3:27 petite erreur: le catalan est plus proche de l'occitan que du castillan (espagnol) et même certains le considèrent comme l'un des dialectes de l'occitan et le corse plus proche du toscan que du dialecte génois.
Ouais, j'dirais pas que le catalan est un dialecte de l'occitan mais peut-être plutôt que le catalan et l'occitan sont tous les deux des langues occitano-romanes et donc des langues-sœurs.
200 000, c’est beaucoup plus que je pensais (même s’il s’agit de locuteurs "passifs")… Ça en fait une des langues régionales qui survit le mieux, finalement.
@@adrienboure1542 oui enfin il fais partie des cinquante langues romanes qui ont été synthétisées pour former le français , c'est le tourangeau qui a été choisi je crois , alors que le Breton est unifié KLT , lui c'est une vraie langue , si on veut ton gallo est un peu comme le Vannetais pour le Breton.
@@adrienboure1542 les gallo ne s'en seraient meme pas rendu compte , ils ont voulu imiter les brezoneg soutenus par l'etat f pour affaiblir le breton qui est une vraie langue celtique , d'ailleurs à l'ouest d'une ligne Corlay Muzillac les gens sont differents , plus de boudiou ou de oui dam , mais des gast et des mad eo , ici commence la vraie Bretagne ...celtique , Paris Rennes 1h20 de train Rennes: Roazhon ( c'est du breton pas du gallo ) Kemper 3h ; Chom Breiz Izel geltiek !!
super intéressant petite précision cependant vers 3:40 l'intervenant dit que le corse est une variété proche de la langue génoise en fait le corse c'est du toscan médiéval alors que le génois c'est du ligure donc deux langues latines mais bien distinctes il existait une variété ligure parlée en corse le bonifacien la ville de Bonifacio était a l'origine un peuplement génois mais le bonifacien a presque totalement disparu aujourd'hui
La haute Bretagne peut être fier de son histoire et ces racines qui remonte a l époque gallo romaine.elle a enrichi le duché de Bretagne de son héritage latin .les duc de Bretagne s en sont imprégné a son contact . Les bas breton ont un autre héritage clairement celtique ils ont apporté cette belle différence a l armorique et à la France et peuvent en être fier aussi la haute et basses Bretagne sont diverses mais belle chacune de leurs particularités
portus condevicnum Va falloir arrêter dire des conneries, ce baragouin n'a RIEN à voir avec les racines bretonnes, à l'instar du breton britonique donc gaëlique et cousin de la langue gauloise, c'est le breton qu'il faut faire re naître et répandre le plus VITE possible et travailler l'accent, en sorte que ce ne soit plus parlé avec cet accent pourri typiquement français.
Les bretons savent que chialer et détester tout ce qui n'est pas bretons. Vivant très longtemps en Irlande, même pas les irlandais prennent les bretons pour sérieux.
Pas tous hélas dans le 44 (j'y vis...) tout cela parce que nous ne sommes plus officiellement bretons... Moi je me sent profondément breton et je suis fier de l'être 🙏
Très bonne initiative moi qui suis nouveau au pays Gallo. Je crois que le titre est déjà une hérésie. Gallo Langue de Haute-Bretagne c'était mieux je pense.
@@inribreton8849 non non c'est faux il faut sauver les 2 langues car l'un sans l'autre , la bretagne deviendrait alors trop française ce serait la fin des langues Bretonnes....
Tout à fait d'accord il faut sauver toutes les langues surtout celle en voix d'extinction, connaître une langue c'est avoir une vision du monde, c'est une richesse inouïe, une compréhension de soi et d'autrui.
Et pas qu'en Bretagne, la Mayenne et la Sarthe l'utilise aussi et en a une variante (le mainiot) D'ailleurs petit gros mot Gallo issu du maine "Bobyeu/Bobyo" qui désigne "un débile" (vient du verbe "Bober" (rêvasser), aussi utiliser dans le Maine et loire) Un "Sidy" qui désigne "un bênet" (Naïf)
Oui sirerot la haute Bretagne a le même héritage culturel et linguistique que le Mayeno le sarthois l'Angevin c'est le vaste domaine de la Langue d'Oil merci du partage !!!
pop ça va t'y tu le trouve dans le pays nantais Angevin mayennais rennais aussi c'est la même langue en fait avec des petites variétés même d'un village à l 'autre, autrefois ils reconnaissaient que le mec était pas de leur commune et" d'ou qu'c'est t'y qu'il ttait don"d'ou est ce qu'il était a cause de ces légères variantes c'était du parlé oral et donc pas fixe comme le francais académique.
l armorico roman ou Britto roman c est pas du breton c est de l ancien français plus proches des dialectes d oil du nord de la Gaule que du breton .le breton sauvez le en basse Bretagne ou si vous êtes bas breton apprenez le pas de soucis mais les parois de haute Bretagne sont des forme issu de l ancien français ont est cousin avec les langues d oil
Article de Françoise Morvan sur le site GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE "violence toponomyque en Bretagne " sur l'introduction de non de commune inventées de toute pièce en hautes Bretagne en breton unifié en contradiction avec la toponomye local mais aussi de manière plus étonnante en basse Bretagne ou on attribue à des commune des nouveaux nom plus conforme au néo breton unifié .
Je sais pas si vous comprenez mais lorsqu'on dit “Bretonne”, c'est un dénonyme de la région historique de Bretagne. Personne a dit que le Gallo était une langue Celte...
1:07 Ce qu'il dit me semble inexact. Les différentes variantes du gaulois ont eu plus d'influence que le francique. D'ailleurs, pourquoi l'appelle t-on « gallo » ? La langue française comporte 1000 mots issus du gaulois, selon Jacques Lacroix. Le francique n'aurait apporté que 400 mots. Les idées reçues ont quand même la vie dure.
La Haute Bretagne est peut être de langage romane, mais sa culture est bien celtique. Pourquoi ? Et bien tout simplement car le Breton au fil des siècle à reculé vers l'Ouest et c'est stabilisé entre Lannion et Vannes. Au Xème siècle, on parlait breton jusqu'à St-Malo et Jusqu'à dans la Brière (Grosso modo les alentours de Guérande et St Nazaire). Le gallo d'origine d'île et villaine Est et de Loire Atlantique Est (Au sud de la Loire c'était le Poitevin qui était majoritaire par contre), c'est de plus en plus propagé à L'est donnant la frontière des deux langues de Bretagne que l'on connait aujourd'hui. Pour moi, le gallo comme le breton doivent êtres enseignés et protégés. C'est vraiment dommage de voir que la plupart des bretons ne connaissent pas le gallo, cette langue se trouve dans une situation très compliqué aujourd'hui :/ .
Non le breton n'as jamais été parlé que de manière passagère dans les zones dites "gallo" et seulement par les conquérants breton seulement dans les zones qui ont gardés des noms en ac héritière des toponymie des villages romains en acum, en fait le breton qui y était causé par les colons bretons"côtoyait les autochtones gallo-romain parlant le roman local et au moment de l'invasion normande les élites et soldat et colons bretons installés depuis l'invasion bretonne recente on fuits ces zones ,seul les paysans locaux descendants des gallo-romains qui étaient déjà là avant l'arrivée des bretons puis des normands sont restés, car ils étaient des paysans autochtones "distinct des bretons par la langue romane qu'il parlaient" ,non belligérant qui regardaient les envahisseurs passer et nétaient pas mêlés au combat et que les normands distinguaient clairement de leurs adversaires bretons qui eux fuiront, seront chassés, ou peut-être massacrés, ce qui explique la disparition du breton dans ces zones qui étaient en fait un cour moment habité par des locuteurs de deux langues, le breton des élites bretonne et le roman des autochtones.quant aux zones plus a l' est et au sud elle n'ont tous simplement jamais causé breton mais la langue romane l'oil comme le reste de la gaule du Nord ,sur ce sujet il faut lire l'ouvrage fabuleux de JOSEPH LOTH lui même historien de la Bretagne spécialiste des langues celtiques entre autres "histoire des migation bretonne en armorique"
Bonjour, Le corse du toscan? Il a bien trop évolué pour dire ça. J'ai suivi un cours sur le nationalisme corse. Le corse vient apparemment du toscan mais son orthographe a évolué. Elle fait maintenant partie du groupe toscan, ce qui n'est pas pareil. La personne dans la vidéo mélange un peu les langues régionales. Mais le breton, le corse et le gallo sont des langues avec des origines différentes (celtique, italienne et romane pour ces trois-là). Cordialement.
Bleizi le corse c’est une langue qui a une grammaire proche du toscan mais il est prononcé comme les dialectes du sud (sicilien) en corse et avec accent un peu plus sarde dans les dialectes du Nord Sardaigne. C’est sans doute “insulaire”, mais pas du tout gênois.
La haute Bretagne n est pas celtiques mais romane de langue d oïl . Et c est une langue disons plutôt une langue orale issue de l ancien français .comme les différents dialectes celtiques de basse Bretagne sont des langues d un point de vue des linguistes il ne y a que des langues.d un point de vue politique et historique une langue est un dialectes qui a eu du succès.
"Comme ça elle disparissera jamais"...Vu le niveau de français constaté ici en Haute Bretagne il faudrait aider les enfants à améliorer leur français, langue dont ils auront besoin pour chercher du travail... De plus le gallo est en général identique au français mais écrit différemment (Haote Bertaigne pour Haute Bretagne), résultat les enfants feront encore plus de fautes en écrivant français.
Faut arrêter de dire n'importe quoi,déjà le plurilinguisme augmente la capacité d'apprentissage des langues donc apprendre le gallo et le français favorise la maîtrise de l'une et l'autre ensuite si vous n'avez jamais entendus de gallo de votre vie,n'en émettez pas un avis affirmatif car ces deux langues ne sont absolument pas identiques...
Pour Thiophîle et' La Boudette ? C 'est plus du CH'TI ? DANS LES FOUILLES DU BAVAISY ? C 'est DU CÔTE DE MAUBEUGE ET de à LE QUESNOY ? Si vous vouleZ dans L'AVESNOIS EIN'BON'tarte au MAROILLE?
@yvelinec3557 Te re-voilà Yveline! È-tu ilé ma boudette! Un temps je me suis moquée de toi - pas méchamment, je pense. Et je t'en demande pardon. Car ta poésie déjantée, bizarroïde, un peu foutraque mais si bienveillante et douce, est un véritable coup de vent de fraîcheur dans ce flot de micro-chauvinisme de pinailleurs qui ergotent à n'en plus finir, "non ça c'est pas du vrai breton, c'est nous qu'on tient le bon bout de l'identité, rhââ la république oppresseuse, gna-gna-gna..." Pas besoin de diviser pour régner, ils le font très bien tous seuls. Ainsi tu es Ch'ti? Super. Un peuple très chouette, digne d'admiration. Moi, c'est moitié Gallèse, moitié Breizh. Allez tiens oui, vive le Maroilles (moi je préfère la boulette d'Avesnes). Bises breizh à toi, notre poétesse!
@@guillaumelegouais6987 La France est endettée On a pas à payer des écoles en breton ou autres langues pas françaises Payez mais ne nous imposez pas des cours de langues régionales Nos impôts payent les enseignants des écoles Diwan Bref Faites du privé hors contrat Les usa et la Chine sont les 2 puissances mondiales Aux usa ils parlent anglais En Chine le mandarin En UE ont déjà plusieurs langues français allemand italien espagnol et tellement d’autres Alors rajouter des langues régionales Pfff Je rêve d’une UE avec la langue régionale et une langue commune Ni plus ni moins
DEUX ENORMITES LINGUISTIQUES : LE SERMENT DE STRASBOURG N’EST PAS L’ACTE DE NAISSANCE DE LA LANGUE FRANCAISE; LE CODEX DE LEYDE N’EST PAS L’ACTE DE NAISSANCE DU BRETON. QUE SONT LE SERMENT DE STRASBOURG ET LE CODEX DE LEYDE ? Charlemagne, couronné empereur en l’an 800 par le Pape, meurt en 814. Son fils Louis - dit Le Pieux -, lui succède. Il meurt en 840. Il laisse trois fils, qui entrent violemment en conflit : Charles (dit » le chauve « ), Louis (dit » le germanique « ), Lothaire. L’immense empire carolingien est partagé en trois parties, en 843. La partie Ouest (ou occidentale), dont les limites correspondent, grosso-modo, aux trois quarts de la France actuelle (Bretagne exceptée, car ELLE A TOUJOURS ETE EN DEHORS DES POSSESSIONS MEROVINGIENNES ET CAROLINGIENNES), échoit à Charles. La partie Est (ou orientale), échoit à Louis; la partie centrale, dite « Lotharingie « , échoit à Lothaire, qui bénéficie de surcroît du titre d’Empereur. L’année précédente, en février 842, Charles et Louis se lient par serment contre leur frère Lothaire. Deux textes sont rédigés : l’un en langue » tudesque » (pour simplifier, la langue tudesque est considérée comme le vieil allemand), l’autre en langue « romane » (indispensable : Nithard, Histoire des fils de Louis le pieux, Paris 1964). La légende naît : la version en langue romane serait - dit-on, jusqu’aux travaux actuels -, » du vieux français « ; pire : L’ACTE DE NAISSANCE DU FRANCAIS ! (à suivre)….. Les quelques feuillets qui constituent le Codex dit » de Leyde « , du 8 ème siècle, qui n’est qu’une liste de plantes médicinales, n’est évidemment pas L’ACTE DE NAISSANCE DU BRETON ! Les Bretons savaient parler depuis de très longs siècles, comme tout le monde, il n’ont aucun besoin d’une liste - contestable - de végétaux pour que leur langue soit réputée ridiculement issue de cette énumération ! LE SERMENT DIT » DE STRASBOURG » n’est CERTAINEMENT PAS l’acte de naissance de la langue française. Pourquoi lit-on partout cette sottise ? Deux linguistes connus - après avoir démontré le contraire (Hagège, page 22; Cerquiglini, La naissance du français, collection Que sais-je ? PUF, Paris, 2007, page 126), se rallient à cette thèse absurde, contre toute logique. Plusieurs arguments, MAJEURS, militent contre cette aberration : 1 - Les langues ne naissent pas en un moment déterminé, à une date fixe. COMME LES NATIONS, elles naissent, se développent et prennent corps dans un temps LONG, qui se compte par siècles. Assigner à la naissance du français et du breton une date précise (14 février 842 pour le serment de Srasbourg), est une stupidité. 842 est l’année au cours de laquelle le roi Charles le Chauve et le roi Louis le germanique ont prêté un serment d’alliance devenu célèbre, en aucun cas l’année de la naissance du français. Que Hagège, professeur au Collège de France ait pu écrire cela, jette la suspicion sur toute son oeuvre, sinon même la discrédite (personnellement, je lis ses livres toujours avec la plus grande méfiance). (Ce bon monsieur a dit des Bretons, devant les caméras de la télévision : « Les Bretons étaient des sauvages, la France les a civilisés !) 2 - Malgré les tonnes de littérature écrites sur le serment de Strasbourg, aucun linguiste n’a pu déterminer DANS QUELLE LANGUE il est écrit. C’est la langue » romane » (romana lingua), dit Nithard, témoin de ce serment ( page 103, et les notes, très importantes). Mais quelle langue romane ? On s’est évertué, en étudiant le vocabulaire, la structure des phrases, etc.. à tenter de le savoir. On admet généralement que c’est l’un des très nombreux dialectes du Nord de la France. Mais est-ce le Picard, le » Francien « , le dialecte lyonnais, ou même le dialecte poitevin ? Aucune preuve qu’il s’agit du » francien « , idiome de Paris et de sa région. Il est absurde de dire que la langue du serment est » du vieux français « : s’il s’agit du lyonnais ou du poitevin, ce n’est certainement pas du » vieux français » ! 3 - On ignore, strictement, qui a rédigé le texte. La question paraît oiseuse, elle ne l’est pas. Assurément, quelqu’un de l’entourage du roi Charles le Chauve. Mais il faut se souvenir que Charles et Louis, nés à Francfort de la même mère, Judith de Bavière, sont GERMANOPHONES, comme tous les Carolingiens. Charles ne vit pas à Paris, mais itinère de lieu en lieu. Ses collaborateurs appartiennent à plusieurs nations, et, assurément, à plusieurs régions du royaume qui lui a été attribué en 843, la » Francia Occidentalis « . Si le rédacteur du serment est parisien, il a probablement rédigé son texte dans la langue de sa région. Mais s’il est Picard, Poitevin, Lyonnais ? Cette nouvelle incertitude s’ajoute aux autres. Elle est d’un grand poids. 4 - Les textes dont on dispose depuis 842 jusqu’à l’éclosion du français médiéval, ne permettent pas d’établir scientifiquement un continuum entre le dialecte de Paris, le serment de Strasbourg, et ce qui va devenir plus tard le français. Force est de dire qu’on ne sait strictement pas si la langue de ce serment est celle qui, à la suite des transformations au cours des siècles qui suivent, est du français ancien (du francien), ou un autre dialecte de la moitié Nord de la France. POUR RESUMER : le breton est une langue celtique, héritière d’un idiome très ancien, antérieur au latin; le français est une langue romane, largement issue du latin. Ceci résume tout. Il était temps que cela soit dit clairement, et que ceux des Bretons qui ignorent qui ils sont, se grattent la cervelle pour comprendre, enfin, qu’ils ne sont pas français. Que les linguistes, donc, lisent attentivement ma propre argumentation. Il est douteux qu’ils ne s’y rangent pas. Porté par vocation à théoriser, en particulier sur la naissance, l’épanouissement, la mort des langues, je ne prends pas à mon compte la phrase qui suit, qui vient en conclusion d’une longue dissertation sur la comparaison des langues européennes, sur les » faiblesses » du français, et sur la richesse d’autres idiomes - le basque, le russe, notamment -, mais je ne peux m’empêcher de la citer. Elle émane du plus remarquable linguiste avec qui j’ai communiqué pendant des années, un Breton, rejeté par les imbéciles sur des considérations politiques, sans aucun égard à son savoir de spécialiste des langues, et qui a enseigné dans les universités : » …. Cela tient à la déficience du français, beaucoup plus qu’au mérite du breton, car le français - si » précis » au dire de ses thuriféraires, qui ne comprennent NI NE PARLENT AUCUNE AUTRE LANGUE -, est l’un des IDIOMES LES PLUS MINABLES D’EUROPE « . Ce texte est de Goulven Pennoad, écrit comme cela. Je n’en change pas un mot. L’homme qui a écrit cette phrase, est le plus savant avec qui j’ai eu l’honneur de m’entretenir, maintes et maintes fois. Je transmettrai plus tard la copie de ces correspondances aux éditions Préder, qui les conservera pieusement (Voir ce mot dans Google). Si les Bretons s’intéressaient à leur langue, elles pourraient être publiées. Je pense que l’opinion qu’il émet ci-dessus n’est pas entièrement objective, mais je me réserve le temps de la réflexion, avant de trancher. POUR L’ANECDOTE. Aussi incroyable que cela paraisse aujourd’hui, en 1954, année durant laquelle j’ai été l’élève de M. Sébastien Volant au lycée de Pont l’Abbé, cet exceptionnel professeur, qui nous a fait aimer la langue française ( = la deuxième langue nationale de Bretagne, je le souligne), nous obligeait à apprendre le serment de Strasbourg, rédigé dans une langue incompréhensible, ….. par coeur ! Plus étonnant : en 2010, 56 ans plus tard, je teste parfois ma mémoire, non sans amusement, en récitant ce texte bizarre, presque sans faire de faute ! Jugez comme nous sommes loin du français actuel : » Pro Deo amur, et pro Christian poblo et nostro commun salvament, dist di in avant, in quant Deus et savir me dunat , etc. etc. etc. « Traduction : » Pour l’amour de Dieu, et pour le salut commun du peuple chrétien et le nôtre, à partir de ce jour, pour autant que Dieu m’en donne le savoir et le pouvoir, etc. « Qui pourrait croire qu’un Breton de Guilvinec connait par coeur le serment de Strasbourg, alors que d’autres, qui collaborent si brillamment à des émissions radiophoniques d’histoire, ne connaissent plus ni l’orthographe, ni la grammaire, ni la syntaxe, ni l’art de ponctuer la phrase ? On pourra, pour vérifier tout cela, se reporter à l’émission » Lumière 101 mélennec bretagne assassinée » (par Google), diffusée maintenant sur RUclips, sous la titre : Langue bretonne, langue française, mélennec : les sottises colportées sur la langue française vous feront mourir de rire ! Je connais des Bretons qui, humiliés par la France de 1789 à nos jours, vont se réjouir, et qu’ils ne feront pas semblant, juste retour des choses. En revanche, la drolatique émission due à Jean-Gilles MALLIARAKIS, intitulée "Le bêtisier des langues", consacrée aux âneries diffusées par les Français sur la prétendue supériorité de leur langue ...... a disparu ! Prière, si nos lecteurs l'ont copiée, de la remettre en piste : c'est à mourir de rire. Ceci vaut aussi pour Malliarakis, qui n'a pas répondu à ma demande. Ce qui ne fait pas partie des moeurs bretonnes de mon temps. J'adresse la présente à HAGEGE, qui est devenu un arbre à chats pour les Bretons, depuis que ce barbare prétentieux les a traité de sauvages. Et à Malliarakis.
c'est un patois du français comme le créole et leurs défenseurs se battent contre .... le breton , leur camp est choisi , ce serait mieux de rattacher le 35 à la mayenne , la Sarthe , que sais-je , ils ont le meme patois , et capitale de BZH GWENED PE KEMPER !!!
Ça n'est pas un patois du français mais une des langues d'oïl au même titre que le norman, le picard. La langue d'oïl qui était parlée à Paris est ce qui a donné le français moderne, donc dire que le gallo est un patois du français si l'on prend comme référence la forme contemporaine est faux car l'une ne descend pas de l'autre mais les deux viennent d'un ancêtre commun. C'est un peu comme si l'on disait que le français était un patois de l'italien, ces deux langues viennent seulement d'un même ancêtre (le latin) mais il n'y a pas de lien de causalité entre les deux.
@@mranonymous8642 le gallo est au français ce que le vannetais est au Breton . Le Breton est une vraie langue et sa sphère allait meme en 35 et en 44 au Moyen Age , soumis au français ces régions ont adopté le gallo ( gall veut dire français en Breton) comme le normand , le picard ..;comme bien des dialectes romans qui divergent un peu du français , au lieu de bon dieu vous dites boudiou , oui c'est un peu comme le créole . Le Breton est une vraie langue : ur yezh gwir eo ar brezoneg !!! ça se voit non?
@@perrotabad8385 sauf que le vannetais est une variété du breton tandis que comme dit précédemment, le gallo ne vient pas directement du français en tant que tel, ces langues se ressemblent beaucoup certes, mais cela relève d'une corrélation et non d'une causalité. Tout comme 2 frères qui peuvent beaucoup se ressembler viennent de parents communs mais l'un ne vient pas directement de l'autre. Donc attention à ne pas tomber dans le piège, une langue ayant hégémonie sur ces soeurs (comme le français), ne signifie pas que ces dernières en découlent directement.
@@yokren29 On parlait la même langue dans les territoire à l'Est de la Bretagne, comme le Maine, la Mayenne, l'Anjou. Alors non, ces gens là ne parlaient certainement pas une langue bretonne.
Clairement le soi-disant gallo est la langue d'oil (romane)oral avec toute les variations d'un village à l'autre mais clairement intercomprehensive la frontière linguistique ce situe entre le breton et la langue d'oil de Bretagne,véritable muraille linguistique. D'ou l'apparition du terme gallo par les bretonnant dans les zones de frottement.
Ah ces enfants sont vraiment adorables!
3:27 petite erreur: le catalan est plus proche de l'occitan que du castillan (espagnol) et même certains le considèrent comme l'un des dialectes de l'occitan et le corse plus proche du toscan que du dialecte génois.
C'est bien vu. L'hymne (officieux) de la Provence, "La Coupo santo", rend d'ailleurs hommage à l'amitié provenço-catalane
Ouais, j'dirais pas que le catalan est un dialecte de l'occitan mais peut-être plutôt que le catalan et l'occitan sont tous les deux des langues occitano-romanes et donc des langues-sœurs.
Bravo beau documentaire sur le véritable héritage de la haute Bretagne ça fait plaisir
200 000, c’est beaucoup plus que je pensais (même s’il s’agit de locuteurs "passifs")… Ça en fait une des langues régionales qui survit le mieux, finalement.
attends que je m'y mette. :)
On dirait l'école où j'étais plus jeune, si ça passe a Langouet, en tout cas ça y ressemble ❤ très beau documentaire merci beaucoup a vous
Moi quand je suis arrivé à paris, je disais toujours " y faut que je vais " le pire c'est que je croyait que c'était les autres qui se trompait.
Bravo !! Il faut transmettre cette belle langue
Un parisien
Reportage très sympa ! Moi qui apprends le breton, j'ignorais que le Gallo avait survécu. Contente de l'apprendre ^^
le breton est une langue le gallo un patois soumis du français
@@perrotabad8385 faux, il existait avant le français donc dur d être soumis à ce dernier 😊
@@adrienboure1542 oui enfin il fais partie des cinquante langues romanes qui ont été synthétisées pour former le français , c'est le tourangeau qui a été choisi je crois , alors que le Breton est unifié KLT , lui c'est une vraie langue , si on veut ton gallo est un peu comme le Vannetais pour le Breton.
@@perrotabad8385 c’est une langue d’oïl, une « langue »
@@adrienboure1542 les gallo ne s'en seraient meme pas rendu compte , ils ont voulu imiter les brezoneg soutenus par l'etat f pour affaiblir le breton qui est une vraie langue celtique , d'ailleurs à l'ouest d'une ligne Corlay Muzillac les gens sont differents , plus de boudiou ou de oui dam , mais des gast et des mad eo , ici commence la vraie Bretagne ...celtique , Paris Rennes 1h20 de train Rennes: Roazhon ( c'est du breton pas du gallo ) Kemper 3h ; Chom Breiz Izel geltiek !!
La langue populaire Romane d'Armorique la langue "Roumane dou beurtegne " la langue d'Oil de Haute Bretagne bravo!!!
super intéressant petite précision cependant vers 3:40 l'intervenant dit que le corse est une variété proche de la langue génoise en fait le corse c'est du toscan médiéval alors que le génois c'est du ligure donc deux langues latines mais bien distinctes il existait une variété ligure parlée en corse le bonifacien la ville de Bonifacio était a l'origine un peuplement génois mais le bonifacien a presque totalement disparu aujourd'hui
ba bè ;)
Et le catalan c'est plus proche du occitan, non de l'espagnol
*il faut transmettre ! merci*
Plus proche du français qu'autre chose ! Y a que l'ouest de la Bretagne qui est bretonnante. Le gallo est marrant à écouter ! 😅
Je suis le dernier qu'ont voix,a la fin.
La haute Bretagne peut être fier de son histoire et ces racines qui remonte a l époque gallo romaine.elle a enrichi le duché de Bretagne de son héritage latin .les duc de Bretagne s en sont imprégné a son contact . Les bas breton ont un autre héritage clairement celtique ils ont apporté cette belle différence a l armorique et à la France et peuvent en être fier aussi la haute et basses Bretagne sont diverses mais belle chacune de leurs particularités
Romaine ... jamais...!!!🗽🌅 Breizh toujours...🗽🗽🌅💖😷😂
Guy Bellec il as pas dis romain mais gallo- roman c’est à dire gaulois romanisé
portus condevicnum Va falloir arrêter dire des conneries, ce baragouin n'a RIEN à voir avec les racines bretonnes, à l'instar du breton britonique donc gaëlique et cousin de la langue gauloise, c'est le breton qu'il faut faire re naître et répandre le plus VITE possible et travailler l'accent, en sorte que ce ne soit plus parlé avec cet accent pourri typiquement français.
VIVE la Bretagne autonome .......
Les bretons savent que chialer et détester tout ce qui n'est pas bretons.
Vivant très longtemps en Irlande, même pas les irlandais prennent les bretons pour sérieux.
Au moins, les Bretons sont fiers de leur région...
Pas tous hélas dans le 44 (j'y vis...) tout cela parce que nous ne sommes plus officiellement bretons... Moi je me sent profondément breton et je suis fier de l'être 🙏
Très bonne initiative moi qui suis nouveau au pays Gallo. Je crois que le titre est déjà une hérésie. Gallo Langue de Haute-Bretagne c'était mieux je pense.
sauver le gallo c'est aussi le Breton @Inri Breton
non ; détruire les patois cest sauver le breton
@@inribreton8849 non non c'est faux il faut sauver les 2 langues car l'un sans l'autre , la bretagne deviendrait alors trop française ce serait la fin des langues Bretonnes....
@@yannreminiac6981 naiveté, sotise, rannvroelour gall ac'hanoc'h.
Si on veut, mais le gallo est une langue romane pas celtique.
Tout à fait d'accord il faut sauver toutes les langues surtout celle en voix d'extinction, connaître une langue c'est avoir une vision du monde, c'est une richesse inouïe, une compréhension de soi et d'autrui.
Et pas qu'en Bretagne, la Mayenne et la Sarthe l'utilise aussi et en a une variante (le mainiot)
D'ailleurs petit gros mot Gallo issu du maine
"Bobyeu/Bobyo" qui désigne "un débile" (vient du verbe "Bober" (rêvasser), aussi utiliser dans le Maine et loire)
Un "Sidy" qui désigne "un bênet" (Naïf)
Oui sirerot la haute Bretagne a le même héritage culturel et linguistique que le Mayeno le sarthois l'Angevin c'est le vaste domaine de la Langue d'Oil merci du partage !!!
Oui a laval ça cause encore comme ça chez les Anciens,ça roule même les R!!!! Excellent !!!
Je pensais que :"ça va ty ?" était bien mayennais ,du moins du Maine .Il aura fallu ce documentaire pour revoir mes idées reçues .
pop ça va t'y tu le trouve dans le pays nantais Angevin mayennais rennais aussi c'est la même langue en fait avec des petites variétés même d'un village à l 'autre, autrefois ils reconnaissaient que le mec était pas de leur commune et" d'ou qu'c'est t'y qu'il ttait don"d'ou est ce qu'il était a cause de ces légères variantes c'était du parlé oral et donc pas fixe comme le francais académique.
ce bon vieux gallo
Le (gallo) armorico roman n est pas bretone mais est la langue latine de haute Bretagne
Ils utilise le nom “Bretonne” comme dénonyme/gentillé de la région historique de Bretagne, ils ne veulent pas dire que le Gallo est Celte.
sacré gallo
J adore cette langue
l armorico roman ou Britto roman c est pas du breton c est de l ancien français plus proches des dialectes d oil du nord de la Gaule que du breton .le breton sauvez le en basse Bretagne ou si vous êtes bas breton apprenez le pas de soucis mais les parois de haute Bretagne sont des forme issu de l ancien français ont est cousin avec les langues d oil
SITE GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE QUI RELAYE MOULT ARTICLE DE FRANCOISE MORVAN.
LIRE LE LIVRE DE FRANCOISE MORVAN LE MONDE COMME SI DÉRIVE IDENTITAIRE ET NATIONALISTE EN BRETAGNE,TEMOIGNAGE D'UNE EXPÉRIENCE VÉCUE
Article de Françoise Morvan sur le site GRIB GROUPE INFORMATION BRETAGNE "violence toponomyque en Bretagne " sur l'introduction de non de commune inventées de toute pièce en hautes Bretagne en breton unifié en contradiction avec la toponomye local mais aussi de manière plus étonnante en basse Bretagne ou on attribue à des commune des nouveaux nom plus conforme au néo breton unifié .
Je sais pas si vous comprenez mais lorsqu'on dit “Bretonne”, c'est un dénonyme de la région historique de Bretagne. Personne a dit que le Gallo était une langue Celte...
Trop de gens inventent UNE Bretagne. Ca n'existe que comme région unifiée (tardivement).
Le Gallo est une des racines de l'accent québécois d'aujourd'hui.
Le catalan est proche de l'occitan, non mais.
elle se caillait nan ??? en bord de mer ??
1:07 Ce qu'il dit me semble inexact. Les différentes variantes du gaulois ont eu plus d'influence que le francique. D'ailleurs, pourquoi l'appelle t-on « gallo » ?
La langue française comporte 1000 mots issus du gaulois, selon Jacques Lacroix. Le francique n'aurait apporté que 400 mots.
Les idées reçues ont quand même la vie dure.
vive le gallo
💪💪
La langue d'oïl le Gallo ; l'autre langue bretonne
Hè megliu di more cum'è brettonu (o corsu) chè di campà cum'è franzese, mieux vaut mourir breton que vivre comme français.
Cringe
La Haute Bretagne est peut être de langage romane, mais sa culture est bien celtique. Pourquoi ? Et bien tout simplement car le Breton au fil des siècle à reculé vers l'Ouest et c'est stabilisé entre Lannion et Vannes. Au Xème siècle, on parlait breton jusqu'à St-Malo et Jusqu'à dans la Brière (Grosso modo les alentours de Guérande et St Nazaire). Le gallo d'origine d'île et villaine Est et de Loire Atlantique Est (Au sud de la Loire c'était le Poitevin qui était majoritaire par contre), c'est de plus en plus propagé à L'est donnant la frontière des deux langues de Bretagne que l'on connait aujourd'hui.
Pour moi, le gallo comme le breton doivent êtres enseignés et protégés.
C'est vraiment dommage de voir que la plupart des bretons ne connaissent pas le gallo, cette langue se trouve dans une situation très compliqué aujourd'hui :/ .
Vive la Vendée, les breizh, et le maraichin
Non le breton n'as jamais été parlé que de manière passagère dans les zones dites "gallo" et seulement par les conquérants breton seulement dans les zones qui ont gardés des noms en ac héritière des toponymie des villages romains en acum, en fait le breton qui y était causé par les colons bretons"côtoyait les autochtones gallo-romain parlant le roman local et au moment de l'invasion normande les élites et soldat et colons bretons installés depuis l'invasion bretonne recente on fuits ces zones ,seul les paysans locaux descendants des gallo-romains qui étaient déjà là avant l'arrivée des bretons puis des normands sont restés, car ils étaient des paysans autochtones "distinct des bretons par la langue romane qu'il parlaient" ,non belligérant qui regardaient les envahisseurs passer et nétaient pas mêlés au combat et que les normands distinguaient clairement de leurs adversaires bretons qui eux fuiront, seront chassés, ou peut-être massacrés, ce qui explique la disparition du breton dans ces zones qui étaient en fait un cour moment habité par des locuteurs de deux langues, le breton des élites bretonne et le roman des autochtones.quant aux zones plus a l' est et au sud elle n'ont tous simplement jamais causé breton mais la langue romane l'oil comme le reste de la gaule du Nord ,sur ce sujet il faut lire l'ouvrage fabuleux de JOSEPH LOTH lui même historien de la Bretagne spécialiste des langues celtiques entre autres "histoire des migation bretonne en armorique"
@ArGwenrannad44Breizh j'apprends justement le breton guérandais
Que des conneries, c'est le breton qu'il faut enseigner, pas le gallo, qui n'est qu'un patois !
@@Heimrik01 exactement mais l'etat frabchouillard supportera la gallo c'est évident ....
le génois est un patois pas une langue, il fait partie du même continuum dialectal italien que d'autres villes.
"L'expert" qui ne sait même pas que le corse est du tosvan et pas du gallo ça ne donne pas confiance
Bonjour,
Le corse du toscan? Il a bien trop évolué pour dire ça. J'ai suivi un cours sur le nationalisme corse. Le corse vient apparemment du toscan mais son orthographe a évolué. Elle fait maintenant partie du groupe toscan, ce qui n'est pas pareil. La personne dans la vidéo mélange un peu les langues régionales. Mais le breton, le corse et le gallo sont des langues avec des origines différentes (celtique, italienne et romane pour ces trois-là).
Cordialement.
Bleizi le corse c’est une langue qui a une grammaire proche du toscan mais il est prononcé comme les dialectes du sud (sicilien) en corse et avec accent un peu plus sarde dans les dialectes du Nord Sardaigne. C’est sans doute “insulaire”, mais pas du tout gênois.
@@yokren29 Le Corse est roman poto
La haute Bretagne n est pas celtiques mais romane de langue d oïl . Et c est une langue disons plutôt une langue orale issue de l ancien français .comme les différents dialectes celtiques de basse Bretagne sont des langues d un point de vue des linguistes il ne y a que des langues.d un point de vue politique et historique une langue est un dialectes qui a eu du succès.
La haute-bretagne ne désigne aucunement une identité quelquonque juste une fluctuation linguistique à travers les âges
Une langue??? On reve........
"Comme ça elle disparissera jamais"...Vu le niveau de français constaté ici en Haute Bretagne il faudrait aider les enfants à améliorer leur français, langue dont ils auront besoin pour chercher du travail... De plus le gallo est en général identique au français mais écrit différemment (Haote Bertaigne pour Haute Bretagne), résultat les enfants feront encore plus de fautes en écrivant français.
Faut arrêter de dire n'importe quoi,déjà le plurilinguisme augmente la capacité d'apprentissage des langues donc apprendre le gallo et le français favorise la maîtrise de l'une et l'autre ensuite si vous n'avez jamais entendus de gallo de votre vie,n'en émettez pas un avis affirmatif car ces deux langues ne sont absolument pas identiques...
Pour Thiophîle et' La Boudette ?
C 'est plus du CH'TI ?
DANS LES FOUILLES DU BAVAISY ?
C 'est DU CÔTE DE MAUBEUGE ET de à LE QUESNOY ? Si vous vouleZ dans L'AVESNOIS EIN'BON'tarte au MAROILLE?
@yvelinec3557
Te re-voilà Yveline! È-tu ilé ma boudette! Un temps je me suis moquée de toi - pas méchamment, je pense. Et je t'en demande pardon. Car ta poésie déjantée, bizarroïde, un peu foutraque mais si bienveillante et douce, est un véritable coup de vent de fraîcheur dans ce flot de micro-chauvinisme de pinailleurs qui ergotent à n'en plus finir, "non ça c'est pas du vrai breton, c'est nous qu'on tient le bon bout de l'identité, rhââ la république oppresseuse, gna-gna-gna..." Pas besoin de diviser pour régner, ils le font très bien tous seuls.
Ainsi tu es Ch'ti? Super. Un peuple très chouette, digne d'admiration. Moi, c'est moitié Gallèse, moitié Breizh. Allez tiens oui, vive le Maroilles (moi je préfère la boulette d'Avesnes).
Bises breizh à toi, notre poétesse!
Des patois
@@guillaumelegouais6987
La France est endettée
On a pas à payer des écoles en breton ou autres langues pas françaises
Payez mais ne nous imposez pas des cours de langues régionales
Nos impôts payent les enseignants des écoles Diwan
Bref
Faites du privé hors contrat
Les usa et la Chine sont les 2 puissances mondiales
Aux usa ils parlent anglais
En Chine le mandarin
En UE ont déjà plusieurs langues français allemand italien espagnol et tellement d’autres
Alors rajouter des langues régionales
Pfff
Je rêve d’une UE avec la langue régionale et une langue commune
Ni plus ni moins
DEUX ENORMITES LINGUISTIQUES : LE SERMENT DE STRASBOURG N’EST PAS L’ACTE DE NAISSANCE DE LA LANGUE FRANCAISE; LE CODEX DE LEYDE N’EST PAS L’ACTE DE NAISSANCE DU BRETON.
QUE SONT LE SERMENT DE STRASBOURG ET LE CODEX DE LEYDE ?
Charlemagne, couronné empereur en l’an 800 par le Pape, meurt en 814. Son fils Louis - dit Le Pieux -, lui succède. Il meurt en 840. Il laisse trois fils, qui entrent violemment en conflit : Charles (dit » le chauve « ), Louis (dit » le germanique « ), Lothaire. L’immense empire carolingien est partagé en trois parties, en 843. La partie Ouest (ou occidentale), dont les limites correspondent, grosso-modo, aux trois quarts de la France actuelle (Bretagne exceptée, car ELLE A TOUJOURS ETE EN DEHORS DES POSSESSIONS MEROVINGIENNES ET CAROLINGIENNES), échoit à Charles. La partie Est (ou orientale), échoit à Louis; la partie centrale, dite « Lotharingie « , échoit à Lothaire, qui bénéficie de surcroît du titre d’Empereur.
L’année précédente, en février 842, Charles et Louis se lient par serment contre leur frère Lothaire. Deux textes sont rédigés : l’un en langue » tudesque » (pour simplifier, la langue tudesque est considérée comme le vieil allemand), l’autre en langue « romane » (indispensable : Nithard, Histoire des fils de Louis le pieux, Paris 1964). La légende naît : la version en langue romane serait - dit-on, jusqu’aux travaux actuels -, » du vieux français « ; pire : L’ACTE DE NAISSANCE DU FRANCAIS ! (à suivre)…..
Les quelques feuillets qui constituent le Codex dit » de Leyde « , du 8 ème siècle, qui n’est qu’une liste de plantes médicinales, n’est évidemment pas L’ACTE DE NAISSANCE DU BRETON ! Les Bretons savaient parler depuis de très longs siècles, comme tout le monde, il n’ont aucun besoin d’une liste - contestable - de végétaux pour que leur langue soit réputée ridiculement issue de cette énumération !
LE SERMENT DIT » DE STRASBOURG » n’est CERTAINEMENT PAS l’acte de naissance de la langue française. Pourquoi lit-on partout cette sottise ? Deux linguistes connus - après avoir démontré le contraire (Hagège, page 22; Cerquiglini, La naissance du français, collection Que sais-je ? PUF, Paris, 2007, page 126), se rallient à cette thèse absurde, contre toute logique.
Plusieurs arguments, MAJEURS, militent contre cette aberration :
1 - Les langues ne naissent pas en un moment déterminé, à une date fixe. COMME LES NATIONS, elles naissent, se développent et prennent corps dans un temps LONG, qui se compte par siècles. Assigner à la naissance du français et du breton une date précise (14 février 842 pour le serment de Srasbourg), est une stupidité. 842 est l’année au cours de laquelle le roi Charles le Chauve et le roi Louis le germanique ont prêté un serment d’alliance devenu célèbre, en aucun cas l’année de la naissance du français. Que Hagège, professeur au Collège de France ait pu écrire cela, jette la suspicion sur toute son oeuvre, sinon même la discrédite (personnellement, je lis ses livres toujours avec la plus grande méfiance). (Ce bon monsieur a dit des Bretons, devant les caméras de la télévision : « Les Bretons étaient des sauvages, la France les a civilisés !)
2 - Malgré les tonnes de littérature écrites sur le serment de Strasbourg, aucun linguiste n’a pu déterminer DANS QUELLE LANGUE il est écrit. C’est la langue » romane » (romana lingua), dit Nithard, témoin de ce serment ( page 103, et les notes, très importantes). Mais quelle langue romane ? On s’est évertué, en étudiant le vocabulaire, la structure des phrases, etc.. à tenter de le savoir. On admet généralement que c’est l’un des très nombreux dialectes du Nord de la France. Mais est-ce le Picard, le » Francien « , le dialecte lyonnais, ou même le dialecte poitevin ? Aucune preuve qu’il s’agit du » francien « , idiome de Paris et de sa région. Il est absurde de dire que la langue du serment est » du vieux français « : s’il s’agit du lyonnais ou du poitevin, ce n’est certainement pas du » vieux français » !
3 - On ignore, strictement, qui a rédigé le texte. La question paraît oiseuse, elle ne l’est pas. Assurément, quelqu’un de l’entourage du roi Charles le Chauve. Mais il faut se souvenir que Charles et Louis, nés à Francfort de la même mère, Judith de Bavière, sont GERMANOPHONES, comme tous les Carolingiens. Charles ne vit pas à Paris, mais itinère de lieu en lieu. Ses collaborateurs appartiennent à plusieurs nations, et, assurément, à plusieurs régions du royaume qui lui a été attribué en 843, la » Francia Occidentalis « . Si le rédacteur du serment est parisien, il a probablement rédigé son texte dans la langue de sa région. Mais s’il est Picard, Poitevin, Lyonnais ? Cette nouvelle incertitude s’ajoute aux autres. Elle est d’un grand poids.
4 - Les textes dont on dispose depuis 842 jusqu’à l’éclosion du français médiéval, ne permettent pas d’établir scientifiquement un continuum entre le dialecte de Paris, le serment de Strasbourg, et ce qui va devenir plus tard le français.
Force est de dire qu’on ne sait strictement pas si la langue de ce serment est celle qui, à la suite des transformations au cours des siècles qui suivent, est du français ancien (du francien), ou un autre dialecte de la moitié Nord de la France.
POUR RESUMER : le breton est une langue celtique, héritière d’un idiome très ancien, antérieur au latin; le français est une langue romane, largement issue du latin. Ceci résume tout. Il était temps que cela soit dit clairement, et que ceux des Bretons qui ignorent qui ils sont, se grattent la cervelle pour comprendre, enfin, qu’ils ne sont pas français. Que les linguistes, donc, lisent attentivement ma propre argumentation. Il est douteux qu’ils ne s’y rangent pas.
Porté par vocation à théoriser, en particulier sur la naissance, l’épanouissement, la mort des langues, je ne prends pas à mon compte la phrase qui suit, qui vient en conclusion d’une longue dissertation sur la comparaison des langues européennes, sur les » faiblesses » du français, et sur la richesse d’autres idiomes - le basque, le russe, notamment -, mais je ne peux m’empêcher de la citer. Elle émane du plus remarquable linguiste avec qui j’ai communiqué pendant des années, un Breton, rejeté par les imbéciles sur des considérations politiques, sans aucun égard à son savoir de spécialiste des langues, et qui a enseigné dans les universités :
» …. Cela tient à la déficience du français, beaucoup plus qu’au mérite du breton, car le français - si » précis » au dire de ses thuriféraires, qui ne comprennent NI NE PARLENT AUCUNE AUTRE LANGUE -, est l’un des IDIOMES LES PLUS MINABLES D’EUROPE « .
Ce texte est de Goulven Pennoad, écrit comme cela. Je n’en change pas un mot. L’homme qui a écrit cette phrase, est le plus savant avec qui j’ai eu l’honneur de m’entretenir, maintes et maintes fois. Je transmettrai plus tard la copie de ces correspondances aux éditions Préder, qui les conservera pieusement (Voir ce mot dans Google). Si les Bretons s’intéressaient à leur langue, elles pourraient être publiées. Je pense que l’opinion qu’il émet ci-dessus n’est pas entièrement objective, mais je me réserve le temps de la réflexion, avant de trancher.
POUR L’ANECDOTE. Aussi incroyable que cela paraisse aujourd’hui, en 1954, année durant laquelle j’ai été l’élève de M. Sébastien Volant au lycée de Pont l’Abbé, cet exceptionnel professeur, qui nous a fait aimer la langue française ( = la deuxième langue nationale de Bretagne, je le souligne), nous obligeait à apprendre le serment de Strasbourg, rédigé dans une langue incompréhensible, ….. par coeur ! Plus étonnant : en 2010, 56 ans plus tard, je teste parfois ma mémoire, non sans amusement, en récitant ce texte bizarre, presque sans faire de faute ! Jugez comme nous sommes loin du français actuel :
» Pro Deo amur, et pro Christian poblo et nostro commun salvament, dist di in avant, in quant Deus et savir me dunat , etc. etc. etc. «
Traduction : » Pour l’amour de Dieu, et pour le salut commun du peuple chrétien et le nôtre, à partir de ce jour, pour autant que Dieu m’en donne le savoir et le pouvoir, etc. «
Qui pourrait croire qu’un Breton de Guilvinec connait par coeur le serment de Strasbourg, alors que d’autres, qui collaborent si brillamment à des émissions radiophoniques d’histoire, ne connaissent plus ni l’orthographe, ni la grammaire, ni la syntaxe, ni l’art de ponctuer la phrase ? On pourra, pour vérifier tout cela, se reporter à l’émission » Lumière 101 mélennec bretagne assassinée » (par Google), diffusée maintenant sur RUclips, sous la titre : Langue bretonne, langue française, mélennec : les sottises colportées sur la langue française vous feront mourir de rire ! Je connais des Bretons qui, humiliés par la France de 1789 à nos jours, vont se réjouir, et qu’ils ne feront pas semblant, juste retour des choses.
En revanche, la drolatique émission due à Jean-Gilles MALLIARAKIS, intitulée "Le bêtisier des langues", consacrée aux âneries diffusées par les Français sur la prétendue supériorité de leur langue ...... a disparu ! Prière, si nos lecteurs l'ont copiée, de la remettre en piste : c'est à mourir de rire. Ceci vaut aussi pour Malliarakis, qui n'a pas répondu à ma demande. Ce qui ne fait pas partie des moeurs bretonnes de mon temps.
J'adresse la présente à HAGEGE, qui est devenu un arbre à chats pour les Bretons, depuis que ce barbare prétentieux les a traité de sauvages. Et à Malliarakis.
c'est un patois du français comme le créole et leurs défenseurs se battent contre .... le breton , leur camp est choisi , ce serait mieux de rattacher le 35 à la mayenne , la Sarthe , que sais-je , ils ont le meme patois , et capitale de BZH GWENED PE KEMPER !!!
Ça n'est pas un patois du français mais une des langues d'oïl au même titre que le norman, le picard. La langue d'oïl qui était parlée à Paris est ce qui a donné le français moderne, donc dire que le gallo est un patois du français si l'on prend comme référence la forme contemporaine est faux car l'une ne descend pas de l'autre mais les deux viennent d'un ancêtre commun. C'est un peu comme si l'on disait que le français était un patois de l'italien, ces deux langues viennent seulement d'un même ancêtre (le latin) mais il n'y a pas de lien de causalité entre les deux.
@@mranonymous8642 le gallo est au français ce que le vannetais est au Breton . Le Breton est une vraie langue et sa sphère allait meme en 35 et en 44 au Moyen Age , soumis au français ces régions ont adopté le gallo ( gall veut dire français en Breton) comme le normand , le picard ..;comme bien des dialectes romans qui divergent un peu du français , au lieu de bon dieu vous dites boudiou , oui c'est un peu comme le créole . Le Breton est une vraie langue : ur yezh gwir eo ar brezoneg !!! ça se voit non?
@@perrotabad8385 sauf que le vannetais est une variété du breton tandis que comme dit précédemment, le gallo ne vient pas directement du français en tant que tel, ces langues se ressemblent beaucoup certes, mais cela relève d'une corrélation et non d'une causalité. Tout comme 2 frères qui peuvent beaucoup se ressembler viennent de parents communs mais l'un ne vient pas directement de l'autre. Donc attention à ne pas tomber dans le piège, une langue ayant hégémonie sur ces soeurs (comme le français), ne signifie pas que ces dernières en découlent directement.
La Bretagne devrait se renommer ARMORIQUE.
Non le gallo c est pas breton
Si et ce depuis plusieurs siècles. C'est juste que ce c'est une langue romane, pas celtique
@@yokren29 On parlait la même langue dans les territoire à l'Est de la Bretagne, comme le Maine, la Mayenne, l'Anjou. Alors non, ces gens là ne parlaient certainement pas une langue bretonne.
Clairement le soi-disant gallo est la langue d'oil (romane)oral avec toute les variations d'un village à l'autre mais clairement intercomprehensive la frontière linguistique ce situe entre le breton et la langue d'oil de Bretagne,véritable muraille linguistique. D'ou l'apparition du terme gallo par les bretonnant dans les zones de frottement.
@@lmnll2742 Faux. Mainiot et Angevin sont des langues différentes mais proches. Le Gallo est breton par sa géographie (haute Bretagne).
@@wilhelmlegothdegascogne9674 non, il n'y a pas de frontières linguistiques entre ces parlés
La Bretagne devrait se renommer ARMORIQUE.
l'armorique va de la Loire à la Seine
La Bretagne devrait se renommer ARMORIQUE.
Juste la Haute Bretagne.