Merci pour cette émission passionnante qui nous invite a la reflexion. Toujours un plaisir de vous entendre. Vivement les prochaines. Et merci pour Jean-Claude Biette en introduction, on en parle jamais assez !
Merci à tous les deux pour ces excellentes émissions. Vous m'avez debarasser d'un certain malaise vis-à-vis de la critique YT, et la penser comme cela est un geste trop rare, la plateforme étant plutôt faite pour le clash. De même ici. Les heures défilent effectivement sans qu'on s'en aperçoive : ça pense, ça pense tout le temps, et on attend la suite avec impatience.
Bonjour, Émission très interessante. Toutefois la critique 101 d’Emmanuel Burdeau sur « au revoir les enfant »soulève à mon sens une question :le sujet du film tel que vu aujourd’hui (le rapport de classe) pouvait il être perçu à l’époque, alors que cette problématique était alors totalement évacuée du débat public.
Merci pour ce riche épisode. Je rebondis sur un élément de la fin de cette longue et intéressante émission. Je ne pense pas qu'il soit intéressant que des nouvelles têtes, notamment d'internet, basculent dans une institution comme celle du Masque, (notamment dans son format actuel). Mon argument : pour y faire quoi ? Se partager à plusieurs qq petites minutes sur un film, et dans un cadre qui impose un certain registre de discours/critique ? Sortir d'internet ne signifie pas forcément exporter un nouveau souffle dans les medias traditionnels et quand même on voudrait d'eux là bas est ce qu'ils auraient une vraie place j'en doute. Sortir d'internet c'est aussi s'imposer des contraintes et renier une liberté pourtant salvatrice (de fond comme de forme, par exemple avec les essais video) en particulier pour l'élaboration d'une critique (en premier grâce au temps long). Et même les émissions dites de débats, à plusieurs, avec échanges et parfois contradictions , me paraissent tellement plus enrichissantes au sein d'une équipe de podcast où non seulement il y a le temps du dialogue mais aussi la bienveillance de l'écoute et où le but des chroniqueurs est de développer leur propos au lieu de gagner un duel, espérer gagner une invitation à l'émission suivante et ce en 2min chrono. Il ne s'agit pas de dire que la TV et la radio sont morts, ou qu'il faut boycotter ce vieux monde, mais il m'apparaît aussi chimérique de vouloir changer de l'intérieur ces grosses machines dont l'audience élevée et le prestige sont les seuls atouts. Est ce qu'aujourd'hui le Masque sert à / permet autre chose qu'une fonction prescriptive ? Donc à part chercher une légitimité officielle, institutionnelle, etc qu'est ce qu'un ou une critique venant d'internet irait y chercher ou même pourrait y apporter vu les règles du jeu ?
Un point sur le ton employé par les critiques des premiers masques : au-delà de leur volonté d’être théâtrales, ils ont aussi la pratique oratoire de leur époque. Depuis, avec l’arrivée du téléphone portable, la généralisation des micros, la manière de s’exprimer en public a beaucoup changé et on a gagné un rapport plus intimiste avec le public. Il n’y a plus besoin de « chanter » ainsi pour s’exprimer. Merci pour l’émission !!
1:02:53 "Neuhoff c'est dégoûtant !" comme si c'était une évidence.....cher Emmanuel vous n'encouragez pas les néophytes en cinéma comme moi à persévérer. Je n'ai visiblement pas les codes pour faire partie de votre cercle, je m'abstiendrai dorénavant de vous écouter.
Bonjour messieurs, C'est très sympa de votre part de faire une longue émission sur le Masque, que j'ai découvert il y a un peu plus d'un an en podcast (pour reboucler avec vos conclusions finales). Une émission historique peut-être, mais une émission très limitée intrinsèquement. On peut dire ce que vous n'osez peut-être pas formuler clairement : le Masque est d'abord un télé-achat prescripteur, puis une émission de divertissement pour auditeur csp+, qui ne veut pas penser. Soit, mais la question est : le peut-elle en réalité ? Je trouve assez étrange qu'en 3h d'émission vous n'ayez pas essayé d'élargir le sujet à la place de la critique dans le paysage audiovisuel français, à la singularité que représente malgré tout le Masque dans cet écosystème, et à ce que ça fait tout simplement au format d'être tributaire d'une case horaire, d'un impératif de traitement de l'actualité (comment penser sérieusement 6 films en 50 minutes quand le panel de critiques est superieur à 3 et qu'on doit assurer une phrase minimum à chacun ?), bref, que vous analysiez en fait un peu les conditions matérielles de l'exercice critique qui n'est pas une activité immanente sans prise avec le monde (idée ouverte puis quasi immediatement refermée par le sieur Burdeau). Interroger aussi la singularité ressentie du format ciné, souvent le moins intéressant des trois, alors que le plus régulier. Par ailleurs vous parlez de Critikat à un moment et il se trouve que sur Twitter Marin Gerard a fait quelques posts sur son rapport au Masque qu'il aurait été intéressant d'avoir en tête pour votre debrief. Continuez évidemment comme ça, vive la discussion libre sur RUclips, et longue vie à Microcine (même s'il me semble qu'il faudrait 10 vies pour tout rattraper sur cette chaine)
Merci ! Très intéressant.
Le duo fonctionne bien, vivement les prochaines vidéos.
👍
Thanks!
On ne sent pas passer trois heures, l'émission est à mes yeux une réussite. Merci Samir et Emmanuel !
Merci pour cette émission passionnante qui nous invite a la reflexion. Toujours un plaisir de vous entendre. Vivement les prochaines.
Et merci pour Jean-Claude Biette en introduction, on en parle jamais assez !
Excellente émission! J'espère que les autres épisodes de On y reviendra seront de ce niveau.
Merci à tous les deux pour ces excellentes émissions. Vous m'avez debarasser d'un certain malaise vis-à-vis de la critique YT, et la penser comme cela est un geste trop rare, la plateforme étant plutôt faite pour le clash. De même ici.
Les heures défilent effectivement sans qu'on s'en aperçoive : ça pense, ça pense tout le temps, et on attend la suite avec impatience.
Emission absolument passionnante. J'en aurais bien repris pour 8 épisodes de plus.
Excellente émission. Très stimulante intellectuellement
Encore une fois, une superbe émission
Incroyable émission merci !
Bonjour,
Émission très interessante.
Toutefois la critique 101 d’Emmanuel Burdeau sur « au revoir les enfant »soulève à mon sens une question :le sujet du film tel que vu aujourd’hui (le rapport de classe) pouvait il être perçu à l’époque, alors que cette problématique était alors totalement évacuée du débat public.
Merci pour ce riche épisode. Je rebondis sur un élément de la fin de cette longue et intéressante émission. Je ne pense pas qu'il soit intéressant que des nouvelles têtes, notamment d'internet, basculent dans une institution comme celle du Masque, (notamment dans son format actuel).
Mon argument : pour y faire quoi ? Se partager à plusieurs qq petites minutes sur un film, et dans un cadre qui impose un certain registre de discours/critique ? Sortir d'internet ne signifie pas forcément exporter un nouveau souffle dans les medias traditionnels et quand même on voudrait d'eux là bas est ce qu'ils auraient une vraie place j'en doute. Sortir d'internet c'est aussi s'imposer des contraintes et renier une liberté pourtant salvatrice (de fond comme de forme, par exemple avec les essais video) en particulier pour l'élaboration d'une critique (en premier grâce au temps long).
Et même les émissions dites de débats, à plusieurs, avec échanges et parfois contradictions , me paraissent tellement plus enrichissantes au sein d'une équipe de podcast où non seulement il y a le temps du dialogue mais aussi la bienveillance de l'écoute et où le but des chroniqueurs est de développer leur propos au lieu de gagner un duel, espérer gagner une invitation à l'émission suivante et ce en 2min chrono.
Il ne s'agit pas de dire que la TV et la radio sont morts, ou qu'il faut boycotter ce vieux monde, mais il m'apparaît aussi chimérique de vouloir changer de l'intérieur ces grosses machines dont l'audience élevée et le prestige sont les seuls atouts. Est ce qu'aujourd'hui le Masque sert à / permet autre chose qu'une fonction prescriptive ? Donc à part chercher une légitimité officielle, institutionnelle, etc qu'est ce qu'un ou une critique venant d'internet irait y chercher ou même pourrait y apporter vu les règles du jeu ?
Un point sur le ton employé par les critiques des premiers masques : au-delà de leur volonté d’être théâtrales, ils ont aussi la pratique oratoire de leur époque.
Depuis, avec l’arrivée du téléphone portable, la généralisation des micros, la manière de s’exprimer en public a beaucoup changé et on a gagné un rapport plus intimiste avec le public. Il n’y a plus besoin de « chanter » ainsi pour s’exprimer.
Merci pour l’émission !!
1:02:53 "Neuhoff c'est dégoûtant !" comme si c'était une évidence.....cher Emmanuel vous n'encouragez pas les néophytes en cinéma comme moi à persévérer. Je n'ai visiblement pas les codes pour faire partie de votre cercle, je m'abstiendrai dorénavant de vous écouter.
Quel plaisir d’entendre couramment Burdeau sur RUclips
Bonjour messieurs,
C'est très sympa de votre part de faire une longue émission sur le Masque, que j'ai découvert il y a un peu plus d'un an en podcast (pour reboucler avec vos conclusions finales). Une émission historique peut-être, mais une émission très limitée intrinsèquement. On peut dire ce que vous n'osez peut-être pas formuler clairement : le Masque est d'abord un télé-achat prescripteur, puis une émission de divertissement pour auditeur csp+, qui ne veut pas penser.
Soit, mais la question est : le peut-elle en réalité ? Je trouve assez étrange qu'en 3h d'émission vous n'ayez pas essayé d'élargir le sujet à la place de la critique dans le paysage audiovisuel français, à la singularité que représente malgré tout le Masque dans cet écosystème, et à ce que ça fait tout simplement au format d'être tributaire d'une case horaire, d'un impératif de traitement de l'actualité (comment penser sérieusement 6 films en 50 minutes quand le panel de critiques est superieur à 3 et qu'on doit assurer une phrase minimum à chacun ?), bref, que vous analysiez en fait un peu les conditions matérielles de l'exercice critique qui n'est pas une activité immanente sans prise avec le monde (idée ouverte puis quasi immediatement refermée par le sieur Burdeau). Interroger aussi la singularité ressentie du format ciné, souvent le moins intéressant des trois, alors que le plus régulier. Par ailleurs vous parlez de Critikat à un moment et il se trouve que sur Twitter Marin Gerard a fait quelques posts sur son rapport au Masque qu'il aurait été intéressant d'avoir en tête pour votre debrief.
Continuez évidemment comme ça, vive la discussion libre sur RUclips, et longue vie à Microcine (même s'il me semble qu'il faudrait 10 vies pour tout rattraper sur cette chaine)
Tout à fait d'accord avec cette critique de la critique de la critique !