Wow je suis dans ma première année de maraichage j'ai 21 ans et je ne me pose pas autant de l'imite dans mes pratique que cette homme, mais je me reconnais quand meme dans beaucoup de ses dires, merci a lui et a l' équipe de l'avoir filmée et mis sur internet car c'est notamment grace a tout ces partage que j'évite bien des galères. C'est aussi grace a des hommes comme Pierre-Xavier Browaeys mon maitre d'apprentissage de l'année dernière que les choses avance. Malgré les galères on reste fort ✊
Il essaie de plaisanter mais on ressent toute la dureté et la difficulté de son travail malgré la volonté d'avancer ... Merci beaucoup pour ce beau témoignage et merci à cet Homme pour le partage et la sincérité de cette tranche de vie.
Merci ! en plus d'être passionnant (commes tous les intervenants des vidéos de MSV), Yann nous a bien fait rigoler ( il doit y avoir un reste du monde du spectacle😊) bravo pour ce parcours du combattant et cet amour du vivant !
Incroyable, ton militantisme est inspirant, je suis dans ma première année et je tâtonne, ça donne des idées et des perspectives, c'est passionnant. Merci de repousser les frontières pour les autres, chapeaux bas, courage. Gros bisous
Waowwwww! C'est la meilleure vidéo que j'ai vu! Il recoupe tellement d'info que j'avais glaner un peu partout sans trouver comment les mettre en place. La description de la pratique est vraiment génial. C'est limpide! Merci merci merci, j'en pleure ! J'ai compris !!!! Merci!!!!!!!
Apres avoir tout lu je ne vais répéter l'admiration et la complicité que je ressens pour Yann mais je voudrais féliciter le travail de la production de cette vidéo juste parfaitement fillmée (sauf l'explication tomate dans la serre ), splendidement enregistrée et menée par notre guide avec de main de maîtresse et un respect de l'ecoute au millimètre ! Bravo, un regal votre boulot.
Bonjour et merci ! Merci pour cette vidéo et le partage d’expériences. C’est dense et très instructif. Je suis convaincu moi aussi par cette méthode, la lecture du livre de Fukuoka a été une révélation. C’est une méthode qui a du sens selon moi. Merci encore !
Quelle détermination, quel courage ! Félicitation pour tout ce travail et ces réussîtes. Très inspirant, malgré la dureté. Le monde de demain sera certainement dur quelque soit la direction que l’on prend, alors autant que ce soit dans ce genre de direction là !
Très intéressant, bravo ! 👍 Je m'installe en maraîchage sur le littoral vers Toulon, ma façon de cultiver se rapproche beaucoup de la tienne. Moi je suis servi en argile 😇 !
Merci c'est passionnant, je sais pas si c'est une bonne idée mais au delà des légumes et des couverts , la vente de de graines"population" pourrait offrir un plus pour les producteurs....
On sent bien l'influence de Laurent Welsch là...merci pour ce partage, ces détails, qui ouvrent des perspectives de travail autrement et efficacement. J'ai pris plein d'idées que je vais tester.
Un grand respect à cet homme aux méthodes puristes et qui le reste malgré son sol vraiment pas facile. Quel courage aussi. Peut être l'electroculture pour l'aider un peu sans occasionner d'effets secondaires?
Vraiment très intéressant et plein d'enseignement. Y aurait des livres concernant l'adaptation des graines au terroir sur lequel les plantes poussent ? Ce sujet m'intéresse beaucoup.
J'aime beaucoup la philosophie de cette méthode. C'est inspirant. Pour moi, il y a juste une faille, ce sont les besoins énormes en eau... Après si il peut se débrouiller avec les eaux de pluie parfait, mais si y'a nécessiter de prélever ailleurs c'est plus gênant car c'est de l'eau que les autres n'ont pas.
Quantité de choses intéressantes ds cette video mais je viens de tiquer sur une phrase : tant qu'on peut mettre de l'eau ds un sol, il faut y aller ... pk tout en dépend après... Merci pour cette video très instructive 😊
A mon humble avis parce qu'il faut remettre le sol en vie tant qu'on le peut. Ensuite, s'il n'y a plus d'eau, on ne pourra plus le faire, alors que si c'est fait, que le sol est vivant, le sol s'autosuffira. Il sera résilient.
1:01:00 enfin j'ai compris le souci avec mes légumes de printemps...dans les Ardennes, le sol trop humide et trop froid et trop de limaces....il faut donc faire que les légumes d'été ou d'automne...
Bonjour, juste un point à soulever, dans la même démarche de 2021, comment fais tu rester ami avec les limaces vu la météorologie 2023 2024 ..... malgrés toute l'attention potée au vivant pour la 1ère année , elles m'ont tout lipossucé !!!! Aucun répis sur aucune culture .....45 ans de mémoire météo, jamais vécu une saison comme celle ci ....... et donc je me retrouve à la ramasse financière car rien d'exaltant à vendre !!! Merci
Liseron : Rassembler les tiges des différents plants Préparer dans récipient vinaigre+ solution savonneuse/liquide vaisselle Faire passer les tiges dans le récipient. Couvrir pour maintenir et éviter la pluie Au bout de 3/4 jour le liseron est desséché.
Même philosophie du vivant, mêmes sources d'info MSV, VTP, Konrad, 5 ans pour obtenir un sol reconstruit, mais une grosse contrainte, le climat, sud-est espagnol, donc des frais d'irrigation, et un investissement proche de 0 chaque année, quelques sac de substrat pour les semis, et facture d'eau. Le seul intrant, c'est du fumier de cheval que je soulage d'une personne qui ne sait pas où le mettre. Je commence à mettre des vidéos en ligne, des conseils et expérience de base pour régénérer un sol détruit par le labour en zone semi-désertique et accès à l'eau réduit. Sans aucun doute, il faut 5 ans pour sortir la tête de l'eau, comprendre sa biodiversité et gérer les nuisibles. Pour pouvoir lancer la prod commercial, il me faudrait encore environ 10k€, la serre étant le plus cher, le challenge est de produire en intensif, sur 2000m2, 1000m2 de planches de culture, et 1000m2 de fruitiers et passe-pieds. Il fait ses semis sur 100m2 de serre pour 4000m2 de terrain, exactement mon cas, 25m2 de serre pour 1000m2 de planches de culture. Je suis également au 80 oignons ou poireau au m2, pas contre le blé, j'ai abandonné, les oiseaux se rabattant sur mon oasis, ils ne me laissent rien du tout, sauf la paille et le travail racinaire, donc je suis sur du maïs et sorgo, captage de carbone et travail de décompaction du sol argileux. Par contre je fais des associations qui marchent très bien, oignon et melon, betterave et maïs, aubergine et pastèque, patate et laitue, etc. Le liseron vient quand il y a un excès d'apport organique, donc je sème du maïs qui est une pompe à nitrate, et le liseron se calme et disparait lorsque la vie du sol est installé grâce au maïs. Le liseron s'en va quand les conditions ne sont plus là : en deux saisons il est parti.
merci pour ta piste sur le liseron, j'ai aussi un endroit (au pied de la serre) qui est complétement envahi , il me reste quelques grains de mais, j essaie de ce pas !
Super cool vos réponse quel est votre lien sur vos vidéo du sud est espagnol . Mais par contre sérieusement les nuisible surtout ces campagnol ou mulot quand pailler c'est super ingérable sa mange tout quel votre astuce merci beaucoup dun peu de renseignements .
Trop drôle on a fais la meme première année on a couvert le liseron avec du potiron très dense résultats 10tonne ! et cette année maïs pour nourri nos animaux résultat prévu 2 tonne de maïs et quasi plus de liseron (pâturage tournant l’hiver en + et perturbation sur les tournesol associer au maïs pour le boost Résultat en 2 ieme année on prévoit 25 tonnes sur 5000 m2 pas d’irrigation que du semis direct le système est parfait
@@MrCornetdebeef Si le but est uniquement de pomper l'azote, tu peux semer dense. Le liseron prouve également qu'il y a pas de vers de terre, et autres, pour traiter la MO qui vient sur le sol. Le liseron est signe d'une indigestion du sol.
@@steph61600 Pas même région, pas les mêmes contraintes. Je n'ai pas de mulot seules de rares musaraignes que j'ai vu 1 fois ou deux fois, mais les poules et les chats s'en chargent. Pareils, les rats, mais les chats les attrapent de temps en temps. Sûr, le paillage leur offre une protection contre les rapaces, possible que les poules pourraient les éloigner de tes zones de cultures la journée. Les poules sont efficaces contre plusieurs ravageurs du potager, oeufs sur les feuilles, piérides en plein vol, sauterelles, etc, et même mulots, par contre elles peuvent faire des dégâts lorsque tes plants sont jeunes. Un truc qu'on entend souvent pour gérer les mulots, c'est de mettre des perchoirs à mini 3m de haut, pour les chouettes et autres rapaces, et sols non paillés. Le lien pour les vidéos, click sur mon pseudo.
1:15min limaces et couvert , dans les Ardennes humides et froides, sous couvert végétal vivace couché en mai, centaine de limaces qui ont mangé toutes mes graines de pois, haricots et ont attaqué mes super plants de tomates....j'ai donc abandonné les couverts couchés et des mulches...trop trop de limaces qui mangent tous, mes plants et surtout tous mes semis...
hyper intéressant. cela explique les 90% (?) d'échec de part le dogmatisme et le manque de compétence a l'installation. C'est enrichissant car cela compile toutes les erreurs a me pas commettre. D'ailleurs, il est en échec puisqu'il n'est plus maraicher. La seule méthode qui semble viable reste celle développée par JM Fortier.
Tu n'as visiblement rien capté de cette magistrale leçon de vie, des principes et de la philosophie du vivant qui sous tend l'ensemble de ce magnifique récit
Ha, quelqu'un qui veut un équivalent aux plantes bioindicatrices de Ducerf mais pour les insectes ? Oui ça existe mais pas aussi complet. C'est un entomologiste américain qui a fait ça, il s'appelle Thomas Dykstra, notamment la conférence How Brix Levels Impact Insect Pressure on Plants sur la chaîne de John Kempf. Donc les insectes "bioindicateurs" c'est un tableau qui te montrent quels insectes attaquent pour quel niveau de sucre dans les feuilles des plantes. En gros, plus la plante est faible, plus c'est des insectes suceurs qui attaquent, type pucerons. Plus la plante est forte, plus c'est des grignoteurs type punaise puis criquets qui attaquent. Et à un brix supérieur à 12-14, plus rien ne "peut" attaquer. Malheureusement il ne fait pas les limaces, mais il suppose que c'est sans doute similaire pour les gastéropodes. La difficulté du brix foliaire c'est qu'il varie énormément, même pour une plante en bonne santé. Ainsi, il explique qu'une plante en bonne santé peut avoir un brix de 6 après une grosse pluie. La plante n'est pas malade, y a juste moins de sucre dans la feuille à ce moment précis. Il faut alors la sécher un peu pour avoir un brix "lisible" ou comparable. C'est donc pas une chose si facile que ça à utiliser chez soi... Mais c'est bel et bien l'inverse qu'il faut utiliser : les insectes comme diagnostic. Selon qui attaque, tu sais si ta plante (ou ton sol) est dans la merde. Puceron sur rosier ? Trop de ferti, sol nu, ou un hybride trop fragile.Puceron sur fève ou artichaut, ça peut être sécheresse, trop de ferti, ou, et là c'est le piège, la floraison. Car une plante qui fleurit devient fragile dans certains cas, même en étant initialement en bonne santé. Bref c'est un monde un peu compliqué... Mais Dykstra donne quelques clés essentielles. Par exemple, sous serre traitée anti UVs, tu perds 2% de brix. Rajoute des lampes UVs : tu retrouves les 2% perdus. Ou alors serre sans traitement UVs, ça existe. Et donc si y a encore des doryphores sur tes patates, c'est qu'elles ont un brix faible. Peut-être ton sol est à 3-4% de MO et les patates aimeraient plus. En tout cas, enfin un gars autonome en matière organique grâce aux couverts, chapeau. Evidemment il a pas les rendements de Cagnolle car avec les couverts tu remontes pas la MO aussi vite, mais on peut. Je pense que s'il fait des couverts multi espèces irrigués, alors il peut avoir +0.5 % par an (c'est ce qu'ils ont en Australie ou Nouvelle Zélande avec de gros gros couverts diversifiés). Cagnolle a eu +8 % de MO en 10 ans avec le broyat, je pense que lui il lui faudra 20 ans. En tout cas il a eu la bonne idée assez vite : couverts diversifiés et pas mono espèce, car ça pousse plus vite. Christine Jones et The Jena Experiment ont montré même que c'est multi familles qu'il faut faire. Rajouter 3 légumineuses ça sert à rien comparé à si tu rajoutes trois familles différentes. Car famille différente = différentes bactéries, douées à aller chercher différents minéraux, que les plantes se partagent. Donc... tout pousse plus vite. J'espère que pour la suite il pourra tester ce que fait François Mulet dans les serres de Marcel, à savoir des légumes dans des couverts permanents, de trèfle blanc par exemple. Pour l'instant François fait que du monoespèce, j'espère qu'il testera du multi espèces à l'avenir aussi.
Bon je ne peux pas m'empecher de faire une remarque chiante mais en gros pas d engrais pas de foin pas de compost etc.. c est cool mais a la place il faut y mettre 200% de graines ! Quelle est la consommation de semence de ce systeme et comment sont produites les semences ? A mon avis la faille est la :)
J'espère que l'intéressé va te répondre et en attendant mon impression qu'il n'a caché aucune faille. La visiteuse (ultra méga pertinente et douée) a juste pas posé directement la question mais je crois avoir compris qu'il produit la plus grosse part des semences.
Totalement d'accord avec votre propos. Dommage que la partie sur les semences des couverts ne soit pas abordé. Je le vois mal vu le travail déjà très important aller récolter les graines à la main. Si je me trompe et que la majeur partie des semence viens de l'exploitation, total respect. Dans un cas comme dans l'autre, j'aime beaucoup sa philosophie et sa manière de voir les choses. Merci beaucoup pour le partage de savoir et d'expérience
@@bmox1584 l'aspect semence est abordé vers 1h50mn, Apparemment il en produit une bonne partie. Vous pouvez le retrouver précisément dans la time line exemplairement détaillée de la vidéo.
Par contre pour le coup du liseron y a un problème avec l'analyse de Ducerf, pour moi elle est fausse. Il dit aussi que le liseron a des racines de la taille d'une galerie de vers de terre et que donc il vient quand y a peu de vers pour le "remplacer" mais pour moi c'est faux. Énormément de gens en MSV ont du liseron, avec une population de vers de terre énorme. Cagnolle en a partout par exemple. Lui il a 0 compaction 0 fuite de nitrate. Il a un sol argilo calcaire caillouteux, 8% de MO et il met 30 cm de broyat depuis 15 ans. J'ai un sol argilo calcaire ( sans cailloux), broyat partout depuis 5 ans, 6% de MO, et même chose liseron partout, même sur des parcelles bien meubles. Donc pour moi Ducerf a fait une erreur sur le liseron ou son analyse est incomplète. Y a autre chose, c'est pas une plante de sol compacté nitrifié. Trop de gens en sol vivant non compacté ont du liseron à gogo, donc y a quelque à étudier, à approfondir.
Je reste sur le bache qui est de mon point de vu, une meilleure solution, pas besoin d'arosage, moins d'evaporation, pas de pompe et d'étang, pas de forage .... Et la vie dans le sol est dingue ... !! Je trouve sa méthod un petit peu ... rétrograde au final, cela reste trop mécanique ... la pompe, l'étang, le forage... c'est de la mécanisation, de l'entretien, un cout... des pannes...
Je trouve Yann très dogmatique, en particulier pour moi les justifications de certains choix sont présentées comme évidentes alors qu’elles sont discutables et partiales (le refus partiel d’apport de matière végétale extérieure par exemple), L’impression que ça me donne c’est un délire autonomiste basé sur l’expérience de Fukuoka, c’est intéressant et tout à fait respectable, rien a redire, mais pourquoi le présenter comme la seule manière de faire de l’agriculture de manière durable ? En effet Yann utilise très peu de gazole, par contre il donne beaucoup de travail physique pour des récoltes de légumes et un chiffre d’affaire très modeste, ce qui n’est pas du tout durable sur le plan humain à mon sens, Je suis maraîcher et je gagne environ 8€ brut de l’heure, je peux dire que mes pratiques sont le résultat d’un compromis entre mes convictions politique et environnementale, mes intérêts et mes préférences, et mes besoins de temps libre, pénibilité, salaire etc. Elles ne me satisfont pas toutes a 100% et j’essaie de les faire évoluer, en toute humilité et responsabilité.
Je crois qu'il faut comprendre que son but ultime dans la vie n'est pas de vivre du fruit de la vente de sa production. Il explique clairement qu'à son avis chacun devrait produire ce qui est nécessaire à son alimentation et ainsi rester en contact avec le sol. L'année dernière j'ai eu cette révélation subitement, il y a 70 ans il n'y avait pas ou peu de maraichers sur les marchés. Ceux ci sont apparus dans les villes où les habitants commençaient à quitter la terre pour se salarier. Je pense également qu'un retour massif de la population à la terre est souhaitable pour la survie de l'humanité. Et dans cette optique son système de pensée est en phase.
Wow je suis dans ma première année de maraichage j'ai 21 ans et je ne me pose pas autant de l'imite dans mes pratique que cette homme, mais je me reconnais quand meme dans beaucoup de ses dires, merci a lui et a l' équipe de l'avoir filmée et mis sur internet car c'est notamment grace a tout ces partage que j'évite bien des galères. C'est aussi grace a des hommes comme Pierre-Xavier Browaeys mon maitre d'apprentissage de l'année dernière que les choses avance. Malgré les galères on reste fort ✊
n'hesites pas a nous en faire des videos ♥
Il essaie de plaisanter mais on ressent toute la dureté et la difficulté de son travail malgré la volonté d'avancer ... Merci beaucoup pour ce beau témoignage et merci à cet Homme pour le partage et la sincérité de cette tranche de vie.
Merci ! en plus d'être passionnant (commes tous les intervenants des vidéos de MSV), Yann nous a bien fait rigoler ( il doit y avoir un reste du monde du spectacle😊) bravo pour ce parcours du combattant et cet amour du vivant !
Très honnête, très pragmatique, avec un bel idéalisme, bravo! Il faudrait davantage de maraîcher qui
s'engagent avec autant de bons principes!
Passionnant, époustouflant, brillantissime, j'arrête pas de revenir en arrière pour tout réécouter... Merci 😍
Incroyable, ton militantisme est inspirant, je suis dans ma première année et je tâtonne, ça donne des idées et des perspectives, c'est passionnant.
Merci de repousser les frontières pour les autres, chapeaux bas, courage. Gros bisous
Waowwwww! C'est la meilleure vidéo que j'ai vu! Il recoupe tellement d'info que j'avais glaner un peu partout sans trouver comment les mettre en place. La description de la pratique est vraiment génial. C'est limpide! Merci merci merci, j'en pleure ! J'ai compris !!!! Merci!!!!!!!
C est de la bombe ! Réflexions extrêmement pertinentes et courageuses j aime
Apres avoir tout lu je ne vais répéter l'admiration et la complicité que je ressens pour Yann mais je voudrais féliciter le travail de la production de cette vidéo juste parfaitement fillmée (sauf l'explication tomate dans la serre ), splendidement enregistrée et menée par notre guide avec de main de maîtresse et un respect de l'ecoute au millimètre ! Bravo, un regal votre boulot.
Merci !
VERIDIQUE ! MERCI POUR LA SINCERITE🙂
Homme très courageux et passionné.
Bonjour et merci ! Merci pour cette vidéo et le partage d’expériences.
C’est dense et très instructif.
Je suis convaincu moi aussi par cette méthode, la lecture du livre de Fukuoka a été une révélation.
C’est une méthode qui a du sens selon moi.
Merci encore !
Un vrai bonheur cette vidéo !
Belle philosophie ❤
Un grand merci
Merci 🔆
super temoignage, merci
Un grand merci pour cet excellent reportage et entretien avec Yann, vous avez fait un travail remarquable ❤
Yann au aussi quelques vidéo sur sa propre chaîne Yt, si vous en voulez d'avantage ! www.youtube.com/@lesjardinssauvages
Super intéressant ce monsieur, totalement en accord avec ses réflexions
Témoignage sans filtre super intéressant merci
Passionnant ! Merci ! 👍🏻👍🏻👍🏻
merci pour ce partage d'expérience
Un grand BRAVO ! VIDÉO au top. Merci d'avoir invité Yan Lopez ❤
merci pour le reportage et merci pour cette super video remplis info, de technique qui me plaie énormément ! 👍
Quelle détermination, quel courage ! Félicitation pour tout ce travail et ces réussîtes. Très inspirant, malgré la dureté. Le monde de demain sera certainement dur quelque soit la direction que l’on prend, alors autant que ce soit dans ce genre de direction là !
Très intéressant, bravo ! 👍
Je m'installe en maraîchage sur le littoral vers Toulon, ma façon de cultiver se rapproche beaucoup de la tienne.
Moi je suis servi en argile 😇 !
Superbe reportage :)
Une des meilleurs video
le personnage est super intéressant
ptin le boss !
Merci c'est passionnant, je sais pas si c'est une bonne idée mais au delà des légumes et des couverts , la vente de de graines"population" pourrait offrir un plus pour les producteurs....
On sent bien l'influence de Laurent Welsch là...merci pour ce partage, ces détails, qui ouvrent des perspectives de travail autrement et efficacement. J'ai pris plein d'idées que je vais tester.
Super instructif, lire Jean Henri Fabre pour la partie "insecte" peut etre utile ;)
Un grand respect à cet homme aux méthodes puristes et qui le reste malgré son sol vraiment pas facile. Quel courage aussi. Peut être l'electroculture pour l'aider un peu sans occasionner d'effets secondaires?
"ça roule" pour Yann 😂😂😂
❤❤❤
Vraiment très intéressant et plein d'enseignement. Y aurait des livres concernant l'adaptation des graines au terroir sur lequel les plantes poussent ? Ce sujet m'intéresse beaucoup.
Héroïque..
J'aime beaucoup la philosophie de cette méthode. C'est inspirant. Pour moi, il y a juste une faille, ce sont les besoins énormes en eau... Après si il peut se débrouiller avec les eaux de pluie parfait, mais si y'a nécessiter de prélever ailleurs c'est plus gênant car c'est de l'eau que les autres n'ont pas.
merci...une question : du coup, le budget en graine est élevé ?
Il dit a plusieurs reprises qu'il fait ses semences
@@feliselebihan7710 il fait ses semences de legumes mais pas celles de couverts
Dans votre vignette de présentation, St-martin-de-Jussac c'est dans le 87 haute-vienne , pas du tout dans le 84 Vaucluse !!!!!!!
Quantité de choses intéressantes ds cette video mais je viens de tiquer sur une phrase : tant qu'on peut mettre de l'eau ds un sol, il faut y aller ... pk tout en dépend après...
Merci pour cette video très instructive 😊
A mon humble avis parce qu'il faut remettre le sol en vie tant qu'on le peut. Ensuite, s'il n'y a plus d'eau, on ne pourra plus le faire, alors que si c'est fait, que le sol est vivant, le sol s'autosuffira. Il sera résilient.
1:01:00 enfin j'ai compris le souci avec mes légumes de printemps...dans les Ardennes, le sol trop humide et trop froid et trop de limaces....il faut donc faire que les légumes d'été ou d'automne...
Les lance-flammes 😂
Bonjour, juste un point à soulever, dans la même démarche de 2021, comment fais tu rester ami avec les limaces vu la météorologie 2023 2024 ..... malgrés toute l'attention potée au vivant pour la 1ère année , elles m'ont tout lipossucé !!!!
Aucun répis sur aucune culture .....45 ans de mémoire météo, jamais vécu une saison comme celle ci ....... et donc je me retrouve à la ramasse financière car rien d'exaltant à vendre !!!
Merci
qui pour faire la meme en espagne ?
Liseron :
Rassembler les tiges des différents plants
Préparer dans récipient vinaigre+ solution savonneuse/liquide vaisselle
Faire passer les tiges dans le récipient.
Couvrir pour maintenir et éviter la pluie
Au bout de 3/4 jour le liseron est desséché.
Même philosophie du vivant, mêmes sources d'info MSV, VTP, Konrad, 5 ans pour obtenir un sol reconstruit, mais une grosse contrainte, le climat, sud-est espagnol, donc des frais d'irrigation, et un investissement proche de 0 chaque année, quelques sac de substrat pour les semis, et facture d'eau. Le seul intrant, c'est du fumier de cheval que je soulage d'une personne qui ne sait pas où le mettre. Je commence à mettre des vidéos en ligne, des conseils et expérience de base pour régénérer un sol détruit par le labour en zone semi-désertique et accès à l'eau réduit. Sans aucun doute, il faut 5 ans pour sortir la tête de l'eau, comprendre sa biodiversité et gérer les nuisibles. Pour pouvoir lancer la prod commercial, il me faudrait encore environ 10k€, la serre étant le plus cher, le challenge est de produire en intensif, sur 2000m2, 1000m2 de planches de culture, et 1000m2 de fruitiers et passe-pieds. Il fait ses semis sur 100m2 de serre pour 4000m2 de terrain, exactement mon cas, 25m2 de serre pour 1000m2 de planches de culture. Je suis également au 80 oignons ou poireau au m2, pas contre le blé, j'ai abandonné, les oiseaux se rabattant sur mon oasis, ils ne me laissent rien du tout, sauf la paille et le travail racinaire, donc je suis sur du maïs et sorgo, captage de carbone et travail de décompaction du sol argileux. Par contre je fais des associations qui marchent très bien, oignon et melon, betterave et maïs, aubergine et pastèque, patate et laitue, etc. Le liseron vient quand il y a un excès d'apport organique, donc je sème du maïs qui est une pompe à nitrate, et le liseron se calme et disparait lorsque la vie du sol est installé grâce au maïs. Le liseron s'en va quand les conditions ne sont plus là : en deux saisons il est parti.
merci pour ta piste sur le liseron, j'ai aussi un endroit (au pied de la serre) qui est complétement envahi , il me reste quelques grains de mais, j essaie de ce pas !
Super cool vos réponse quel est votre lien sur vos vidéo du sud est espagnol .
Mais par contre sérieusement les nuisible surtout ces campagnol ou mulot quand pailler c'est super ingérable sa mange tout quel votre astuce merci beaucoup dun peu de renseignements .
Trop drôle on a fais la meme première année on a couvert le liseron avec du potiron très dense résultats 10tonne !
et cette année maïs pour nourri nos animaux résultat prévu 2 tonne de maïs et quasi plus de liseron (pâturage tournant l’hiver en + et perturbation sur les tournesol associer au maïs pour le boost
Résultat en 2 ieme année on prévoit 25 tonnes sur 5000 m2 pas d’irrigation que du semis direct le système est parfait
@@MrCornetdebeef Si le but est uniquement de pomper l'azote, tu peux semer dense. Le liseron prouve également qu'il y a pas de vers de terre, et autres, pour traiter la MO qui vient sur le sol. Le liseron est signe d'une indigestion du sol.
@@steph61600 Pas même région, pas les mêmes contraintes. Je n'ai pas de mulot seules de rares musaraignes que j'ai vu 1 fois ou deux fois, mais les poules et les chats s'en chargent. Pareils, les rats, mais les chats les attrapent de temps en temps. Sûr, le paillage leur offre une protection contre les rapaces, possible que les poules pourraient les éloigner de tes zones de cultures la journée. Les poules sont efficaces contre plusieurs ravageurs du potager, oeufs sur les feuilles, piérides en plein vol, sauterelles, etc, et même mulots, par contre elles peuvent faire des dégâts lorsque tes plants sont jeunes. Un truc qu'on entend souvent pour gérer les mulots, c'est de mettre des perchoirs à mini 3m de haut, pour les chouettes et autres rapaces, et sols non paillés. Le lien pour les vidéos, click sur mon pseudo.
1:15min limaces et couvert , dans les Ardennes humides et froides, sous couvert végétal vivace couché en mai, centaine de limaces qui ont mangé toutes mes graines de pois, haricots et ont attaqué mes super plants de tomates....j'ai donc abandonné les couverts couchés et des mulches...trop trop de limaces qui mangent tous, mes plants et surtout tous mes semis...
hyper intéressant.
cela explique les 90% (?) d'échec de part le dogmatisme et le manque de compétence a l'installation. C'est enrichissant car cela compile toutes les erreurs a me pas commettre. D'ailleurs, il est en échec puisqu'il n'est plus maraicher.
La seule méthode qui semble viable reste celle développée par JM Fortier.
Bonjour, pour info je suis toujours maraîcher et en pleine saison... Peut être prendrai je plus de temps cet hiver pour répondre.
Tu n'as visiblement rien capté de cette magistrale leçon de vie, des principes et de la philosophie du vivant qui sous tend l'ensemble de ce magnifique récit
Et rajouter des argiles?marnage impossible ?
Ha, quelqu'un qui veut un équivalent aux plantes bioindicatrices de Ducerf mais pour les insectes ? Oui ça existe mais pas aussi complet. C'est un entomologiste américain qui a fait ça, il s'appelle Thomas Dykstra, notamment la conférence How Brix Levels Impact Insect Pressure on Plants sur la chaîne de John Kempf. Donc les insectes "bioindicateurs" c'est un tableau qui te montrent quels insectes attaquent pour quel niveau de sucre dans les feuilles des plantes. En gros, plus la plante est faible, plus c'est des insectes suceurs qui attaquent, type pucerons. Plus la plante est forte, plus c'est des grignoteurs type punaise puis criquets qui attaquent. Et à un brix supérieur à 12-14, plus rien ne "peut" attaquer. Malheureusement il ne fait pas les limaces, mais il suppose que c'est sans doute similaire pour les gastéropodes. La difficulté du brix foliaire c'est qu'il varie énormément, même pour une plante en bonne santé. Ainsi, il explique qu'une plante en bonne santé peut avoir un brix de 6 après une grosse pluie. La plante n'est pas malade, y a juste moins de sucre dans la feuille à ce moment précis. Il faut alors la sécher un peu pour avoir un brix "lisible" ou comparable. C'est donc pas une chose si facile que ça à utiliser chez soi... Mais c'est bel et bien l'inverse qu'il faut utiliser : les insectes comme diagnostic. Selon qui attaque, tu sais si ta plante (ou ton sol) est dans la merde. Puceron sur rosier ? Trop de ferti, sol nu, ou un hybride trop fragile.Puceron sur fève ou artichaut, ça peut être sécheresse, trop de ferti, ou, et là c'est le piège, la floraison. Car une plante qui fleurit devient fragile dans certains cas, même en étant initialement en bonne santé. Bref c'est un monde un peu compliqué... Mais Dykstra donne quelques clés essentielles. Par exemple, sous serre traitée anti UVs, tu perds 2% de brix. Rajoute des lampes UVs : tu retrouves les 2% perdus. Ou alors serre sans traitement UVs, ça existe. Et donc si y a encore des doryphores sur tes patates, c'est qu'elles ont un brix faible. Peut-être ton sol est à 3-4% de MO et les patates aimeraient plus.
En tout cas, enfin un gars autonome en matière organique grâce aux couverts, chapeau. Evidemment il a pas les rendements de Cagnolle car avec les couverts tu remontes pas la MO aussi vite, mais on peut. Je pense que s'il fait des couverts multi espèces irrigués, alors il peut avoir +0.5 % par an (c'est ce qu'ils ont en Australie ou Nouvelle Zélande avec de gros gros couverts diversifiés). Cagnolle a eu +8 % de MO en 10 ans avec le broyat, je pense que lui il lui faudra 20 ans.
En tout cas il a eu la bonne idée assez vite : couverts diversifiés et pas mono espèce, car ça pousse plus vite. Christine Jones et The Jena Experiment ont montré même que c'est multi familles qu'il faut faire. Rajouter 3 légumineuses ça sert à rien comparé à si tu rajoutes trois familles différentes. Car famille différente = différentes bactéries, douées à aller chercher différents minéraux, que les plantes se partagent. Donc... tout pousse plus vite.
J'espère que pour la suite il pourra tester ce que fait François Mulet dans les serres de Marcel, à savoir des légumes dans des couverts permanents, de trèfle blanc par exemple. Pour l'instant François fait que du monoespèce, j'espère qu'il testera du multi espèces à l'avenir aussi.
Salut, est-ce que je peux te contacter par téléphone ?
Bon je ne peux pas m'empecher de faire une remarque chiante mais en gros pas d engrais pas de foin pas de compost etc.. c est cool mais a la place il faut y mettre 200% de graines !
Quelle est la consommation de semence de ce systeme et comment sont produites les semences ?
A mon avis la faille est la :)
J'espère que l'intéressé va te répondre et en attendant mon impression qu'il n'a caché aucune faille. La visiteuse (ultra méga pertinente et douée) a juste pas posé directement la question mais je crois avoir compris qu'il produit la plus grosse part des semences.
Totalement d'accord avec votre propos. Dommage que la partie sur les semences des couverts ne soit pas abordé. Je le vois mal vu le travail déjà très important aller récolter les graines à la main. Si je me trompe et que la majeur partie des semence viens de l'exploitation, total respect. Dans un cas comme dans l'autre, j'aime beaucoup sa philosophie et sa manière de voir les choses. Merci beaucoup pour le partage de savoir et d'expérience
@@bmox1584 l'aspect semence est abordé vers 1h50mn, Apparemment il en produit une bonne partie. Vous pouvez le retrouver précisément dans la time line exemplairement détaillée de la vidéo.
Mais quand même, une seule plante produit généralement une énorme quantité de graines, donc ça doit le faire non ?
Par contre pour le coup du liseron y a un problème avec l'analyse de Ducerf, pour moi elle est fausse. Il dit aussi que le liseron a des racines de la taille d'une galerie de vers de terre et que donc il vient quand y a peu de vers pour le "remplacer" mais pour moi c'est faux. Énormément de gens en MSV ont du liseron, avec une population de vers de terre énorme. Cagnolle en a partout par exemple. Lui il a 0 compaction 0 fuite de nitrate. Il a un sol argilo calcaire caillouteux, 8% de MO et il met 30 cm de broyat depuis 15 ans. J'ai un sol argilo calcaire ( sans cailloux), broyat partout depuis 5 ans, 6% de MO, et même chose liseron partout, même sur des parcelles bien meubles. Donc pour moi Ducerf a fait une erreur sur le liseron ou son analyse est incomplète. Y a autre chose, c'est pas une plante de sol compacté nitrifié. Trop de gens en sol vivant non compacté ont du liseron à gogo, donc y a quelque à étudier, à approfondir.
Je reste sur le bache qui est de mon point de vu, une meilleure solution, pas besoin d'arosage, moins d'evaporation, pas de pompe et d'étang, pas de forage .... Et la vie dans le sol est dingue ... !!
Je trouve sa méthod un petit peu ... rétrograde au final, cela reste trop mécanique ... la pompe, l'étang, le forage... c'est de la mécanisation, de l'entretien, un cout... des pannes...
Je trouve Yann très dogmatique, en particulier pour moi les justifications de certains choix sont présentées comme évidentes alors qu’elles sont discutables et partiales (le refus partiel d’apport de matière végétale extérieure par exemple),
L’impression que ça me donne c’est un délire autonomiste basé sur l’expérience de Fukuoka, c’est intéressant et tout à fait respectable, rien a redire, mais pourquoi le présenter comme la seule manière de faire de l’agriculture de manière durable ?
En effet Yann utilise très peu de gazole, par contre il donne beaucoup de travail physique pour des récoltes de légumes et un chiffre d’affaire très modeste, ce qui n’est pas du tout durable sur le plan humain à mon sens,
Je suis maraîcher et je gagne environ 8€ brut de l’heure, je peux dire que mes pratiques sont le résultat d’un compromis entre mes convictions politique et environnementale, mes intérêts et mes préférences, et mes besoins de temps libre, pénibilité, salaire etc.
Elles ne me satisfont pas toutes a 100% et j’essaie de les faire évoluer, en toute humilité et responsabilité.
Je crois qu'il faut comprendre que son but ultime dans la vie n'est pas de vivre du fruit de la vente de sa production.
Il explique clairement qu'à son avis chacun devrait produire ce qui est nécessaire à son alimentation et ainsi rester en contact avec le sol.
L'année dernière j'ai eu cette révélation subitement, il y a 70 ans il n'y avait pas ou peu de maraichers sur les marchés. Ceux ci sont apparus dans les villes où les habitants commençaient à quitter la terre pour se salarier.
Je pense également qu'un retour massif de la population à la terre est souhaitable pour la survie de l'humanité. Et dans cette optique son système de pensée est en phase.
vouloir de l argile.... venez en 64 Nord ....quel horreur cette roche
Moi je suis sur des anciens terrains de tennis en terre battue.😂