J'avais la réflexion suivante... Si quelque chose est plate sans alcool, à la base c'est que ça vaut pas tant la peine. Je me suis rendu compte que je buvais principalement par ennuie. Quand on fait des activités qu'on aime et qu'on partage des moments avec des gens avec qui on connecte réellement on oublie facilement l'alcool.
C’est intéressant d’écouter ce podcast le mois où je me suis lancé le défis du “dry february” - c’est difficile socialement, l’alcool est extrêmement présent à tous les partys/rencontres chill avec mes amis habituellement. Surtout l’été, la boisson s’accumule vite mais j’essayerai de faire attention cette année
mes 2 parents sont alcooliques, et c’est vrai que l’alcoolisme est vrm très présent, plus que l’on pense. Dire qu’on donnait de l’alcool aux enfants dans les écoles en France avant… la société évolue mais lentement. Un point que vous n’avez pas beaucoup abordé mais qui serait intéressant de creuser je pense, est la détresse psychologique que beaucoup de personnes vivent en société, avec l’alcool ou pas. L’alcool est une façon simple d’oublier les soucis le temps d’une soirée, mais l’anxiété et la dépression revient au galop le lendemain…
lors du mariage d'un des mes enfant toute la cérémonie et la soirée le tout était sans alcool et personne ne c'es plen et toute la journée a été très agréable, et ce même si la soirée était dans une salle de réception qui a un permis d'alcool.
Bonjour vous 2 . Je suis en plein dedans depuis 2 ans et demi . Ma mère est alcoolique depuis des années .. j allais tjrs la rechercher à gauche et à droite , car elle était en état comatilique , tout en me disant jamais je ferais pareil . Malheureusement, j ai fais la même . Pour me calmer , pour ne plus voir la merde qu il se passe partout , pour être plus cool . Donc , si vous avez le truc , la volonté d arrêter , tout va bien . Surtout reconnaître avant tout , qu on est alcoolo . Bonne continuation à vous deux
Intéressant. Des études ont été faites sur une période de plusieurs décennies , par des neurologues, des chercheurs, des médecins spécialistes, concernant l'impact dommageable , souvent sans retour, sur le cerveau causée par l'usage du cannabis . Le cannabis serait la substance la plus addictive et la plus dommageable . Si je retrouve le documentaire je vous le ferai parvenir. Merci
Il faut être régressé et à aimer se torturer pour consommer une substance de type dépresseur. Pour seulement un soulagement temporaire et que par la suite c'est souvent pire. À se retrouver avec un taux de sérotonine trop bas n'est pas agréable, en plus de favoriser la destruction de neurones. Il suffit d'un peu de patience. Les symptômes de sevrage sont temporaires. Par la suite, c'est un high au naturel, à ressentir de façon plus agréable les moments plaisants, sans les bad side-effects de l'alcool.
Je te confirme que ce n’est pas aussi facile que ça. La personne la plus consciente de sois-même ou réfléchie aura quand même de la difficulté a se séparer d’une substance comme l’alcool. C’est une dépendance et c’est malheureusement très difficile à contrôler. Ton cerveau s’habitue à calmer momentanément l’anxiété et à avoir une réponse positive avec l’alcool. Ce n’est pas la morale ou la logique de l’humain, qui, concrètement s’habitue, c’est le cerveau. Quand on boit fréquemment, ça deviens de plus en plus difficile de contrôler ses décisions (consommer un lendemain de veille pour se sentir mieux, enlever la culpabilité, être mieux dans son corps, prendre un verre de trop) parce que la substance affecte aussi le lobe frontale. Plus tu consommes fréquemment et plus cette partie du cerveau qui t’aide à prendre des décisions est affectée. Oui, l’anxiété augmente et la dopamine diminue avec l’alcool, mais c’est justement pour ça que la zone de réflexion est affectée et que la personne touchée à plus de difficulté à arrêté. Mon message n’est sûrement pas le meilleur, mais j’ai 19 ans et j’essaie d’arrêter de boire. Non, je ne veux pas me faire souffrir, c’est le contraire. Je fais tout pour arrêter et j’ai jamais voulu me faire de mal.
J'ai de la misère avec le "En sachant les effets, tu fais ce que tu veux, t'es un adulte". Ça reste que la facture est payée par la société et ses contribuables. Ça revient à glorifier l’individualisme versus le collectif. Aussi, nous sommes très fort au Québec pour "les soins immédiats", mais très peu pour la prévention. Ce genre de propos s'inscrit parfaitement dans la pensée court terme qui caractérise nos sociétés occidentales. Bref, étant moi même un buveur festif à la Hugo Meunier, je pense quand même que c'est important d'avoir une réflexion et de dépasser les arguments qui se rapporte à l'individu et de réfléchir au collectif.
En même temps il faut respecter l'autonomie de tous et chacun... La même chose avec les gens qui fument, ça reste une décision personnelle et c'est le ''désavantage'' de la vie en société, on inclut les décisions des autres : Les prisons, certains soins de santé qui peuvent être perçus comme non-nécessaires, des gens qui ne veulent pas travailler. Les choix de vie appartiennent à chacun.
@@emilielambertg.2623 C'est vrai mais comme dit en haut c'est un peu embêtant pour les gens qui n'ont rien à voir avec ses comportements de payer pour ceux qui s'en foutent. Il y a un gros travail de prévention à faire
La seule façon d'arrêter de boire c'est d'avoir soi-même un profond désir d'améliorer sa vie. Si ça vient de la collectivité c'est voué à l'échec. C'est pour ça que les prohibitions n'ont pas fonctionnés.
Tu veux un etat socialiste, ben c'est ca. Tu paye pour la facture des autres pi ta pas un mot a dire. Autrement on va faire comme les etats unis, la tu peux faire ce que tu veux parce c'est toi qui va payer pour.
Merci d’avoir tenté de nuancer les résultats des études (ie risque relatif vs absolu). Il y aurait encore beaucoup à dire (j’ai fait mes études dans le domaine de la prévention cardiovasculaire et je connais donc tres bien l’étude d’Ancel Keys - celle qui a mis les propriétés cardioprotectrices du vin rouge de l’avant…). Il est important de remettre les études dans leurs contextes. Les raisons pour lesquelles nous buvons et l’environnement dans lequel nous le faisons sont bien différents maintenant que par le passé. Entre autres, prendre un verre auj. pour oublier une mauvaise journée, c’est boire un verre après 8h passées sur Teams. À l’époque où les bienfaits de l’alcool ont été observés, une mauvaise journée se résumait à 10-12h passées aux champs, à l’usine, etc. Cheers 🫣
Encore trop trop trop bon 😳mon père était alcoolique, dépressif et il s’est suicidé cette année. C’est important d’en parler 🙏🏻
Toute mes sympathie à toi, reste forte
Courage à toi
J'avais la réflexion suivante... Si quelque chose est plate sans alcool, à la base c'est que ça vaut pas tant la peine. Je me suis rendu compte que je buvais principalement par ennuie. Quand on fait des activités qu'on aime et qu'on partage des moments avec des gens avec qui on connecte réellement on oublie facilement l'alcool.
C’est intéressant d’écouter ce podcast le mois où je me suis lancé le défis du “dry february” - c’est difficile socialement, l’alcool est extrêmement présent à tous les partys/rencontres chill avec mes amis habituellement. Surtout l’été, la boisson s’accumule vite mais j’essayerai de faire attention cette année
Get after it! 💪🏻
Excellent épisode!! Bravo!
mes 2 parents sont alcooliques, et c’est vrai que l’alcoolisme est vrm très présent, plus que l’on pense. Dire qu’on donnait de l’alcool aux enfants dans les écoles en France avant… la société évolue mais lentement. Un point que vous n’avez pas beaucoup abordé mais qui serait intéressant de creuser je pense, est la détresse psychologique que beaucoup de personnes vivent en société, avec l’alcool ou pas. L’alcool est une façon simple d’oublier les soucis le temps d’une soirée, mais l’anxiété et la dépression revient au galop le lendemain…
L'alcool est un lubrifiant social. Si on en met trop ça dérape et on est noyé
lors du mariage d'un des mes enfant toute la cérémonie et la soirée le tout était sans alcool et personne ne c'es plen et toute la journée a été très agréable, et ce même si la soirée était dans une salle de réception qui a un permis d'alcool.
J’aime beaucoup cette idée :)
Bonjour vous 2 . Je suis en plein dedans depuis 2 ans et demi . Ma mère est alcoolique depuis des années .. j allais tjrs la rechercher à gauche et à droite , car elle était en état comatilique , tout en me disant jamais je ferais pareil . Malheureusement, j ai fais la même . Pour me calmer , pour ne plus voir la merde qu il se passe partout , pour être plus cool . Donc , si vous avez le truc , la volonté d arrêter , tout va bien . Surtout reconnaître avant tout , qu on est alcoolo .
Bonne continuation à vous deux
bonjour il serait intéressant d'inviter le Chef Michel Dumas à l'émission, merci.
Intéressant. Des études ont été faites sur une période de plusieurs décennies , par des neurologues, des chercheurs, des médecins spécialistes, concernant l'impact dommageable , souvent sans retour, sur le cerveau causée par l'usage du cannabis . Le cannabis serait la substance la plus addictive et la plus dommageable . Si je retrouve le documentaire je vous le ferai parvenir. Merci
Très interessant!
Très bon merci! Ou peut-ont voir le documentaire?
Vivre et laisser vivre c'est parfois difficile au Québec
Super le fun
Il faut être régressé et à aimer se torturer pour consommer une substance de type dépresseur. Pour seulement un soulagement temporaire et que par la suite c'est souvent pire. À se retrouver avec un taux de sérotonine trop bas n'est pas agréable, en plus de favoriser la destruction de neurones. Il suffit d'un peu de patience. Les symptômes de sevrage sont temporaires. Par la suite, c'est un high au naturel, à ressentir de façon plus agréable les moments plaisants, sans les bad side-effects de l'alcool.
Je te confirme que ce n’est pas aussi facile que ça. La personne la plus consciente de sois-même ou réfléchie aura quand même de la difficulté a se séparer d’une substance comme l’alcool. C’est une dépendance et c’est malheureusement très difficile à contrôler. Ton cerveau s’habitue à calmer momentanément l’anxiété et à avoir une réponse positive avec l’alcool. Ce n’est pas la morale ou la logique de l’humain, qui, concrètement s’habitue, c’est le cerveau. Quand on boit fréquemment, ça deviens de plus en plus difficile de contrôler ses décisions (consommer un lendemain de veille pour se sentir mieux, enlever la culpabilité, être mieux dans son corps, prendre un verre de trop) parce que la substance affecte aussi le lobe frontale. Plus tu consommes fréquemment et plus cette partie du cerveau qui t’aide à prendre des décisions est affectée. Oui, l’anxiété augmente et la dopamine diminue avec l’alcool, mais c’est justement pour ça que la zone de réflexion est affectée et que la personne touchée à plus de difficulté à arrêté. Mon message n’est sûrement pas le meilleur, mais j’ai 19 ans et j’essaie d’arrêter de boire. Non, je ne veux pas me faire souffrir, c’est le contraire. Je fais tout pour arrêter et j’ai jamais voulu me faire de mal.
Par contre je suis d’accord avec les bienfaits concrets et enviables de la sobriété
J'ai de la misère avec le "En sachant les effets, tu fais ce que tu veux, t'es un adulte". Ça reste que la facture est payée par la société et ses contribuables. Ça revient à glorifier l’individualisme versus le collectif. Aussi, nous sommes très fort au Québec pour "les soins immédiats", mais très peu pour la prévention. Ce genre de propos s'inscrit parfaitement dans la pensée court terme qui caractérise nos sociétés occidentales.
Bref, étant moi même un buveur festif à la Hugo Meunier, je pense quand même que c'est important d'avoir une réflexion et de dépasser les arguments qui se rapporte à l'individu et de réfléchir au collectif.
En même temps il faut respecter l'autonomie de tous et chacun... La même chose avec les gens qui fument, ça reste une décision personnelle et c'est le ''désavantage'' de la vie en société, on inclut les décisions des autres : Les prisons, certains soins de santé qui peuvent être perçus comme non-nécessaires, des gens qui ne veulent pas travailler. Les choix de vie appartiennent à chacun.
@@emilielambertg.2623 C'est vrai mais comme dit en haut c'est un peu embêtant pour les gens qui n'ont rien à voir avec ses comportements de payer pour ceux qui s'en foutent.
Il y a un gros travail de prévention à faire
La seule façon d'arrêter de boire c'est d'avoir soi-même un profond désir d'améliorer sa vie. Si ça vient de la collectivité c'est voué à l'échec. C'est pour ça que les prohibitions n'ont pas fonctionnés.
Ça fait flipper, c'est comme si on obligeait les gens à se piquer comme certains pays l'on fait
Tu veux un etat socialiste, ben c'est ca. Tu paye pour la facture des autres pi ta pas un mot a dire. Autrement on va faire comme les etats unis, la tu peux faire ce que tu veux parce c'est toi qui va payer pour.
Merci d’avoir tenté de nuancer les résultats des études (ie risque relatif vs absolu). Il y aurait encore beaucoup à dire (j’ai fait mes études dans le domaine de la prévention cardiovasculaire et je connais donc tres bien l’étude d’Ancel Keys - celle qui a mis les propriétés cardioprotectrices du vin rouge de l’avant…).
Il est important de remettre les études dans leurs contextes. Les raisons pour lesquelles nous buvons et l’environnement dans lequel nous le faisons sont bien différents maintenant que par le passé. Entre autres, prendre un verre auj. pour oublier une mauvaise journée, c’est boire un verre après 8h passées sur Teams. À l’époque où les bienfaits de l’alcool ont été observés, une mauvaise journée se résumait à 10-12h passées aux champs, à l’usine, etc.
Cheers 🫣