Asaman XXII - Steel and Gears
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- Опубликовано: 25 окт 2024
- Asaman XXII - Steel and Gears
[Verse]
Clock in at dawn eyes so red
Wear a mask of fake smiles they said
Push the buttons pull the levers tight
Lost my soul in the factory's light
[Verse 2]
Metal clinks my heartbeats in time
Sweat and oil mark my prime
Silent whispers from the night shift guard
Black coffee dreams hit me hard
[Chorus]
Workin twelve hours like a steel machine
Voiceless whispers paint the scene
Marching for a shadow I don't know
Into the darkness where no sun will show
[Verse 3]
Chain me to a desk or factory floor
Tomorrow's jokes become today's chore
Rusted iron weighs down my bones
Wishes buried under grinding tones
[Bridge]
Moaning cello sings my blues
Echoing tales that I can't refuse
Choir of despair in the background hum
Haunted by the beat of a mechanical drum
[Chorus]
Workin twelve hours like a steel machine
Voiceless whispers paint the scene
Marching for a shadow I don't know
Into the darkness where no sun will show
IndulgentLabel @copyright 2024. Asaman
All right reserved
[Verset]
Arrivée à l'aube, les yeux si rouges
Portez un masque de faux sourires, disaient-ils
Appuyez sur les boutons, tirez fermement sur les leviers
J'ai perdu mon âme dans la lumière de l'usine
[Couplet 2]
Le métal fait tinter mes battements de cœur au rythme du temps
La sueur et l'huile marquent mon apogée
Chuchotements silencieux du gardien de nuit
Les rêves de café noir m'ont frappé durement
[Chœur]
Travailler en douze heures comme une machine en acier
Des murmures sans voix peignent la scène
Marchant pour une ombre que je ne connais pas
Dans l'obscurité où aucun soleil ne se montrera
[Couplet 3]
Enchaîne-moi à un bureau ou à l'usine
Les blagues de demain deviennent la corvée d'aujourd'hui
Le fer rouillé alourdit mes os
Des souhaits enfouis sous des tons grinçants
[Pont]
Le violoncelle gémissant chante mon blues
Des histoires qui font écho que je ne peux pas refuser
Chœur du désespoir en fond sonore
Hanté par le battement d'un tambour mécanique
[Chœur]
Travailler en douze heures comme une machine en acier
Des murmures sans voix peignent la scène
Marchant pour une ombre que je ne connais pas
Dans l'obscurité où aucun soleil ne se montrera