❤️ If you like CM//RR content, please consider membership at our Patreon page. Thank you :) www.patreon.com/cmrr Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) - Così Fan Tutte Opera in two acts. *Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-08:15) I.Sinfonia/Overture (00:00) *ATTO PRIMO/Prima Scena* Terzetto: La mia Dorabella capace non è (04:44) Recitativo (R): Fuor la spada (06:48) Terzetto: È la fede delle femmine (07:47) R: Scioccherie di poeti! (08:59) Terzetto: Una bella serenata (10:04) (Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso) *Seconda Scena* Duetto: Ah guarda, sorella - Fiordiligi/Dorabella (12:27) R: Mi par, che stamattina volentieri farei la pazarella (17:12) Barbaro fato' - Aria: Vorrei dir, e cor non ho / Don Alfonso (18:14) R: Stelle! Per carità, Signor Alfonso (18:55) Quintetto: Sento, o Dio, che questo piede (19:52) (Guglielmo/Ferrando/Don Alfonso/Fiordiligi/ Dorabella) R: La commedia è graziosa (24:41) Coro: Bella vita militar! (25:04) R: Non v'è più tempo (26:51) Muoio d'affanno! Quintetto: Di scrivemi ogni giorno (27:19) (Fiordiligi/Dorabella/Guglielmo/Ferrando/Don Alfonso) Coro: Bella vita militar! (29:18) R: Dove son? (30:16) Terzettino: Soave sia il vento (31:07) (Fiordiligi/Dorabella/Don Alfonso) R: Non son cattivo comico (34:12) *Terza Scena* R: Che vita maledetta (35:16) R: Ah, scostati! (36:07) Aria (A): Smanie implacabili - Dorabella (37:04) R: Signora Dorabella, Signora Fiordiligi (39:02) A: In uomini, in soldati - Despina (40:52) R: Che silenzio! Che aspetto di tristezza (43:30) Sestetto: Alla bella Despinetta (45:41) (Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo/Despina/Fiordiligi/Dorabella) R: Che sussurro! Che strepito! (50:23) R: L’intatta fede che (52:50) A: Come scoglio - Fiordiligi (53:40) R: Ah, non partite! (58:10) A: Non siate ritrosi, occhietti vezzosi - Guglielmo (58:56) Terzetto: E voi ridete? (1:00:24) (Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo) R: La cagion di quel riso? (1:01:25) A: Un'aura amorosa - Ferrando (1:01:57) *Quarta Scena - Finale, Atto 1* Ah, che tutto in un momento (1:06:42) (Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso) Ah che del sole il raggio (1:11:00) Eccovi il medico (1:15:28) Dove son? Che loco è questo? (1:18:57) Dammi un bacio, o mio tesoro (1:21:49) (Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Despina/Ferrando/Guglielmo) *ATTO SECONDO/Prima Scena* R: Madame..Trattar l'amore.. (1:25:21) A: Una donna a quindici anni - Despina (1:26:23) R: Sorella, cosa dici? (1:30:20) Duetto: Prenderò quel brunettino - Fiordiligi/Dorabella (1:31:50) *Seconda Scena* Duetto con coro: Secondate, aurette amiche - Ferrando/Guglielmo (1:34:59) R: Cos'è tal mascherata? (1:38:12) Quartetto: La mano a me date (1:38:50) (Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo/Despina) R: Oh che bella giornata! (1:41:44) Duetto: Il core vi dono - Guglielmo/Dorabella (1:44:07) R: Barbara, perchè fuggi? (1:48:49) R: Ei parte..senti..ah no! (1:50:27) Rondo: Per pietà, ben mio, perdona - Fiordiligi (1:51:53) R: Amico, abbiamo vinto! (1:58:58) A: Donne mie, la fate a tanti a tanti - Guglielmo (2:01:41) R: In qual fiero contrasto (2:05:03) Cavatina: Tradito, schemito - Ferrando (2:06:19) *Terza Scena* R: Ora vedo che siete una donna di garbo (2:08:41) A: È amore un ladroncello - Dorabella (2:10:04) R: Come tutto congiura a sedurre il mio cor! (2:13:05) Duetto: Fra gli amplessi in pochi istanti - Fiordiligi/Ferrando (2:14:46) R: Ah poveretto me, cosa ho veduto! (2:20:56) Tutti accusan le donne - Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo (2:22:53) *Quarta Scena/Finale, Atto 2* Fate presto, o cari amici - Despina/Coro/Don Alfonso (2:24:01) Benedetti i doppi conjugi (2:25:58) (Coro/Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo) E nel tuo, nel mio bicchiero (2:30:31) (Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo) Miei Signori, tutto è fatto (2:32:39) (Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/ Guglielmo/Despina) Bella vita militar! (2:34:32) (Coro/Fiordiligi/Dorabella/Despina/Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso) Richiamati da regio contrordine (2:36:29) Ah, Signor, son rea di morte (2:39:10) (Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Despina) Fortunato l'uom che prende / Tutti (2:43:16) Fiordiligi : Elisabeth Schwarzkopf / Soprano Donatella : Christa Ludwig / Mezzosoprano Ferrando : Alfredo Kraus / Tenore Guglielmo : Giuseppe Taddei / Baritono Don Alfonso : Walter Berry / Basso Despina : Hanny Steffek / Soprano Harpsichord continuo : Prof. Heinrich Schmidt Philharmonie Orchestra & Chorus Conducted by Karl Böhm Recorded in 1962, at London New mastering in 2020 by AB for CMRR Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr *COMMENTAIRE COMPLET : VOIR CI-DESSOUS.* Mozart - Don Giovanni Opera + Presentation (reference recording : Carlo Maria Giulini) : ruclips.net/video/EVPkfHD6b7E/видео.html Wolfgang Amadeus Mozart PLAYLIST (reference recordings) : ruclips.net/video/WUvop5RsCGg/видео.html
*Mozart : Così Fan Tutte.* *Click to activate the English subtitles for the presentation (**00:00**-**08:15**)* Dans Così fan tutte, Mozart a créé l'idéal même de l'opéra buffa. Il a terminé cette œuvre extraordinaire en janvier 1790 et les nombreuses abréviations du manuscrit laissent penser qu'il l'a écrite à toute vitesse. L'opéra a été commandé à Joseph II ; et apparemment c'est lui qui a dicté le sujet, qui, selon un rapport, était basé sur des événements qui s'étaient réellement déroulés à Vienne juste avant. Nous savons, grâce aux appels constants de Mozart à son ami Michael Puchberg, qu'il était dans un besoin désespéré à cette époque ; nous savons également qu'il était malheureux des rapports qui lui étaient parvenus sur la conduite de sa femme à Baden, où elle était allée pour une cure. Il lui écrit, au milieu du mois d'août 1789 : "Je suis vraiment heureux quand vous vous amusez - bien sûr que je le suis - mais j'aimerais que vous ne vous rendiez pas parfois aussi bon marché... Une femme doit toujours se faire respecter, sinon les gens vont commencer à parler d'elle. Mon amour ! Pardonnez-moi d'être si franc, mais ma tranquillité d'esprit l'exige ainsi que notre bonheur mutuel. Souvenez-vous que vous m'avez vous-même avoué un jour que vous étiez enclin à vous soumettre trop facilement. Vous en connaissez les conséquences..." Ainsi, l'expérience de Mozart à cette époque peut ne pas sembler si éloignée des hypothèses qui sous-tendent Così fan tutte. Le XIXe siècle, cependant, a trouvé le sujet insupportable. Il ne voyait pas qu'ici, comme ailleurs, Mozart plaidait - selon la formule de Virgil Thomson - "pour la tendresse, pour la compassion humaine, et pour une tolérance éclairée et philosophique de la faiblesse humaine". Ainsi, de nombreuses tentatives remarquables ont été faites pour sauver la musique du livret "frivole et dégradant" qui l'accompagnait, oubliant complètement que quoi que l'on puisse penser du texte de Lorenzo da Ponte, la musique elle-même y était inséparablement liée. Parmi les remèdes les plus drastiques mentionnés par Abert dans son grand livre sur Mozart, il y avait ceux qui substituaient au livret de Da Ponte des pièces entières de Shakespeare et de Calderon, ou qui évitaient toute insulte possible à la féminité en faisant en sorte que Despina donne le plan de Don Alfonso à Fiordiligi et Dorabella, ou presque incroyablement - a décidé que le second choix d'amants de la femme était le bon, de sorte qu'une double injustice serait réparée et que le ténor pourrait alors épouser la prima donna et le baryton la seconde donna. En revanche, parmi ceux qui ont approfondi la nature de Così fan tutte, on trouve E.T.A. Hoffmann et Hippolyte Taine. C'est Taine qui a écrit, en 1867 : "J'ai écouté dix fois Così fan tutte l'année dernière... Je revois la scène et la terre douce et lumineuse... L'air est si doux qu'il suffit de le respirer pour être heureux.... Sur la scène, il y a deux coquettes italiennes qui sourient et trompent mais, dans la musique, personne ne ment et personne ne rit ; on sourit d'autant plus ; même les larmes sont voisines d'un sourire. Quand Mozart est gai, il ne cesse d'être noble... il y a une suprême finesse dans sa gaieté, s'il l'atteint, c'est par intervalles, parce que son âme est souple et parce que, chez un grand artiste, comme dans un instrument de musique parfait, aucune corde ne manque... Il imprègne l'amour de bonté. Il n'aborde pas un sujet libertin à la manière de Rossini... et il n'est pas non plus transporté, comme Beethoven, par un sentiment sublime, par le contraste violent des cieux soudainement ouverts, au milieu d'un désespoir toujours présent". On pense souvent à ces mots en écoutant Così fan tutte. Chacun des derniers opéras de Mozart est unique en son genre ; même les récitatifs ont une impulsion et une qualité d'expression différentes d'un opéra à l'autre, et il ne serait pas impossible d'en entendre plusieurs à la suite et de déterminer (en dehors des mots) les contacts auxquels ils appartiennent. Ceux de Così fan tutte sont extraordinairement rapides - surtout quand les deux femmes bavardent avec Despina - et ils sont pleins de délices et de caresses, se cassant en deux - et même trois - parties d'écriture, ou en six-huit pour faire ressortir la force d'un proverbe ; ou peut-être en passant du secco à l'accompagnato et vice-versa, toujours avec la "suprême finesse" dont parle Taine, sans parler de cette perspicacité dramatique dont nous avons tous entendu parler. On remarque aussi combien de fois les récitatifs se succèdent sans cadence dans l'air ou l'ensemble qui suit ; cela contribue encore une fois à la beauté mystérieuse de l'œuvre dans son ensemble. On ne saurait tenter de définir le " corps musical " de Così fan tutte sans attirer l'attention sur le rôle joué par les clarinettes, et par tous les passages sensuels en tierces ; ou sur l'importance que Mozart accorde au la majeur, la tonalité du Quintette de clarinettes et de Là ci darem la mano, et au mi majeur, qu'il semble associer particulièrement à la Méditerranée ; le lecteur se souviendra du refrain, Placido è il mar, Idomeneo.En écoutant le premier duo entre Fiordiligi et Dorabella, ou le Terzettino (Soave sia il vento) pour ces deux-là et Don Alfonso, nous sommes envahis, comme Taine, par l'air qui est "si doux qu'il suffit de le respirer pour être heureux". Outre ses deux longs finales, Così fan tutte contient en fait plus de pièces concertantes que de solos ; en cela, il ne ressemble à aucun autre opéra de Mozart, et il est également unique par l'équilibre audacieux entre les deux actes, l'un étant principalement composé d'ensembles, l'autre d'airs. Mozart a dû se glorifier du défi lancé à son invention par un livret qui exigeait neuf ensembles dans les dix premiers numéros ; mais le second acte, difficile à faire jouer après la glorieuse animation du premier acte, représentait probablement un effort créatif d'égale ampleur. On peut se faire une idée de la beauté de la planification de Mozart en ne considérant que l'instrumentation. Au tout début, par exemple, il veut conserver une sensualité sonore particulière pour la première entrée de Fiordiligi et Dorabella ; on remarque que les trois ensembles d'ouverture n'ont pas de clarinettes, et (plus intéressant) que bien que les clarinettes soient incluses parmi tous les autres instruments de l'ouverture, elles jouent un rôle beaucoup plus modeste que les flûtes ou les hautbois ou les bassons. Ainsi, leur entrée en tierce, au moment où les deux femmes apparaissent sur la scène, est parfaitement préparée. Un exemple encore plus captivant se produit au début du deuxième acte, où Fiordiligi et Dorabella chantent leur envoûtant duo sans les clarinettes qui semblent lui appartenir essentiellement. Pourquoi Mozart se limite-t-il ici à deux hautbois ? La réponse doit être qu'il veut que les clarinettes fassent tout leur effet dans la céleste "sérénade du vent" qui suit. Néanmoins, le charme et la puissance inépuisables de Così fan tutte ne résident pas seulement dans de tels détails, mais aussi dans le fait que Mozart entre et sort du monde de la parodie et de l'illusion en laissant des traces si subtiles de son passage que nous sommes souvent incertains - sans parler de l'interprétation erronée dans laquelle nous sommes toujours susceptibles de tomber en raison de la beauté absolue de la musique et du charme qu'elle nous jette. Parfois, la parodie est assez évidente, comme dans Come scoglio de Fiordiligi, dont les sauts et les lignes de retour en arrière grotesques se moquent de l'opera seria ; et le caractère de Don Alfonso en tant qu'homme de raison est évidemment représenté par le simple accompagnement des cordes que Mozart lui fournit dans ses quelques pièces solo. D'autre part, la musique sonne souvent presque exactement comme celle de Don Giovanni ; il faudrait un grand exercice d'ingéniosité et de perception, par exemple, pour montrer clairement pourquoi l'aria passionnée de Don Alfonso en fa mineur (Vorrei dir) sonnerait faux dans cet autre contact. Ailleurs, comme dans le merveilleux Quintette en fa majeur (Di scrivemi), la musique commence à être teintée par les événements de la scène mais transforme ensuite tout par sa pure beauté jusqu'à ce que, tandis que Don Alfonso s'exclame qu'il "pourrait se fendre les côtes en riant", nous, dans le public, soyons plus près de pleurer. Ou bien la courbe d'expression peut être tracée différemment, comme à un autre grand moment - le canon vers la fin du deuxième acte - où Guglielmo se tient à l'écart de Ferrando et des deux femmes qui sont perdues dans une sorte d'ivresse musicale, et maudit la fragilité de son Fiordiligi ; ainsi Mozart nous rappelle (à nous qui sommes tout aussi perdus) la situation théâtrale que nous aurions pu oublier. Et lorsque nous avons fini d'examiner chaque détail inspiré de cette partition, nous arrivons toujours à la même conclusion : dans sa générosité de vue et dans sa vision du comportement de ses personnages dans une situation donnée, Mozart est l'égal de Shakespeare ; en effet, dans sa compréhension des femmes, qu'il vénère moins romantiquement que Shakespeare mais qu'il délimite avec une égale grandeur d'esprit, il est peut-être le supérieur des deux. Wolfgang Amadeus Mozart PLAYLIST (reference recordings) : ruclips.net/video/FHwmL8Md22w/видео.html
@@ChristianOcier Hello Christian, Thank you for your message and your support ;) We're working on this edition to make it available soon, we'll keep you informed :)
There are several legendary versions of this magnificent opera. Böhm recorded Così fan tutte three times, and three times it was an event. For many, the second of his versions, in 1962, is the most successful. To his credit are outstanding singers not only in voice but also in temperament, with in the foreground Elisabeth Schwarzkopf and Christa Ludwig, both of whom (especially the second one) further developed their interpretation. Another asset is one of the all too rare Mozart testimonies of the Spanish tenor Alfredo Kraus in Ferrando. Hanny Steffek is a more conventional Despina. With this exception, the truthfulness of the performers' embodiments, the vitality and dramatic coherence of Böhm's direction, and the life that emerges from the ensemble form a seamless set of masterful qualities. A full commentary is available by activating the subtitles, have a good weekend and a nice listening :-) 🔊 FOLLOW US on SPOTIFY (Profil: CMRR) : spoti.fi/3016eVr 🔊 Download CMRR's recordings in High fidelity audio (QOBUZ) : bit.ly/2M1Eop2 ❤️ If you like CM//RR content, please consider membership at our Patreon page. Thank you :) www.patreon.com/cmrr
Actually there are four Böhm Cosi recordings: 1) Philips 1950s with Dagmar Hermann 2) Decca 1950s with Lisa della Casa 3) EMI 1960s with Schwarzkopf 4) DG 1970s with Gundula Janowitz
@@jasonhurd4379 You must add, at least, two more pirate recordings, one of them from the Salzburg Festival (fifthies) and the other from Lausanna's Festival, if I am not mistaken.
No one has mentioned the superb remastering of this gem. As has been said, there are many fine recordings of Così Fan Tutte, but for me this must surely be among the very best. Not only are all the protagonists superbly cast, but Walter Legge was at the pinnacle of his career when the performance was taped. Again the remastering by CMRR is awesome, and adds clarity and lustre far beyond my old CD. I've been listening again and again, and yet again! Thank you very much indeed.
I'm very grateful that this classic recording has now been put on you tube, iv'e been waiting for this for along time, it too shows the genius of walter legge when it was recorded in september 1962, then bieng released in 1963, still probably for many still unsurpassed .
....listening to this „Soave sua il vento „ the polar caps and myself are melting....No feeling element in universe could think of anything bad during those minutes... Mi piace moltissimo
Comperai quest'edizione in dischi, a Londra, nel 1978, poche settimane dopo aver assistito ad un meraviglioso allestimento del "Così fan tutte" per la regia di Giorgio De Lullo, al Festival dei Due Mondi di Spoleto. Da allora collego sempre questa musica a quelle immagini. E nel mio cuore si perpetua per sempre l'opera di Mozart che amo più di ogni altra!
I think I have mentioned this performance somewhere previously no harm in doing it again I feel. I still remember seeing this opera on stage and fell in love with it that I went back a couple of nights later where I have to explain the opera to two ladies sitting next to me, enough of my past. by far this is one of the most beautiful recordings of the piece. This performance is the 1963 release of the opera which I purchased shortly after seeing the opera, I have since acquired a couple of live recordings of Cosi enjoyable enough in their own right, If I was to recommend another recording of the Opera it would have to the the one she made under vonKarajan in a 1955 release the cast is fantastic in both recording, the second as well as having Schwarzkopf if also has Merriman Otto and Simoneau who I feel just outshines Kraus in the tenor role and not to forget Panerai in a brilliant voice. If anyone that's gets chance listen to this recording you won't be disappointed. promise.
Karajan 1954 is also my favourite in old school cosi, but Kujken (1992) was a revelation for me as a interpretation, which gives the musical comedy is full rights.
I also have this recording and l prefer it to the Boehm as well. The casts of both are superb however. The only very slight mar on the Karajan recording is the rather too ‘maid-like’ Despina of Lisa Otto…..,otherwise a lovely singer
I have four different recording of Così with Karl Bohm conductor, all with great singers of orchestras but I think this is the most perfect and exciting. A masterpiece for a Mozart masterpiece
Con grabaciones como esta, Alfredo Kraus demostró que podría haber sido uno de los más grandes, si no el más, de los tenores mozartianos. El binomio Mozart-Kraus es una auténtica delicia. Gracias por compartir esta joya.
I would not be without either of these recordings, both excellent, but just that bit different, plus a live recording under Bohm again an excellent recording.
This recording is a gift to humanity. Die Kombination Schwarzkopf/Ludwig in dieser Aufnahme bleibt auf ewig unerreicht (z.B. 12:27), sogar die Rezitative sind ein Ereignis.
Ebullient joy! Mozart, Cosi fan tutte, Bohm, Schwarzkoph...oh, the joy! Excellent commentary/analysis of this fine performance of the pinnacle of opera. Thank you, CM/RR, for posting this remastering of this masterful performance. L592C60V26845/:-)
You could lose someone when you talk, but with silence you lose nothing, so keep silent or be careful for what you say, let them keep your beautiful image that you made by being silent !!!!! 💟💟💟
J have in my brain this Cosy since 1975 and for the first time j'm sure to write that Karl Bohm-version is one the some recordings of 20Th century ; there are a few records as this version on ours five fingers , no critic or comparisons are possible here it's THE RECORDING of 20Th century , no discussion is possible except for people who are not lovers-music ; j never write as here
WAY too many freakin’ ads that all come at the worst possible times. Almost enough to make one turn this recording off and find another one to listen to.
@@konradhuber1706 J'attends vos arguments. Regardez mon pseudo. Je possède plus de 20 versions de cet opéra. Vous êtes inculte et ne connaissez pas la discographie de cette œuvre. De plus Schwarzkopf en Fiordiligi est un non sens.
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Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791) - Così Fan Tutte Opera in two acts.
*Click to activate the English subtitles for the presentation* (00:00-08:15)
I.Sinfonia/Overture (00:00)
*ATTO PRIMO/Prima Scena*
Terzetto: La mia Dorabella capace non è (04:44)
Recitativo (R): Fuor la spada (06:48)
Terzetto: È la fede delle femmine (07:47)
R: Scioccherie di poeti! (08:59)
Terzetto: Una bella serenata (10:04)
(Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso)
*Seconda Scena*
Duetto: Ah guarda, sorella - Fiordiligi/Dorabella (12:27)
R: Mi par, che stamattina volentieri farei la pazarella (17:12)
Barbaro fato' - Aria: Vorrei dir, e cor non ho / Don Alfonso (18:14)
R: Stelle! Per carità, Signor Alfonso (18:55)
Quintetto: Sento, o Dio, che questo piede (19:52)
(Guglielmo/Ferrando/Don Alfonso/Fiordiligi/ Dorabella)
R: La commedia è graziosa (24:41)
Coro: Bella vita militar! (25:04)
R: Non v'è più tempo (26:51)
Muoio d'affanno! Quintetto: Di scrivemi ogni giorno (27:19)
(Fiordiligi/Dorabella/Guglielmo/Ferrando/Don Alfonso)
Coro: Bella vita militar! (29:18) R: Dove son? (30:16)
Terzettino: Soave sia il vento (31:07)
(Fiordiligi/Dorabella/Don Alfonso)
R: Non son cattivo comico (34:12)
*Terza Scena* R: Che vita maledetta (35:16)
R: Ah, scostati! (36:07)
Aria (A): Smanie implacabili - Dorabella (37:04)
R: Signora Dorabella, Signora Fiordiligi (39:02)
A: In uomini, in soldati - Despina (40:52)
R: Che silenzio! Che aspetto di tristezza (43:30)
Sestetto: Alla bella Despinetta (45:41)
(Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo/Despina/Fiordiligi/Dorabella)
R: Che sussurro! Che strepito! (50:23)
R: L’intatta fede che (52:50)
A: Come scoglio - Fiordiligi (53:40)
R: Ah, non partite! (58:10)
A: Non siate ritrosi, occhietti vezzosi - Guglielmo (58:56)
Terzetto: E voi ridete? (1:00:24)
(Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo)
R: La cagion di quel riso? (1:01:25)
A: Un'aura amorosa - Ferrando (1:01:57)
*Quarta Scena - Finale, Atto 1*
Ah, che tutto in un momento (1:06:42)
(Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso)
Ah che del sole il raggio (1:11:00) Eccovi il medico (1:15:28)
Dove son? Che loco è questo? (1:18:57)
Dammi un bacio, o mio tesoro (1:21:49)
(Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Despina/Ferrando/Guglielmo)
*ATTO SECONDO/Prima Scena*
R: Madame..Trattar l'amore.. (1:25:21)
A: Una donna a quindici anni - Despina (1:26:23)
R: Sorella, cosa dici? (1:30:20)
Duetto: Prenderò quel brunettino - Fiordiligi/Dorabella (1:31:50)
*Seconda Scena*
Duetto con coro: Secondate, aurette amiche - Ferrando/Guglielmo (1:34:59)
R: Cos'è tal mascherata? (1:38:12)
Quartetto: La mano a me date (1:38:50)
(Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo/Despina)
R: Oh che bella giornata! (1:41:44)
Duetto: Il core vi dono - Guglielmo/Dorabella (1:44:07)
R: Barbara, perchè fuggi? (1:48:49) R: Ei parte..senti..ah no! (1:50:27)
Rondo: Per pietà, ben mio, perdona - Fiordiligi (1:51:53)
R: Amico, abbiamo vinto! (1:58:58)
A: Donne mie, la fate a tanti a tanti - Guglielmo (2:01:41)
R: In qual fiero contrasto (2:05:03)
Cavatina: Tradito, schemito - Ferrando (2:06:19)
*Terza Scena*
R: Ora vedo che siete una donna di garbo (2:08:41)
A: È amore un ladroncello - Dorabella (2:10:04)
R: Come tutto congiura a sedurre il mio cor! (2:13:05)
Duetto: Fra gli amplessi in pochi istanti - Fiordiligi/Ferrando (2:14:46)
R: Ah poveretto me, cosa ho veduto! (2:20:56)
Tutti accusan le donne - Don Alfonso/Ferrando/Guglielmo (2:22:53)
*Quarta Scena/Finale, Atto 2*
Fate presto, o cari amici - Despina/Coro/Don Alfonso (2:24:01)
Benedetti i doppi conjugi (2:25:58)
(Coro/Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo)
E nel tuo, nel mio bicchiero (2:30:31)
(Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/Guglielmo)
Miei Signori, tutto è fatto (2:32:39)
(Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Ferrando/ Guglielmo/Despina)
Bella vita militar! (2:34:32)
(Coro/Fiordiligi/Dorabella/Despina/Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso)
Richiamati da regio contrordine (2:36:29)
Ah, Signor, son rea di morte (2:39:10)
(Ferrando/Guglielmo/Don Alfonso/Fiordiligi/Dorabella/Despina)
Fortunato l'uom che prende / Tutti (2:43:16)
Fiordiligi : Elisabeth Schwarzkopf / Soprano
Donatella : Christa Ludwig / Mezzosoprano
Ferrando : Alfredo Kraus / Tenore
Guglielmo : Giuseppe Taddei / Baritono
Don Alfonso : Walter Berry / Basso
Despina : Hanny Steffek / Soprano
Harpsichord continuo : Prof. Heinrich Schmidt
Philharmonie Orchestra & Chorus
Conducted by Karl Böhm
Recorded in 1962, at London
New mastering in 2020 by AB for CMRR
Find CMRR's recordings on *Spotify* : spoti.fi/3016eVr
*COMMENTAIRE COMPLET : VOIR CI-DESSOUS.*
Mozart - Don Giovanni Opera + Presentation (reference recording : Carlo Maria Giulini) : ruclips.net/video/EVPkfHD6b7E/видео.html
Wolfgang Amadeus Mozart PLAYLIST (reference recordings) : ruclips.net/video/WUvop5RsCGg/видео.html
*Mozart : Così Fan Tutte.* *Click to activate the English subtitles for the presentation (**00:00**-**08:15**)* Dans Così fan tutte, Mozart a créé l'idéal même de l'opéra buffa. Il a terminé cette œuvre extraordinaire en janvier 1790 et les nombreuses abréviations du manuscrit laissent penser qu'il l'a écrite à toute vitesse. L'opéra a été commandé à Joseph II ; et apparemment c'est lui qui a dicté le sujet, qui, selon un rapport, était basé sur des événements qui s'étaient réellement déroulés à Vienne juste avant. Nous savons, grâce aux appels constants de Mozart à son ami Michael Puchberg, qu'il était dans un besoin désespéré à cette époque ; nous savons également qu'il était malheureux des rapports qui lui étaient parvenus sur la conduite de sa femme à Baden, où elle était allée pour une cure. Il lui écrit, au milieu du mois d'août 1789 : "Je suis vraiment heureux quand vous vous amusez - bien sûr que je le suis - mais j'aimerais que vous ne vous rendiez pas parfois aussi bon marché... Une femme doit toujours se faire respecter, sinon les gens vont commencer à parler d'elle. Mon amour ! Pardonnez-moi d'être si franc, mais ma tranquillité d'esprit l'exige ainsi que notre bonheur mutuel. Souvenez-vous que vous m'avez vous-même avoué un jour que vous étiez enclin à vous soumettre trop facilement. Vous en connaissez les conséquences..."
Ainsi, l'expérience de Mozart à cette époque peut ne pas sembler si éloignée des hypothèses qui sous-tendent Così fan tutte. Le XIXe siècle, cependant, a trouvé le sujet insupportable. Il ne voyait pas qu'ici, comme ailleurs, Mozart plaidait - selon la formule de Virgil Thomson - "pour la tendresse, pour la compassion humaine, et pour une tolérance éclairée et philosophique de la faiblesse humaine". Ainsi, de nombreuses tentatives remarquables ont été faites pour sauver la musique du livret "frivole et dégradant" qui l'accompagnait, oubliant complètement que quoi que l'on puisse penser du texte de Lorenzo da Ponte, la musique elle-même y était inséparablement liée. Parmi les remèdes les plus drastiques mentionnés par Abert dans son grand livre sur Mozart, il y avait ceux qui substituaient au livret de Da Ponte des pièces entières de Shakespeare et de Calderon, ou qui évitaient toute insulte possible à la féminité en faisant en sorte que Despina donne le plan de Don Alfonso à Fiordiligi et Dorabella, ou presque incroyablement - a décidé que le second choix d'amants de la femme était le bon, de sorte qu'une double injustice serait réparée et que le ténor pourrait alors épouser la prima donna et le baryton la seconde donna.
En revanche, parmi ceux qui ont approfondi la nature de Così fan tutte, on trouve E.T.A. Hoffmann et Hippolyte Taine. C'est Taine qui a écrit, en 1867 : "J'ai écouté dix fois Così fan tutte l'année dernière... Je revois la scène et la terre douce et lumineuse... L'air est si doux qu'il suffit de le respirer pour être heureux.... Sur la scène, il y a deux coquettes italiennes qui sourient et trompent mais, dans la musique, personne ne ment et personne ne rit ; on sourit d'autant plus ; même les larmes sont voisines d'un sourire. Quand Mozart est gai, il ne cesse d'être noble... il y a une suprême finesse dans sa gaieté, s'il l'atteint, c'est par intervalles, parce que son âme est souple et parce que, chez un grand artiste, comme dans un instrument de musique parfait, aucune corde ne manque... Il imprègne l'amour de bonté. Il n'aborde pas un sujet libertin à la manière de Rossini... et il n'est pas non plus transporté, comme Beethoven, par un sentiment sublime, par le contraste violent des cieux soudainement ouverts, au milieu d'un désespoir toujours présent". On pense souvent à ces mots en écoutant Così fan tutte.
Chacun des derniers opéras de Mozart est unique en son genre ; même les récitatifs ont une impulsion et une qualité d'expression différentes d'un opéra à l'autre, et il ne serait pas impossible d'en entendre plusieurs à la suite et de déterminer (en dehors des mots) les contacts auxquels ils appartiennent. Ceux de Così fan tutte sont extraordinairement rapides - surtout quand les deux femmes bavardent avec Despina - et ils sont pleins de délices et de caresses, se cassant en deux - et même trois - parties d'écriture, ou en six-huit pour faire ressortir la force d'un proverbe ; ou peut-être en passant du secco à l'accompagnato et vice-versa, toujours avec la "suprême finesse" dont parle Taine, sans parler de cette perspicacité dramatique dont nous avons tous entendu parler. On remarque aussi combien de fois les récitatifs se succèdent sans cadence dans l'air ou l'ensemble qui suit ; cela contribue encore une fois à la beauté mystérieuse de l'œuvre dans son ensemble.
On ne saurait tenter de définir le " corps musical " de Così fan tutte sans attirer l'attention sur le rôle joué par les clarinettes, et par tous les passages sensuels en tierces ; ou sur l'importance que Mozart accorde au la majeur, la tonalité du Quintette de clarinettes et de Là ci darem la mano, et au mi majeur, qu'il semble associer particulièrement à la Méditerranée ; le lecteur se souviendra du refrain, Placido è il mar, Idomeneo.En écoutant le premier duo entre Fiordiligi et Dorabella, ou le Terzettino (Soave sia il vento) pour ces deux-là et Don Alfonso, nous sommes envahis, comme Taine, par l'air qui est "si doux qu'il suffit de le respirer pour être heureux".
Outre ses deux longs finales, Così fan tutte contient en fait plus de pièces concertantes que de solos ; en cela, il ne ressemble à aucun autre opéra de Mozart, et il est également unique par l'équilibre audacieux entre les deux actes, l'un étant principalement composé d'ensembles, l'autre d'airs. Mozart a dû se glorifier du défi lancé à son invention par un livret qui exigeait neuf ensembles dans les dix premiers numéros ; mais le second acte, difficile à faire jouer après la glorieuse animation du premier acte, représentait probablement un effort créatif d'égale ampleur. On peut se faire une idée de la beauté de la planification de Mozart en ne considérant que l'instrumentation. Au tout début, par exemple, il veut conserver une sensualité sonore particulière pour la première entrée de Fiordiligi et Dorabella ; on remarque que les trois ensembles d'ouverture n'ont pas de clarinettes, et (plus intéressant) que bien que les clarinettes soient incluses parmi tous les autres instruments de l'ouverture, elles jouent un rôle beaucoup plus modeste que les flûtes ou les hautbois ou les bassons. Ainsi, leur entrée en tierce, au moment où les deux femmes apparaissent sur la scène, est parfaitement préparée. Un exemple encore plus captivant se produit au début du deuxième acte, où Fiordiligi et Dorabella chantent leur envoûtant duo sans les clarinettes qui semblent lui appartenir essentiellement. Pourquoi Mozart se limite-t-il ici à deux hautbois ? La réponse doit être qu'il veut que les clarinettes fassent tout leur effet dans la céleste "sérénade du vent" qui suit.
Néanmoins, le charme et la puissance inépuisables de Così fan tutte ne résident pas seulement dans de tels détails, mais aussi dans le fait que Mozart entre et sort du monde de la parodie et de l'illusion en laissant des traces si subtiles de son passage que nous sommes souvent incertains - sans parler de l'interprétation erronée dans laquelle nous sommes toujours susceptibles de tomber en raison de la beauté absolue de la musique et du charme qu'elle nous jette. Parfois, la parodie est assez évidente, comme dans Come scoglio de Fiordiligi, dont les sauts et les lignes de retour en arrière grotesques se moquent de l'opera seria ; et le caractère de Don Alfonso en tant qu'homme de raison est évidemment représenté par le simple accompagnement des cordes que Mozart lui fournit dans ses quelques pièces solo. D'autre part, la musique sonne souvent presque exactement comme celle de Don Giovanni ; il faudrait un grand exercice d'ingéniosité et de perception, par exemple, pour montrer clairement pourquoi l'aria passionnée de Don Alfonso en fa mineur (Vorrei dir) sonnerait faux dans cet autre contact. Ailleurs, comme dans le merveilleux Quintette en fa majeur (Di scrivemi), la musique commence à être teintée par les événements de la scène mais transforme ensuite tout par sa pure beauté jusqu'à ce que, tandis que Don Alfonso s'exclame qu'il "pourrait se fendre les côtes en riant", nous, dans le public, soyons plus près de pleurer. Ou bien la courbe d'expression peut être tracée différemment, comme à un autre grand moment - le canon vers la fin du deuxième acte - où Guglielmo se tient à l'écart de Ferrando et des deux femmes qui sont perdues dans une sorte d'ivresse musicale, et maudit la fragilité de son Fiordiligi ; ainsi Mozart nous rappelle (à nous qui sommes tout aussi perdus) la situation théâtrale que nous aurions pu oublier.
Et lorsque nous avons fini d'examiner chaque détail inspiré de cette partition, nous arrivons toujours à la même conclusion : dans sa générosité de vue et dans sa vision du comportement de ses personnages dans une situation donnée, Mozart est l'égal de Shakespeare ; en effet, dans sa compréhension des femmes, qu'il vénère moins romantiquement que Shakespeare mais qu'il délimite avec une égale grandeur d'esprit, il est peut-être le supérieur des deux.
Wolfgang Amadeus Mozart PLAYLIST (reference recordings) : ruclips.net/video/FHwmL8Md22w/видео.html
Un pur moment , par ces moments difficiles , merci pour le partage et bonne écoute à tous !!!!!!!
Hello Alexandre, thank you so much for all of your wonderful uploads. Do you think you can upload this Cosi to Apple Music and Spotify? Thank you.
@@ChristianOcier Hello Christian, Thank you for your message and your support ;) We're working on this edition to make it available soon, we'll keep you informed :)
There are several legendary versions of this magnificent opera. Böhm recorded Così fan tutte three times, and three times it was an event. For many, the second of his versions, in 1962, is the most successful. To his credit are outstanding singers not only in voice but also in temperament, with in the foreground Elisabeth Schwarzkopf and Christa Ludwig, both of whom (especially the second one) further developed their interpretation. Another asset is one of the all too rare Mozart testimonies of the Spanish tenor Alfredo Kraus in Ferrando. Hanny Steffek is a more conventional Despina. With this exception, the truthfulness of the performers' embodiments, the vitality and dramatic coherence of Böhm's direction, and the life that emerges from the ensemble form a seamless set of masterful qualities. A full commentary is available by activating the subtitles, have a good weekend and a nice listening :-)
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Didnt most of this group also record The Magic Flute also?
Actually there are four Böhm Cosi recordings:
1) Philips 1950s with Dagmar Hermann
2) Decca 1950s with Lisa della Casa
3) EMI 1960s with Schwarzkopf
4) DG 1970s with Gundula Janowitz
@@jasonhurd4379 in first 3) to also sound recording with EMI all is in version , all
and one more 1960-1975 is an erea at the Top for recordings-vinyls about sonority , j'afraid some remastered less good than the original vinyls
@@jasonhurd4379 You must add, at least, two more pirate recordings, one of them from the Salzburg Festival (fifthies) and the other from Lausanna's Festival, if I am not mistaken.
One of the greatest of opera recordings.
No one has mentioned the superb remastering of this gem. As has been said, there are many fine recordings of Così Fan Tutte, but for me this must surely be among the very best. Not only are all the protagonists superbly cast, but Walter Legge was at the pinnacle of his career when the performance was taped. Again the remastering by CMRR is awesome, and adds clarity and lustre far beyond my old CD. I've been listening again and again, and yet again! Thank you very much indeed.
absolutely! Legge is responsible for the greatest recordings of the era!
With Karajan
I'm very grateful that this classic recording has now been put on you tube, iv'e been waiting for this for along time, it too shows the genius of walter legge when it was recorded in september 1962, then bieng released in 1963, still probably for many still unsurpassed .
....listening to this „Soave sua il vento „ the polar caps and myself are melting....No feeling element in universe could think of anything bad during those minutes...
Mi piace moltissimo
BACK THEN THESE OPERAS WERE THEIR TV,MOVIES,RADIO....
BRILLIANT ONLY BEGINS TO DESCRIBE THIS...AMAZING
Thank you very much for the wonderful New Remastering of this marvelous historical version. And also for the Mozart playlist.
thank you! it's about time I started seriously listening to WAM operas outside of Zauberflote, and what better place to start than here! :)
Comperai quest'edizione in dischi, a Londra, nel 1978, poche settimane dopo aver assistito ad un meraviglioso allestimento del "Così fan tutte" per la regia di Giorgio De Lullo, al Festival dei Due Mondi di Spoleto. Da allora collego sempre questa musica a quelle immagini. E nel mio cuore si perpetua per sempre l'opera di Mozart che amo più di ogni altra!
I think I have mentioned this performance somewhere previously no harm in doing it again I feel. I still remember seeing this opera on stage and fell in love with it that I went back a couple of nights later where I have to explain the opera to two ladies sitting next to me, enough of my past. by far this is one of the most beautiful recordings of the piece. This performance is the 1963 release of the opera which I purchased shortly after seeing the opera, I have since acquired a couple of live recordings of Cosi enjoyable enough in their own right, If I was to recommend another recording of the Opera it would have to the the one she made under vonKarajan in a 1955 release the cast is fantastic in both recording, the second as well as having Schwarzkopf if also has Merriman Otto and Simoneau who I feel just outshines Kraus in the tenor role and not to forget Panerai in a brilliant voice. If anyone that's gets chance listen to this recording you won't be disappointed. promise.
Karajan 1954 is also my favourite in old school cosi, but Kujken (1992) was a revelation for me as a interpretation, which gives the musical comedy is full rights.
I also have this recording and l prefer it to the Boehm as well. The casts of both are superb however. The only very slight mar on the Karajan recording is the rather too ‘maid-like’ Despina of Lisa Otto…..,otherwise a lovely singer
I have four different recording of Così with Karl Bohm conductor, all with great singers of orchestras but I think this is the most perfect and exciting. A masterpiece for a Mozart masterpiece
LE PLUS BEAU !
Con grabaciones como esta, Alfredo Kraus demostró que podría haber sido uno de los más grandes, si no el más, de los tenores mozartianos. El binomio Mozart-Kraus es una auténtica delicia. Gracias por compartir esta joya.
pero fijate Amparo que en el reparto se olvida su nombre , solo se nombra al director a Schwarzkopf, y Ludwig. Una verdader falta de educación.
It is impossible to decide whether this rendition is better than Karajan's. Let's rank BOTH OF THEM as the ULTIMATE ones.
I would not be without either of these recordings, both excellent, but just that bit different, plus a live recording under Bohm again an excellent recording.
This is an absolutely beautiful Gem of the performance.
Magnifique remasterisation
This is incredible, thank you.
Both versions are fantastic!!Böhm and Karajan!!
NON. KARL BOHM
Wonderful version. Epic sound take. Maravillosa versión. Toma de sonido épica.
Yes epic sound record in more
Un chef d'oeuvre ,un enregistrement mythique ,merci
요즘 굉장히 많은 곡을 빨리빨리 올려 주시네요. 당신의 노고에 감사드립니다.
Wunderschön !💗
Is anyone else obsessed with "Vorrei dir, e cor non ho"? I find this aria delectable and cannot stop replaying it.
Hah I'm more obsessed with "In uomini, in soldati".
This recording is a gift to humanity. Die Kombination Schwarzkopf/Ludwig in dieser Aufnahme bleibt auf ewig unerreicht (z.B. 12:27), sogar die Rezitative sind ein Ereignis.
Alfredo Krauss' Un aura amoroso is superlative
This is a great classic. Thanks for the upload.
M O Z A R T I S S I M O ! ! !
the art of perfection... thank You!
Taddei's voice is like a warm duvet
MOZART É UM ANJO VESTIDO DE GENTE!!!💖💖💖💖💖💖💖💖
Ebullient joy! Mozart, Cosi fan tutte, Bohm, Schwarzkoph...oh, the joy! Excellent commentary/analysis of this fine performance of the pinnacle of opera. Thank you, CM/RR, for posting this remastering of this masterful performance. L592C60V26845/:-)
Mozart only took only 2 hours to finish the overture ! He always left the overture to the very last minutes before the premier of the performance.
Amazing Beautiful...
Thanks.
cosi fan tutte; rien de nouveau sous le soleil!!!
Super exelente la Editorial
Thanks
Thanks for best.
Hello Alexandre, thank you so much for all of your wonderful uploads. Do you think you can upload this Cosi to Apple Music and Spotify? Thank you.
TANT QU,IL Y A DU MOZART RIEN N EST PERDU 👌
I love this recording but so many adds, how can I enjoy it.
Error in the listing of roles, It's "Dorabella" not "Donatella." It's correct in every other part of this post, just not there.
You could lose someone when you talk, but with silence you lose nothing, so keep silent or be careful for what you say, let them keep your beautiful image that you made by being silent !!!!! 💟💟💟
notable registro
Only, only kneeling down and listening.
Thanks
Grande TADDEI
....indeed! And he did Jago and Falstaff with the same voice. What an artist! Viva Italia!
I loved Miss Cristina Ludwig.
Algun motivo especial para obviar el nombre de D.Alfredo Kraus en la grabación?
lovely lovely
May God bless youtube
J have in my brain this Cosy since 1975 and for the first time j'm sure to write that Karl Bohm-version is one the some recordings of 20Th century ; there are a few records as this version on ours five fingers , no critic or comparisons are possible here it's THE RECORDING of 20Th century , no discussion is possible except for people who are not lovers-music ; j never write as here
Karajan 1954...
WAY too many freakin’ ads that all come at the worst possible times. Almost enough to make one turn this recording off and find another one to listen to.
Pay for RUclips Premium. No ads.
With Karajan from 1954 it is the Best
Entièrement d'accord avec vous
1:18:57
1:02:00
4:00
31:07 ❤❤❤❤❤❤❤❤
Dans la présentation :
Dorabella,pas Donatella!!!!
Merveilleux enregistrement mais celui de Karajan en 1954 avec Schwarzkopf encore et supérieur vocalement et orchestralement
SEIGNEUR !
1:24:05
2:02:20
❤
2:24:01
call me I have the sthendal syndrome but this is prof that god existst
NO COMMENTS.
There's nothing to do I much prefer the 1954 Karajan version.
Très belle version, plus mondaine :)
Classical Music/ /Reference Recording Personnellement je trouve celle-ci bourgeoise... merci pour votre réponse ;).
Entièrement d'accord avec vous
Püüüüüüüäääüäüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüüü
It could not be produced in today's woke environment. They were freer in Mozart's times.
Cette version sent le studio à plein nez, c'est très plastique mais tout sauf vivant. A oublier.
commentaire incroyablement stupide
@@konradhuber1706 J'attends vos arguments. Regardez mon pseudo. Je possède plus de 20 versions de cet opéra. Vous êtes inculte et ne connaissez pas la discographie de cette œuvre. De plus Schwarzkopf en Fiordiligi est un non sens.
@@Alix777. La version Karajan 1954 est ma préférée, je trouve Bohm vraiment pas bon ici...
Karajan, 1954
Va écouter du rap connard
L
Girlfriend- Survival Of The fittest: The Prisoners Bible: Face The Music!
Google It!
1:24:20