"Habiter, c'est créer" (2/2) avec Miguel Benasayag

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  • Опубликовано: 24 авг 2024
  • Habiter, c’est créer. Créer, c’est résister. L’habitat participatif serait donc acte de résistance. Mais résister à quoi ? En créant comment ?
    Après avoir confronté les témoignages de deux projets d'habitat participatif pionniers (Gecklogis et les Graines urbaines), une conférence du philosophe Miguel Benasayag qui offre l'opportunité de bousculer nos certitudes, et d'envisager aborder tout projet d'habitat participatif comme… une aventure.
    Miguel Benasayag est philosophe, psychanalyste et ancien résistant guévariste. Il est l'auteur de nombreux ouvrages.
    Une conférence organisée dans le cadre de la 7e édition des Rencontres Nationales de l'Habitat Participatif, le vendredi 5 juillet 2024, à Rennes.
    Animation : Samuel Lanoë (L'Epok)

Комментарии • 4

  • @isafannech7714
    @isafannech7714 Месяц назад

    Quel bonheur de pouvoir réécouter Mr Benasayag !

  • @anawahren9999
    @anawahren9999 Месяц назад

    Gracias Migue!!
    Todo lo que planteas lo comparto!!!
    Y trato de pensar cómo crear nuevas formas solidarias para prepararnos , en el presente para la catástrofe que ya estos viviendo!!!
    Ojalá podamos continuar compartiendo ideas y generar nuevas vivencias
    Gracias!

  • @nadegenazaire4356
    @nadegenazaire4356 Месяц назад

    Je ne connaissais pas la notion d'habitat participatif. Aussi, je vais bien écouter votre conférence sur laquelle je viens de tomber.

  • @nadegenazaire4356
    @nadegenazaire4356 Месяц назад

    A la fin de la conférence, je ne sais toujours pas ce que c'est que l'habitat participatif qui n'est à mon avis pas une sorte de foyer ou campus. J'aurais aimé que le présentateur le définisse et en présente les différents types. Je sais seulement que ce type d'habitat fait partie des innovations récentes en matière de logement en particulier pour les personnes âgées et celles en situation de handicap ou de perte d'autonomie. J'aimerais aussi ajouter que personne n'est jamais tout à fait en dehors d'une communauté et ce que depuis longtemps j'ai remarqué et n'ai jamais vraiment compris c'est ce poids de la Communauté, des groupes sur les individus. Ce, même sur l'individu qui en a eu l'idée. Le poids de ces derniers va toujours s'exercer sur ceux d'entre eux qui sont les plus solitaires, c'est-à-dire qui n'ont pas à eux-mêmes des sous-groupes ou des sous-communautés, c'est-à-dire, pas de famille, pas d'enfants qui pourraient constituer en quelque sorte pour eux ce rempart ou une forme de protection contre des individus des autres groupes ou des autres communautés. En ce sens l'individu va toujours être broyé par ces derniers et cela passe par différents procédés. Personnellement, j'ai déjà assez souffert de leur écrasement. Il est facile d'être encerclé, cerné par on ne sait qui quand on est seul. Malheureusement, les anarchistes respectent les autres, leurs règlements, leurs lois, mais à eux, on ne respecte jamais leur distance. Surtout en ces temps où des individus sont quasiment pris en otage technologique où il n y a plus de communication d'individu à individu mais d'un avatar numérique à une personne physique vivant dans le monde réel. Vive la modernité et vive le communautarisme qui isole en renvoyant à l'onlinéité !