Bonjour Mr Fabre, je suis tombée par le plus grand des hasards sur vos vidéos. Je me souviens qu'à l'époque ou j'étais votre élève (cela remonte à 2 décennies au conservatoire d'Evry) , j'étais grandement attentive et passionnée par vos cours , qui m'ont ouvert des perspectives nouvelles et insoupçonnées de chaque oeuvre pianistique ou symphonique que j'étudiais. Me permettant de ne pas être seulement une simple technicienne du piano mais bel et bien d'apprendre et de comprendre un texte et d'en assimiler tous ces aspects et ces règles de théories, d'harmonies, de rythmes pour non seulement m'ouvrir les portes de l'interprétation mais également celles de l'imprégnation, du ressenti. Grâce à internet, c'est avec un grand plaisir que je peux visionner vos vidéos et m'apercevoir que vous êtes toujours animé par cette même passion, ce même amour pour la musique et la pédagogie. Bravo à vous, et en vous remerciant !!!!!
Marina! Quel bonheur! Heureux de te retrouver. Après toutes ces années... je me souviens très bien de ton travail et de ton implication musicale. C'est avec plaisir que je communique désormais sur internet, et si tu fais partie de mes auditeurs spectateurs, je m'en réjouis vraiment.. on ne se débarrasse pas si facilement de moi finalement. Tiens-moi éventuellement au courant de ton travail, ça me ferait très plaisir, via le mail de la chaîne. Merci pour ton message! Jean-Louis
"La contrainte est source de stimulation de l'imagination...." (42ème minute) Bravo ! Il y a pour moi des révélations dans ce cours... De même au début, il y a une belle et simple définition de la courtoisie. J'adore.
Tres interressant et important d ecouter chaque mot et observer chaque geste et surtout sentir chaque emotion dans vos.propos et la facon avec laquelle vous entrainer l interesse a etre tres synchroniser avec Vous pour ne pas s egarer.et c est la La MAGIE du gout que l on prend a suivre vos precieux cours. BRAVO MONSIEUR ET MERCI. CHERIFBLUES.
Les digressions sont intéressantes également, comme cette référence à la courtoisie du compositeur du XVIIIe s, qui est abandonnée par les compositeurs romantiques
NE CHANGEZ PAS S IL VOUS PLAIT DE FACON.. ELLE SPONTANNEE RICHE TRES EFFICACE. J ESPERE QUE MA FILLE REPRENDRA LE PIANO ((11 ANS DE CONSERVATOIR) JE LUI AI ENVOYEE VOS ANALYSE. CA VA PEUT ETRE L ENCOURAGER A REPRENDRE LE PIANO. THANK YOU SIR. CHERIFBLUES
Bonjour, en tant qu'adulte, à qui s'adresser pour pouvoir suivre des cours de micro-analyse ? J'aimerais énormément assister à des cours de ce type. merci
J'ai une question concernant l'enchainement I chifré 5 et II chifré 2 : si la position de l'accord de tonique est la suivante : do-do-mi-sol, quel seront les notes de l'accord suivant ? Peut-on tolérer la quinte consécutive ? Faut-il que toutes les voix descendent et faire do-la-ré-fa, ou faut-il tout simplement éviter cet enchainement avec cette position ? C'est aussi valable pour l'enchainement do chifré 5, et fa chiffré 6 puisque si on a la même position que tout à l'heure on ne peut pas faire comme si c'était un fa chiffré 5 auquel on remplace le 5 par le 6. En espérant être clair. Merci beaucoup cependant pour vos cours et vos analyses, j'attends particulièrement celle de la sonate pathétique.
Bonjour, non, à partir de la position do do mi sol, l'écriture do ré fa la serait très incorrecte. L'écriture requise en effet est bien do la ré fa. Il en va de même pour l'enchaînement tonique-accord du IIème degré sur fa, on aurait do do mi sol, puis fa la ré fa. J'en profite pour faire remarquer, sujet apparemment différent, mais complètement lié en fait, entre les deux écritures de l'enchaînement tonique-sous-dominante, enchaînement entre deux accords ayant une note commune, ici le do. J'ai coutume de nommer écriture A, quand la note commune est gardée à la même voix. On a donc do do mi sol, puis fa do fa la, le do a été chanté deux fois par le ténor. L'écriture B par contre est la suivante: do do mi sol, puis fa la do fa. Le ténor est descendu: do la, l'alto également: mi do, et de même le soprano: sol fa. Cette écriture est à rattacher à do do mi sol, puis ré la ré fa, et également à do do mi sol, puis do la ré fa qui est votre question. Ces observations me semblent importantes. Merci de votre intérêt pour les vidéos! bien cordialement Jean-Louis Fabre
Bonjour, J'ai un problème de compréhension avec le chiffrage +4 de la 7ième de dominante (minute 50 et suivantes de la video). Je suis d'accord que c'est bien accord de 7ième de dominante. Mais pour moi le chiffrage +4 indiquerait un fa naturel et non un fa#. La quarte de Do est bien fa ? et la quarte augmentée Fa#. Ne faudrait-il pas chiffrer +#4 ? Je vous remercie pour votre éclairage sur ce point. AO
Vous faites allusion à l'accord de septième de dominante dans son état de dernier renversement. Le do à la basse porte les trois sons ré fa dièse la. Le fa dièse, par rapport au do de la basse, est bien une quarte augmentée. On lui attribue d'ailleurs les trois termes : quarte augmentée, ou triton, ou quarte sensible. Trois manières de désigner le même élément. Ce fa dièse peut être chiffré indifféremment #4 ou +4. #4 indique simplement que la quarte est dièse ; +4 indique que le fa dièse est plus précisément la sensible de la tonalité, ici de sol mineur. Les deux chiffrages ne se contredisent pas. J'espère vous avoir éclairé.
@@gradusadparnassumfr Bonjour, merci bien pour votre explication parfaitement limpide. Mon incompréhension venait du fait que je me posais la question : et si à la place du do, nous avions eu do #, quel aurait été le chiffrage ? Je me suis mis au clavier et j'ai compris que nous n'étions plus sur une septième de dominante !!! et avec surtout deux notes qui frottent : do dièse et ré. Avec mes remerciements renouvellés.
Avec do dièse à la basse, vous voulez alors parler de l'accord do dièse ré fa dièse la. Il s'agit alors du dernier renversement de l'accord de septième majeure ré fa dièse la do dièse. Il est donc chiffré 2. C'est un accord dit de septième d'espèce. Si, par contre, vous parlez d'un do dièse chiffré +4. On a alors l'accord do dièse ré dièse fa double-dièse la dièse.
Pourquoi ne fait-tu pas une analyse d'une romantique du XIXème siècle comme : Clair de Lune de Debussy ou la Valse du Petit Chien de Chopin... Ou alors une du début du siècle dernier tel que : le Bolero de Ravel...
BOnjour, encore merci mille fois de nous partager toutes vos connaissances ! Je me posais a question suivante : Pourquoi il n'y a qu'un bemol à la clef, alors que nous sommes en ré mineur. Car à ma connaissances (d'un bien humble débutant pianiste) le mode de ré mineur harmonique possède deux bémols (si et le 2ré) et le mode melodique (un bemol sur le deuxieme ré) merci de votre réponse bonne continuation
Salut à vous, je viens de lire votre question, et certes, elle ne m'était pas adressée, mais je me dis que en tant que moi même apprenti je peux contribuer étant donné que j'ai par le passé été confronté à ce problème. Bien voilà, pour reconnaître la tonalité, en fonction de l'armureil ya ce qu'on appelle le cycle de quintes -- la Gamme naturelle sans altération (le Do Majeur) - Lorsqu'il ya les # à la clé - Lorsqui'l ya des bémols à la clé -1# --> Sol Maj -1b --> Fa maj -2# --> Ré Maj -2b --> Sib Maj -3# --> La Maj -3b --> Mib Maj -4# --> Mi Maj -4b --> Lab Maj -5# --> Si Maj -5b --> Réb Maj -6# --> Fa# Maj -6b --> Solb Maj -7# --> Do# Maj -7b ---> Do b maj Maintenant étant donné qu'il existe aussi des modes mineurs, pour obtenir le nom di mode mineur en fonction de l'armure il faut abaisser d'1 Ton + 1/2 ton le nom du majeur. Exemple: sans Altération à lArmure on est soit en Do Majeur, soit en La mineur car le La est la note que l'on obtient en abaissant le Do d'1 ton et demi; la relative mineure du Sol (1# à la clé) c'est le Mi et Donc pour le Fa Maj (1b à la clé) c'est le Ré mineur. Maintenant comme l'a dit Monsieur Fabre, l'armure seule ne suffit pas pour dire si on est dans tel ou tel autre ton de tel mode il ya d'autres éléments encore.
Beau travail, mais peut-être serait-il bien d'être un peu plus circonscrit, 20 minutes pour entendre dire qu'on commence par un accord fondamental de ré mineur... Il faut à mon avis avancer plus dans l'oeuvre en retirant un peu des paroles inutiles. Sinon, la démarche est généreuse. Merci
Je peux comprendre. Et pourtant, c'est cette configuration-là qui me fait préférer ces cours. On a le temps de penser ce qu'il dit sans avoir à mettre pause sans arrêt. ^^
Merci infiniment pour vos cours de grande qualité que vous mettez à disposition de tous ! Vous faites honneur à votre art.
Bonjour Mr Fabre, je suis tombée par le plus grand des hasards sur vos vidéos. Je me souviens qu'à l'époque ou j'étais votre élève (cela remonte à 2 décennies au conservatoire d'Evry) , j'étais grandement attentive et passionnée par vos cours , qui m'ont ouvert des perspectives nouvelles et insoupçonnées de chaque oeuvre pianistique ou symphonique que j'étudiais. Me permettant de ne pas être seulement une simple technicienne du piano mais bel et bien d'apprendre et de comprendre un texte et d'en assimiler tous ces aspects et ces règles de théories, d'harmonies, de rythmes pour non seulement m'ouvrir les portes de l'interprétation mais également celles de l'imprégnation, du ressenti. Grâce à internet, c'est avec un grand plaisir que je peux visionner vos vidéos et m'apercevoir que vous êtes toujours animé par cette même passion, ce même amour pour la musique et la pédagogie. Bravo à vous, et en vous remerciant !!!!!
Marina! Quel bonheur! Heureux de te retrouver. Après toutes ces années... je me souviens très bien de ton travail et de ton implication musicale. C'est avec plaisir que je communique désormais sur internet, et si tu fais partie de mes auditeurs spectateurs, je m'en réjouis vraiment.. on ne se débarrasse pas si facilement de moi finalement. Tiens-moi éventuellement au courant de ton travail, ça me ferait très plaisir, via le mail de la chaîne.
Merci pour ton message!
Jean-Louis
"La contrainte est source de stimulation de l'imagination...." (42ème minute) Bravo ! Il y a pour moi des révélations dans ce cours... De même au début, il y a une belle et simple définition de la courtoisie. J'adore.
Je suis chercheur en mathematiques donc je ne pourrais pas contredire l'idee de la contrainte stimulant l'imagination...
Tres interressant et important d ecouter chaque mot et observer chaque geste et surtout sentir chaque emotion dans vos.propos et la facon avec laquelle vous entrainer l interesse a etre tres synchroniser avec Vous pour ne pas s egarer.et c est la La MAGIE du gout que l on prend a suivre vos precieux cours. BRAVO MONSIEUR ET MERCI. CHERIFBLUES.
un grand bravo pour les explications et la pédagogie
Merci beaucoup pour toutes les analyses ça nous apporte énormément !!
merci infiniment pour votre travail
Absolument génial : merci !
Merci beaucoup pour vos courses. ils sont très interessants et pédagogique. Salutations depuis l'Argentine
Les digressions sont intéressantes également, comme cette référence à la courtoisie du compositeur du XVIIIe s, qui est abandonnée par les compositeurs romantiques
J’adore ! Merci
Une analyse du K 355?
Bonjour, serait-il possible d'analyser la Ballade en Sol mineur de Chopin ?
Merci beaucoup ! :)
NE CHANGEZ PAS S IL VOUS PLAIT DE FACON.. ELLE SPONTANNEE RICHE TRES EFFICACE. J ESPERE QUE MA FILLE REPRENDRA LE PIANO ((11 ANS DE CONSERVATOIR) JE LUI AI ENVOYEE VOS ANALYSE. CA VA PEUT ETRE L ENCOURAGER A REPRENDRE LE PIANO. THANK YOU SIR. CHERIFBLUES
Bonjour, en tant qu'adulte, à qui s'adresser pour pouvoir suivre des cours de micro-analyse ? J'aimerais énormément assister à des cours de ce type. merci
J'ai une question concernant l'enchainement I chifré 5 et II chifré 2 : si la position de l'accord de tonique est la suivante : do-do-mi-sol, quel seront les notes de l'accord suivant ? Peut-on tolérer la quinte consécutive ? Faut-il que toutes les voix descendent et faire do-la-ré-fa, ou faut-il tout simplement éviter cet enchainement avec cette position ?
C'est aussi valable pour l'enchainement do chifré 5, et fa chiffré 6 puisque si on a la même position que tout à l'heure on ne peut pas faire comme si c'était un fa chiffré 5 auquel on remplace le 5 par le 6.
En espérant être clair.
Merci beaucoup cependant pour vos cours et vos analyses, j'attends particulièrement celle de la sonate pathétique.
Bonjour,
non, à partir de la position do do mi sol, l'écriture do ré fa la serait très incorrecte. L'écriture requise en effet est bien do la ré fa. Il en va de même pour l'enchaînement tonique-accord du IIème degré sur fa, on aurait do do mi sol, puis fa la ré fa.
J'en profite pour faire remarquer, sujet apparemment différent, mais complètement lié en fait, entre les deux écritures de l'enchaînement tonique-sous-dominante, enchaînement entre deux accords ayant une note commune, ici le do. J'ai coutume de nommer écriture A, quand la note commune est gardée à la même voix. On a donc do do mi sol, puis fa do fa la, le do a été chanté deux fois par le ténor. L'écriture B par contre est la suivante: do do mi sol, puis fa la do fa. Le ténor est descendu: do la, l'alto également: mi do, et de même le soprano: sol fa.
Cette écriture est à rattacher à do do mi sol, puis ré la ré fa, et également à do do mi sol, puis do la ré fa qui est votre question.
Ces observations me semblent importantes.
Merci de votre intérêt pour les vidéos!
bien cordialement
Jean-Louis Fabre
Bonjour,
J'ai un problème de compréhension avec le chiffrage +4 de la 7ième de dominante (minute 50 et suivantes de la video).
Je suis d'accord que c'est bien accord de 7ième de dominante. Mais pour moi le chiffrage +4 indiquerait un fa naturel et non un fa#. La quarte de Do est bien fa ? et la quarte augmentée Fa#. Ne faudrait-il pas chiffrer +#4 ?
Je vous remercie pour votre éclairage sur ce point.
AO
Vous faites allusion à l'accord de septième de dominante dans son état de dernier renversement. Le do à la basse porte les trois sons ré fa dièse la. Le fa dièse, par rapport au do de la basse, est bien une quarte augmentée. On lui attribue d'ailleurs les trois termes : quarte augmentée, ou triton, ou quarte sensible. Trois manières de désigner le même élément. Ce fa dièse peut être chiffré indifféremment #4 ou +4. #4 indique simplement que la quarte est dièse ; +4 indique que le fa dièse est plus précisément la sensible de la tonalité, ici de sol mineur. Les deux chiffrages ne se contredisent pas. J'espère vous avoir éclairé.
@@gradusadparnassumfr Bonjour, merci bien pour votre explication parfaitement limpide.
Mon incompréhension venait du fait que je me posais la question : et si à la place du do, nous avions eu do #, quel aurait été le chiffrage ?
Je me suis mis au clavier et j'ai compris que nous n'étions plus sur une septième de dominante !!! et avec surtout deux notes qui frottent : do dièse et ré.
Avec mes remerciements renouvellés.
Avec do dièse à la basse, vous voulez alors parler de l'accord do dièse ré fa dièse la. Il s'agit alors du dernier renversement de l'accord de septième majeure ré fa dièse la do dièse. Il est donc chiffré 2. C'est un accord dit de septième d'espèce.
Si, par contre, vous parlez d'un do dièse chiffré +4. On a alors l'accord do dièse ré dièse fa double-dièse la dièse.
@@gradusadparnassumfr Merci bien pour ce complément.
"étalement" peut être remplacé par "déploiement" qui n'est pas connoté. (amitiés et félicitations).
Pourquoi ne fait-tu pas une analyse d'une romantique du XIXème siècle comme : Clair de Lune de Debussy ou la Valse du Petit Chien de Chopin... Ou alors une du début du siècle dernier tel que : le Bolero de Ravel...
BOnjour,
encore merci mille fois de nous partager toutes vos connaissances !
Je me posais a question suivante :
Pourquoi il n'y a qu'un bemol à la clef, alors que nous sommes en ré mineur. Car à ma connaissances (d'un bien humble débutant pianiste) le mode de ré mineur harmonique possède deux bémols (si et le 2ré) et le mode melodique (un bemol sur le deuxieme ré)
merci de votre réponse
bonne continuation
Regardez la video 1.1 du maitre sur les gammes et vous aurez votre réponse.
Salut à vous, je viens de lire votre question, et certes, elle ne m'était pas adressée, mais je me dis que en tant que moi même apprenti je peux contribuer étant donné que j'ai par le passé été confronté à ce problème.
Bien voilà, pour reconnaître la tonalité, en fonction de l'armureil ya ce qu'on appelle le cycle de quintes
-- la Gamme naturelle sans altération (le Do Majeur)
- Lorsqu'il ya les # à la clé - Lorsqui'l ya des bémols à la clé
-1# --> Sol Maj -1b --> Fa maj
-2# --> Ré Maj -2b --> Sib Maj
-3# --> La Maj -3b --> Mib Maj
-4# --> Mi Maj -4b --> Lab Maj
-5# --> Si Maj -5b --> Réb Maj
-6# --> Fa# Maj -6b --> Solb Maj
-7# --> Do# Maj -7b ---> Do b maj
Maintenant étant donné qu'il existe aussi des modes mineurs, pour obtenir le nom di mode mineur en fonction de l'armure il faut abaisser d'1 Ton + 1/2 ton le nom du majeur.
Exemple: sans Altération à lArmure on est soit en Do Majeur, soit en La mineur car le La est la note que l'on obtient en abaissant le Do d'1 ton et demi;
la relative mineure du Sol (1# à la clé) c'est le Mi
et Donc pour le Fa Maj (1b à la clé) c'est le Ré mineur.
Maintenant comme l'a dit Monsieur Fabre, l'armure seule ne suffit pas pour dire si on est dans tel ou tel autre ton de tel mode il ya d'autres éléments encore.
39:00 mvt obligés
notations 2 5barré etc
Beau travail, mais peut-être serait-il bien d'être un peu plus circonscrit, 20 minutes pour entendre dire qu'on commence par un accord fondamental de ré mineur... Il faut à mon avis avancer plus dans l'oeuvre en retirant un peu des paroles inutiles. Sinon, la démarche est généreuse. Merci
Je peux comprendre. Et pourtant, c'est cette configuration-là qui me fait préférer ces cours. On a le temps de penser ce qu'il dit sans avoir à mettre pause sans arrêt. ^^
Oui et il y a des débutants ici aussi, qui ont besoin de connaître tous les moindres détails pour commencer à comprendre l'ensemble :)
Merci d'avoir réussi à le dire aussi poliment