de Lordon et/ou les études modernes de Spinoza (j'avais lu l'éthique et le TP à 17 ans dans mon coin et j'étais complètement passé à côté de ce que Matheron ou Lordon peuvent dire dessus).
Le social c'est comme l'effet paramagnétique, tant que la température est au dessus de la température critique, chaque individu, comme le spin des électrons, pointe dans une direction différente. La résultante est donc nulle. Par contre si la température est en dessous de la température critique, alors il y a une transition de phase, tous les individus, comme les spins, pointent tous dans la même direction. Le morceau de fer devient alors aimant. La société n'est peut-être plus très loin du point critique.
11:05 "...ni à l'état pulvérulent atomistique" ?!?! J'adore Frédéric Lordon, mais là il charge la barque quand même...parfois on dirait qu'il prend un malin plaisir à utiliser des tournures alambiquées. D'ailleurs si une âme charitable pouvait m'éclairer sur ce point...
+MyBabyLikesToBeBop alors selon moi , la pulvérence atomistique , c'est de la poudre d'atome , pulvere c'est réduire en poudre , l'atome c'est pour les grec la partie la plus petite de la matière , donc il fait en fait référence au libéralisme façon reagan thatcher pour qui la société n'existe pas , la société de consommation ne considère que l'individu met en concurrence les individus et n’édite des lois que pour l'individu , et fais disparaitre du droit la notion de responsabilité sociale au profit de la responsabilité personnelle.(c'est pas la mairie qui est responsable c'est le maire ) par cette tournure lordon exprime que non seulement le libéralisme a réduit en poudre les syndicats , les nations en fait tout ce qui pouvait faire corps , mais qu'en se faisant elle a détruit les individus eux meme , la preuve en est que de nouvelles pathologie sont apparues , les otaku ou ikikomuri , ou une forme d'égocentrisme délirant qui isole l'individu et le condamne à une folie violente et autodestructrice. j’espère avoir éclairer ta lanterne
Erras, amice. Hélas, je crois bien que vous faites erreur. Je crois que vous allez un peu trop loin. "L'humanité n'existe ni à l'état du genre humain unifié..." ; première hémistiche (serais-je tenté) qui nous affirme que les humains ne forment pas, n'ont pas formé et ne formeront pas une seule communauté mondiale. "Ni à l'état pulvérulent atomistique" ; il est là dit qu'il y a un nombre de communautés inférieur au nombre d'humains. Que chaque humain ne forme pas une communauté par lui tout seul. Et enfin : "L'humanité existe à l'état fragmenté" ; c'est une conséquence des deux propositions précédentes. Un humain ne saurait former une communauté, et l'humanité n'en saurait être une indivisible. Alors il y a des petits groupes, des nations, des tribus, des agrégats, tout ça en perpétuelle évolution.
Espérons que la pensée de Lordon donne autre chose que sa poésie Parce que ses "alexandrins" comptent 13 voire 14, font rimer masculins et féminins, singuliers et pluriels, sont truffés d'hiatus, d'élisions abusives etc.
Si Spinoza a découvert le conatus, cet effort pour persévérer dans son être, Nietzsche a découvert la volonté de puissance. Le peuple a le conatus, l'oligarchie a la volonté de puissance. Ce sont deux puissances d'agir. Sauf que la volonté de puissance d'une minorité écrase le conatus du plus grand nombre.
@@julietteliddle7076 Ben quoi, ce n'est pas vrai ? J'avais totalement oublié que j'avais écrit cela. Eh bien, 4 ans plus tard, je m'épate moi-même d'avoir écrit un truc pareil.
@@moforibalait C'est quoi la différence entre résumer et synthétiser. Je suis désolé de vous dire que vous ne réussissez pas à jouer avec les mots comme je le fais avec les concepts. Je vous suis supérieurement intelligent, ce n'est pas ma faute, je suis né comme ça.
+smoliansk cko : il faut oublier le Lordon grand public (crise financière, etc.) Ici, il s'agit du Lordon _philosophe_, avec tout le background que ça implique.
"il y a des totalités sociales" = nations ; embarassant pour ns, ce "nous" = gauche critique ; internationalisme = ce qu'il ya entre les nations, DC il existe des nations ; social distinct de l'association ; juxtaposition //, < : au social ; social = excédent ! Durkheim : "force morale de la société" = force sociale ; Remonter aux origines (=première cause) => Ridicule/Impossible possible uniquement par une expérience de pensée ; puissance de la multitude chez Spinoza: -def une chose : exhiber processus de son engendrement - engendrement de la multitude de puissance : conduit par qq affects communs (et non la raison !) politique ET social = qq affects version simplifiée de la "Force morale de la société'" de Durkheim : les conflits bilatéraux suscitent des ralliements gouvernés de 2 manières : 1/ Principe de sympathie par similitude : (Spinoza, Ethique 3, 27) Antérieurement ; rejoindre par imitation le plus impt, ; ralliement mimétique => croit jusqu'à converger à un même affect. Jeunesse des moeurs ; 2/ ... social = puissance de la multitude, SP appelle : IMPERIUM = pvr de la multitude à s'auto- affecter ! (= auto-affection de la multitude) Entité qui surplombe toute partie ; principe de verticalité ; transcendance du social => effet => plan d'immanence ; affect commun qui surplomb les producteurs, les affecte tous après ! transcendance immanente : - Figure de Dieu n'épuise pas la figure de la transcendance ; - pdv sociologique de Durkheim - Uber et Mauss : " 26:10
Penser le holisme, ici l'Imperium, a ceci de particulier qu'il est impossible de le faire sans pondérer (au sens strict du terme) ses analyses. Les monades n'ont évidemment pas respectivement le même pouvoir d'infléchir le réel. On ne peut le comprendre sans prendre acte de ce qui rapproche l'animal humain (car il est radicalement animal et il faut savoir en tirer toutes les conclusions) à la fois de la fourmilière et de la meute de loups. C'est toute l'erreur, à mon sens, de La Boétie et que Frédéric Lordon reprend à son compte dans son raisonnement spinoziste. Nos deux principaux instincts cohabitent en nous et font de nous ce que nous sommes à savoir des animaux, plus encore qu'une blette. Le premier instinct est bien naturellement celui qui nous fait continuer même quand tout est perdu, même quand tout augure rationnellement et objectivement que la mort fût préférable à la vie, même quand la vie du concerné exige le trépas de ses semblables ; il nous pousse irrésistiblement vers une seconde de plus de vie. Un instinct qui naît des tréfonds de nous-mêmes et rejaillit immanquablement à la surface au moindre danger réel ou supposé. De celui-ci proviennent tous nos actes, toutes nos pensées, toutes nos projections, toutes nos compréhensions mais aussi tous nos sentiments, tous nos affects... auto-centrés. Et de tout ceci procède la moitié des grands modèles de sociétés ou de civilisations qui nous apparaissent comme librement pensés, fruits d'une longue maturation philosophique débouchant sur des traités hautement politiques et ô combien complexes ; et c'est tout le paradoxe car il vient, en première instance, d'un bas instinct. On peut livrer comme ça, en vrac, l'individualisme, le pragmatisme, l'existentialisme ou la phénoménologie. À partir de ces conceptions du monde voici poindre le libéralisme et le capitalisme. Mais, et ces derniers n'étant pas exclusifs des suivants, bien d'autres représentations du réel ne se comprennent qu'à lumière du second instinct, celui de conservation de l'espèce. Une sorte d'élan survie, qui trouve son origine dans le système limbique de notre cerveau reptilien, et qui n'admet que l'entraide Kropotkinenne comme réponse aux obstacles de l'environnement sur l'individu compris comme entité atomique d'un groupe. De celui-ci proviennent les universaux monothéistes, libertaires, athées, et aujourd'hui numériques - qui, eux-mêmes, procèdent d'une approche apparemment incompatible avec l'instinct de survie individuel - dont l'altruisme, la charité, l'amour ou plus mécaniquement la sexualité sont les meilleurs hypostases. Précisons que les instincts peuvent se manifester simultanément, à même hauteur ou à degrés différents. Voici décrites on ne peut plus sommairement mais on ne peut plus clairement les règles du jeu que Dieu a fixé pour nous et en nous afin que la tumeur humaine se propage dans les meilleures conditions à l'ensemble de l'univers cardiaque. Si elles sont clairement distinctes, elles composent, à elles deux, seulement mais nécessairement, cette indéfectible conviction de libre arbitre chez l'individu qui se gargarise d'une activité réflexive supposant affirmer - bien faussement en réalité - son altérité du règne animal. La preuve de tout ceci ? Une sagesse du romancier anglais Sir Arthur Conan Doyle : " lorsque vous avez éliminé l'impossible ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la Vérité". Je voulais juste recadrer dans une plus large dimension la théorie politique des affects divergents et convergents de Spinoza que le très sibyllin (trop souvent inutilement ?) Frédéric Lordon reprend à son compte dans son bouquin. Sans intégrer ce petit détail au raisonnement, je ne pense pas qu'il fusse possible d'exploiter à fond et définitivement le sujet qu'il se propose d'examiner dans son livre. Toute la question est donc de savoir si le dépérissement communiste de l'État est donc possible et à quelle échelle. En réalité, et comme le dit très bien Frédéric Lordon, une institution gestionnaire des masses, si petites soient-elles est naturellement (au sens fort) inévitable. Et cela précisément du fait du caractère animal hybride que je viens, si laborieusement mais si réellement, de décrire ; et non par cette obscure dynamique affective spinoziste qui ne va pas suffisamment à mon sens au fond des choses. Et en filigrane se niche dans l'ombre la question de savoir si cet ultime stade marxiste (la fin du dirigisme d'État) peut s'accomplir par consensus. Toujours selon la grille de lecture que je viens de poser, cela ne me paraît pas raisonnablement envisageable. En effet, il s'agirait de faire totalement fi d'un des deux instincts qui meuvent l'espèce humaine ; à savoir celui de conservation individuelle. La pensée de gauche me paraît beaucoup trop imprégnée de l'instinct de conservation collective pour admettre la nécessité de notre corps spécifique (au sens de l'espèce) à cette propension (illusoirement voulue pour conserver cela de Spinoza) à chercher invariablement le gouvernement du grand nombre par le petit. Un marronnier des théoriciens politiques de gauche est celui d'une augmentation des conditions de possibilité d'une cohabitation démocratique inversement proportionnelle à la réduction des individus du corps social. Ainsi il s'agirait de rechercher le mode de vie communautaire. Or il apparaît on ne peut plus clairement qu'avec la révolution numérique (qui a tout bouleversé sur son passage) les micro-organisations se réduisent à peau de chagrin (en comparaison chronologiquement parlant) à mesure que le sens de l'Histoire se dévoile sous nos yeux, à savoir une homogénéisation du cancer humain qui finira par prendre d'assaut le reste de l'univers (qui lui-même ressemblerait à un corps animal si l'on file la métaphore ?). Ceci étant, cette illusion de libre arbitre que Dieu utilise pour déployer Son plan n'est par définition en rien autonome et nous devons donc agir pleinement comme nous le ressentons. Il est donc sain de continuer à agir comme si nous ne le savions pas mais le savoir et volontairement l'ignorer n'est-ce pas prétendre à court-circuiter le Tout-Puissant, ce qui ne se peut décemment pas. Ouroboros. Mon humble avis.
+Yannick Reclus Tu fais état d'une simple double-composition de l'humain, de son être, et au vu de ton argumentaire discursif, je pourrais fort bien utilisé le terme d'essence, et par là même tu fais fi, pour te reprendre, de sa construction historico-sociale. Ensuite, si je devais t'exposer autre chose qui ne me paraît juste dans ce que j'ai lu, c'est ta conception de la « pensée de gauche ». Entendu dans mon sens, ce concept est bien trop large pour s'appuyer dessus, et dire en suivant qu'elle se place globalement dans une perspective « moutonnière ». Rien qu'au sein de la pensée anarchiste, que nous ne placerons pas à droite mais à gauche, pour ma part au moins ( même si cette représentation spatiale duale porte atteinte au contenu ), de l'association d'égoïste de Stirner, à, comme tu l'as précisé, l'entraide kropotkinienne, il y a une complémentarité. Donc je ne sais pas par quel bord, si ce n'est par celui du communisme, aborder ton propos. Tu en fais mention, mais tu le regroupe failliblement sous la mention globalisante de pensée de gauche, ce qui me semble être une grave erreur. De plus, comme tu l'as « laborieusement » exposé, l'hybridation de l'homme, schématiquement : égoisme ( préféré à individualisme, dans le sens où ce premier terme prend une dimension plus egocentrée et non pas atomistique même si je ne l'écarterai pas totalement ) / altruisme, « fixé par Dieu », là encore je ne sais si tu parles de la construction historique de la multitude par son auto-façonnement, pour utiliser la terminologie de Lordon, ou réellement d'une pensée immanentiste ou ontologique, ne suffit pas, comme tu le prétends, à encore scruter les possibilités du dépérissement de l'État, et d'explorer la faisabilité d'un certain système « « communiste » ». Elle n'est qu'une pierre ajoutée à un édifice utopiste. Mais, dans ton constat final, fortement biblique, fataliste et dystopique à outrance ( et tu m'excuseras dix fois si je n'ai pas su voir ton ironie ) , voiler les yeux de la vérité, ou seulement bloquer la route à son intuition, et cela volontairement, selon tes dires, en ayant la pensée «claire» d'un destin imaginaire, me paraît être une pensée si faible que pour enfoncer le clou je te dirai : « La détresse leur est nécessaire ! » (§56, Le Gai savoir)
discours incompréhensible... ..il faut plus d hôpitaux pour malades m. qu universités ..paris 8 était bien autre chose ..qui a compris .....? Il faut faire revivre paris 8 la ou elle était ..
Pourquoi le dieu de Spinoza n'a épique allié. Le dieu de Spinoza est sur place. Quelle épique allié échoué est la description de Spinoza de son dieu de façon théiste, donnant ainsi théistes avec un concept anthropomorphique d'un dieu l'occasion d'assimiler leur concept avec son concept, étendant ainsi le doute de l'humanité en ce qui concerne le concept humain de l'existence de Dieu. Ce qui suit est de l'école de vidéo de la vie sur Spinoza. L'éthique est l'un des plus beaux livres du monde. Il contient une perspective apaisante, une prise de rappel sur la vie. Il remplace le dieu de la superstition avec un panthéisme sage et consolant, et pourtant, l'œuvre de Spinoza a complètement échoué à convaincre tout, mais quelques-uns d'abandonner la religion traditionnelle et de se déplacer vers un rationaliste et sage système de croyance. Spinoza ne comprend pas, comme tant de philosophes avant et depuis, que ce qui amène les gens à la religion est non seulement la raison, mais beaucoup plus important; l'émotion, la croyance, la peur et la tradition. Les gens collent à leurs croyances parce qu'ils aiment le rituel, les repas en commun, les traditions annuelles, la belle architecture, la musique, la belle langue dans leur synagogue [ou à la mosquée,] ou à l'église. Ethique de Spinoza contient sans doute beaucoup plus de sagesse que la bible, mais parce qu'il vient sans aucun de la structure de soutien de la bible, il reste un travail marginal ... Si nous sommes toujours à remplacer les croyances traditionnelles nous devons nous rappeler à quel point la religion est aidé par le rituel, la tradition, l'art, et un désir d'appartenir, toutes les choses que Spinoza, malgré sa grande sagesse, ignoré à ses risques et périls, dans sa tentative audacieuse pour remplacer la bible. Le dieu de Spinoza n'a épique allié parce qu'il décrit son dieu comme un '' autre entité '', et entité extérieure à l'individu, et ce fut son erreur critique. Que vous choisissiez ou non de '' croire '' en un dieu ou des dieux, le spiritisme, le mysticisme, la magie, les miracles, ou quelque chose de surnaturel, qui est votre personne '' croyance '' sélection. Aucun de ces '' croyances '' sont nécessaires pour vous de venir à une compréhension complète de unendarkenment humain individuel, l'illumination humaine individuelle, individuelle heureux-ness humaine. Je parle de ce que chaque 'homme' 'sage' et '' sage '' femme, chaque '' sage '' et '' voyante '', tout au long de l'histoire humaine, a tenté d'élucider pour l'humanité. Vous n'êtes pas obligé de '' croire '' dans tout ce que vous-même pour atteindre unendarkenment humain individuel, l'illumination humaine individuelle, individuelle heureux-ness humaine. l'utilisation rigoureuse quotidienne de votre intelligence, de conscience, et les capacités de bon sens est tout ce qui est nécessaire. Je suis un homme ordinaire. Si je peux le faire, tout le monde peut. Appartenir à une communauté d'intelligent, recherche de la vérité, les individus est extrêmement plus gratifiant que l'appartenance à l'une des organisations aussi-ran de gens qui ne pensent qu'à ce qu'ils savent. Stephen Kirby thehappierproject@gmail.com
@@pierre3982 You would have to explain yourself more clearly if you want to make a point that my thinking, not my ''belief'', is contrary to Spinosa's.
" les poètes troublent leurs eaux pour qu'elles paraissent plus profondes " Nietzsche. On peut en dire autant de certains philosophes à l'image de Lordon qui use d'une technicité exagérée.
On voit la différence entre un Finkelfraut et Lordon (je prends l'exemple à dessein, puisque Lordon a du mal à comprendre le premier dans le sectarisme intellectuel qui le caractérise). Le premier a l'adresse précise du langage, l'élégance intellectuelle de sa réversibilité, le jeu brillant du contrepied. Le second le *charabia universitaire* de ceux qui ne savent pas exprimer leur pensée et qui dissimulent la brouillonerie de leur charabia dans la monadité pré socratique du... vous voyez? Donc, poubelle! Apprenez à vous exprimer Monsieur Lordon, apprenez la psychologie humaine, nouez avec l'élégance littéraire de savoir vous exprimez et sortez du *laborieux estudiantin* dans lequel les professeurs plonge leurs ouailles pour mieux leur faire ignorer le réel. Relisons Machiavel, Toqueville, Freud, Orwell ou Finkelkraut, nous apprendrons plus, sur le fond comme sur la forme, pour renouer avec une pensée aussi vivante que précise et fluide de vrais penseurs. Rejetons les *inepties absolument honteuses d'universitaires* qui n'ont que pour seuls titres celui de figer la pensée et de flatter leur ego *au milieu d'étudiants tétanisée* par une *immobilité logorrhéique* insoutenable. Rejetons la *ruine de la pensée* dont Monsieur Lordon est un triste représentant. Savoir parler est l'exigence du professeur. Deux heures avec un élève professant sont deux heures de perdues. Monsieur Lordon ne m'aura fait perdre que 24 minutes de ma vie, heureusement.
Freez WarZW votre commentaire souligne votre rare stupidité et le *manque de crédibilité qui est plus vôtre que mien* , tant le propos ne repose sur rien que sur un *air de lynchage très à la mode* que vous répétez avec un *talent d'imitation* qui n'a d'égal que votre *absence d'originalité* . *Lisez des livres* au lieu de recracher ce que vos *sectateurs d'une extrême gauche dogmatique, manipulée et manipulatrice* vous apprennent, devenez petits chanteurs dans une chorale si vous aimez hurler avec des chiots qui se prennent pour des loups. Ma crédibilité, contrairement à vous, est précisément d'avoir lu et écouté attentivement Alain Finkelkraut, et de ne pas me baser sur les opinions d'autrui. Dois je rappeler également les *contradictions fachisantes de Frédéric Lordon* , embourbé dans sa mauvaise philosophie, qui d'un côté se félicite de la dimension démocratique de Nuits Debout pour aussitôt en récuser le caractère lorsqu'il s'agit *d'empêcher **_physiquement_* Alain Finkelkraut de rester sur place. Deux poids deux mesures, *l'étoile jaune* remise au goût du jour par Nuit Debout. ND et la police sont les deux faces de manifestations fachistes qui haïssent *en meutes* les individus. Voilà, réfléchissez donc un peu avant de ricaner. *Vos ricanements ne sont ni une opinion ni une pensée* , mais l'expression d'un *aboiement fachiste décérébré* en ce qu'il appelle d'autres aboiements, ou jappement devrais je dire vous concernant, vous permettant l'économie de la raison. Rudolf Heiss est surement votre idole, donc continuer de ricaner, cela vous va bien, en tant que *petit nazillon d'extrême gauche* .
@@pierrekjh7761 Le truc, c'est que Lordon parle beaucoup plus vite que Finkelkrault. Lordon pratique également l'ironie, elle fait partie de son attirail verbal.
Ayant découvert Lordon il y a quelques mois, je ne pense pas que, malgré un vocabulaire conceptuel assez poussé, sa pensée soit si compliquée. Mais après réflexion, je me rends compte qu'il y a plus d'un an, c'est-à-dire avant d'entamer ma formation universitaire, je n'aurais pas compris grand chose. Pour cette raison, je conseille vraiment à ceux qui ont du mal à tout saisir et qui du coup, penserait à "abandonner" Lordon, de faire l'effort de visionner plusieurs vidéos de ses vidéos, voir de les revisionner car la pensée de Lordon est extraordinairement passionnante et riche et mérite d'être connue du plus grand nombre.
Tout à fait d'accord ! J'ai essayé plusieurs fois de regarder cette vidéo depuis quelques mois, je n'y comprenais jamais rien et maintenant que j'ai lu plusieurs de ses bouquins je comprends très bien. C'est très satisfaisant !
Les cours de Deleuze sur Spinoza sont pas mal aussi
quel étude universitaire as tu fais si c'est pas indiscret?
@@awkw3589 Perso, j'ai jamais rien pipé à Deleuze, dont le style ampoulé ne m'a pas trop donné envie d'insister. Alors que je bois Lordon comme du petit lait.
@@naskountel8328 Lordon utilise Spinoza pour ses propres travaux de recherche, on découvre Spinoza par incidence alors les cours de Deleuze traitent de L'éthique, je trouve que ça donne des clés intéressantes.
Quand au style de Deleuze je trouve qu'il n'a rien d'ampoulé, il est simple on a presque l'impression d'entendre quelqu'un raconter une histoire.
Par contre le son est mauvais c'est vrai sue ça n'aide pas.
Il suffit d'écouter, et de prendre des notes le cas échéant, et éventuellement de relire ses notes. C'est un travail, ça se mérite, mais ça vaut le jus!!
Le douze novembre on assiste à une magistrale représentation positive de l'Imperium.....Le treize novembre à sa version la plus négative.
C'est une conf à écouter en plusieurs fois ...
Ça fait du bien. Merci.
Bonjour,
Je comprends rien du tout, c'est normal ? :)
+Huguette Tata C'est vrai que sans avoir lut le bouquin dont il parle c'est pas évident. Vocabulaire et mots reconstruit au point de devenir presque absconse: du Spinoza...
+Chantry Loïc Effectivement, c'est fait pour des gens connaissant le travail Spinoziste de Lordon et/ou les études modernes de Spinoza (j'avais lu l'éthique et le TP à 17 ans dans mon coin et j'étais complètement passé à côté de ce que Matheron ou Lordon peuvent dire dessus).
+Huguette Tata
Les gens qui regardent cette vidéo ne pourront vous répondre à moins de revenir plus en détails sur le concept de normalité.(lol)
+Huguette Tata C'est de la branlette intellectuelle c'est pour ça
KyB Justement non,je t'invite à réécouter.Même si tu ne veux pas le faire et rester sur ta 1ère idée.
Le social c'est comme l'effet paramagnétique, tant que la température est au dessus de la température critique, chaque individu, comme le spin des électrons, pointe dans une direction différente. La résultante est donc nulle.
Par contre si la température est en dessous de la température critique, alors il y a une transition de phase, tous les individus, comme les spins, pointent tous dans la même direction. Le morceau de fer devient alors aimant.
La société n'est peut-être plus très loin du point critique.
Faut arrêter le haschich mon ami
@@moforibalait J'ai trouvé l'analogie intéressante.
Tout ne s'exprime pas en vulgarisant.
11:05 "...ni à l'état pulvérulent atomistique" ?!?! J'adore Frédéric Lordon, mais là il charge la barque quand même...parfois on dirait qu'il prend un malin plaisir à utiliser des tournures alambiquées. D'ailleurs si une âme charitable pouvait m'éclairer sur ce point...
+MyBabyLikesToBeBop alors selon moi , la pulvérence atomistique , c'est de la poudre d'atome , pulvere c'est réduire en poudre , l'atome c'est pour les grec la partie la plus petite de la matière ,
donc il fait en fait référence au libéralisme façon reagan thatcher pour qui la société n'existe pas , la société de consommation ne considère que l'individu met en concurrence les individus et n’édite des lois que pour l'individu , et fais disparaitre du droit la notion de responsabilité sociale au profit de la responsabilité personnelle.(c'est pas la mairie qui est responsable c'est le maire )
par cette tournure lordon exprime que non seulement le libéralisme a réduit en poudre les syndicats , les nations en fait tout ce qui pouvait faire corps , mais qu'en se faisant elle a détruit les individus eux meme , la preuve en est que de nouvelles pathologie sont apparues , les otaku ou ikikomuri , ou une forme d'égocentrisme délirant qui isole l'individu et le condamne à une folie violente et autodestructrice.
j’espère avoir éclairer ta lanterne
+gusofgal Oui, c'est un peu plus clair en effet... Merci pour cet l'éclairage. ;-)
Erras, amice. Hélas, je crois bien que vous faites erreur.
Je crois que vous allez un peu trop loin.
"L'humanité n'existe ni à l'état du genre humain unifié..." ; première hémistiche (serais-je tenté) qui nous affirme que les humains ne forment pas, n'ont pas formé et ne formeront pas une seule communauté mondiale. "Ni à l'état pulvérulent atomistique" ; il est là dit qu'il y a un nombre de communautés inférieur au nombre d'humains. Que chaque humain ne forme pas une communauté par lui tout seul. Et enfin : "L'humanité existe à l'état fragmenté" ; c'est une conséquence des deux propositions précédentes. Un humain ne saurait former une communauté, et l'humanité n'en saurait être une indivisible. Alors il y a des petits groupes, des nations, des tribus, des agrégats, tout ça en perpétuelle évolution.
Espérons que la pensée de Lordon donne autre chose que sa poésie
Parce que ses "alexandrins" comptent 13 voire 14, font rimer masculins et féminins, singuliers et pluriels, sont truffés d'hiatus, d'élisions abusives etc.
Si Spinoza a découvert le conatus, cet effort pour persévérer dans son être, Nietzsche a découvert la volonté de puissance.
Le peuple a le conatus, l'oligarchie a la volonté de puissance.
Ce sont deux puissances d'agir. Sauf que la volonté de puissance d'une minorité écrase le conatus du plus grand nombre.
"Le peuple a le conatus, l'oligarchie a la volonté de puissance."..... Qu'est-ce qu'il faut pas lire...
Pourquoi vouloir résumer l'analyse. Ce n'est pas la même chose que synthétiser !
@@julietteliddle7076 Ben quoi, ce n'est pas vrai ? J'avais totalement oublié que j'avais écrit cela. Eh bien, 4 ans plus tard, je m'épate moi-même d'avoir écrit un truc pareil.
@@moforibalait C'est quoi la différence entre résumer et synthétiser. Je suis désolé de vous dire que vous ne réussissez pas à jouer avec les mots comme je le fais avec les concepts.
Je vous suis supérieurement intelligent, ce n'est pas ma faute, je suis né comme ça.
@@lioneloddo vous jouez je vous l'accorde, mais avec des concepts ? allons allons
43:27 corps
Rarement entendu un discours aussi peu compréhensible, je le regrette ! Lordon se mérite je pense !
+smoliansk cko : il faut oublier le Lordon grand public (crise financière, etc.) Ici, il s'agit du Lordon _philosophe_, avec tout le background que ça implique.
"il y a des totalités sociales" = nations ; embarassant pour ns, ce "nous" = gauche critique ;
internationalisme = ce qu'il ya entre les nations, DC il existe des nations ;
social distinct de l'association ; juxtaposition //, < : au social ; social = excédent !
Durkheim : "force morale de la société" = force sociale ; Remonter aux origines (=première cause) => Ridicule/Impossible
possible uniquement par une expérience de pensée ;
puissance de la multitude chez Spinoza:
-def une chose : exhiber processus de son engendrement
- engendrement de la multitude de puissance : conduit par qq affects communs (et non la raison !)
politique ET social = qq affects
version simplifiée de la "Force morale de la société'" de Durkheim : les conflits bilatéraux suscitent des ralliements gouvernés de 2 manières :
1/ Principe de sympathie par similitude : (Spinoza, Ethique 3, 27)
Antérieurement ; rejoindre par imitation le plus impt, ; ralliement mimétique => croit jusqu'à converger à un même affect.
Jeunesse des moeurs ;
2/ ...
social = puissance de la multitude, SP appelle : IMPERIUM = pvr de la multitude à s'auto- affecter ! (= auto-affection de la multitude)
Entité qui surplombe toute partie ; principe de verticalité ; transcendance du social => effet => plan d'immanence ;
affect commun qui surplomb les producteurs, les affecte tous après !
transcendance immanente :
- Figure de Dieu n'épuise pas la figure de la transcendance ;
- pdv sociologique de Durkheim
- Uber et Mauss : "
26:10
6:24 9:31
Penser le holisme, ici l'Imperium, a ceci de particulier qu'il est impossible de le faire sans pondérer (au sens strict du terme) ses analyses. Les monades n'ont évidemment pas respectivement le même pouvoir d'infléchir le réel. On ne peut le comprendre sans prendre acte de ce qui rapproche l'animal humain (car il est radicalement animal et il faut savoir en tirer toutes les conclusions) à la fois de la fourmilière et de la meute de loups. C'est toute l'erreur, à mon sens, de La Boétie et que Frédéric Lordon reprend à son compte dans son raisonnement spinoziste.
Nos deux principaux instincts cohabitent en nous et font de nous ce que nous sommes à savoir des animaux, plus encore qu'une blette.
Le premier instinct est bien naturellement celui qui nous fait continuer même quand tout est perdu, même quand tout augure rationnellement et objectivement que la mort fût préférable à la vie, même quand la vie du concerné exige le trépas de ses semblables ; il nous pousse irrésistiblement vers une seconde de plus de vie. Un instinct qui naît des tréfonds de nous-mêmes et rejaillit immanquablement à la surface au moindre danger réel ou supposé. De celui-ci proviennent tous nos actes, toutes nos pensées, toutes nos projections, toutes nos compréhensions mais aussi tous nos sentiments, tous nos affects... auto-centrés. Et de tout ceci procède la moitié des grands modèles de sociétés ou de civilisations qui nous apparaissent comme librement pensés, fruits d'une longue maturation philosophique débouchant sur des traités hautement politiques et ô combien complexes ; et c'est tout le paradoxe car il vient, en première instance, d'un bas instinct.
On peut livrer comme ça, en vrac, l'individualisme, le pragmatisme, l'existentialisme ou la phénoménologie. À partir de ces conceptions du monde voici poindre le libéralisme et le capitalisme.
Mais, et ces derniers n'étant pas exclusifs des suivants, bien d'autres représentations du réel ne se comprennent qu'à lumière du second instinct, celui de conservation de l'espèce. Une sorte d'élan survie, qui trouve son origine dans le système limbique de notre cerveau reptilien, et qui n'admet que l'entraide Kropotkinenne comme réponse aux obstacles de l'environnement sur l'individu compris comme entité atomique d'un groupe. De celui-ci proviennent les universaux monothéistes, libertaires, athées, et aujourd'hui numériques - qui, eux-mêmes, procèdent d'une approche apparemment incompatible avec l'instinct de survie individuel - dont l'altruisme, la charité, l'amour ou plus mécaniquement la sexualité sont les meilleurs hypostases.
Précisons que les instincts peuvent se manifester simultanément, à même hauteur ou à degrés différents.
Voici décrites on ne peut plus sommairement mais on ne peut plus clairement les règles du jeu que Dieu a fixé pour nous et en nous afin que la tumeur humaine se propage dans les meilleures conditions à l'ensemble de l'univers cardiaque. Si elles sont clairement distinctes, elles composent, à elles deux, seulement mais nécessairement, cette indéfectible conviction de libre arbitre chez l'individu qui se gargarise d'une activité réflexive supposant affirmer - bien faussement en réalité - son altérité du règne animal.
La preuve de tout ceci ? Une sagesse du romancier anglais Sir Arthur Conan Doyle : " lorsque vous avez éliminé l'impossible ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la Vérité".
Je voulais juste recadrer dans une plus large dimension la théorie politique des affects divergents et convergents de Spinoza que le très sibyllin (trop souvent inutilement ?) Frédéric Lordon reprend à son compte dans son bouquin.
Sans intégrer ce petit détail au raisonnement, je ne pense pas qu'il fusse possible d'exploiter à fond et définitivement le sujet qu'il se propose d'examiner dans son livre.
Toute la question est donc de savoir si le dépérissement communiste de l'État est donc possible et à quelle échelle. En réalité, et comme le dit très bien Frédéric Lordon, une institution gestionnaire des masses, si petites soient-elles est naturellement (au sens fort) inévitable. Et cela précisément du fait du caractère animal hybride que je viens, si laborieusement mais si réellement, de décrire ; et non par cette obscure dynamique affective spinoziste qui ne va pas suffisamment à mon sens au fond des choses.
Et en filigrane se niche dans l'ombre la question de savoir si cet ultime stade marxiste (la fin du dirigisme d'État) peut s'accomplir par consensus. Toujours selon la grille de lecture que je viens de poser, cela ne me paraît pas raisonnablement envisageable. En effet, il s'agirait de faire totalement fi d'un des deux instincts qui meuvent l'espèce humaine ; à savoir celui de conservation individuelle. La pensée de gauche me paraît beaucoup trop imprégnée de l'instinct de conservation collective pour admettre la nécessité de notre corps spécifique (au sens de l'espèce) à cette propension (illusoirement voulue pour conserver cela de Spinoza) à chercher invariablement le gouvernement du grand nombre par le petit.
Un marronnier des théoriciens politiques de gauche est celui d'une augmentation des conditions de possibilité d'une cohabitation démocratique inversement proportionnelle à la réduction des individus du corps social. Ainsi il s'agirait de rechercher le mode de vie communautaire. Or il apparaît on ne peut plus clairement qu'avec la révolution numérique (qui a tout bouleversé sur son passage) les micro-organisations se réduisent à peau de chagrin (en comparaison chronologiquement parlant) à mesure que le sens de l'Histoire se dévoile sous nos yeux, à savoir une homogénéisation du cancer humain qui finira par prendre d'assaut le reste de l'univers (qui lui-même ressemblerait à un corps animal si l'on file la métaphore ?).
Ceci étant, cette illusion de libre arbitre que Dieu utilise pour déployer Son plan n'est par définition en rien autonome et nous devons donc agir pleinement comme nous le ressentons. Il est donc sain de continuer à agir comme si nous ne le savions pas mais le savoir et volontairement l'ignorer n'est-ce pas prétendre à court-circuiter le Tout-Puissant, ce qui ne se peut décemment pas. Ouroboros.
Mon humble avis.
+Yannick Reclus
Tu fais état d'une simple double-composition de l'humain, de son être, et au vu de ton argumentaire discursif, je pourrais fort bien utilisé le terme d'essence, et par là même tu fais fi, pour te reprendre, de sa construction historico-sociale.
Ensuite, si je devais t'exposer autre chose qui ne me paraît juste dans ce que j'ai lu, c'est ta conception de la « pensée de gauche ». Entendu dans mon sens, ce concept est bien trop large pour s'appuyer dessus, et dire en suivant qu'elle se place globalement dans une perspective « moutonnière ». Rien qu'au sein de la pensée anarchiste, que nous ne placerons pas à droite mais à gauche, pour ma part au moins ( même si cette représentation spatiale duale porte atteinte au contenu ), de l'association d'égoïste de Stirner, à, comme tu l'as précisé, l'entraide kropotkinienne, il y a une complémentarité. Donc je ne sais pas par quel bord, si ce n'est par celui du communisme, aborder ton propos. Tu en fais mention, mais tu le regroupe failliblement sous la mention globalisante de pensée de gauche, ce qui me semble être une grave erreur.
De plus, comme tu l'as « laborieusement » exposé, l'hybridation de l'homme, schématiquement : égoisme ( préféré à individualisme, dans le sens où ce premier terme prend une dimension plus egocentrée et non pas atomistique même si je ne l'écarterai pas totalement ) / altruisme, « fixé par Dieu », là encore je ne sais si tu parles de la construction historique de la multitude par son auto-façonnement, pour utiliser la terminologie de Lordon, ou réellement d'une pensée immanentiste ou ontologique, ne suffit pas, comme tu le prétends, à encore scruter les possibilités du dépérissement de l'État, et d'explorer la faisabilité d'un certain système « « communiste » ». Elle n'est qu'une pierre ajoutée à un édifice utopiste.
Mais, dans ton constat final, fortement biblique, fataliste et dystopique à outrance ( et tu m'excuseras dix fois si je n'ai pas su voir ton ironie ) , voiler les yeux de la vérité, ou seulement bloquer la route à son intuition, et cela volontairement, selon tes dires, en ayant la pensée «claire» d'un destin imaginaire, me paraît être une pensée si faible que pour enfoncer le clou je te dirai : « La détresse leur est nécessaire ! » (§56, Le Gai savoir)
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Le Eddy Malou blanc
ruclips.net/video/CzAUwqTo5WA/видео.html
ZZzzZZzz, ce mec doit pratiquer un onanisme assidu...
discours incompréhensible... ..il faut plus d hôpitaux pour malades m. qu universités ..paris 8 était bien autre chose ..qui a compris .....? Il faut faire revivre paris 8 la ou elle était ..
Pourquoi le dieu de Spinoza n'a épique allié.
Le dieu de Spinoza est sur place. Quelle épique allié échoué est la description de Spinoza de son dieu de façon théiste, donnant ainsi théistes avec un concept anthropomorphique d'un dieu l'occasion d'assimiler leur concept avec son concept, étendant ainsi le doute de l'humanité en ce qui concerne le concept humain de l'existence de Dieu.
Ce qui suit est de l'école de vidéo de la vie sur Spinoza.
L'éthique est l'un des plus beaux livres du monde. Il contient une perspective apaisante, une prise de rappel sur la vie. Il remplace le dieu de la superstition avec un panthéisme sage et consolant, et pourtant, l'œuvre de Spinoza a complètement échoué à convaincre tout, mais quelques-uns d'abandonner la religion traditionnelle et de se déplacer vers un rationaliste et sage système de croyance.
Spinoza ne comprend pas, comme tant de philosophes avant et depuis, que ce qui amène les gens à la religion est non seulement la raison, mais beaucoup plus important; l'émotion, la croyance, la peur et la tradition. Les gens collent à leurs croyances parce qu'ils aiment le rituel, les repas en commun, les traditions annuelles, la belle architecture, la musique, la belle langue dans leur synagogue [ou à la mosquée,] ou à l'église.
Ethique de Spinoza contient sans doute beaucoup plus de sagesse que la bible, mais parce qu'il vient sans aucun de la structure de soutien de la bible, il reste un travail marginal ...
Si nous sommes toujours à remplacer les croyances traditionnelles nous devons nous rappeler à quel point la religion est aidé par le rituel, la tradition, l'art, et un désir d'appartenir, toutes les choses que Spinoza, malgré sa grande sagesse, ignoré à ses risques et périls, dans sa tentative audacieuse pour remplacer la bible.
Le dieu de Spinoza n'a épique allié parce qu'il décrit son dieu comme un '' autre entité '', et entité extérieure à l'individu, et ce fut son erreur critique.
Que vous choisissiez ou non de '' croire '' en un dieu ou des dieux, le spiritisme, le mysticisme, la magie, les miracles, ou quelque chose de surnaturel, qui est votre personne '' croyance '' sélection.
Aucun de ces '' croyances '' sont nécessaires pour vous de venir à une compréhension complète de unendarkenment humain individuel, l'illumination humaine individuelle, individuelle heureux-ness humaine.
Je parle de ce que chaque 'homme' 'sage' et '' sage '' femme, chaque '' sage '' et '' voyante '', tout au long de l'histoire humaine, a tenté d'élucider pour l'humanité.
Vous n'êtes pas obligé de '' croire '' dans tout ce que vous-même pour atteindre unendarkenment humain individuel, l'illumination humaine individuelle, individuelle heureux-ness humaine.
l'utilisation rigoureuse quotidienne de votre intelligence, de conscience, et les capacités de bon sens est tout ce qui est nécessaire.
Je suis un homme ordinaire. Si je peux le faire, tout le monde peut.
Appartenir à une communauté d'intelligent, recherche de la vérité, les individus est extrêmement plus gratifiant que l'appartenance à l'une des organisations aussi-ran de gens qui ne pensent qu'à ce qu'ils savent.
Stephen Kirby thehappierproject@gmail.com
Ayayay... "Spinoza ne comprend pas..."
@@moforibalait Surtout pour dire une banalité dont Spinoza parle dans le TTP.
l'Immanence du Souffle de l'univers infini est Partout ..
Ce ne saurait être une entité particuliere , ce qui serait une réduction, mais ..
et contrairement à ce que tu crois, baruch spinoza à jamais personnifieé ce souffle en en faisant une entité ..
@@pierre3982 You would have to explain yourself more clearly if you want to make a point that my thinking, not my ''belief'', is contrary to Spinosa's.
" les poètes troublent leurs eaux pour qu'elles paraissent plus profondes " Nietzsche.
On peut en dire autant de certains philosophes à l'image de Lordon qui use d'une technicité exagérée.
On voit la différence entre un Finkelfraut et Lordon (je prends l'exemple à dessein, puisque Lordon a du mal à comprendre le premier dans le sectarisme intellectuel qui le caractérise).
Le premier a l'adresse précise du langage, l'élégance intellectuelle de sa réversibilité, le jeu brillant du contrepied.
Le second le *charabia universitaire* de ceux qui ne savent pas exprimer leur pensée et qui dissimulent la brouillonerie de leur charabia dans la monadité pré socratique du... vous voyez? Donc, poubelle!
Apprenez à vous exprimer Monsieur Lordon, apprenez la psychologie humaine, nouez avec l'élégance littéraire de savoir vous exprimez et sortez du *laborieux estudiantin* dans lequel les professeurs plonge leurs ouailles pour mieux leur faire ignorer le réel.
Relisons Machiavel, Toqueville, Freud, Orwell ou Finkelkraut, nous apprendrons plus, sur le fond comme sur la forme, pour renouer avec une pensée aussi vivante que précise et fluide de vrais penseurs.
Rejetons les *inepties absolument honteuses d'universitaires* qui n'ont que pour seuls titres celui de figer la pensée et de flatter leur ego *au milieu d'étudiants tétanisée* par une *immobilité logorrhéique* insoutenable.
Rejetons la *ruine de la pensée* dont Monsieur Lordon est un triste représentant.
Savoir parler est l'exigence du professeur. Deux heures avec un élève professant sont deux heures de perdues.
Monsieur Lordon ne m'aura fait perdre que 24 minutes de ma vie, heureusement.
Si vous vouliez être crédible, fallait pas citer Finkielkraut
Freez WarZW votre commentaire souligne votre rare stupidité et le *manque de crédibilité qui est plus vôtre que mien* , tant le propos ne repose sur rien que sur un *air de lynchage très à la mode* que vous répétez avec un *talent d'imitation* qui n'a d'égal que votre *absence d'originalité* .
*Lisez des livres* au lieu de recracher ce que vos *sectateurs d'une extrême gauche dogmatique, manipulée et manipulatrice* vous apprennent, devenez petits chanteurs dans une chorale si vous aimez hurler avec des chiots qui se prennent pour des loups.
Ma crédibilité, contrairement à vous, est précisément d'avoir lu et écouté attentivement Alain Finkelkraut, et de ne pas me baser sur les opinions d'autrui.
Dois je rappeler également les *contradictions fachisantes de Frédéric Lordon* , embourbé dans sa mauvaise philosophie, qui d'un côté se félicite de la dimension démocratique de Nuits Debout pour aussitôt en récuser le caractère lorsqu'il s'agit *d'empêcher **_physiquement_* Alain Finkelkraut de rester sur place. Deux poids deux mesures, *l'étoile jaune* remise au goût du jour par Nuit Debout.
ND et la police sont les deux faces de manifestations fachistes qui haïssent *en meutes* les individus.
Voilà, réfléchissez donc un peu avant de ricaner.
*Vos ricanements ne sont ni une opinion ni une pensée* , mais l'expression d'un *aboiement fachiste décérébré* en ce qu'il appelle d'autres aboiements, ou jappement devrais je dire vous concernant, vous permettant l'économie de la raison. Rudolf Heiss est surement votre idole, donc continuer de ricaner, cela vous va bien, en tant que *petit nazillon d'extrême gauche* .
La substance prime sur la forme.
@@pierrekjh7761 Le truc, c'est que Lordon parle beaucoup plus vite que Finkelkrault. Lordon pratique également l'ironie, elle fait partie de son attirail verbal.
Si on se demandait ce qu'un éditorialiste de Cnews pourrait penser en écoutant cette conf, on a la réponse... 😂