Merci d'avoir expliqué cette histoire de la lactate moi je suis plutôt dans le palier numéro 2 je fais du HIIT et ce serait le plus efficace pour brûler le gras oxydée les graisses de l'endurance fondamentale finalement il me renseigne comment prendre soin de sa mitochondrie en faisant du jus de cerise🎉❤❤😂🎉🎉😢😢
Salut Sean, Est ce que tu pourrais faire une vidéo ou tu parles plus précisément de la zone 2. En particulier pour le cyclisme les avantages et les inconvénients de travailler en bas de Z2 ou en haut voir un peut au-dessus du 1er seuil. Merci d'avance, continue comme ça
Merci pour la vidéo ! J ai trop hâte de voir le podcast. Pour ce qui est de la production de mitochondries en fonction du seuil, peut être que le niveau de l athlète module la zone d entraînement au sens où, comme le disait Tristan d ailleurs, beaucoup d athlètes élites font leur volume en dessous de 1er seuil.
Merci pour cette mise à jour. Certains auteurs, je pense au Dr Andy Coggan notamment, parlent d'une zone appelée "sweet spot" située entre la zone 3 et 4 (modèle à 5 zones) où les adaptations seraient maximales avec, entre autre un accroissement des enzymes mitochondriales. Personnellement je comprends que cette zone est "payante" pour maximiser les adaptations à l'entraînement. Mais avec la généralisation du modèle polarisé on évite maintenant le travail dans cette zone. Alors certes, je pense que pour les sports comme le crossfit où on evolue fréquemment en zone 4-5, il est bon d'équilibrer avec de la zone 2, mais dans des sports plutôt aéro (cyclisme, course longue ou triathlon) je pense que la zone 3-4 est plutôt intéressant à explorer et réhabilite en partie, à mon sens, le modèle pyramidal. Dernière question, est ce à dire qu'un fort taux de lactatemie empêche un haut niveau d'adaptation mitochondriale ? Merci pour ton travail, je suis fan ! 😉
Salut Sean heureusement que j'étais bien assis😂 ensuite, il y a un cadre, un contexte du sportif et de la façon dont il le pratique sur le dev mito - comme tu le dis, les cross fitteurs font de la haute intensité, alors peut etre que pour eux, faire du vélo au dessus du seuil 1 pourrait engendrer plus de fatigue vs faire en dessous du seuil 1. C'est un savant mélange, subtile à trouver
Salut Sean, et merci pour le partage de tes réflexions. Question récup/nutrition qui n’a *rien* à voir mais qui m’est venue ce matin en fin de sortie longue à vélo : y a-t-il à ta connaissance consensus sur le bon moment pour commencer à s’alimenter en protéines - pendant, en fin, juste après l’effort ou avec quelques heures de délai ?
Bonjour, zone 2 ou sweet spot? L'un engendre peu de fatigue mais nécessite de gros volume, l'autre implique plus de stress donc à adapter mais des progrès plus rapide. Ou comme le monde n'est pas tout blanc ou noir. Zone 2 et sweet spot. J'aimerais bien avoir ton retour sur ce sujet. Sportivement
On ne sait finalement plus trop ou se situer car certains parle de Zone 2 comme etant tres facile avec tres peu de contrainte mécanique et une perspective de durée quasiment illimitée et la si finalement les bénéfices serait autour du premier seuil , la perspective de l'effort, de la durée et de la fatigue musculaire n'est plus du tout la meme . Plus le meme effort
Merci Sean intéressant. Du coup, le range dont parle Inigo San Milan entre 1.7 et 2 mmol/L qui est le 1er seuil lactique. Il faudrait être à ce niveau voir un peu au dessus pour en tirer plus de bénéfice ? Je parle de bénéfice pour la santé. Pour parler de mon cas perso, si je monte à ce seuil là, le coût énergétique ne sera plus le même.
Je pense pas que l’on doive l’exprimer en valeurs absolues. Mais c’est ça, des valeurs légèrement élevées. Cependant comme tu l’as dit, c’est plus la même charge métabolique/nerveuse
Réfections hyper intéressantes ! L’intensité au niveau du premier seuil ou un peu au dessus correspond à un RPE de combien ? 4-5 ? Merci pour ton contenu !
Oui c’est ça! Je vais bosser sur la mise à jour de ma perspective la dessus, car ça dépend grandement de qui, combien, pourquoi et à quel moment au niveau de la prescription!
Pour les sports d'endurance, tu n'en tient pas rigueur non plus. J'aime l'idée de vaut mieux ça que rien. Mais j'aimerais bien trouver des études sur le sujet... En admettant que le cycliste roule dans une zone vallonnée, tu confirmes que faire 30" zone 4 / 30" zone 0, tu as le cardio en zone 2, mais musculairement c'est désastreux et intenable sur le long terme ?
Merci pour votre travail
Thank you
J’adore ta remise en question concernant la Z2 et le développement mitochondrial 👌
Merci Davy
Merci d'avoir expliqué cette histoire de la lactate moi je suis plutôt dans le palier numéro 2 je fais du HIIT et ce serait le plus efficace pour brûler le gras oxydée les graisses de l'endurance fondamentale finalement il me renseigne comment prendre soin de sa mitochondrie en faisant du jus de cerise🎉❤❤😂🎉🎉😢😢
Basse et moyenne intensité en priorité. Un peu de DURE de temps en temps...
Salut Sean,
Est ce que tu pourrais faire une vidéo ou tu parles plus précisément de la zone 2. En particulier pour le cyclisme les avantages et les inconvénients de travailler en bas de Z2 ou en haut voir un peut au-dessus du 1er seuil.
Merci d'avance, continue comme ça
🙏 beaucoup
Vivement la sortie du podcast 🙌
En effet! Dans 2 semaine je crois 🥳
Merci pour la vidéo ! J ai trop hâte de voir le podcast. Pour ce qui est de la production de mitochondries en fonction du seuil, peut être que le niveau de l athlète module la zone d entraînement au sens où, comme le disait Tristan d ailleurs, beaucoup d athlètes élites font leur volume en dessous de 1er seuil.
Tout à fait. Je vais faire une vidéo prochainement là dessus
Merci pour cette mise à jour. Certains auteurs, je pense au Dr Andy Coggan notamment, parlent d'une zone appelée "sweet spot" située entre la zone 3 et 4 (modèle à 5 zones) où les adaptations seraient maximales avec, entre autre un accroissement des enzymes mitochondriales.
Personnellement je comprends que cette zone est "payante" pour maximiser les adaptations à l'entraînement.
Mais avec la généralisation du modèle polarisé on évite maintenant le travail dans cette zone. Alors certes, je pense que pour les sports comme le crossfit où on evolue fréquemment en zone 4-5, il est bon d'équilibrer avec de la zone 2, mais dans des sports plutôt aéro (cyclisme, course longue ou triathlon) je pense que la zone 3-4 est plutôt intéressant à explorer et réhabilite en partie, à mon sens, le modèle pyramidal.
Dernière question, est ce à dire qu'un fort taux de lactatemie empêche un haut niveau d'adaptation mitochondriale ?
Merci pour ton travail, je suis fan ! 😉
Salut Sean
heureusement que j'étais bien assis😂 ensuite, il y a un cadre, un contexte du sportif et de la façon dont il le pratique sur le dev mito - comme tu le dis, les cross fitteurs font de la haute intensité, alors peut etre que pour eux, faire du vélo au dessus du seuil 1 pourrait engendrer plus de fatigue vs faire en dessous du seuil 1. C'est un savant mélange, subtile à trouver
Salut Sean, et merci pour le partage de tes réflexions.
Question récup/nutrition qui n’a *rien* à voir mais qui m’est venue ce matin en fin de sortie longue à vélo : y a-t-il à ta connaissance consensus sur le bon moment pour commencer à s’alimenter en protéines - pendant, en fin, juste après l’effort ou avec quelques heures de délai ?
Bonjour, zone 2 ou sweet spot? L'un engendre peu de fatigue mais nécessite de gros volume, l'autre implique plus de stress donc à adapter mais des progrès plus rapide. Ou comme le monde n'est pas tout blanc ou noir. Zone 2 et sweet spot. J'aimerais bien avoir ton retour sur ce sujet.
Sportivement
On ne sait finalement plus trop ou se situer car certains parle de Zone 2 comme etant tres facile avec tres peu de contrainte mécanique et une perspective de durée quasiment illimitée et la si finalement les bénéfices serait autour du premier seuil , la perspective de l'effort, de la durée et de la fatigue musculaire n'est plus du tout la meme . Plus le meme effort
Merci Sean intéressant.
Du coup, le range dont parle Inigo San Milan entre 1.7 et 2 mmol/L qui est le 1er seuil lactique.
Il faudrait être à ce niveau voir un peu au dessus pour en tirer plus de bénéfice ? Je parle de bénéfice pour la santé.
Pour parler de mon cas perso, si je monte à ce seuil là, le coût énergétique ne sera plus le même.
Je pense pas que l’on doive l’exprimer en valeurs absolues. Mais c’est ça, des valeurs légèrement élevées. Cependant comme tu l’as dit, c’est plus la même charge métabolique/nerveuse
Réfections hyper intéressantes ! L’intensité au niveau du premier seuil ou un peu au dessus correspond à un RPE de combien ? 4-5 ?
Merci pour ton contenu !
Oui c’est ça! Je vais bosser sur la mise à jour de ma perspective la dessus, car ça dépend grandement de qui, combien, pourquoi et à quel moment au niveau de la prescription!
Donc viser le pacing half chez les triathletes et coureurs
👍👍
Plutôt pacing Iron de ce que j’ai compris. Sur un half, perso, je suis plus à surfer entre z3 et z4 que z2/z3
top
Merci 🙏
Pour les sports d'endurance, tu n'en tient pas rigueur non plus. J'aime l'idée de vaut mieux ça que rien. Mais j'aimerais bien trouver des études sur le sujet... En admettant que le cycliste roule dans une zone vallonnée, tu confirmes que faire 30" zone 4 / 30" zone 0, tu as le cardio en zone 2, mais musculairement c'est désastreux et intenable sur le long terme ?