Merci monsieur Even-Sapir. De tout temps les besoins de base de tout être humain a été soumis au partage. Le peuple Juif a besoin de support spirituel, d'une source d'énergie tournée vers D.ieu. Comment exercer cette obligation de partage entre ceux qui apportent nourriture et biens matériels et ceux qui apportent l'aide à l'intervention divine par leurs prières. Je ne connais pas bien ce problème aussi, je vous exprime ici mon ressenti pour fin de partage des idées. Je pense que tout comme nous avons besoins d'une gamme d'éléments pour faire vivre le corps , nous avons aussi besoin de formes diverses de prières ou d'exercices spirituels pour améliorer la vie du cœur et de l'esprit. Puisse que tout est énergie, le pays dans son entier deviendrait bénéficiaire de tous nos apports. La formation des haredim devrait être semblable à celle des autres jusqu'à un certain niveau. Lorsque l'étude et la pratique spirituelle est grande et produit de grands bienfaits auprès des malades ou de ceux qui assument des difficultés morales, ceux qui bénéficient de ces bienfaits ont une obligation naturelle d'apporter le nécessaire à ceux qui ne peuvent assumer ce nécessaire, plongés qu'ils sont dans l'étude spirituelle. Il faut donc trouver une liste de règles qui accompagnent ce type de partage. L'Etat a-t-il un rôle dans ce partage ? Je dirais que oui mais uniquement au niveau des biens immobiliers qu'il aurait l'obligation de fournir aux haredim. Seul l'apport substantiel d'une grande force spirituelle de certains devrait permettre de soustraire leur apport à des mouvement civils en temps de guerre. S'il avait fallu que nos grands Rabins se livrent à la guerre, nous les aurions perdus. Aussi, il y a l'obligation de les protéger de cette part de leur apport au partage. Les haredim doivent offrir les services de leurs membres doués de forces spirituelles comme dans la santé, dans la résolution des difficultés familiales, etc. afin que tous sachent que dans X communauté, ils peuvent trouver aide et conseils chez un maître spirituel. Sans doute faudra-t-il regrouper ceux qui se destinent à aider le corps et les autres l'esprit... Tous les étudiants ne sont pas de grands maîtres spirituels. Un Baal Chem Tov, un Rav Kaniewsky se dévoilent dans le temps, d’ou l'utilité de les protéger des forces négatives. Ces maîtres qui ont bénéficié des connaissances de la Torah et de la Lumière Divine seraient vus comme nos sages. Le partage de la société des bénéficiaires est la source de leur subsistance et doit être un apport constant car il faut manger pour vivre. Si nos sages ne peuvent manger, nous devrons nous abstenir de manger. Les dons à ceux qui manifestent le pouvoir divin à transmettre les Forces divines devrait être un mode culturel, chaque famille juive donnerait dans la mesure de ses capacités. Les étudiants les moins doués spirituellement, ne devrait pas hésiter à fournir en partage à leur pays en danger leurs apports de protection physique à titre de soldat. Il est possible que tout cela éviterait les reproches mesquins contre ces jeunes qui étudient et obligerait ces derniers à l'honnêteté de reconnaître qu'ils ne seront pas un Baal Chem Tov mais un Juif plein d'amour des siens et de vaillance. Vous souriez sans doute parce que cela ressemble à un rêve dans un monde plein de bonne volonté. Qui sait si nous ne sommes pas proches de cette réalité. Israël est un pays de miracles...🙏❤
Il manque des chiffres pour étayer le propos. Vu l'aspect polémique de ce sujet cela aurait été bienvenu.
Exposé clair et traçant de nombreuses perspectives. Merci 🙂
Merci monsieur Even-Sapir.
De tout temps les besoins de base de tout être humain a été soumis au partage. Le peuple Juif a besoin de support spirituel, d'une source d'énergie tournée vers D.ieu. Comment exercer cette obligation de partage entre ceux qui apportent nourriture et biens matériels et ceux qui apportent l'aide à l'intervention divine par leurs prières. Je ne connais pas bien ce problème aussi, je vous exprime ici mon ressenti pour fin de partage des idées.
Je pense que tout comme nous avons besoins d'une gamme d'éléments pour faire vivre le corps , nous avons aussi besoin de formes diverses de prières ou d'exercices spirituels pour améliorer la vie du cœur et de l'esprit. Puisse que tout est énergie, le pays dans son entier deviendrait bénéficiaire de tous nos apports. La formation des haredim devrait être semblable à celle des autres jusqu'à un certain niveau. Lorsque l'étude et la pratique spirituelle est grande et produit de grands bienfaits auprès des malades ou de ceux qui assument des difficultés morales, ceux qui bénéficient de ces bienfaits ont une obligation naturelle d'apporter le nécessaire à ceux qui ne peuvent assumer ce nécessaire, plongés qu'ils sont dans l'étude spirituelle. Il faut donc trouver une liste de règles qui accompagnent ce type de partage. L'Etat a-t-il un rôle dans ce partage ? Je dirais que oui mais uniquement au niveau des biens immobiliers qu'il aurait l'obligation de fournir aux haredim. Seul l'apport substantiel d'une grande force spirituelle de certains devrait permettre de soustraire leur apport à des mouvement civils en temps de guerre. S'il avait fallu que nos grands Rabins se livrent à la guerre, nous les aurions perdus. Aussi, il y a l'obligation de les protéger de cette part de leur apport au partage. Les haredim doivent offrir les services de leurs membres doués de forces spirituelles comme dans la santé, dans la résolution des difficultés familiales, etc. afin que tous sachent que dans X communauté, ils peuvent trouver aide et conseils chez un maître spirituel. Sans doute faudra-t-il regrouper ceux qui se destinent à aider le corps et les autres l'esprit...
Tous les étudiants ne sont pas de grands maîtres spirituels. Un Baal Chem Tov, un Rav Kaniewsky se dévoilent dans le temps, d’ou l'utilité de les protéger des forces négatives. Ces maîtres qui ont bénéficié des connaissances de la Torah et de la Lumière Divine seraient vus comme nos sages. Le partage de la société des bénéficiaires est la source de leur subsistance et doit être un apport constant car il faut manger pour vivre. Si nos sages ne peuvent manger, nous devrons nous abstenir de manger. Les dons à ceux qui manifestent le pouvoir divin à transmettre les Forces divines devrait être un mode culturel, chaque famille juive donnerait dans la mesure de ses capacités.
Les étudiants les moins doués spirituellement, ne devrait pas hésiter à fournir en partage à leur pays en danger leurs apports de protection physique à titre de soldat. Il est possible que tout cela éviterait les reproches mesquins contre ces jeunes qui étudient et obligerait ces derniers à l'honnêteté de reconnaître qu'ils ne seront pas un Baal Chem Tov mais un Juif plein d'amour des siens et de vaillance.
Vous souriez sans doute parce que cela ressemble à un rêve dans un monde plein de bonne volonté. Qui sait si nous ne sommes pas proches de cette réalité. Israël est un pays de miracles...🙏❤
Merci Dror, j espère que vous continuerez à nous éclairer !
Très intéressant !!
Merci !