📖 Vous avez dit biz’arbres ? (Belin, 2024) ➡ www.belin-editeur.com/vous-avez-dit-bizarbres 🌲 En résonance avec l’exposition L’arbre, de la petite graine à la vieille branche. ➡ www.espace-sciences.org/rennes/expositions/larbre 00:00 Générique 00:32 Présentation de l'invité 17:00 Conférence 01:26:05 Questions du public 01:48:30 Générique de fin
Merci beaucoup pour cette conférence passionnante ! Très bonne élocution, le support visuel est épuré et pertinent, le sujet est maitrisé : 10/10 merci encore Mme Lenne !
J'ai lu avec assiduité et intérêt vôtre dernier ouvrage.Il a permit d'améliorer mes connaissances sur les arbres.Je vous en remercie et bravo pour votre écriture très compréhensible.
Trop bien ! Merci Mme Lenne pour cette conférence passionnante, merci pour votre prudence épistémique. C'est toujours agréable de voir de l'esprit critique dans les présentations de recherches :D
Passionnant! SVP, passez nous rencontrer au Québec! On doit entendre parler de vos recherches sur les arbres sur l'ile de la tortue (l'Amérique)!! Merci
Pour connaitre la nature il suffit de l'observer,pas besoin d'haubaner,selon son exposition l'arbre s'adaptera tout comme il ne se limite pas à un seul réseau
Intéressant. Cependant, la définition de la souffrance qu'elle a donné ne concerne que la partie physique. Or il y a aussi la souffrance psychique. Nous pouvons souffrir et être en parfaite intégrité physique. Nous entendons parfois parler, lors de sécheresse, d'arbres en stress hydrique. Le stress n'est-il pas une souffrance psychologique ?
Je n’ai pas encore vu la conférence en entier, mais stress hydrique n’a pas de rapport avec le stress du sens commun. Il y a un article wikipedia sur le stress hydrique. Mais en gros c’est un manque d’eau
@@sapumali4943 Oui, c'est un manque d'eau. Dans le cas d'une personne, elle peut souffrir de la faim ou de la soif. Nous avons des seuils de tolérance, tout comme les arbres. Vous commencez par souffrir, puis cela abime votre corps. Pour les arbres, ils commencent par puiser dans leur réserve. Ensuite, ils peuvent refermer les stomates de leurs feuilles pour diminuer leur transpiration, provoquant un ralentissement de la photosynthèse et donc de leur croissance. Ils peuvent faire sécher et tomber prématurément leurs feuilles. Ils peuvent même mourir si la sécheresse dure trop longtemps. Il y a donc bien des réactions face à des évènements qui les menace, et c'est bien une expérience désagréable. Donc, ils ne souffrent pas comme nous. Mais est-ce que ce n'est pas de la souffrance ?
Imaginer un monde sans pétrole, sans nucléaire, sans capitalisme mais avec la même démographie, il est très probable que les arbres seront coupés pour se chauffer ou fabriquer des objets jusqu’à arriver au désert. A moins peut etre de changer de civilisation et de s’adonner à la permaculture et agroforesterie avec 80 % d’agriculteurs, pourquoi pas.
Allons bon, çà commence bien!! 2:01 "les arbres du futur"!! Quand l'humain, petit être fragile sans ses vêtements et ses grandes machines, comprendra que la nature déploie, sans son intervention, mineure dans les grands projets et majeure dans les grandes catastrophes, les ressources de sa transformation inéluctable, nombre de moyens seront déployés à une préservation des diversités humaines et seulement celles-ci. Dès lors il se peut que l'humanité ne se comporte plus en régisseur ignare des richesses à déployer en observant les autres espèces plutôt que de les exhiber comme des trophées, épinglées dans des cadres en verre ou acclimatés dans des zones carcérales zoophilistes.
📖 Vous avez dit biz’arbres ? (Belin, 2024) ➡ www.belin-editeur.com/vous-avez-dit-bizarbres
🌲 En résonance avec l’exposition L’arbre, de la petite graine à la vieille branche. ➡ www.espace-sciences.org/rennes/expositions/larbre
00:00 Générique
00:32 Présentation de l'invité
17:00 Conférence
01:26:05 Questions du public
01:48:30 Générique de fin
Merci !
Merci beaucoup pour cette conférence passionnante ! Très bonne élocution, le support visuel est épuré et pertinent, le sujet est maitrisé : 10/10 merci encore Mme Lenne !
J'ai lu avec assiduité et intérêt vôtre dernier ouvrage.Il a permit d'améliorer mes connaissances sur les arbres.Je vous en remercie et bravo pour votre écriture très compréhensible.
Trop bien ! Merci Mme Lenne pour cette conférence passionnante, merci pour votre prudence épistémique. C'est toujours agréable de voir de l'esprit critique dans les présentations de recherches :D
Passionnant ... J'aime la Nature et ses prouesses, néanmoins je ne regarderais plus les plantes et les arbres de la même manière !
Formidable conférence. Merci madame Catherine Lenne.
❤❤❤c'est passionnant nos arbres 🌳 🌳 🌳 🌳 merci pour cette conférence ❤au top 56:05 ❤
Avec plaisir 😊
Génial.
😊
merci pour ce magnifique partage !
Avec plaisir 😊
Bonne chance !. 🙏🤞 !.
Une des meilleures conférences
Passionnant comme d’habitude 👏👏🙏🏻🙏🏻
😊 merci
Passionnant! SVP, passez nous rencontrer au Québec! On doit entendre parler de vos recherches sur les arbres sur l'ile de la tortue (l'Amérique)!! Merci
Merci pour cette belle et rigoureuse conférence
Très intéressante et INSTRUCTIVE 🎉
Merci beaucoup 🙂
Génial
Pour connaitre la nature il suffit de l'observer,pas besoin d'haubaner,selon son exposition l'arbre s'adaptera tout comme il ne se limite pas à un seul réseau
Passionnant
Passionant !
Intéressant. Cependant, la définition de la souffrance qu'elle a donné ne concerne que la partie physique. Or il y a aussi la souffrance psychique. Nous pouvons souffrir et être en parfaite intégrité physique. Nous entendons parfois parler, lors de sécheresse, d'arbres en stress hydrique. Le stress n'est-il pas une souffrance psychologique ?
Je n’ai pas encore vu la conférence en entier, mais stress hydrique n’a pas de rapport avec le stress du sens commun. Il y a un article wikipedia sur le stress hydrique. Mais en gros c’est un manque d’eau
@@sapumali4943 Oui, c'est un manque d'eau. Dans le cas d'une personne, elle peut souffrir de la faim ou de la soif. Nous avons des seuils de tolérance, tout comme les arbres. Vous commencez par souffrir, puis cela abime votre corps. Pour les arbres, ils commencent par puiser dans leur réserve. Ensuite, ils peuvent refermer les stomates de leurs feuilles pour diminuer leur transpiration, provoquant un ralentissement de la photosynthèse et donc de leur croissance. Ils peuvent faire sécher et tomber prématurément leurs feuilles. Ils peuvent même mourir si la sécheresse dure trop longtemps. Il y a donc bien des réactions face à des évènements qui les menace, et c'est bien une expérience désagréable. Donc, ils ne souffrent pas comme nous. Mais est-ce que ce n'est pas de la souffrance ?
C'est pousser très très loin l'anthropomorphisme d'autant que les végétaux n'ont pas de cerveau.
Si vous aimez vraiment les forêts, abandonnez le système capitaliste et productiviste....
Imaginer un monde sans pétrole, sans nucléaire, sans capitalisme mais avec la même démographie, il est très probable que les arbres seront coupés pour se chauffer ou fabriquer des objets jusqu’à arriver au désert. A moins peut etre de changer de civilisation et de s’adonner à la permaculture et agroforesterie avec 80 % d’agriculteurs, pourquoi pas.
La foudre destructrice, peut être quelques part bénéfices sur la régénération de ce biotope, impliquant l'apport d'énergie électrique ?
Bon, d'accord pour les koudous, mais moi j'aime la poésie de Francis Hallé, voilà 😋
C'est donc un poète
@@Charlicharloo La poésie sauvera le monde ... ou pas.
Allons bon, çà commence bien!!
2:01 "les arbres du futur"!!
Quand l'humain, petit être fragile sans ses vêtements et ses grandes machines, comprendra que la nature déploie, sans son intervention, mineure dans les grands projets et majeure dans les grandes catastrophes, les ressources de sa transformation inéluctable, nombre de moyens seront déployés à une préservation des diversités humaines et seulement celles-ci.
Dès lors il se peut que l'humanité ne se comporte plus en régisseur ignare des richesses à déployer en observant les autres espèces plutôt que de les exhiber comme des trophées, épinglées dans des cadres en verre ou acclimatés dans des zones carcérales zoophilistes.