Benoît Hamon à l'ENS - Vers une nouvelle solidarité humaniste et écologique ?
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- Опубликовано: 25 фев 2019
- Retrouvez la conférence de Benoît Hamon à l'École normale supérieure, sur la crise des solidarités humaines (inégalités, exploitation, migrations, guerres) et environnementales (manque d'efforts écologiques, fin de la coopération internationale), ainsi que sur le revenu universel.
👉 00:00:10 ▶ "Défendre des valeurs humanistes, écologiques et solidaires". Comment proposer une autre politique migratoire, plus humaine mais aussi plus efficace ? Quel est l'avenir de notre système de solidarité "à la française" et comment le réformer sans le dénaturer, tout en restaurant son effectivité pour plus de redistribution et d'égalité des chances ?
👉 01:05:10 ▶ Revoyez la Réplique avec l'économiste Gilles Saint-Paul, libéral d'orientation friedmanienne, favorable au revenu universel, a opposé une vision libérale du revenu universel à la vision de gauche de Benoît Hamon. Le débat s'articule autour de la question : "quel revenu universel est réellement envisageable en France aujourd'hui ?". Défenseur du point du vue friedmanien (le revenu universel ayant été théorisée en économie par Milton Friedman, Prix Nobel 1976), certaines convergences apparaissent avec l'approche de Benoît Hamon.
Il faut faire évoluer la notion de revenu universel en revenu social, dégressif à partir du salaire moyen et sans effet à partir de 3000 €. C'est pas compliqué à comprendre, ça fait des semaines que je le dis. Ça annule l'argument principal des opposants et ça devient tout de suite plus réalisable concrètement.
Le revenu social est une solution concrète pour lutter contre la pauvreté, dans une société où certains perdent leur vie à la gagner pendant que d'autres crèvent à ne rien gagner. Le revenu social, c'est partager le travail, réduire le chômage et la pauvreté, et redonner du temps , un sens à la vie, pour une majorité de la population abetit et réduite à l'état de cons sots mateurs qui ne se sentent exister que dans les réflexes pavloviens d' un hyperconsumerisme absurde et puéril d'une société du paraître et non de l'être. De l'illusion d'être heureux, dans la fulgurance et la facilité de l'acte d'achat compulsif pour les burn-outés, ou dans la misère mentale de l'alcoolisme des néo-ploucs , il faut la société sortir. En redonnant du temps de vivre aux travailleurs et du pouvoir d'achat aux plus pauvres.
Du grand Benoit
Les questions sont intéressantes, mais Benoît Hamon ne répond pas et est toujours aussi ignoble
Benoît Hamon n'a pas le niveau