Quand La Peur Est Érigée En Modèle Social (modèle de gouvernance)

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Vidéo inhabituelle au cours de laquelle je vous raconte une anecdote qui m'est personnellement arrivée il y a quelques semaines.
De l'histoire d'une cigarette malencontreusement jetée sur la voie publique à l'anxiété suscitée par les comportements d'un gardien de la paix, à la génération de la peur comme modèle social dans un système de coercitions libertés et d'entraves des de plus en plus généralisé.
Quand l'autorité cède le pas à l'exercice du pouvoir, et que la peur y trouve une place centrale.
Il s'agit alors d'infantiliser, de réduire l'autonomie, et d'accroitre le lien de dépendances.
La peur devient alors le moyen ultime - accessoirement violent - de contrôler une population et ses comportements.
Pourquoi? Parce-que la peur divise et isole ce qui favorise le besoin de contrôler une population par peur qu'elle échappe à ses dirigeants.
Ce qui, in fine, revient à dire que les gens qui ont le pouvoir ont peur, peurs ou angoisses qu'ils transfèrent sur la police et la justice pour contrôler la population.
Dès lors, on s'approche dangereusement de ce que d'aucuns appelle une démocrature.
La boucle est bouclée: la peur devient un modèle social dont le bénéfice caché profite à l’exécutif (cf. présidence de la république et gouvernement).
A cette fin, celui-ci ne manque pas de manipuler la population laquelle n'en peut plus et, en guise de réponse, se renferme sur elle même, s'isole, et cultive son angoisse externe.
Chaque individu s'oublie alors en tant qu'humain et, ce faisant, perd de son identité, otage d'une peur savamment distillée comme un vaccin.
Mais qui servent la présidence et le gouvernement. Quels sont les objectifs cachés?
Peut-être le "grand capital" lequel a une peur bleue de perdre ses prérogatives, ses richesses, voire ses privilèges alors que son modèle est en bout de course et qu'il participe chaque jour un peu plus à détruire ce que d'autres ont créé en son nom.
La peur justifie les tentatives de contrôles répétées lesquelles alimentent la peur puis encore plus de contrôle et de coercition, puis plus de peurs, etc., etc.
Cette peur - cette anxiété souterraine - s'inscrit alors dans une démarche mortifère qui s'auto-alimente tel le mythe de Sisyphe.
On tombe alors dans l'absurde, un excellent facteur et cause d'anxiété...
Quoiqu'il en soit, pour résoudre un problème d'angoisse, d'anxiété, de dépression ou de phobie, je vous invite à cliquer sur ce lien :
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