Jean-Jacques Szczeciniarz présente très bien la problématique des inégalités de Bell, sans disposer du temps nécessaire pour développer ce sujet particulièrement intéressant. La notion de corrélations non locales est seulement évoquée, ce qui n'est pas étonnant vu la complexité du sujet. Il n'en demeure pas moins que cette thématique du hasard et des corrélations avec variables cachées est passionnante. En effet, nous sommes ici à la frontière des mathématiques, de la philosophie et de la physique quantique. Cet exposé, relativement formel, sort des sentiers battus de la vulgarisation scientifique et donne envie d'aller un peu plus loin dans ce domaine.
@mariodelauway2114 Merci pour votre commentaire et l'intérêt porté à TimeWorld ! Le prochain congrès TimeWorld aura lieu en novembre au Cnam à Paris. timeworldevent.com/2023/fr/ Venez nous y retrouver !
à la frontière aussi de la mécanique statistique / thermodynamique / mécanique vibratoire ? avec lexplication des corrélations non locales par les résonances de poincaré (prigogine), ou encore avec la rythmodynamique d'Ivanov, ou du modèle de briogle bohm ???
@jean-francoisroussy Merci pour votre commentaire et l'intérêt que vous portez aux vidéos de la chaîne @Ideas in Science. Vous pouvez nous soutenir en vous abonnant gratuitement !
l'univers dans son existence, suit il notre évolution ou est-ce l'inverse,... ?. nous minons de l'espace temps pour notre univers et forcement nous subissons se que nous minons, en l'occurrence le temps, l'homme étant incapable de pratiquer une petite partie de c. merci. merci!!!!.
Certains scientifiques font de la vulgarisation en utilisant leur talent de conteur. Ils fournissent des explications toujours simples pour être bien compris et arrivent ainsi à captiver leur auditoire. Mais les sujets traités ne sont abordés que très superficiellement, et à la fin de leur exposé on se rend compte que l'on n’a presque rien appris. Ici, Jean-Jacques Szczeciniarz présente un concept majeur de la physique quantique, en partant des inégalités de Bell. En peu de temps, il présente un sujet rarement abordé, en le replaçant dans son contexte historique. En outre, son idée de partir des inégalités de Bell est logique puisque les travaux d'Alain Aspect ont commencé après sa rencontre avec John Bell, à Genève dans les années 1975.
Merci. On peut hypothétiser un espace parallèle de la Quantique où, suite à une interaction où elles sont nées, deux particules filles sont toujours au même lieu dans l'espace Quantique. Ce serait largement le cas dans les bulles vides d'espace-temps de la 'mousse' de l'Univers. Mais dans les parois des bulles, parois formées de galaxies, la densité de matière provoquerait une décorrelation massive qui créerait un effet de localité dans lequel nous vivons (heureusement car ça implique la notion de responsabilité donc de Morale). La pensée dialectique (non univoque) permet de soutenir cela. Le problème alors est qu'aux très hautes densités du Bigbang et des trous noirs la Quantique et la Relativité générale sont incompatibles ! N'empêche que c'est là, Eppur si muove ! Alors...et si l'Univers était un objet foncièrement dialectique comme l'objet soleil implosif et explosif, l'objet hémoglobine oxygénée puis carboxy, l'objet automobile doté accélérateur et d'un frein... Oui mais comme la contradiction est toujours spécifique et ne peut s'inventer d'avance, on n'est pas sorti de l'auberge !
La connaissance de l'organisation de l'univers ne sera jamais établie, car elle peut être vue de différentes manières selon l'entité intelligente qui l'étudie. Tout au plus, on peut essayer de construire un modèle représentatif, global et unifié, qui nous permettra de réaliser des avancées technologiques majeures. La notion d'intrication quantique semble aujourd'hui mystérieuse, comme l'a été celle de la gravitation avant que la théorie de la relativité en fournisse l'explication. Ce qui est cependant certain, c'est que notre vision tronquée et dichotomique de l'espace-temps, produite par notre cerveau, nous empêche de voir le monde quantique sous une forme simple et logique.
@@mariodelauway2114 beaucoup trop de 'certitudes' dans vos énoncés. Ce n'est pas du tout le réalisme dialectique qui est très terre à terre. Je ne connais pas d'entités que vous supposez. Le principe de l'action et de la réaction n'est pas une entité. C'est une unité de contraires découverte par Galilée et Newton. Très concrète = fusée.
Qu'est-ce que c'est mal expliqué ! On dirait un Powerpoint d'un élève de 3ieme, pas de retour à la ligne, pas de paragraphes, pas de schéma, plein de fautes de frappes .... C'est quoi ce travail ? C'est comme ça que vous travaillez en labo ?
Impossible a travers son exposé de faire la connexion logique entre hasard fondamental et intrication comme il le souhaite au départ. Du coup ni l'un ni l'autre ne sont non plus bien expliqués, dommage
Jean-Jacques Szczeciniarz présente très bien la problématique des inégalités de Bell, sans disposer du temps nécessaire pour développer ce sujet particulièrement intéressant. La notion de corrélations non locales est seulement évoquée, ce qui n'est pas étonnant vu la complexité du sujet. Il n'en demeure pas moins que cette thématique du hasard et des corrélations avec variables cachées est passionnante. En effet, nous sommes ici à la frontière des mathématiques, de la philosophie et de la physique quantique. Cet exposé, relativement formel, sort des sentiers battus de la vulgarisation scientifique et donne envie d'aller un peu plus loin dans ce domaine.
@mariodelauway2114 Merci pour votre commentaire et l'intérêt porté à TimeWorld ! Le prochain congrès TimeWorld aura lieu en novembre au Cnam à Paris. timeworldevent.com/2023/fr/
Venez nous y retrouver !
à la frontière aussi de la mécanique statistique / thermodynamique / mécanique vibratoire ? avec lexplication des corrélations non locales par les résonances de poincaré (prigogine), ou encore avec la rythmodynamique d'Ivanov, ou du modèle de briogle bohm ???
Merci Monsieur Szczeciniarz c'est un sujet difficile, et qui pourrait être beaucoup plus développé faute de temps
@jean-francoisroussy Merci pour votre commentaire et l'intérêt que vous portez aux vidéos de la chaîne @Ideas in Science. Vous pouvez nous soutenir en vous abonnant gratuitement !
Merci.
Non , merci !
l'univers dans son existence, suit il notre évolution ou est-ce l'inverse,... ?. nous minons de l'espace temps pour notre univers et forcement nous subissons se que nous minons, en l'occurrence le temps, l'homme étant incapable de pratiquer une petite partie de c. merci. merci!!!!.
En plus des fautes d'orthographe, faute dans la formule à 18:34 dans le calcul de probabilité, le terme suivant est en double
P(a=b | 1,0)
Interessant mais laborieux. L'intention est louable. Mais la vulgarisation n'est pas son metier. Il ne transmet que son malaise.
Certains scientifiques font de la vulgarisation en utilisant leur talent de conteur. Ils fournissent des explications toujours simples pour être bien compris et arrivent ainsi à captiver leur auditoire. Mais les sujets traités ne sont abordés que très superficiellement, et à la fin de leur exposé on se rend compte que l'on n’a presque rien appris. Ici, Jean-Jacques Szczeciniarz présente un concept majeur de la physique quantique, en partant des inégalités de Bell. En peu de temps, il présente un sujet rarement abordé, en le replaçant dans son contexte historique. En outre, son idée de partir des inégalités de Bell est logique puisque les travaux d'Alain Aspect ont commencé après sa rencontre avec John Bell, à Genève dans les années 1975.
Merci. On peut hypothétiser un espace parallèle de la Quantique où, suite à une interaction où elles sont nées, deux particules filles sont toujours au même lieu dans l'espace Quantique. Ce serait largement le cas dans les bulles vides d'espace-temps de la 'mousse' de l'Univers. Mais dans les parois des bulles, parois formées de galaxies, la densité de matière provoquerait une décorrelation massive qui créerait un effet de localité dans lequel nous vivons (heureusement car ça implique la notion de responsabilité donc de Morale). La pensée dialectique (non univoque) permet de soutenir cela.
Le problème alors est qu'aux très hautes densités du Bigbang et des trous noirs la Quantique et la Relativité générale sont incompatibles ! N'empêche que c'est là, Eppur si muove ! Alors...et si l'Univers était un objet foncièrement dialectique comme l'objet soleil implosif et explosif, l'objet hémoglobine oxygénée puis carboxy, l'objet automobile doté accélérateur et d'un frein... Oui mais comme la contradiction est toujours spécifique et ne peut s'inventer d'avance, on n'est pas sorti de l'auberge !
La connaissance de l'organisation de l'univers ne sera jamais établie, car elle peut être vue de différentes manières selon l'entité intelligente qui l'étudie.
Tout au plus, on peut essayer de construire un modèle représentatif, global et unifié, qui nous permettra de réaliser des avancées technologiques majeures.
La notion d'intrication quantique semble aujourd'hui mystérieuse, comme l'a été celle de la gravitation avant que la théorie de la relativité en fournisse l'explication.
Ce qui est cependant certain, c'est que notre vision tronquée et dichotomique de l'espace-temps, produite par notre cerveau, nous empêche de voir le monde quantique sous une forme simple et logique.
@@mariodelauway2114 beaucoup trop de 'certitudes' dans vos énoncés. Ce n'est pas du tout le réalisme dialectique qui est très terre à terre. Je ne connais pas d'entités que vous supposez. Le principe de l'action et de la réaction n'est pas une entité. C'est une unité de contraires découverte par Galilée et Newton. Très concrète = fusée.
Qu'est-ce que c'est mal expliqué ! On dirait un Powerpoint d'un élève de 3ieme, pas de retour à la ligne, pas de paragraphes, pas de schéma, plein de fautes de frappes ....
C'est quoi ce travail ? C'est comme ça que vous travaillez en labo ?
Impossible a travers son exposé de faire la connexion logique entre hasard fondamental et intrication comme il le souhaite au départ. Du coup ni l'un ni l'autre ne sont non plus bien expliqués, dommage
L'art d’être obscur en faisant semblant de dire des choses qui ont un sens
Merci.