Dans ta newsletter quelle ne fut pas ma surprise de lire à la fin " on va voir pourquoi tu retournes toujours à ton poids de départ et quoi faire pour maigrir durablement " ... Je visionne la vidéo et je ne comprends pas comment on peut passer de l'alimentation intuitive et ton programme à ce mail et des vidéos validistes et grossophobes ... Donc pour celleux qui liront mon commentaire quelques précisions ... D'abord le poids d'équilibre est celui que l'on obtient une fois son comportement alimentaire soigné, sans avoir à modifier son alimentation dans un objectif de poids ( prise ou perte ) et sans faire forcément faire du sport. Avoir un état émotionnel serein ne suffit pas à guérir , tout comme l'alimentation intuitive ne suffit pas à retrouver de l'estime pour soi. Il me semble plus pertinent de chercher à déconstruire , la grossophobie pour se libérer du diktat du corps par exemple, de comprendre le capitalisme afin de se libérer du productivisme qui affecte également notre état émotionnel plutôt que de chercher à se conformer à une société ou un idéal de bien être . Partir du principe que l'on peut maigrir durablement c'est penser que maigrir est un objectif à atteindre pour être mieux or c'est tout l'inverse le but serait plutôt d'accompagner les personnes à vivre sereinement avec elles même dans une société oppressive quelque soit leur santé, leurs corps ou encore leur objectifs!
Merci pour cette réaction rassurante, je me sentais tellement choquée en découvrant cette vidéo ! Pour moi l'AI est un formidable outil qui ne parle à aucun moment de perte de poids... Pourquoi revenir à cette diet Culture et cette grossophobie pourtant déjà omniprésentes partout? On a besoin de personnes qui déconstruisent ce système d'oppression par leur prise de parole, par leur accompagnement, pas d'une énième personne qui vient apporter de l'eau à son moulin 🥺 Alors oui bien sûr, c'est + facile de parler de perdre des kilos quand la très grande majorité n'a que cette idée en tête mais quand on a adopté l'AI, qu'on l'a fait connaître, avec bonheur, à des centaines de personnes, comment peut-on re-rentrer dans le moule et faire ainsi marche arrière alors qu'on devrait justement pousser encore + de personnes à sortir de cette oppression ??? Ça me dépasse... 😥 Et ça me choque...
@@famillemoser on est plusieurs à avoir cette mauvaise impression. A ne pas comprendre. Je crois qu'il faut juste accepter ce revirement. De son côté, Elyane C. (que je ne connais pas) ne doit pas non plus comprendre nos remarques car dans ses réponses on ressent que ce cheminement lui paraît normal et utile. Bref! A mon niveau, je réponds à certains commentaires de personnes déconcertées afin qu'elle ne se sentent pas seules.
Hello, merci pour ce commentaire détaillé :) Au fur à mesure de mes vidéo, ma vision des choses sera plus claire mais je vais déjà répondre ici. "accompagner les personnes à vivre sereinement avec elles même dans une société oppressive quelque soit leur santé, leurs corps ou encore leur objectifs!" Exactement : quelque soit leurs objectifs. Y compris "perdre du poids". Avec le développement émotionnel je veux accompagner les femmes à remettre en question les injonctions ET à travailler sur elles même pour être moins perméables à ces injonctions (qui seront toujours là). Je veux les aider à travailler sur leur état émotionnel (estime de soi) pour ne plus subir ces injonctions. Parce que je crois qu'une partie du problème est là. Qu'elles se libèrent de ces injonctions, pas qu'elles "se battent contre", parce que tout le monde ne veut pas être militant. Certaines femmes veulent juste vivre leur vie, et perdre du poids parce que c'est plus confortable dans notre société. Je veux les aider à séparer confort / bonheur. Sans rejeter l'un ou l'autre. Je crois que la diet culture rejette le bonheur en disant : bonheur = minceur. Mais je crois aussi que certains discours rejettent le confort et la liberté en disant que maigrir = grossophobe. Je veux proposer une nuance : détacher minceur et bonheur. Sans rejeter ni l'un ni l'autre. Que les femmes soient libre de faire ce qu'elles veulent. Aussi, je n'accompagne pas les femmes qui ont des TCA, je propose du développement personnel. Pour les femmes qui ne sont pas en guerre contre la nourriture ni dans la restriction, mais qui sentent que leur problème est + émotionnel.
@@ElyaneC Ah bah... J'ai eu un bug sur la dernière partie de votre commentaire... 😳 Vous n'accompagnez ni les femmes atteintes de TCA ni celles en guerre contre la nourriture ni celles qui sont dans la restriction... 🤔 Sans parler d'alimentation intuitive, votre chaîne ne fait finalement que parler nourriture/alimentation (ce n'est pas un reproche) et s'adresse donc à des personnes qui ont une relation hors norme avec celle-ci que ces personnes soient d'apparence mince, en surpoids ou en obésité. Et toutes ces personnes, même sans diagnostic de TCA et sans jusqu'aller dire quelles sont en guerre contre la nourriture, elles entretiennent quand même un rapport particulier avec celle-ci. Donc, au final, je me demande: quel public visez-vous? 🤔 Je suis perdue...
Bonjour, étant moi aussi très surprise par la direction que prend cette chaîne je me permets de recommander une lecture : Anti régime de Christy Harrison. L'autrice y explique notamment très bien en quoi l'utilisation des termes "nourriture émotionnelle", "mangeur émotionnel" et autres, n'est encore et toujours qu'une manière d'alimenter la culture des régimes et la grossophobie ambiante. Votre discours est par ailleurs très ambigu : l'envie de perte de poids n'est jamais neutre. On peut comprendre les raisons qui motivent les personnes qui souhaitent perdre du poids, dans l'empathie et la bienveillance, tout en pointant que ce choix n'existerait pas sans la culture des régimes et essayer de s'encourager mutuellement à lutter contre cette culture. Ce n'est pas aussi parce que vous avez perdu du poids pendant votre parcours d'alimentation intuitive que ce sera le cas de tout le monde (mais le livre que je cite en parle bien mieux que moi : l'autrice y explique aussi que l'on aurait même plutôt tendance à prendre du poids lorsque l'on fait la paix avec son alimentation : et ce n'est ni bien, ni mal).
Bonjour Laura, Si dans ma vidéo vous y voyez + une méthode de perte de poids qu'une méthode de développement de l'estime de soi : c'est votre vision, pas la mienne. Je vous encourage à lire les commentaires qui ont compris le message de ma vidéo ;) Vous ne pouvez pas affirmer que la volonté de mincir n'existerait pas sans la culture des régime, ou alors il va falloir le prouver, ce qui est évidemment impossible. Il se pourrait que les gens aient juste envie d'être + mobile par exemple, ce qui les encouragerait à vouloir mincir. Ou il se pourrait que les gens aient juste envie d'être en meilleure santé, ce qui les encouragerait à vouloir mincir. Allez dire aux gens qui ont eu covid grave que s'ils veulent maigrir c'est à cause de la diet culture. Au bout d'un moment il faut arrêter de nier la vérité pour se donner raison : certaines maladies sont directement lié au poids, c'est un fait. Est-ce que ça veut dire qu'il faut faire un régime ? Non et ça tombe bien ça n'est pas ce que je propose :) Je propose de travailler sur son estime de soi, ce qui ne va pas à l'encontre de "remettre en question les injonctions" (c'est même complémentaire). C'est juste que votre définition d'une injonction est plus large que la mienne : c'est une question philosophique. Ni vous ni moi n'avez raison : nous avons juste 2 visions qui divergent. La plupart des femmes que j'accompagne ne vont pas aussi loin que vous dans le rejet de la diet culture, et ça ne les empêche pas d'améliorer leur estime d'elle même et leur comportement alimentaire. Selon moi la diet culture ça n'est pas 0 ou 1, c'est un spectre, c'est nuancé. Je le vois dans mes accompagnements en tout cas, dans la vraie vie, avec des vraies femmes. La philosophie c'est bien, mais il faut ensuite la confronter au réel. Ca ne me parait pas aberrant de dire que quand on ne mange plus ses émotions, on mange moins, et on perd du poids. S'il faut être sur que ça fonctionne sur 100% des gens avant d'en parler, beaucoup de métier devraient faire des warning. A commencer par les psy, ils devraient dire à chaque patient : "attention je soigne la dépression mais c'est pas sur que ça marche". Vous comprenez que ça créé de la confusion dans l'esprit du patient ? Que l'espoir fait partie de la guérison ? et que le patient ira de toute façon voir un autre psy qui sera plus clair. Votre réflexion tient dans la théorie, mais dans la vraie vie les choses sont plus nuancées. Si une femme commence le travail sur les émotions et se rend compte qu'elle a d'autres choses à travailler, elle ira naturellement vers d'autres pro, voila comment ça se passe dans la vraie vie, et c'est OK. Vous cherchez une perfection qui n'existe pas. Une pureté de l'accompagnement, une pureté militantiste. Je vous invite à vous questionner sur la quête de cette perfection.
@@ElyaneC Bonjour Elyane, merci pour votre réponse. Le fait que mobilité ou santé seraient liés au poids ne sont pas des faits avérés et sont largement discutés tout comme beaucoup de choses liees a la perte de poids et à la stigmatisation du poids. C'est d'ailleurs grâce à vous que j'ai appris tout cela car sans la découverte de l'alimentation intuitive par votre biais je ne me serai jamais documentée plus longuement. Je ne recherche pas la pureté militante, simplement d'émettre une critique sur votre nouvelle démarche mais surtout sur le double discours qui en ressort. Vous dites que la perte de poids n'est pas votre objectif principal mais vos communications renvoient constamment à cela. J'espère sincèrement que les personnes qui suivront votre nouveau programme y trouveront un bien être et ne seront pas déçues d'une perte de poids miroitée qui ne sera peut être jamais atteinte ou ne durera pas dans le temps (et ça ce sont des études pratiques qui le montrent, pas la théorie).
Encore une fois le problème c'est la nuance :) J'ai été la 1ère à lire le livre et à parler de HAES en France. Et cette approche ne dit absolument pas qu'il n'y a aucun lien entre poids et santé. Elle dit juste que résumer la santé au poids est faux : et je suis d'accord avec ça. Le poids est un facteur de santé parmi tant d'autre. Vous niez que le poids est directement lié à des problèmes respiratoires comme on l'a vu avec le covid par exemple ? Vous niez qu'une personne en fort surpoids a du mal à monter les escalier (mobilité) ? Vous niez les problèmes d'apnée du sommeil ? Vous niez des faits. J'ai fait 15 vidéo dev perso, je parle de poids dans 2-3 d'entre elles. Je vous expose des faits, vous émettez un jugement. Ca n'est pas une critique, c'est un jugement ("double discours"). Vous avez le droit de ne pas être d'accord, mais si vous me jugez, je vous réponds avec fermeté. Enfin, l'a.i dit qu'on ne peut pas maigrir durablement via un régime / méthode alimentaire. Ca tombe bien ça n'est pas ce que je propose. Je propose un travail de fond sur les émotions et les comportements alimentaires. Et surtout l'objectif n'est pas de maigrir, l'objectif est de travailler son état émotionnel et son estime de soi. La perte de poids est une conséquence parmi d'autre dont je parlerai dans mes vidéo, et je n'ai pas honte de le dire. Est-ce que l'a.i a une seule étude sur la perte de poids et le travail sur les émotions prouvant que c'est impossible ? Ayez l'humilité et l'ouverture de vous dire que, peut-être, la personne qui a apporté l'a.i en France, a réfléchi et a quelque chose d'intéressant à dire ;)
@@ElyaneC Mais du coup ton approche s'adresse à qui ? Des mangeuses émotionnelles di dimanche sans TCA qui peut de chance d'avoir comme résultante de cette "alimentation émotionnelle" un poids qui entraîne des pb de mobilité ou un Covid grave (fiy ce n'est pas le poids qui a accentué la mortalité des personnes grosses mais l'équipement médical inadapté, ie la grossophobie) ou des personnes très grosses dont le poids ne peut être simplement lié à de l'alimentation émotionnelle car l'obésité est profondément multifactoriel. Utiliser l'exemple des personnes les plus grosses en caricaturant l'impact du poids sur la santé, agiter le spectre de la mauvaise santé , pour vendre de la perte de poids. Oui c'est grossophobe. Oui c'est de la diet culture et pas en bas du spectre pour reprendre ton expression. Enfin dire qu'en arrêtent de manger ses émotions on va perdre du poids c'est mensonger. On ne sait pas. Il y a trop de paramètres individuels. Chez un mangeur régulé, les prises alimentaires émotionnelles sont régulés avec les repas suivant. On a moins faim le soir quand on a grignoté toute la journée. Si cette régulation ne se fait pas, il y a de forte chance pour qu'il y ait aussi un problème d'écoute des signaux. Mince si seulement une Therapie mêlait physiologie des prises alimentaires et trvail sur les émotions ! Oh mais wait ça existe et ça s'appelle l'alimentation intuitive mais ça nécessite de rejeter la culture des régimes.
@@ElyaneC Bonjour Elyane, Effectivement, la nuance est importante, c'est pourquoi je suis étonnée de te voir associer poids élevé et mauvaise santé sans parler des nombreux facteurs confondants. On sait par exemple que dans la population "obèse" il existe davantage de précarité. Également plus de personnes racisées qui subissent nombreuses discriminations. On peut également parler de la grossophobie médicale : soin et matériel non-adapté (par exemple les respirateurs pour le Covid) retard ou défaut de diagnostic, etc. Voici quelques paramètres, autre que le poids élevé en lui-même qui peuvent affecter la santé physique et mentale des personnes de poids élevé. Lien de corrélation n'est pas causalité. De plus, si les gens pensent que mincir est lié à une meilleure santé ou mobilité, c'est aussi lié à des croyances grossophobes. Travailler sa condition cardio-respiratoire ou sa mobilité, va de fait les améliorer. Quelque soit le poids. Pareil pour les marqueurs de santé qui peuvent s'améliorer grâce à l'hygiène de vie globale, sans perdre un seul gramme. (Voir par exemple les travaux du chercheur Benoît Arsenault). Jusqu'à présent, aucune étude ne montre qu'une perte de poids intentionnelle et durable existe (sauf pour une très petite minorité de personnes). Et d'après toi, aucune étude n'a été conduite avec le travail sur les émotions, mais alors comment peux-tu affirmer qu'en arrêtant de manger ses émotions une perte de poids va s'opérer ? (si on est au-dessus de son poids de forme) Et sur la durée ? Et pour l'exemple que tu donnes sur la dépression, je n'ai jamais entendu un psy dire que la guérison viendra à coup sûr (mais peut-être que certains disent ça ?) par contre il existe des études démontrant des formes de thérapies plus efficaces contre la dépression... De plus, pourquoi aborder le travail sur les émotions en faisant le focus sur la perte de poids ? Le focus est fait via tes vignettes RUclips "putaclic", via ta newsletter et via ta description qui ne parle que de cet objectif (c'est plus vendeur) : "Pourquoi on ne pourrait-on pas perdre du poids une BONNE FOIS pour toute ?" Mincir = Bon ? Grossir = Mauvais ? Dans ta communication, tout transparait sur le fait que c'est mieux d'être mince. Je peux totalement comprendre l'envie de perdre du poids, je ne juge pas les personnes, mais au vue de ta communication, comment peux-tu dire que tu es neutre face au poids ? La définition officielle de la grossophobie est : "une attitude de discrimination envers les personnes en surpoids ou obèses". Envoyer le message qu'être mince c'est mieux qu'être gros.se est discriminant et participe à la grossophobie.
Le problème n'est pas de changer d'avis,de vision ou autre....Le problème c'est de se faire payer pour ça... Aujourd'hui, parce qu'on a vécu et résolu un tca,on devient coach.... si tes vidéos étaient neutres ça passerait, mais là tu mets dans le flou toute une partie de personnes et sans jamais te remettre en question en plus....
Je viens de découvrir votre chaîne grâce à la vidéo sur la procrastination (je viens de lancer mon entreprise et suis paralysée par la peur). Votre cœur de métier (la relation à la nourriture) me parle aussi. Jusqu'à mes 26 ans, j'étais très mince/maigre. C'était validé par la société et en même temps j'ai toujours entendu mes parents s'inquiéter. Ils souhaitaient que je prenne du poids. Lorsque j'ai pris 10kg à la suite d'un licenciement, je l'ai bien vécu. Mon mari (de part le regard des autres moins). Depuis, entre des "régimes", les grossesses et allaitement, je fais le yoyo. Je n'ai jamais été aussi ronde et mon mari me trouve très belle comme ça. De mon côté, à présent, je le vis mal à cause de mes vêtements qui me serrent et parce que j'ai peur de monter toujours plus haut sur la balance jusqu'à, comme toutes les femmes de ma famille, finir en situation d'obésité avec les problèmes de santé qui en découlent... Merci pour cette vidéo (je pressentais qu'il y avait une cause émotionnelle). Je m'abonne ❤
Elyane je voulais te remercier pour ton contenu. J'ai commencé l'alimentation intuitive il y a 2ans et demi en decouvrant la chaine de Lava Myriam (que je vous recommande, cest la premiere à avoir parler de ce sujet) puis j'ai vu tes videos et acheté ton livre, vraiment merci pour cet accompagnement et ces conseils tout du long, je n'ai plus fait de crise d'hyerphagie depuis 1 an, et mon esprit est tellement serein aujourdhui ! Tout est dit dans cette video : cest l'esprit qu'il faut travailler pas le corps. Je continue à travailler, tout n'est pas encore resolu mentalement pour moi encore car ça prends du temps, je relis regulierement mes notes apposées sur ton livre qui m'aide bcp, bref un gros merci qui vient du coeur !
Honnetement je te conseille d'acheter le livre sur l'alimentation intuitive qu'a traduit Elyane, il vaut 20 balles et franchement c'est vraiment un investissement qui vaut le coup : ce bouquin m'a vraiment rassurée et accompagnée (les dames qui ont écrit le livre relate le vécus de leurs patients et clairement j'avais le même problème qu'eux donc tu t'identifie direct, et elles expliquent les conseils qu'elles leur ont donné (les principes de l'alimentation intuitive)). Perso au début, ce fut un gros lâcher prise je mangeais tous les aliments que je m'étais interdits pdt des années (parfois je me suis dit que je devenais folle et que j'allais peser 100kg mais en fait c'est pour faire comprendre à ton cerveau que plus jamais tu ne te privera de ces aliments) et après j'ai appris vraiment à m'écouter (qu'est ce que je veux manger, sentir la sensation de ce que tu manges et l'apprécier, ressentir si t'as encore faim ou au contraire si t'es calée assez vite (y'a des jours où je mange pas bcp car j'ai pas très faim et y'a des jours où je bouffe pour 3 car j'ai la dalle, et bah en aucun cas je vais me juger, j'ai plus du tout de problème avec ça). Après ça reste un processus long, je n'ai pas arrêter de faire des crises d'hyperphagie du jour au lendemain mais le nb de crises a clairement diminué en l'espace d'1 an et aujourd'hui je n'en fait plus (pour cela dès le début il faut se donner la permission inconditionnelle de manger ce que tu veux : perso j'ai grossi au début (ce n'est pas grave, c'est normal, pas de panique) et puis mon corps a trouvé son poids de confort mtn, et franchement l'alimentation intuitive m'a permis d'éviter de tomber en dépression clairement. Franchement lis le livre ;)
Ouais elle est géniale ! dans ces vidéos sur l'alimentation elle précisait bien à chaque fois que ce n'était pas grave d'avoir fait une crise, qu'il ne fallait pas culpabiliser, perso c'est ça qui m'a bcp aidé. Je ne comprends pas pourquoi sa chaîne ne décolle pas...
Je partage absolument ta vision sur l'état émotionnel qui a des conséquences selon s'il est positif ou négatif. C'est exactement ce que ma psychologue spécialisée en TCA m'expliquait lorsque j'ai commencé à me faire suivre. Merci pour ton contenu si précis si juste, et qui fait autant de bien ❤️
Merci pour cette vidéo qui me confirme mon travail actuel, lorsqu'on a compris cela notre vision sur nous et le monde change. C'est un nouveau chemin a emprunter qui nous ramène à nous et même si ça n'est pas facile il est bien plus sympa que celui habituel. J'aimerais que toutes les femmes qui se devalorisent soient dans ce cercle vertueux mais il n'est pas toujours facile d'introspecter. Belle continuation 🎉🌺
Je ne comprends pas la direction que tu prends elyane. Nous parler du yoyo et de l'envie de perte de poids sans mentionner la culture des régimes et le poids d'équilibre c'est pbmatique. Venant de quelqu'un former à l'alimentation intuitive, c'est carrément incompréhensible. Le pb ce n'est pas notre et et émotionnel mais la société. Ta nouvelle approche hyperresponsabilise là où comprendre la culture des régimes libère de la culpabilité que ne bous appartient pas. En outré ta vidéo sous entend que "état émotionnel haut" = mince. Etzt émotionnel bas = gros. C'est grossophobe.
Tout n’est pas société. L’environnement impact l’individu et inversement. Et quand je parle d’environnement, je ne parle pas que de la société mais davantage de l’éducation, des valeurs qui ont été transmises à l’enfant, des expériences de vie, etc. Évidemment il y a des diktats qui viennent générer ou favoriser les TCA mais chez des personnes déjà à risque. Et le travail sur les émotions est essentiel pour gagner en sérénité et aller vers l’acceptation (de ses émotions, de soi, etc) chez des personnes souffrant de TCA. On ne peut pas changer la société en un claquement de doigt (ça reste important de dénoncer pour autant et faire avancer les choses : on est bien d’accord) mais on peut travailler son regard sur ce qu’elle véhicule et sur ce qu’on veut pour soi
Plusieurs personnes ont déjà fait cette réflexion à l'occasion des dernières vidéos. Certaines se sont probablement aussi désabonnées ce qui est tout à fait compréhensible. En tous cas, je comprends vos remarques. De plus, je trouve complètement hallucinant de faire peser le poids (sans jeu de mots 😅) de l'obésité, du surpoids ou des TCA sur l'aspect émotionnel ou psychologique seul sachant que c'est un problème multi-factoriel. Alors, OK, ça donne une impression de contrôle et peut-être de solution accessible de se dire qu'on a le choix de changer notre état émotionnel parce que le reste on ne peut pas où c'est difficile mais c'est quand même se leurrer!!!
@@lulubellule6372 Je comprends votre point de vue et en effet les TCA, comme tous les troubles, sont multifactoriels ! Je pense qu’ici le but n’est absolument pas de faire comme si le travail seul sur l’état émotionnel suffit puisqu’en effet, ce n’est pas le cas ! Mais il me semble quand même que dans le coaching d’Elyane il y a une nutritionniste et une chouette psychologue spécialisée dans les TCA. Ainsi, le travail prend tout son sens ! Il faut aussi garder en tête que travailler sur l’ici et le maintenant (hors trauma du passé) donne de biens meilleurs résultats que de se concentrer sur le pourquoi de nos difficultés et regarder vers le passé
@@eliora4791 alors, je dirais que malheureusement, même si dans ce coaching il y a effectivement une nutritionniste et une psy (je n'en sais rien, je ne suis pas coachée) ce qui se voit sur la chaîne ne le précise pas! Il faut donc le savoir et je me mets à la place d'une personne lambda qui arrive sur la chaîne parce qu'elle cherche certainement une solution à une difficulté de sa vie et ne sait probablement pas qui est Elyane C. Et encore moins qu'elle propose du coaching d'ailleurs et va juste retenir que le travail sur l'état émotionnel face à un problème de poids c'est essentiel voire une priorité qui peut régler tellement de soucis. Merci pour votre commentaire ! 🙂
Ce n'est pas de l'hyperresponsabilisation, c'est une invitation à chercher plus loin que la société dans le cas où on a une prise alimentaire excessive qui n'y est pas liée. Si vous n'avez (avait eu) ""qu'à"" gérer l'origine sociétale, c'est franchement génial ! Il m'a fallu +10ans pour réaliser qu'une expérience (non sociétale) m'a traumatisé et que je ne l'avais pas digérée. Dès que j'allais être dans une situation similaire je ressentais une grosse angoisse que je confondais avec de la faim. Je mangeais "sereine", confiante en ma régulation réapprise avec l'AI. Je mangeais quand même trop au final - ce qui est ok 🙏 merci l'AI. Sauf que j'en restais là et l'angoisse finissait par revenir. J'ai pris conscience de ma confusion et de l'origine première de l'angoisse, ça m'a permis de digérer ce trauma. Depuis quelques semaines j'en suis libre et c'est génial ! Mon état émotionnel a pris un coup de boost. Je suis en surpoids et j'en m'en fiche complètement grâce à l'AI. Mais j'ai obtenu quelque chose en plus de cette expérience que je n'avais pas encore eu avec l'AI : un état émotionnel de confiance non éphémère qui a décuplé l'écoute de mon corps. J'ai aucune idée où ira mon poids et ma morphologie, mais ça ira (dans le sens aller vers mon état émotionnel car il faut le temps au corps de rattraper l'esprit, que ce soit en prise ou perte de poids). L'illustration par graphique peut être maladroite. Ce qu'il faut comprendre c'est qu'un état émotionnel qui tend régulièrement vers le bas nous fais sentir inconfortable avec pour réaction possible une prise alimentaire au delà de nos besoins, et qui peut ne pas être pleinement géré même avec l'AI. Si l'état émotionnel tend régulièrement vers le haut, l'AI s'effectue mieux et le corps va où il doit aller avec moins d'embûches.
Merci beaucoup c'est tout fait ça. Pour ma part ça a été au collège que cet objectif, cette quête du St Graal du poids qui m'apporterait enfin tout le bonheur dans tous les domaines, s'est installé. Et quand j'ai perdu à la vingtaine 20 kg en 3 mois qu'elle déception de m'apercevoir que rien ne changeait et que j'étais toujours aussi peu aimée. Du coup j'ai tout repris très rapidement par dépit.
Bonjour Elyane, je suis un peu surprise de cette vidéo. Je comprends tout à fait ce nouveau chemin sur l’état émotionnel, et je comprends que tu ai choisi d’utiliser un exemple personnel pour l’illustrer. Mais pourquoi ne pas avoir fait un lien avec l’AI, ou avoir choisi l’objectif de faire la paix avec la nourriture ? Pour moi (et pour beaucoup d’autres abonnés de ta communauté j’imagine), notre travail dans l’alimentation intuitive n’est pas terminé. Ce qui implique que la volonté de perdre du poids n’est jamais très très loin dans notre esprit, c’est ce que l’on essaie de combattre justement. La vidéo, la vignette, le titre, le mail que tu nous as envoyé… Cela a été dur à encaisser : pourquoi nous parler de perte de poids, d’objectif à atteindre ? Est-ce que cette vidéo s’adresse à des personnes ayant terminé le processus ? Etant guéri des TCA ? Je ne comprends pas trop. J’imagine que l’intention était tout à fait louable, mais en désaccord avec notre objectif dans l’AI : ne plus se préoccuper du poids. Merci d’avance pour ce retour et tes réponses !
Hello Julie, je comprends ton message et c'est ce que j'ai essayé d'expliquer dans ma vidéo "j'arrête l'alimentation intuitive". Aujourd'hui je m'adresse à des femmes qui n'ont pas de TCA, qui ne sont pas dans la restriction ni en guerre contre la nourriture. Qui en sont à l'étape "je mange mes émotions". C'est normal que ce contenu te challenge un peu, je le comprends. A toi de voir si tu es prête ou s'il vaut mieux éviter ces vidéo pour le moment :)
@@ElyaneC Pardon mais l'anecdote du lycée que tu rapportes dénote une grave insatisfaction corporelle, les fluctuations de poids et les régimes extrêmes que tu décris sont un contexte proprice aux TCA, les compulsions sont tu parles et a parlé dans des vidéos en les qualifiant parfois d'hyperphahie, ne sont elles pas des TCA ? Il est sans doute temps que tu definisses ton concept d'alimentation émotionnelle pour qu'on comprenne à qui s'adresse le développement émotionnel et pour qui tes vidéos peuvent être dommageables. Il en va de la santé mentale d'une partie de ta Communauté atteinte de TCA étant donné ton ancien focus sur l'AI et ton focus actuel sur le poids.
Mon focus actuel n'est pas sur le poids. Je parle principalement d'état émotionnel et de développement émotionnel. Le poids fait réagir une minorité de personnes, mais j'en parle de manière neutre. Ca n'est pas le coeur du sujet. Les personnes concernées se reconnaissent, il suffit de lire les commentaires. Par ailleurs je trouve déplacé ta façon de questionner mes comportements alimentaires passés. Je ne suis pas psy donc je ne parle pas de TCA, je propose du développement personnel, c'est tout ce qu'il y a à savoir. Je vous conseille si vous avez un doute, d'aller consulter un psy, et de ne pas regarder mes vidéo si vous avez un TCA diagnostiqué. Ce que je disais déjà avec l'a.i, car je suis coach et pas psy, je n'ai jamais parlé aux personnes ayant des TCA et c'est marqué noir sur blanc sur la page de mon programme.
En quoi est ce déplacé de parler de ton comportement alimentaire passé puisque tu en parles dans cette vidéo et les autres? C'est toi qui décide de parler de ton expérience et de bâtir une thérapie dessus. Mais peut-être faut il réfléchir à être à la fois plus nuancée et moins ambiguë
Julie j'ai fait moi même le programme d'Elyane qui m'a grandement aidé notamment sur la restriction et la culpabilité, je suis reconnaissante aussi à Elyane de m'avoir fait découvrir l'alimentation intuitive et d'avoir introduit ça en France mais je me sens tellement désolé de la réponse que tu as reçu et de l'encaissement que tu as dû subir ♥️ le programme de l'alimentation intuitive est super mais personnellement si j'ai guéri de mon hyperphagie c'est aussi en m'intéressant à la grossophobie , aux problèmes sociétaux qui ne peuvent être decoreller de ce travail émotionnel étant donné que les troubles du comportement alimentaires sont bien souvent lié à l'émotionnel et que l'émotionnel est lui complètement influencé par nos vies ET la société dans laquelle nous évoluons. Tu as des thérapeutes formidables qui prennent en compte tous ses pans voici leurs noms : Emeline Lecouffe, Zina Mekhbout ainsi qu'Amelie Carlot Chichoux, Zoé Desbouis et Ariane Garcia qui même si elles ont participé au programme d'Elyane ne tiennent absolument pas le discours qu'elle a aujourd'hui.
Exactement, et c'est le seul point de divergence : l'a.i considère l'envie de perdre du poids grossophobe. Je ne suis pas d'accord avec ça, ma vision est plus nuancée : je veux neutraliser cet objectif et me concentrer sur l'essentiel : l'état émotionnel. Je dirais que c'est une divergence philosophique, parce que dans la pratique il y a surtout beaucoup de convergences. Les femmes que je suis voient ce travail comme complémentaire. Parce que la question de la grossophobie n'est pas une condition nécessaire au travail sur soi. Et la plupart des gens ne souhaitent simplement pas s'y intéresser :)
@@ElyaneC Mais perdre du poids pour être en dessous de son poids de forme reviens à se mettre en restriction à vie, puisque le corps est programmé pour y revenir. Vouloir perdre du poids n'est pour moi pas forcément grossophobe, chacun ses envies, mais cependant l'AI se détache de l'envie de perte de poids puisque justement majoritairement les pertes visent un objectif beaucoup plus bas que son setpoint. A moins que je n'ai rien compris à l'AI...
Ok, dans ce cas en effet la perte de poids sera naturelle, mais du coup comment savoir si on est à son poids de forme ? Et s'il est "trop haut" par rapport à son envie ?
Merci pour ton partage. Je suis forcément d accord puisque en ayant travaillé en dvp personnel , le mental est indissociable du physique. L un entraîne l autre. C est ce que je compte faire lorsque j airais fini ma formation de coach sportif. Voir le côté des croyances limitantes et pas autre choses. Bravo en tout cas d avoir etait courageuse comme cela. Il est vrai que tu sembles épanoui aujourd'hui. Bravo 🎉😉
Merci pour votre partage d'expérience, très bien expliqué. Depuis quelques années je fais le yo-yo car je passe d'un état motivé a perdre du poids à je ne peux plus ça ne va pas en ce moment je remets à plus tard, je prends les choses à l'envers je devrais arrêter de me dire que je dois perdre du poids pour être bien. En réalité ça ne marchera jamais si je ne règle pas mes autres problèmes je vais encore prendre du poids et empirer les choses. Ce n'est pas facile de régler tous ces problèmes en même temps et de se donner comme objectif de maigrir ne fait qu'ajouter une difficulté alors que je sais que si je règle mes autres problèmes avant j'irai assez bien pour ne plus penser a manger entre les repas ou manger sans avoir faim pendant les repas car souvent on fuit nos problèmes avec la nourriture et ça ne règle rien. Bravo pour votre réussite et votre courage
Merci Elyane pour ce court enregistrement bien précis ! Je te regards de temps à autre ... je suis très souvent réconfortée après tes propos. Le changement de ton focus ne me dérange absolument pas... tu découvres différentes approches et évolues, ne restes pas esclave de tes recherches et ta vision précédente. Et heureusement ! merci de partager avec nous ton nouvel approche ✌️🤗🤗
Merci pour ce partage , histoire de ma vie également . Petite j ai toujours connu ma maman faire des régimes et faire le yoyo également, pour moi cela était normal. Mais non car comme tu dis le problème est plus profond. À bientôt 38 ans je suis fatiguée de faire des régimes pour perdre 2 , 3 kilos pour plaire au autres finalement . Je n ai pas envie de transmettre ce mode de fonctionnement à ma fille , donc j essaye de bannir le mot régime . Pour ne pas reproduire le même schéma que ma mère et moi . Aujourd’hui grâce à des vidéos comme les tiennes et pleins d autres personnes aussi , les esprits évoluent merci 🙏🏼.
Je partage ta vision moi aussi. J'ai un mauvais rapport à la nourriture, dû en grande partie à une mauvaise estime de moi. J'ai expérimenté de nombreux "régimes" et... tout repris et même plus. Maintenant, je ne me focalise plus sur la perte de poids, qui n'est qu'une conséquence d'un mode de vie sain et d'une estime de soi retrouvée, afin que le rapport à l'alimentation change lui aussi. Quant à l'esthétique, cela a beaucoup moins d'importance à mes yeux ; désormais, ce qui me motive plutôt est de rester en bonne santé, la perte de poids n'étant qu'une conséquence d'un mode de vie sain et d'une bonne relation à la nourriture. Merci pour ta vidéo.
Hello Béatrice, c'est exactement ça :) L'idée n'est ni de rejeter la perte de poids, ni de l'adorer. Notre bien-être est intérieur, et l'idée est de se développer émotionnellement d'abord pour retrouver une bonne estime de soi. Ensuite pour atteindre les objectifs qu'on se fixe : vie saine, objectif pro et perso.
Top, merci Valentine pour ton commentaire :) Comme tu me suis depuis longtemps : est-ce que cette nouvelle approche (développement émotionnel) te parle + que l'alimentation intuitive ? Ou tu voudrais que je reparle d'alimentation intuitive ?
@@ElyaneC Je pense que l'approche émotionnelle est importante car l'alimentation intuitive est difficile à mettre en place sans un travail sur ses émotions.J'avais essayé en regardant tes vidéos surle sujet ainsi que tes'journée dans mon assiette' mais c'est difficile d'écouter son corps quand on mange avec ses émotions.Je pense que ta nouvelle série de vidéos peut bcp apporter:)
Très déçue, je ne m'attendais pas à ce type de vidéos de ta part Elyane. C'est assez irresponsable surtout sachant que ta communauté est en grande partie constituée de personnes souffrant de T.C.A ou ayant soufferts de T.C.A , regarder cette vidéo peut faire retomber dans cette pensée qu'on doit absolument perdre du poids et que c'est grave d'en reprendre . Je sais bien sûr que ce n'est pas ton intention d'inciter aux T.C.A mais le titre ou le mais le titre de cette vidéo est par exemple problématique selon moi. (mon message n'est pas haineux je précise).
Hello, merci pour ton commentaire. Je comprends ton point de vue et je te remercie de le partager calmement :) Je comprends aussi que les titres/miniature soient "triggering" mais le contenu lui est nuancé. Il n'incite pas à la perte de poids, et il ne la rejette pas non plus. J'ai prévu une vidéo sur le sujet du poids et ma nouvelle vision des choses.
Hello Claire, excellente question :) Je dirais qu'il n'existe aucune mauvaise raison de vouloir perdre du poids. C'est aussi pour ça que je veux me détacher de l'alimentation intuitive : parce que je me rends compte qu'en disant aux gens de "mettre la perte de poids de côté", ils se sentent jugé et se disent "je suis une mauvaise personne si je veux maigrir". Ma position actuelle et celle du développement émotionnel (que j'ai inventé donc personne ne pourra me dira ce que c'est mieux que moi xD) est : 0 jugement. Chacun a une bonne raison de vouloir perdre du poids. "Maigrir pour plaire aux autres" : ça ressemble à une "mauvaise raison". Mais si c'est que vous ressentez à l'intérieur aujourd'hui... parce que vous êtes persuadé que c'est ce qui est bon pour vous. Qui suis je pour le juger ? Je peux vous aider à cheminer, mais je dois vous prendre là où vous êtes aujourd'hui. Ce que je propose aujourd'hui c'est de se rendre compte du vrai problème : état émotionnel. Et de travailler dessus. Mais je ne veux pas juger ce que vous ressentez. Je veux vous accompagner et si vous changez d'avis pendant le chemin, ça viendra de vous. Et c'est exactement ce que je veux : que vous soyez libre de ressentir et penser par vous-même. Donc il n'y a pas de "mauvaise / bonne" raison de vouloir perdre du poids. Tout ce que vous ressentez/pensez est OK. Tout :)
@@ElyaneC Je pense que ne pas juger un désir de perte de poids et donner des clés pour y parvenir (même via un chemin de traverse avec du développement émotionnel) sont quand même deux choses très différentes 🙂
@@ElyaneC Peut-être faut-il distinguer l'envie de perte de poids à acceuillir avec bienveillance et à écouter, elle a tant de choses à nous dire! Et l'objectif de perte de poids, qui est à mettre de côté tout simplement car il est dommageable pour la santé et qu'il serait mensonger de faire croire aux gens que tu as une façon de les faire maigrir intentionnellement. Mais peut-être penses tu que ton yoyo était lié à ton et et émotionnel et pas au fait que les régimes ne marchent pas pour tout un tas de raisons phisiologiques avant tout?
Salut Elyane, merci pour cette vidéo, ça m'a créé un petit déclic grâce à ton témoignage de ton objectif ultime de perte du poids = bonheur vs réussir ses études ...etc. Je me rends vraiment compte que c'est toujours un point de blocage pour moi ! J'ai réussi à prendre beaucoup de recul, le regard et l'avis des autres m'importent peu voir presque plus mais j'ai toujours une partie de moi qui pense que perdre du poids = bonheur (bonheur de pouvoir rentrer dans plus de vêtements accessibles dans plus de boutiques, bonheur d'avoir les réflexions des autres plus agréable/qu'on me fiche la paix à ce sujet). Et pourtant ayant accouché l'année dernière j'ai perdu énormément de poids et mon corps à énormément changé donc je relativise beaucoup plus et j'ai surtout réalisé que le corps est en perpétuel changement, que nous n'avons pas réellement le contrôle sur lui. Mais malgré tout j'ai toujours cette envie de perdre du poids pour être "épanouie", merci de m'avoir fait réaliser ça, j'espère que ça va me permettre de travailler la dessus et de continuer à lâcher prise !!! Merci beaucoup ♥️ !!!
En fait la réalité est nuancée comme tu le dis. Être mince dans notre société est plus confortable, évidemment. On peut s'habiller, plaire, etc. Et ça n'est pas mal de rechercher le confort. Par contre on a tendance à confondre bonheur et confort. On pense que mincir va nous rendre heureuse, puis on se rend compte qu'en fait ça ne règle pas notre problème d'état émotionnel et d'estime de nous. Et qu'en plus de ne pas être heureuse mince, on reprend le poids perdu. Voila pourquoi je veux apporter le développement émotionnel, une approche nuancée pour ne pas confondre bonheur et confort. Pour ne pas rejeter l'un ou l'autre, mais pour faire les choses dans l'ordre. D'abord se sentir bien avec soi-même, et en // poursuivre nos objectifs pour ce qu'ils sont : des objectifs neutres, dont notre bonheur ne dépend pas :)
À cause ou plutôt grâce à un choc émotionnel je me suis reconnectais avec mon corps, ça doit faire un mois, je sais que mon corps à changé quand je me regarde dans la glace et avec mes vêtements par contre je ne sais et ne veux pas savoir combien j'ai perdu et combien je pèse, Si au cas en allant chez un médecin il me demande de monter sur la balance je lui expliquerai que je ne veux pas savoir et qu'il le note pour lui mais moi je veux rien savoir, pourquoi ?? Tout simplement parce que je fais une obsession de ce poids, l'an dernier quand j'ai commençais l'alimentation intuitive j'étais tout les jours sur la balance et parfois deux fois par jour quand le poids descendais j'étais super heureuse mais pas longtemps car pendant plusieurs jours rien ne bougeait etc.. au final j'ai tout repris et plus même et je me suis complètement déconnecté avec compulsions et cie bref maintenant je ne me prends plus la tête et surtout le poids je m'en fiche ...
Hello, merci beaucoup pour cette vidéo et pour tes videos en général, je trouve super qu’on puisse changer la démarche de guérison des problèmes du rapport avec la nourriture. En effet grâce à tes dire j’ai vraiment pu faire le lien par rapport aux addictions par exemple on arrive facilement à comprendre que d’arrêter la substance ne suffit pas mais la guérison peut être atteinte uniquement en comprenant et en soignant la raison de la prise de ces substances par la thérapie généralement… j’ai la sensation que dans la société on comprends facilement cette démarche alors que pour l’alimentation et la prise/perte de poids la société ne le voit pas du tout de cette manière. Enfin bref, je trouve vraiment tes vidéo pertinentes et elles aident a changer le schéma classique de pensée!
Hello Jennifer, j'espère que la société va évoluer sur ce sujet parce que tout le monde parle de l'obésite, mais personne ne propose de solution réaliste. J'ai retrouvé un cahier où j'écrivais que j'avais l'impression d'être "addict à la nourriture"... ça m'a fait bizarre de relire ça, mais c'est la sensation qu'on ressent.
Hello J'aimerais beaucoup un développement sur la notion de vide. A quoi on peut le relier, si des événements précis le déclenchent ? Il y a peut-être déjà une vidéo la dessus et je veux bien être orientée vers cette vidéo. C'est bien intéressant de communiquer sur l'état émotionnel. Et surtout, à toutes, toutes celles en bonne santé physique, on le pourri bien fort cet état mental en étant obsédées par notre enveloppe ! C'est double peine !! Hop on s'est enfermées dans notre prison, alors on change nos pensées et on sort : libérées délivrées 🎶😁 et que la vie est belle 🎉
Salut Elodie, très bonne question. Je serais incapable de dire ce qui avait créé ce vide à la base chez moi par exemple. Ce que je sais, c'est comment le remplir de l'intérieur grâce au développement émotionnel, pour ne plus avoir besoin de le remplir de l'extérieur (nourriture, plaire aux autres etc.).
Coucou Elyane Saurais-tu expliquer pourquoi, à l'inverse, des personnes qui souffrent d'anorexie purement restrictive ne sont pas dans ce schéma et "arrivent" à se restreindre sans tomber dans les compulsions ? C'est un truc que je n'ai toujours pas réussi à comprendre et qui m'interroge beaucoup quand je regarde mon parcours avec les TCA.
Hello Mathilde, super question :) Alors, je n'ai aucune certitude mais voici ce que je constate en travaillant avec des femmes sur le sujet des émotions. Il y a 2 profil type qui se dégagent : 1/ les femmes qui sont dans la peur : une émotion qui vous laisse très peu d'énergie pour faire autre chose que "avoir peur". Vous réflechissez tout le temps, vous avez toujours peur de mal faire, de déplaire, du coup vous n'avez pas d'énergie pour "faire". En général ces femmes "mangent pour s'apaiser". 2/ les femmes qui sont dans la colère : une émotion qui vous donne énormément d'énergie pour faire beaucoup trop de choses. Vous foncez, vous êtes hyperactives, l'idée est de s'apaiser en faisant autre chose que "penser". Dans les deux cas on "fuit" notre état émotionnel. Soit en mangeant, soit en étant toujours occupé à faire quelque chose. Je dirais que les personnes qui souffrent d'anorexie sont de type 2/, mais "loin" dans le continuum. Mais ceci n'est qu'une supposition, parce que je ne travaille pas avec les femmes qui ont des TCA, je propose juste du développement personnel :s La difficulté est de voir la colère, par défaut on rejette notre état émotionnel, donc on ne le voit/ressent même pas.
Bonjour Najat, merci pour ton commentaire :) Je parle de mon approche dans cette vidéo : ruclips.net/video/UgkRLOBoFCs/видео.html Et je bosse sur un programme détaillé qui devrait arriver bientôt :)
@@ElyaneC merci pour ta réponse J’ai regardé la vidéo et je suis très intéressée par cette aproche Je suis sûrement dans la victimisation J’ai hâte de voir ce que tu va proposer pour passer à un meilleur état d’esprit Merci encore
Bonjour à tous, et toutes, alors voilà je suis gros, je pèse un peu de plus 120 kg pour 1m87, et je suis moche, on me note en général 3-4/10 cependant, on me dit parfois que j'ai un potentiel pour monter jusqu'à 5 voir 6 d'après certaines personnes. J'ai entièrement conscience que je suis un gros lard pas très attrayant, surtout qu'être gros à mon âge (21 ans), c'est relativement rare.. Je sais que si je perdais du poids j'attirerais beaucoup plus le regard des femmes, et plus de respect des hommes. Je l'ai bien vu lorsque j'avais réussi à descendre à 110 je me sentais beaucoup mieux. J'ai bien vu le changement chez les gens, car à l'époque je pesais 75 kg.
Salut Jerome, merci pour ton commentaire. Je te trouve dur avec toi-même. Si je prends mon exemple : oui j'attirais + les regards quand j'ai perdu du poids, mais ça n'a en rien réglé mon problème d'estime de moi. J'étais 2x perdante au final : mon estime de moi n'avait pas changé + je reprenais les kilos perdu (car je compensais mon manque d'estime de moi en mangeant). Voila pourquoi aujourd'hui je veux proposer un travail de fond sur l'état émotionnel : parce que la clé pour se sentir bien avec soi-même et atteindre n'importe quel objectif durablement et sans se battre contre soi-même.
@@ElyaneC Merci pour ta réponse, je ne pense pas être dur avec moi-même, je suis juste réaliste. Moi quand j'avais perdu du poids mon estime de moi avait monté (bien que je n'étais pas mince, mais il faut que j'admette qu'à l'heure actuelle, elle n'est pas au top... Je pense qu'il y a une part de psychologie, en effet, j'ai principalement pris du poids, à partir du moment ou ma mère est décédée lorsque j'avais 16 ans, et que je me suis retrouvé à devoir habiter avec mon père, de plus je suis sous un traitement qui augmente l'appétit, et globalement la majorité des personnes prennent pas mal de poids avec celui-ci... Néanmoins, un homme rond n'est pas attirant, une femme ronde peut l'être. Déjà que de base, je ne suis pas très beau, alors en plus, si je suis gros, ça empire mon cas. Mais il va falloir que je me mette à faire attention, car je fais de l'hypertension, et ce malgré un traitement contre celle-ci, il y a quelques semaines je me réveillais dans la nuit sans pouvoir respirer. Je pense que je faisais de l'apnée du sommeil, je suis également quelqu'un de sédentaire(bien que je pense que l'alimentation fait 70-80% du résultat dans la perte de gras. Le sport en revanche est bénéfique pour se muscler et améliorer sa santé. Après, certains recommandent d'augmenter la viande et de diminuer les féculents, mais je suis végétarien, et je préfère rester obèse que de remanger de la viande et du poisson.
Bonjour elyane, j’ai lancé mon podcast sur l’alimentation émotionnelle (emotional eating with marilyn) et j’aimerais collaborer avec toi.. quel est le meilleur moyen de te contacter en direct?
Hello Marilyn, tu as un insta que je regarde ce que tu fais ? :) Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup de temps avec le programme en cours de création, mais je vais quand même regarder ce que tu fais.
Merci bcp pour ta réponse. Je n’ai pas instagram car je trouve que cette plateforme génère en moi des emotions qui me font manger émotionnellement! Par contre j’ai mon podcast; tu dois juste taper “emotional eating with marilyn” sur n’importe quelle platforme de podcast; et mon site web marilynrafih . Com
Perdre du poids c'est bien mais l'estime de soi c'est bien plus important que la confiance en soi factice. Le plus simple reste de maigrir après ou pendant qu'on fait un travail sur son identité profonde. En tout cas c'est normal de vouloir avoir un poids dans lequel on se sens bien et belle, même si c'est par rapport aux critères de beauté, après tout on peut pas juger celles qui veulent être dans la "norme" de poids, les personnes obèses sont maltraitées et rejetées dans notre société...
Exactement Maéva, c'est exactement l'objectif de mon approche (le développement émotionnel). Travailler sur une vraie confiance/estime de soi, qui vient de l'intérieur, et continuer de poursuivre les objectif qu'on veut atteindre : qu'on atteindre + facilement et durablement :)
Dans ta newsletter quelle ne fut pas ma surprise de lire à la fin " on va voir pourquoi tu retournes toujours à ton poids de départ et quoi faire pour maigrir durablement " ... Je visionne la vidéo et je ne comprends pas comment on peut passer de l'alimentation intuitive et ton programme à ce mail et des vidéos validistes et grossophobes ... Donc pour celleux qui liront mon commentaire quelques précisions ... D'abord le poids d'équilibre est celui que l'on obtient une fois son comportement alimentaire soigné, sans avoir à modifier son alimentation dans un objectif de poids ( prise ou perte ) et sans faire forcément faire du sport. Avoir un état émotionnel serein ne suffit pas à guérir , tout comme l'alimentation intuitive ne suffit pas à retrouver de l'estime pour soi. Il me semble plus pertinent de chercher à déconstruire , la grossophobie pour se libérer du diktat du corps par exemple, de comprendre le capitalisme afin de se libérer du productivisme qui affecte également notre état émotionnel plutôt que de chercher à se conformer à une société ou un idéal de bien être . Partir du principe que l'on peut maigrir durablement c'est penser que maigrir est un objectif à atteindre pour être mieux or c'est tout l'inverse le but serait plutôt d'accompagner les personnes à vivre sereinement avec elles même dans une société oppressive quelque soit leur santé, leurs corps ou encore leur objectifs!
J'ai vraiment apprécié votre commentaire ! Merci pour votre point de vue que je soutiens. 😉👍
Merci pour cette réaction rassurante, je me sentais tellement choquée en découvrant cette vidéo ! Pour moi l'AI est un formidable outil qui ne parle à aucun moment de perte de poids... Pourquoi revenir à cette diet Culture et cette grossophobie pourtant déjà omniprésentes partout? On a besoin de personnes qui déconstruisent ce système d'oppression par leur prise de parole, par leur accompagnement, pas d'une énième personne qui vient apporter de l'eau à son moulin 🥺
Alors oui bien sûr, c'est + facile de parler de perdre des kilos quand la très grande majorité n'a que cette idée en tête mais quand on a adopté l'AI, qu'on l'a fait connaître, avec bonheur, à des centaines de personnes, comment peut-on re-rentrer dans le moule et faire ainsi marche arrière alors qu'on devrait justement pousser encore + de personnes à sortir de cette oppression ??? Ça me dépasse... 😥 Et ça me choque...
@@famillemoser on est plusieurs à avoir cette mauvaise impression. A ne pas comprendre. Je crois qu'il faut juste accepter ce revirement. De son côté, Elyane C. (que je ne connais pas) ne doit pas non plus comprendre nos remarques car dans ses réponses on ressent que ce cheminement lui paraît normal et utile. Bref! A mon niveau, je réponds à certains commentaires de personnes déconcertées afin qu'elle ne se sentent pas seules.
Hello, merci pour ce commentaire détaillé :)
Au fur à mesure de mes vidéo, ma vision des choses sera plus claire mais je vais déjà répondre ici.
"accompagner les personnes à vivre sereinement avec elles même dans une société oppressive quelque soit leur santé, leurs corps ou encore leur objectifs!"
Exactement : quelque soit leurs objectifs.
Y compris "perdre du poids".
Avec le développement émotionnel je veux accompagner les femmes à remettre en question les injonctions ET à travailler sur elles même pour être moins perméables à ces injonctions (qui seront toujours là).
Je veux les aider à travailler sur leur état émotionnel (estime de soi) pour ne plus subir ces injonctions. Parce que je crois qu'une partie du problème est là. Qu'elles se libèrent de ces injonctions, pas qu'elles "se battent contre", parce que tout le monde ne veut pas être militant. Certaines femmes veulent juste vivre leur vie, et perdre du poids parce que c'est plus confortable dans notre société.
Je veux les aider à séparer confort / bonheur.
Sans rejeter l'un ou l'autre.
Je crois que la diet culture rejette le bonheur en disant : bonheur = minceur. Mais je crois aussi que certains discours rejettent le confort et la liberté en disant que maigrir = grossophobe.
Je veux proposer une nuance : détacher minceur et bonheur.
Sans rejeter ni l'un ni l'autre.
Que les femmes soient libre de faire ce qu'elles veulent.
Aussi, je n'accompagne pas les femmes qui ont des TCA, je propose du développement personnel. Pour les femmes qui ne sont pas en guerre contre la nourriture ni dans la restriction, mais qui sentent que leur problème est + émotionnel.
@@ElyaneC Ah bah... J'ai eu un bug sur la dernière partie de votre commentaire... 😳 Vous n'accompagnez ni les femmes atteintes de TCA ni celles en guerre contre la nourriture ni celles qui sont dans la restriction... 🤔 Sans parler d'alimentation intuitive, votre chaîne ne fait finalement que parler nourriture/alimentation (ce n'est pas un reproche) et s'adresse donc à des personnes qui ont une relation hors norme avec celle-ci que ces personnes soient d'apparence mince, en surpoids ou en obésité. Et toutes ces personnes, même sans diagnostic de TCA et sans jusqu'aller dire quelles sont en guerre contre la nourriture, elles entretiennent quand même un rapport particulier avec celle-ci. Donc, au final, je me demande: quel public visez-vous? 🤔 Je suis perdue...
Bonjour, étant moi aussi très surprise par la direction que prend cette chaîne je me permets de recommander une lecture : Anti régime de Christy Harrison. L'autrice y explique notamment très bien en quoi l'utilisation des termes "nourriture émotionnelle", "mangeur émotionnel" et autres, n'est encore et toujours qu'une manière d'alimenter la culture des régimes et la grossophobie ambiante. Votre discours est par ailleurs très ambigu : l'envie de perte de poids n'est jamais neutre. On peut comprendre les raisons qui motivent les personnes qui souhaitent perdre du poids, dans l'empathie et la bienveillance, tout en pointant que ce choix n'existerait pas sans la culture des régimes et essayer de s'encourager mutuellement à lutter contre cette culture. Ce n'est pas aussi parce que vous avez perdu du poids pendant votre parcours d'alimentation intuitive que ce sera le cas de tout le monde (mais le livre que je cite en parle bien mieux que moi : l'autrice y explique aussi que l'on aurait même plutôt tendance à prendre du poids lorsque l'on fait la paix avec son alimentation : et ce n'est ni bien, ni mal).
Bonjour Laura,
Si dans ma vidéo vous y voyez + une méthode de perte de poids qu'une méthode de développement de l'estime de soi : c'est votre vision, pas la mienne. Je vous encourage à lire les commentaires qui ont compris le message de ma vidéo ;)
Vous ne pouvez pas affirmer que la volonté de mincir n'existerait pas sans la culture des régime, ou alors il va falloir le prouver, ce qui est évidemment impossible. Il se pourrait que les gens aient juste envie d'être + mobile par exemple, ce qui les encouragerait à vouloir mincir. Ou il se pourrait que les gens aient juste envie d'être en meilleure santé, ce qui les encouragerait à vouloir mincir.
Allez dire aux gens qui ont eu covid grave que s'ils veulent maigrir c'est à cause de la diet culture. Au bout d'un moment il faut arrêter de nier la vérité pour se donner raison : certaines maladies sont directement lié au poids, c'est un fait.
Est-ce que ça veut dire qu'il faut faire un régime ?
Non et ça tombe bien ça n'est pas ce que je propose :)
Je propose de travailler sur son estime de soi, ce qui ne va pas à l'encontre de "remettre en question les injonctions" (c'est même complémentaire). C'est juste que votre définition d'une injonction est plus large que la mienne : c'est une question philosophique. Ni vous ni moi n'avez raison : nous avons juste 2 visions qui divergent.
La plupart des femmes que j'accompagne ne vont pas aussi loin que vous dans le rejet de la diet culture, et ça ne les empêche pas d'améliorer leur estime d'elle même et leur comportement alimentaire. Selon moi la diet culture ça n'est pas 0 ou 1, c'est un spectre, c'est nuancé. Je le vois dans mes accompagnements en tout cas, dans la vraie vie, avec des vraies femmes. La philosophie c'est bien, mais il faut ensuite la confronter au réel.
Ca ne me parait pas aberrant de dire que quand on ne mange plus ses émotions, on mange moins, et on perd du poids. S'il faut être sur que ça fonctionne sur 100% des gens avant d'en parler, beaucoup de métier devraient faire des warning. A commencer par les psy, ils devraient dire à chaque patient : "attention je soigne la dépression mais c'est pas sur que ça marche". Vous comprenez que ça créé de la confusion dans l'esprit du patient ? Que l'espoir fait partie de la guérison ? et que le patient ira de toute façon voir un autre psy qui sera plus clair.
Votre réflexion tient dans la théorie, mais dans la vraie vie les choses sont plus nuancées. Si une femme commence le travail sur les émotions et se rend compte qu'elle a d'autres choses à travailler, elle ira naturellement vers d'autres pro, voila comment ça se passe dans la vraie vie, et c'est OK.
Vous cherchez une perfection qui n'existe pas.
Une pureté de l'accompagnement, une pureté militantiste.
Je vous invite à vous questionner sur la quête de cette perfection.
@@ElyaneC Bonjour Elyane, merci pour votre réponse. Le fait que mobilité ou santé seraient liés au poids ne sont pas des faits avérés et sont largement discutés tout comme beaucoup de choses liees a la perte de poids et à la stigmatisation du poids. C'est d'ailleurs grâce à vous que j'ai appris tout cela car sans la découverte de l'alimentation intuitive par votre biais je ne me serai jamais documentée plus longuement. Je ne recherche pas la pureté militante, simplement d'émettre une critique sur votre nouvelle démarche mais surtout sur le double discours qui en ressort. Vous dites que la perte de poids n'est pas votre objectif principal mais vos communications renvoient constamment à cela. J'espère sincèrement que les personnes qui suivront votre nouveau programme y trouveront un bien être et ne seront pas déçues d'une perte de poids miroitée qui ne sera peut être jamais atteinte ou ne durera pas dans le temps (et ça ce sont des études pratiques qui le montrent, pas la théorie).
Encore une fois le problème c'est la nuance :)
J'ai été la 1ère à lire le livre et à parler de HAES en France.
Et cette approche ne dit absolument pas qu'il n'y a aucun lien entre poids et santé.
Elle dit juste que résumer la santé au poids est faux : et je suis d'accord avec ça.
Le poids est un facteur de santé parmi tant d'autre.
Vous niez que le poids est directement lié à des problèmes respiratoires comme on l'a vu avec le covid par exemple ? Vous niez qu'une personne en fort surpoids a du mal à monter les escalier (mobilité) ? Vous niez les problèmes d'apnée du sommeil ?
Vous niez des faits.
J'ai fait 15 vidéo dev perso, je parle de poids dans 2-3 d'entre elles.
Je vous expose des faits, vous émettez un jugement. Ca n'est pas une critique, c'est un jugement ("double discours"). Vous avez le droit de ne pas être d'accord, mais si vous me jugez, je vous réponds avec fermeté.
Enfin, l'a.i dit qu'on ne peut pas maigrir durablement via un régime / méthode alimentaire.
Ca tombe bien ça n'est pas ce que je propose. Je propose un travail de fond sur les émotions et les comportements alimentaires. Et surtout l'objectif n'est pas de maigrir, l'objectif est de travailler son état émotionnel et son estime de soi. La perte de poids est une conséquence parmi d'autre dont je parlerai dans mes vidéo, et je n'ai pas honte de le dire.
Est-ce que l'a.i a une seule étude sur la perte de poids et le travail sur les émotions prouvant que c'est impossible ?
Ayez l'humilité et l'ouverture de vous dire que, peut-être, la personne qui a apporté l'a.i en France, a réfléchi et a quelque chose d'intéressant à dire ;)
@@ElyaneC Mais du coup ton approche s'adresse à qui ? Des mangeuses émotionnelles di dimanche sans TCA qui peut de chance d'avoir comme résultante de cette "alimentation émotionnelle" un poids qui entraîne des pb de mobilité ou un Covid grave (fiy ce n'est pas le poids qui a accentué la mortalité des personnes grosses mais l'équipement médical inadapté, ie la grossophobie) ou des personnes très grosses dont le poids ne peut être simplement lié à de l'alimentation émotionnelle car l'obésité est profondément multifactoriel.
Utiliser l'exemple des personnes les plus grosses en caricaturant l'impact du poids sur la santé, agiter le spectre de la mauvaise santé , pour vendre de la perte de poids. Oui c'est grossophobe. Oui c'est de la diet culture et pas en bas du spectre pour reprendre ton expression.
Enfin dire qu'en arrêtent de manger ses émotions on va perdre du poids c'est mensonger. On ne sait pas. Il y a trop de paramètres individuels. Chez un mangeur régulé, les prises alimentaires émotionnelles sont régulés avec les repas suivant. On a moins faim le soir quand on a grignoté toute la journée. Si cette régulation ne se fait pas, il y a de forte chance pour qu'il y ait aussi un problème d'écoute des signaux. Mince si seulement une Therapie mêlait physiologie des prises alimentaires et trvail sur les émotions ! Oh mais wait ça existe et ça s'appelle l'alimentation intuitive mais ça nécessite de rejeter la culture des régimes.
@@ElyaneC Bonjour Elyane,
Effectivement, la nuance est importante, c'est pourquoi je suis étonnée de te voir associer poids élevé et mauvaise santé sans parler des nombreux facteurs confondants. On sait par exemple que dans la population "obèse" il existe davantage de précarité. Également plus de personnes racisées qui subissent nombreuses discriminations. On peut également parler de la grossophobie médicale : soin et matériel non-adapté (par exemple les respirateurs pour le Covid) retard ou défaut de diagnostic, etc. Voici quelques paramètres, autre que le poids élevé en lui-même qui peuvent affecter la santé physique et mentale des personnes de poids élevé. Lien de corrélation n'est pas causalité. De plus, si les gens pensent que mincir est lié à une meilleure santé ou mobilité, c'est aussi lié à des croyances grossophobes. Travailler sa condition cardio-respiratoire ou sa mobilité, va de fait les améliorer. Quelque soit le poids. Pareil pour les marqueurs de santé qui peuvent s'améliorer grâce à l'hygiène de vie globale, sans perdre un seul gramme. (Voir par exemple les travaux du chercheur Benoît Arsenault).
Jusqu'à présent, aucune étude ne montre qu'une perte de poids intentionnelle et durable existe (sauf pour une très petite minorité de personnes). Et d'après toi, aucune étude n'a été conduite avec le travail sur les émotions, mais alors comment peux-tu affirmer qu'en arrêtant de manger ses émotions une perte de poids va s'opérer ? (si on est au-dessus de son poids de forme) Et sur la durée ?
Et pour l'exemple que tu donnes sur la dépression, je n'ai jamais entendu un psy dire que la guérison viendra à coup sûr (mais peut-être que certains disent ça ?) par contre il existe des études démontrant des formes de thérapies plus efficaces contre la dépression...
De plus, pourquoi aborder le travail sur les émotions en faisant le focus sur la perte de poids ? Le focus est fait via tes vignettes RUclips "putaclic", via ta newsletter et via ta description qui ne parle que de cet objectif (c'est plus vendeur) : "Pourquoi on ne pourrait-on pas perdre du poids une BONNE FOIS pour toute ?" Mincir = Bon ? Grossir = Mauvais ? Dans ta communication, tout transparait sur le fait que c'est mieux d'être mince. Je peux totalement comprendre l'envie de perdre du poids, je ne juge pas les personnes, mais au vue de ta communication, comment peux-tu dire que tu es neutre face au poids ? La définition officielle de la grossophobie est : "une attitude de discrimination envers les personnes en surpoids ou obèses". Envoyer le message qu'être mince c'est mieux qu'être gros.se est discriminant et participe à la grossophobie.
Le problème n'est pas de changer d'avis,de vision ou autre....Le problème c'est de se faire payer pour ça... Aujourd'hui, parce qu'on a vécu et résolu un tca,on devient coach.... si tes vidéos étaient neutres ça passerait, mais là tu mets dans le flou toute une partie de personnes et sans jamais te remettre en question en plus....
Je viens de découvrir votre chaîne grâce à la vidéo sur la procrastination (je viens de lancer mon entreprise et suis paralysée par la peur). Votre cœur de métier (la relation à la nourriture) me parle aussi. Jusqu'à mes 26 ans, j'étais très mince/maigre. C'était validé par la société et en même temps j'ai toujours entendu mes parents s'inquiéter. Ils souhaitaient que je prenne du poids. Lorsque j'ai pris 10kg à la suite d'un licenciement, je l'ai bien vécu. Mon mari (de part le regard des autres moins). Depuis, entre des "régimes", les grossesses et allaitement, je fais le yoyo. Je n'ai jamais été aussi ronde et mon mari me trouve très belle comme ça. De mon côté, à présent, je le vis mal à cause de mes vêtements qui me serrent et parce que j'ai peur de monter toujours plus haut sur la balance jusqu'à, comme toutes les femmes de ma famille, finir en situation d'obésité avec les problèmes de santé qui en découlent... Merci pour cette vidéo (je pressentais qu'il y avait une cause émotionnelle). Je m'abonne ❤
Elyane je voulais te remercier pour ton contenu. J'ai commencé l'alimentation intuitive il y a 2ans et demi en decouvrant la chaine de Lava Myriam (que je vous recommande, cest la premiere à avoir parler de ce sujet) puis j'ai vu tes videos et acheté ton livre, vraiment merci pour cet accompagnement et ces conseils tout du long, je n'ai plus fait de crise d'hyerphagie depuis 1 an, et mon esprit est tellement serein aujourdhui ! Tout est dit dans cette video : cest l'esprit qu'il faut travailler pas le corps. Je continue à travailler, tout n'est pas encore resolu mentalement pour moi encore car ça prends du temps, je relis regulierement mes notes apposées sur ton livre qui m'aide bcp, bref un gros merci qui vient du coeur !
Vraiment formidable. Merci de me montrer que c’est possible 🙏
Myriam est génial ! Je suis en train de faire son programme et franchement ça change bcp de choses…
Honnetement je te conseille d'acheter le livre sur l'alimentation intuitive qu'a traduit Elyane, il vaut 20 balles et franchement c'est vraiment un investissement qui vaut le coup : ce bouquin m'a vraiment rassurée et accompagnée (les dames qui ont écrit le livre relate le vécus de leurs patients et clairement j'avais le même problème qu'eux donc tu t'identifie direct, et elles expliquent les conseils qu'elles leur ont donné (les principes de l'alimentation intuitive)). Perso au début, ce fut un gros lâcher prise je mangeais tous les aliments que je m'étais interdits pdt des années (parfois je me suis dit que je devenais folle et que j'allais peser 100kg mais en fait c'est pour faire comprendre à ton cerveau que plus jamais tu ne te privera de ces aliments) et après j'ai appris vraiment à m'écouter (qu'est ce que je veux manger, sentir la sensation de ce que tu manges et l'apprécier, ressentir si t'as encore faim ou au contraire si t'es calée assez vite (y'a des jours où je mange pas bcp car j'ai pas très faim et y'a des jours où je bouffe pour 3 car j'ai la dalle, et bah en aucun cas je vais me juger, j'ai plus du tout de problème avec ça). Après ça reste un processus long, je n'ai pas arrêter de faire des crises d'hyperphagie du jour au lendemain mais le nb de crises a clairement diminué en l'espace d'1 an et aujourd'hui je n'en fait plus (pour cela dès le début il faut se donner la permission inconditionnelle de manger ce que tu veux : perso j'ai grossi au début (ce n'est pas grave, c'est normal, pas de panique) et puis mon corps a trouvé son poids de confort mtn, et franchement l'alimentation intuitive m'a permis d'éviter de tomber en dépression clairement. Franchement lis le livre ;)
Ouais elle est géniale ! dans ces vidéos sur l'alimentation elle précisait bien à chaque fois que ce n'était pas grave d'avoir fait une crise, qu'il ne fallait pas culpabiliser, perso c'est ça qui m'a bcp aidé. Je ne comprends pas pourquoi sa chaîne ne décolle pas...
@@doudoulamarmotte675 je l’ai acheté et j’ai aussi acheté le workbook (mais en anglais).
Je partage absolument ta vision sur l'état émotionnel qui a des conséquences selon s'il est positif ou négatif. C'est exactement ce que ma psychologue spécialisée en TCA m'expliquait lorsque j'ai commencé à me faire suivre. Merci pour ton contenu si précis si juste, et qui fait autant de bien ❤️
Merci à toi Manon pour ton retour
Merci pour cette vidéo qui me confirme mon travail actuel, lorsqu'on a compris cela notre vision sur nous et le monde change. C'est un nouveau chemin a emprunter qui nous ramène à nous et même si ça n'est pas facile il est bien plus sympa que celui habituel. J'aimerais que toutes les femmes qui se devalorisent soient dans ce cercle vertueux mais il n'est pas toujours facile d'introspecter. Belle continuation 🎉🌺
Merci Natacha.
Dis nous en plus, quel travail fais-tu actuellement, avec qui ? :)
Je ne comprends pas la direction que tu prends elyane. Nous parler du yoyo et de l'envie de perte de poids sans mentionner la culture des régimes et le poids d'équilibre c'est pbmatique. Venant de quelqu'un former à l'alimentation intuitive, c'est carrément incompréhensible. Le pb ce n'est pas notre et et émotionnel mais la société. Ta nouvelle approche hyperresponsabilise là où comprendre la culture des régimes libère de la culpabilité que ne bous appartient pas. En outré ta vidéo sous entend que "état émotionnel haut" = mince. Etzt émotionnel bas = gros. C'est grossophobe.
Tout n’est pas société. L’environnement impact l’individu et inversement. Et quand je parle d’environnement, je ne parle pas que de la société mais davantage de l’éducation, des valeurs qui ont été transmises à l’enfant, des expériences de vie, etc. Évidemment il y a des diktats qui viennent générer ou favoriser les TCA mais chez des personnes déjà à risque. Et le travail sur les émotions est essentiel pour gagner en sérénité et aller vers l’acceptation (de ses émotions, de soi, etc) chez des personnes souffrant de TCA.
On ne peut pas changer la société en un claquement de doigt (ça reste important de dénoncer pour autant et faire avancer les choses : on est bien d’accord) mais on peut travailler son regard sur ce qu’elle véhicule et sur ce qu’on veut pour soi
Plusieurs personnes ont déjà fait cette réflexion à l'occasion des dernières vidéos. Certaines se sont probablement aussi désabonnées ce qui est tout à fait compréhensible. En tous cas, je comprends vos remarques. De plus, je trouve complètement hallucinant de faire peser le poids (sans jeu de mots 😅) de l'obésité, du surpoids ou des TCA sur l'aspect émotionnel ou psychologique seul sachant que c'est un problème multi-factoriel. Alors, OK, ça donne une impression de contrôle et peut-être de solution accessible de se dire qu'on a le choix de changer notre état émotionnel parce que le reste on ne peut pas où c'est difficile mais c'est quand même se leurrer!!!
@@lulubellule6372 Je comprends votre point de vue et en effet les TCA, comme tous les troubles, sont multifactoriels !
Je pense qu’ici le but n’est absolument pas de faire comme si le travail seul sur l’état émotionnel suffit puisqu’en effet, ce n’est pas le cas ! Mais il me semble quand même que dans le coaching d’Elyane il y a une nutritionniste et une chouette psychologue spécialisée dans les TCA. Ainsi, le travail prend tout son sens ! Il faut aussi garder en tête que travailler sur l’ici et le maintenant (hors trauma du passé) donne de biens meilleurs résultats que de se concentrer sur le pourquoi de nos difficultés et regarder vers le passé
@@eliora4791 alors, je dirais que malheureusement, même si dans ce coaching il y a effectivement une nutritionniste et une psy (je n'en sais rien, je ne suis pas coachée) ce qui se voit sur la chaîne ne le précise pas! Il faut donc le savoir et je me mets à la place d'une personne lambda qui arrive sur la chaîne parce qu'elle cherche certainement une solution à une difficulté de sa vie et ne sait probablement pas qui est Elyane C. Et encore moins qu'elle propose du coaching d'ailleurs et va juste retenir que le travail sur l'état émotionnel face à un problème de poids c'est essentiel voire une priorité qui peut régler tellement de soucis. Merci pour votre commentaire ! 🙂
Ce n'est pas de l'hyperresponsabilisation, c'est une invitation à chercher plus loin que la société dans le cas où on a une prise alimentaire excessive qui n'y est pas liée. Si vous n'avez (avait eu) ""qu'à"" gérer l'origine sociétale, c'est franchement génial !
Il m'a fallu +10ans pour réaliser qu'une expérience (non sociétale) m'a traumatisé et que je ne l'avais pas digérée. Dès que j'allais être dans une situation similaire je ressentais une grosse angoisse que je confondais avec de la faim. Je mangeais "sereine", confiante en ma régulation réapprise avec l'AI. Je mangeais quand même trop au final - ce qui est ok 🙏 merci l'AI.
Sauf que j'en restais là et l'angoisse finissait par revenir.
J'ai pris conscience de ma confusion et de l'origine première de l'angoisse, ça m'a permis de digérer ce trauma. Depuis quelques semaines j'en suis libre et c'est génial ! Mon état émotionnel a pris un coup de boost.
Je suis en surpoids et j'en m'en fiche complètement grâce à l'AI. Mais j'ai obtenu quelque chose en plus de cette expérience que je n'avais pas encore eu avec l'AI : un état émotionnel de confiance non éphémère qui a décuplé l'écoute de mon corps. J'ai aucune idée où ira mon poids et ma morphologie, mais ça ira (dans le sens aller vers mon état émotionnel car il faut le temps au corps de rattraper l'esprit, que ce soit en prise ou perte de poids).
L'illustration par graphique peut être maladroite. Ce qu'il faut comprendre c'est qu'un état émotionnel qui tend régulièrement vers le bas nous fais sentir inconfortable avec pour réaction possible une prise alimentaire au delà de nos besoins, et qui peut ne pas être pleinement géré même avec l'AI.
Si l'état émotionnel tend régulièrement vers le haut, l'AI s'effectue mieux et le corps va où il doit aller avec moins d'embûches.
Merci beaucoup c'est tout fait ça. Pour ma part ça a été au collège que cet objectif, cette quête du St Graal du poids qui m'apporterait enfin tout le bonheur dans tous les domaines, s'est installé. Et quand j'ai perdu à la vingtaine 20 kg en 3 mois qu'elle déception de m'apercevoir que rien ne changeait et que j'étais toujours aussi peu aimée. Du coup j'ai tout repris très rapidement par dépit.
Bonjour Elyane, je suis un peu surprise de cette vidéo. Je comprends tout à fait ce nouveau chemin sur l’état émotionnel, et je comprends que tu ai choisi d’utiliser un exemple personnel pour l’illustrer. Mais pourquoi ne pas avoir fait un lien avec l’AI, ou avoir choisi l’objectif de faire la paix avec la nourriture ? Pour moi (et pour beaucoup d’autres abonnés de ta communauté j’imagine), notre travail dans l’alimentation intuitive n’est pas terminé. Ce qui implique que la volonté de perdre du poids n’est jamais très très loin dans notre esprit, c’est ce que l’on essaie de combattre justement. La vidéo, la vignette, le titre, le mail que tu nous as envoyé… Cela a été dur à encaisser : pourquoi nous parler de perte de poids, d’objectif à atteindre ? Est-ce que cette vidéo s’adresse à des personnes ayant terminé le processus ? Etant guéri des TCA ? Je ne comprends pas trop. J’imagine que l’intention était tout à fait louable, mais en désaccord avec notre objectif dans l’AI : ne plus se préoccuper du poids. Merci d’avance pour ce retour et tes réponses !
Hello Julie, je comprends ton message et c'est ce que j'ai essayé d'expliquer dans ma vidéo "j'arrête l'alimentation intuitive".
Aujourd'hui je m'adresse à des femmes qui n'ont pas de TCA, qui ne sont pas dans la restriction ni en guerre contre la nourriture. Qui en sont à l'étape "je mange mes émotions".
C'est normal que ce contenu te challenge un peu, je le comprends. A toi de voir si tu es prête ou s'il vaut mieux éviter ces vidéo pour le moment :)
@@ElyaneC Pardon mais l'anecdote du lycée que tu rapportes dénote une grave insatisfaction corporelle, les fluctuations de poids et les régimes extrêmes que tu décris sont un contexte proprice aux TCA, les compulsions sont tu parles et a parlé dans des vidéos en les qualifiant parfois d'hyperphahie, ne sont elles pas des TCA ? Il est sans doute temps que tu definisses ton concept d'alimentation émotionnelle pour qu'on comprenne à qui s'adresse le développement émotionnel et pour qui tes vidéos peuvent être dommageables. Il en va de la santé mentale d'une partie de ta Communauté atteinte de TCA étant donné ton ancien focus sur l'AI et ton focus actuel sur le poids.
Mon focus actuel n'est pas sur le poids.
Je parle principalement d'état émotionnel et de développement émotionnel. Le poids fait réagir une minorité de personnes, mais j'en parle de manière neutre. Ca n'est pas le coeur du sujet. Les personnes concernées se reconnaissent, il suffit de lire les commentaires.
Par ailleurs je trouve déplacé ta façon de questionner mes comportements alimentaires passés. Je ne suis pas psy donc je ne parle pas de TCA, je propose du développement personnel, c'est tout ce qu'il y a à savoir.
Je vous conseille si vous avez un doute, d'aller consulter un psy, et de ne pas regarder mes vidéo si vous avez un TCA diagnostiqué. Ce que je disais déjà avec l'a.i, car je suis coach et pas psy, je n'ai jamais parlé aux personnes ayant des TCA et c'est marqué noir sur blanc sur la page de mon programme.
En quoi est ce déplacé de parler de ton comportement alimentaire passé puisque tu en parles dans cette vidéo et les autres? C'est toi qui décide de parler de ton expérience et de bâtir une thérapie dessus.
Mais peut-être faut il réfléchir à être à la fois plus nuancée et moins ambiguë
Julie j'ai fait moi même le programme d'Elyane qui m'a grandement aidé notamment sur la restriction et la culpabilité, je suis reconnaissante aussi à Elyane de m'avoir fait découvrir l'alimentation intuitive et d'avoir introduit ça en France mais je me sens tellement désolé de la réponse que tu as reçu et de l'encaissement que tu as dû subir ♥️ le programme de l'alimentation intuitive est super mais personnellement si j'ai guéri de mon hyperphagie c'est aussi en m'intéressant à la grossophobie , aux problèmes sociétaux qui ne peuvent être decoreller de ce travail émotionnel étant donné que les troubles du comportement alimentaires sont bien souvent lié à l'émotionnel et que l'émotionnel est lui complètement influencé par nos vies ET la société dans laquelle nous évoluons. Tu as des thérapeutes formidables qui prennent en compte tous ses pans voici leurs noms : Emeline Lecouffe, Zina Mekhbout ainsi qu'Amelie Carlot Chichoux, Zoé Desbouis et Ariane Garcia qui même si elles ont participé au programme d'Elyane ne tiennent absolument pas le discours qu'elle a aujourd'hui.
Mais du coup par rapport à l'AI qui va à l'encontre de l'envie de perdre du poids c'est contradictoire finalement ?
Exactement, et c'est le seul point de divergence : l'a.i considère l'envie de perdre du poids grossophobe. Je ne suis pas d'accord avec ça, ma vision est plus nuancée : je veux neutraliser cet objectif et me concentrer sur l'essentiel : l'état émotionnel.
Je dirais que c'est une divergence philosophique, parce que dans la pratique il y a surtout beaucoup de convergences.
Les femmes que je suis voient ce travail comme complémentaire.
Parce que la question de la grossophobie n'est pas une condition nécessaire au travail sur soi. Et la plupart des gens ne souhaitent simplement pas s'y intéresser :)
@@ElyaneC Mais perdre du poids pour être en dessous de son poids de forme reviens à se mettre en restriction à vie, puisque le corps est programmé pour y revenir. Vouloir perdre du poids n'est pour moi pas forcément grossophobe, chacun ses envies, mais cependant l'AI se détache de l'envie de perte de poids puisque justement majoritairement les pertes visent un objectif beaucoup plus bas que son setpoint. A moins que je n'ai rien compris à l'AI...
Il ne sera jamais question d'aller en dessous de son poids de forme :)
Ok, dans ce cas en effet la perte de poids sera naturelle, mais du coup comment savoir si on est à son poids de forme ? Et s'il est "trop haut" par rapport à son envie ?
Aucune idée 😅 le focus n’est pas le poids, si tu ne manges plus tes émotions et que tu perds du poids : c’est que tu étais au dessus
Merci pour ton partage. Je suis forcément d accord puisque en ayant travaillé en dvp personnel , le mental est indissociable du physique. L un entraîne l autre. C est ce que je compte faire lorsque j airais fini ma formation de coach sportif. Voir le côté des croyances limitantes et pas autre choses.
Bravo en tout cas d avoir etait courageuse comme cela. Il est vrai que tu sembles épanoui aujourd'hui.
Bravo 🎉😉
Merci pour votre partage d'expérience, très bien expliqué.
Depuis quelques années je fais le yo-yo car je passe d'un état motivé a perdre du poids à je ne peux plus ça ne va pas en ce moment je remets à plus tard, je prends les choses à l'envers je devrais arrêter de me dire que je dois perdre du poids pour être bien.
En réalité ça ne marchera jamais si je ne règle pas mes autres problèmes je vais encore prendre du poids et empirer les choses. Ce n'est pas facile de régler tous ces problèmes en même temps et de se donner comme objectif de maigrir ne fait qu'ajouter une difficulté alors que je sais que si je règle mes autres problèmes avant j'irai assez bien pour ne plus penser a manger entre les repas ou manger sans avoir faim pendant les repas car souvent on fuit nos problèmes avec la nourriture et ça ne règle rien.
Bravo pour votre réussite et votre courage
Merci pour ton commentaire Aurélie
Merci Elyane pour ce court enregistrement bien précis ! Je te regards de temps à autre ... je suis très souvent réconfortée après tes propos. Le changement de ton focus ne me dérange absolument pas... tu découvres différentes approches et évolues, ne restes pas esclave de tes recherches et ta vision précédente. Et heureusement ! merci de partager avec nous ton nouvel approche ✌️🤗🤗
Merci pour ton commentaire Pola :)
Merci pour ce partage , histoire de ma vie également . Petite j ai toujours connu ma maman faire des régimes et faire le yoyo également, pour moi cela était normal. Mais non car comme tu dis le problème est plus profond. À bientôt 38 ans je suis fatiguée de faire des régimes pour perdre 2 , 3 kilos pour plaire au autres finalement . Je n ai pas envie de transmettre ce mode de fonctionnement à ma fille , donc j essaye de bannir le mot régime . Pour ne pas reproduire le même schéma que ma mère et moi . Aujourd’hui grâce à des vidéos comme les tiennes et pleins d autres personnes aussi , les esprits évoluent merci 🙏🏼.
Merci pour ton partage d'expérience Estelle :)
Je partage ta vision moi aussi. J'ai un mauvais rapport à la nourriture, dû en grande partie à une mauvaise estime de moi. J'ai expérimenté de nombreux "régimes" et... tout repris et même plus. Maintenant, je ne me focalise plus sur la perte de poids, qui n'est qu'une conséquence d'un mode de vie sain et d'une estime de soi retrouvée, afin que le rapport à l'alimentation change lui aussi. Quant à l'esthétique, cela a beaucoup moins d'importance à mes yeux ; désormais, ce qui me motive plutôt est de rester en bonne santé, la perte de poids n'étant qu'une conséquence d'un mode de vie sain et d'une bonne relation à la nourriture. Merci pour ta vidéo.
Hello Béatrice, c'est exactement ça :)
L'idée n'est ni de rejeter la perte de poids, ni de l'adorer.
Notre bien-être est intérieur, et l'idée est de se développer émotionnellement d'abord pour retrouver une bonne estime de soi. Ensuite pour atteindre les objectifs qu'on se fixe : vie saine, objectif pro et perso.
Super intéressant. Merci pour cette vidéo. Je te suis depuis des années et tes vidéos m'apportent beaucoup.
Top, merci Valentine pour ton commentaire :)
Comme tu me suis depuis longtemps : est-ce que cette nouvelle approche (développement émotionnel) te parle + que l'alimentation intuitive ? Ou tu voudrais que je reparle d'alimentation intuitive ?
@@ElyaneC Je pense que l'approche émotionnelle est importante car l'alimentation intuitive est difficile à mettre en place sans un travail sur ses émotions.J'avais essayé en regardant tes vidéos surle sujet ainsi que tes'journée dans mon assiette' mais c'est difficile d'écouter son corps quand on mange avec ses émotions.Je pense que ta nouvelle série de vidéos peut bcp apporter:)
Très déçue, je ne m'attendais pas à ce type de vidéos de ta part Elyane. C'est assez irresponsable surtout sachant que ta communauté est en grande partie constituée de personnes souffrant de T.C.A ou ayant soufferts de T.C.A , regarder cette vidéo peut faire retomber dans cette pensée qu'on doit absolument perdre du poids et que c'est grave d'en reprendre . Je sais bien sûr que ce n'est pas ton intention d'inciter aux T.C.A mais le titre ou le mais le titre de cette vidéo est par exemple problématique selon moi. (mon message n'est pas haineux je précise).
Hello, merci pour ton commentaire. Je comprends ton point de vue et je te remercie de le partager calmement :)
Je comprends aussi que les titres/miniature soient "triggering" mais le contenu lui est nuancé. Il n'incite pas à la perte de poids, et il ne la rejette pas non plus. J'ai prévu une vidéo sur le sujet du poids et ma nouvelle vision des choses.
Bonjour Elyane,
Existe t-il de bonnes raisons de vouloir perdre du poids ?
Bonn journée à toi.
Bien sur! Après c'est subjectif, ce qui sera une bonne raison pour une personne ne le sera pas forcément pour une autre personne.
Hello Claire, excellente question :)
Je dirais qu'il n'existe aucune mauvaise raison de vouloir perdre du poids.
C'est aussi pour ça que je veux me détacher de l'alimentation intuitive : parce que je me rends compte qu'en disant aux gens de "mettre la perte de poids de côté", ils se sentent jugé et se disent "je suis une mauvaise personne si je veux maigrir".
Ma position actuelle et celle du développement émotionnel (que j'ai inventé donc personne ne pourra me dira ce que c'est mieux que moi xD) est : 0 jugement.
Chacun a une bonne raison de vouloir perdre du poids.
"Maigrir pour plaire aux autres" : ça ressemble à une "mauvaise raison".
Mais si c'est que vous ressentez à l'intérieur aujourd'hui... parce que vous êtes persuadé que c'est ce qui est bon pour vous. Qui suis je pour le juger ? Je peux vous aider à cheminer, mais je dois vous prendre là où vous êtes aujourd'hui.
Ce que je propose aujourd'hui c'est de se rendre compte du vrai problème : état émotionnel. Et de travailler dessus.
Mais je ne veux pas juger ce que vous ressentez. Je veux vous accompagner et si vous changez d'avis pendant le chemin, ça viendra de vous. Et c'est exactement ce que je veux : que vous soyez libre de ressentir et penser par vous-même.
Donc il n'y a pas de "mauvaise / bonne" raison de vouloir perdre du poids. Tout ce que vous ressentez/pensez est OK. Tout :)
@@ElyaneC Je pense que ne pas juger un désir de perte de poids et donner des clés pour y parvenir (même via un chemin de traverse avec du développement émotionnel) sont quand même deux choses très différentes 🙂
Au passage, j'avais vraiment beaucoup aimé ta vidéo sur les people pleaser. Elle est par ailleurs on ne peut plus pertinente dans ce contexte ❤️
@@ElyaneC Peut-être faut-il distinguer l'envie de perte de poids à acceuillir avec bienveillance et à écouter, elle a tant de choses à nous dire! Et l'objectif de perte de poids, qui est à mettre de côté tout simplement car il est dommageable pour la santé et qu'il serait mensonger de faire croire aux gens que tu as une façon de les faire maigrir intentionnellement. Mais peut-être penses tu que ton yoyo était lié à ton et et émotionnel et pas au fait que les régimes ne marchent pas pour tout un tas de raisons phisiologiques avant tout?
Salut Elyane, merci pour cette vidéo, ça m'a créé un petit déclic grâce à ton témoignage de ton objectif ultime de perte du poids = bonheur vs réussir ses études ...etc. Je me rends vraiment compte que c'est toujours un point de blocage pour moi ! J'ai réussi à prendre beaucoup de recul, le regard et l'avis des autres m'importent peu voir presque plus mais j'ai toujours une partie de moi qui pense que perdre du poids = bonheur (bonheur de pouvoir rentrer dans plus de vêtements accessibles dans plus de boutiques, bonheur d'avoir les réflexions des autres plus agréable/qu'on me fiche la paix à ce sujet). Et pourtant ayant accouché l'année dernière j'ai perdu énormément de poids et mon corps à énormément changé donc je relativise beaucoup plus et j'ai surtout réalisé que le corps est en perpétuel changement, que nous n'avons pas réellement le contrôle sur lui.
Mais malgré tout j'ai toujours cette envie de perdre du poids pour être "épanouie", merci de m'avoir fait réaliser ça, j'espère que ça va me permettre de travailler la dessus et de continuer à lâcher prise !!! Merci beaucoup ♥️ !!!
En fait la réalité est nuancée comme tu le dis.
Être mince dans notre société est plus confortable, évidemment.
On peut s'habiller, plaire, etc. Et ça n'est pas mal de rechercher le confort. Par contre on a tendance à confondre bonheur et confort. On pense que mincir va nous rendre heureuse, puis on se rend compte qu'en fait ça ne règle pas notre problème d'état émotionnel et d'estime de nous. Et qu'en plus de ne pas être heureuse mince, on reprend le poids perdu.
Voila pourquoi je veux apporter le développement émotionnel, une approche nuancée pour ne pas confondre bonheur et confort. Pour ne pas rejeter l'un ou l'autre, mais pour faire les choses dans l'ordre. D'abord se sentir bien avec soi-même, et en // poursuivre nos objectifs pour ce qu'ils sont : des objectifs neutres, dont notre bonheur ne dépend pas :)
À cause ou plutôt grâce à un choc émotionnel je me suis reconnectais avec mon corps, ça doit faire un mois, je sais que mon corps à changé quand je me regarde dans la glace et avec mes vêtements par contre je ne sais et ne veux pas savoir combien j'ai perdu et combien je pèse,
Si au cas en allant chez un médecin il me demande de monter sur la balance je lui expliquerai que je ne veux pas savoir et qu'il le note pour lui mais moi je veux rien savoir, pourquoi ??
Tout simplement parce que je fais une obsession de ce poids, l'an dernier quand j'ai commençais l'alimentation intuitive j'étais tout les jours sur la balance et parfois deux fois par jour quand le poids descendais j'étais super heureuse mais pas longtemps car pendant plusieurs jours rien ne bougeait etc.. au final j'ai tout repris et plus même et je me suis complètement déconnecté avec compulsions et cie bref maintenant je ne me prends plus la tête et surtout le poids je m'en fiche ...
Merci pour ton commentaire :)
@@ElyaneC De rien
Je me suis rendue compte que la nourriture ne remplace pas l'amour
Hello, merci beaucoup pour cette vidéo et pour tes videos en général, je trouve super qu’on puisse changer la démarche de guérison des problèmes du rapport avec la nourriture. En effet grâce à tes dire j’ai vraiment pu faire le lien par rapport aux addictions par exemple on arrive facilement à comprendre que d’arrêter la substance ne suffit pas mais la guérison peut être atteinte uniquement en comprenant et en soignant la raison de la prise de ces substances par la thérapie généralement… j’ai la sensation que dans la société on comprends facilement cette démarche alors que pour l’alimentation et la prise/perte de poids la société ne le voit pas du tout de cette manière. Enfin bref, je trouve vraiment tes vidéo pertinentes et elles aident a changer le schéma classique de pensée!
Hello Jennifer, j'espère que la société va évoluer sur ce sujet parce que tout le monde parle de l'obésite, mais personne ne propose de solution réaliste. J'ai retrouvé un cahier où j'écrivais que j'avais l'impression d'être "addict à la nourriture"... ça m'a fait bizarre de relire ça, mais c'est la sensation qu'on ressent.
Hello
J'aimerais beaucoup un développement sur la notion de vide. A quoi on peut le relier, si des événements précis le déclenchent ? Il y a peut-être déjà une vidéo la dessus et je veux bien être orientée vers cette vidéo. C'est bien intéressant de communiquer sur l'état émotionnel. Et surtout, à toutes, toutes celles en bonne santé physique, on le pourri bien fort cet état mental en étant obsédées par notre enveloppe ! C'est double peine !! Hop on s'est enfermées dans notre prison, alors on change nos pensées et on sort : libérées délivrées 🎶😁 et que la vie est belle 🎉
Salut Elodie, très bonne question.
Je serais incapable de dire ce qui avait créé ce vide à la base chez moi par exemple. Ce que je sais, c'est comment le remplir de l'intérieur grâce au développement émotionnel, pour ne plus avoir besoin de le remplir de l'extérieur (nourriture, plaire aux autres etc.).
Je me reconnais à 100%. Une vie passée à faire des yoyo.
Merci 🙏🏻 pour cette vidéo.
Merci de me suivre Alessandra :)
Coucou Elyane
Saurais-tu expliquer pourquoi, à l'inverse, des personnes qui souffrent d'anorexie purement restrictive ne sont pas dans ce schéma et "arrivent" à se restreindre sans tomber dans les compulsions ? C'est un truc que je n'ai toujours pas réussi à comprendre et qui m'interroge beaucoup quand je regarde mon parcours avec les TCA.
Hello Mathilde, super question :)
Alors, je n'ai aucune certitude mais voici ce que je constate en travaillant avec des femmes sur le sujet des émotions.
Il y a 2 profil type qui se dégagent :
1/ les femmes qui sont dans la peur : une émotion qui vous laisse très peu d'énergie pour faire autre chose que "avoir peur". Vous réflechissez tout le temps, vous avez toujours peur de mal faire, de déplaire, du coup vous n'avez pas d'énergie pour "faire". En général ces femmes "mangent pour s'apaiser".
2/ les femmes qui sont dans la colère : une émotion qui vous donne énormément d'énergie pour faire beaucoup trop de choses. Vous foncez, vous êtes hyperactives, l'idée est de s'apaiser en faisant autre chose que "penser".
Dans les deux cas on "fuit" notre état émotionnel. Soit en mangeant, soit en étant toujours occupé à faire quelque chose.
Je dirais que les personnes qui souffrent d'anorexie sont de type 2/, mais "loin" dans le continuum.
Mais ceci n'est qu'une supposition, parce que je ne travaille pas avec les femmes qui ont des TCA, je propose juste du développement personnel :s
La difficulté est de voir la colère, par défaut on rejette notre état émotionnel, donc on ne le voit/ressent même pas.
@@ElyaneC Merci pour ta réponse, c'est super intéressant et en effet je me reconnais bien dans le type 2.
Bonjour Élyane, merci pour tes vidéos qui m’aident beaucoup
Qu’est-ce que tu propose concrètement pour améliorer l’état émotionnel ?
Bonjour Najat, merci pour ton commentaire :)
Je parle de mon approche dans cette vidéo : ruclips.net/video/UgkRLOBoFCs/видео.html
Et je bosse sur un programme détaillé qui devrait arriver bientôt :)
@@ElyaneC merci pour ta réponse
J’ai regardé la vidéo et je suis très intéressée par cette aproche
Je suis sûrement dans la victimisation
J’ai hâte de voir ce que tu va proposer pour passer à un meilleur état d’esprit
Merci encore
Bonjour à tous, et toutes,
alors voilà je suis gros, je pèse un peu de plus 120 kg pour 1m87, et je suis moche, on me note en général 3-4/10 cependant, on me dit parfois que j'ai un potentiel pour monter jusqu'à 5 voir 6 d'après certaines personnes. J'ai entièrement conscience que je suis un gros lard pas très attrayant, surtout qu'être gros à mon âge (21 ans), c'est relativement rare.. Je sais que si je perdais du poids j'attirerais beaucoup plus le regard des femmes, et plus de respect des hommes. Je l'ai bien vu lorsque j'avais réussi à descendre à 110 je me sentais beaucoup mieux. J'ai bien vu le changement chez les gens, car à l'époque je pesais 75 kg.
Salut Jerome, merci pour ton commentaire. Je te trouve dur avec toi-même.
Si je prends mon exemple : oui j'attirais + les regards quand j'ai perdu du poids, mais ça n'a en rien réglé mon problème d'estime de moi. J'étais 2x perdante au final : mon estime de moi n'avait pas changé + je reprenais les kilos perdu (car je compensais mon manque d'estime de moi en mangeant).
Voila pourquoi aujourd'hui je veux proposer un travail de fond sur l'état émotionnel : parce que la clé pour se sentir bien avec soi-même et atteindre n'importe quel objectif durablement et sans se battre contre soi-même.
@@ElyaneC Merci pour ta réponse, je ne pense pas être dur avec moi-même, je suis juste réaliste.
Moi quand j'avais perdu du poids mon estime de moi avait monté (bien que je n'étais pas mince, mais il faut que j'admette qu'à l'heure actuelle, elle n'est pas au top...
Je pense qu'il y a une part de psychologie, en effet, j'ai principalement pris du poids, à partir du moment ou ma mère est décédée lorsque j'avais 16 ans, et que je me suis retrouvé à devoir habiter avec mon père, de plus je suis sous un traitement qui augmente l'appétit, et globalement la majorité des personnes prennent pas mal de poids avec celui-ci...
Néanmoins, un homme rond n'est pas attirant, une femme ronde peut l'être. Déjà que de base, je ne suis pas très beau, alors en plus, si je suis gros, ça empire mon cas.
Mais il va falloir que je me mette à faire attention, car je fais de l'hypertension, et ce malgré un traitement contre celle-ci, il y a quelques semaines je me réveillais dans la nuit sans pouvoir respirer. Je pense que je faisais de l'apnée du sommeil, je suis également quelqu'un de sédentaire(bien que je pense que l'alimentation fait 70-80% du résultat dans la perte de gras.
Le sport en revanche est bénéfique pour se muscler et améliorer sa santé. Après, certains recommandent d'augmenter la viande et de diminuer les féculents, mais je suis végétarien, et je préfère rester obèse que de remanger de la viande et du poisson.
Bonjour elyane, j’ai lancé mon podcast sur l’alimentation émotionnelle (emotional eating with marilyn) et j’aimerais collaborer avec toi.. quel est le meilleur moyen de te contacter en direct?
Hello Marilyn, tu as un insta que je regarde ce que tu fais ? :)
Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup de temps avec le programme en cours de création, mais je vais quand même regarder ce que tu fais.
Merci bcp pour ta réponse. Je n’ai pas instagram car je trouve que cette plateforme génère en moi des emotions qui me font manger émotionnellement!
Par contre j’ai mon podcast; tu dois juste taper “emotional eating with marilyn” sur n’importe quelle platforme de podcast; et mon site web marilynrafih . Com
Perdre du poids c'est bien mais l'estime de soi c'est bien plus important que la confiance en soi factice. Le plus simple reste de maigrir après ou pendant qu'on fait un travail sur son identité profonde. En tout cas c'est normal de vouloir avoir un poids dans lequel on se sens bien et belle, même si c'est par rapport aux critères de beauté, après tout on peut pas juger celles qui veulent être dans la "norme" de poids, les personnes obèses sont maltraitées et rejetées dans notre société...
Exactement Maéva, c'est exactement l'objectif de mon approche (le développement émotionnel). Travailler sur une vraie confiance/estime de soi, qui vient de l'intérieur, et continuer de poursuivre les objectif qu'on veut atteindre : qu'on atteindre + facilement et durablement :)
@@ElyaneC Okay c'est super alors comme approche Elyane! :)
Merci beaucoup ! :)
De rien 😁
Merci beaucoup beaucoup beaucoup
Merci à toi d'avoir regardé la vidéo 😊