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Immense BRAVO pour tout vos ESSENTIELS travaux d'intérêts général !

Un grand homme

Coucou, c’est le référencement ! 🤓

Très intéressant, merci L’analogie avec le manque de médecins est partiellement erronée et dessert la pertinence de l’ensemble.

Bonjour et merci. Big fan de Sowel...et de Mos. Sur un autre sujet. Mos avait fait une interview a propos d un livre sur le concept de "jeune bourgeoise de gauche". Et je ne le retrouve nul part sur RUclips et Google. Merci de me donner le nom du livre et l'auteur SVP. Meilleurs voeux

Un peu triste de vous voir tomber dans Hayek, qui n'aurait eu rien à redire à de nombreuses dérives libérales des individus atomisés que vous crotiquez pourtant.

Le problème des discours conservateurs américains c'est qu'ils sont souvent enfemés dans une dualité aussi évidente que fausse : l'individu contre l'État. Ça veut pas dire, d'ailleurs qu'ils sont totalement incapables de penser les institutions sociales, les communautés et les corps intermédiaires, mais ils les pensent mal (ou de manière naïve : ex → le conservatisme de certains libertariens sur la famille). C'est dû au caractère fondamentalement libéral de leur pensée (qui s'explique par l'histoire des EU). Les discours autrement conservateurs existent (R. Nisbet, qui a d'ailleurs dialogué avec les libertariens, R. Dreher peut-être, je ne l'ai pas lu) mais c'est comme s'ils devaient rester marginaux. Peut-être un manque soupçonné de pensée économique. Sur ce point, les conservateurs seraient sans doute mieux inspirés en regardant du côté de Polanyi qu'en suivant Hayek). L'action historique de l'État moderne, aussi inefficace soit-elle, à consisté en partie à emanciper (je dirais déraciner) les individus de leurs milieux d'origine, objectif auquel vous semblez adhérer aussi (ou devriez, si vous défendez réellement la liberté individuelle). En fait, c'est là où j'ai l'impression que vous faites semblant de pas comprendre. L'État ne régule pas seulement pour "contraindre" ou représenter une "tutelle" vis-à-vis de l'individu. C'est, en théorie, pour le libérer des instances régulatrices qui pèsent de toute façon sur lui. Le goût moderne pour l'égalité est aussi un gout pour la liberté. Autrement dit : briser l'hétéronomie des communautés / institutions traditionnelles (ex : traditions de métier, locales, religions, etc). C'est ça, le wokisme, en fait, ou en tout cas, ça suit les mêmes a priori normatifs, qui mènent à dénoncer les régulations sociales non individualistes. En un sens, le wokisme s'il existe est le seul vrai "libéralisme autoritaire" (je plaisante à moitié, mais le projet marxiste est "normativement" libéral). L'individu "traditionnel" n'était pas autonome, il subissait l'hétéronomie de tout un tas d'institutions et communautés, que l'État ou ses équivalents (des "contrôleurs") essayaient déjà de contrôler (Exemple au moyen-âge : confréries et autres associations de métier v.s corporations). L'individu autonome n'existe pas. C'est éventuellement un objectif et donc une norme (au sens de "normativité"), mais pas une réalité. Les institutions préexistent toujours (en un sens l'"individu" même est une institution, au sens de V. Descombes). Un individu sans institutions est un animal, mais surtout, le concept d'individu libre ne permet de comprendre ni la nature ni l'activité régulatrice des institutions. Cela étant admis, il est hypocrite d'avancer que, dans un monde sans État, les libertés individuelles s'exprimeraint. Ce qui s'exprimerait plus certainement, ce sont les régulations d'institutions non pensées. Le libéral conséquent désire que l'individu autonome se réalise, et entend construire ou transformer des institutions à cette fin (souvent : projet d'un État individualisant). Le conservateur conséquent pense que l'autonomie (au sens fort) de l'individu n'est pas souhaitable parce qu'il croit qu'il y a des choses (notamment des institutions) qui doivent être préservées à tout prix et qu'il y a une saine et nécessaire hétéronomie. Mais le libéral-conservateur sauce américaine s'oppose a l'État au nom de l'autonomie de l'individu (normativité ultime) et oppose un conservatisme dont on a du mal à saisir légitimité (pusqu'il est profondément anti-individualiste et antilibéral) aux libéraux qui réclament de l'État qu'il libère / autonomise les individus. Bref ça reste une très bonne chose de traduire ce genre d'auteur en français. On en manque, ne serait-ce que pour savoir comment en on pense outre atlantique et ailleurs. Et T. Sowell semble être un chercheur rigoureux et porter de bonnes idées (comme ce bon vieux pragmatisme de la "faisabilité"). Néanmoins le baiser du libéralisme au conservatisme est et sera toujours un baiser mortel (et vice et versa).

Arrêtez de parler d'économie ! c'est consternant. Alors les médecins, Mos, c'est le numerus clausus le problème, c'est qu'ils ont limité le nombre de personnes admissibles au concours, rien à voir avec le prix de la consultation, même avec dépassement d'honoraires, il n'y a pas de médecins. Même au noir il n'y en a pas. Et Macron est un libéral. Mais un libéral qui travaille pour le capitalisme financier, pour Black Rock ou Rothschild, mais pas pour Tesla ou Peugeot. De rien.

La critique légitime des excès de l'étatisme (l'état peut tout) ne doit pas mener à une posture tout aussi idéologique (le marché peut tout). Le marché est aussi une institution, une production de l'histoire, lié à des dynamiques comme l'urbanisation et la mondialisation. Aujourd'hui son organisation relève de l'état, mais aussi d'organisations supranationales : le démantelement de l'état ne confortera que le pouvoir d'organisation de ces dernières ; alors qu'on peut défendre des organisation populaires du marché, visant à répondre à nos besoins. Il y a une gauche non-étatiste, celle des AMAP, des circuits courts, des coopératives qui a ses propositions ; et une droite non-étatiste de l'artisanat, de l'entreprise familiale, des corporations qui a aussi son mot à dire.

Pour rappel, vous pouvez réserver votre exemplaire sur notre site : editions-carmin.com/produit/illusions-justice-sociale-sowell/

Merci 🙏🏼

Vivement Février que l'on puisse le lire en français !

👍

La Vie (Vue) ... le Bien (Beau), l'Un (Loi) etc.

1:10:46 🤣

Le problème, c'est que Chesterton est à la fois le remède ET la cause. Sa vision de notre relation à la nature, pages 170-171, est à ce titre révélatrice. Selon lui, nous devons admirer la nature, non l'imiter. La nature n'est pas notre mère, même pas notre soeur, tout au plus notre soeur cadette. Cette arrogance face à la nature se trouve déjà en germe dans le christianisme, et autorise les dérives ultérieures que Chesterton dénonce par ailleurs, comme de nier les réalités du corps. Car le corps, c'est la nature. Chesterton est tout de même, malgré son talent, un produit de son époque. Il est chrétien, mais le christianisme est DEJA une dégradation du sentiment religieux, son abstraction avant sa disparition finale.

Bon, je vois déjà un biais énorme chez ce messieur en parlant de la responsabilité. Le fait de mettre de côté le fait que les pays dont ils parlent sont dirrigés par des dictateurs. Enfin ça me semble être un point central, mais il en parle à peine. Bizarrement leur responsabilité dans l'état de pauvreté et de misère humaine n'a pas d'importance on met tout dans la pseudo responsabilité individuelle. Tout le raisonnement est biaisé du fait.

très intéressant. L'humour anglais ❤ A 1:46:14, 😱OMG !! Mais c'est de la nécromancie !! Et à 1:51:11, c'est du vampirisme !

Merci pour cette interview, très agréable et sympathique.

J'ecoute cet entretien en attendant de recevoir ses deux ouvrages, et d'une part merci à vous d'avoir entrepris cela, mais je tenais à dire que je trouve que cet homme dégage beaucoup de chaleur, c'est frappant !

👍

En toute honnêteté, je trouve que c'est un peu décousu. Ils abordent plusieurs sujets sans vraiment les approfondir.

Salut ! Merci pour cette petite pépite. De qui vient la citation (approximative) « ne vous cherchez pas, perdez vous » ? Je n'ai pas réussi à transcrire le nom que vous citiez.

Chesterton est un de mes penseurs préférés et il y a d'autres analyses de lui qui s'appliqueraient mieux au Wokisme Car il y a certaines constantes dans le wokisme : l'impudeur voir l'impudicuté et la vulgarité, le blanc doit quasi tout le temps être efféminé (les autres hommes aussi de façon général), métissage (ou fréquentation d'une autre ethnie que la sienne) obligatoire (on sait ce qu'il en est dans les faits), les femmes masculinisée (ou l'air hystérique quand elle y arrive pas) ... Bref si un Woke reste identifiable c'est que c'est encore une chose qui suit certaines règles et principes, même s'ils se donnent ce côté faussement anarchique (la vraie anarchie d'ailleurs serait qu'il y ait de tout et pas que d'une seule chose)

Quid de la question profonde de pourquoi on rencontre une personne et pourquoi on se marie avec ? J'ai toujours dans le fond de ma tête l'idée que les gens qui interviennent dans des histoires de couples peuvent avoir un impact significatif sur le destin de ceux-là et donc sur le destin de l'humanité (enfants à naître) Ne pensez-vous pas que parfois c'est Dieu qui intervient pour former certains couples ? Transformer ce qui a été mis en place par le "hasard de Dieu" n'est ce pas toucher un peu l'œuvre de Dieu ou "se prendre pour Dieu" ? Je parle là pour les milliers de psychiatre, psychologue, docteurs, coachs etc qui existent aujourd'hui Et qui sont souvent athées Aussi quid des responsabilités des femmes qui sont des êtres éternellement mystérieuses et complexes à comprendre.. la culture de l'excuse ne les touche pas elles aussi ? Augmentant par la même le féminisme qui ressemble de plus en plus à de l'hystérie assumée

Idriss Aberkane, comprendre le plagiat

L articulation oral est horrible. Désagreable a ecouter. J ai tenu 2 min.

Il serait intéressant de se poser la question suivante : est ce que la pauvreté dans un état socialiste, ou à valeurs sociales institutionnalisées fortes, crée de la richesse ou plus pragmatiquement du PIB ?

je vous suis avec passion sur bon nombre de points mais il serait intéressant d'aborder également la violence symbolique du système et la totale impunité des criminels en col blanc qui provoquent une injustice de fond concernant la redistribution des richesses créées en grande partie par les plus pauvres d'entre nous _ je veux dire par là et sans pour autant déresponsabiliser les criminels pauvres que l'impunité de ceux qui volent des milliards à la communauté ne sont jamais inquiétés voire totalement valorisés dans nos sociétés [on aurait tendance à les classer dans la catégorie des *winners* et ça... ça énerve 😆 et j'ajoute pour connaître ce genre de gens qu'ils se droguent aussi 😉]

Un personnage intelligent, simple, chaleureux, pas du tout austère, de l'humour. Un homme de terrain, riche d'expérience, très lucide sur tous les maux de la société.

Vous savez ce qui serait bien ? Un témoignage de Dalrymple sur Radio Maudin. 😇

Qui a et participe a cet écroulement le malheur des uns fait le bonheur des autres des Noms

Merci Maudin de me l’avoir présenté

J'aime beaucoup les arguments de m. Dalrymple. Je l'ai connu grâce à radio maudin. C'était passionnant. Personnellement , je trouve que la pensée de Robert Sapolsky (entre autres) , affirmant qu'il n'y a pas de libre arbitre (c'est une illusion), se combine bien avec celle de Dalrymple. J'aimerais beaucoup que ces deux intellectuels discutent entre eux de ce sujet, le libre arbitre.

J'ai été rassasié. Merci. Je penses éventuellement montrer cet entretien à des personnes autour de moi. Hâte de recevoir les livres.

J’ai passé une bonne commande à partir du Québec sur votre site. Voilà une bonne année que je voulais le lire et par la même occasion j’ai pris vos trois livres. Ils semblent tous de bonne qualité. J’ai bien hâte de les recevoir, merci pour votre travail.

Victor Frankl, intéressante référence.

J'ai lu l'Odyssée en cinquième aussi... J'en avais fait un résumé de onze pages pour le présenter en classe, j'étais assez fier de moi... Je l'ai lu en traduction française bien sûr ! Quand je trouve parfois des versions "abrégées" de l'Iliade ou l'Odyssée épaisses comme un Oui-Oui dans des boîtes à livres je trouve ça désolant. On prend vraiment les mômes d'aujourd'hui pour des débiles.