Bonjour, Vous trouverez des informations par rapport à la transaffirmation et ses potentiels problèmes et dangers sur, entre autres, l'Observatoire de la petite sirène, Ypomoni, Post trans, les documentaires 'The Trans Train' (dispo sur yt), les podcasts 'Rebelles du genre', Le journal du médecin, Genspect, AMQG, PDEQ, etc. Attention : certains transactivistes accusent ces sites et documentaires et professionnels de la santé d'être "transphobes". Classique mais efficace pour censurer cette information que chacun pourra analyser. Ceci dans le but d'informer au mieux, de manière constructive sur la situation actuelle, le plus à jour possible.
bonjour, merci d'aborder ce sujet, je regarderai plus tard, j'ai la joie d'avoir découvert que j'avais une fille, je découvre depuis deux ans l'horreur de la transphobie, j'ai peur pour sa vie et de toutes ces personnes qui ont le courage d'être.
Bonjour chez parent de cette fille. Merci beaucoup de ne pas l'avoir repoussée ou agressée. De se soucier autant pour son parcours futur. Tous les parents ne sont pas comme ça
j'aurai aimée avoir un parent comme vous ^^ aujourd'hui j'ai du vivre sans ma famille , mais je suis sincerement heureuse a chaque fois que je voit des parent tolérant comme vous !
Faire un raccourci transphobe ou extrême droit parce qu'on est critique sur ce sujet et rapide et stupide. C'est comme le raccourci racisme extrême droit et n'importe qu'elle religion suivit du suffixe phobe quand on est en désaccord sur certains points. Phobe vient de phobie qui signifie la peur de quelque chose alors que ce n'est pas parce que l'on est critique sur le sujet que l'on a peur de ces personnes. Donc bon. Faut arrêté d'utiliser des mots mal formé pour parlé des personnes qui sont en désaccords, critiques et-ou inquiétés sur un sujet ou des points s'y rapportant. Ensuite, pour moi, il est normale que les transitions ne se fassent pas trop tôt et que chacun soit sur des choix qu'il fait et des raisons de ces choix. Pour autant une apparence ne change pas un ADN, on reste fille ou garçon biologiquement parlant. Ce que la plupart des personnes peuvent avoir comme problème sur le sujet c'est le fait de mettre dans la tête des enfants d'aujourd'hui que garçon et fille n'a pas de rapport avec la biologie. Parce si, cela en a un. Nous sommes fille ou garçon niveau ADN, et changer l'apparence du corps ni changera rien. Modifier son corps changera juste les problématiques et expériences de vie se rapportant au genre choisi avec en plus celles d'avoir fait le changement et le bien être de se sentir en adéquation corps/esprit quand se choix se trouve être celui qu'il fallait faire. Si cela a toujours été et que la transition ne se faisait pas faute de moyen (opération pas possible/disponible/ faisable à une époque), cela sera toujours donc nul besoin de mettre des idées dans la tête des enfants. On peut avoir des discutions le moment opportun. Savoir que cela existe OK, mais vouloir influencé la dessus non. Et ce que la plupart des gens ont comme problème c'est se ressenti que l'on veuille influencé les enfants en leur mettant à l'esprit qu'ils ne sont pas forcément ce qu'ils paraissent alors que c'est justement le sexe qui donne l'appellation mâle ou femelle, fille ou garçon. Mais c'est aussi inscrit dans l'ADN.
Il est prouvé depuis des mois/années que le cerveau d'une personne trans est câblée comme son genre originel. Un homme trans sera câblé, même sans hormones, comme le cerveau d'un mec cisgenre. Le terme "phobe" signifie peur, mais depuis une 30ene d'années il est relié à de la haine, et c'est vraiment ne pas être dans le vrai monde que de dire l'inverse.
Il n'y a pas de naturalité dans la division sexuelle? Quand même, l'un n'empêche pas l'autre. On peut tolérer et accepter toutes les sexualités, sans vouloir affirmer que la binarité n'est pas naturelle. La reproduction passe quand même par le fait d'avoir 2 sexes.
Il y a une naturalité mais il faut l'investir psychologiquement. L'homme a été arraché à sa nature. On peut pas la nier mais elle fait pas l'homme. D'ailleurs beaucoup galèrent à savoir quel comportement est normal ou naturel pour eux. L'homme est peut-être le seul être à douter, à se demander si ce qu'il fait est normal ou non. Il est peut-être aussi le seul à juger anormal, à être "inhumain". Il doute de ce qu'il est.
C'est faux, ce n'est qu'une des méthodes de reproduction possible mais ce n'est pas celle adoptée par l'ensemble du vivant, le blob par exemple en dénombre une variété de 720 sexes aux dernières nouvelles.
@@scarletstorm2755 Oui enfin pardon mais nous sommes quand même des mammifères... L'exemple de blob est juste ridicule, qu'est ce que ça apporte à la réflexion de dire que d'autres espèces n'ont pas le même mécanisme de reproduction que nous ?
@@scarletstorm2755C’est la méthode de reproduction des etres humains ! Qu’est ce qu’on en a à faire de la méthode de reproduction des éponges de mer et des nénuphars ! Vous ne vous rendez même plus compte des bêtises que vous racontez 🤔
Merci et bravo pour avoir insisté sur le fait que les personnes trans mettent en lumière les mécanismes de la construction des genres. En tant que féministe je trouve que leurs vécus apportent beaucoup à nos réflexions. Tal est vraiment un invité de prestige, éloquent, pédagogue, factuel tout en laissant affleurer ses émotions.
Ce que je ne comprends pas c’est que l’identité de genre peut amener à revendiquer le droit de s’approprier des stéréotypes de genre alors qu’on les dénonce comme des carcans à l’expression de genre 😮
Ta guele toi y arrive qu'in est écœuré de vos idées abjectent et que votre minorite impose leur idéologie, vous êtes troublé, déconstruit, faible, malade, souffrant, ..... pourquoi ne pas se soigner? Au lieu de prétendre que tout est normal!, vous êtes surement de ceux qui disent qu'un transmerde peu accoucher! Gang d'esti de vidange@@user-ri3hi3zb4v
Quand on met des hommes condamnés pour viols (donc c pas un fantasme) dans les prisons pour femmes, les premières concernées sont les femmes ! Mais Blast fait partie de la gauche masculine pour qui les droits des femmes sont peu de choses, surtout face aux droits des hommes !
Bonjour, (Comme déjà dit) Attention à l'impact de la contagion sociale (voir aussi rogd) de la transaffirmation et des transactivistes sur nos enfants. Attention aux potentiels dégâts sur leur santé, irréversibles et à vie, suite aux prescriptions de bloqueurs de puberté, hormones, opérations chirurgicales. De plus en plus de pays retropédalent sur plusieurs points suite aux débats et polémiques et au recul scientifique que l'on commence à peine à avoir. Nous ne pourrons pas dire que nous n'étions pas au courant des polémiques.
@@ReoAard on entend les zemmour &cie. le dire tous les jours merci nous sommes prévenus :) Par ailleurs, j'espère que vous savez que le retour au sexe assigné à la naissance est extrêmement rare et que les gens ont besoin d'un suivi médical pour accéder à un traitement ; le parcours est très contrôlé Enfin, j'espère qu'après avoir transmis vos avertissements, vous prenez la peine d'écouter les concernés, leur bonheur et leurs peines au lieu de les infantiliser !
@@DidGexx Bonjour, Merci pour votre commentaire. Attention au biais d'association par rapport à 'Zemmour et Cie'. Mais peut-être l'avez-vous fait sciemment? Oui : plus de gens sont prévenus mieux c'est. Même si c'est souvent (très) difficile pour les parents d'accepter qu'ils ont pu mettre, ont mis, sans le savoir leur enfant en danger, entre autres à cause du transactivisme. Utiliser l'expression "assigné à la naissance" pour désigner le sexe (simplement constaté biologiquement) est un des indices du transactivisme. De là je me demande si, très classiquement là aussi, vous sauriez définir ce qu'est une femme? Au sujet du bonheur et de la peine, des détransitions (toujours trop nombreuses, et de plus en plus nombreuses malheureusement logiquement) que vous évoquez, vous pouvez vous renseigner sur Genspect par exemple (là aussi au sujet de la transaffirmation en général) ; et lire les témoignages sur Post-trans par exemple ; et écouter les podcasts de 'Rebelles du genre', regarder des documentaires comme 'The trans Train' (dispo sur yt) ou 'No Way Back' (ce ne sont que certains exemples mais vous aurez déjà de quoi vous informer plus avant). Enfin là encore : si vous ne vous auto-censurez pas l'information en la taxant d'information "transphobe" : là encore un grand classique du transactivisme. Information que chacun pourra analyser, bien sûr, heureusement, en son âme et conscience. Vous dites, je vous cite, que "le parcours est très contrôlé" : d'où pensez-vous que vient la polémique parmi les professionnels de la santé et les parents, la société en général alors : d'après votre analyse de la situation? Est-ce que vous critiquez vraiment négativement le fait "d'infantiliser" ... des enfants ... ? Pensez-vous dès lors qu'il faille traiter les enfants comme des adultes concernant l'autoaffirmation, la transaffirmation?
Quelques extraits d'Alice au pays des merveilles : « Ils sont tous fous : mieux vaut ne pas les contrarier. » « Si la reine rouge voit un rosier blanc, nous aurons la tête coupée. Peignons tous les rosiers en rouge ! » « Si la reine rouge entend ce que nous disons tout bas, nous aurons la tête tranchée ! »
C'est normal que l'ensemble de la population se pose des questions face à cette demande de transitionner. Ce n'est pas être transphobe. Ce qui est inadmissible, c'est d'agresser des personnes transgenres !
Je ne trouve pas ça si normal que ça dans le sens où le public se posait des questions face à la demande des gays et lesbiennes de pouvoir vivre en couple avec une personne de même sexe, se pacser voir se marier. Y a un voyeurisme hétérocisnormatif assez déplorable quand on y réfléchit.
@@valentinemas9247 Ça veut dire qu'on considère les hétéros et les cisgenres comme une norme et le reste comme anormaux au point de s'intéresser à tous les détails de leur vie, même la plus intime.
@@remzel3442 bien sûr qu'il est normal de se poser des questions. C'est quelque chose qui n'existait même pas pour beaucoup de personnes. On remet directement en question ce qu'est le genre, ce qu'est être une femme ou un homme, donc à priori ça concerne la grande majorité des gens. Ce qui n'est pas normal c'est remettre en question la légitimité de quelqu'un d'exister collectivement et de créer des lois par essence discriminante. Que M. Dupont fasse sa transition ça ne me regarde pas par contre la question du genre regarde tout le monde, surtout quand on est dans un monde où les femmes et les hommes ne sont pas égaux et qu'on applique des quotas et des séparations entre les genres. Je m'interroge beaucoup sur le fait qu'on s'évertue plus à condamner Mme Michut qui se pose des questions que ces mêmes lois et flou juridique qui mettent en danger et relai au banc de la société les personnes trans. On ne posera plus de question, on ne saura plus voyeur, peu importe notre genre et orientations, le jour ou on sera mort.
@@elo2164 En fait, le fait de se poser des questions par rapport au genre est super légitime en soit, ça interroge notre vision de la société etc... En revanche Mme Michut elle se pose en général pas réellement la question comme cela, elle se pose plutôt la question de la légitimité des personnes trans car selon elle admettre ces personnes reviendrait à remettre en cause la vision du genre dans notre société ; et parfois Mme Michut elle est pas trop d'accord pour cette remise en cause donc elle va regarder de très près les personnes trans pour voir au vu de leur irréprochabilité sociétale si ça vaut le coup de les accepter. C'est un peu la triste réalité de notre société, d'où le fait que les hétérocis sont super voyeurs sur les personnes LGBT+ dès que ça questionne leurs standarts
Qu'est-ce que c'est que ce journal qui invite des gens concerné par le sujet et qui l'ont etudié? La prochaine etape c'est quoi? Des climatologues pour parler réchauffement climatique? Ou va t'on? Je prefere connaitre l'avis de Pascal Praud ou d'Élisabeth Levy! Blague a part: sujet et invité tres interessant. C'est agréable ce genre de video.
Год назад+3
C'est dramatique oui. Tous solidaires pour Bolloré ! ✊
La prochaine etape c'est des medecins pour parler du covid 😉😥 🤑🤑🤑🤑🤑🤑 ou des banquiers pour parler de la planche à billets (je ne parle pas des repantis meme si leur temoignage peut justement etre tres revelateur)
Merci Blast! Je suis trans également et effectivement la transition commencée à presque 50 ans est longue, mais le parcours est plus simple en Allemagne où je vis.
En Belgique aussi c'est plus simple, je suis choquée des blocages de l'administration française... Courage à vous en France et dans les pays où c'est compliqué de transitionner administrativement.
père d'un jeune homme trans, j'ai beaucoup aimé cette interview qui va m'aider à surmonter mes inquietudes lors du "passing" de mon fils. merci Tal & Paloma❤️
@@xc7997 ??? Ton message est là pour faire peur à ce père plutôt que le rassurer. Si c'est vraiment le bien être de l'enfant qui t'inquiète alors milite pour un meilleur traitement des trans. Oui, il y a des difficultés à faire la transition. La bienveillance c'est de ne pas être transphobe, l'ouverture d'esprit c'est comprendre les souffrances de ces gens. Quelle empathie auras-tu pour son enfant quand iel se fera agressé.e ? Mon soutien à son père commence dès maintenant en m'opposant aux transphobes qui feront souffrir son enfant et lui assurant qu'il y aura toujours des gens près à se battre pour des droits égaux pour toustes quel que soit notre genre et j'attends pas une hypothétique maladie pour être en empathie (et sous entendre qu'il l'avait ainsi bien chercher)
@@surlatoile007honnêtement ne plus porter d'intérêts à gens qui utilisent bêtement le mot "woke" est la meilleur chose à faire. Ce sont des moutons qui répètent bêtement les propos de l'extrement droite sans comprendre quoi que ce soit, ça a d'abord été Bobo, ensuite bisounours, islamo-gauchiste et maintenant woke. Bref, maintenant des que je vois le mot "woke" je n'essaie même plus de débattre. Mon lapin est plus intéressant.
@@xc7997 "woke" merci de montrer ton ignorance et ta bêtise aux yeux de tous. L'avantage des sous-êtres comme toi, c'est qu'on les reconnait de loin. Facile pour la chasse du coup. ;) On vous aura, tkt pas.
@georgesabitbol3035 je ne savais pas comment lire votre réponse. Puis j'ai regardé les commentaires et je comprend votre désarroi... on n'est pas sortis du bois. Après l'intolérance et les propos haineux sont toujours plus facile derrière l'anonymat.
Super vidéo, ça soulage vraiment de voir le sujet aussi bien abordé ! Je regrette juste un peu que la question des personnes trans non binaires et de l'enbyphobie spécifiquement n'ait pas été discutée, mais j'imagine que cet angle était le plus cohérent avec le parcours personnel de Tal, et avec son dernier livre. Super choix d'invité en tout cas, un gars brillant et adorable que j'ai eu l'occasion de rencontrer une fois et que je suis toujours heureuse d'entendre dans les médias. Tal, si tu passes par ici, "La fin des monstres" était clairement une de mes meilleures lectures de l'année :) Merci BLAST et Paloma !
Merci Blast d'avoir invité Tal Madesta. C'est devenu rare en France d'inviter et de donner la parole aux trans pour évoquer des sujets trans .. Vidéo qu'il est important de partager à l'entourage, aux amis, aux connaissances et aux personnes ouvertement transphobes, le plus souvent par méconnaissance et n'étant informés que par les chaines de télévision grand public .. Courage à tous, nous sommes valides ❤
IL vaut mieux regarder les vlogs et écouter les médecins que les militants qui, bien souvent, sont des gens douteux qui ne représentent pas du tout l'ordinaire des trans. Franchement, la désinformation par les militants est un vrai problème.
c'est une blague ? les LGBTQ sont constamment mis en avant dans les films, les émissions. Y a même un drag queen qui va tenir la flamme olypique, faux arrêter de jouer les victimes.
@@Malbar-vs8sh Il y a 11 000 porteurs de la flamme (source PARIS2024). Ainsi, même avec un drag queen... Je ne vois pas là sur-représentation de la communauté. Grandis à un moment et arrête de rabâcher ce que tu entends sur cnews :)
Je dirais aussi qu'en regle plus generale, en France, qu'on soit trans ou cis, big pharma fait ce qu'elle veut de notre remboursement de secu et de l'acces au soin. C'est tres evidemment le cas pour les trans, mais pas uniquement. C'est aussi le cas dans le dentaire par exemple si on veut une solution plus durable alors que les "specialistes" pensent plutot qu'il faut des soins (moins cher) et qu'ils n'ont pas authorisation de devier des standards a moins de risquer leur carriere en cas de controle financier. L'autodetermination est un tres bon moyen de proposer une solution, car cela devrait aussi changer pour les procedures de changement de nom en regle generale, et pour l'acces a tous les soins possibles sans gatekeeping par le prix et parcours conventionel de la medecine.
@@yoshydoll Fais toi couper la bite ou t'en faire greffer une si tu en as envie mais garde ça pour ton intimité et ne le revendique pas : vous commencez à énerver tout le monde et ça se retournera contre vous
@CC-sf2xl Je comprends et tu peux penser ce que tu veux. Tu peux nier UNE vérité tant que tu n'imposes pas TA vérité.Par exemple si je vois un homme habillé en femme ou une femme habillée en homme, tu ne peux pas que tu m'imposes quelque chose que je ne vois pas et que je puisses être attaqué pour cela. Il y a les lois de la physique et de la biologie, et il y a la vision de chacun qui tôt ou tard se fait rattraper par des lois qui sont immuables comme celles de la physique et de la biologie. Même si certains pensent que la terre est plate, la physique nous dit le contraire... Force et courage à toi et fais ton chemin sans t'occuper des autres.
Aujourd'hui être trans c'est presque la même violence que subissaient les homosexuels dans les années 60/70, les mentalités ont évolué sur l'homosexualité, la sexualité et l'homophobie, mais pas en matière de transidentité et de transhobie ! Beaucoup de travail à faire dans ce sens. !!
@@StevenFiloki oui tu as entièrement raison, l'homosexualité tout le monde pensent que c'est open alors que pas du tout !! La réalité est beaucoup plus violente et nuancée et c'est malheureux. L'homophobie ne recule pas, Les mentalités stagne !! En revanche je continue de penser que les violences transphobes ont quant à elles battues tout les records en matières de violences sociales, physique et de stigmatisations. Ils ont font malheureusement des cas psychiatriques. Ça qui m'amène à dire qu'ils subissent malheureusement la même situation que les homosexuel(le)s dès années 50/60/70. Et c'est bien malheureux. Ils sont justes les nouveaux bouc-émissaires !!
@@StevenFilokioui je suis bien d'accord l'homophobie stagne, mais ne baisse pas, elle as même tendance à augmenter également. mais la transphobie quant à elle, bas des records !! Et j'ai bien peur que la situation ne se détériore surtout avec la montée des idées de droites et d'extrêmes droites en Europe !!
@@isaacmrs1396 Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Merci pour cet entretien passionnant et qui permet de donner de la voix aux sans voix. Connaissant très mal la transidentité, le témoignage de Tal Modesta est saisissant. Un immense merci et tout mon soutien!
oui c'est assez triste a voir d'ailleur cette foule a 70% constituée de gent qui écrivent juste pour nous tapper en démontrant que leur seul interet est de nous brimer ..
Quand tu as le doigt coincé dans une porte, tu n'as pas envie que ça dure!!! Et tu vois ce que tu veux bien voir!... On ne t'a pas vu t'insurger quand le gouvernement a bâillonné nos enfants, et leur a balancé des spots publicitaires culpabilisants! Les révolutionnaires en carton pâte, c'est bon là!... Remercie Macron, c'est lui et son gouvernement qui ont mis les trans sur le devant de la scène!... Et si tu creuses un peu le sujet, tu te rendras compte que les trans sont une manne financière pour les labos, et autres cliniques spécialisées en chirurgie!... Regarde combien ça leur rapporte! Tout cela n'est encore qu'une question de pognon, comme d'habitude pour ses soit disant progressistes dégénérés à la solde des lobbies!...
@@Purbinaire HAHAHA la lecture rapide fois dix ^^ on voit bien le gros transphobe qui ne veut absolument rien écouter et rester bloqué dans ses opinions réacs de nazillon.
@@simongauthier4285 en tout cas sur les réseaux sociaux ça polarise a fond , je suis pas certain que ce support nous fasse aller dans le bon sens tant les esprits sont chauffés à blanc .
Les commentaires des gens qui utilisent l'adjectif " rageux " au lieu de " d'un autre avis ", " pas d'accord", " dubitatif ", c'est un tel manque d'arguments et d'un vide tellement abyssal que c'est un bonheur Ps : ça donne à ceux qui avaient un doute sur la question le sentiment très net qu' une si grande vacuité, ce n'est vraiment pas fait pour les gens intelligents.
C'est l'idée de changer son corps qui fait peur. Déjà voir la transformation de corps sous hormones est troublant, mais les opérations (faire couper ses seins ou son pénis par exemple) a quelque chose de sidérant, voir un corps d'homme enceint encore plus. Changer de genre (lié aux codes sociaux) ne pose aucun problème. Changer de corps, surtout au niveau aussi intime que la sphère qui touche à la sexualité, est beaucoup plus troublant. Sans pour autant justifier les discriminations qui ne devraient pas exister
Merci pour nous d'en parler a cette période ou l'on a une ministre des solidaritée transphobe dans un monde ou les pays transphobe sont de plus en plus nombreux et en l'occurence , un pays ou les agression transphobe sont de plus en plus nombreuse .
Quelles pays sont de plus en plus transphobes? Comme si c'était mieux avant? Ce genre de violences existaient déjà avan't, et se réduisent de plus en plus. Arrêter de fantasmer une hausse des violences comme l'extrême droite
on peut juste dire anti trans , parce que psychiatriser l'adversaire c'est guère mieux que ceux / celles qui psychiatrisent les trans . De plus je ne suis pas persuadé que le personnes qui détestent les trans soient saisis d'une peur panique , en tout cas ça ne les paralyse pas car souvent ils agressent !
*agressions sexistes. Ces agressions ne sont pas liées à la croyance qu'on est dans le mauvais corps, mais à la non conformité aux stéréotypes et rôles sexistes selon son sexe.
Merci infiniment Tal Madesta pour ces mot, le partage de vécu, et l'analyse sociétale. Merci Blast et Paloma Moritz pour cet épisode : il est important car il laisse la parole aux concerné.es. et traite le sujet de manière a inverser le regard, et voir ceux qui jugent les personnes trans comme les monstres de notre société.
On ne nous a pas "assigné un genre a notre naissance" , les médecins et les parents ont juste constaté le sexe homme ou femme, car oui , la nature et la réalité sont peut être transphobe et fachiste , mais chez les mammifères comme nous, ils n'existent que deux sexe que l'ont gardent jusqu'à la fin de sa vie, même blindé de chirurgie et de médoc... Encore un tissus d'absurdité sur la question qui se contentent d'annoner la doxa dominante Il est décidément pathétique que la gauche s'embourbe dans cette niaiserie américaine néo libérale et mysogine de la théorie du genre...
La doxa dominante, c'est précisement celle que tu es en train de defendre dans ce paragraphe, c'est à dire la confusion entre sexe et genre. Personne, je dis bien personne ne remet en question la binarité du sexe: c'est un concept biologique. Ce qui est maléable et changeable (par la transition), c'est le genre. Le genre, c'est un concept social, ca désigne toutes les attentes et les pressions sociétales qui informent comment un homme ou une femme doit e présenter et se comporter, et comment le reste de la société se comportera avec eux/elles. La transidentité, ca n'est pas un phénomène cantoné à l'amérique ou au néolibéralisme. Ce n'est pas un concept récent, bien au contraire. Le fait qu'on en parle plus en ce moment ne veux pas dire que le phénomène en soit est nouveau.
@@SpaceLion444 oui oui bien sûr 😁 donc si un garçon aime jouer a la poupée, c'est un genre Femme coincé dans un corps d'homme ? Et si une femme joue au rugby et a les cheveux courts c'est un genre homme dans un corps femelle ? Ça peut pas être juste une femme qui aime jouer au rugby et porter les cheveux courts ? Vous ne vous rendez pas compte que vous reproduisez et renforcer les mêmes stéréotypes que le patriarcat. Les seuls qui osent critiquer cette théorie du genre sont la l'extrême droite mais paradoxalement, pour les mêmes raisons de stéréotypes de genre que vous...Sauf ton respect, je ne devattrai pas plus (pas le temps et flemme), je pense juste que vous ouvrirez les yeux dans quelques années sur cette théorie absurde. Quand a la doxa dominante , ils suffit de voir les lois qui sont mis en place dans tous les pays depuis 10 ans qui autorisent les traitements sur les mômes ou des changements de sexe légalisé par les papiers d'identité, ou même de juste de regarder Hanouna, pour laisser les gens d'eux même se faire une idée sur le discours de la doxa 😊le discours transgenre n'a rien de subversif, il est au contraire comme le poulet aux hormones,complètement hors sol étroitement dépendant de la pharmacologie ultra libéral et de ce monde artificiel coupé de la réalité...
@@synthifou5815 oui..le genre n'est qu'un rôle sociétale stéréotypé, créée et renforcer par le patriarcat. Il est juste triste que des femmes, prétendant lutter contre le patriarcat, défendent des théories absurdes qui renforcent ces schémas caricaturaux.
@@SpaceLion444 le genre ne nous est pas assigné à la naissance et surtout est loin de n’être qu’une construction sociale, patriarcat and co. Le système hormonal et notre fonction biologique dans la reproduction de l’espèce jouent un rôle fondamental sur la manière dont homme et femme se comportent et se complètent. Il y a des pôles de comportements féminin et des pôles de comportements masculin en chacun de nous, dans la grande majorité des cas ces pôles s’équilibrent d’eux même et la personne ne vit pas de souffrance qt à son sexe biologique. Nier cela serait nier de fait les volontés de transmutations sexuelles. Un homme biologique souhaitant devenir une femme biologique (et inversement) doit certainement être guidé par un pôle comportemental féminin très puissant, envahissant et absolument incompatible avec son sexe biologique. Et qu’elle serait alors la démarche s’il s’agissait de sortir des carcans sociétaux? L’invité lui même le dit, il est bcp plus tranquille depuis qu’il est homme. Du coup ne peut-on pas voir au final ces démarches comme une ultime adhésion au patriarcat, où les hommes trans deviendraient d’affreux oppresseurs, et les femmes trans endosseraient les comportements de parfaites soumises? Comment une femme biologique peut savoir ce que c’est réellement d’être un homme biologique (et inversement)? Les trans ne sont-ils pas condamnés justement à « jouer » avec les clichés. Tout cela est complexe et ne peut être pensé sous l’unique et éternel angle victimaire.
Qu'il y ai deux sexe chez les mammifères n'est pas une "fiction idéologique" mais une réalité scientifique. Ca ne justifie en rien la transphobie cela dit, d'ailleurs la sexualité elle , se definie sur spectre, ce qui peut preter a confusion. Sinon, super vidéo et témoignage importants.
l'idée qu'il ya 2 sexes définis chez les humains est une vulgarisation pour les élèves de 6me. la vérité est que le sexe est un spectre et est déterminé par multiples facteurs qui peuvent entrer en contradiction les uns avec les autres
@@xc7997effectivement, c'est la science dure qu'est la biologie qui dit littéralement que le sexe est un spectre car déterminé par multiples facteurs qui peuvent entrer en contradiction les uns avec les autres
1) le sexe est un spectre biologiquement parlant, pas une simple binarité mais plus complexe et multi factorielles (chromosomes, parties génitales, taux hormonaux, etc) 2) le genre n'est pas la meme chose que le sexe, donc ton argumentation s'effondre.
J'aurais été curieux de voir le sujet du lien avec les Etats-Unis abordé : les transphobes affirment souvent que les sujets sur la transidentités sont une "importation américaine" ... mais ce qui est surtout une important américaine, c'est l'utilisation par l'extrême droite de ces sujets comme nouvel outil politique pour déclencher une panique morale et mobiliser leurs troupes. Est-ce qu'on est en train de suivre la même trajectoire qu'eux parce que c'est une stratégie qui marche et qu'il faut trouver des moyens de lutter contre ce mouvement de haine et peur instrumentalisé ?
Non non tu racontes des sottises il y a une réalité il est inutile de changer l'ordre des choses pour coller à ton narratif. L'idéologie politique est bien venue des USA vers l'Europe. Les médicaments et les façons d'opérer proviennent bien des USA. Quant à l'ideologie et les théories de genre ont bien été véhiculées depuis les usa vers l'Europe par le biais des réseaux. Il y a eu création de département dans les universités américaines. Ce sont des faits et on s'en tape de l'extreme droite c'est totalement hors sujet.
Les trans deviennent politiquement extrémistes et extrême gauche . Vous voulez imposer votre logique à la majorité. Masse de Gay , lesbienne et bi français ne vous supportent plus , vous prenez toute la place dans la communauté. Vous avez un soucis de narcisse vous vous vous et les autres différents à la trappe .
Ah oui, oui, très joli. Une belle projection. Simple et sans fioritures, mais ça fait le taf. John Money, papa pédoenthousiaste du "genre" qui imposait, entre autres horreurs, à deux frères jumeaux - dont un féminisé de force qui aura tragiquement fini par se suicider au terme d'une vie de trauma et d'errance médicale - de simuler l'acte sexuel pendant qu'il prenait des photos, il était bien américain, non? Ce qui est formidable chez les transactivistes, outre leurs capacités inégalables à gaslighter & à DARVO, à insulter et menacer ainsi qu'à s'approprier et réécrire tout ce qui historiquement appartient à d'autres, c'est leur ignorance profonde. Que dis-je, _abyssale_ 🕳️ Y'a des créatures au fond de la fosse des Mariannes qui en savent plus que les idiots utiles au sein de cet activisme mortifère. Le bon côté des choses c'est que vous n'avez pas que des ignorants et des soumis en mode virtue signaling en face 😊 on vous voit utiliser l'ignorance du quidam à votre avantage pour prêcher et évangéliser. Et ce qui est mieux encore, c'est qu'au sein même de la "communauté" on en peut plus de vous et des retombées négatives sur nos vies LGB à cause de votre terrorisme idéologique sur les populations et votre intérêt très curieux pour les très jeunes gens et les enfants. Sur ce bonne journée, je retourne auprès de mes maîtres fachiss' à l'estrème drouate déclencheurs de panique morale parce qu'en fait je suis juste un pantin instrumentalisé et -phobe (je suis à cours de clichés et autres buzzwords, je vous laisse le soin de compléter).
@@ghjuOn a le bingo transphobe complet. Ce niveau de trolling c'est de la dissonance cognitive faite comédie. Vu que tu ne développe aucun argumentaire, on va pas te répondre sur le fond (y en a pas). En revanche darling, tu peux parler au nom d'aucune communauté. Ton cercle proche ne représente rien ni personne, si ce n'est que vous-même. Allez ciao bye.
@@eliseverdurin1837l'extrême-droite et la transphobie sont complètement liées. Comme le racisme et masculinisme (entre autre). La panique morale autour des transitions sert de cheval de Troie, en guise de click baits qui débouchent sur une spirale menant directement aux différents mouvements d'ED partout dans le monde. Si tu continues à suivre les liens et suggestions yt/insta/facebook/tiktok transphobes tu finiras par tomber sur les suprematistes blancs et autres fachos. Aux États-Unis, d'ailleurs, l'extrême-droite dit que les études de genre viennent d'Europe. D'ailleurs elles étaient nommées (par cette extrême-droite) french studies. Bisous
Je ne comprend pas pourquoi vous ne traitez pas vraiment le problème du progressisme excessif (type Evergreen) qui régente aujourd’hui les grandes universités US, au point que beaucoup de professeurs DE GAUCHE s'en inquiètent profondément. C'est une crise profonde dans le milieu de l’éducation et du savoir. C'est une véritable révolution culturelle, style Mao. Au lieu de cela, vous faites pleurer dans les chaumières avec l'histoire, certes touchante et noble, de Tal Madesta, mais qui n'a rien a voir avec ce qui se passe en ce moment aux Us, et qui arrive doucement mais surement dans les milieux de l’éducation en France. Je suis abonné à Blast par conviction, conviction que 1. Vos enquêtes et les sujets que vous traitez le seront sérieusement. 2. Vous êtes une gauche qui réfléchit. 3. On ne vous la fait pas à vous. Si la gauche française tombe dans le panneau, c'est un boulevard pour Zemmour et autres "vrais" fascistes... Et qui va ENCORE être plus divisée? La gauche ! S'il vous plait, Blast, faites votre travail, ou donnez le dossier à quelqu'un qui en comprend les enjeux !! Merci.
L'interview me semble à côté de la plaque. Grand bien leur fasse aux individus majeurs de décider eux même de leur vie. Par contre pour un enfant de 12 c'est autre chose. Je ne comprends pas comment on peut considérer qu'il est moralement juste de faire transitionner un enfant qui n'a pas de capacité de décision, avec des solutions médicales à effets secondaires lourds pour sa vie entière.
Et malheureusement le scandale sanitaire, qui est en fait médical, comme il est minimisé ici en le mettant dans la bouche de l'extrême droite, il est bel et bien réel.
La clinique Tavistock a enfin décidé de stopper, les opérations de transitions sur les ados. Trop d'effets secondaires néfastes. Selon moi, c'est plus pour se protéger contre d'éventuelles plaintes, qu'autre chose.
@@jean-noelfavier1154 Mouais, enfin, l'institut Tavistock, s'est chargée d'opérer des ados, qui n'avaient pas 18 ans , quand même. Ces ados opérés, ont pour la plupart , développé le même syndrome, celui de ne plus éprouver de désir sexuel, entre autre, du coup Tavistock a freiné, voire arrêté ces opérations.
Personne, et surtout pas des parents, ne FAIT transitionner un enfant. C'est un long processus très accompagné et discuté et élaboré avec des soignants, des médecins , des psychologues et travaillé familialement
Je ne comprends pas que dans un monde dit civilisé on puisse encore stigmatiser des minorités quel qu'elles soient . Bravo monsieur , pour votre grande humanité et de défendre des droits qui devraient être automatiques . La grande injustice que vous subissez jusqu'à avoir des problèmes pour l'emploi et le logement en plus des violences et des rejets familiaux ce n'est pas acceptable dans un pays comme la France . Bon courage à vous tous
Des minorités bourgeoise et envahissantes (dans les médias) 60 millions de Français et ces 50000 casse-burnes privilégiés (un micro, une oreille se tend pour les petits malheurs) qui ne savent pas assumer une kékette ou une chatte...
@@stmart9755 Non ils n'y a pas qu'eux et loin de là . Il faut combattre ça et le mieux c'est avec les enfants , leur apprendre que les différences quelles qu'elles soient sont une richesse .
Dommage quand même que certaines questions ne soient pas posées et que dès qu'on a des interrogations, on est traités de transphobe. Par exemple, le fait d'avoir des dragqueens qui lisent des contes aux enfants dans les bibliothèques et que les parents que se questionnent sur ce fait sont ridiculisés. Pourquoi une femme qui transitionne en homme a le désir de garder son utérus pour être enceint? Tellement de question Mais surtout laissons les enfants tranquilles
C’est pas de la haine de vouloir laisser les sport féminin aux femmes. Léa Thomas a détruit tous les record de natation féminins au USA. C’est une insulte envers les femmes athlètes. C’est pas de la haine de vouloir guarder les vestiaires de filles aux filles. Et notre sécurité alors? C’est pas de la haine de refuser de mutiler des enfants fragiles.
Lia Thomas a battu un seul record, celui de son université. Ce record a de nouveau été battu par une femme cis un an plus tard. C'est une insulte envers les femmes athlètes d'ignorer leurs prouesses sportives pour se concentrer sur une seule athlète qui est pas née comme il fallait.
@@Gelcoluir_ C'est une insulte envers les femmes athletes d'ignorer leur nombreuses demandes a reserver les sports pour les femmes. Elles sont toutes unanimement contre devoir se changer devant un mec et devoir se battre contre eux. Lea Thomas est ne parfaitement comme il fallait,, c'est un homme de 1m95, un athlete en parfaite sante. Le seul probleme c'est qu'en tant que nageur homme il etait 450 eme, mais des qu'il fait des competitions avec les femmes il est soudaiment 1er. Les gens qui sont pas nes comme il faut c'est les bebes nes avec des cancers ou des malformations handicapantes. Eux ils ne reverait que d'une chose c'est d'avoir la chance d'etre en bonne sante et d'arreter de souffrir.
@@twinklefarm Je ne sais pas si tu te rends compte que tout ce que tu dis est teinté de mensonge, même les petites choses comme la taille de Lia Thomas (qui fait 1m85, soit à peine 2cm de plus que Katie Ledecky) tu te sens obligé de mentir. Il en va de même pour son classement, étrangement si je vérifie les informations on y trouve des choses comme classée 32e en masculin avant sa transition. Pour une athlète qui a dû prendre un traitement hormonal pour combattre une dysphorie de genre qui est souvent bien incapacitante, passer de top 32 à top 10 n'est pas surprenant. Et elle n'est évidemment pas 1e actuellement, tu as quelques athlètes qui performent beaucoup mieux, notamment la fameuse Katie Ledecky qui s'est retrouvée invisibilisée par les media qui n'ont d'yeux que pour le drama autour de Lia Thomas.. Sans compter quand tu dis que les athlètes femmes souhaitent unanimement écarter les femmes trans de leurs compétitions, c'est ridicule quand tu regardes ce qui se passe en vrai. Dans tous les sports où les femmes trans ont été bannies, c'est quasiment toujours un homme qui prend cette décision et qui parle à la place des femmes. L'opinion des athlètes est invisibilisée et utilisée, notamment par des gens comme toi qui déforment toute la vérité pour imposer leur vision sur ce que doit être un homme et une femme. Étonnamment, le sport où les athlètes trans sont le mieux accueillies, le roller derby, est un sport entièrement féminin. Dans la vraie vie, quand tu enlèves la présence des hommes et leur vision misogyne sur à quoi doit ressembler une athlète femme, tu te retrouves avec des sports où les femmes trans sont parfaitement acceptées.
@@MB-rx9rb Et les personnes trans ne demandes que ça, seulement il y a des types comme toi et la toute droite qui en font un sujet politique sans compté la violence constante et l'ignorance du publique alors il faut parler de ces problèmes pour les régler et toi t'arrive au milieu de tous ça, avec des personnes marginalisées qui explique leurs misère et plutôt que de ressentir l'émotion humaine qu'est l'empathie tu préfère passé la meilleur partie de ton temps à leur dire de la fermé et de souffrir en silence. Les personnes comme toi sont simplement répugnante
@@mitaku2287 et du coup, tu le catégorises aussi en fonction de ses propos. On peut ne pas être d'accord avec les propos sans tomber dans le piège grossier de l'attaque à l'autre. Propageons l'amour, pas la violence ;)
@@mitaku2287 Je n'en fait pas un sujet politique mais de société. Ce sont les associations et les partis politiques qui le font. Si j'étais de droite, je ne serais pas abonné à Blast depuis la création ni ne suivrais Denis Robert depuis 10 ans. Je ne suis pas ignorant des souffrances infligées par la majorité sur une minorité, car moi-même j'en ai fait les frais. Ce que je veux dire c'est que le genre et la sexualité font partie de l'ordre de l'intime. En tant qu'hétéro je n'ai pas à faire un coming out ou bien être dans la revendication de ce que je suis, alors j'en attends de même pour mes semblables quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur expression de genre. En contrepartie, personne ne devrait juger publiquement les personnes sur ces questions là. Mais je ne comprends pas cette lubie d'écolo de centre ville qui veut nous faire croire que ces personnes sont persécutées insidieusement ou ouvertement dans notre pays.Qu'ils vivent leur vie sans problème. Tu sais le vrai anarchiste c'est celui qui traverse sur le passage piéton afin qu'il n'ai pas la peine de devoir parler au policier. je vous conseille de faire pareil car derrière la façade de la bienpesance, la majorité n'est pas prête à les accepter. C'est le prix à payer par les marginaux. Désolé ce n'est pas moi qui fixe les règle de la psychologie des foules. Je vous suggère de lire les ouvrages de Gustave lebon à ce sujet là et d'écouter "la mauvaise réputation" de G. Brassens.
@@sia-daturea J'adorerais que ça soit le cas mais je ne peut que constaté le contraire, aux états-unis a été lancé depuis plusieurs années déjà un effort de normaliser une rhétorique génocidaire pratiquement directement emprunté aux Nazis en ayant juste changé quelques mots (on est passé de "juif" à "trans", de "judéo-bolchevisme" à "marxisme culturel" et "néo-progressisme") et atteint un niveau de violence sans précédent avec en 2023 seulement, 566 propositions de loi visant à sévèrement restreindre les droits des personnes trans (jusqu'au droit de sortir de chez eux et d'exister dans l'espace publique) dans la quasi intégralité des états et ils ont sorti un nouveaux programme il y a quelque jours: "Project 2025" décrivant qu'ils redoublerons d'effort sur le sujet si le prochain président des USA est républicain (ce qui veut dire que les restrictions de droits pour les personnes trans ne serait plus seulement au niveau d'un état, qui laisserait donc la possibilité de fuir dans un "état sanctuaire", mais serait appliqué au niveau fédéral). Ce qui se passe ajd aux US est un génocide, autant selon les critères des Nations Unis que pour ceux du musée de la Shoah. Et récemment cette rhétorique s'est vu importé dans la sphère politique française avec quelques années de retard, entre autres par Marine Le Pen (je fait là référence à son discours au Havre le 1er Mai dernier où elle a sorti une traduction littéral de la rhétorique américaine d'il y a 4-5 ans) et aussi évidemment d'autres personnages politiques et médias qui font de la diffamation de minorités entières leurs métier tel que Eric Zemmour, Jean Messiah, CNEWS et j'en passe. Quand bien même j'adorerais être charitable avec des personnes qui montre clairement une incompréhension du sujet ils le font pratiquement toujours avec dogme, sans jamais se remettre en question ni les mensonges qu'ils diffusent et en utilisant un vocabulaire clairement violent. J'ai eu assez d'interaction avec ce genre de personne pour savoir qu'argumenter un point avec eux est voué à l'échec d'autant plus qu'ils commentes sous une vidéo où la majorité des incompréhension qu'ils ont est expliqué puis débunker mais visiblement ne l'on pas regardé ou alors c'est passé dans une oreille, ressorti par l'autre sans chatouiller la matière grise. C'est frustrant de se dire que ce type de personne est un peu monsieur tout le monde du centre jusqu'à l'extrême droite et même à gauche certains présente ce genre d'incompréhensions ou de sensibilité aux mensonges sur les personnes trans propagés par les médias, autant sur la TV que sur facebook ou twitter qui est désormais plus jonché de néo nazis que jamais. Voir autant d'hostilité me fait extrêmement peur, autant pour la société parce que je vois une sympathie croissante pour des partis fascistes que pour moi même car je sais que je serait la cible et inévitablement victime de ce genre de rhétorique puisqu'ajd le RN est aux portes du pouvoir et LREM à défaut de rendre la situation pire d'eux même sont indifférent à ce problème et laisse la route dégagé pour que le RN prenne le pouvoir. La colère des personnes trans à l'encontre des transphobes pensant réellement ne pas l'être est justifié.
Pourquoi confondre la critique et la haine ? Face aux militants trans, il y a les deux, et les mettre dans le même panier c'est de la mauvaise foi. Tout comme on peut être critique de la religion sans vouloir du mal aux croyants, on peut être critique du transactivisme sans vouloir du mal aux personnes trans. Merci de distinguer les mecs qui vont cogner des trans (statistiquement, c'est majoritairement des clients qui violentent des femmes trans en situation de prostitution) des féministes qui ont un désaccord idéologique. Ce débat peut être résumé par un problème de définition. Il y a plusieurs définitions du mot genre, et donc par extension différentes vision du sexe, et des mots femme/homme. Les féministes matérialistes (une grande part de la seconde vague féministe de gauche, avec des autrices comme Delphy (souvent mal comprise) et Wittig), ont une approche où le genre est vu comme l'ensemble des comportements/attitudes/rôles attendus socialement d'un sexe (c'est aussi la définition qu'on utilise en sciences sociales), et qui considère que le mot homme/femme renvoie au sexe, et que selon le sexe constaté à la naissance, on est placés dans le genre masculin/féminin, classe sociale oppressive où l'un domine socialement l'autre suite à un apprentissage social bien codifié. Alors que de leur côté, les féministes libérales (mouvance de la majorité des militants trans*) considèrent que le genre est un système d'identification auto-déterminé, et donc que cette identification dépend de individu (pas de la société) et est émancipatrice. Leurs définitions sont plus floues, puisque homme/femme renvoie à "qui s'identifie comme homme/femme" (donc une définition circulaire, j'ai toujours pas réussi à obtenir une vraie définition, ni à comprendre ce qui pour eux constitue la différence entre un homme et une femme et comment on peut s'identifier à une notion qu'on ne peut pas définir), et masculin/féminin renvoie plus souvent à la performance du genre. Historiquement et dans l'idéologie, ces deux approches sont de gauche. Les premières, affiliées au communisme (plutôt centrées sur le collectif et les systèmes de classe), les deuxièmes, affiliées au libéralisme de gauche (plutôt centrées sur l'individu). Et enfin, de mauvaise foi beaucoup trop souvent confondue avec les féministes matérialistes, on a une vision du genre historiquement plutôt de droite, où homme/femme renvoie à la fois au sexe et au genre parce que les mouvements conservateurs ont tendance à avoir une vision essentialiste du genre (c'est à dire qu'il serait naturel que les femmes et les hommes ont tels et tels comportements, pour eux ce n'est ni un apprentissage social, ni une auto-détermination). Les féministes matérialistes craignent que l'on oublie que le sexisme est basé sur le sexe (lire Françoise Héritier), et que ne plus pouvoir définir homme/femme selon le sexe fasse perdre le féminisme de son sens et ouvre la porte à des dérives (en effet, comment lutter pour les femmes si on ne sait plus définir ce qu'est une femme ?). Elles ont aussi peur que cette définition circulaire des mots homme/femme cache en fait des définitions basées sur le renforcement des stéréotypes de genre. Elles militent pour l'abolition du système de genre, en tant que classe sociale, pour que les femmes soient libérées de ces carcans. Méfiez-vous des personnes qui vous assurent que le genre ça voudrait dire ci ou ça et pas autrement, méfiez-vous de ceux qui vous disent que leur façon de voir est la bonne et les autres à censurer, méfiez-vous de ceux qui vous culpabilisent de poser des questions, méfiez-vous de ceux qui vous empêchent de lire "le camp adverse", méfiez-vous des gens qui prétendent que cette question est simple. C'est une question compliquée, qui concerne tout le monde, il y a plein de courants de pensées différents et de nuances (je vous fais un résumé archi simpliste) et chaque courant à ses défauts argumentatifs. Lisez les arguments de tout le monde pour vous faire votre propre idée à vous, gardez en tête que les gens adorent s'étriper sur twitter, mais que des grands concepts comme ça c'est plus compliqué que des tweets, et que les théories c'est pas juste une question de "concernés" et de "ressentis", mais d'arguments rationnels. Prenez le temps, nourrissez vous des décennies de débats théoriques sur le sujet, peut importe qui vous convaincra, vous en ressortirez grandis !
Je suis très confuse vis-à-vis du fait que les personnes gender critical et/ou qui perçoivent nos transidentités comme une idéologie nous qualifient de libéraux. Le capitalisme neoliberale est une entrave à nos transitions et dans une société communistes, nos parcours seront libres et gratuits. De plus, une partie importante des militants pour l'émancipation des personnes trans sont materialistes. Le matérialisme trans est d'ailleurs de plus en plus présent comme grille d'analyse parmi les intellectuels et universitaires qui étudient et décrivent nos parcours (je pense notamment à Beaubatie). Ça me fait aussi toujours tiquer qu'on nous dise qu'on perçoit le genre comme un ressenti individuel alors que ça n'est pas vrai. Je ne peux parler que pour moi mais ce qui fait que je suis une femme, et ce qui me rapproche des femmes cis, c'est aussi en grande partie que je vis la misogynie, c'est ma réintégration sociale et administrative dans la société sous une identité féminine, c'est aussi le fait que mon corps soit rendu partiellement femmelle par mon traitement avec les conséquences sociales que ça a, bref c'est pas un sentiment évanescent. La libération des femmes cis et celle des femmes trans sont indissociables puisque nos conditions d'existence sont ultra similaires. Les deux groupes cherchent l'autonomie corporelle réelle et non-conditionnée au fait d'être riche, les deux cherchent la fin de leur exploitation sexuelle par les hommes, les deux cherchent la fin des violences et meurtres à leur encontre, etc.
Je trouve cette critique intéressante, et comme vous avez l'air tout à fait disposée à réfléchir et à vous remettre en cause, j'aimerais bien vous faire quelques remarques, au cas où cela puisse vous intéresser. Tout d'abord, je trouve pour ma part très regrettable que le féminisme (exception faite de l'éco féminisme, à mon avis, qui touche à un équilibre intéressant) ne vise pas d'avantage à intégrer, revendiquer et mettre en valeur des reproches qui sont faites à la gente féminine depuis l'antiquité, à savoir une supposée "émotivité" trop débordante, qui s'oppose précisément à l'esprit rationnel. Il est très important de déconstruire l'idée selon laquelle les femmes ne sont pas aptes à la pensée rationnelle, et je me battrai toujours contre ce préjugé infame. Néanmoins... Le seul problème n'est pas là. En muselant le sentiment, en conspuant le ressenti, on le voit, d'une part, envahir tous les arguments pseudo-rationnels. Car il existe en tout être humain, et s'impose à notre insu quand on cherche à l'ignorer. On peut tout aussi bien devenir tyrannique, car les concepts ne sont pas "par nature" plus valides que les sentiments, et ne provoquent pas moins de guerre et de brutalité (cf communisme, capitalisme et bien d'autres ismes...). Plutôt que de chercher absolument à savoir qui a "raison", écouter les autres parler de leurs sentiments permet bien souvent de les comprendre, sans avoir besoin de remettre en question ses propres sentiments, car contrairement aux concepts, ils ne nous obligent pas à choisir un camp... Et pourtant, ils changent dès qu'on intègre l'existence de ceux des autres. Par ailleurs, les sentiments ont encore un autre avantage tout à fait capital. Ils appartiennent à la personne qui les ressent, contrairement à toutes les idéologies. Ils ont donc la vertu de permettre l'émergence de l'individualité, et je pense qu'il est très dommage de ne pas leur reconnaître cette grande force. Peut-être l'heure n'est elle plus aux grandes idées qui prétendent à la connaissance universelle, mais enfin de revenir aux ressentis qui sont autant de guides vers la connaissance de soi-même. Mais ce n'est que mon avis, maturé à partir d'un enchâssement de sentiments et de concepts.
Ce qui est compliqué c'est quand on mélange tout. Nature ou culture ? Il y a des deux . Ce qui fausse tout débat apaisé c'est quand certains ramènent tout à la culture et d'autres à la nature. Les deux camps devraient lire absolument ce que dit Olivia Gazalé sur le sujet dans un livre remarquable qui s'intitule Le Mythe de la virilité, un piège pour les deux sexes !
Il veut rendre possible l'auto-détermination ? Sérieux ? Mais.. ne sait-il pas que là où ça a été mis en place, du coup n'importe qui a pu se dire trans, y compris des personnes non-trans ? Je ne comprends pas : venant d'une famille avec un père violent, ne sait-il pas que beaucoup de gens souhaitent profiter des failles du système pour pouvoir commettre des crimes ? Ne voit-il pas le problème qui a été observé en prison aux USA et en Angleterre où des mecs se sont soudain dit trans pour pouvoir être transférés en prison de femmes et les violer ?? Des gens qui parfois avaient été incarcérés POUR VIOL ???? Alors qu'on pourrait se concentrer sur la protection des vraies personnes trans en prison, on donne un ticket aux hommes pour faire semblant de l'être ? Mais sérieux, pourquoi la journaliste ne soulève même pas le problème de l'auto-détermination, n'a-t-elle pas fait un minimum de recherches pour préparer l'interview ? Ça soulève même le problème des statistiques de crime, où on va soudain voir une augmentation des crimes commis par des femmes alors que ce sera de faux trans auto-déterminés ! Vous êtes de gauche ou vous êtes libéraux au point de penser qu'on devrait pouvoir faire ce qu'on veut, jusqu'à décider tout seul de ce qui est écrit sur notre état civil ? J'avoue, il m'a fait bondir, sur cette question. Pareil sur la psychiatrisation : ben, heureusement qu'il faut deux ans de suivi psy avant de commencer traitements et chirurgies. Qu'on soit bien sûr de ce qu'on fait, quoi. Imaginez qu'on se soit planté ? Ce ne sont pas de petites interventions, d'une part, et d'autre part elles sont faites sur un corps sain, à la base. Alors, j'entends l'argument de la détresse psychologique, les possibilités de suicide etc... ce qui justifie le satané suivi psy !! Pardi ! Parce que souhaiter se modifier à ce point et entamer un parcours de soin qui va durer TOUTE LA VIE, ce n'est pas anodin et ça demande bien d'être absolument certain de son choix, surtout lorsque c'est commencé très très jeune, à un âge où l'on peut être particulièrement troublé et aux prises avec de nombreux problèmes cumulés (comme ce jeune homme trans, qui de son propre aveu, a subi de nombreuses violences de la part de son père dans son enfance). Je ne sais pas, je trouve étonnant que ni lui ni la journaliste ne soient capables de voir l'implication sur la société qu'aurait une mesure comme l'auto-détermination. Ça ne me semble pas très sérieux. Je voudrais aussi comprendre : si la dysphorie de genre n'est pas une trouble psychique, alors, qu'est-ce que c'est ? Et pourquoi ce serait honteux d'avoir un trouble mental, comment percevez-vous les personnes qui en ont, du coup ? Comme de moins bonnes personnes ? N'est-ce pas validiste, comme attitude ? Au lieu de vouloir se dépathologiser, ne faudrait-il pas plutôt lutter contre le stigmate de la pathologie mentale ? Du coup par extension, je me demande si les gens souffrant de dysmorphie corporelle sont encore catégorisés comme ayant un trouble psychique ou ont-ils été retiré de la liste eux aussi, et si non comment justifier cette différence de traitement ? Bref. Franchement, Paloma Moritz aurait pu aller tellement plus loin dans ses questions, mais la peur d'être même un tout petit peu soupçonnée de transphobie est trop forte. C'est assez frustrant.
Vous avez bien pointé le problème. L'idéologie d'identité de genre existe, contrairement à ce que prétendent ses partisans afin de museler les personnes (de gauche, des féministes...) qui y décèlent de nombreuses contractions insolubles. Cette idéologie entend réfuter l'existence même du trouble de la dysphorie de genre ; il n'existerait que des identités de genre qu'il ne faudrait surtout pas psychiatriser.
Ah mais la dysphorie de genre c'est toujours une pathologie mentale, hein. Tout le monde répète que c'est plus le cas, mais c'est un gros mensonge. J'ai mon p'tit DSM-5 sous les yeux et c'est bien écrit dedans.
@@Metamonita Je pense qu'il n'est pas faux de parler d'idéologie de l'identité de genre, du moment qu'on admet que ce n'est qu'une réponse à une idéologie du genre qui reste très vivante dans les esprits... La femme, qui doit enfanter. L'homme, qui doit travailler et se battre. L'homme identifié à son pénis. La femme, à son utérus. Et tout être humain ramené à une fonction biologique, au service d'une grande nation. Menant à la mutilation des personnes qui naissent intersexe, pour les conformer à ce schéma de pensée. Faut-il psychiatriser toutes les convictions intimes qui poussent les gens à adapter leurs habitudes de vie et à se construire autour de ces convictions ? Comme être végétarien, par exemple ? Ou sportif ? Ou fumeur ? La psychiatrisation intervient dès lors qu'il y a une souffrance subie, ou infligée à l'entourage. On peut tout à fait classer la dysphorie de genre parmi les troubles psychiques, puisqu'elle est cause de souffrance, mais vivre en accord avec ce qu'on ressent, est-ce que ce n'est pas guérir en ce cas ? Ou bien la psychiatrie n'est-elle vraiment qu'une mesure sociale répressive qui vise à étrangler tout ce qui semble échapper à la norme et à la doxa en vigueur, finalement... ?
@@moltragan je salue la qualité de votre prose, mais vous passez malheureusement à côté de la nuance principale : nous sommes tiraillés entre notre partie naturelle et notre partie culturelle, dichotomie qui caractérise notre espèce humaine. Aujourd'hui on oublie visiblement que le langage culturel décrit à la fois des éléments de notre nature et d'autres de notre culture. Je crois que le problème de cette ideologie transe vient du fait de confondre les limites entre le naturel et le culturel. On parle de l'idéologie de genre parce qu'elle repose sur une "idée", celle qui prétend qu'il est possible d'être né dans le mauvais corps parce qu'on ne correspond pas ou qu'on refuse de reproduire les clichés sexistes attendus par la société. Cette idéologie pretend également que le sexe biologique n'existe pas et que les concepts homme et femme ne se réfèrent qu'aux personnes se reconnaissant comme appartenant à l'une ou l'autre liste de clichés. Tout ceci est un délire culturel. Vous prétendez que cette idéologie se construit en réaction à une idéologie déjà en place, seulement le sexe n'est pas une idéologie, c'est une réalité biologique dont a découlé la plupart de nos listes de clichés respectives. Vous êtes donc injuste quand vous comparez le fait d'être identifié selon son pénis avec le fait de devoir enfanter, vous confondez nature et culture et ce que les mots veulent dire. Homme et femme ont beau être des mots culturels, ils décrivent des concepts naturels, qui s'expriment par la répartition de nos rôles sexuels dans la reproduction, les mots homme et femme ne définissent que le sexe, pas le genre. Une femme ne doit pas enfanter, ça c'est culturel, une femme dispose simplement de l'appareil biologique permettant de le faire (ne me retorquez pas les infirmes et les intersexes, on ne peut pas définir en prenant compte des exceptions ou on n'aurait pas de mots). L'homme ne doit pas se battre ou ouvrir le pot de cornichon, il est équipé de l'appareil biologique pour le faire. La répartition de nos rôles traditionnels ne découle pas d'une idéologie apriori (qui l'aurait dictée, et à quel moment?) mais plutôt le produit logique de notre histoire de vivre ensemble. Et non toutes les habitudes de vies ne doivent pas être psychiatrisées, seulement celles qui présentent une décorrélation grave de l'esprit culturellement influencé et de la nature du corps, mettant en danger le patient, comme c'est le cas avec les transes en général et les jeunes transes en particulier, qui auraient probablement davantage profité d'un accompagnement psychologique plutôt que cette folie mutilatoire de l'accompagner jusqu'au bout de sa délusion. Moi je me suis toujours senti noir au fond de moi, alors que je suis blanc d'apparence. Seriez vous opposé au fait que je change de couleur et que je demande à tout mon entourage de changer son langage me decrivant? Pour quelle raison? Auriez vous un jugement envers les noirs qui ne m'accepteraient pas en tant que noir?
@@yoyoyayu Je vous remercie pour votre développement, mais je me permets de vous faire remarquer les zones d'ombres qui subsistent dans votre argumentaire. Aucune idée, ou idéologie, n'affirme que le sexe biologique n'existe pas. La théorie du genre avance une distinction entre le sexe biologique (qui est donc considéré comme existant, vous l'aurez compris) et le genre, auquel s'attache en effet des présupposés culturels, des rôles sociaux et des relations humaines différentes. La culture n'est pas un délire, mais une part de nos vie d'animaux sociaux, qui ne consiste pas à nier notre nature le moins du monde. Les deux peuvent exister dans le même temps, c'est toute la richesse de la pensée paradoxale. Par ailleurs, je n'ai jamais dit que le sexe était une idéologie, mais j'ai peut-être manqué de clarté à ce sujet et je peux essayer de mieux m'en expliquer. J'avance simplement la préexistence d'une idéologie du genre, donc de l'aspect culturel qui s'attache à la représentation des individus des deux sexes. Vous l'admettez vous-même, quand vous dites "une femme ne doit pas enfanter, ça c'est culturel, elle dispose simplement de l'appareil biologique permettant de le faire" : il y a donc bien un aspect culturel du rôle des femme dans la société, et c'est bien tout ce que j'ai dit, donc il me semble que nous en sommes d'accord (à part peut-être sur l'affaire de l'homme équipé de l'appareil biologique adapté pour ouvrir un pot de cornichon... Là, j'avoue que je ne vous suis pas. Mais chacun ses méthodes.) Les "idées" sur le rôle propre aux genres pupulent depuis longtemps, et je ne saurais dire où elles commencent. Des manuels de bonne conduite pour les femmes ont été rédigés en France par des moines, des intellectuels. Les traités féministes s'inscrivent dans cette lignée, quoiqu'ils suivent généralement une voie bien différente. Les traités de maîtres d'armes des temps passés abondent d'idées sur les vertus d'un homme, sur le rôle qu'il doit tenir vis à vis des femmes, pour lesquelles il est tenu de combattre. Par ailleurs, d'autres cultures ont bâti un rapport au genre très différent, comme c'est le cas des inuit qui reconnaissent depuis des siècles l'existence d'un troisième genre, intégré à leur culture et leur vision de la spiritualité. Je pense que de très nombreuses et variées idéologies s'attachant au genre ont existé tout au long de notre histoire, et que c'est une thématique très loin d'être neuve. À mon avis, c'est vous qui passez à côté d'une nuance capitale, qui existe entre la sphère publique et la sphère privée. Je pense qu'il n'est pas absurde de parler "d'idéologie du genre" dans la mesure où c'est une façon d'expliquer un ressenti intime et de s'en justifier, pour des personnes qui sont tenues par une majorité normative de s'en expliquer. Mais la transidentité en tant que telle n'est pas une idéologie. C'est bien un ressenti intime, qui appartient à la sphère du privé, et qui est tenu de s'accompagner d'une explication idéologique dans la mesure où des gens que cette question ne concerne absolument pas s'emportent et stigmatisent ce ressenti, en parlant d'illusion et de folie mutilatoire. C'est ainsi que vous parlez d'autres êtres humains, en présumant qu'ils sont stupides et endoctrinés sans essayer le moins du monde de les comprendre, alors qu'ils ne vous menacent en rien. Vous vous inquiétez pour eux ? Vous pensez qu'ils ont besoin d'être ramenés vers "la vérité" ? Des chrétiens ont eu la même conviction quand ils ont eu besoin de reporter leur propre ombre sur d'autres humains pour éviter de la regarder en face. Votre façon de voir le monde est bien plus dangereuse que celle d'humains qui essaient de vivre avec leurs paradoxes, et qui demandent à être acceptés ainsi. Je vous accepte comme vous êtes, d'ailleurs j'ignore toute de vos choix de vie et je ne vous demande pas de vous en justifier. Mais je vous invite à la prudence, quand vous qualifier le droit des autres à disposer de leur corps d'"idéologie" et que vous vous en irritez. Par ailleurs, si ça peut vous ouvrir l'esprit, devenez noir si vous voulez. Ce n'est pas mon problème, et je ne pense pas que ça puisse en être un, du moins je ne me sens pas le moins du monde menacé par cette perspective. Je pense que votre intégration sociale n'est serait pas facilité, mais c'est plus vous que moi que cela concerne, et pour peu que vous soyez sincère dans votre chemin, j'aurais à cœur d'essayer de comprendre ce que cela représente pour vous, si par le plus infini des hasard vous vouliez vous en ouvrir à moi. L' expérience humaine est pour moi un chemin fantastique que j'arpente avec mon propre jugement, face à moi-même, et ma place n'est pas de juger celui des autres, mais d'essayer d'en percevoir les richesses, pour grandir peu à peu.
Merci Paloma pour cette formidable interview ! J'ai adoré la fin, en imaginant ce que pourrait être un futur souhaitable et surtout ce que nous devons faire aujourd'hui pour y arriver. Un bon exercice à garder en tête pour toutes les interviews à venir :)
C'est l'idéologie politique mortifère qui pose un problème aux gens pas les personnes trans. Les transactivistes sont problématiques en 1er lieu pour les personnes trans. Vous avez des personnes trans qui dénoncent l'Idéologie lgbt+ Je ne changerai pas d'avis sur ce point après m'être longtemps renseignée et après avoir discuté avec les intéressés.
En effet nous sommes beaucoup à critiquer cette idéologie, et malheureusement on est classé trop souvent dans les "personnes haineuses". C'est bien dommage, une idéologie qui n'accepte pas la critique est dangereuse à mon avis.
C'est quoi "l'idéologie lgbt", comment la définissez vous ? On dirait une grande peur, comme les discours "anti-wokes" de la droite qui ne veulent rien dire dont le seul but est d'effrayer les gens.
l'enfant est naturellement influencable et fragile, l'adolescance exacerbe ctte instabilité, et prend des decisions irrationnelles, impulsives et court-termistes. C'est le role des parents de calmer, rallentir et recanaliser l'enfant/Ado. Si ce dernier passe à travers cette periode de test, c'est *alors* que ce n'est pas un caprice, mais un vraisujet. à ce moment là, les parents devraient le réaliser, et accompagner l'ado.
Des dizaines d'études ont été faites sur les détransitions : il y a très peu de détransitions et dans la grande majorité des cas c'est du à la transphobie : pression sociale, pression des parents, discriminations au travail, agressions etc.
@@lilithtrump2359nan il y a littéralement plusieurs études dessus. D'ailleurs bcp de ces personnes reprennent leur transition plus tard quand ils sont dans un environnement plus stable
O attend toujours ces fameuses études ? Bizarre, vous semblez avoir perdu toute connexion internet pendant plus de 21 jours... Surprenant ! @@vivapharaon Je crois que ces études n'existent pas du tout et que tu n'as rien trouvé de mieux que de mentir pour appuyer tes propos bidons.
Quelle lucidité, quelle maturité. J'ai vécu cela de l'intérieur, mon ex femme n'a pas supporté, nous nous sommes séparés, car elle ne supportait pas les questions, et la sexualité de nos 3 filles...découvrir l'homosexualité de son enfant reste une effraction pour certains, pour moi c'était un bonheur de les voir heureuses...J'imagine le parcours sans l'amour des siens...Un enfer possible, courage et fraternité.
Bonjour, Il faut faire la différence entre LGB (orientations sexuelles) et T (qui n'est pas une orientation sexuelle). D'où aussi le fait que des associations LGB se désolidarisent du T et condamnent la transaffirmation au moins chez les enfants.
@@ReoAard la vaste majorité des personnes LGB sont solidaires des personnes trans (qui sont très souvent elles aussi gay, lesbiennes ou bi, d'ailleurs), faire la distinction ne sert qu'à continuer la discrimination.
@@naluzoniro Bonjour, Merci pour votre commentaire. Justement : ça change : avec les nouvelles données et le recul, petit à petit. De plus en plus comprennent les enjeux et les dérives, les dangers liés directement à la transaffirmation. Voyez LGB Alliance par exemple.
Ce qui fait peur aux gens, je pense, en tout cas ça a été mon cas pendant longtemps, c'est la disonance cognitive indue (surement par notre éducation d'ailleurs) par la difference entre le sexe biologique et le genre, et aussi, la non tolérance quand quelqu'un de non trans s'interesse a ses sujets, ayant une cousine qui a transitionner, je lui ai poser plusieurs questions et les reponses ont souvent été "tu es un hetero cis, tu pourras pas comprendre, en plus reflechir comme ça c'est transphobe.", j'etais choqué car la premiere chose qui m'est venue a l'esprit a l'epoque c'etait qu'on me demandait d'etre tolerant et dans l'amour, alors que la reaction en face etait le rejet de ma propre personne.. du coup maintenant on se parle a peine, alors qu'on a grandi ensemble, tout ça parce que j'ai voulu comprendre la difference entre le sexe biologique (de naissance et qu'on ne peut malheureusement que déguisé, car la médecine n'a pas encore assez évolué) et le genre qui est propre a chacun et sur quoi personne n'a son mot à dire. Alors oui j'ai vécu ça comme un deuil, le deuil de notre relation, juste parce que j'ai été maladroit, par méconanaissance et que la reaction en face n'a été qu'une pensée prémachée sans autres arguments que le bouclier de la "Transphobie"
Vous avez peut-être été blessant sans le vouloir. Pourquoi ne pas lui dire directement ce que vous dites là, reconnaitre votre possible maladresse et ignorance (ignorance qui est souvent à la base d'une certaine violence ou même terreau d'une haine, de manière générale, sans parler de vous).
je trouve ça fou qu'une même personne puisse dénoncer très justement les inégalités de genre, dire qu'on met les gens dans des cases pour rien, que ça génère un système de domination..... et dans le même temps revendiquer son appartenance à une de ces cases plutôt qu'à une autre !? Si on est contre le fait de "caser" les gens dans des classes de genre... pourquoi vouloir à tout prix en changer, et pas plutôt les abolir ? (je parle principalement des femmes trans en disant ça, pour les hommes trans je peux comprendre totalement l'intérêt de ne plus vouloir subir le système de domination)
Sauf que ce sont deux choses différentes. C'est justement ça la critique. C'est un peu comme entendre le mot blonde et s'imaginer Brigitte Bardot et que le seul blond qui existe c'est le sien alors qu'il y a plein de blonds différents (dont le plus foncé qui est facilement confondu avec du châtain clair). De même tous les poils sur le corps ne seront pas forcément de la même couleur. Les attentes de la société quand à ce qu'est sensé représenter un concept diffèrent du concept en lui même. Autre expl, directement liée à la question trans: vouloir porter une jupe n'est pas la même chose qu'être une femme trans. Et inversement. Y a bcp de femmes qui n'aiment pas les robes, elles n'en sont pas moins femme pour autant. Il faut se rappeler qu'il n'y a aucune définition des mots femmes et hommes qui incluent toutes les femmes ou tous les hommes même si on ne prend en compte que les personnes "cis". Ça ne change pas que la plupart des gens s'identifient complètement à leur genre assigné à la naissance même s'ils ne sont pas d'accord avec les implications sociétales (expl: féminisme)
@@celia1888 du coup la définition d'homme et de femme est très essentialiste avec ce point de départ. En tant que féministe matérialiste, je ne peux pas être d'accord avec ça, l'essentialisme fait le lit du sexisme.
@@Ziptotozip alors déjà je me sens de demander en quoi dire qu'un "des gros problèmes que la transphobie fait ressortir vient de la vision que se fait la société du genre" ne rentre pas dans le féminisme matérialiste. Après je suis personnellement une féministe intersectionnelle et je considère que matérialiste et essentialiste sont deux visions aux extrêmes d'un spectre plus nuancé donc ça joue probablement sur ma compréhension.
0,1% de la population Qui ont tous leur soins pris en charge par la sécu pour mutiler un corps sain alors que de plus en plus de personnes n’ont plus accès aux soins
Tous les soins et opérations ne sont pas pris en charge par la sécu. Et certains le sont, mais pas de manière confortable (délais d'attente extrêmement longs en hôpital public). Aussi, ce ne sont pas des soins et médocs pour 0.1% de la population qui vont dégrader les conditions de traitement et l'accès au soin des autres gens. Les personnes trans ne sont pas responsables des politiques de santé publique. Enfin, comme vous le dites en utilisant le mot "soin", pour beaucoup de personnes trans les traitements reçus augmentent significativement la qualité de vie, réduisent significativement les sentiments négatifs liés au corps et qui pourissent la vie...etc. Plus de gens qui vont mieux > impact positif pour la société.
Et alors y’a bien des alcooliques à qui on greffe un foie ou des vieux de 90 ans a qui on fout une prothèse de hanche alors qu’il ne remarcheront pas , vous en voulez encore? Idiote
Le problème du "geare" comme vous dites, c'est qu'on entraine les enfants à adhérer aux stéréotypes ultra sexistes et extrêmement misogynes. Cette adhésion souvent excessive peut largement contribuer à les rendre très dépressifs (cf études universitaires sur l'adolescence et l'adhésion aux stéréotypes de genre). De plus, on expérimente sur eux des traitements hormonaux destinés à la castration chimique comme bloqueurs de puberté et donc de développement physiques des sexes. Cela peut être un problème à très court terme, plus on stoppe vite le développement du sexe et moins les chir auront de quoi reconstruire un autre sexe (notamment la peau) mais en plus, les nerfs n'ont pas été formés au plaisir et donc il est fort probable que ces futurs adultes n'aient jamais de plaisir sexuel et éprouvent des douleurs sans fin à cause de leur néosexe mal fichu (cf une chirurgienne de tavistok spécialisée dans les changement de sexe qui a beaucoup milité contre les bloqueurs de puberté à cause de ça et beaucoup de vlog trans sur le plaisir sexuel). De surcroit, on ne connait pas les conséquences sur du moyen terme de ces hormones de substitution sur le squelette, la psyché, la peau etc (cf aucune étude car aucune étude n'est menée sur la question). Enfin, le "transgearisme" à l'adolescence est souvent de l'homophobie internalisée (cf les vlogs de détrans). Courage à tous les parents qui doivent faire face à des ados dépressifs et abusifs qui ont trouvé que le changement de "geare" était la solution à leurs problèmes souvent ordinaires d'ado. Ecoutez les personnes concernées et leurs vlogs sur le net, mais aussi les témoignages des médecins anglo saxons plutôt que les militants crétins, c'est très enrichissant.
Le problème ne concerne pas les transgenres, adultes conscients et consentants, mais le fait qu'il y ait une volonté de certaines "élites" transhumanistes d'inciter à ce qu'ils y aient des interventions dans les écoles pour expliquer aux gamins qu'ils ont le choix du genre , peuvent changer de sexe en prenant des hormones et en se faisant opérer = c'est totalement perturbant pour les enfants et n'a pas lieu d'être si l'on connait un tant soit peu les stades de développement psychologique infantile ! D'ailleurs de nombreux LGBT réagissent contre cette tentative de récupération de leur cause à des fins peu louables comme la volonté de ces élites de réduire la natalité et la population mondiale !!
Est-ce que par honnêteté journalistique Blast va donner la parole aux féministes radicales ? Non parce que la quantité de mensonges ici c'est juste hallucinant.
Voilà une personne à écouter et dont il faut faire partager le témoignage! Bravo.😊 Ceci étant établi, il ne faut pas pour autant museler et censurer "transmania" mais au contraire appeler à des débats contradictoires mais apaisés pour créer les meilleures conditions d'existence pour tout le monde et réparer nos démocraties devenues tyranniques!
on mélange tout ici : un cas particulier n'est pas une généralité qui doit être encouragé. Le problème c'est pas les trans, c'est toute la propagande qui tourne autour et qui engendre des catastrophes individuels. Arrêtez avec le ouain ouain et lesstreme droite. Un homme ou une femme qui souhaite changer d'identité grand bien lui en face, mais encourager des ado qui se cherchent ou des parents qui poussent leur enfant de 6 ans à "transitionner" est criminel. Les dégâts sont irréversibles dans la majorité des cas, et cela crée des troubles médicaux sévères (dégât neurologique, sur le squelette, tumeur etc.) et souvent irréversible et jamais remboursé par la Sécu (l'épilation au laser pour une femme qui a de la barbe n'est pas remboursé, tout comme comme la chirurgie dentaire ou les lunettes correctrices). La Suède qui était à l'avant garde a fait machine arrière et considère que faire ce genre de traitement aux enfants doit être considéré comme des expérimentations médicales sur les enfants. Cela engendre aussi des catastrophes collective : on commence par vouloir changer de sexe comme de chemise (on parle de détransition qui ne poserait pas de problème) et on poursuit sur "pas besoin d'une femme ou d'un homme pour avoir un enfants" qui signifie louer le ventre d'une femme par le biais d'une entreprise commerciale qui propose (et c'est déjà le cas) de choisir la couleur de peau, des yeux, des cheveux, le QI etc (l'Ukraine est connu pour cela). Arrêtons cette folie : il y a des personnes qui ne se sentent pas bien et elles en souffre : cas particulier à traiter avec tolérance et bienveillance. Mais ne banalisons pas ce qui était considéré comme il y a peu encore comme une pathologie psychiatrique. Cela doit être étudié, et non encouragé et marchandé.
C’est une question qui ne m’intéresse pas directement mais les paniques morales de droite on finit par titiller ma curiosité. Je ne trouvais cependant pas de témoignages directs des personnes concernées. Merci pour cette interview.
Bonjour, sur Twitch (avec rediff occasionnelle sur RUclips), il y a Cass Andre qui s'exprime sur le sujet en tant que concerné, et il est très intéressant lui aussi.
@@xc7997d'ailleurs je ne pense pas que le business des groupes pharmaceutiques tienne sur un groupe aussi minoritaire que sont les personnes trans, d'autant plus qu'il y a des pénuries d'hormones très fréquentes car les groupes pharmaceutiques ne sont pas très motivé à garantir un accès aux hormones à cause de la part dérisoire que représente les hormones dans leurs bénéfices
La dysphorie de genre est un trouble dys.. et la plupart des dys doivent vivre avec leur trouble tte leur vie, faire avec, l'accepter et le faire accepter, se faire inclure tels qu'ils sont, pourquoi chercher a supprimer cette particularité innée ?? L'humanité est belle et riche avec toutes ses differences, à accepter, pas à soigner, hyper médicaliser ou effacer... absolument pas dans le rejet mais du mal à comprendre.. Ce jeune homme a l'air bien triste.. Sujet qui pousse la reflexion en effet, merci
A sa création Blast était super intéressant, c'est aujourd'hui fini. C'est de la malhonnêteté intellectuelle que de décréter de droite et d'extrême droite ceux qui ne se reconnaissent pas dans vos affirmations. Blast est devenu un site d'influenceuses , c'est triste.
@Blast , Il n'y a pas que les haineux, il y a des critiques tout à fait posées de l'idéologie transgenre qui ne jugent pas les choix personnels mais plutôt le changement de perspective et toutes les implications sociales qu'amène l'idéologie transgenre moderne.
"l'idéologie transgenre" est une invention des groupes d'extrême-droite qui cherchent à attiser la haine des personnes trans (en général pour leur gain personnel), ça n'existe pas. La seul "idéologie" commune aux personnes transgenre, c'est la défense de nos droits.
Ce qui pose problème, il fait le dire, c'est quand meme que ces questions atteignent des enfants tres jeunes et qui n'ont aucun recul, c'est comme ca que des enfants de 10 ans qui ont des vies difficiles s'imaginent regler tout leurs problèmes en faisant une tra sition Je propose qu'il faudrait un age minimum avant suivi médicale, et un suivi psychologique plus profond. Ce qui se passe concretement c'est que c'est pas la transphobie qui pousse les gens au suicides, c'est la mecanique de pensée qui mene a cette situation qui malgré le changement, n'est pas la solution a tout les meaux. En encourageant vos proches dans ce procesus, vous ne reglez aucun de leur probleme, vous les poussez dans une solution qui est rarement la bonne et irréversible.
@@oldschoolskaterfulCes retransitions représentent 1% des cas d'après les dernières méta analyses. Vous préférez vous focaliser sur ces cas, qui sont très mis en avant pour soutenir un certain agenda politique. C'est votre choix, mais pas le plus intelligent (statistiquement, mais aussi humainement).
@@oldschoolskaterfuldéjà si vous niez en bloc que la transphobie n'est pas la cause des trop nombreux suicides chez les personnes trans, c'est un gros problème
La transphpbie n'est pas LA cause, mais j'adore quand les gens se mettent des œillères de bienveillance et tombent dans la bien pensance. Je pense surtout que c'est un faux problème, qu'une minorité fait du bruit (trop peut être ?) Alors que des sujets plus importants, plus collectifs, plus constructifs sont à l'ordre du jour. Vous pensez que les petits enfants afghans se posent des questions sur leur identité de genre ? Vous pensez que dans les dernières tribues amazionnienne on se pose des questions d'identité de genre ? Vous pensez que les Chinois se posent des questions d'identité de genre ? Mon avis est posé, les gens font ce qu'ils veulent, mais arrêtez de croire que l'échelle des petits soucis d'occidentaux bien né sont ceux de l'humanité entière. Vous êtes en train de vous enterrer dans une quête de tolérance qui consiste à être des fachos des que quelqu'un vous rappel que la vie est dure et complexe. Ça me désole. Et si un jour on se retrouve dans une situation comme en Ukraine, vous allez expliquer gentillement aux méchants militaire que la guerre c'est pas bien ? Vous faites comme les féministes, comme les vegans, comme le ecolos tordu, vous decredibilisé vos propres propos à force de nier que quelque chose cloche dans votre vision étriqué de l'humanité
Les critiques de l'idéologie trans' ne se battent pas tous contre l’obtention des droits pour les trans' mais pour que les droits des trans' ne viennent pas grignoter ceux des femmes biologiques et des lesbiennes. On s'est battu pendant des années pour pouvoir avoir nos compétitions, même pour avoir le droit de faire du sport Katherine Switzer c'était en 67 hein. Quand des femmes qui ont eu un développement physique avec des hormones masculines durant des années avec une musculature qu'un femme biologique ne peut obtenir qu'en se bourrant de stéroides viennent dans les compétitions féminines et raflent la mise il y a un vrai problème et une inégalité assez interpellante. On peut aussi s’interroger sur les caprices des femmes femmes trans' qui font des scandales pour aller dans nos prisons, chez nos gynécos (non formé à leurs anatomie et prenant des places précieuses chez moi c'est 6 mois pour un rendez-vous et le frottis nous est nécessaire, les femmes trans' ont très peu de chances d'avoir un cancer du col de l'utérus), dans nos vestiaires là où les hommes trans se font bien plus discrets on peut s'interroger sur l’influence de la socialisation, les hommes sont habitués à avoir tout ce qu'ils veulent depuis petits et ne supportent pas de ne plus avoir ces facilités une fois qu'ils rejoignent la catégorie femme. Certains d'entre elles tentent même de faire disparaitre le mot "femme", il n'y a pas cette volonté chez les hommes trans'. "Personnes à menstruation", "personne à trous du devant", sérieusement je ne me défini pas non plus par mes règles ou mon vagin en fait.
@@libertym4897 plus de droit pour les uns ne doit pas rimer avec moins de droit pour les autres. Le problème c'est que ne pas voir ce que les trans subissent, le minimiser voire hurler avec les loup, ça fait des TERF notamment des allées objectives de l'extrême droite. Y'a qu'à voir qui a promu le dernier torchon de Dora Moutot.
@@libertym4897 c'est intéressant en tous cas ton développement sur les trans femmes qui font dans le caprice parce que pas habituées à subir comme une femme cis peut l'être. Dans le même style, y'a les mecs trans qui oublient, en quelques mois, ce que ça fait de se faire draguer dans la rue ou des emmerdes liées aux règles.
@@docthorr quand on entre dans une classe privilégiée je pense qu'on oublie un peu d'où on vient et les discriminations associées, ça se retrouve aussi énormément dans les transfuges de classes sociales. L'un des problèmes majeurs à mon sens c'est que les trans le sous visibles sont ceux et celles qui piquent de crises pour des détails, performent souvent un genre stéréotypé (renforçant ainsi les clichés associés au genre là où on a essayé de s'en détacher depuis des années ) et revendiquent des droits qui mettent en danger ceux des femmes biologiques. Oui une femme trans emprisonnée avec des hommes risque sa vie, pour autant est-ce aux femmes biologiques de prendre le risque d'accueillir n'importe quel pervers qui pourrait se faire passer pour trans à partir du moment où le genre est déclaratif? Idem pour les compétions sportives qui sont un des nerfs de la guerre de l'idéologie, quand on voit des compétitions saccagées dès lors que des femmes trans les rejoignent on ne peut que se poser des questions. De même ce n'est pas aux femmes biologiques de prendre sur elles et d'ignorer des pénis dans leurs vestiaires ou leurs sexualités. Qu'on crée des nouvelles catégories mais qu'on n'impose pas encore aux femmes biologiques detre gentilles et de "prendre sur elles". Si une femme lesbienne refuse de sortir avec une femme trans qui aurait encore un pénis ce n'est pas à elle de changer ses préférences physiques. Or c'est ce que demandent ces nouvelles femmes qui ne supportent pas le rejet, tout comme certains hommes estiment avoir un droit à la sexualité.
Je me dois de répondre à ce genre de message. Il y a de véritables scandales, montrant la nécessité de définir de nouvelles règles dans le sport féminin, néanmoins beaucoup des soi-disant scandales étaient en réalité montes de toute piece. Prenons pour exemple une vidéo montrant une course ayant eu lieu récemment aux etats-unis. Beaucoup ignorent que cette compétition était beaucoup plus amatrice que professionnelle, mais surtout que l'étudiante trans est en réalité arrivée deuxième de la compétition et a quelques micro-secondes seulement de la troisième place. Un autre exemple peut-etre une compétition universitaire (encore) ou une femme trans aurait 'pulverise' le record de nage, la réalité est bien plus complexe puisque le record est toujours détenu par une femme cis, la femme trans en question est arrivée première dans une seule des compétitions aux-quelles elle avait participé cette année et qu'elle étaie arrivée à nouveau avec quelques millisecondes de moins que sa première dauphine. La science, qui ne base pas ses opinions sur l'exemple qui l'arrange mais bien sur une multitude de tests qui lui permettent de bâtir sa 'verite objective', est toujours au stade de recherches sur les différences de capacités sportives entre les femmes et les hommes. Elle est d'ailleurs énormément gangrenée par les lobbies religieux et politiques, mais bref. Parlons maintenant de la gynécologie. Une femme trans, si elle prend les traitements nécessaires, développera naturellement une poitrine, les gynécologues sont formes pour la prévention des cancers du sein et d'autres problèmes du genre. Les gynécologues sont également ceux qui sont généralement conseillers pour consulter après une gynecoplastie. Aller en prison pour homme en étant une femme trans représente un très grand danger pour ces personnes, et jusqu'a preuve du contraire les prisons des pays démocratiques sont sense permettre une reinsertition et non une vengeance. Ni les femmes trans, ni les hommes trans n'ont de 'caprices', les privilèges que les hommes ont dans nos sociétés ne sont malheureusement pas expérimentés par un grand nombre de femmes trans avant leur transition, étant femme depuis leur naissance et subissant déjà une haine intense. Aucune femme trans n'essaie d'effacer les femmes, au contraire puisqu'elles en sont. 'Personnes qui ont des menstruations' existe pour certains hommes trans, et non pour les femmes trans, mais pas seulement puisque cela permet aussi d'intégrer les filles adolescentes (qui ne sont donc pas encore des femmes). Un peu comme 'femme enceinte' qui, par définition, exclue les filles enceintes (bien qu'elles ne le soient qu'extrêmement rarement volontairement) et les hommes trans enceints. Enfin : il n’y a absolument aucune idéologie trans hormis le fait de vouloir les mêmes droits pour les personnes trans et les personnes cis.
Désolée mais si on transitionne c'est à cause de la dysphorie qui est une condition neurobiologique (en cours de recherche mais très probablement). Il n'a pas de dysphorie c'est son problème, mais quand tu vis avec tous les jours c'est insultant. Le monde médical n'est pas méchant par essence, ou est le juste milieu?
Bien sûr qu'il faut protéger les personnes trans des violences et de la haine, mais balayer rapidement la question du scandale sanitaire, sans s'interroger, me paraît irresponsable. Et le problème c'est que des que l'on pose cette question, légitime quand on connaît les conséquences de la médication et des opérations, on est classé de transphobe : impossible d'en discuter. En réalité la " transphobie" n'est pas une réaction aux personnes trans mais une réponse à l'idéologie de certaines personnes trans.
Ce qui est dangereux dans l'agitation excessive d'ultra-minorités (sexuelles, politiques, ethniques, culturelles, religieuses), etc., c'est qu'elles développent des discours de haine envers des personnes qui ne leur ont jamais fait le moindre mal et sont généralement majoritaires. Faire partie d'une quelconque majorité devient un acte d'accusation, de responsabilité de leurs maux réels ou présumés. C'est malsain. Ça n'apaise rien. Ça ferme la porte à tout dialogue et donc à toute issue consensuelle. C'est d'une immaturité crasse.
@@kouklamou5119 Les nombreuses infections et nécroses que des personnes ont subis après leur transition physique, et leurs bouchers qui s'en sortent sans aucunes répercussion par exemple. Certaines aussi ne sont pas prévenues de la nature du résultat final et des effets secondaires avant opération. Ou encore le manque d'encadrement des hormones sexuelles qui sont un peu distribuées comme ça, sans trop de suivi. Certaines cliniques récentes ne prennent même pas la peine de t'assigner un psy pour t'aider dans ton parcours voir même te pousse à passer sur la table plus tôt (c'est toujours l'argent). Transitionner est devenu plus facile mais aussi bien plus risqué car il n'y a pas aujourd'hui de vrai cadre légal pour protéger les victimes négligées et abandonnées par le corps médical. Je parle bien sûr du monde occidental dans son entièreté; chaque pays varie dans sa législation. Je dois avoir oublié d'autre scandales mais l'idée générale c'est que c'est un peu le far west et que c'est important de réfléchir à comment organiser tout ça pour éviter de faire des victimes. Je suis d'accord que c'est irresponsable de taire le débat avec l'excuse de l'extrême droite. Ce n'est pas parce que trois c*nnards sont effectivement transphobes qu'il faut faire la sourde oreille.
Ce sont les médias et les politiciens conservateurs qui en parlent le plus. Il y a eu une étude faite en France en 2022 qui montre que la grande majorité des articles sur la transidentité sont publiés par des journaux conservateurs (Le Figaro, L'express, Marianne etc.) Voilà pourquoi les personnes trans sont autant présentes, et c'est uniquement depuis les deux dernières années.
@@vivapharaon La blague! Depuis quand "les médias" se limitent à des articles de journaux? Bizarrement, vous oubliez toujours la propagande "progressiste" que l'on trouve dans les séries, au cinéma, les revues, .....
Cette présence récente résulte des financements du mouvement trans par des milliardaires bien connus (et c'est officiel rien de secret). Nous allons publier la dessus prochainement.
Qui a le plus de haine ? Celui ou celle qui t'accuse de transphobie alors que tu n'émets que ton opinion ? Ou celles qui ne veulent pas se retrouver dans le même vestiaire à la piscine ou à la salle de sport avec des hommes qui se disent femmes ?
Non non, la haine mène à la souffrance. "La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine … mène à la souffrance." Maître Y. Bordel, quand on référence un truc on le note.
Une opinion ? Joli mot pour dire que vous pouvez nier l'existence et l'identité d'une personne sans aucune honte. Quoi de plus haineux de ne pas croire, ne pas accueillir, ne pas considérer la personne que vous avez en face de vous ? Quoi de plus haineux de dire à quelqu'un "non tu ne peux pas être comme tu es, tu n'en as pas le droit." ? Vous avez de la pourriture en vous, et on se battra jusqu'au bout pour qu'elle nous atteigne le moins possible.
@@Djen_doe Vous vous rendez compte que c'est sectaire votre discours ? Est-ce que quand je dis que je ne crois pas en dieu et que je refuse de l'écrire avec une majuscule, je suis en train de nier l'existence et l'identité des croyants ? Non. Je nie ne croyance, je ne hais pas ses adeptes. Ici, c'est pareil. Si on ne croit pas qu'on puisse "naître dans un mauvais corps" ou qu'il y aurait un "ressenti indéfinissable féminin/masculin", et qu'on croit que le genre c'est un construit sexiste et pas une identité personnelle, et bien c'est un droit. Et ce n'est pas de la haine.
@@Djen_doe oui, c'est possible d'exprimer un désaccord et de dire que la personne interviewée est une femme et non pas un homme. Ne vous en déplaise. Vus reconnaissez à cette personne le droit de librement choisir son genre ? Reconnaissez nous le droit de librement contester son choix.
14:15 ah ouais mais du coup c'est aussi super inquiétant cette différence entre les 8% et les 0,4% ; ce qui si j'ai bien compris signifie que 95% des détransitions sont faîtes à cause de la transphobie
Ce n'es pas la seul cause meme si ce n'es pas plus rassurant . on doit souvent se plier a des code sociaux qui n'on rien a voir avec la question trans , mais on n'en connai pas necessairement les regle et quand on est seul .. J'ai du apprendre a me maquillée , a trouver les arrangement d'habit ou autre , les habitudes , les premier soutient gorge , etc --> quand on est isolé , ces moment osnt extremement éprouvant et la situation "initial" la rend encore plus dur . C'est parfois une cause de détransition par exemple . Parfois c'est aussi une question d'argent . l'épilation de la barbe est pas prise en charge vraiment par exemple .
@@kouklamou5119 l'épilation de la barbe (et même certaines parties du corps) est prise en charge selon la mutuelle (valide aussi pour tranidentité), je t'invite à regarder sur ta mutuelle si tu en as une ;)
c'est vrai, mais on peut aussi tempérer par le fait qu'une partie des personnes qui détransitionnent à cause d'un mauvais environnement reprennent leur transition par la suite
Si on écoute les témoignages de détransitionneurs, certains le faisaient également à cause d'une inéquation entre leur sexe et leur genre du fait de violences sexistes, de viols, du fait qu'ils se sont redus compte qu'ils ne collaient pas aux stéréotypes de genre sociétaux mais que cela ne nécessitait pas pour autant de traitement médicaux. Certains autistes également se disaient ne pas correspondre au genre et ont finalement remis en question la notion de genre vu comme un dogme. Si vous avez des exemples de détrans qui ont détransitionné à cause de la transphobie, je vous en remercierais grandement
@@clovisdesbois1628 blast se positionne comme un média écolo progressiste et plutôt anti capitaliste. On parle de vie mais on peut poser des questions sur la transition. De l’intérêt capitaliste des sociétés pharmaceutiques par exemple. Ca serait intéressant
Je me suis aussi posée cette question. À l'heure où on parle de l'impact negatif de la pilule contraceptive pour l'environnement il semble anormal qu'on ne se questionne pas sur la prise d'hormone à vie pour maintenir artificiellement un corps dans un certain état sans qu'il y ai une nécessité médicale.
@@remycouillet953 Fatalement si les transitions se font dans un cadre privé on sait que ça ne va pas déplaire au capital. Mais bon vu que beaucoup de réactionnaires refusent qu'elles soient remboursées alors il n'y a pas trop le choix.
Le problème ce n'est pas tant le fait que des personnes en mal être profond changent de genre... Le problème, c'est l'idéologie qu'il y a derrière. 1 : protéger les enfants de cette idéologie dangereuse. 2 : laisser les femmes tranquilles : ça signifie dans leurs espaces, WC, sports, remises de prix etc... Et créer des espaces neutres pour les personnes trans. 3 : si la trans identité n'est pas une pathologie, les personnes trans n'ont pas à bénéficier de l'ALD payée par l'état. 4 : arrêter d'utiliser le mot passe partout de "transphobie" dès qu'une personne est critique ou se pose des questions ou n'est tout simplement pas d'accord... À ce jour, la biologie n'est pas un crime. 5 : peut-on être de gauche & critique du genre ? Ou cette étiquette n'est réservée qu'aux méchantes personnes de droite ? 🤔 6 : il y aurait encore beaucoup à dire sur cette idéologie mortifère mais je m'arrête là. Chacun mérite respect, dignité & sécurité. C'est valable dans un sens comme dans l'autre. Blast, comme chaque fois sur ce sujet en particulier, vous ne présentez qu'une partie de l'iceberg... Dommage.
@@charlotteromani oui. Toujours la même critique qui est un bâillon visant à nous renvoyer dans le placard. En disant ça, voyons démontrez que votre idéal, c'est qu'on évoque jamais les personnes trans, et qu'on les mettent surtout loin des yeux de tout un chacun, sous le tapis, dans le placard et invisible.. C'est beaucoup trop pour l'humain normal que vous êtes. À méditez. Sachez que beaucoup d'entre nous sont totalement inclus dans la société, et sont comme n'importe quel citoyen. Mais ce qu'on veut est très clair et légitime. Pouvoir se faire soigner pour une gastro sans discriminations, être traité en humain au lieu de se faire insulter à longueur de journée ou sur les réseaux sociaux. Avoir un accès à l'emploi égalitaire, à la santé, au logement, etc... Ça devrait être des banalité. Au lieu de ça, dès qu'une personne trans 'ose' apparaître à la télé (ce qui reste rare), les gens s'empressent de dire ''hein ? Quoi ? Encore ces dégénéré.es''.. Et un flot de malveillance et de haine s'en suis. Dites-moi que je ment ?
@@charlotteromani et nous ne sommes pas responsables de votre rapport étriqué qui fait que vous nous percevez comme une menace.. Laissez nous vivre dignement. Merci. Si c'est pour me demander ce que je pense du sport ou des jeunes trans de 13 à 14 ou 16 à 18 enfin...les mineur·es. Sachez que j'ai été mineure et j'ai souffert de harcèlement toute ma vie. En a résulter plusieurs hospitalisation en psychiatrie. Je suis tombée sur des psy qui voulaient au début me faire renier mon identité. J'ai vécue la violence hospitalière.. Alors si vous me répondez, soyez cordiale s'il vous plaît. Bonne journée.
Mais les trans ont accès à l'emploi, à la santé, au logement etc. non ? Pourquoi on entend on partout que les trans sont discriminés où n'ont pas les même droits que le reste de la population ? J'ai l'impression que les gens en ont marre d'être présenté constamment comme des oppresseurs-discriminateur alors que la majorité n'ont jamais eu à faire à de personnes trans
Pour la qualité de l’entretien mené par la journaliste et le côté franc, sincère et tellement touchant de l’invité : un immense merci Blast de diffuser ce genre d’interview !
Bonjour, je suis papa d'enfants trans, no genré et lesbienne (oui, trois enfants, et j'espère avoir bien compris tous les mots), je suis hétéro (j'ai pas le choix, c'est juste comme ça), et pour moi, le plus important est d'accompagner mes enfants dans toutes les dimensions de leur vie. Il m'a aussi fallu, en quelques sortes, vivre une sorte de transition depuis "papa de trois filles" à "papa de trois enfants", parce que, pas plus que moi, iels ont choisi d'être qui iels sont, c'est juste comme ça, et il me semble inutile, surtout en tant que parents, de leur rajouter des difficultés. votre interview est salutaire, en tout cas, elle me renforce dans ma conviction d'être au plus près de mes enfants et leur apporter tout mon support. Merci Blast, et merci Tal et Paloma (pour l'anecdote, T(h)al est aussi le prénom choisi par l'un de mes enfants, oui, il a rajouté un "H"^^)) Note:pour mon fils, son changement d'état civil a pris environ un mois en mairie (sauf si j'ai raté des trucs, c'est sa maman qui s'en est surtout aoccupée, étant sur place), avec effectivement un dossier "témoignage" (dont le notre (celui de ses parents) et de la fraterie, conséquent certes, mais cela a été assez rapide (et nécessaire pour lui)
ça fait toujours hyper plaisir de voir des parents qui écoutent et qui font de leur mieux pour comprendre et pour s'adapter, c'est exactement ce dont on a besoin : ) Mes parents aussi m'acceptent et me soutiennent, et c'est un exemple qu'il faut donner pour dire que non, quand on a des enfants LGBT la seule réponse n'est pas le rejet et le conflit. et re: note : si c'était en mairie c'était le changement de prénom, pas de mention de genre à l'état civil. Tant mieux si ça s'est bien passé !
Rien à faire : Je n'arrive pas à prendre au sérieux l'existence à la naissance d'une âme genrée indépendante d'un corps sexué ,xy ou xx , ce genre étant d'autre part défini comme construction sociale ... Je ne dois pas être assez subtil, ou trop facho ?
Je partage cette incompréhension. Je pense même qu’on assistera tôt ou tard à des gueguerres entre d’un côté ceux qui voudront « abolir le genre » (les non binaires) et de l’autre ceux qui revendiqueront qu’on les reconnaissent dans celui qu’ils estiment être le leur (les militants trans). Aujourd’hui, tous ces gens militent ensemble sans sembler s’apercevoir qu’ils défendent des points de vue radicalement opposées.
Sauf que sa fait bien longtemps qu'on sait que XX et XY ne sont pas les seules et uniques variantes. De la même manière que les corps au développement intersexe sont constatés. A partir de là on a quand même fait plusieurs études et recherches. Ce n'est pas une question de facho c'est juste qu'a un moment, il est temps de revoir les dernières avancées même sur le plan biologique. Ce que vous avez appris, c'était une des variantes, depuis on en a découvert d'autres. Non on ne savait pas tout à l'époque ou on vous l'a enseigné. Se serait même prétentieux de croire qu'on serait né au seul moment ou la vérité ultime aurait été instaurée et tout le reste avant et après serait forcément faux. Votre incompréhension elle est due avant tout un manque de renseignement vous ne croyez pas? Parfois un sujet, il faut le creuser.
@@aelitastone5629 Avec l'age , on apprend à mépriser ses propres certitudes : J'ai appris qu'il existaient des cas douloureux de personnes naissant avec xxy , ou xyy ; et si j'ignore qu'il ait été découvert un chromosome z , ou un chromosome qui soit entre le x et le y , il ne me gênerait absolument pas de l'apprendre, tout au contraire . Mais voilà , pour ma part je n'en ai jamais entendu parler (sérieusement s'entend ) .
@@aelitastone5629 les personnes intersexes, qui représentent seulement 1 a 2 personnes sur mille, n’ont rien à voir avec l’idéologie trans. Arrêtez d’invoquer ce faux argument.
@@numero6285 En France on a environ 1 à 3% de cas Trans et environs 1.7% de cas intersexe. Des chiffres suffisamment proche à mon sens pour se comparer. Au passage il y a des cas plus nombreux que d'autres oui comme des allergies plus rependues et alors? Au dernière nouvelles, sa n'enlève la véracité d'aucun des cas concernés. Votre idée d'idéologie incomparable me semble plus située dans votre algorithme qu'autre chose.
Passionnant cette émission et votre invité, comprendre ce que l'on vit dans l'autre sexe par rapport à l'environnement et au monde par celle et ceux qui ont été des 2 côtés, ca m'ouvre plein de réflexions.
Ça ne dérange au fond personne que vous vous sentiez homme ou femme indépendamment de votre sexe, ce qui est dérangeant pour moi est de fabriquer une idéologie en dépit du bon sens oserais-je dire, qui n’a pour seul but que de conforter et d’instituer ce sentiment. Si vous voulez transitionner, qu’est-ce que ça peut bien nous faire dans le fond, faites le. mais venir saper les bases des connaissances sans réelles recherches ou études, en copiant collant des cas d’intersexuation est presque insupportable. Existez, soyez et ne cherchez pas à vous en prendre aux autres, à la société, à la vie, à la biologie. Oui, si vous voulez exister socialement, il y a des progrès à obtenir, j’en conviens, mais il me semble que le transgenrisme théorise afin de pouvoir nier la réalité biologique et ainsi de se justifier à ses propres yeux, en créant un environnement politique favorable à son propre choix, afin de créer les conditions de sa légitimité, ce qui n’est pour moi à la base qu’une histoire personnelle et d’un individu face aux réalités du monde. Mais surtout chercher à culpabiliser et déconstruire sans méthode les sociétés, et savoir, et connaissance qui ont permis l’émergence de notre société actuelle, loin d’être parfaite, mais qui a néanmoins permis l’émergence de la parole transgenre apparaît plus comme des gesticulations ingrates que comme de véritables revendications.
Si vous vous intéressiez vraiment à la science, vous auriez vu que la science a démontré pas mal de choses en ce qui concerne la transidentité: "Brain Sex in Transgender Women Is Shifted towards Gender Identity" "Early Access to Testosterone Therapy in Transgender and Gender-Diverse Adults Seeking Masculinization" (et ce test a été fait avec placebo pour éviter les biais) "Long-Term Regret and Satisfaction With Decision Following Gender-Affirming Mastectomy" (on y voit ici que le taux de regret des mastectomies par exemple est de... zéro!) Bref, des études y en a vraiment plein, j'en ai juste mis trois mais si vous avez vraiment envie de vous renseigner pour savoir de quoi vous parlez, n'hésitez pas à faire quelques recherches :) Ah et au lieu de vous rouler par terre en hurlant que les transgenres parlent trop, je vous invite également à vous renseigner en quoi l'intersectionnalité est importante dans les luttes et en quoi la déconstruction du genre, de ses stéréotypes, etc, c'est également une lutte qui vise à abolir les inégalités liées aux discriminations.
Je n'ai jamais compris les gens qui se permettent de juger la vie des autres. Oh les espèces de gus en commentaire, on en a rien à foutre de ce que vous pensez. Qui êtes vous pour juger cette personne ? A quel point êtes-vous conscient de ce qu'ils vivent ? En fait vous ne laissez que transparaitre votre ignorance. Vous n'imaginez pas les difficultés administratives et le mal être social que ces gens subissent. C'est un parcours du combattant. J'espère de tout coeur qu'ils trouveront leur voie, ils ne demandent qu'à vivre !
Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Dans ce cas, comment est-ce qu'une personne assignée à la naissance homme pourrait donner son avis sur ce qu'est le genre féminin, qui est une construction sociale dont il n'a pas subi les méandres éducationnels, le regard du monde sur lui et les projections sexistes ? De plus, que dire de toutes les personnes qui ne sont pas en accord avec leur genre et qui ne se considèrent pas trans pour autant ? Elles n'ont plus le droit de parler du genre ? Que dire des détransitionneurs critiques du genre, ils n'ont pas non plus le droit de donner leur avis ?
Il est bon de donner la parole à une personne au coeur du « sujet » et de la laisser expliquer ses difficultés. Toutefois, elle ne répond pas à beaucoup des questions pratiques, médicales, sociétales du phénomène et demeure presque constamment au même niveau idéologique que celui qu’elle déplore avec son interviewer (« invoquer la protection de l’enfance, c’est trop facile », versus « ce sont des masculinistes »: match nul). Comment demander la « dépathologisation » de la transition alors que la prise de médicaments courra toute la vie ? Quels sont leurs effets secondaires ? Leur coût sur 40 ou 60 ans ? Si la société doit les prendre à sa charge par un remboursement total, n’est-il pas dans l’ordre des choses qu’il y ait une enquête médicale et un contrôle sur leur attribution avant d’engager la procédure ? On ne peut pas non plus comparer avec autant de légèreté les implants mammaires (réversibles) de femmes adultes et les mastectomies définitives d’adolescentes. Bref, peu de personnes tolérantes voudront refuser d’entendre le point de vue des trans si celui-ci était l’amorce de plusieurs autres entretiens où tout serait débattu honnêtrment et surtout dépolitisé. Accuser l’extrême-droite de transphobie sans opposer des arguments idéologiques ou émotionnels n’aboutira qu’à renforcer le rejet de la majorité de la population, qui n’est pas « transphobe » et « violente » mais complètement abasourdie par un phénomène nouveau et, le nier serait malhonnête, angoissant.
Je vous invite à lire ces études: "Early Access to Testosterone Therapy in Transgender and Gender-Diverse Adults Seeking Masculinization" (et ce test a été fait avec placebo pour éviter les biais) "Long-Term Regret and Satisfaction With Decision Following Gender-Affirming Mastectomy" (on y voit ici que le taux de regret des mastectomies par exemple est de... zéro!) Ainsi que le papier "La fluidité de genre de l'Antiquité à nos jours" afin de vous rendre compte que ce n'est pas un phénomène nouveau.
@@nostradamus6772 oui, c'est un phénomène nouveau, par son ampleur et par d'autres indicateurs. Par exemple, les revendications évoluent : la transsexualité n'est pas la transidentité. Les premiers acceptent la binarité homme-femme et réclament de pouvoir changer de sexe physiquement quand les second refusent cette binarité physique et veulent être reconnus femmes et conserver un pénis (par exemple). Autre différence, les désirs de transitions apparaissaient autrefois très tôt dans la vie de la personne, dès l'enfance. Aujourd'hui beaucoup de demandes naissent à l'adolescence et concerne majoritairement des filles exprimant le souhait de devenir garçons. Il y a là un phénomène nouveau qu'il faudrait expliquer
Non transexualité est un terme désuet qui ramène à l'époque où la transidentité était considérée comme une pathologie mentale. Aujourd'hui, seuls les transphobes (ainsi que personnes trans transphobes, oui ça existe. On les appelle les "transmed" et c'est exactement les personnes que vous mentionnez) utilisent ce terme qui, encore une fois, est totalement désuet et n'est plus usité dans le parcours médical, administratif, social, etc. La transidentité reconnait la binarité (homme-trans, femme-trans) mais admet également la non-binarité (trans-nonbinaires). Et oui, on peut être une personne transgenre sans avoir subit d'interventions médicales. Les interventions médicales sont là pour principalement aider si la personne est atteinte de dysphorie. Mais, au risque de vous surprendre, être transgenre n'implique pas nécessairement de la dysphorie. Présentez vos sources pour votre dernière affirmation. C'est une chose complexe, il y a se rendre compte à l'adolescence qu'on l'a toujours senti, il y a aussi le genre qui est fluctuant et peut changer (n'oublions pas que c'est une construction sociale) puis il y a aussi les personnes en questionnement qui se disent trans (et c'est normal d'être en questionnement, ça n'aboutira souvent pas à une transition de genre, c'est juste une période où l'ado/la personne va s'interroger, peut-être essayer d'autres pronoms, d'autres prénoms pour simplement figurer ce qui lui confient le mieux). Mais voyez ça comme la vague de nouveaux gauchers dès lors que les stigmatisations qu'on leur faisait ont disparues. De plus en plus de personnes ont alors pu être gaucher sans craindre de se faire stigmatiser. @@lucc.1107
@@nostradamus6772 pour les sources indiquant le fait que les revendications Trans identitaires touchent davantage les filles adolescentes : un article publié en 2017 de l'american public health association intitulé "transgender population size in the united states : a meta-regression of population-based probability samples". Pour le reste, je suis en désaccord avec vous sur de nombreux points, et principalement sur un certain nombre d'affirmations péremptoires. Par exemple vous dîtes qu'il ne faut pas oublier que le genre est une construction sociale. D'où tirer vous cette évidence ? On retrouve ici le même dogmatisme de ceux qui affirmaient avant vous que le genre a d'abord une origine biologique. Pourquoi vous auriez davantage raison que ces derniers ? Autre exemple à propos de la terminologie : vous dîtes que le terme de transexualité est désormais désuet et qu'il fait même partie du lexique propre aux transphobes, moyennant quoi l'usage de ce terme rend déjà quasi coupable celui qui l'utilise. Quand bien même il ne serait plus utilisé dans les domaines médicales, sociales, administratifs (ce qu'il faudrait vérifier), est il pour autant interdit de l'utiliser ? Y-a-t-il une police de la pensée ? Je pense pour ma part que l'augmentation des demandes de transidentité et les revendications croissantes de nombreuses personnes sur le sujet ne sont pas dues à l'arrêt d'une stigmatisation mais plutôt à un phénomène de contagion sociale. J'observe aussi dans des établissements scolaires, que les adolescents demandant par exemple à changer de prénom, loin d'être persécutés par les autres élèves acquièrent au contraire en raison de leur démarche une grande popularité auprès d'eux. J'observe aussi que le transgenrisme est très largement valorisé culturellement dans une écrasante majorité de média. l'analyse des commentaires de cette vidéo en est une illustration : ils sont largement favorables et encourageants. On est bien loin d'une stigmatisation générale et consensuelle. Y-a-t-il jamais eu vraiment une stigmatisation, dès lors que celle-ci n'a jamais trouvé d'écho dans les médias ? je pense enfin que l'on ne rend pas service aux jeunes souhaitant vivre une transition et que, par exemple, les expressions comme "je ne suis pas né dans le bon corps" renvoie à une souffrance qui n'est pas causée par un jugement réprobateur de la société mais par des dysfonctionnements personnels et familiaux complexes qui conduisent ces jeunes à éprouver une dissociation entre le physique et le psychique, entre le corps et le ressenti. Et tout l'enjeu est d'aider ces jeunes à réconcilier leur corps et leur esprit, sans mutiler ni l'un ni l'autre.
@@lucc.1107 C'est très intéressant ce que vous dites, laissez-moi donc répondre : - Le genre est une construction sociale, c'est un fait. Selon les civilisations, les cultures, vous conviendrez que le genre n'est pas perçu de la même manière. On attend pas la même chose d'une femme ou d'un homme selon que l'on se situe en France, en Arabie Saoudite, en polynésie, en Corée, etc. Si le genre n'était pas une construction sociale mais liée au sexe, alors dans ce cas, la définition des genres seraient universellement les mêmes. L'histoire nous a prouvé le contraire. Je vous invite, si jamais ça vous intéresse, à lire l'article: "La fluidité de genre de l'Antiquité à nos jours". Concernant celleux qui affirment que le genre est lié au sexe biologique, il y a plusieurs réponses : 1. Les études scientifiques tendent à prouver que la transidentité est biologique (cf: "How genes and evolution shape gender - and transgender - identity", "Brain Sex in Transgender Women Is Shifted towards Gender Identity" pour n'en citer que deux). 2. Ces personnes n'ont probablement pas leur connaissances à jour. 3. Ces personnes peuvent avoir des biais liés à leurs opinions politiques, etc. (ce qui est quasi toujours le cas, soyons honnêtes. Beaucoup d'études ont été biaisées parce que le point de vu pris était un point de vu patriarcal). Avant d'invoquer la "police de la pensée" ou encore le "on n'peut plus rien dire", je pense que si on a tout simplement des termes équivalents, mais sans conotation péjorative, pourquoi se priver de les utiliser au lieu des appellations insultantes ? Quel est le soucis dans le fait d'éviter d'utiliser des mots stigmatisant. Avoir du respect pour des individus qui ne nous font pas de mal, je ne vois pas où est le soucis, peut-être pourriez-vous me dire où est le problème ? De plus, je peux vous assurer que administrativement, c'est bien "transgenre" qui est utilisé et non "transsexuel". Concernant les adolescents. Déjà, quel est le rapport avec les persécutions ? En quoi un changement de prénom devrait être lié à cela ? Il n'y a pas de contagion sociale liée à la transidentité. En revanche, il y a plus d'informations et les gens en parlent plus (rappelons que l'occurrence de personnes transgenres est de 1/400 pour les femmes trans et 1/200 pour les hommes trans, c'est pas si rare que ça ;) Et ça tend à se prouver génétiquement, je vous renvoie à mes sources précédemment citées). Il en convient de rappeler aussi que pas mal d'ados prennent simplement leur questionnement pour une transition, ce qui n'est pas le cas. On peut s'interroger à cet âge sur le genre sans pour autant être une personne trans. Bref, pas de quoi s'alarmer. Je suis raccord avec vous avec le "ne pas être né dans le bon corps", même les personnes transgenres ne sont pas tou·te·s d'accord avec ça. C'est une sensation et un ressentit personnel, seule la personne concernée peut dire si elle le pense ou non. Mais ce n'est pas une généralité. Certaines personnes transgenres ne ressentent pas de dysphorie par exemple. Et en effet, il faut accompagner les jeunes, mais ce n'est pas en évitant le sujet et en les forçant dans des moules prédéfinis que ça va fonctionner. Les accompagner, les laisser explorer leur genre en restant une aide pour eux en cas de questionnement, leur apporter des réponses éclairées, c'est tout le travail qui est fait par les parents et psychiatres qui accompagnent les jeunes (n'oublions pas qu'un parcours de transition ne peut se faire seul pour un mineur, que la prise d'hormones est interdite avant 16 ans - et en dessous de 18 ans, l'accord parental est indispensable. En France toujours, seule la torsoplastie peut éventuellement être effectuée sous mineur, mais après 2 ans de suivi psychiatrique puis passage devant un consortium de médecins).
C'est la première fois que je vois une vidéo qui traite le sujet d'une manière neutre et rationnelle, je vous remercie vous restez des humains qui ne sont pas influencés, pour les personnes trans, soyez vous même, vous êtes beaux ou belles et moi je vous accepte car chacun devrait vivre sa vie comme il l'entend n'écoutez pas les mauvais commentaires de gens qui ne vous comprennent pas et qui osent dire des choses qui sont dégoutantes.
Bonjour, Plus on est informé mieux c'est. Même si c'est (très) difficile parfois en tant que parents, proches. Vous trouverez des informations par rapport à la transaffirmation et ses potentiels problèmes et dangers sur, entre autres, l'Observatoire de la petite sirène, Ypomoni, Post trans, les documentaires 'The Trans Train' (dispo sur yt), les podcasts 'Rebelles du genre', Le journal du médecin, Genspect, AMQG, PDEQ, etc. Mais pas que : c'est une liste non-exhaustive. Attention : certains transactivistes accusent ces sites et documentaires et professionnels de la santé d'être "transphobes". Classique mais efficace pour censurer cette information que chacun pourra analyser. Ceci dans le but d'informer au mieux, de manière constructive sur la situation actuelle, le plus à jour possible.
Ce qui est commun chez la majorité des femmes qui deviennent hommes ou se disent non binaire c'est un rapport à l homme fait de violences, voir d.abus sexuels. On voit très nettement dans son témoignage que cette personne a subi de graves traumatismes. Et devenir un homme est la réponse ultime pour se protéger.
"Les hommes et les femmes trans" Vous omettez qu'on est très nombreux à être ni l'un, ni l'autre... Pas super inclusif tout ça. Personnellement, je suis intersexe. La transition médicale (thérapie hormonale féminisante) que j'ai eu a été faite contre mon grès, en me faisant croire que c'était un traitement pour l'acné alors qu'il s'agissait du même traitement (et aux mêmes dosages) que l'on refuse bien souvent de préscrire aux femmes trans (Androcur + oestrogènes). Cette "transition" s'est traduite par la poitrine qui a poussé (et de manière impressionante car je suis passé de pas de poitrine à une poitrine très large), répartition des graisses plus largement différente (élargissement des hanches, des cuisses, etc.), réduction de la barbe, et prise de poids de me faisait passer de 52 kg à 95 kg (soit plus de 40 kg de pris) est ce qui a provoqué ma dysphorie de genre. Je n'en restais pas moins trans bien avant même cette prise d'hormones (qui m'a été prescrite au début de la vingtaine) car par définition "transgenre" signifie avoir un genre qui correspond à celui qui nous a été assigné à la naissance. A la naissance j'ai été assigné F mais je ne me suis jamais senti "comme une fille" ni même "comme un garçon". J'ai toujours été simplement moi-même, en dehors de la tyrannie du genre, et définitivement en dehors des codes binaires de sexe puisque j'ai fait ensuite une puberté plus masculine, mon apparence n'étant pas celle que l'on s'imagine quand on parle des femmes et plus proche des hommes. C'est ça être intersexe, c'est ne pas entrer dans les normes binaires du sexe biologique, ce n'est pas une identité mais une réalité physique qui s'accompagne bien souvent de nombreux traumas de rejets/moqueries et violences médicales. Vous pouvez ignorer notre existence mais nous sommes 1,7% de la population, soit autant que la proportionalité de roux, et nous sommes forcé.e.s dans une conformité binaire en raison du genre et de ces désignations binaires de sexe sur le plan administratif. Donc on nous fait des chirurgies et hormonothérapies non consenties, ces mutilations ayant parfois lieu dès la naissance, mais pour vous ce sont les personnes qui souhaitent transitionner médicalement en parfaitement connaissance de cause le problème ? Cela fait polémique pour les pré-adolescents trans qui prennent des bloqueurs de puberté mais aucun problème pour tous ces enfants intersexes qu'on mutile, stérilise, sur lesquelles on pratique des opérations atroces comme des dilatations vaginales, etc. et ce depuis les années 1970 ? Franchement, les transphobes, je vous comprends pas... Et ceux qui veulent nous aider comme les journalistes de gauche sont souvent à côté de la plaque dès qu'iels veulent parler de ce sujet, justement parce qu'iels n'ont pas vraiment conscience de ce que sont le sexe et le genre, deux choses différentes mais toutes deux des conventions sociales et existant sur un spectre, ne pouvant pas être binaires si ce n'est par idéologie culturelle.
les personne intersexe transitionner de force c'es encore un autre souci , un souci tres grave et c'est absolument pas noral , surtout que , dite moi si je me trompe vous qui etes concerné, mais etre intersexe ne pose aucun souci de santé n'est-ce oas , vous n'avez pas 0 hormone sexuelle naturellement exacte ? si c'est le cas on devrais etre honete et demander a l'enfant intersexe ce qu'il ou elle veux faire a la puberté, ou meme ne rien, faire , encore une fois je suis ni concernée ni renseignée du coup je sais pas si ca peux jouer au un moment sur la santé hein , pour le "ne rien faire" je ne sais pas du tout si c'est possible ^^'
Je suis pour les trans, les accepter, les apprécier comme même personne que mon espèce, sans différenciation de sentiment avec les autres, mais il y a une chose que je déteste, c'est la récupération de la transsexualité par le grand capital, qui impose une idéologie dans un but économique. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de transphobe, c'est une très petite minorité, mais je pense qu'une grande partie de la population se sente opprimé par le fait qu'on leur impose une propagande trans, qu'ils vivent comme une atteinte à leur liberté de pensée, ce que je partage ; la frustration qui découle de cette doxa imposé pousse les gens à pointer du doigt comme responsable les transsexuelles. Évidemment il se trompe de responsable, mais c'est ainsi.
@@clovisdesbois1628 même la langue française à été altérée par les penseurs trans pour éviter de mégenrer, des industries qui mettent le drapeaux trans sur leur photo de profil facebook pendant un évènement afin d'attirer l'attention sur leur bienséance et éviter d'avoir des pénalités sur leur marché, sans parler des université des sciences sociales où les cours deviennent lunaires tellement la matière censé être un cours de philosophie se transforme en un prosélytisme trans par une prof qui à fait hypocagne et que seul trois cheveux bleus connait, je veux dire par tout ça que la propagande à atteint des proportions institutionnalisée, le bouche à oreille à été complètement dépassé , je veux bien être gentil est répondre a ta question mais comment peux-tu poser une question aussi évidente ? C'est clairement de la mauvaise fois.
assigné garcon est contre son gres comme le genre ets une composante sociale de la vie en societé imposer un role social est par consequant contre son grés@@PaulPolo-ol7vs
@@PaulPolo-ol7vs bah le terme mère est une. Composante sociale et sociétale de notre sociétée est impliqué tt un tas de comportements que on attribue aux mères dès lors que c'est un rôle sociétal par rapport à un enfant un homme trans ayant un utérus peux être un père qui a mis au monde un enfant de la même manière que une femme qui adopte peux être mère sans mettre au monde car le terme mère est une construction sociale. Si seules ceux qui mettent au monde peuvent être mère allors les femmes infertiles qui adoptent ne sont pas mère.
Attention à un détail important : les personnes trans sont accusé(e)s de répandre les stéréotypes de genre, et aussi contraintes de les suivre. C'est vrai. Mais ce ne sont pas par les mêmes personnes ! Des féministes matérialistes peuvent accuser des personnes trans de perpétuer les normes du patriarcat, mais elles ne sont pas les juges qui leur accorde ou pas leur papiers administratifs ! C'est un peu malhonnête de mettre les 2 bout à bout comme s'il s'agissait des mêmes.
Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Je soutiens les personnes Trans sans aucuns problème, il est important que le corps physique corresponde (au moins en apparence) au genre auquel une personne s'identifie. Mais il faut arrêter de crier à la Transphobie à tout va. Une personne née avec un sexe féminin et une personne née avec un sexe masculin auront toujours des différences dans la constitution biologique du corps. Ces différences ne sont pas réglés par les hormones et ça oblige à avoir des catégories différentes (par exemple dans le sport, les prisons, ...). Et pour finir, ce n'est absolument pas transphobe de considérer le sexe plus important que le genre, l'orientation sexuelle est liée pour beaucoup à une attirance par le sexe et pas du tout par le genre.
Aucun commentaire désignant les dérives de cette idéologie et leurs conséquences, surtout chez les enfants. Curieux, non ? Blast ferait de la censure ? La remise en question, l'interrogation, l'enquête est elle transphobe ? Blast et ses apôtres dégénérés devront rendre beaucoup de comptes dans plusieurs domaines. C'est qu'une question de temps.
Les dérives et conséquences qui sont ? En dehors du fantasme complotiste transphobe et homophobe de Stern et Moutot on a quelque chose de consistant a se mettre sous la dent ou c'est tout ? Parce que dans la vidéo ils en parlent pas mal quand même de cet "ouvrage" et le démontent bien facilement.
@@joannajett2524 C'est très proche puisque le genre est une construction sociale. On devrait se libérer du genre plutôt que de vouloir se conformer à l'une des deux cases de ce système artificiel. Agir comme l'autre case sans changer de sexe est plus profondément émancipateur que de conformer notre corps au stéréotype qui nous convient le mieux.
@@joannajett2524 Oui tout comme y avait pendant l'occupation des gens qui s'adaptaient à la loi des envahisseurs et des gens qui entraient en résistance. C'était une nécessité, mais l'un des deux choix était plus courageux que l'autre.
@@sunalma Vous êtes sérieusement en train de traiter les personnes trans de collabos? Avez-vous la moindre idée de ce qu'est la dysphorie de genre et de ce que ça implique d'en souffrir? Encore une fois, on ne parle pas de goûts et de stéréotypes. Il y a plein de personnes trans androgynes. Les personnes qui transitionnent le font par nécessité et aucune personne cisgenre n'est légitime pour juger leur transition.
Dommage que plutôt que de lutter contre les stéréotypes de genre , ces personnes en viennent à se mutiler et jouer aux apprentis sorciers avec des molécules chimiques 😢 pour ceux qui aiment entendre plusieurs sons de cloche , il y a le podcast Rebelles du genre, notamment le bouleversant témoignage d'Axelle..
@@MeMe-zc7jh Ben si, puisque dans leur logique, être un homme ou une femme ça n'a plus rien à voir avec le sexe mais tout à voir avec des stéréotypes sexistes. Si homme/femme ne renvoie plus au sexe, alors à quoi, à part des stéréotypes ? ("c'est différent selon chaque personne" ou "c'est se sentir femme/homme", c'est une définition circulaire, donc c'est pas une vraie réponse.)
@@MeMe-zc7jhSi le problème n'est pas une question de sexe biologique ou d'ADN, si le problème n'est pas une question de stéréotype ou genre, alors où se trouve la pierre angulaire du raisonnement ?
Les pensées suicidaires sont là parce que ces personnes ont une disphorie de genre et non à cause de la transphobie. et dans la majorité des cas les pensées suicidaires s'amplifient après la transition. Et pas à cause des autres
C'est comme dire d'une personne homosexuelle qu'il a envie de se suicider à cause de son homosexualité non assumée, mais que l'envie de se suicider est amplifiée une fois qu'il a fait son coming out, et que ce n'est pas à cause de son entourage homophobe.
@@Luna-Claire-Des-Monades merci de ne pas confondre une orientation sexuelle avec une dysphorie de genre qui est un trouble de l'identité de genre. Si le regard de l'autre accentue le malaise il.n'en est pas la cause.
@@noukouprinderretherapeute-4108 quand tu subira un viol parceque tu est different tu pourra parler de ce que peuvent te faire ressentir les autre hein
Lol y'a zéro rapport. Et tu sous-entends que les gens qui ne sont pas différents ne peuvent pas subir de viols ? Ou que sur eux ce serait pas grave ? Mdr @@lighter-fr2328
J'ai rarement vu quelqu'un s'exprimer aussi bien dans un "direct" youtube, c'est vraiment un contenu de qualité comme souvent sur Blast
Bonjour,
Vous trouverez des informations par rapport à la transaffirmation et ses potentiels problèmes et dangers sur, entre autres, l'Observatoire de la petite sirène, Ypomoni, Post trans, les documentaires 'The Trans Train' (dispo sur yt), les podcasts 'Rebelles du genre', Le journal du médecin, Genspect, AMQG, PDEQ, etc.
Attention : certains transactivistes accusent ces sites et documentaires et professionnels de la santé d'être "transphobes". Classique mais efficace pour censurer cette information que chacun pourra analyser.
Ceci dans le but d'informer au mieux, de manière constructive sur la situation actuelle, le plus à jour possible.
Un contenu surtout extrêmement partial !
Et qui oublient les principaux concernés (les femmes les homosexuel.le.s et les enfants)
@@feministescontreletransfascism Merci :) 👍
@@ReoAard de rien. Tu connais notre chaîne ? On reprend souvent ton contenu 😊
bonjour, merci d'aborder ce sujet, je regarderai plus tard, j'ai la joie d'avoir découvert que j'avais une fille, je découvre depuis deux ans l'horreur de la transphobie, j'ai peur pour sa vie et de toutes ces personnes qui ont le courage d'être.
Bonjour chez parent de cette fille. Merci beaucoup de ne pas l'avoir repoussée ou agressée. De se soucier autant pour son parcours futur. Tous les parents ne sont pas comme ça
j'aurai aimée avoir un parent comme vous ^^ aujourd'hui j'ai du vivre sans ma famille , mais je suis sincerement heureuse a chaque fois que je voit des parent tolérant comme vous !
@@lilithtrump2359t'es parents t'ont bercé trop près du mur pour poser des questions aussi déplacées ?
Faire un raccourci transphobe ou extrême droit parce qu'on est critique sur ce sujet et rapide et stupide. C'est comme le raccourci racisme extrême droit et n'importe qu'elle religion suivit du suffixe phobe quand on est en désaccord sur certains points.
Phobe vient de phobie qui signifie la peur de quelque chose alors que ce n'est pas parce que l'on est critique sur le sujet que l'on a peur de ces personnes. Donc bon. Faut arrêté d'utiliser des mots mal formé pour parlé des personnes qui sont en désaccords, critiques et-ou inquiétés sur un sujet ou des points s'y rapportant.
Ensuite, pour moi, il est normale que les transitions ne se fassent pas trop tôt et que chacun soit sur des choix qu'il fait et des raisons de ces choix. Pour autant une apparence ne change pas un ADN, on reste fille ou garçon biologiquement parlant.
Ce que la plupart des personnes peuvent avoir comme problème sur le sujet c'est le fait de mettre dans la tête des enfants d'aujourd'hui que garçon et fille n'a pas de rapport avec la biologie. Parce si, cela en a un. Nous sommes fille ou garçon niveau ADN, et changer l'apparence du corps ni changera rien. Modifier son corps changera juste les problématiques et expériences de vie se rapportant au genre choisi avec en plus celles d'avoir fait le changement et le bien être de se sentir en adéquation corps/esprit quand se choix se trouve être celui qu'il fallait faire.
Si cela a toujours été et que la transition ne se faisait pas faute de moyen (opération pas possible/disponible/ faisable à une époque), cela sera toujours donc nul besoin de mettre des idées dans la tête des enfants. On peut avoir des discutions le moment opportun. Savoir que cela existe OK, mais vouloir influencé la dessus non. Et ce que la plupart des gens ont comme problème c'est se ressenti que l'on veuille influencé les enfants en leur mettant à l'esprit qu'ils ne sont pas forcément ce qu'ils paraissent alors que c'est justement le sexe qui donne l'appellation mâle ou femelle, fille ou garçon. Mais c'est aussi inscrit dans l'ADN.
Il est prouvé depuis des mois/années que le cerveau d'une personne trans est câblée comme son genre originel. Un homme trans sera câblé, même sans hormones, comme le cerveau d'un mec cisgenre. Le terme "phobe" signifie peur, mais depuis une 30ene d'années il est relié à de la haine, et c'est vraiment ne pas être dans le vrai monde que de dire l'inverse.
Il n'y a pas de naturalité dans la division sexuelle?
Quand même, l'un n'empêche pas l'autre. On peut tolérer et accepter toutes les sexualités, sans vouloir affirmer que la binarité n'est pas naturelle. La reproduction passe quand même par le fait d'avoir 2 sexes.
Il y a une naturalité mais il faut l'investir psychologiquement. L'homme a été arraché à sa nature. On peut pas la nier mais elle fait pas l'homme. D'ailleurs beaucoup galèrent à savoir quel comportement est normal ou naturel pour eux.
L'homme est peut-être le seul être à douter, à se demander si ce qu'il fait est normal ou non. Il est peut-être aussi le seul à juger anormal, à être "inhumain". Il doute de ce qu'il est.
C'est faux, ce n'est qu'une des méthodes de reproduction possible mais ce n'est pas celle adoptée par l'ensemble du vivant, le blob par exemple en dénombre une variété de 720 sexes aux dernières nouvelles.
@@scarletstorm2755 Oui enfin pardon mais nous sommes quand même des mammifères... L'exemple de blob est juste ridicule, qu'est ce que ça apporte à la réflexion de dire que d'autres espèces n'ont pas le même mécanisme de reproduction que nous ?
@@scarletstorm2755C’est la méthode de reproduction des etres humains ! Qu’est ce qu’on en a à faire de la méthode de reproduction des éponges de mer et des nénuphars ! Vous ne vous rendez même plus compte des bêtises que vous racontez 🤔
Les personnes nées intersexes peuvent avoir des enfants
Merci pour cette super interview ! ça fait plaisir de voir des médias qui traitent le sujet humainement
Merci Tal et Blast. Belle interview, propos intelligents, respectueux. Admiratif devant les personnes qui vivent ce combat.
Merci et bravo pour avoir insisté sur le fait que les personnes trans mettent en lumière les mécanismes de la construction des genres. En tant que féministe je trouve que leurs vécus apportent beaucoup à nos réflexions.
Tal est vraiment un invité de prestige, éloquent, pédagogue, factuel tout en laissant affleurer ses émotions.
Oooooooooh. Il est meugnon, tout kawaï. Et si on en faisait un porte-clefs Kiki ?..
@@johnsloane8523il t'arrive quoi ? 🤔
Ce que je ne comprends pas c’est que l’identité de genre peut amener à revendiquer le droit de s’approprier des stéréotypes de genre alors qu’on les dénonce comme des carcans à l’expression de genre 😮
@@millimikotee5892 Exactement. C'est complètement aporétique. Exalter les stéréotypes de genre, cela n'a rien de féministe.
Ta guele toi y arrive qu'in est écœuré de vos idées abjectent et que votre minorite impose leur idéologie, vous êtes troublé, déconstruit, faible, malade, souffrant, ..... pourquoi ne pas se soigner? Au lieu de prétendre que tout est normal!, vous êtes surement de ceux qui disent qu'un transmerde peu accoucher! Gang d'esti de vidange@@user-ri3hi3zb4v
Merci Blast de laisser la parole aux concernées, loin des fausses polémiques ! C'est de ça qu'on a besoin ✨
Quand on met des hommes condamnés pour viols (donc c pas un fantasme) dans les prisons pour femmes, les premières concernées sont les femmes !
Mais Blast fait partie de la gauche masculine pour qui les droits des femmes sont peu de choses, surtout face aux droits des hommes !
Bonjour,
(Comme déjà dit) Attention à l'impact de la contagion sociale (voir aussi rogd) de la transaffirmation et des transactivistes sur nos enfants.
Attention aux potentiels dégâts sur leur santé, irréversibles et à vie, suite aux prescriptions de bloqueurs de puberté, hormones, opérations chirurgicales.
De plus en plus de pays retropédalent sur plusieurs points suite aux débats et polémiques et au recul scientifique que l'on commence à peine à avoir.
Nous ne pourrons pas dire que nous n'étions pas au courant des polémiques.
@@ReoAard on entend les zemmour &cie. le dire tous les jours merci nous sommes prévenus :)
Par ailleurs, j'espère que vous savez que le retour au sexe assigné à la naissance est extrêmement rare et que les gens ont besoin d'un suivi médical pour accéder à un traitement ; le parcours est très contrôlé
Enfin, j'espère qu'après avoir transmis vos avertissements, vous prenez la peine d'écouter les concernés, leur bonheur et leurs peines au lieu de les infantiliser !
@@DidGexx Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Attention au biais d'association par rapport à 'Zemmour et Cie'. Mais peut-être l'avez-vous fait sciemment?
Oui : plus de gens sont prévenus mieux c'est. Même si c'est souvent (très) difficile pour les parents d'accepter qu'ils ont pu mettre, ont mis, sans le savoir leur enfant en danger, entre autres à cause du transactivisme.
Utiliser l'expression "assigné à la naissance" pour désigner le sexe (simplement constaté biologiquement) est un des indices du transactivisme.
De là je me demande si, très classiquement là aussi, vous sauriez définir ce qu'est une femme?
Au sujet du bonheur et de la peine, des détransitions (toujours trop nombreuses, et de plus en plus nombreuses malheureusement logiquement) que vous évoquez, vous pouvez vous renseigner sur Genspect par exemple (là aussi au sujet de la transaffirmation en général) ; et lire les témoignages sur Post-trans par exemple ; et écouter les podcasts de 'Rebelles du genre', regarder des documentaires comme 'The trans Train' (dispo sur yt) ou 'No Way Back' (ce ne sont que certains exemples mais vous aurez déjà de quoi vous informer plus avant).
Enfin là encore : si vous ne vous auto-censurez pas l'information en la taxant d'information "transphobe" : là encore un grand classique du transactivisme.
Information que chacun pourra analyser, bien sûr, heureusement, en son âme et conscience.
Vous dites, je vous cite, que "le parcours est très contrôlé" : d'où pensez-vous que vient la polémique parmi les professionnels de la santé et les parents, la société en général alors : d'après votre analyse de la situation?
Est-ce que vous critiquez vraiment négativement le fait "d'infantiliser" ... des enfants ... ?
Pensez-vous dès lors qu'il faille traiter les enfants comme des adultes concernant l'autoaffirmation, la transaffirmation?
@@ReoAardpersonne te lit hein get a life
Merci Blast d'avoir donné la parole à une personne trans ! Tal Madesta est particulièrement pertinent 👏
Très bonne vidéo, ça fait plaisir. Merci beaucoup
Quelques extraits d'Alice au pays des merveilles : « Ils sont tous fous : mieux vaut ne pas les contrarier. » « Si la reine rouge voit un rosier blanc, nous aurons la tête coupée. Peignons tous les rosiers en rouge ! » « Si la reine rouge entend ce que nous disons tout bas, nous aurons la tête tranchée ! »
Sa fé réfléchire
C'est normal que l'ensemble de la population se pose des questions face à cette demande de transitionner. Ce n'est pas être transphobe. Ce qui est inadmissible, c'est d'agresser des personnes transgenres !
Je ne trouve pas ça si normal que ça dans le sens où le public se posait des questions face à la demande des gays et lesbiennes de pouvoir vivre en couple avec une personne de même sexe, se pacser voir se marier.
Y a un voyeurisme hétérocisnormatif assez déplorable quand on y réfléchit.
@@remzel3442 "hétérocisnormatif"??? Novlangue??
@@valentinemas9247 Ça veut dire qu'on considère les hétéros et les cisgenres comme une norme et le reste comme anormaux au point de s'intéresser à tous les détails de leur vie, même la plus intime.
@@remzel3442 bien sûr qu'il est normal de se poser des questions. C'est quelque chose qui n'existait même pas pour beaucoup de personnes. On remet directement en question ce qu'est le genre, ce qu'est être une femme ou un homme, donc à priori ça concerne la grande majorité des gens. Ce qui n'est pas normal c'est remettre en question la légitimité de quelqu'un d'exister collectivement et de créer des lois par essence discriminante. Que M. Dupont fasse sa transition ça ne me regarde pas par contre la question du genre regarde tout le monde, surtout quand on est dans un monde où les femmes et les hommes ne sont pas égaux et qu'on applique des quotas et des séparations entre les genres. Je m'interroge beaucoup sur le fait qu'on s'évertue plus à condamner Mme Michut qui se pose des questions que ces mêmes lois et flou juridique qui mettent en danger et relai au banc de la société les personnes trans. On ne posera plus de question, on ne saura plus voyeur, peu importe notre genre et orientations, le jour ou on sera mort.
@@elo2164 En fait, le fait de se poser des questions par rapport au genre est super légitime en soit, ça interroge notre vision de la société etc...
En revanche Mme Michut elle se pose en général pas réellement la question comme cela, elle se pose plutôt la question de la légitimité des personnes trans car selon elle admettre ces personnes reviendrait à remettre en cause la vision du genre dans notre société ; et parfois Mme Michut elle est pas trop d'accord pour cette remise en cause donc elle va regarder de très près les personnes trans pour voir au vu de leur irréprochabilité sociétale si ça vaut le coup de les accepter.
C'est un peu la triste réalité de notre société, d'où le fait que les hétérocis sont super voyeurs sur les personnes LGBT+ dès que ça questionne leurs standarts
Qu'est-ce que c'est que ce journal qui invite des gens concerné par le sujet et qui l'ont etudié? La prochaine etape c'est quoi? Des climatologues pour parler réchauffement climatique? Ou va t'on? Je prefere connaitre l'avis de Pascal Praud ou d'Élisabeth Levy!
Blague a part: sujet et invité tres interessant. C'est agréable ce genre de video.
C'est dramatique oui. Tous solidaires pour Bolloré ! ✊
ah bon ? y a un pont qui s'appelle Élisabeth ?
La prochaine etape c'est des medecins pour parler du covid 😉😥 🤑🤑🤑🤑🤑🤑
ou des banquiers pour parler de la planche à billets
(je ne parle pas des repantis meme si leur temoignage peut justement etre tres revelateur)
Merci pour cet entretien passionnant. Tant d'intelligence, ça fait du bien.
Merci pour cet entretien éclairant.
Merci Blast! Je suis trans également et effectivement la transition commencée à presque 50 ans est longue, mais le parcours est plus simple en Allemagne où je vis.
trans de 61 ANS PLUTOT PATRIOTES POUR LES ENFANT SAIT DANGEREUX ERICA
En Belgique aussi c'est plus simple, je suis choquée des blocages de l'administration française... Courage à vous en France et dans les pays où c'est compliqué de transitionner administrativement.
@@mikail-love-cats effectivement 🙄
@@mikail-love-cats il n'était pas sarcastique et allait dans votre sens 😉 pas de souci, je comprends que " effectivement" puisse prêter à confusion 🤯
SI c'est écrit dessus c'est que c'est pas vrai (liberté , égalité, fraternité)@@mikail-love-cats
Donner la parole aux personnes trans est une belle initiative à poursuivre pour faire progresser la connaissance du phénomène.
père d'un jeune homme trans, j'ai beaucoup aimé cette interview qui va m'aider à surmonter mes inquietudes lors du "passing" de mon fils. merci Tal & Paloma❤️
@@xc7997 tg le transphobe
@@xc7997 ??? Ton message est là pour faire peur à ce père plutôt que le rassurer.
Si c'est vraiment le bien être de l'enfant qui t'inquiète alors milite pour un meilleur traitement des trans. Oui, il y a des difficultés à faire la transition. La bienveillance c'est de ne pas être transphobe, l'ouverture d'esprit c'est comprendre les souffrances de ces gens.
Quelle empathie auras-tu pour son enfant quand iel se fera agressé.e ? Mon soutien à son père commence dès maintenant en m'opposant aux transphobes qui feront souffrir son enfant et lui assurant qu'il y aura toujours des gens près à se battre pour des droits égaux pour toustes quel que soit notre genre et j'attends pas une hypothétique maladie pour être en empathie (et sous entendre qu'il l'avait ainsi bien chercher)
@@surlatoile007honnêtement ne plus porter d'intérêts à gens qui utilisent bêtement le mot "woke" est la meilleur chose à faire. Ce sont des moutons qui répètent bêtement les propos de l'extrement droite sans comprendre quoi que ce soit, ça a d'abord été Bobo, ensuite bisounours, islamo-gauchiste et maintenant woke. Bref, maintenant des que je vois le mot "woke" je n'essaie même plus de débattre. Mon lapin est plus intéressant.
@@xc7997 "woke"
merci de montrer ton ignorance et ta bêtise aux yeux de tous. L'avantage des sous-êtres comme toi, c'est qu'on les reconnait de loin. Facile pour la chasse du coup. ;)
On vous aura, tkt pas.
@georgesabitbol3035 je ne savais pas comment lire votre réponse. Puis j'ai regardé les commentaires et je comprend votre désarroi... on n'est pas sortis du bois. Après l'intolérance et les propos haineux sont toujours plus facile derrière l'anonymat.
Super vidéo, ça soulage vraiment de voir le sujet aussi bien abordé ! Je regrette juste un peu que la question des personnes trans non binaires et de l'enbyphobie spécifiquement n'ait pas été discutée, mais j'imagine que cet angle était le plus cohérent avec le parcours personnel de Tal, et avec son dernier livre. Super choix d'invité en tout cas, un gars brillant et adorable que j'ai eu l'occasion de rencontrer une fois et que je suis toujours heureuse d'entendre dans les médias.
Tal, si tu passes par ici, "La fin des monstres" était clairement une de mes meilleures lectures de l'année :)
Merci BLAST et Paloma !
Merci Blast d'avoir invité Tal Madesta.
C'est devenu rare en France d'inviter et de donner la parole aux trans pour évoquer des sujets trans ..
Vidéo qu'il est important de partager à l'entourage, aux amis, aux connaissances et aux personnes ouvertement transphobes, le plus souvent par méconnaissance et n'étant informés que par les chaines de télévision grand public ..
Courage à tous, nous sommes valides ❤
IL vaut mieux regarder les vlogs et écouter les médecins que les militants qui, bien souvent, sont des gens douteux qui ne représentent pas du tout l'ordinaire des trans. Franchement, la désinformation par les militants est un vrai problème.
c'est une blague ? les LGBTQ sont constamment mis en avant dans les films, les émissions. Y a même un drag queen qui va tenir la flamme olypique, faux arrêter de jouer les victimes.
@@Malbar-vs8sh Il y a 11 000 porteurs de la flamme (source PARIS2024). Ainsi, même avec un drag queen... Je ne vois pas là sur-représentation de la communauté. Grandis à un moment et arrête de rabâcher ce que tu entends sur cnews :)
Je dirais aussi qu'en regle plus generale, en France, qu'on soit trans ou cis, big pharma fait ce qu'elle veut de notre remboursement de secu et de l'acces au soin. C'est tres evidemment le cas pour les trans, mais pas uniquement. C'est aussi le cas dans le dentaire par exemple si on veut une solution plus durable alors que les "specialistes" pensent plutot qu'il faut des soins (moins cher) et qu'ils n'ont pas authorisation de devier des standards a moins de risquer leur carriere en cas de controle financier.
L'autodetermination est un tres bon moyen de proposer une solution, car cela devrait aussi changer pour les procedures de changement de nom en regle generale, et pour l'acces a tous les soins possibles sans gatekeeping par le prix et parcours conventionel de la medecine.
Continuez comme ça, vous êtes les seuls à faire ce genre d'émissions et c'est important. Merci.
on entends parler de ces histoires sur tous les médias qui veulent se donner une image progressiste
Tu es sorti de ton hibernation ?
@@MB-rx9rbet tous les médias presque disent de la merde et n’invite pas les personnes concernées
@@Emma-tj5wm que veux tu, ils répondent à une demande et proposent des sujets qui interessent les pigeons qui les regardent.
Vidéo super importante à envoyer à toutes les personnes de nos entourages qui doutent/sont clairement transphobes! Merci Tal Madesta et merci Blast! ❤
@@xc7997questions comme?
@@yoshydoll
Fais toi couper la bite ou t'en faire greffer une si tu en as envie mais garde ça pour ton intimité et ne le revendique pas : vous commencez à énerver tout le monde et ça se retournera contre vous
L'interview n'arrête pas d'insulter les gens qui adhérent pas à l'idéologie... Je ne pense pas que ce soit comme ça que tu les feras changer d'avis.
@@isapatchouly9095 ce n'est pas une idéologie, ce sont juste des personnes qui veulent vivre normalement en accord avec elle-même...
@CC-sf2xl Je comprends et tu peux penser ce que tu veux.
Tu peux nier UNE vérité tant que tu n'imposes pas TA vérité.Par exemple si je vois un homme habillé en femme ou une femme habillée en homme, tu ne peux pas que tu m'imposes quelque chose que je ne vois pas et que je puisses être attaqué pour cela.
Il y a les lois de la physique et de la biologie, et il y a la vision de chacun qui tôt ou tard se fait rattraper par des lois qui sont immuables comme celles de la physique et de la biologie. Même si certains pensent que la terre est plate, la physique nous dit le contraire...
Force et courage à toi et fais ton chemin sans t'occuper des autres.
Aujourd'hui être trans c'est presque la même violence que subissaient les homosexuels dans les années 60/70, les mentalités ont évolué sur l'homosexualité, la sexualité et l'homophobie, mais pas en matière de transidentité et de transhobie ! Beaucoup de travail à faire dans ce sens. !!
L'homophobie est toujours très présente et est en hausse depuis quelques années. On en parle juste pas mais les homophobes sont toujours là.
@@StevenFiloki oui tu as entièrement raison, l'homosexualité tout le monde pensent que c'est open alors que pas du tout !!
La réalité est beaucoup plus violente et nuancée et c'est malheureux. L'homophobie ne recule pas, Les mentalités stagne !!
En revanche je continue de penser que les violences transphobes ont quant à elles battues tout les records en matières de violences sociales, physique et de stigmatisations. Ils ont font malheureusement des cas psychiatriques.
Ça qui m'amène à dire qu'ils subissent malheureusement la même situation que les homosexuel(le)s dès années 50/60/70. Et c'est bien malheureux. Ils sont justes les nouveaux bouc-émissaires !!
@@StevenFilokioui je suis bien d'accord l'homophobie stagne, mais ne baisse pas, elle as même tendance à augmenter également.
mais la transphobie quant à elle, bas des records !!
Et j'ai bien peur que la situation ne se détériore surtout avec la montée des idées de droites et d'extrêmes droites en Europe !!
@@isaacmrs1396 Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Homme de paille. Qu'est ce qu'une femme ?
Merci pour cet entretien passionnant et qui permet de donner de la voix aux sans voix.
Connaissant très mal la transidentité, le témoignage de Tal Modesta est saisissant.
Un immense merci et tout mon soutien!
@@lilithtrump2359tg transphobe
Les trans... des sans voix ?!?!?!?! LOOOOL c'est une blague ?
Le nombre de personnes qui se permettent de critiquer la vidéo de 50min alors qu’elle est sortie y a 5min. On vous voit
oui c'est assez triste a voir d'ailleur cette foule a 70% constituée de gent qui écrivent juste pour nous tapper en démontrant que leur seul interet est de nous brimer ..
Quand tu as le doigt coincé dans une porte, tu n'as pas envie que ça dure!!! Et tu vois ce que tu veux bien voir!... On ne t'a pas vu t'insurger quand le gouvernement a bâillonné nos enfants, et leur a balancé des spots publicitaires culpabilisants! Les révolutionnaires en carton pâte, c'est bon là!... Remercie Macron, c'est lui et son gouvernement qui ont mis les trans sur le devant de la scène!... Et si tu creuses un peu le sujet, tu te rendras compte que les trans sont une manne financière pour les labos, et autres cliniques spécialisées en chirurgie!... Regarde combien ça leur rapporte! Tout cela n'est encore qu'une question de pognon, comme d'habitude pour ses soit disant progressistes dégénérés à la solde des lobbies!...
Et la lecture rapide ❓❓ça ne vous vient pas à l’esprit ❓❓
Écouter ce trans et plus facile en accéléré tant c’est insupportable ‼️
@@Purbinaire HAHAHA
la lecture rapide fois dix ^^ on voit bien le gros transphobe qui ne veut absolument rien écouter et rester bloqué dans ses opinions réacs de nazillon.
Ha oui, la lecture rapide : rien de vraie, rien de scientifique.
Un témoignage et plus que j'ai trouvé très juste , j'espère que des personnes très rétives aux personnes trans le regarderont avec intérêt !
lol !
@@simongauthier4285 lol quoi ?
Excuse j'ai cru que c'était ironique ! (faudra une bonne génération pour "dérétiver" les gens, la comm' est trop agressive et les gens se ferment)
@@simongauthier4285 en tout cas sur les réseaux sociaux ça polarise a fond , je suis pas certain que ce support nous fasse aller dans le bon sens tant les esprits sont chauffés à blanc .
Le contraire de rétive. Un barbarisme j'admets...
Les commentaires des rageux, c'est tellement un régal 🎉
Les commentaires des gens qui utilisent l'adjectif " rageux " au lieu de " d'un autre avis ", " pas d'accord", " dubitatif ", c'est un tel manque d'arguments et d'un vide tellement abyssal que c'est un bonheur
Ps : ça donne à ceux qui avaient un doute sur la question le sentiment très net qu' une si grande vacuité, ce n'est vraiment pas fait pour les gens intelligents.
@@Christinebord ahhhhh la rage 🤩
@@ms_sew toujours aussi argumenté, je vois. Peux pas mieux faire ? OK. Ça confirme ce que je disais plus haut. 😊
Qu'est ce qu'une femme ?
C'est l'idée de changer son corps qui fait peur. Déjà voir la transformation de corps sous hormones est troublant, mais les opérations (faire couper ses seins ou son pénis par exemple) a quelque chose de sidérant, voir un corps d'homme enceint encore plus. Changer de genre (lié aux codes sociaux) ne pose aucun problème. Changer de corps, surtout au niveau aussi intime que la sphère qui touche à la sexualité, est beaucoup plus troublant. Sans pour autant justifier les discriminations qui ne devraient pas exister
Merci pour nous d'en parler a cette période ou l'on a une ministre des solidaritée transphobe dans un monde ou les pays transphobe sont de plus en plus nombreux et en l'occurence , un pays ou les agression transphobe sont de plus en plus nombreuse .
Quelles pays sont de plus en plus transphobes?
Comme si c'était mieux avant? Ce genre de violences existaient déjà avan't, et se réduisent de plus en plus. Arrêter de fantasmer une hausse des violences comme l'extrême droite
on peut juste dire anti trans , parce que psychiatriser l'adversaire c'est guère mieux que ceux / celles qui psychiatrisent les trans . De plus je ne suis pas persuadé que le personnes qui détestent les trans soient saisis d'une peur panique , en tout cas ça ne les paralyse pas car souvent ils agressent !
*agressions sexistes. Ces agressions ne sont pas liées à la croyance qu'on est dans le mauvais corps, mais à la non conformité aux stéréotypes et rôles sexistes selon son sexe.
remonte ton pantalon l'artiste@@lilithtrump2359
@@jeanferrer5110 c'est une sémantique necessaire je supose mais je ne partage pas cette avis . aprés on désigne la meme chose donc bon. pourquoi pas
Merci infiniment Tal Madesta pour ces mot, le partage de vécu, et l'analyse sociétale. Merci Blast et Paloma Moritz pour cet épisode : il est important car il laisse la parole aux concerné.es. et traite le sujet de manière a inverser le regard, et voir ceux qui jugent les personnes trans comme les monstres de notre société.
On ne nous a pas "assigné un genre a notre naissance" , les médecins et les parents ont juste constaté le sexe homme ou femme, car oui , la nature et la réalité sont peut être transphobe et fachiste , mais chez les mammifères comme nous, ils n'existent que deux sexe que l'ont gardent jusqu'à la fin de sa vie, même blindé de chirurgie et de médoc...
Encore un tissus d'absurdité sur la question qui se contentent d'annoner la doxa dominante
Il est décidément pathétique que la gauche s'embourbe dans cette niaiserie américaine néo libérale et mysogine de la théorie du genre...
La doxa dominante, c'est précisement celle que tu es en train de defendre dans ce paragraphe, c'est à dire la confusion entre sexe et genre.
Personne, je dis bien personne ne remet en question la binarité du sexe: c'est un concept biologique.
Ce qui est maléable et changeable (par la transition), c'est le genre.
Le genre, c'est un concept social, ca désigne toutes les attentes et les pressions sociétales qui informent comment un homme ou une femme doit e présenter et se comporter, et comment le reste de la société se comportera avec eux/elles.
La transidentité, ca n'est pas un phénomène cantoné à l'amérique ou au néolibéralisme. Ce n'est pas un concept récent, bien au contraire. Le fait qu'on en parle plus en ce moment ne veux pas dire que le phénomène en soit est nouveau.
@@SpaceLion444 oui oui bien sûr 😁 donc si un garçon aime jouer a la poupée, c'est un genre Femme coincé dans un corps d'homme ? Et si une femme joue au rugby et a les cheveux courts c'est un genre homme dans un corps femelle ? Ça peut pas être juste une femme qui aime jouer au rugby et porter les cheveux courts ? Vous ne vous rendez pas compte que vous reproduisez et renforcer les mêmes stéréotypes que le patriarcat. Les seuls qui osent critiquer cette théorie du genre sont la l'extrême droite mais paradoxalement, pour les mêmes raisons de stéréotypes de genre que vous...Sauf ton respect, je ne devattrai pas plus (pas le temps et flemme), je pense juste que vous ouvrirez les yeux dans quelques années sur cette théorie absurde. Quand a la doxa dominante , ils suffit de voir les lois qui sont mis en place dans tous les pays depuis 10 ans qui autorisent les traitements sur les mômes ou des changements de sexe légalisé par les papiers d'identité, ou même de juste de regarder Hanouna, pour laisser les gens d'eux même se faire une idée sur le discours de la doxa 😊le discours transgenre n'a rien de subversif, il est au contraire comme le poulet aux hormones,complètement hors sol étroitement dépendant de la pharmacologie ultra libéral et de ce monde artificiel coupé de la réalité...
Mais tu connais la différence entre sexe et genre ?
@@synthifou5815 oui..le genre n'est qu'un rôle sociétale stéréotypé, créée et renforcer par le patriarcat. Il est juste triste que des femmes, prétendant lutter contre le patriarcat, défendent des théories absurdes qui renforcent ces schémas caricaturaux.
@@SpaceLion444 le genre ne nous est pas assigné à la naissance et surtout est loin de n’être qu’une construction sociale, patriarcat and co. Le système hormonal et notre fonction biologique dans la reproduction de l’espèce jouent un rôle fondamental sur la manière dont homme et femme se comportent et se complètent. Il y a des pôles de comportements féminin et des pôles de comportements masculin en chacun de nous, dans la grande majorité des cas ces pôles s’équilibrent d’eux même et la personne ne vit pas de souffrance qt à son sexe biologique. Nier cela serait nier de fait les volontés de transmutations sexuelles. Un homme biologique souhaitant devenir une femme biologique (et inversement) doit certainement être guidé par un pôle comportemental féminin très puissant, envahissant et absolument incompatible avec son sexe biologique. Et qu’elle serait alors la démarche s’il s’agissait de sortir des carcans sociétaux? L’invité lui même le dit, il est bcp plus tranquille depuis qu’il est homme. Du coup ne peut-on pas voir au final ces démarches comme une ultime adhésion au patriarcat, où les hommes trans deviendraient d’affreux oppresseurs, et les femmes trans endosseraient les comportements de parfaites soumises? Comment une femme biologique peut savoir ce que c’est réellement d’être un homme biologique (et inversement)? Les trans ne sont-ils pas condamnés justement à « jouer » avec les clichés. Tout cela est complexe et ne peut être pensé sous l’unique et éternel angle victimaire.
Qu'il y ai deux sexe chez les mammifères n'est pas une "fiction idéologique" mais une réalité scientifique. Ca ne justifie en rien la transphobie cela dit, d'ailleurs la sexualité elle , se definie sur spectre, ce qui peut preter a confusion.
Sinon, super vidéo et témoignage importants.
l'idée qu'il ya 2 sexes définis chez les humains est une vulgarisation pour les élèves de 6me. la vérité est que le sexe est un spectre et est déterminé par multiples facteurs qui peuvent entrer en contradiction les uns avec les autres
@@xc7997effectivement, c'est la science dure qu'est la biologie qui dit littéralement que le sexe est un spectre car déterminé par multiples facteurs qui peuvent entrer en contradiction les uns avec les autres
1) le sexe est un spectre biologiquement parlant, pas une simple binarité mais plus complexe et multi factorielles (chromosomes, parties génitales, taux hormonaux, etc)
2) le genre n'est pas la meme chose que le sexe, donc ton argumentation s'effondre.
Super intéressant. Tal Madesta est super clair, et remet très bien les choses à leur place.
J'aurais été curieux de voir le sujet du lien avec les Etats-Unis abordé : les transphobes affirment souvent que les sujets sur la transidentités sont une "importation américaine" ... mais ce qui est surtout une important américaine, c'est l'utilisation par l'extrême droite de ces sujets comme nouvel outil politique pour déclencher une panique morale et mobiliser leurs troupes. Est-ce qu'on est en train de suivre la même trajectoire qu'eux parce que c'est une stratégie qui marche et qu'il faut trouver des moyens de lutter contre ce mouvement de haine et peur instrumentalisé ?
Non non tu racontes des sottises il y a une réalité il est inutile de changer l'ordre des choses pour coller à ton narratif.
L'idéologie politique est bien venue des USA vers l'Europe. Les médicaments et les façons d'opérer proviennent bien des USA. Quant à l'ideologie et les théories de genre ont bien été véhiculées depuis les usa vers l'Europe par le biais des réseaux. Il y a eu création de département dans les universités américaines. Ce sont des faits et on s'en tape de l'extreme droite c'est totalement hors sujet.
Les trans deviennent politiquement extrémistes et extrême gauche . Vous voulez imposer votre logique à la majorité. Masse de Gay , lesbienne et bi français ne vous supportent plus , vous prenez toute la place dans la communauté. Vous avez un soucis de narcisse vous vous vous et les autres différents à la trappe .
Ah oui, oui, très joli. Une belle projection. Simple et sans fioritures, mais ça fait le taf.
John Money, papa pédoenthousiaste du "genre" qui imposait, entre autres horreurs, à deux frères jumeaux - dont un féminisé de force qui aura tragiquement fini par se suicider au terme d'une vie de trauma et d'errance médicale - de simuler l'acte sexuel pendant qu'il prenait des photos, il était bien américain, non?
Ce qui est formidable chez les transactivistes, outre leurs capacités inégalables à gaslighter & à DARVO, à insulter et menacer ainsi qu'à s'approprier et réécrire tout ce qui historiquement appartient à d'autres, c'est leur ignorance profonde. Que dis-je, _abyssale_ 🕳️
Y'a des créatures au fond de la fosse des Mariannes qui en savent plus que les idiots utiles au sein de cet activisme mortifère.
Le bon côté des choses c'est que vous n'avez pas que des ignorants et des soumis en mode virtue signaling en face 😊 on vous voit utiliser l'ignorance du quidam à votre avantage pour prêcher et évangéliser. Et ce qui est mieux encore, c'est qu'au sein même de la "communauté" on en peut plus de vous et des retombées négatives sur nos vies LGB à cause de votre terrorisme idéologique sur les populations et votre intérêt très curieux pour les très jeunes gens et les enfants.
Sur ce bonne journée, je retourne auprès de mes maîtres fachiss' à l'estrème drouate déclencheurs de panique morale parce qu'en fait je suis juste un pantin instrumentalisé et -phobe (je suis à cours de clichés et autres buzzwords, je vous laisse le soin de compléter).
@@ghjuOn a le bingo transphobe complet. Ce niveau de trolling c'est de la dissonance cognitive faite comédie.
Vu que tu ne développe aucun argumentaire, on va pas te répondre sur le fond (y en a pas).
En revanche darling, tu peux parler au nom d'aucune communauté. Ton cercle proche ne représente rien ni personne, si ce n'est que vous-même.
Allez ciao bye.
@@eliseverdurin1837l'extrême-droite et la transphobie sont complètement liées. Comme le racisme et masculinisme (entre autre). La panique morale autour des transitions sert de cheval de Troie, en guise de click baits qui débouchent sur une spirale menant directement aux différents mouvements d'ED partout dans le monde. Si tu continues à suivre les liens et suggestions yt/insta/facebook/tiktok transphobes tu finiras par tomber sur les suprematistes blancs et autres fachos.
Aux États-Unis, d'ailleurs, l'extrême-droite dit que les études de genre viennent d'Europe. D'ailleurs elles étaient nommées (par cette extrême-droite) french studies.
Bisous
Je ne comprend pas pourquoi vous ne traitez pas vraiment le problème du progressisme excessif (type Evergreen) qui régente aujourd’hui les grandes universités US, au point que beaucoup de professeurs DE GAUCHE s'en inquiètent profondément. C'est une crise profonde dans le milieu de l’éducation et du savoir. C'est une véritable révolution culturelle, style Mao. Au lieu de cela, vous faites pleurer dans les chaumières avec l'histoire, certes touchante et noble, de Tal Madesta, mais qui n'a rien a voir avec ce qui se passe en ce moment aux Us, et qui arrive doucement mais surement dans les milieux de l’éducation en France. Je suis abonné à Blast par conviction, conviction que 1. Vos enquêtes et les sujets que vous traitez le seront sérieusement. 2. Vous êtes une gauche qui réfléchit. 3. On ne vous la fait pas à vous.
Si la gauche française tombe dans le panneau, c'est un boulevard pour Zemmour et autres "vrais" fascistes... Et qui va ENCORE être plus divisée? La gauche ! S'il vous plait, Blast, faites votre travail, ou donnez le dossier à quelqu'un qui en comprend les enjeux !! Merci.
L'interview me semble à côté de la plaque. Grand bien leur fasse aux individus majeurs de décider eux même de leur vie. Par contre pour un enfant de 12 c'est autre chose.
Je ne comprends pas comment on peut considérer qu'il est moralement juste de faire transitionner un enfant qui n'a pas de capacité de décision, avec des solutions médicales à effets secondaires lourds pour sa vie entière.
Et malheureusement le scandale sanitaire, qui est en fait médical, comme il est minimisé ici en le mettant dans la bouche de l'extrême droite, il est bel et bien réel.
La clinique Tavistock a enfin décidé de stopper, les opérations de transitions sur les ados.
Trop d'effets secondaires néfastes.
Selon moi, c'est plus pour se protéger contre d'éventuelles plaintes, qu'autre chose.
Les transition de genres physiologique et chirurgicales n'arrivent quasiment jamais avant 18 ans. D'où l'interêt de temporiser à la majorité.
@@jean-noelfavier1154 Mouais, enfin, l'institut Tavistock, s'est chargée d'opérer des ados, qui n'avaient pas 18 ans , quand même.
Ces ados opérés, ont pour la plupart , développé le même syndrome, celui de ne plus éprouver de désir sexuel, entre autre, du coup Tavistock a freiné, voire arrêté ces opérations.
Personne, et surtout pas des parents, ne FAIT transitionner un enfant. C'est un long processus très accompagné et discuté et élaboré avec des soignants, des médecins , des psychologues et travaillé familialement
Juste génial. ❤️ Ca fait plaisir de voir qu'on donne enfin la parole aux personnes concernées
Bravo et merci d’éclairer notre condition avec autant de professionnalisme et diplomatie ❤
merci pour cette vidéo
Je ne comprends pas que dans un monde dit civilisé on puisse encore stigmatiser des minorités quel qu'elles soient . Bravo monsieur , pour votre grande humanité et de défendre des droits qui devraient être automatiques . La grande injustice que vous subissez jusqu'à avoir des problèmes pour l'emploi et le logement en plus des violences et des rejets familiaux ce n'est pas acceptable dans un pays comme la France . Bon courage à vous tous
Des minorités bourgeoise et envahissantes (dans les médias) 60 millions de Français et ces 50000 casse-burnes privilégiés (un micro, une oreille se tend pour les petits malheurs) qui ne savent pas assumer une kékette ou une chatte...
Je suis d'accords avec vous être trans engendre plus de rejet, mais il n'y a pas que eux qui subissent le rejet social, sécurité, emploi ...
@@stmart9755 Non ils n'y a pas qu'eux et loin de là . Il faut combattre ça et le mieux c'est avec les enfants , leur apprendre que les différences quelles qu'elles soient sont une richesse .
Oui , il ne faut pas stigmatiser ...
@@francein8462 Car il est écrit et dit à la télé : La diversité enrichit , et l'immigration est une chance pour la France .
Dommage quand même que certaines questions ne soient pas posées et que dès qu'on a des interrogations, on est traités de transphobe.
Par exemple, le fait d'avoir des dragqueens qui lisent des contes aux enfants dans les bibliothèques et que les parents que se questionnent sur ce fait sont ridiculisés.
Pourquoi une femme qui transitionne en homme a le désir de garder son utérus pour être enceint?
Tellement de question
Mais surtout laissons les enfants tranquilles
Tellement de bêtise et d'ignorance
C’est pas de la haine de vouloir laisser les sport féminin aux femmes. Léa Thomas a détruit tous les record de natation féminins au USA. C’est une insulte envers les femmes athlètes.
C’est pas de la haine de vouloir guarder les vestiaires de filles aux filles. Et notre sécurité alors?
C’est pas de la haine de refuser de mutiler des enfants fragiles.
Il sont incapables de comprendre que leur démarche va blesser d’autre gens, les décourager. Etc
Lia Thomas a battu un seul record, celui de son université. Ce record a de nouveau été battu par une femme cis un an plus tard. C'est une insulte envers les femmes athlètes d'ignorer leurs prouesses sportives pour se concentrer sur une seule athlète qui est pas née comme il fallait.
@@Gelcoluir_ un seul record pour l'instant... et le problème ne s'arrête pas à la natation.
@@Gelcoluir_ C'est une insulte envers les femmes athletes d'ignorer leur nombreuses demandes a reserver les sports pour les femmes. Elles sont toutes unanimement contre devoir se changer devant un mec et devoir se battre contre eux.
Lea Thomas est ne parfaitement comme il fallait,, c'est un homme de 1m95, un athlete en parfaite sante. Le seul probleme c'est qu'en tant que nageur homme il etait 450 eme, mais des qu'il fait des competitions avec les femmes il est soudaiment 1er.
Les gens qui sont pas nes comme il faut c'est les bebes nes avec des cancers ou des malformations handicapantes. Eux ils ne reverait que d'une chose c'est d'avoir la chance d'etre en bonne sante et d'arreter de souffrir.
@@twinklefarm Je ne sais pas si tu te rends compte que tout ce que tu dis est teinté de mensonge, même les petites choses comme la taille de Lia Thomas (qui fait 1m85, soit à peine 2cm de plus que Katie Ledecky) tu te sens obligé de mentir. Il en va de même pour son classement, étrangement si je vérifie les informations on y trouve des choses comme classée 32e en masculin avant sa transition. Pour une athlète qui a dû prendre un traitement hormonal pour combattre une dysphorie de genre qui est souvent bien incapacitante, passer de top 32 à top 10 n'est pas surprenant. Et elle n'est évidemment pas 1e actuellement, tu as quelques athlètes qui performent beaucoup mieux, notamment la fameuse Katie Ledecky qui s'est retrouvée invisibilisée par les media qui n'ont d'yeux que pour le drama autour de Lia Thomas..
Sans compter quand tu dis que les athlètes femmes souhaitent unanimement écarter les femmes trans de leurs compétitions, c'est ridicule quand tu regardes ce qui se passe en vrai. Dans tous les sports où les femmes trans ont été bannies, c'est quasiment toujours un homme qui prend cette décision et qui parle à la place des femmes. L'opinion des athlètes est invisibilisée et utilisée, notamment par des gens comme toi qui déforment toute la vérité pour imposer leur vision sur ce que doit être un homme et une femme. Étonnamment, le sport où les athlètes trans sont le mieux accueillies, le roller derby, est un sport entièrement féminin. Dans la vraie vie, quand tu enlèves la présence des hommes et leur vision misogyne sur à quoi doit ressembler une athlète femme, tu te retrouves avec des sports où les femmes trans sont parfaitement acceptées.
Merci Blast et Paloma ! Je regarde dès que j’ai le temps !
Merci d’avoir invité cette personne : oui, donner la parole aux trans
Questions et réponses très intéressantes: merci ! ❤
qu'est ce qu'on s'en branle : ça devrait rester du domaine de l'intime
@@MB-rx9rb Et les personnes trans ne demandes que ça, seulement il y a des types comme toi et la toute droite qui en font un sujet politique sans compté la violence constante et l'ignorance du publique alors il faut parler de ces problèmes pour les régler et toi t'arrive au milieu de tous ça, avec des personnes marginalisées qui explique leurs misère et plutôt que de ressentir l'émotion humaine qu'est l'empathie tu préfère passé la meilleur partie de ton temps à leur dire de la fermé et de souffrir en silence. Les personnes comme toi sont simplement répugnante
@@mitaku2287 et du coup, tu le catégorises aussi en fonction de ses propos. On peut ne pas être d'accord avec les propos sans tomber dans le piège grossier de l'attaque à l'autre. Propageons l'amour, pas la violence ;)
@@mitaku2287 Je n'en fait pas un sujet politique mais de société.
Ce sont les associations et les partis politiques qui le font.
Si j'étais de droite, je ne serais pas abonné à Blast depuis la création ni ne suivrais Denis Robert depuis 10 ans.
Je ne suis pas ignorant des souffrances infligées par la majorité sur une minorité, car moi-même j'en ai fait les frais.
Ce que je veux dire c'est que le genre et la sexualité font partie de l'ordre de l'intime. En tant qu'hétéro je n'ai pas à faire un coming out ou bien être dans la revendication de ce que je suis, alors j'en attends de même pour mes semblables quelle que soit leur orientation sexuelle ou leur expression de genre. En contrepartie, personne ne devrait juger publiquement les personnes sur ces questions là.
Mais je ne comprends pas cette lubie d'écolo de centre ville qui veut nous faire croire que ces personnes sont persécutées insidieusement ou ouvertement dans notre pays.Qu'ils vivent leur vie sans problème.
Tu sais le vrai anarchiste c'est celui qui traverse sur le passage piéton afin qu'il n'ai pas la peine de devoir parler au policier.
je vous conseille de faire pareil car derrière la façade de la bienpesance, la majorité n'est pas prête à les accepter.
C'est le prix à payer par les marginaux. Désolé ce n'est pas moi qui fixe les règle de la psychologie des foules.
Je vous suggère de lire les ouvrages de Gustave lebon à ce sujet là et d'écouter "la mauvaise réputation" de G. Brassens.
@@sia-daturea J'adorerais que ça soit le cas mais je ne peut que constaté le contraire, aux états-unis a été lancé depuis plusieurs années déjà un effort de normaliser une rhétorique génocidaire pratiquement directement emprunté aux Nazis en ayant juste changé quelques mots (on est passé de "juif" à "trans", de "judéo-bolchevisme" à "marxisme culturel" et "néo-progressisme") et atteint un niveau de violence sans précédent avec en 2023 seulement, 566 propositions de loi visant à sévèrement restreindre les droits des personnes trans (jusqu'au droit de sortir de chez eux et d'exister dans l'espace publique) dans la quasi intégralité des états et ils ont sorti un nouveaux programme il y a quelque jours: "Project 2025" décrivant qu'ils redoublerons d'effort sur le sujet si le prochain président des USA est républicain (ce qui veut dire que les restrictions de droits pour les personnes trans ne serait plus seulement au niveau d'un état, qui laisserait donc la possibilité de fuir dans un "état sanctuaire", mais serait appliqué au niveau fédéral). Ce qui se passe ajd aux US est un génocide, autant selon les critères des Nations Unis que pour ceux du musée de la Shoah.
Et récemment cette rhétorique s'est vu importé dans la sphère politique française avec quelques années de retard, entre autres par Marine Le Pen (je fait là référence à son discours au Havre le 1er Mai dernier où elle a sorti une traduction littéral de la rhétorique américaine d'il y a 4-5 ans) et aussi évidemment d'autres personnages politiques et médias qui font de la diffamation de minorités entières leurs métier tel que Eric Zemmour, Jean Messiah, CNEWS et j'en passe. Quand bien même j'adorerais être charitable avec des personnes qui montre clairement une incompréhension du sujet ils le font pratiquement toujours avec dogme, sans jamais se remettre en question ni les mensonges qu'ils diffusent et en utilisant un vocabulaire clairement violent. J'ai eu assez d'interaction avec ce genre de personne pour savoir qu'argumenter un point avec eux est voué à l'échec d'autant plus qu'ils commentes sous une vidéo où la majorité des incompréhension qu'ils ont est expliqué puis débunker mais visiblement ne l'on pas regardé ou alors c'est passé dans une oreille, ressorti par l'autre sans chatouiller la matière grise. C'est frustrant de se dire que ce type de personne est un peu monsieur tout le monde du centre jusqu'à l'extrême droite et même à gauche certains présente ce genre d'incompréhensions ou de sensibilité aux mensonges sur les personnes trans propagés par les médias, autant sur la TV que sur facebook ou twitter qui est désormais plus jonché de néo nazis que jamais. Voir autant d'hostilité me fait extrêmement peur, autant pour la société parce que je vois une sympathie croissante pour des partis fascistes que pour moi même car je sais que je serait la cible et inévitablement victime de ce genre de rhétorique puisqu'ajd le RN est aux portes du pouvoir et LREM à défaut de rendre la situation pire d'eux même sont indifférent à ce problème et laisse la route dégagé pour que le RN prenne le pouvoir. La colère des personnes trans à l'encontre des transphobes pensant réellement ne pas l'être est justifié.
Merci pour cette vidéo et d'avoir donné la parole à un homme trans, ça fait du bien d'entendre une personne concernée en parler ! 👏
Pourquoi confondre la critique et la haine ? Face aux militants trans, il y a les deux, et les mettre dans le même panier c'est de la mauvaise foi. Tout comme on peut être critique de la religion sans vouloir du mal aux croyants, on peut être critique du transactivisme sans vouloir du mal aux personnes trans. Merci de distinguer les mecs qui vont cogner des trans (statistiquement, c'est majoritairement des clients qui violentent des femmes trans en situation de prostitution) des féministes qui ont un désaccord idéologique.
Ce débat peut être résumé par un problème de définition. Il y a plusieurs définitions du mot genre, et donc par extension différentes vision du sexe, et des mots femme/homme. Les féministes matérialistes (une grande part de la seconde vague féministe de gauche, avec des autrices comme Delphy (souvent mal comprise) et Wittig), ont une approche où le genre est vu comme l'ensemble des comportements/attitudes/rôles attendus socialement d'un sexe (c'est aussi la définition qu'on utilise en sciences sociales), et qui considère que le mot homme/femme renvoie au sexe, et que selon le sexe constaté à la naissance, on est placés dans le genre masculin/féminin, classe sociale oppressive où l'un domine socialement l'autre suite à un apprentissage social bien codifié.
Alors que de leur côté, les féministes libérales (mouvance de la majorité des militants trans*) considèrent que le genre est un système d'identification auto-déterminé, et donc que cette identification dépend de individu (pas de la société) et est émancipatrice. Leurs définitions sont plus floues, puisque homme/femme renvoie à "qui s'identifie comme homme/femme" (donc une définition circulaire, j'ai toujours pas réussi à obtenir une vraie définition, ni à comprendre ce qui pour eux constitue la différence entre un homme et une femme et comment on peut s'identifier à une notion qu'on ne peut pas définir), et masculin/féminin renvoie plus souvent à la performance du genre.
Historiquement et dans l'idéologie, ces deux approches sont de gauche. Les premières, affiliées au communisme (plutôt centrées sur le collectif et les systèmes de classe), les deuxièmes, affiliées au libéralisme de gauche (plutôt centrées sur l'individu).
Et enfin, de mauvaise foi beaucoup trop souvent confondue avec les féministes matérialistes, on a une vision du genre historiquement plutôt de droite, où homme/femme renvoie à la fois au sexe et au genre parce que les mouvements conservateurs ont tendance à avoir une vision essentialiste du genre (c'est à dire qu'il serait naturel que les femmes et les hommes ont tels et tels comportements, pour eux ce n'est ni un apprentissage social, ni une auto-détermination).
Les féministes matérialistes craignent que l'on oublie que le sexisme est basé sur le sexe (lire Françoise Héritier), et que ne plus pouvoir définir homme/femme selon le sexe fasse perdre le féminisme de son sens et ouvre la porte à des dérives (en effet, comment lutter pour les femmes si on ne sait plus définir ce qu'est une femme ?). Elles ont aussi peur que cette définition circulaire des mots homme/femme cache en fait des définitions basées sur le renforcement des stéréotypes de genre. Elles militent pour l'abolition du système de genre, en tant que classe sociale, pour que les femmes soient libérées de ces carcans.
Méfiez-vous des personnes qui vous assurent que le genre ça voudrait dire ci ou ça et pas autrement, méfiez-vous de ceux qui vous disent que leur façon de voir est la bonne et les autres à censurer, méfiez-vous de ceux qui vous culpabilisent de poser des questions, méfiez-vous de ceux qui vous empêchent de lire "le camp adverse", méfiez-vous des gens qui prétendent que cette question est simple. C'est une question compliquée, qui concerne tout le monde, il y a plein de courants de pensées différents et de nuances (je vous fais un résumé archi simpliste) et chaque courant à ses défauts argumentatifs. Lisez les arguments de tout le monde pour vous faire votre propre idée à vous, gardez en tête que les gens adorent s'étriper sur twitter, mais que des grands concepts comme ça c'est plus compliqué que des tweets, et que les théories c'est pas juste une question de "concernés" et de "ressentis", mais d'arguments rationnels. Prenez le temps, nourrissez vous des décennies de débats théoriques sur le sujet, peut importe qui vous convaincra, vous en ressortirez grandis !
Je suis très confuse vis-à-vis du fait que les personnes gender critical et/ou qui perçoivent nos transidentités comme une idéologie nous qualifient de libéraux. Le capitalisme neoliberale est une entrave à nos transitions et dans une société communistes, nos parcours seront libres et gratuits. De plus, une partie importante des militants pour l'émancipation des personnes trans sont materialistes. Le matérialisme trans est d'ailleurs de plus en plus présent comme grille d'analyse parmi les intellectuels et universitaires qui étudient et décrivent nos parcours (je pense notamment à Beaubatie). Ça me fait aussi toujours tiquer qu'on nous dise qu'on perçoit le genre comme un ressenti individuel alors que ça n'est pas vrai. Je ne peux parler que pour moi mais ce qui fait que je suis une femme, et ce qui me rapproche des femmes cis, c'est aussi en grande partie que je vis la misogynie, c'est ma réintégration sociale et administrative dans la société sous une identité féminine, c'est aussi le fait que mon corps soit rendu partiellement femmelle par mon traitement avec les conséquences sociales que ça a, bref c'est pas un sentiment évanescent. La libération des femmes cis et celle des femmes trans sont indissociables puisque nos conditions d'existence sont ultra similaires. Les deux groupes cherchent l'autonomie corporelle réelle et non-conditionnée au fait d'être riche, les deux cherchent la fin de leur exploitation sexuelle par les hommes, les deux cherchent la fin des violences et meurtres à leur encontre, etc.
Je trouve cette critique intéressante, et comme vous avez l'air tout à fait disposée à réfléchir et à vous remettre en cause, j'aimerais
bien vous faire quelques remarques, au cas où cela puisse vous intéresser. Tout d'abord, je trouve pour ma part très regrettable que le féminisme (exception faite de l'éco féminisme, à mon avis, qui touche à un équilibre intéressant) ne vise pas d'avantage à intégrer, revendiquer et mettre en valeur des reproches qui sont faites à la gente féminine depuis l'antiquité, à savoir une supposée "émotivité" trop débordante, qui s'oppose précisément à l'esprit rationnel. Il est très important de déconstruire l'idée selon laquelle les femmes ne sont pas aptes à la pensée rationnelle, et je me battrai toujours contre ce préjugé infame.
Néanmoins... Le seul problème n'est pas là. En muselant le sentiment, en conspuant le ressenti, on le voit, d'une part, envahir tous les arguments pseudo-rationnels. Car il existe en tout être humain, et s'impose à notre insu quand on cherche à l'ignorer. On peut tout aussi bien devenir tyrannique, car les concepts ne sont pas "par nature" plus valides que les sentiments, et ne provoquent pas moins de guerre et de brutalité (cf communisme, capitalisme et bien d'autres ismes...). Plutôt que de chercher absolument à savoir qui a "raison", écouter les autres parler de leurs sentiments permet bien souvent de les comprendre, sans avoir besoin de remettre en question ses propres sentiments, car contrairement aux concepts, ils ne nous obligent pas à choisir un camp... Et pourtant, ils changent dès qu'on intègre l'existence de ceux des autres. Par ailleurs, les sentiments ont encore un autre avantage tout à fait capital. Ils appartiennent à la personne qui les ressent, contrairement à toutes les idéologies. Ils ont donc la vertu de permettre l'émergence de l'individualité, et je pense qu'il est très dommage de ne pas leur reconnaître cette grande force.
Peut-être l'heure n'est elle plus aux grandes idées qui prétendent à la connaissance universelle, mais enfin de revenir aux ressentis qui sont autant de guides vers la connaissance de soi-même. Mais ce n'est que mon avis, maturé à partir d'un enchâssement de sentiments et de concepts.
Juste parfait
Bravo, bien analysé
Ce qui est compliqué c'est quand on mélange tout. Nature ou culture ? Il y a des deux . Ce qui fausse tout débat apaisé c'est quand certains ramènent tout à la culture et d'autres à la nature. Les deux camps devraient lire absolument ce que dit Olivia Gazalé sur le sujet dans un livre remarquable qui s'intitule Le Mythe de la virilité, un piège pour les deux sexes !
Il veut rendre possible l'auto-détermination ? Sérieux ? Mais.. ne sait-il pas que là où ça a été mis en place, du coup n'importe qui a pu se dire trans, y compris des personnes non-trans ? Je ne comprends pas : venant d'une famille avec un père violent, ne sait-il pas que beaucoup de gens souhaitent profiter des failles du système pour pouvoir commettre des crimes ? Ne voit-il pas le problème qui a été observé en prison aux USA et en Angleterre où des mecs se sont soudain dit trans pour pouvoir être transférés en prison de femmes et les violer ?? Des gens qui parfois avaient été incarcérés POUR VIOL ???? Alors qu'on pourrait se concentrer sur la protection des vraies personnes trans en prison, on donne un ticket aux hommes pour faire semblant de l'être ? Mais sérieux, pourquoi la journaliste ne soulève même pas le problème de l'auto-détermination, n'a-t-elle pas fait un minimum de recherches pour préparer l'interview ? Ça soulève même le problème des statistiques de crime, où on va soudain voir une augmentation des crimes commis par des femmes alors que ce sera de faux trans auto-déterminés ! Vous êtes de gauche ou vous êtes libéraux au point de penser qu'on devrait pouvoir faire ce qu'on veut, jusqu'à décider tout seul de ce qui est écrit sur notre état civil ? J'avoue, il m'a fait bondir, sur cette question. Pareil sur la psychiatrisation : ben, heureusement qu'il faut deux ans de suivi psy avant de commencer traitements et chirurgies. Qu'on soit bien sûr de ce qu'on fait, quoi. Imaginez qu'on se soit planté ? Ce ne sont pas de petites interventions, d'une part, et d'autre part elles sont faites sur un corps sain, à la base. Alors, j'entends l'argument de la détresse psychologique, les possibilités de suicide etc... ce qui justifie le satané suivi psy !! Pardi ! Parce que souhaiter se modifier à ce point et entamer un parcours de soin qui va durer TOUTE LA VIE, ce n'est pas anodin et ça demande bien d'être absolument certain de son choix, surtout lorsque c'est commencé très très jeune, à un âge où l'on peut être particulièrement troublé et aux prises avec de nombreux problèmes cumulés (comme ce jeune homme trans, qui de son propre aveu, a subi de nombreuses violences de la part de son père dans son enfance). Je ne sais pas, je trouve étonnant que ni lui ni la journaliste ne soient capables de voir l'implication sur la société qu'aurait une mesure comme l'auto-détermination. Ça ne me semble pas très sérieux. Je voudrais aussi comprendre : si la dysphorie de genre n'est pas une trouble psychique, alors, qu'est-ce que c'est ? Et pourquoi ce serait honteux d'avoir un trouble mental, comment percevez-vous les personnes qui en ont, du coup ? Comme de moins bonnes personnes ? N'est-ce pas validiste, comme attitude ? Au lieu de vouloir se dépathologiser, ne faudrait-il pas plutôt lutter contre le stigmate de la pathologie mentale ? Du coup par extension, je me demande si les gens souffrant de dysmorphie corporelle sont encore catégorisés comme ayant un trouble psychique ou ont-ils été retiré de la liste eux aussi, et si non comment justifier cette différence de traitement ? Bref. Franchement, Paloma Moritz aurait pu aller tellement plus loin dans ses questions, mais la peur d'être même un tout petit peu soupçonnée de transphobie est trop forte. C'est assez frustrant.
Vous avez bien pointé le problème. L'idéologie d'identité de genre existe, contrairement à ce que prétendent ses partisans afin de museler les personnes (de gauche, des féministes...) qui y décèlent de nombreuses contractions insolubles. Cette idéologie entend réfuter l'existence même du trouble de la dysphorie de genre ; il n'existerait que des identités de genre qu'il ne faudrait surtout pas psychiatriser.
Ah mais la dysphorie de genre c'est toujours une pathologie mentale, hein. Tout le monde répète que c'est plus le cas, mais c'est un gros mensonge. J'ai mon p'tit DSM-5 sous les yeux et c'est bien écrit dedans.
@@Metamonita Je pense qu'il n'est pas faux de parler d'idéologie de l'identité de genre, du moment qu'on admet que ce n'est qu'une réponse à une idéologie du genre qui reste très vivante dans les esprits... La femme, qui doit enfanter. L'homme, qui doit travailler et se battre. L'homme identifié à son pénis. La femme, à son utérus. Et tout être humain ramené à une fonction biologique, au service d'une grande nation. Menant à la mutilation des personnes qui naissent intersexe, pour les conformer à ce schéma de pensée.
Faut-il psychiatriser toutes les convictions intimes qui poussent les gens à adapter leurs habitudes de vie et à se construire autour de ces convictions ? Comme être végétarien, par exemple ? Ou sportif ? Ou fumeur ? La psychiatrisation intervient dès lors qu'il y a une souffrance subie, ou infligée à l'entourage. On peut tout à fait classer la dysphorie de genre parmi les troubles psychiques, puisqu'elle est cause de souffrance, mais vivre en accord avec ce qu'on ressent, est-ce que ce n'est pas guérir en ce cas ? Ou bien la psychiatrie n'est-elle vraiment qu'une mesure sociale répressive qui vise à étrangler tout ce qui semble échapper à la norme et à la doxa en vigueur, finalement... ?
@@moltragan je salue la qualité de votre prose, mais vous passez malheureusement à côté de la nuance principale : nous sommes tiraillés entre notre partie naturelle et notre partie culturelle, dichotomie qui caractérise notre espèce humaine.
Aujourd'hui on oublie visiblement que le langage culturel décrit à la fois des éléments de notre nature et d'autres de notre culture. Je crois que le problème de cette ideologie transe vient du fait de confondre les limites entre le naturel et le culturel. On parle de l'idéologie de genre parce qu'elle repose sur une "idée", celle qui prétend qu'il est possible d'être né dans le mauvais corps parce qu'on ne correspond pas ou qu'on refuse de reproduire les clichés sexistes attendus par la société. Cette idéologie pretend également que le sexe biologique n'existe pas et que les concepts homme et femme ne se réfèrent qu'aux personnes se reconnaissant comme appartenant à l'une ou l'autre liste de clichés. Tout ceci est un délire culturel.
Vous prétendez que cette idéologie se construit en réaction à une idéologie déjà en place, seulement le sexe n'est pas une idéologie, c'est une réalité biologique dont a découlé la plupart de nos listes de clichés respectives. Vous êtes donc injuste quand vous comparez le fait d'être identifié selon son pénis avec le fait de devoir enfanter, vous confondez nature et culture et ce que les mots veulent dire. Homme et femme ont beau être des mots culturels, ils décrivent des concepts naturels, qui s'expriment par la répartition de nos rôles sexuels dans la reproduction, les mots homme et femme ne définissent que le sexe, pas le genre. Une femme ne doit pas enfanter, ça c'est culturel, une femme dispose simplement de l'appareil biologique permettant de le faire (ne me retorquez pas les infirmes et les intersexes, on ne peut pas définir en prenant compte des exceptions ou on n'aurait pas de mots). L'homme ne doit pas se battre ou ouvrir le pot de cornichon, il est équipé de l'appareil biologique pour le faire.
La répartition de nos rôles traditionnels ne découle pas d'une idéologie apriori (qui l'aurait dictée, et à quel moment?) mais plutôt le produit logique de notre histoire de vivre ensemble.
Et non toutes les habitudes de vies ne doivent pas être psychiatrisées, seulement celles qui présentent une décorrélation grave de l'esprit culturellement influencé et de la nature du corps, mettant en danger le patient, comme c'est le cas avec les transes en général et les jeunes transes en particulier, qui auraient probablement davantage profité d'un accompagnement psychologique plutôt que cette folie mutilatoire de l'accompagner jusqu'au bout de sa délusion.
Moi je me suis toujours senti noir au fond de moi, alors que je suis blanc d'apparence. Seriez vous opposé au fait que je change de couleur et que je demande à tout mon entourage de changer son langage me decrivant? Pour quelle raison? Auriez vous un jugement envers les noirs qui ne m'accepteraient pas en tant que noir?
@@yoyoyayu Je vous remercie pour votre développement, mais je me permets de vous faire remarquer les zones d'ombres qui subsistent dans votre argumentaire. Aucune idée, ou idéologie, n'affirme que le sexe biologique n'existe pas. La théorie du genre avance une distinction entre le sexe biologique (qui est donc considéré comme existant, vous l'aurez compris) et le genre, auquel s'attache en effet des présupposés culturels, des rôles sociaux et des relations humaines différentes. La culture n'est pas un délire, mais une part de nos vie d'animaux sociaux, qui ne consiste pas à nier notre nature le moins du monde. Les deux peuvent exister dans le même temps, c'est toute la richesse de la pensée paradoxale.
Par ailleurs, je n'ai jamais dit que le sexe était une idéologie, mais j'ai peut-être manqué de clarté à ce sujet et je peux essayer de mieux m'en expliquer. J'avance simplement la préexistence d'une idéologie du genre, donc de l'aspect culturel qui s'attache à la représentation des individus des deux sexes. Vous l'admettez vous-même, quand vous dites "une femme ne doit pas enfanter, ça c'est culturel, elle dispose simplement de l'appareil biologique permettant de le faire" : il y a donc bien un aspect culturel du rôle des femme dans la société, et c'est bien tout ce que j'ai dit, donc il me semble que nous en sommes d'accord (à part peut-être sur l'affaire de l'homme équipé de l'appareil biologique adapté pour ouvrir un pot de cornichon... Là, j'avoue que je ne vous suis pas. Mais chacun ses méthodes.)
Les "idées" sur le rôle propre aux genres pupulent depuis longtemps, et je ne saurais dire où elles commencent. Des manuels de bonne conduite pour les femmes ont été rédigés en France par des moines, des intellectuels. Les traités féministes s'inscrivent dans cette lignée, quoiqu'ils suivent généralement une voie bien différente. Les traités de maîtres d'armes des temps passés abondent d'idées sur les vertus d'un homme, sur le rôle qu'il doit tenir vis à vis des femmes, pour lesquelles il est tenu de combattre. Par ailleurs, d'autres cultures ont bâti un rapport au genre très différent, comme c'est le cas des inuit qui reconnaissent depuis des siècles l'existence d'un troisième genre, intégré à leur culture et leur vision de la spiritualité.
Je pense que de très nombreuses et variées idéologies s'attachant au genre ont existé tout au long de notre histoire, et que c'est une thématique très loin d'être neuve.
À mon avis, c'est vous qui passez à côté d'une nuance capitale, qui existe entre la sphère publique et la sphère privée. Je pense qu'il n'est pas absurde de parler "d'idéologie du genre" dans la mesure où c'est une façon d'expliquer un ressenti intime et de s'en justifier, pour des personnes qui sont tenues par une majorité normative de s'en expliquer. Mais la transidentité en tant que telle n'est pas une idéologie. C'est bien un ressenti intime, qui appartient à la sphère du privé, et qui est tenu de s'accompagner d'une explication idéologique dans la mesure où des gens que cette question ne concerne absolument pas s'emportent et stigmatisent ce ressenti, en parlant d'illusion et de folie mutilatoire. C'est ainsi que vous parlez d'autres êtres humains, en présumant qu'ils sont stupides et endoctrinés sans essayer le moins du monde de les comprendre, alors qu'ils ne vous menacent en rien. Vous vous inquiétez pour eux ? Vous pensez qu'ils ont besoin d'être ramenés vers "la vérité" ? Des chrétiens ont eu la même conviction quand ils ont eu besoin de reporter leur propre ombre sur d'autres humains pour éviter de la regarder en face. Votre façon de voir le monde est bien plus dangereuse que celle d'humains qui essaient de vivre avec leurs paradoxes, et qui demandent à être acceptés ainsi. Je vous accepte comme vous êtes, d'ailleurs j'ignore toute de vos choix de vie et je ne vous demande pas de vous en justifier. Mais je vous invite à la prudence, quand vous qualifier le droit des autres à disposer de leur corps d'"idéologie" et que vous vous en irritez.
Par ailleurs, si ça peut vous ouvrir l'esprit, devenez noir si vous voulez. Ce n'est pas mon problème, et je ne pense pas que ça puisse en être un, du moins je ne me sens pas le moins du monde menacé par cette perspective. Je pense que votre intégration sociale n'est serait pas facilité, mais c'est plus vous que moi que cela concerne, et pour peu que vous soyez sincère dans votre chemin, j'aurais à cœur d'essayer de comprendre ce que cela représente pour vous, si par le plus infini des hasard vous vouliez vous en ouvrir à moi. L' expérience humaine est pour moi un chemin fantastique que j'arpente avec mon propre jugement, face à moi-même, et ma place n'est pas de juger celui des autres, mais d'essayer d'en percevoir les richesses, pour grandir peu à peu.
Pourquoi faire la promotion d'interventions traumatiques sur le corps avec une stérilité sans retour arrière possible !???
Respect aux personnes transgenres.🕊️
Merci Paloma pour cette formidable interview !
J'ai adoré la fin, en imaginant ce que pourrait être un futur souhaitable et surtout ce que nous devons faire aujourd'hui pour y arriver. Un bon exercice à garder en tête pour toutes les interviews à venir :)
C'est l'idéologie politique mortifère qui pose un problème aux gens pas les personnes trans. Les transactivistes sont problématiques en 1er lieu pour les personnes trans.
Vous avez des personnes trans qui dénoncent l'Idéologie lgbt+
Je ne changerai pas d'avis sur ce point après m'être longtemps renseignée et après avoir discuté avec les intéressés.
En effet nous sommes beaucoup à critiquer cette idéologie, et malheureusement on est classé trop souvent dans les "personnes haineuses".
C'est bien dommage, une idéologie qui n'accepte pas la critique est dangereuse à mon avis.
Je plussoie..
C'est quoi "l'idéologie lgbt", comment la définissez vous ?
On dirait une grande peur, comme les discours "anti-wokes" de la droite qui ne veulent rien dire dont le seul but est d'effrayer les gens.
l'enfant est naturellement influencable et fragile, l'adolescance exacerbe ctte instabilité, et prend des decisions irrationnelles, impulsives et court-termistes. C'est le role des parents de calmer, rallentir et recanaliser l'enfant/Ado. Si ce dernier passe à travers cette periode de test, c'est *alors* que ce n'est pas un caprice, mais un vraisujet. à ce moment là, les parents devraient le réaliser, et accompagner l'ado.
Des dizaines d'études ont été faites sur les détransitions : il y a très peu de détransitions et dans la grande majorité des cas c'est du à la transphobie : pression sociale, pression des parents, discriminations au travail, agressions etc.
on peut calmer et canaliser un enfant/ado sans considérer pour autant qu'il ou elle fait des caprices ou raconte n'importe quoi.
@@lilithtrump2359nan il y a littéralement plusieurs études dessus. D'ailleurs bcp de ces personnes reprennent leur transition plus tard quand ils sont dans un environnement plus stable
On attend toujours ces fameuses études ? @@celia1888 Sinon c'est qu'elles n'existent pas, faudra l'admettre.
O attend toujours ces fameuses études ?
Bizarre, vous semblez avoir perdu toute connexion internet pendant plus de 21 jours... Surprenant ! @@vivapharaon Je crois que ces études n'existent pas du tout et que tu n'as rien trouvé de mieux que de mentir pour appuyer tes propos bidons.
Quelle lucidité, quelle maturité. J'ai vécu cela de l'intérieur, mon ex femme n'a pas supporté, nous nous sommes séparés, car elle ne supportait pas les questions, et la sexualité de nos 3 filles...découvrir l'homosexualité de son enfant reste une effraction pour certains, pour moi c'était un bonheur de les voir heureuses...J'imagine le parcours sans l'amour des siens...Un enfer possible, courage et fraternité.
Bonjour,
Il faut faire la différence entre LGB (orientations sexuelles) et T (qui n'est pas une orientation sexuelle).
D'où aussi le fait que des associations LGB se désolidarisent du T et condamnent la transaffirmation au moins chez les enfants.
@@ReoAard la vaste majorité des personnes LGB sont solidaires des personnes trans (qui sont très souvent elles aussi gay, lesbiennes ou bi, d'ailleurs), faire la distinction ne sert qu'à continuer la discrimination.
@@naluzoniro Bonjour,
Merci pour votre commentaire.
Justement : ça change : avec les nouvelles données et le recul, petit à petit. De plus en plus comprennent les enjeux et les dérives, les dangers liés directement à la transaffirmation.
Voyez LGB Alliance par exemple.
Ce qui fait peur aux gens, je pense, en tout cas ça a été mon cas pendant longtemps, c'est la disonance cognitive indue (surement par notre éducation d'ailleurs) par la difference entre le sexe biologique et le genre, et aussi, la non tolérance quand quelqu'un de non trans s'interesse a ses sujets, ayant une cousine qui a transitionner, je lui ai poser plusieurs questions et les reponses ont souvent été "tu es un hetero cis, tu pourras pas comprendre, en plus reflechir comme ça c'est transphobe.", j'etais choqué car la premiere chose qui m'est venue a l'esprit a l'epoque c'etait qu'on me demandait d'etre tolerant et dans l'amour, alors que la reaction en face etait le rejet de ma propre personne.. du coup maintenant on se parle a peine, alors qu'on a grandi ensemble, tout ça parce que j'ai voulu comprendre la difference entre le sexe biologique (de naissance et qu'on ne peut malheureusement que déguisé, car la médecine n'a pas encore assez évolué) et le genre qui est propre a chacun et sur quoi personne n'a son mot à dire. Alors oui j'ai vécu ça comme un deuil, le deuil de notre relation, juste parce que j'ai été maladroit, par méconanaissance et que la reaction en face n'a été qu'une pensée prémachée sans autres arguments que le bouclier de la "Transphobie"
Vous avez peut-être été blessant sans le vouloir. Pourquoi ne pas lui dire directement ce que vous dites là, reconnaitre votre possible maladresse et ignorance (ignorance qui est souvent à la base d'une certaine violence ou même terreau d'une haine, de manière générale, sans parler de vous).
je trouve ça fou qu'une même personne puisse dénoncer très justement les inégalités de genre, dire qu'on met les gens dans des cases pour rien, que ça génère un système de domination..... et dans le même temps revendiquer son appartenance à une de ces cases plutôt qu'à une autre !?
Si on est contre le fait de "caser" les gens dans des classes de genre... pourquoi vouloir à tout prix en changer, et pas plutôt les abolir ?
(je parle principalement des femmes trans en disant ça, pour les hommes trans je peux comprendre totalement l'intérêt de ne plus vouloir subir le système de domination)
Sauf que ce sont deux choses différentes. C'est justement ça la critique.
C'est un peu comme entendre le mot blonde et s'imaginer Brigitte Bardot et que le seul blond qui existe c'est le sien alors qu'il y a plein de blonds différents (dont le plus foncé qui est facilement confondu avec du châtain clair). De même tous les poils sur le corps ne seront pas forcément de la même couleur.
Les attentes de la société quand à ce qu'est sensé représenter un concept diffèrent du concept en lui même.
Autre expl, directement liée à la question trans: vouloir porter une jupe n'est pas la même chose qu'être une femme trans. Et inversement. Y a bcp de femmes qui n'aiment pas les robes, elles n'en sont pas moins femme pour autant.
Il faut se rappeler qu'il n'y a aucune définition des mots femmes et hommes qui incluent toutes les femmes ou tous les hommes même si on ne prend en compte que les personnes "cis". Ça ne change pas que la plupart des gens s'identifient complètement à leur genre assigné à la naissance même s'ils ne sont pas d'accord avec les implications sociétales (expl: féminisme)
@@celia1888 du coup la définition d'homme et de femme est très essentialiste avec ce point de départ.
En tant que féministe matérialiste, je ne peux pas être d'accord avec ça, l'essentialisme fait le lit du sexisme.
@@Ziptotozip alors déjà je me sens de demander en quoi dire qu'un "des gros problèmes que la transphobie fait ressortir vient de la vision que se fait la société du genre" ne rentre pas dans le féminisme matérialiste.
Après je suis personnellement une féministe intersectionnelle et je considère que matérialiste et essentialiste sont deux visions aux extrêmes d'un spectre plus nuancé donc ça joue probablement sur ma compréhension.
Ça devient technique là
0,1% de la population
Qui ont tous leur soins pris en charge par la sécu pour mutiler un corps sain alors que de plus en plus de personnes n’ont plus accès aux soins
Tous les soins et opérations ne sont pas pris en charge par la sécu.
Et certains le sont, mais pas de manière confortable (délais d'attente extrêmement longs en hôpital public).
Aussi, ce ne sont pas des soins et médocs pour 0.1% de la population qui vont dégrader les conditions de traitement et l'accès au soin des autres gens. Les personnes trans ne sont pas responsables des politiques de santé publique.
Enfin, comme vous le dites en utilisant le mot "soin", pour beaucoup de personnes trans les traitements reçus augmentent significativement la qualité de vie, réduisent significativement les sentiments négatifs liés au corps et qui pourissent la vie...etc.
Plus de gens qui vont mieux > impact positif pour la société.
Nous somme les premiers et premières touchés par cette absence de soin , justement car on est un très faible minorité . cqfd
Hallucinant, et pas d’ALD pour tant de VRAIS malades qui doivent se demerder !
Et alors y’a bien des alcooliques à qui on greffe un foie ou des vieux de 90 ans a qui on fout une prothèse de hanche alors qu’il ne remarcheront pas , vous en voulez encore? Idiote
Le problème du "geare" comme vous dites, c'est qu'on entraine les enfants à adhérer aux stéréotypes ultra sexistes et extrêmement misogynes. Cette adhésion souvent excessive peut largement contribuer à les rendre très dépressifs (cf études universitaires sur l'adolescence et l'adhésion aux stéréotypes de genre). De plus, on expérimente sur eux des traitements hormonaux destinés à la castration chimique comme bloqueurs de puberté et donc de développement physiques des sexes. Cela peut être un problème à très court terme, plus on stoppe vite le développement du sexe et moins les chir auront de quoi reconstruire un autre sexe (notamment la peau) mais en plus, les nerfs n'ont pas été formés au plaisir et donc il est fort probable que ces futurs adultes n'aient jamais de plaisir sexuel et éprouvent des douleurs sans fin à cause de leur néosexe mal fichu (cf une chirurgienne de tavistok spécialisée dans les changement de sexe qui a beaucoup milité contre les bloqueurs de puberté à cause de ça et beaucoup de vlog trans sur le plaisir sexuel). De surcroit, on ne connait pas les conséquences sur du moyen terme de ces hormones de substitution sur le squelette, la psyché, la peau etc (cf aucune étude car aucune étude n'est menée sur la question). Enfin, le "transgearisme" à l'adolescence est souvent de l'homophobie internalisée (cf les vlogs de détrans). Courage à tous les parents qui doivent faire face à des ados dépressifs et abusifs qui ont trouvé que le changement de "geare" était la solution à leurs problèmes souvent ordinaires d'ado. Ecoutez les personnes concernées et leurs vlogs sur le net, mais aussi les témoignages des médecins anglo saxons plutôt que les militants crétins, c'est très enrichissant.
Le problème ne concerne pas les transgenres, adultes conscients et consentants, mais le fait qu'il y ait une volonté de certaines "élites" transhumanistes d'inciter à ce qu'ils y aient des interventions dans les écoles pour expliquer aux gamins qu'ils ont le choix du genre , peuvent changer de sexe en prenant des hormones et en se faisant opérer = c'est totalement perturbant pour les enfants et n'a pas lieu d'être si l'on connait un tant soit peu les stades de développement psychologique infantile ! D'ailleurs de nombreux LGBT réagissent contre cette tentative de récupération de leur cause à des fins peu louables comme la volonté de ces élites de réduire la natalité et la population mondiale !!
Vous avez des exemples concrets ?
Est-ce que par honnêteté journalistique Blast va donner la parole aux féministes radicales ? Non parce que la quantité de mensonges ici c'est juste hallucinant.
Voilà une personne à écouter et dont il faut faire partager le témoignage! Bravo.😊
Ceci étant établi, il ne faut pas pour autant museler et censurer "transmania" mais au contraire appeler à des débats contradictoires mais apaisés pour créer les meilleures conditions d'existence pour tout le monde et réparer nos démocraties devenues tyranniques!
on mélange tout ici : un cas particulier n'est pas une généralité qui doit être encouragé. Le problème c'est pas les trans, c'est toute la propagande qui tourne autour et qui engendre des catastrophes individuels. Arrêtez avec le ouain ouain et lesstreme droite. Un homme ou une femme qui souhaite changer d'identité grand bien lui en face, mais encourager des ado qui se cherchent ou des parents qui poussent leur enfant de 6 ans à "transitionner" est criminel. Les dégâts sont irréversibles dans la majorité des cas, et cela crée des troubles médicaux sévères (dégât neurologique, sur le squelette, tumeur etc.) et souvent irréversible et jamais remboursé par la Sécu (l'épilation au laser pour une femme qui a de la barbe n'est pas remboursé, tout comme comme la chirurgie dentaire ou les lunettes correctrices). La Suède qui était à l'avant garde a fait machine arrière et considère que faire ce genre de traitement aux enfants doit être considéré comme des expérimentations médicales sur les enfants.
Cela engendre aussi des catastrophes collective : on commence par vouloir changer de sexe comme de chemise (on parle de détransition qui ne poserait pas de problème) et on poursuit sur "pas besoin d'une femme ou d'un homme pour avoir un enfants" qui signifie louer le ventre d'une femme par le biais d'une entreprise commerciale qui propose (et c'est déjà le cas) de choisir la couleur de peau, des yeux, des cheveux, le QI etc (l'Ukraine est connu pour cela).
Arrêtons cette folie : il y a des personnes qui ne se sentent pas bien et elles en souffre : cas particulier à traiter avec tolérance et bienveillance. Mais ne banalisons pas ce qui était considéré comme il y a peu encore comme une pathologie psychiatrique. Cela doit être étudié, et non encouragé et marchandé.
C’est une question qui ne m’intéresse pas directement mais les paniques morales de droite on finit par titiller ma curiosité. Je ne trouvais cependant pas de témoignages directs des personnes concernées. Merci pour cette interview.
s'il advenait que des question persiste , je suis sure que pas mal de personne trans pourrons vous répondre ici :3
Bonjour, sur Twitch (avec rediff occasionnelle sur RUclips), il y a Cass Andre qui s'exprime sur le sujet en tant que concerné, et il est très intéressant lui aussi.
@@xc7997 Ouais c'est étrange, c'est comme les témoignages sur la terre plate, personne n'en parle c'est trop tabou 😂
@@xc7997d'ailleurs je ne pense pas que le business des groupes pharmaceutiques tienne sur un groupe aussi minoritaire que sont les personnes trans, d'autant plus qu'il y a des pénuries d'hormones très fréquentes car les groupes pharmaceutiques ne sont pas très motivé à garantir un accès aux hormones à cause de la part dérisoire que représente les hormones dans leurs bénéfices
@@lilithtrump2359le rapport c'est pas de sources ... j attend des noms d auteurs et des ouvrages puisque tu dis qu'il y en a plein
La dysphorie de genre est un trouble dys.. et la plupart des dys doivent vivre avec leur trouble tte leur vie, faire avec, l'accepter et le faire accepter, se faire inclure tels qu'ils sont, pourquoi chercher a supprimer cette particularité innée ?? L'humanité est belle et riche avec toutes ses differences, à accepter, pas à soigner, hyper médicaliser ou effacer... absolument pas dans le rejet mais du mal à comprendre..
Ce jeune homme a l'air bien triste..
Sujet qui pousse la reflexion en effet, merci
La dysphorie de genre n'est Absolument Pas un soi-disant "trouble dy" !!!
A sa création Blast était super intéressant, c'est aujourd'hui fini. C'est de la malhonnêteté intellectuelle que de décréter de droite et d'extrême droite ceux qui ne se reconnaissent pas dans vos affirmations. Blast est devenu un site d'influenceuses , c'est triste.
Tg me troll de 2 semaines
@Blast , Il n'y a pas que les haineux, il y a des critiques tout à fait posées de l'idéologie transgenre qui ne jugent pas les choix personnels mais plutôt le changement de perspective et toutes les implications sociales qu'amène l'idéologie transgenre moderne.
"l'idéologie transgenre" est une invention des groupes d'extrême-droite qui cherchent à attiser la haine des personnes trans (en général pour leur gain personnel), ça n'existe pas. La seul "idéologie" commune aux personnes transgenre, c'est la défense de nos droits.
Ce qui pose problème, il fait le dire, c'est quand meme que ces questions atteignent des enfants tres jeunes et qui n'ont aucun recul, c'est comme ca que des enfants de 10 ans qui ont des vies difficiles s'imaginent regler tout leurs problèmes en faisant une tra sition
Je propose qu'il faudrait un age minimum avant suivi médicale, et un suivi psychologique plus profond.
Ce qui se passe concretement c'est que c'est pas la transphobie qui pousse les gens au suicides, c'est la mecanique de pensée qui mene a cette situation qui malgré le changement, n'est pas la solution a tout les meaux.
En encourageant vos proches dans ce procesus, vous ne reglez aucun de leur probleme, vous les poussez dans une solution qui est rarement la bonne et irréversible.
Avez vous regardé la vidéo ? C'est confondant de bêtise.
@@Blanket2183 avez vous déjà regardé des témoignages de vrais personnes qui regrettent ce choix ?
@@oldschoolskaterfulCes retransitions représentent 1% des cas d'après les dernières méta analyses. Vous préférez vous focaliser sur ces cas, qui sont très mis en avant pour soutenir un certain agenda politique. C'est votre choix, mais pas le plus intelligent (statistiquement, mais aussi humainement).
@@oldschoolskaterfuldéjà si vous niez en bloc que la transphobie n'est pas la cause des trop nombreux suicides chez les personnes trans, c'est un gros problème
La transphpbie n'est pas LA cause, mais j'adore quand les gens se mettent des œillères de bienveillance et tombent dans la bien pensance.
Je pense surtout que c'est un faux problème, qu'une minorité fait du bruit (trop peut être ?) Alors que des sujets plus importants, plus collectifs, plus constructifs sont à l'ordre du jour.
Vous pensez que les petits enfants afghans se posent des questions sur leur identité de genre ?
Vous pensez que dans les dernières tribues amazionnienne on se pose des questions d'identité de genre ?
Vous pensez que les Chinois se posent des questions d'identité de genre ?
Mon avis est posé, les gens font ce qu'ils veulent, mais arrêtez de croire que l'échelle des petits soucis d'occidentaux bien né sont ceux de l'humanité entière.
Vous êtes en train de vous enterrer dans une quête de tolérance qui consiste à être des fachos des que quelqu'un vous rappel que la vie est dure et complexe. Ça me désole. Et si un jour on se retrouve dans une situation comme en Ukraine, vous allez expliquer gentillement aux méchants militaire que la guerre c'est pas bien ?
Vous faites comme les féministes, comme les vegans, comme le ecolos tordu, vous decredibilisé vos propres propos à force de nier que quelque chose cloche dans votre vision étriqué de l'humanité
Les critiques de l'idéologie trans' ne se battent pas tous contre l’obtention des droits pour les trans' mais pour que les droits des trans' ne viennent pas grignoter ceux des femmes biologiques et des lesbiennes.
On s'est battu pendant des années pour pouvoir avoir nos compétitions, même pour avoir le droit de faire du sport Katherine Switzer c'était en 67 hein.
Quand des femmes qui ont eu un développement physique avec des hormones masculines durant des années avec une musculature qu'un femme biologique ne peut obtenir qu'en se bourrant de stéroides viennent dans les compétitions féminines et raflent la mise il y a un vrai problème et une inégalité assez interpellante.
On peut aussi s’interroger sur les caprices des femmes femmes trans' qui font des scandales pour aller dans nos prisons, chez nos gynécos (non formé à leurs anatomie et prenant des places précieuses chez moi c'est 6 mois pour un rendez-vous et le frottis nous est nécessaire, les femmes trans' ont très peu de chances d'avoir un cancer du col de l'utérus), dans nos vestiaires là où les hommes trans se font bien plus discrets on peut s'interroger sur l’influence de la socialisation, les hommes sont habitués à avoir tout ce qu'ils veulent depuis petits et ne supportent pas de ne plus avoir ces facilités une fois qu'ils rejoignent la catégorie femme.
Certains d'entre elles tentent même de faire disparaitre le mot "femme", il n'y a pas cette volonté chez les hommes trans'.
"Personnes à menstruation", "personne à trous du devant", sérieusement je ne me défini pas non plus par mes règles ou mon vagin en fait.
@@libertym4897 plus de droit pour les uns ne doit pas rimer avec moins de droit pour les autres.
Le problème c'est que ne pas voir ce que les trans subissent, le minimiser voire hurler avec les loup, ça fait des TERF notamment des allées objectives de l'extrême droite.
Y'a qu'à voir qui a promu le dernier torchon de Dora Moutot.
@@libertym4897 c'est intéressant en tous cas ton développement sur les trans femmes qui font dans le caprice parce que pas habituées à subir comme une femme cis peut l'être.
Dans le même style, y'a les mecs trans qui oublient, en quelques mois, ce que ça fait de se faire draguer dans la rue ou des emmerdes liées aux règles.
@@docthorr quand on entre dans une classe privilégiée je pense qu'on oublie un peu d'où on vient et les discriminations associées, ça se retrouve aussi énormément dans les transfuges de classes sociales.
L'un des problèmes majeurs à mon sens c'est que les trans le sous visibles sont ceux et celles qui piquent de crises pour des détails, performent souvent un genre stéréotypé (renforçant ainsi les clichés associés au genre là où on a essayé de s'en détacher depuis des années ) et revendiquent des droits qui mettent en danger ceux des femmes biologiques.
Oui une femme trans emprisonnée avec des hommes risque sa vie, pour autant est-ce aux femmes biologiques de prendre le risque d'accueillir n'importe quel pervers qui pourrait se faire passer pour trans à partir du moment où le genre est déclaratif?
Idem pour les compétions sportives qui sont un des nerfs de la guerre de l'idéologie, quand on voit des compétitions saccagées dès lors que des femmes trans les rejoignent on ne peut que se poser des questions.
De même ce n'est pas aux femmes biologiques de prendre sur elles et d'ignorer des pénis dans leurs vestiaires ou leurs sexualités. Qu'on crée des nouvelles catégories mais qu'on n'impose pas encore aux femmes biologiques detre gentilles et de "prendre sur elles".
Si une femme lesbienne refuse de sortir avec une femme trans qui aurait encore un pénis ce n'est pas à elle de changer ses préférences physiques. Or c'est ce que demandent ces nouvelles femmes qui ne supportent pas le rejet, tout comme certains hommes estiment avoir un droit à la sexualité.
Je me dois de répondre à ce genre de message. Il y a de véritables scandales, montrant la nécessité de définir de nouvelles règles dans le sport féminin, néanmoins beaucoup des soi-disant scandales étaient en réalité montes de toute piece. Prenons pour exemple une vidéo montrant une course ayant eu lieu récemment aux etats-unis. Beaucoup ignorent que cette compétition était beaucoup plus amatrice que professionnelle, mais surtout que l'étudiante trans est en réalité arrivée deuxième de la compétition et a quelques micro-secondes seulement de la troisième place. Un autre exemple peut-etre une compétition universitaire (encore) ou une femme trans aurait 'pulverise' le record de nage, la réalité est bien plus complexe puisque le record est toujours détenu par une femme cis, la femme trans en question est arrivée première dans une seule des compétitions aux-quelles elle avait participé cette année et qu'elle étaie arrivée à nouveau avec quelques millisecondes de moins que sa première dauphine. La science, qui ne base pas ses opinions sur l'exemple qui l'arrange mais bien sur une multitude de tests qui lui permettent de bâtir sa 'verite objective', est toujours au stade de recherches sur les différences de capacités sportives entre les femmes et les hommes. Elle est d'ailleurs énormément gangrenée par les lobbies religieux et politiques, mais bref.
Parlons maintenant de la gynécologie. Une femme trans, si elle prend les traitements nécessaires, développera naturellement une poitrine, les gynécologues sont formes pour la prévention des cancers du sein et d'autres problèmes du genre. Les gynécologues sont également ceux qui sont généralement conseillers pour consulter après une gynecoplastie. Aller en prison pour homme en étant une femme trans représente un très grand danger pour ces personnes, et jusqu'a preuve du contraire les prisons des pays démocratiques sont sense permettre une reinsertition et non une vengeance. Ni les femmes trans, ni les hommes trans n'ont de 'caprices', les privilèges que les hommes ont dans nos sociétés ne sont malheureusement pas expérimentés par un grand nombre de femmes trans avant leur transition, étant femme depuis leur naissance et subissant déjà une haine intense.
Aucune femme trans n'essaie d'effacer les femmes, au contraire puisqu'elles en sont. 'Personnes qui ont des menstruations' existe pour certains hommes trans, et non pour les femmes trans, mais pas seulement puisque cela permet aussi d'intégrer les filles adolescentes (qui ne sont donc pas encore des femmes). Un peu comme 'femme enceinte' qui, par définition, exclue les filles enceintes (bien qu'elles ne le soient qu'extrêmement rarement volontairement) et les hommes trans enceints.
Enfin : il n’y a absolument aucune idéologie trans hormis le fait de vouloir les mêmes droits pour les personnes trans et les personnes cis.
Désolée mais si on transitionne c'est à cause de la dysphorie qui est une condition neurobiologique (en cours de recherche mais très probablement). Il n'a pas de dysphorie c'est son problème, mais quand tu vis avec tous les jours c'est insultant. Le monde médical n'est pas méchant par essence, ou est le juste milieu?
Nan il y a différents types de transition.
Bien sûr qu'il faut protéger les personnes trans des violences et de la haine, mais balayer rapidement la question du scandale sanitaire, sans s'interroger, me paraît irresponsable.
Et le problème c'est que des que l'on pose cette question, légitime quand on connaît les conséquences de la médication et des opérations, on est classé de transphobe : impossible d'en discuter.
En réalité la " transphobie" n'est pas une réaction aux personnes trans mais une réponse à l'idéologie de certaines personnes trans.
mais quelle scandale sanitaire ?
Ce qui est dangereux dans l'agitation excessive d'ultra-minorités (sexuelles, politiques, ethniques, culturelles, religieuses), etc., c'est qu'elles développent des discours de haine envers des personnes qui ne leur ont jamais fait le moindre mal et sont généralement majoritaires. Faire partie d'une quelconque majorité devient un acte d'accusation, de responsabilité de leurs maux réels ou présumés.
C'est malsain. Ça n'apaise rien. Ça ferme la porte à tout dialogue et donc à toute issue consensuelle.
C'est d'une immaturité crasse.
Complètement d'accord.
@@kouklamou5119 Les nombreuses infections et nécroses que des personnes ont subis après leur transition physique, et leurs bouchers qui s'en sortent sans aucunes répercussion par exemple. Certaines aussi ne sont pas prévenues de la nature du résultat final et des effets secondaires avant opération. Ou encore le manque d'encadrement des hormones sexuelles qui sont un peu distribuées comme ça, sans trop de suivi. Certaines cliniques récentes ne prennent même pas la peine de t'assigner un psy pour t'aider dans ton parcours voir même te pousse à passer sur la table plus tôt (c'est toujours l'argent). Transitionner est devenu plus facile mais aussi bien plus risqué car il n'y a pas aujourd'hui de vrai cadre légal pour protéger les victimes négligées et abandonnées par le corps médical.
Je parle bien sûr du monde occidental dans son entièreté; chaque pays varie dans sa législation.
Je dois avoir oublié d'autre scandales mais l'idée générale c'est que c'est un peu le far west et que c'est important de réfléchir à comment organiser tout ça pour éviter de faire des victimes. Je suis d'accord que c'est irresponsable de taire le débat avec l'excuse de l'extrême droite. Ce n'est pas parce que trois c*nnards sont effectivement transphobes qu'il faut faire la sourde oreille.
@@shauhame6364 c'est entiérement faux . Rien d'autre a dire . désolée :x
S'ils ne représentent que 0,1 %, pourquoi sont-ils aussi présents dans les médias ?
Ce sont les médias et les politiciens conservateurs qui en parlent le plus.
Il y a eu une étude faite en France en 2022 qui montre que la grande majorité des articles sur la transidentité sont publiés par des journaux conservateurs (Le Figaro, L'express, Marianne etc.)
Voilà pourquoi les personnes trans sont autant présentes, et c'est uniquement depuis les deux dernières années.
@@vivapharaon La blague!
Depuis quand "les médias" se limitent à des articles de journaux?
Bizarrement, vous oubliez toujours la propagande "progressiste" que l'on trouve dans les séries, au cinéma, les revues, .....
Cette présence récente résulte des financements du mouvement trans par des milliardaires bien connus (et c'est officiel rien de secret). Nous allons publier la dessus prochainement.
@@vivapharaon Netflix, conservateurs?
@@pujolaude1889 Netflix, un journal ?
Qui a le plus de haine ? Celui ou celle qui t'accuse de transphobie alors que tu n'émets que ton opinion ? Ou celles qui ne veulent pas se retrouver dans le même vestiaire à la piscine ou à la salle de sport avec des hommes qui se disent femmes ?
Mais vous n'êtes pas sans savoir qu'une opinion peut être un moteur de haine. Et la haine appelle la haine, c'est une processus naturel.
Non non, la haine mène à la souffrance.
"La peur est le chemin vers le côté obscur : la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine … mène à la souffrance." Maître Y.
Bordel, quand on référence un truc on le note.
Une opinion ? Joli mot pour dire que vous pouvez nier l'existence et l'identité d'une personne sans aucune honte.
Quoi de plus haineux de ne pas croire, ne pas accueillir, ne pas considérer la personne que vous avez en face de vous ? Quoi de plus haineux de dire à quelqu'un "non tu ne peux pas être comme tu es, tu n'en as pas le droit." ?
Vous avez de la pourriture en vous, et on se battra jusqu'au bout pour qu'elle nous atteigne le moins possible.
@@Djen_doe Vous vous rendez compte que c'est sectaire votre discours ? Est-ce que quand je dis que je ne crois pas en dieu et que je refuse de l'écrire avec une majuscule, je suis en train de nier l'existence et l'identité des croyants ? Non. Je nie ne croyance, je ne hais pas ses adeptes. Ici, c'est pareil. Si on ne croit pas qu'on puisse "naître dans un mauvais corps" ou qu'il y aurait un "ressenti indéfinissable féminin/masculin", et qu'on croit que le genre c'est un construit sexiste et pas une identité personnelle, et bien c'est un droit. Et ce n'est pas de la haine.
@@Djen_doe oui, c'est possible d'exprimer un désaccord et de dire que la personne interviewée est une femme et non pas un homme. Ne vous en déplaise.
Vus reconnaissez à cette personne le droit de librement choisir son genre ? Reconnaissez nous le droit de librement contester son choix.
14:15 ah ouais mais du coup c'est aussi super inquiétant cette différence entre les 8% et les 0,4% ; ce qui si j'ai bien compris signifie que 95% des détransitions sont faîtes à cause de la transphobie
Ce n'es pas la seul cause meme si ce n'es pas plus rassurant . on doit souvent se plier a des code sociaux qui n'on rien a voir avec la question trans , mais on n'en connai pas necessairement les regle et quand on est seul .. J'ai du apprendre a me maquillée , a trouver les arrangement d'habit ou autre , les habitudes , les premier soutient gorge , etc --> quand on est isolé , ces moment osnt extremement éprouvant et la situation "initial" la rend encore plus dur . C'est parfois une cause de détransition par exemple .
Parfois c'est aussi une question d'argent . l'épilation de la barbe est pas prise en charge vraiment par exemple .
donc meme si c'est pas trés positif , ce n'es pas non plus 95% des detransition qui sont du a la transphobie en soi .
@@kouklamou5119 l'épilation de la barbe (et même certaines parties du corps) est prise en charge selon la mutuelle (valide aussi pour tranidentité), je t'invite à regarder sur ta mutuelle si tu en as une ;)
c'est vrai, mais on peut aussi tempérer par le fait qu'une partie des personnes qui détransitionnent à cause d'un mauvais environnement reprennent leur transition par la suite
Si on écoute les témoignages de détransitionneurs, certains le faisaient également à cause d'une inéquation entre leur sexe et leur genre du fait de violences sexistes, de viols, du fait qu'ils se sont redus compte qu'ils ne collaient pas aux stéréotypes de genre sociétaux mais que cela ne nécessitait pas pour autant de traitement médicaux. Certains autistes également se disaient ne pas correspondre au genre et ont finalement remis en question la notion de genre vu comme un dogme. Si vous avez des exemples de détrans qui ont détransitionné à cause de la transphobie, je vous en remercierais grandement
Pas de problème avec les trans mais le wokisme et les propagandes lgbt dans les écoles en sont des dérives je pense 😊
Bravo pour cette vidéo Blast !!!
J’ai une vraie question mais est ce que la transition est elle écologique et n’est pas une alliée du capitalisme ?
WTF aucun rapport on parle de vie de gens là pas de système économique p’tain 🙄
@@clovisdesbois1628 blast se positionne comme un média écolo progressiste et plutôt anti capitaliste. On parle de vie mais on peut poser des questions sur la transition. De l’intérêt capitaliste des sociétés pharmaceutiques par exemple. Ca serait intéressant
Je me suis aussi posée cette question. À l'heure où on parle de l'impact negatif de la pilule contraceptive pour l'environnement il semble anormal qu'on ne se questionne pas sur la prise d'hormone à vie pour maintenir artificiellement un corps dans un certain état sans qu'il y ai une nécessité médicale.
@@lulu_lux662 exactement, le parallèle avec la pilule est très intéressant
@@remycouillet953 Fatalement si les transitions se font dans un cadre privé on sait que ça ne va pas déplaire au capital. Mais bon vu que beaucoup de réactionnaires refusent qu'elles soient remboursées alors il n'y a pas trop le choix.
Le problème ce n'est pas tant le fait que des personnes en mal être profond changent de genre... Le problème, c'est l'idéologie qu'il y a derrière.
1 : protéger les enfants de cette idéologie dangereuse.
2 : laisser les femmes tranquilles : ça signifie dans leurs espaces, WC, sports, remises de prix etc... Et créer des espaces neutres pour les personnes trans.
3 : si la trans identité n'est pas une pathologie, les personnes trans n'ont pas à bénéficier de l'ALD payée par l'état.
4 : arrêter d'utiliser le mot passe partout de "transphobie" dès qu'une personne est critique ou se pose des questions ou n'est tout simplement pas d'accord... À ce jour, la biologie n'est pas un crime.
5 : peut-on être de gauche & critique du genre ? Ou cette étiquette n'est réservée qu'aux méchantes personnes de droite ? 🤔
6 : il y aurait encore beaucoup à dire sur cette idéologie mortifère mais je m'arrête là.
Chacun mérite respect, dignité & sécurité. C'est valable dans un sens comme dans l'autre.
Blast, comme chaque fois sur ce sujet en particulier, vous ne présentez qu'une partie de l'iceberg... Dommage.
@@charlotteromani oui. Toujours la même critique qui est un bâillon visant à nous renvoyer dans le placard.
En disant ça, voyons démontrez que votre idéal, c'est qu'on évoque jamais les personnes trans, et qu'on les mettent surtout loin des yeux de tout un chacun, sous le tapis, dans le placard et invisible..
C'est beaucoup trop pour l'humain normal que vous êtes.
À méditez.
Sachez que beaucoup d'entre nous sont totalement inclus dans la société, et sont comme n'importe quel citoyen.
Mais ce qu'on veut est très clair et légitime.
Pouvoir se faire soigner pour une gastro sans discriminations, être traité en humain au lieu de se faire insulter à longueur de journée ou sur les réseaux sociaux. Avoir un accès à l'emploi égalitaire, à la santé, au logement, etc...
Ça devrait être des banalité.
Au lieu de ça, dès qu'une personne trans 'ose' apparaître à la télé (ce qui reste rare), les gens s'empressent de dire ''hein ? Quoi ? Encore ces dégénéré.es''..
Et un flot de malveillance et de haine s'en suis. Dites-moi que je ment ?
@@charlotteromani et nous ne sommes pas responsables de votre rapport étriqué qui fait que vous nous percevez comme une menace..
Laissez nous vivre dignement.
Merci.
Si c'est pour me demander ce que je pense du sport ou des jeunes trans de 13 à 14 ou 16 à 18 enfin...les mineur·es.
Sachez que j'ai été mineure et j'ai souffert de harcèlement toute ma vie.
En a résulter plusieurs hospitalisation en psychiatrie.
Je suis tombée sur des psy qui voulaient au début me faire renier mon identité.
J'ai vécue la violence hospitalière..
Alors si vous me répondez, soyez cordiale s'il vous plaît.
Bonne journée.
Mais les trans ont accès à l'emploi, à la santé, au logement etc. non ?
Pourquoi on entend on partout que les trans sont discriminés où n'ont pas les même droits que le reste de la population ? J'ai l'impression que les gens en ont marre d'être présenté constamment comme des oppresseurs-discriminateur alors que la majorité n'ont jamais eu à faire à de personnes trans
Profiter du désarroi d'une jeunesse dans un monde finissant pour faire encore de la thune, c'est triste. Leave the kids alone.
Très bonne interview, Tal Madesta est précis et juste, merci de rendre cette parole visible!
Pour la qualité de l’entretien mené par la journaliste et le côté franc, sincère et tellement touchant de l’invité : un immense merci Blast de diffuser ce genre d’interview !
Son livre m'a beaucoup touché-e et Tal est vraiment une personne adorable. Vraiment merci de lui avoir donné la parole et de parler de ce sujet
Bonjour, je suis papa d'enfants trans, no genré et lesbienne (oui, trois enfants, et j'espère avoir bien compris tous les mots), je suis hétéro (j'ai pas le choix, c'est juste comme ça), et pour moi, le plus important est d'accompagner mes enfants dans toutes les dimensions de leur vie. Il m'a aussi fallu, en quelques sortes, vivre une sorte de transition depuis "papa de trois filles" à "papa de trois enfants", parce que, pas plus que moi, iels ont choisi d'être qui iels sont, c'est juste comme ça, et il me semble inutile, surtout en tant que parents, de leur rajouter des difficultés. votre interview est salutaire, en tout cas, elle me renforce dans ma conviction d'être au plus près de mes enfants et leur apporter tout mon support. Merci Blast, et merci Tal et Paloma (pour l'anecdote, T(h)al est aussi le prénom choisi par l'un de mes enfants, oui, il a rajouté un "H"^^))
Note:pour mon fils, son changement d'état civil a pris environ un mois en mairie (sauf si j'ai raté des trucs, c'est sa maman qui s'en est surtout aoccupée, étant sur place), avec effectivement un dossier "témoignage" (dont le notre (celui de ses parents) et de la fraterie, conséquent certes, mais cela a été assez rapide (et nécessaire pour lui)
Ils n'ont rien choisi du tout, il regarde trop tiktok.
@@dorezikquelle profondeur de réflexion face à un témoignage riche et intelligent
ça fait toujours hyper plaisir de voir des parents qui écoutent et qui font de leur mieux pour comprendre et pour s'adapter, c'est exactement ce dont on a besoin : ) Mes parents aussi m'acceptent et me soutiennent, et c'est un exemple qu'il faut donner pour dire que non, quand on a des enfants LGBT la seule réponse n'est pas le rejet et le conflit.
et re: note : si c'était en mairie c'était le changement de prénom, pas de mention de genre à l'état civil. Tant mieux si ça s'est bien passé !
Rien à faire : Je n'arrive pas à prendre au sérieux l'existence à la naissance d'une âme genrée indépendante d'un corps sexué ,xy ou xx , ce genre étant d'autre part défini comme construction sociale ... Je ne dois pas être assez subtil, ou trop facho ?
Je partage cette incompréhension.
Je pense même qu’on assistera tôt ou tard à des gueguerres entre d’un côté ceux qui voudront « abolir le genre » (les non binaires) et de l’autre ceux qui revendiqueront qu’on les reconnaissent dans celui qu’ils estiment être le leur (les militants trans).
Aujourd’hui, tous ces gens militent ensemble sans sembler s’apercevoir qu’ils défendent des points de vue radicalement opposées.
Sauf que sa fait bien longtemps qu'on sait que XX et XY ne sont pas les seules et uniques variantes. De la même manière que les corps au développement intersexe sont constatés. A partir de là on a quand même fait plusieurs études et recherches. Ce n'est pas une question de facho c'est juste qu'a un moment, il est temps de revoir les dernières avancées même sur le plan biologique. Ce que vous avez appris, c'était une des variantes, depuis on en a découvert d'autres. Non on ne savait pas tout à l'époque ou on vous l'a enseigné. Se serait même prétentieux de croire qu'on serait né au seul moment ou la vérité ultime aurait été instaurée et tout le reste avant et après serait forcément faux. Votre incompréhension elle est due avant tout un manque de renseignement vous ne croyez pas? Parfois un sujet, il faut le creuser.
@@aelitastone5629 Avec l'age , on apprend à mépriser ses propres certitudes : J'ai appris qu'il existaient des cas douloureux de personnes naissant avec xxy , ou xyy ; et si j'ignore qu'il ait été découvert un chromosome z , ou un chromosome qui soit entre le x et le y , il ne me gênerait absolument pas de l'apprendre, tout au contraire . Mais voilà , pour ma part je n'en ai jamais entendu parler (sérieusement s'entend ) .
@@aelitastone5629 les personnes intersexes, qui représentent seulement 1 a 2 personnes sur mille, n’ont rien à voir avec l’idéologie trans. Arrêtez d’invoquer ce faux argument.
@@numero6285 En France on a environ 1 à 3% de cas Trans et environs 1.7% de cas intersexe. Des chiffres suffisamment proche à mon sens pour se comparer. Au passage il y a des cas plus nombreux que d'autres oui comme des allergies plus rependues et alors? Au dernière nouvelles, sa n'enlève la véracité d'aucun des cas concernés. Votre idée d'idéologie incomparable me semble plus située dans votre algorithme qu'autre chose.
Passionnant cette émission et votre invité, comprendre ce que l'on vit dans l'autre sexe par rapport à l'environnement et au monde par celle et ceux qui ont été des 2 côtés, ca m'ouvre plein de réflexions.
Ça ne dérange au fond personne que vous vous sentiez homme ou femme indépendamment de votre sexe, ce qui est dérangeant pour moi est de fabriquer une idéologie en dépit du bon sens oserais-je dire, qui n’a pour seul but que de conforter et d’instituer ce sentiment. Si vous voulez transitionner, qu’est-ce que ça peut bien nous faire dans le fond, faites le. mais venir saper les bases des connaissances sans réelles recherches ou études, en copiant collant des cas d’intersexuation est presque insupportable. Existez, soyez et ne cherchez pas à vous en prendre aux autres, à la société, à la vie, à la biologie. Oui, si vous voulez exister socialement, il y a des progrès à obtenir, j’en conviens, mais il me semble que le transgenrisme théorise afin de pouvoir nier la réalité biologique et ainsi de se justifier à ses propres yeux, en créant un environnement politique favorable à son propre choix, afin de créer les conditions de sa légitimité, ce qui n’est pour moi à la base qu’une histoire personnelle et d’un individu face aux réalités du monde. Mais surtout chercher à culpabiliser et déconstruire sans méthode les sociétés, et savoir, et connaissance qui ont permis l’émergence de notre société actuelle, loin d’être parfaite, mais qui a néanmoins permis l’émergence de la parole transgenre apparaît plus comme des gesticulations ingrates que comme de véritables revendications.
Si vous vous intéressiez vraiment à la science, vous auriez vu que la science a démontré pas mal de choses en ce qui concerne la transidentité:
"Brain Sex in Transgender Women Is Shifted towards Gender Identity"
"Early Access to Testosterone Therapy in Transgender and Gender-Diverse Adults Seeking Masculinization" (et ce test a été fait avec placebo pour éviter les biais)
"Long-Term Regret and Satisfaction With Decision Following Gender-Affirming Mastectomy" (on y voit ici que le taux de regret des mastectomies par exemple est de... zéro!)
Bref, des études y en a vraiment plein, j'en ai juste mis trois mais si vous avez vraiment envie de vous renseigner pour savoir de quoi vous parlez, n'hésitez pas à faire quelques recherches :)
Ah et au lieu de vous rouler par terre en hurlant que les transgenres parlent trop, je vous invite également à vous renseigner en quoi l'intersectionnalité est importante dans les luttes et en quoi la déconstruction du genre, de ses stéréotypes, etc, c'est également une lutte qui vise à abolir les inégalités liées aux discriminations.
Je n'ai jamais compris les gens qui se permettent de juger la vie des autres. Oh les espèces de gus en commentaire, on en a rien à foutre de ce que vous pensez. Qui êtes vous pour juger cette personne ? A quel point êtes-vous conscient de ce qu'ils vivent ? En fait vous ne laissez que transparaitre votre ignorance. Vous n'imaginez pas les difficultés administratives et le mal être social que ces gens subissent. C'est un parcours du combattant. J'espère de tout coeur qu'ils trouveront leur voie, ils ne demandent qu'à vivre !
Oui mais non
Mdrr gne gne gne @@itscryz
Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Dans ce cas, comment est-ce qu'une personne assignée à la naissance homme pourrait donner son avis sur ce qu'est le genre féminin, qui est une construction sociale dont il n'a pas subi les méandres éducationnels, le regard du monde sur lui et les projections sexistes ?
De plus, que dire de toutes les personnes qui ne sont pas en accord avec leur genre et qui ne se considèrent pas trans pour autant ? Elles n'ont plus le droit de parler du genre ?
Que dire des détransitionneurs critiques du genre, ils n'ont pas non plus le droit de donner leur avis ?
@@francear Mais arrêtez de théoriser et vivez bordel !
Il est bon de donner la parole à une personne au coeur du « sujet » et de la laisser expliquer ses difficultés. Toutefois, elle ne répond pas à beaucoup des questions pratiques, médicales, sociétales du phénomène et demeure presque constamment au même niveau idéologique que celui qu’elle déplore avec son interviewer (« invoquer la protection de l’enfance, c’est trop facile », versus « ce sont des masculinistes »: match nul). Comment demander la « dépathologisation » de la transition alors que la prise de médicaments courra toute la vie ? Quels sont leurs effets secondaires ? Leur coût sur 40 ou 60 ans ? Si la société doit les prendre à sa charge par un remboursement total, n’est-il pas dans l’ordre des choses qu’il y ait une enquête médicale et un contrôle sur leur attribution avant d’engager la procédure ? On ne peut pas non plus comparer avec autant de légèreté les implants mammaires (réversibles) de femmes adultes et les mastectomies définitives d’adolescentes. Bref, peu de personnes tolérantes voudront refuser d’entendre le point de vue des trans si celui-ci était l’amorce de plusieurs autres entretiens où tout serait débattu honnêtrment et surtout dépolitisé. Accuser l’extrême-droite de transphobie sans opposer des arguments idéologiques ou émotionnels n’aboutira qu’à renforcer le rejet de la majorité de la population, qui n’est pas « transphobe » et « violente » mais complètement abasourdie par un phénomène nouveau et, le nier serait malhonnête, angoissant.
Je vous invite à lire ces études:
"Early Access to Testosterone Therapy in Transgender and Gender-Diverse Adults Seeking Masculinization" (et ce test a été fait avec placebo pour éviter les biais)
"Long-Term Regret and Satisfaction With Decision Following Gender-Affirming Mastectomy" (on y voit ici que le taux de regret des mastectomies par exemple est de... zéro!)
Ainsi que le papier "La fluidité de genre de l'Antiquité à nos jours" afin de vous rendre compte que ce n'est pas un phénomène nouveau.
@@nostradamus6772 oui, c'est un phénomène nouveau, par son ampleur et par d'autres indicateurs. Par exemple, les revendications évoluent : la transsexualité n'est pas la transidentité. Les premiers acceptent la binarité homme-femme et réclament de pouvoir changer de sexe physiquement quand les second refusent cette binarité physique et veulent être reconnus femmes et conserver un pénis (par exemple).
Autre différence, les désirs de transitions apparaissaient autrefois très tôt dans la vie de la personne, dès l'enfance. Aujourd'hui beaucoup de demandes naissent à l'adolescence et concerne majoritairement des filles exprimant le souhait de devenir garçons. Il y a là un phénomène nouveau qu'il faudrait expliquer
Non transexualité est un terme désuet qui ramène à l'époque où la transidentité était considérée comme une pathologie mentale. Aujourd'hui, seuls les transphobes (ainsi que personnes trans transphobes, oui ça existe. On les appelle les "transmed" et c'est exactement les personnes que vous mentionnez) utilisent ce terme qui, encore une fois, est totalement désuet et n'est plus usité dans le parcours médical, administratif, social, etc.
La transidentité reconnait la binarité (homme-trans, femme-trans) mais admet également la non-binarité (trans-nonbinaires). Et oui, on peut être une personne transgenre sans avoir subit d'interventions médicales. Les interventions médicales sont là pour principalement aider si la personne est atteinte de dysphorie. Mais, au risque de vous surprendre, être transgenre n'implique pas nécessairement de la dysphorie.
Présentez vos sources pour votre dernière affirmation. C'est une chose complexe, il y a se rendre compte à l'adolescence qu'on l'a toujours senti, il y a aussi le genre qui est fluctuant et peut changer (n'oublions pas que c'est une construction sociale) puis il y a aussi les personnes en questionnement qui se disent trans (et c'est normal d'être en questionnement, ça n'aboutira souvent pas à une transition de genre, c'est juste une période où l'ado/la personne va s'interroger, peut-être essayer d'autres pronoms, d'autres prénoms pour simplement figurer ce qui lui confient le mieux).
Mais voyez ça comme la vague de nouveaux gauchers dès lors que les stigmatisations qu'on leur faisait ont disparues. De plus en plus de personnes ont alors pu être gaucher sans craindre de se faire stigmatiser.
@@lucc.1107
@@nostradamus6772 pour les sources indiquant le fait que les revendications Trans identitaires touchent davantage les filles adolescentes : un article publié en 2017 de l'american public health association intitulé "transgender population size in the united states : a meta-regression of population-based probability samples".
Pour le reste, je suis en désaccord avec vous sur de nombreux points, et principalement sur un certain nombre d'affirmations péremptoires. Par exemple vous dîtes qu'il ne faut pas oublier que le genre est une construction sociale. D'où tirer vous cette évidence ? On retrouve ici le même dogmatisme de ceux qui affirmaient avant vous que le genre a d'abord une origine biologique. Pourquoi vous auriez davantage raison que ces derniers ?
Autre exemple à propos de la terminologie : vous dîtes que le terme de transexualité est désormais désuet et qu'il fait même partie du lexique propre aux transphobes, moyennant quoi l'usage de ce terme rend déjà quasi coupable celui qui l'utilise. Quand bien même il ne serait plus utilisé dans les domaines médicales, sociales, administratifs (ce qu'il faudrait vérifier), est il pour autant interdit de l'utiliser ? Y-a-t-il une police de la pensée ?
Je pense pour ma part que l'augmentation des demandes de transidentité et les revendications croissantes de nombreuses personnes sur le sujet ne sont pas dues à l'arrêt d'une stigmatisation mais plutôt à un phénomène de contagion sociale.
J'observe aussi dans des établissements scolaires, que les adolescents demandant par exemple à changer de prénom, loin d'être persécutés par les autres élèves acquièrent au contraire en raison de leur démarche une grande popularité auprès d'eux. J'observe aussi que le transgenrisme est très largement valorisé culturellement dans une écrasante majorité de média. l'analyse des commentaires de cette vidéo en est une illustration : ils sont largement favorables et encourageants. On est bien loin d'une stigmatisation générale et consensuelle.
Y-a-t-il jamais eu vraiment une stigmatisation, dès lors que celle-ci n'a jamais trouvé d'écho dans les médias ?
je pense enfin que l'on ne rend pas service aux jeunes souhaitant vivre une transition et que, par exemple, les expressions comme "je ne suis pas né dans le bon corps" renvoie à une souffrance qui n'est pas causée par un jugement réprobateur de la société mais par des dysfonctionnements personnels et familiaux complexes qui conduisent ces jeunes à éprouver une dissociation entre le physique et le psychique, entre le corps et le ressenti. Et tout l'enjeu est d'aider ces jeunes à réconcilier leur corps et leur esprit, sans mutiler ni l'un ni l'autre.
@@lucc.1107 C'est très intéressant ce que vous dites, laissez-moi donc répondre :
- Le genre est une construction sociale, c'est un fait. Selon les civilisations, les cultures, vous conviendrez que le genre n'est pas perçu de la même manière. On attend pas la même chose d'une femme ou d'un homme selon que l'on se situe en France, en Arabie Saoudite, en polynésie, en Corée, etc. Si le genre n'était pas une construction sociale mais liée au sexe, alors dans ce cas, la définition des genres seraient universellement les mêmes. L'histoire nous a prouvé le contraire. Je vous invite, si jamais ça vous intéresse, à lire l'article: "La fluidité de genre de l'Antiquité à nos jours".
Concernant celleux qui affirment que le genre est lié au sexe biologique, il y a plusieurs réponses :
1. Les études scientifiques tendent à prouver que la transidentité est biologique (cf: "How genes and evolution shape gender - and transgender - identity", "Brain Sex in Transgender Women Is Shifted towards Gender Identity" pour n'en citer que deux).
2. Ces personnes n'ont probablement pas leur connaissances à jour.
3. Ces personnes peuvent avoir des biais liés à leurs opinions politiques, etc. (ce qui est quasi toujours le cas, soyons honnêtes. Beaucoup d'études ont été biaisées parce que le point de vu pris était un point de vu patriarcal).
Avant d'invoquer la "police de la pensée" ou encore le "on n'peut plus rien dire", je pense que si on a tout simplement des termes équivalents, mais sans conotation péjorative, pourquoi se priver de les utiliser au lieu des appellations insultantes ? Quel est le soucis dans le fait d'éviter d'utiliser des mots stigmatisant. Avoir du respect pour des individus qui ne nous font pas de mal, je ne vois pas où est le soucis, peut-être pourriez-vous me dire où est le problème ? De plus, je peux vous assurer que administrativement, c'est bien "transgenre" qui est utilisé et non "transsexuel".
Concernant les adolescents. Déjà, quel est le rapport avec les persécutions ? En quoi un changement de prénom devrait être lié à cela ? Il n'y a pas de contagion sociale liée à la transidentité. En revanche, il y a plus d'informations et les gens en parlent plus (rappelons que l'occurrence de personnes transgenres est de 1/400 pour les femmes trans et 1/200 pour les hommes trans, c'est pas si rare que ça ;) Et ça tend à se prouver génétiquement, je vous renvoie à mes sources précédemment citées). Il en convient de rappeler aussi que pas mal d'ados prennent simplement leur questionnement pour une transition, ce qui n'est pas le cas. On peut s'interroger à cet âge sur le genre sans pour autant être une personne trans. Bref, pas de quoi s'alarmer.
Je suis raccord avec vous avec le "ne pas être né dans le bon corps", même les personnes transgenres ne sont pas tou·te·s d'accord avec ça. C'est une sensation et un ressentit personnel, seule la personne concernée peut dire si elle le pense ou non. Mais ce n'est pas une généralité. Certaines personnes transgenres ne ressentent pas de dysphorie par exemple. Et en effet, il faut accompagner les jeunes, mais ce n'est pas en évitant le sujet et en les forçant dans des moules prédéfinis que ça va fonctionner. Les accompagner, les laisser explorer leur genre en restant une aide pour eux en cas de questionnement, leur apporter des réponses éclairées, c'est tout le travail qui est fait par les parents et psychiatres qui accompagnent les jeunes (n'oublions pas qu'un parcours de transition ne peut se faire seul pour un mineur, que la prise d'hormones est interdite avant 16 ans - et en dessous de 18 ans, l'accord parental est indispensable. En France toujours, seule la torsoplastie peut éventuellement être effectuée sous mineur, mais après 2 ans de suivi psychiatrique puis passage devant un consortium de médecins).
C'est la première fois que je vois une vidéo qui traite le sujet d'une manière neutre et rationnelle, je vous remercie vous restez des humains qui ne sont pas influencés, pour les personnes trans, soyez vous même, vous êtes beaux ou belles et moi je vous accepte car chacun devrait vivre sa vie comme il l'entend n'écoutez pas les mauvais commentaires de gens qui ne vous comprennent pas et qui osent dire des choses qui sont dégoutantes.
Rationnelle oui
Manière neutre ?! faut revoir la définition du mot neutre !
Bonjour,
Plus on est informé mieux c'est. Même si c'est (très) difficile parfois en tant que parents, proches.
Vous trouverez des informations par rapport à la transaffirmation et ses potentiels problèmes et dangers sur, entre autres, l'Observatoire de la petite sirène, Ypomoni, Post trans, les documentaires 'The Trans Train' (dispo sur yt), les podcasts 'Rebelles du genre', Le journal du médecin, Genspect, AMQG, PDEQ, etc.
Mais pas que : c'est une liste non-exhaustive.
Attention : certains transactivistes accusent ces sites et documentaires et professionnels de la santé d'être "transphobes". Classique mais efficace pour censurer cette information que chacun pourra analyser.
Ceci dans le but d'informer au mieux, de manière constructive sur la situation actuelle, le plus à jour possible.
"neutre"
Belle vie à toi Guillaume, merci pour tes gentils mots
@@ao3_duun "Je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement il est gentil" :)
Ce qui est commun chez la majorité des femmes qui deviennent hommes ou se disent non binaire c'est un rapport à l homme fait de violences, voir d.abus sexuels. On voit très nettement dans son témoignage que cette personne a subi de graves traumatismes. Et devenir un homme est la réponse ultime pour se protéger.
Sauf qu'elle ne deviendra jamais un homme. La transition est impossible
@@salecontingence6623Effectivement... Après libre à lui, mais ce n'est pas sans risque... Je suis perso très mitigé
@@richommenicolas6165ça tombe bien ça ne te concerne pas.
@@salecontingence6623, la transition n'est Absolument Pas soi-disant "impossible" !!!
"Les hommes et les femmes trans" Vous omettez qu'on est très nombreux à être ni l'un, ni l'autre... Pas super inclusif tout ça.
Personnellement, je suis intersexe. La transition médicale (thérapie hormonale féminisante) que j'ai eu a été faite contre mon grès, en me faisant croire que c'était un traitement pour l'acné alors qu'il s'agissait du même traitement (et aux mêmes dosages) que l'on refuse bien souvent de préscrire aux femmes trans (Androcur + oestrogènes). Cette "transition" s'est traduite par la poitrine qui a poussé (et de manière impressionante car je suis passé de pas de poitrine à une poitrine très large), répartition des graisses plus largement différente (élargissement des hanches, des cuisses, etc.), réduction de la barbe, et prise de poids de me faisait passer de 52 kg à 95 kg (soit plus de 40 kg de pris) est ce qui a provoqué ma dysphorie de genre.
Je n'en restais pas moins trans bien avant même cette prise d'hormones (qui m'a été prescrite au début de la vingtaine) car par définition "transgenre" signifie avoir un genre qui correspond à celui qui nous a été assigné à la naissance. A la naissance j'ai été assigné F mais je ne me suis jamais senti "comme une fille" ni même "comme un garçon". J'ai toujours été simplement moi-même, en dehors de la tyrannie du genre, et définitivement en dehors des codes binaires de sexe puisque j'ai fait ensuite une puberté plus masculine, mon apparence n'étant pas celle que l'on s'imagine quand on parle des femmes et plus proche des hommes.
C'est ça être intersexe, c'est ne pas entrer dans les normes binaires du sexe biologique, ce n'est pas une identité mais une réalité physique qui s'accompagne bien souvent de nombreux traumas de rejets/moqueries et violences médicales. Vous pouvez ignorer notre existence mais nous sommes 1,7% de la population, soit autant que la proportionalité de roux, et nous sommes forcé.e.s dans une conformité binaire en raison du genre et de ces désignations binaires de sexe sur le plan administratif. Donc on nous fait des chirurgies et hormonothérapies non consenties, ces mutilations ayant parfois lieu dès la naissance, mais pour vous ce sont les personnes qui souhaitent transitionner médicalement en parfaitement connaissance de cause le problème ?
Cela fait polémique pour les pré-adolescents trans qui prennent des bloqueurs de puberté mais aucun problème pour tous ces enfants intersexes qu'on mutile, stérilise, sur lesquelles on pratique des opérations atroces comme des dilatations vaginales, etc. et ce depuis les années 1970 ? Franchement, les transphobes, je vous comprends pas... Et ceux qui veulent nous aider comme les journalistes de gauche sont souvent à côté de la plaque dès qu'iels veulent parler de ce sujet, justement parce qu'iels n'ont pas vraiment conscience de ce que sont le sexe et le genre, deux choses différentes mais toutes deux des conventions sociales et existant sur un spectre, ne pouvant pas être binaires si ce n'est par idéologie culturelle.
les personne intersexe transitionner de force c'es encore un autre souci , un souci tres grave et c'est absolument pas noral , surtout que , dite moi si je me trompe vous qui etes concerné, mais etre intersexe ne pose aucun souci de santé n'est-ce oas , vous n'avez pas 0 hormone sexuelle naturellement exacte ? si c'est le cas on devrais etre honete et demander a l'enfant intersexe ce qu'il ou elle veux faire a la puberté, ou meme ne rien, faire , encore une fois je suis ni concernée ni renseignée du coup je sais pas si ca peux jouer au un moment sur la santé hein , pour le "ne rien faire" je ne sais pas du tout si c'est possible ^^'
Je suis pour les trans, les accepter, les apprécier comme même personne que mon espèce, sans différenciation de sentiment avec les autres, mais il y a une chose que je déteste, c'est la récupération de la transsexualité par le grand capital, qui impose une idéologie dans un but économique. Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de transphobe, c'est une très petite minorité, mais je pense qu'une grande partie de la population se sente opprimé par le fait qu'on leur impose une propagande trans, qu'ils vivent comme une atteinte à leur liberté de pensée, ce que je partage ; la frustration qui découle de cette doxa imposé pousse les gens à pointer du doigt comme responsable les transsexuelles. Évidemment il se trompe de responsable, mais c'est ainsi.
Ou vous voyez une telle propagande?
@@clovisdesbois1628Pareil j'ai raté cette fameuse propagande ultra dominante. J'ai dû vivre dans une grotte sans m'en rendre compte 🤨
@@clovisdesbois1628 même la langue française à été altérée par les penseurs trans pour éviter de mégenrer, des industries qui mettent le drapeaux trans sur leur photo de profil facebook pendant un évènement afin d'attirer l'attention sur leur bienséance et éviter d'avoir des pénalités sur leur marché, sans parler des université des sciences sociales où les cours deviennent lunaires tellement la matière censé être un cours de philosophie se transforme en un prosélytisme trans par une prof qui à fait hypocagne et que seul trois cheveux bleus connait, je veux dire par tout ça que la propagande à atteint des proportions institutionnalisée, le bouche à oreille à été complètement dépassé , je veux bien être gentil est répondre a ta question mais comment peux-tu poser une question aussi évidente ? C'est clairement de la mauvaise fois.
@ oui je pense aussi, force à vous monsieur
@@orxrus666 non, force à *vous.* Vous avez été persécuté dans votre enfance ?
Genre assigné à la naissance ? c'est une blague ? on est assigné à résidence, assigné c'est contre son grés.
Aller on branche son cerveau ou au pire on fait une recherche google, courage
C'est a dire ?@@yoshydoll
assigné garcon est contre son gres comme le genre ets une composante sociale de la vie en societé imposer un role social est par consequant contre son grés@@PaulPolo-ol7vs
on est tous sorti du ventre de notre mère, donc d'une femme, donc d'une personne adulte de sexe féminin, le reste est une connerie abyssal
@@PaulPolo-ol7vs bah le terme mère est une. Composante sociale et sociétale de notre sociétée est impliqué tt un tas de comportements que on attribue aux mères dès lors que c'est un rôle sociétal par rapport à un enfant un homme trans ayant un utérus peux être un père qui a mis au monde un enfant de la même manière que une femme qui adopte peux être mère sans mettre au monde car le terme mère est une construction sociale.
Si seules ceux qui mettent au monde peuvent être mère allors les femmes infertiles qui adoptent ne sont pas mère.
Attention à un détail important : les personnes trans sont accusé(e)s de répandre les stéréotypes de genre, et aussi contraintes de les suivre. C'est vrai. Mais ce ne sont pas par les mêmes personnes ! Des féministes matérialistes peuvent accuser des personnes trans de perpétuer les normes du patriarcat, mais elles ne sont pas les juges qui leur accorde ou pas leur papiers administratifs ! C'est un peu malhonnête de mettre les 2 bout à bout comme s'il s'agissait des mêmes.
Merci Blastv
Témoignage d'un homme ayant de grandes qualités humaines
Ça ne changera pas le fait qu'il y a des études qui montrent que la transition ne résout pas le taux de suicide...
Non c'est une femme. C' st pas pcq il a une saucisse gonflable entre les jambes que c'est un homme
On est là, on se bat, on n'est pas un sujet de débat ! Merci Tal et Paloma ! (Dieu du Ciel ça rime) ✊🏿🤸🏿♀️🏳️⚧️🫶🏿
Vous êtes pour la mutilation du corps des femmes, la castration des hommes. Une vie sous hormones pour une "transition" qui n'est qu'un mirage. Un homme ne sera jamais une femme, une femme ne sera jamais un homme. Peu importe le nombre de mutilation hormonale et chirurgicale que vous pouvez vous infliger pour "soigner votre dysphorie de genre" : bloqueur de puberté qui va stopper tout le développement physique, sexuel et mental des adolescents puis prise d'hormones contraires qui augmentent le risque de cancer ensuite mammectomie, ablation des testicules, excision du clitoris et du vagin, hystérectomie, vaginoplastie : pénis transformé en une fausse cavité vaginale qui n'aura jamais de lubrification naturelle, une plaie qui faudra maintenir ouverte en s'enfonçant des dilatateurs, ou encore la phalloplastie qui consiste à arracher au bras ou à la jambe des morceaux entiers d'épiderme et de nerfs pour en faire un boudin graisseux cousu à l'entre-jambe et simuler un truc qui ressemble vaguement à un pénis mais qui ne sera jamais capable d'érection et d'éjaculation. Ce suivi médicale n'est qu'une succession d'empoisonnement et de mutilations sexuelles pour obtenir une apparence extérieure rappelant les stéréotypes du genre opposé. J'ai de la peine pour les trans qui subissent tout ça. J'ai la haine contre les médecins et les chirurgiens qui imposent de pareilles tortures, aux conséquences irréversibles.
Je soutiens les personnes Trans sans aucuns problème, il est important que le corps physique corresponde (au moins en apparence) au genre auquel une personne s'identifie. Mais il faut arrêter de crier à la Transphobie à tout va. Une personne née avec un sexe féminin et une personne née avec un sexe masculin auront toujours des différences dans la constitution biologique du corps. Ces différences ne sont pas réglés par les hormones et ça oblige à avoir des catégories différentes (par exemple dans le sport, les prisons, ...). Et pour finir, ce n'est absolument pas transphobe de considérer le sexe plus important que le genre, l'orientation sexuelle est liée pour beaucoup à une attirance par le sexe et pas du tout par le genre.
Aucun commentaire désignant les dérives de cette idéologie et leurs conséquences, surtout chez les enfants. Curieux, non ? Blast ferait de la censure ? La remise en question, l'interrogation, l'enquête est elle transphobe ? Blast et ses apôtres dégénérés devront rendre beaucoup de comptes dans plusieurs domaines. C'est qu'une question de temps.
Les dérives et conséquences qui sont ? En dehors du fantasme complotiste transphobe et homophobe de Stern et Moutot on a quelque chose de consistant a se mettre sous la dent ou c'est tout ? Parce que dans la vidéo ils en parlent pas mal quand même de cet "ouvrage" et le démontent bien facilement.
Je comprends pas bien la volonté de changer de genre, autrement dit de passer d'un stéréotype à un autre. On devrait plutôt détruire les stéréotypes.
Identité de genre et stéréotypes de genre sont deux choses différentes.
@@joannajett2524 C'est très proche puisque le genre est une construction sociale. On devrait se libérer du genre plutôt que de vouloir se conformer à l'une des deux cases de ce système artificiel. Agir comme l'autre case sans changer de sexe est plus profondément émancipateur que de conformer notre corps au stéréotype qui nous convient le mieux.
@@sunalma Sauf que les personnes qui transitionnent médicalement ne le font pas par plaisir, mais par nécessité (cf dysphorie de genre).
@@joannajett2524 Oui tout comme y avait pendant l'occupation des gens qui s'adaptaient à la loi des envahisseurs et des gens qui entraient en résistance. C'était une nécessité, mais l'un des deux choix était plus courageux que l'autre.
@@sunalma Vous êtes sérieusement en train de traiter les personnes trans de collabos? Avez-vous la moindre idée de ce qu'est la dysphorie de genre et de ce que ça implique d'en souffrir?
Encore une fois, on ne parle pas de goûts et de stéréotypes. Il y a plein de personnes trans androgynes. Les personnes qui transitionnent le font par nécessité et aucune personne cisgenre n'est légitime pour juger leur transition.
Dommage que plutôt que de lutter contre les stéréotypes de genre , ces personnes en viennent à se mutiler et jouer aux apprentis sorciers avec des molécules chimiques 😢 pour ceux qui aiment entendre plusieurs sons de cloche , il y a le podcast Rebelles du genre, notamment le bouleversant témoignage d'Axelle..
mais le problème c'est pas les stéreotypes de genres avec les trans
@@MeMe-zc7jh Ben si, puisque dans leur logique, être un homme ou une femme ça n'a plus rien à voir avec le sexe mais tout à voir avec des stéréotypes sexistes. Si homme/femme ne renvoie plus au sexe, alors à quoi, à part des stéréotypes ?
("c'est différent selon chaque personne" ou "c'est se sentir femme/homme", c'est une définition circulaire, donc c'est pas une vraie réponse.)
@@lucicahuette Non, ce que je dis c'est que les stéréotypes de genre ne sont pas le problème des trans
@@MeMe-zc7jhSi le problème n'est pas une question de sexe biologique ou d'ADN, si le problème n'est pas une question de stéréotype ou genre, alors où se trouve la pierre angulaire du raisonnement ?
Les pensées suicidaires sont là parce que ces personnes ont une disphorie de genre et non à cause de la transphobie. et dans la majorité des cas les pensées suicidaires s'amplifient après la transition. Et pas à cause des autres
Expert pour parler de ce que tu ne connais pas, bravo vraiment 💀
C'est comme dire d'une personne homosexuelle qu'il a envie de se suicider à cause de son homosexualité non assumée, mais que l'envie de se suicider est amplifiée une fois qu'il a fait son coming out, et que ce n'est pas à cause de son entourage homophobe.
@@Luna-Claire-Des-Monades merci de ne pas confondre une orientation sexuelle avec une dysphorie de genre qui est un trouble de l'identité de genre. Si le regard de l'autre accentue le malaise il.n'en est pas la cause.
@@noukouprinderretherapeute-4108 quand tu subira un viol parceque tu est different tu pourra parler de ce que peuvent te faire ressentir les autre hein
Lol y'a zéro rapport.
Et tu sous-entends que les gens qui ne sont pas différents ne peuvent pas subir de viols ? Ou que sur eux ce serait pas grave ? Mdr @@lighter-fr2328