🤕 Pourquoi tu manges sans faim
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- Опубликовано: 23 янв 2025
- Heeeeeello 💕
Aujourd'hui on va parler d'auto-sabotage.
Une partie de toi veut manger healthy.
Mais une autre partie de toi ne veut pas.
Une partie de toi veut travailler.
Mais une autre partie de toi ne veut pas.
Comment avancer dans la vie quand on s'empêche soi-même d'atteindre nos objectifs ?
Autant quand c'est une personnes extérieures qui nous freine, on peut s'éloigner de cette personne. Mais quand cette personne c'est soi-même... on a pas le choix de vivre avec soi-même 😅
Alors comment faire pour arrêter de s'auto-saboter ?
Dans cette vidéo on va voir ensemble pourquoi une partie de toi fait tout pour t'empêcher d'atteindre tes objectifs et d'avancer dans ta vie.
D'où vient cet auto-sabotage ?
Est-ce que c'est vraiment de l'auto-sabotage (ou autre chose) ?
Et surtout... comment arrêter de t'auto-saboter pour enfin te créer une vie intentionnelle 😊
Bon visionnage,
Elyane.
![[AVS] Foodfighting. Pourquoi mange-t-on quand n’on a pas faim ? - Ingrid Lemmer](http://i.ytimg.com/vi/M1wzLrzzQAM/mqdefault.jpg)
Une vidéo encore pleine de sagesse ça me fait la même chose avec les bricole sucré et la console de jeux
Bonjour Elyane, je ne sais pas si tu connais l'alimentation intuitive et son pendant français, l'approche psychosensoriel du GROS (Zermati). Ces approches pourraient t'aider à accepter ton "moi intérieur" Et à comprendre qu'il ne cherche en effet pas à t'auto saboter. En effet ces approches nous invite à déconstruire nos croyances alimentaires en challengeant notamment la "police de la nourriture" Qui nous fait catégoriser les aliments en "sains" Et "pas sains". Ces pensées entraînent de la restriction calorique, Categorielle ou cognitive qui nous conduit vers les compulsions que tu décris. Si tu culpabilises de manger ton brunch, pour ton cerveau c'est comme si il n'avait pas exister. La culpabilité empêche la satisfaction et donc le Rassasiement. En deconstruisant cela, en comprenant que la brioche et le Nutella s'ils apportent des choses différentes sur le plan nutritionnel ne sont pas malsains, on finit par ne plus être obsédé par eux (ça prend parfois du temps et on passe souvent par une phase où on en mange bcp). Sans cette anxiété alimentaire permanente, tu verras que ton état émotionnel s'en retrouve grandement améliorer. Après il faut parfois une psychothérapie à côté. Pour en savoir plus, je te conseille les comptes Instagram de Sophia_antidietculture, de thelastquiche (+podcast reset ton assiette), d'amelie.cc.diet, de Zoé Desbouis et Ariane la psy.
Je confirme, Elyane. L'A.I pourrait réellement t'aider, même si ça peut être déstabilisant au début.
Coucou, juste un petit mot pour dire qu'Elyane a littéralement traduit le livre des auteures américaines qui ont "lancé" l'AI.. elle connaît bien ;)
Merci pour ton commentaire qui est un friendly reminder pour moi que je dois sérieusement m'intéresser à tout ça!! 😅
@@manana6646 Je pense qu'Elyane aussi a besoin d'un friendly reminder apparemment 🙃
@@clairenony6011 🤣🤣 je crois qu'elle s'intéresse désormais à une approche plus en lien avec la composante émotionnelle.. j'avoue que la distinction entre les méthodes est floue pour moi mais plus qu'une question d'intuition, l'aspect émotionnel me parle bcp alors ce shift de sa chaîne m'intéresse pas mal 🤓
Heu oui oui elle connaît 😊
Sujet très intéressant et bien traité.
Un grand merci.
Tu es belle, et tu l'as toujours été mais félicitation pour ta transformation physique et personnelle ! C'est inspirant.
C'est très intéressant que tu intègres les émotions à la source des compensations par la nourriture.
En revanche, moi qui suis en psychothérapie depuis bientôt 2 ans, et qui sens un réel changement dans l'intensité de mes émotions, dans la culpabilité que je ressentais très présente, la peur de décevoir, le deuil que j'ai fait de certaines attentes vis à vis de mes parents, ma famille, je me demande par quels outils tu passes pour apaiser ces émotions envahissantes sans aller fouiller dans les émotions enfantines qui viennent créer ces besoins de réconfort, sans démêler les pensées cycliques qui tournent en boucle du fait de ces émotions et qui empêchent de trouver la paix dans sa manière de s'alimenter ? A mon sens tout ça ne peut passer que par un travail psychologique, sans quoi on continue de rester en surface...
Qu'en penses tu ?
Pareil, trois années de thérapie, boulimie non vomitive et beaucoup, beaucoup de temps pour progresser, plonger dans le passé, les souvenirs et les traumas... des hauts et des bas, mais les progrès sont réels et prennent du temps... pas sûre d'un résultat concluant sans thérapie avec une personne professionnelle.
Super commentaire 😊
D'abord je tiens à préciser que ce travail je le propose aux femmes qui n'ont rien vécu (pas de trauma ou autre). C'est mon cas par exemple, et c'est le cas de beaucoup de femmes qui me disent : "je n'ai rien vécu, je ne comprends pas pourquoi j'agis comme ça". Je précise car je ne prétends pas qu'une personne ayant vécu un trauma peut faire ce travail seule, et dans tous les cas je conseille d'être accompagnée d'un psy en parallèle.
Ensuite, clairement il s'agit de travailler sur nos émotions et croyances inconscientes, ancrées, profondes. Qui datent parfois de l'enfance. Et ce travail, on peut le faire seule, en tout cas, je l'ai fait seule. Avec les bons supports on peut avancer, dans mon cas c'était des livres, beaucoup de livres 😊
C'est un travail d'introspection, de reconnexion à notre corps (les émotions sont des sensations physiques), et de mise en mouvement. En soi, rien d'inaccessible.
En tout cas, quand on n'a pas vécu de trauma.
Je conçois largement qu'une personne ayant vécu un trauma ait besoin d'un support, d'une sécurité extérieure pour traverser certaines émotions et souvenirs douloureux.
J'espère que c'est plus clair, et que je ne laisse pas entendre que le travail est "facile" car clairement ça n'est pas le cas ahah. Les avancées sont lentes, mais elles sont sûres parce qu'on fait le vrai travail : pas de retour en arrière possible 😊
@@ElyaneC je te remercie pour ta réponse ! Je suis assez en accord avec le fait que tu proposes ce travail en dehors de traumatismes profonds, et il est vrai qu'on peut avancer seule dans ces conditions, j'en suis convaincue, parfois quelques clés suffisent à débloquer certains mécanismes. C'est sûr que quand on a vécu des événements violents comme c'est mon cas, le cerveau est tellement figé sur des peurs irrationnelles qu'on se retrouve parfois, malgré la volonté d'avancer, dans une impasse hors de contrôle et terrifiante, comme je l'ai vécu il y a 2 ans, et ce n'est que par la thérapie que j'arrive peu à peu à faire redescendre l'intensité de ces émotions péjoratives qui me traversent, par des techniques comme l'emdr précisément utilisée dans le cas de traumatismes, qui marche très bien sur moi
Coucou, merci pour cette vidéo. Tu es à nouveau dans le mille. J'ai hâte de voir les prochaines.
Et, rien à voir, mais... j'adore tes lunettes !! Peux-tu me dire d'où elles viennent ?
Merciii
Super intéressant comme façon de présenter les choses. Merci Elyane :)
Merci à toi pour ton commentaire Valentine 😊
Bonjour Éliane, j'espère que tu vas bien. Tu as tout dit dans cette vidéo. C'est fou à quel point tes explications sont claires, tu es pausé c'est tellement agréable. Ça m'a interpellé ce sujet pourquoi lutter contre ce qu'on est. L'accepter s'adapter et plus pertinent merci pour cette vidéo. Juste un petit mot tu es tellement apaisante j'ai regardé toutes tes vidéos et ta voix ta personnalité tout je pourrais t'écouter pendant des heures. Bonne journée à bientôt.
Je ne sais pas, comme je l'ai dit j'ai regardé pas mal de vidéo. Elyane parle toujours de la même manière, elle a toujours se ton de voix même dans ses vlog. Donc je ne pense pas que s'est calculé ou sur joué à un moment le naturel reviendrais. Il en faut pour tout les goûts tant mieux si tu as trouvé la personne qui te convient avec Esther. Bonne journée
@@undépart ce besoin de dénigrer quelqu'un me surprendra toujours...
@@undépart Nous parlons lentement en Suisse (même débit qu’Elyane) et nous ne sommes pas des demeurés. Commenter le contenu, le fond, je comprends bien mais la manière de parler donc la forme, ça ne vole pas très haut et n’amène rien.
@@undépart apprenez à faire la différence entre critiquer une pensée, une idéologie, une idée, et denigrer une personne dans ce qu'elle est intrinsèquement, ce que vous faites ici...
@@undépart juste faudrait pas oublier qu il y a un être human derrière que vous ne soyez pas d accord est une chose mais juste le respect sa s apprends, derrière votre écran il y a un humain derrière avec des émotions tout comme vous . Merci belle journée à vous
Tellement intéressant merci
Merci à toi 😊
🙏🏻🥰🌹Merci.
Bonjour Elyane
Merci de mettre en mots quelque chose qu'intuitivement je ressentais sans vraiment l'identifier. C'est ça, je mange après une mauvaise journée, au moins j'ai une "explication", mais je mange aussi après une bonne journée???? Un gros travail d'introspection en perspective. Bon dimanche
Merci pour ton commentaire Hélène 😊
Faire ce travail c'est vraiment se faire un beau cadeau, se mettre en priorité pour avancer dans notre vie.
Cette vidéo, je pourrais la faire, et cela mot pour mot, je comprend tellement... Alors merci !
Merci pour ton commentaire Nadia 😊
Moi aussi ce sujet des émotions inconscientes me passionne ! Et pour replacer ça dans le cadre d'un parcours en alimentation intuitive, c'est marrant comme pour certaines personnes c'est un travail qui va pouvoir rester vite fait en surface, et pour d'autres c'est le plus gros morceau de la thérapie.
Je suis en train de me documenter à fond là-dessus, et même si en général je ne suis pas fan de classer les gens en 2 groupes car c'est souvent trop simpliste, j'avoue que j'aime bien la division que fait Geneen Roth entre les Permitters et les Restrictors. Tu connais ? Les restrictors vont avoir plus besoin de bosser sur la restriction physique et cognitive, ça va leur prendre plus de temps et demander plus d'efforts, et les permitters vont avoir le plus de pain sur la planche côté perception des pensées inconscientes profondément ancrées qui vont générer un mal être diffus qui pousse à manger pour apaiser tout ça (sans succès).
Je reste malgré tout perturbée par ces nouvelles vidéos depuis que tu as arrêté l'AI pour aller davantage vers le dev perso. Au-delà de la mise en avant de la perte de poids comme objectif possible, que je ne peux cautionner, ça me fait vraiment tiquer que tu ne fasses plus jamais mention, même en passant, du rôle de la restriction dans les compulsions et autres envies de manger sans faim. En fait ça me gêne parce que les viewers qui n'ont pas regardé les anciennes vidéos ne vont pas avoir une vision globale du problème. D'ailleurs j'avoue que je reproche un peu la même chose aux personnes spécialisées dans "l'alimentation émotionnelle".
Voilà, c'est juste mon avis, mais j'ai à coeur d'intégrer ce sujet dans le contexte global de l'AI, car c'est justement quelque chose qui manque un peu dans la communauté. C'est pour ça que je me forme là-dessus car accompagner uniquement sur la permission inconditionnelle de manger ne me suffit pas.
J'ai hâte de voir ce que tu as à dire sur le travail émotionnel en profondeur ! Keep up the good work!
Hello Un Chat Noir, merci pour ton commentaire et les info que tu apportes :)
Merci Elyane pour cette vidéo ! Cest très intéressant la manière dont tu abordes les choses. J'ai moi même souffert de boulimie, d'anxiété et d'un toc peu connu (la dermatillomanie) et ai donc fait un long chemin sur moi même pour m'en sortir. Tout ce que tu décris est juste, on retrouve notamment le concept de "bénéfices secondaires" qui font qu'on continue un comportement qui nous dessert même si on a la sensation que consciemment on ne veut pas le faire, parce qu'en fait au fond (plus inconsciemment) on en retire des bénéfices et on en a BESOIN (meme si on ne veut pas se l'avouer). Ta conclusion est finalement d'arriver à apaiser son état émotionnel de FOND pour ne plus avoir besoin de tous ces refuges qu'on met en place. Mais pour moi, le fait d'apaiser son état émotionnel est un travail psy (doublé de pratiques plus spécifiques comme le massage, l'eft ou l'energetique pour faire circuler les énergies). Car finalement qu'est ce qui crée cet état émotionnel troublé ? C'est un probleme de confiance et d'estime de soi qui remonte souvent à des trauma (vécus comme tels, quels que soient leur gravité), mais aussi à une façon troublée de percevoir le monde. On intériorise le fait de devoir être fort, montrer une image parfaite, ou correspondre à un moule donné par la société car on n'a pas la confiance nécessaire pour incarner notre propre moule. Et pour y remédier, les psychologues et psychiatres apprennent énormément de techniques basées sur des études et sur notre fonctionnement neuronal pour deconstruire tout cela. De ton côté, comment vois-tu l'accompagnement pour changer l'état émotionnel d'une personne sans avoir une approche "thérapeutique"? Tu resterais sur des concepts assez basiques pour booster sa confiance en soi, accueillir les émotions, apprendre à se connaître, etc ?
Hello Camille, super commentaire 😊
Des outils existent pour faire ce travail de fond sans faire ce que tu appelles un travail "psy". (je précise encore que je parle de personnes n'ayant vécu aucun trauma au sent premier du terme).
Je vais prendre l'exemple de la pleine conscience.
Outil que les psy commencent tout juste à utiliser. Accesible et documenté dans des livres écrit par des psy depuis très longtemps.
En réalité, il y a beaucoup d'outils accessibles, mais qu'on ne comprend pas. J'ai galéré à les comprendre, je les ai utilisé moi-même (je n'ai jamais vu un psy) et je veux vulgariser ces outils, pour les rendres plus accessibles : parce que je ne pense pas être une exception ou un miracle ahah.
Voila pourquoi je parle de "développement émotionnel".
Voila pourquoi je parle de concept "de fond".
Parce que je ne vais pas vous faire le coup du dev perso de surface et des concepts basiques. Ces trucs là ne m'ont pas aidé, je vais vous partager ce qui m'a aidé 😊
Bonjour c'est très instructif, moi j'étais une grande anxieuse au boulot, stress que je ramenait chez moi,ruminations, peurs, angoisse, je mangeais tout et n importe quoi tellement j'était mal dans ma peau, je ne prenais pas un gramme, même j'ai perdu du poids avec cet état anxieux, j.avais l'impression de me saboter la santé, chips,coca, chocolat,plats gras et calorique pas un gramme, par contre à ce jour je suis en retraite et jai repris mes kilos car oui plus de climat anxiogène, il faut que je fasse un rééquilibrage alimentaire car du coup je n ai plus mon stress pour brûler toutes les cochonneries que je mange 😏
Bonsoir Elyane !
Je t'ai découverte pendant le confinement. Et à l'époque ton contenu avait résonné en moi avec beaucoup de puissance. Tu avais changé mon regard sur l'alimentation. Quand tu as édité le livre de l'alimentation intuitive et que je l'ai lu pareil. Mais aujourd'hui je ne me retrouve plus dans ton contenu. Je pense qu'il s'adresse à moi car je mange mes émotions (l'ennui, le vide notamment, la fatigue, la lassitude) mais pourtant je ne comprends pas ton propos. Ce que je comprends de cette démarche c'est qu'il faut avoir un état émotionnel haut pour arrêter de manger automatiquement et donc manger moins / manger sainement. Il n'y a pas de mal à vouloir enlever son état émotionnel pour le faire passer de bas à haut (qui ne voudrait pas passer de la résignation a la sérénité?). Mais je ne comprends pas pourquoi lier cette démarche à la perte de poids et l'alimentation avec autant d'insistance. N'y a t-il pas d'autres signes d'un état émotionnel bas ? Un sentiment comme l'ennui, la perte de motivation, l'irritation etc. N'y a t-il pas d'autres bienfaits d'un état émotionnel haut que de moins manger / manger sainement / perdre du poid comme un rapport aux autres plus appaisé, plus de confiance en soi etc. Alors pourquoi focaliser un travail sur l'état émotionnel (que j'imagine plutôt global sur tous les éléments de la vie) au fait d'avaler de la nourriture en excès ou non ? N'est-ce pas réducteur ?
Je te souhaite une belle soirée.
Hello Charlotte, merci pour ton commentaire 😊
Je vais commencer par le "pourquoi", pourquoi je parle de manger sainement et de perte de poids ouvertement (sans en faire le centre de mon propos). Parce que potentiellement 1 million de femmes sont concernées en France. Que ces femmes sont sur RUclips, et que ces femmes ne connaissent pas l'alimentation intuitive. Elles n'en sont pas du tout où tu en es aujourd'hui, elles cherchent des moyens de perdre du poids et de manger sainement. Et je me dis que si elles tombent sur mes vidéo, elles vont prendre conscience du vrai problème (état émotionnel) et s'y intéresser sans se sentir rejetée. Parce que oui les femmes se sentent rejetées par le discours de l'a.i sur la perte de poids. Nuance warning : je ne dis pas que l'a.i rejette ces femmes, je dis qu'elles se sentent rejetées par l'a.i. Et donc le résultat est qu'elles se détournent de l'a.i et n'entendent jamais le message, aussi louable soit-il.
Ensuite, je t'invite, si tu le souhaites bien sur, à t'interroger sur ta propre perception de mes vidéo. J'ai le sentiment qu'après avoir fait l'a.i et rejeté la diet culture pendant longtemps : on la voit partout et on veut l'éviter à tout prix. Mais est-ce ça la guérison ? Est-ce l'évitement de tout ce qui nous trigger ? Ou est-ce au contraire ne plus être trigger ? Voila pourquoi j'ai ce nouvel angle, plus neutre, qui vise à vous emmener vers la neutralité, même si vous n'y êtes pas encore.
Et je précise, je propose cette approche de neutralité, mais si tu estimes qu'il faut être anti-diet culture et que ça te convient mieux comme ça, ou que tu ne partages pas la même définition de "guérison" que moi : c'est OK. Il n'y a pas UNE définition de "guérison", chacun choisit la sienne finalement, celle où il se dit : c'est bon je suis bien.
@@ElyaneC Merci d'avoir pris le temps de me répondre. Je comprends mieux ton discours :) j'espère que tu parviendras à aider ces femmes avec ce travail sur les émotions, comme tu m'as aidé avec l'ai !
Bonjour, sujet sûrement intéressant mais au bout de deux écoutes je reste dans le vague. Ce que tu essaies de dire c'est qu'il faut mettre des mots sur ses émotions et faire avec ? Si oui, tu fais quoi de ça après? Merci
Bonjour Elyane, je crois qu’il y a encore plus de nuances que cela, que ce n’est pas forcément que manger en dehors d’un repas, ce ne sont pas forcément que des choses diabolisées, ça peut-être aussi aller au delà de sa satiété, qlq soit le contenu, pour ressentir ou fuire, ou amplifier une émotion positive. On parle bcp de nourriture doudou, synonyme de réconfort mais je crois que c’est aussi et surtout une réponse automatique qu’on vient mettre au bout d’un besoin quelqu’il soit (tu en avais parlé). Donc l’état émotionnel peut être bon et pour autant déclencher aussi un besoin de ne pas s’arrêter de manger. L’auto sabotage, si si, il est parlant ce terme, parce que dedans moi j’entends « punition » du corps qu’on n’aime pas, du comportement qu’on voudrait autre, et conflit car il existe bien, entre vouloir une chose et son contraire. Manger sainement, faire du sport, pour bcp ce sont des actions liées à la perte de poids, et à un moment si on « sabote » juste ces deux choses plutôt censées, peut-être une des questions serait « est ce que toutes les parties de moi ont envie de perdre ce poids »?. D’où les 2 personnes à l’intérieur…une qui voudrait, l’autre qui bloque et qui donc ira à l’encontre des « comportements sains » à avoir avec l’alimentation et ce qui l’accompagne.
Hello, effectivement la nourriture doudou peut aussi avoir lieu pendant un repas, surtout pour les personnes qui se retrouvent rarement seules. Et la nourriture doudou peut aussi avoir lieu suite à une émotion positive. Voila pourquoi je sépare bien émotion / état émotionnel. L’état est latent, on ne le voit pas, mais globalement on sent un « mal être ». Il se traduit par une incapacité à vivre ses émotions (positives et négatives). C’est ce mal-être latent, ce manque d’estime et de confiance en soi, qui nous fait manger. + que l’émotion en elle même, qu’on ne veut pas ressentir sur le coup.
Moi je trouve ça hyper intéressant mais je ne sais pas comment travailler à accepter cette part de moi ...
Hello Julie, je te rassure c'est normal d'être perdu face à ça parce que ça n'est pas une mince affaire. Il ne suffit pas de dire "je l'accepte" comme on pourrait l'entendre dans la vidéo ahah, ici je résume en fait le travail que j'ai fait sur moi, et que je vais vous proposer dans mon programme/accompagnement sur le développement émotionnel :)
@@ElyaneC ah top, une nouvelle coach autoproclamée, ça manquait. Le développement personnel est saturé ? L'alimentation intuitive pas assez sexy? Faisons du développement émotionnelle, avec comme seule expertise sa propre expérience... 🙄👌 pathétique...
Bonjour Elyane, ça me parle beaucoup ton approche sur l'état émotionnel, quand ton accompagnement sera disponible ?
Hello Sabine, le programme devrait arriver en Septembre, et l’accompagnement l’année pro 😊
Très intéressant même si l'aspect nourriture n'a plus d'intérêt je pense...! personnellement je m'en fiche mnt (grâce à vous entre autre ^^) de manger parce que je ressens une émotion... de grossir de pas grossir de gérer quoi que ce soit autour de mon alimentation... et je m'en porte bien mieux. Mais je trouve quand même que votre démarche peut apporter bcp pour supporter la dite émotion parce que effectivement une fois le processus de l'a.i terminé on s'en fout de manger pour calmer une émotion mais le problème c'est que justement ça ne la calme pas et on s'en rend compte puisque la nourriture a perdu cet aspect la dans notre cerveau et cest assez frustrant en fait ... bref je crois que j'ai ENFIN plus ou moins compris votre démarche 😅
Tu as tout compris 😍
Merci pour ton commentaire
"une fois le processus de l'a.i terminé on s'en fout de manger pour calmer une émotion mais le problème c'est que justement ça ne la calme pas"
Je vois ce que tu veux dire, c'est vrai que la permission inconditionnelle de manger ne suffit pas. Mais justement, cette permission n'est qu'une étape dans le parcours d'AI, le travail n'est pas fini ! 😄
L'acceptation des envies de manger est une étape nécessaire et déjà elle peut réduire ou même supprimer les compulsions, quand la restriction physique et/ou cognitive était seule responsable de ces compulsions. Mais si arrivée à ce stade la nourriture est encore le seul recours pour réguler toutes ses émotions conscientes, et si on ressens encore très souvent le besoin de manger sans faim sans savoir pourquoi, la suite du parcours AI c'est justement le travail émotionnel. Ça fait partie du principe 7, gros gros morceau de la thérapie.
Après, ça demande des compétences pour la personnes accompagnante. Et comme dit Elyane, quand il y an notamment trauma, il faut être formé pour ça. Mais ça ne veut pas dire qu'on sort du cadre de l'AI.😊
@@unchatnoir totalement d'accord c'est pour ça que quand je dis que ça n'a plus de rapport avec la nourriture je sous entend que ça n'a plus de rapport avec la perte de poids. J'ai mis ce commentaire car ça fait des plombes que je m'interroge sur le revirement d'Elyane et que j'essaye de comprendre pourquoi elle parle de perte de poids ça je ne l'ai toujours pas compris mais malgré tout ce travail sur les émotions m'intéresse car il est plus poussé que la partie sur les émotions que j'ai pu lire dans le cadre de l'alimentation intuitive. Donc disons que j'étais ravie d'avoir enfin trouvé une forme de justification à tout ça et au final même si je ne suis pas d'accord avec elle sur l'aspect perte de poids qui je trouve est un peu mis en avant je suis quand même intéressée par ce qu'elle propose ^^
J'ai commencé la boulimie à 13 ou 14 ans en rentrant de l'école quand personne était là... Je pense que je vivais mal la solitude et l'ennui ( trigger) en fin de journée d'autant que j'étais déjà solitaire au collège. Ca s'est intensifié à 16 ou 17 ans quand mes parents se sont séparés. Ca fait plus de 20 ans déjà, j'ai arrêté de me faire vomir et de me culpabiliser à 27 ans car j'en avais marre de me détester et de détruire ma santé. J'avais constamment l'air malade. Aujourd'hui, je le vis mieux mais ça reste pas simple car j'ai encore des crises d'hyperphagie mais bien moindre et un problème d'obésité. Ayant une conscience fine de tout les causes de mes névroses, j'ai testé tellement de chose : la psychologie, l'alimentation intuitive, la thérapie médicamenteuse, l'hypnose, l'acuponcture, la naturopathie, la micronutrition, le sport, la médiation, le yoga, la somatologie, les endocrinologues et beaucoup beaucoup de livres... Il y a eu un mieux c'est un indéniable mais je sus arrivée au constat qu'à la veille de mes 40 ans il y a pas une solution à nos problèmes comportementaux mais des alternatives à découvrir et qu'ils sont propres à chacun. C'est le parcours d'une vie pour trouver la paix en soi et bien être dans son corps, j'espère ne plus en être très loin
Pareil 😄
Il faut se laissé aller, maintenant je ressens moins la culpabilité sur ces envies, je réfléchis quand j'ai envie de manger est ce que j'ai faim? Ou j'ai envie et pourquoi cette envie maintenant ?
Merci pour cette vidéo 🙂
Merci pour ton commentaire 😊
Bonjour Élyane,
Allez une petite vidéo à la fraîche….
Bon plusieurs choses :
- manger sainement / brioche + nutella ou chocolat = mais non ! C’est faire revenir la police de la nourriture ca ! C’est faire revenir le « bon » et le « mauvais ». Donc là je dis un gros NON ! On a trop galérer pour s’enlever de la tête ses pensées de restriction cognitive pour y revenir ! Donc NON !
- tu as une envie de manger lors du départ de ton chéri malgré la bonne journée. Et tu dis ne pas savoir d’où ça vient… ben du départ de ton chéri qui a provoqué chez toi une vive émotion (parfois ressentie de manière inconsciente)…. Les blessures d’abandon sont difficiles…
- pour moi, ce n’est pas de l’auto-sabotage, c’est juste qu’à ce moment là on n’a pas d’autres moyens de faire face à une émotion. Donc c’est ok.
Comme je l’ai déjà dit sous ta vidéo de la semaine dernière, l’idée n’est pas de rejeter en bloc cette façon d’y faire face ou encore moins cette émotion ou état émotionnel pour reprendre ton expression. L’idée serait plutôt de trouver « à froid » une autre façon de faire, un entraînement en quelque sorte. Oui c’est dérivatif mais c’est quoi finalement la façon « normale » de vivre ses émotions ???? Peut être que pour moi la normalité est de me recentrer, de méditer, de faire de la cohérence cardiaque…. Ou même de manger ce twix de manière apaisée et sécurisée… et c’est ok !
Nous n’avons pas du tout besoin de se juger, de se culpabiliser en se disant qu’on vit « mal » les choses. On a besoin d’être dans l’acceptation, dans la paix…
Pour le coup je te rejoins sur le lexique « lutte / combat ». Je déteste ça. Pour moi on s’accompagne, on chemine, on se traite avec respect et bienveillance comme on le ferait avec un ami…
C'est OK de faire une chose avec laquelle on ne se sent pas alignée ? Ou ça doit l'être pour ne pas ressentir de culpabilité ? Ce qui compte est-ce que ce n'est pas de vivre en accord avec soi ? On peut tout à fait très bien vivre le fait de manger un twix dont on a pas ressenti l'urgence de l'avaler pour combler autre chose, juste une envie de twix pour se faire plaisir, l'émotion n'est pas du tout la même.
Quand on mange un twix en conscience parce que ça nous procure un réel plaisir, il n'y a pas de raison de modifier cela, en revanche si on le mange alors que ce n'était pas vraiment ce dont on avait envie mais on le mange par une pulsion incontrôlable qui nous laisse insatisfaite....c'est là qu'il y a quelque chose à fouiller dans nos émotions...
Personnellement je mange régulièrement des gâteaux et le plus souvent je les mange en me sentant en paix avec moi-même. Mais il arrive que je me sente frustrée par des événements, des pensées qui alimentent un ressenti se mal-être, et je vais errer dans la cuisine et finir par manger ces mêmes gâteaux dont je n'ai pas une réelle envie mais que je vais utiliser dans l'espoir qu'ils apaisent un peu ces émotions qui m'empoisonnent.
Je ne trouve pas que ce soit "ok" de simplement accepter cela, parce qu'au fond on n'a rien résolu, on a juste fait avec, on a diminué le sentiment de culpabilité, ce qui est un premier pas indispensable, mais on n'a pas résolu le problème de fond : le sentiment de mal-être qui a conduit à se servir de ces gâteaux comme un palliatif
@@ceciliaramenesafraise je pense que tu as mal lu mon comm.
Je n’ai pas parlé de compulsion mais de manger ce twix de manière apaisée et sécurisée (et on y arrive pas en un jour).
Et comme je l’ai dit, c’est le moyen que l’on a « à ce moment là », mais ça ne veut pas dire qu’on le fera toute sa vie comme ça…
@@SoniaSonia-hc9bm donc on est d'accord sur le fait que dire c'est OK n'est pas suffisant, et c'est bien ce que dit Elyane, elle ne dit pas que ce n'est pas ok, mais qu'il faut affronter l'émotion sous jacente de la compulsion pour ne pas répéter inlassablement la compulsion
Hello Sonia,
"@Je parle toute seule" a déjà très bien répondu à ton commentaire 😊
J'ajoute juste une remarque, quand tu dis :
"Oui c’est dérivatif mais c’est quoi finalement la façon « normale » de vivre ses émotions ????"
Il n'y a pas de bonne/mauvaise façon.
Ni de façon "normale/anormale".
Je dis juste qu'il y a un état émotionnel serein vers lequel tu peux évoluer et qui te permet de vivre ces émotions sans effort particulier, sans "stratégie dérivative".
Si cet état t'intéresse : c'est le travail que je propose (développement émotionnel).
C'est ce que moi j'ai fait.
Parce que je n'avais pas envie de passer ma vie à faire de la cohérence cardiaque : je voulais être capable de vivre la vie et de faire face à mes émotions naturellement, intuitivement, sans effort (comme mon mari par exemple).
Si tu préfères t'entrainer, te recentrer, méditer, c'est OK.
Peut-être qu'un jour tu te sera assez entrainé pour vivre tes émotions sereinement, c'est ça l'idée si je comprends bien ?
Je n'ai pas fait cette approche donc je ne sais pas.
J'espère que la différence entre les 2 approches est plus claire, car j'ai l'impression que c'est ça qui n'est pas clair, j'en ferai une vidéo je pense 😊
Moi je me suis posé une question, "est-ce que c’est grave ??? " parce que l’idée d’auto sabotage c’est culpabilisant, du coup j’ai des envie pas franchement logiques et changeantes en plus, et je fais avec, j’ai tellement de restrictions médicales que je mange et bois du sans ..... mais alors du sans tout, je suis même obligé de boire une eau très riche en sodium pour faire remonter ma tension, alors si le soir j’ai envie de chips, va pour les chips 😊 , je sais très bien que mon corps n’a pas faim mais je calme ma tête, parce que zut, flûte,... on peut pas toute sa vie se poser des questions sur tout, c’est chronophage, stressant, culpabilisant, et je sais par expérience que la nourriture doudou sera remplacée par un autre doudou ( terme sympa pour parler d’addictions... ) parce que faire des puzzles toutes les nuits ça sert à rien non plus, c’est du vécu, une fois qu’on s’accepte avec ce genre de besoins pas rationnels et qu’on trouve le bon psy pour régler tout le reste ça va beaucoup mieux 😊 bon dimanche à tous
Merci pour ton partage d'expérience Emmanuelle. 100% d'accord avec toi sur le fait que, si on est OK avec notre comportement, alors on n'a aucune raison de vouloir le changer 😊
Ce travail est fait pour les personnes qui se sentent bloquées par ce comportement (nourriture doudou). Parce que ça les empêche d'aller vers une vie plus intentionnelle, d'atteindre leurs objectifs de vie.
Tu ferais une incroyable psychomotricienne 🥰
Merci pour cette vidéo
euh, non, n'insultez pas la profession de telle manière s'il vous plaît!!!
Ahah merci pour ton commentaire 😊