Quel lyrisme, quelles pointes de pénétration dans le sanctuaire du vert ! Gracq s'approche du mystère et des visages multiples de la nature et de nos relations à Elle et par incursions distillées à l'autre et à nos sens à un point qu'on avait rarement atteint ! Et la voix profonde d'Alain Lanavère sert admirablement ces pages fascinantes. Vrais transports ! Merci !
Kervilou, ce sont 2 écrivains dont l'art est aux antipodes. Camus m'a fortement marqué à l'adolescence, bien que je doive bien vous avouer que Gracq m'a beaucoup plus impressionné dans le temps et les vibrations. Sans doute le plus puissant fleuron des lettres françaises du 20°
Quel lyrisme, quelles pointes de pénétration dans le sanctuaire du vert ! Gracq s'approche du mystère et des visages multiples de la nature et de nos relations à Elle et par incursions distillées à l'autre et à nos sens à un point qu'on avait rarement atteint ! Et la voix profonde d'Alain Lanavère sert admirablement ces pages fascinantes. Vrais transports ! Merci !
Magnifique présentation de ce roman et des extraits de Lettrines par Alain Lanavere, merci à lui pour cette presentation tres érudite et très bien lue
julien, petit génie solitaire secret ???????????
quand je pense que ....camus a eu le nobel !!!!!!!! un nain !
Kervilou, ce sont 2 écrivains dont l'art est aux antipodes. Camus m'a fortement marqué à l'adolescence, bien que je doive bien vous avouer que Gracq m'a beaucoup plus impressionné dans le temps et les vibrations. Sans doute le plus puissant fleuron des lettres françaises du 20°