Bravo pour cette vidéo comme toujours pleine de bon sens. J'écris depuis que je sais tenir un crayon. Des poèmes, des journaux intimes, des nouvelles... et je profite de ma retraite pour me lancer dans le roman initiatique... J'ai trouvé mon bonheur ! Une héroïne victime d'un secret de famille. Elle porte ma douleur et l'allège. Ce projet d'écriture m'a permis de survivre. J'ai de bon retour de mes bêta lecteurs. En attendant leurs précieux conseils, j'écris un deuxième roman tout en continuant à écrire des nouvelles... Merci pour vos vidéos encourageantes pour la néophyte que je suis !
Merci Johanna pour tous vos précieux conseils, grâce à vous mon projet avance (certes, très lentement... je dois le dire...mais dans la bonne direction). Bien à vous AH
Merci Johanna pour vos conseils qui me redonnent confiance. J’ai commencé à écrire il y peu de temps, ayant la cinquantaine passée. Je vais essayer de ne pas juger. Je suis portée par un thème qui touche l’environnement et cela devient vital pour moi. Merci encore.
Bonjour Johanna. Comme beaucoup, je vous remercie pour vos vidéos toujours très constructives et instructives. Je crois traverser en ce moment ce qui s'apparente à un blocage émotionnel. J'ai publié récemment deux livres pour enfants dans la lignée d'Harry Potter où une fée nommée Agathe vient en aide aux humains. Pour ce troisième manuscrit, j'ai prévu de la faire pourchasser un sorcier malfaisant qui squatte des châteaux et parvient à s'enfuir in extremis dès que l'héroïne libère les lieux. Pour l'un de ces lieux, j'aimerais m'inspirer d'un épisode de l'histoire irlandaise, à savoir l'insurrection de Pâques 1916. Ce qui me bloque, c'est que l'action que je trouve intéressante et souhaite reprendre est faite par ceux que je considère comme les gentils et que dans mon cas de figure, elle sera attribuée au méchant. Cela me bloque car j'ai l'impression de trahir l'histoire, les Irlandais et moi-même... Avez-vous déjà été confrontée à cela? D'avance merci et continuez comme cela...
Merci Gilles. Si je comprends bien, vous craignez de trahir la vérité historique ? Je parle de ces problématiques dans mes 3 vidéos "Ecrire un roman historique". Maintenant, puisque vous avez bâti un univers de fantasy/merveilleux, rien ne vous empêche d'utiliser tous les éléments de cette insurrection de 1916 que vous souhaitez utilisez, mais par contre, vous gommez les repères temporels clairs et le.s personnages historiques dont vous pourriez trahir la vérité. Et si vous ne vous voyez pas faire cela parce vous tenez absolument à évoquer cette insurrection de 1916, créez peut-être des nouveaux personnages qui vous donneront plus de liberté. En fait, c'est difficile de vous répondre comme ça, sans connaître le projet et sans lire le texte. Pour essayer d'être plus claire, si, par exemple, je décide d'écrire un roman de fantasy qui a pour cadre la période des guerres de religions en Europe, je peux tout à fait me servir d'événements historiques réels (le massacre de la Saint Berthelemy, par exemple), mais je le fais surtout pour avoir des décors/lieux, une structure, un enchaînements d'événements, une ambiance, des rapports de force déjà déterminés, etc. En revanche, je gomme les références à l'Histoire, c'est-à-dire que je repabtise le massacre, je crée d'autres personnages qui n'ont "pas existé" (mais potentiellement inspirés de personnes réelles) et je gomme aussi les repères temporels en inventant une autre temporalité. Le genre fantasy et tous les genres relevant de l'imaginaire permettent de faire ça facilement. L'avantage, en plus, c'est que cela propulse le lecteur dans un "nouveau monde" qui reste inspiré du réel et qui créera donc des résonnances dans l'esprit du lecteur. Voilà ! J'espère vous avoir aidé.
Génial ! 😊 "L'écriture est un très bon moyen de se débloquer" : mais carrément ! Même si ce n'est pas le seul, nous sommes bien d'accord. Et d'ailleurs, je m'interroge, les textes que l'on écrit seulement pour soi ne sont-ils pas les meilleurs ? Pour ma part, enfant, je n'écrivais pas. Je ne lisais même pas. Dans un roman, il y avait trop de mots. Quels étaient ces malades capables de noircir des pages, des pages et des pages ? Incompréhensible ! En toute logique, je détestais les fiches de lecture que les professeurs de français nous donnait en devoir. Je n'ai lu qu'une page sur trois de "La Chartreuse de Parme". Et même, j'ai carrément inventé le livre dont j'ai fait ma dernière fiche de lecture ! Lorsque la prof m'a demandé d'où je tirais cet ouvrage, je lui ai répondu que c'était un vieux roman qui appartenait à mon père. A l'époque, il n'y avait pas internet :). J'ai eu 12/20, comme d'habitude. Et puis je me suis engouffré dans la musique, j'ai fais partie d'un premier groupe. C'est à ce moment que j'ai commencé à écrire des paroles de chanson - comme vous Johanna :). Nous faisions du rock et le rock se chante en anglais, tout le monde le sait. J'étais content, personne n'allait comprendre ce que je racontais. Vint ensuite le second groupe, toujours de rock. Et le rock se chante en français, tout le monde le sait. Donc j'ai écrit des trucs inintéressants ; je n'avais pas envie d'exprimer les couleurs que j'avais au fond de mon cœur. J'ai eu d'autres groupes et j'en ai eu marre aussi. Donc j'ai décidé de poursuivre ma route en solo. Et j'ai commencé, par petites touches, tel un impressionniste, à donner. Je suis allé jusqu'à "Donne-moi l'énergie". J'ai fini par ressentir le besoin impérieux de dépasser le cadre de la page A4, propre à la forme paroles de chanson et je me suis lancé dans un roman, mon premier. Vous vous en doutez, il n'était rien que pour moi même s'il s'agissait d'une fiction. Par curiosité, je l'ai envoyé à un éditeur ; je n'avais rien à perdre puisque je ne voulais pas être publié. Son retour me fut bénéfique. Je continue à écrire. Aujourd'hui, je commente votre vidéo Johanna et je me dis que j'ai dépassé quelques blocages. J'adore écrire ! Je crois bien que je suis devenu malade (ah ouais..... lol) :)
Merci pour ce nouveau commentaire. Si vous voyez des thématiques liées à cette vidéo que vous souhaiteriez que je traite, n'hésitez pas à me le dire. Bonne soirée :)
Tellement de commentaires sur cette vidéo. Peut-être un fil conducteur. Binarité : la société entretient l'illusion qu'on va réussir ou rater, soit l'un, soit l'autre, en ayant pris soin de marteler en quoi consiste la réussite par des agents extérieurs à soi (argent, célébrité et popularité). Je pense qu'on est plus complexe et intéressant que ça. Je crois que réussir c'est aussi simplement terminer un livre, livrer une oeuvre finie. En route, on a réussi (et vécu sa vie) car on a pris le temps, pris soin, façonné comme un artisan, pratiqué la solitude, l'introspection, l'autocritique, mené des études, on s'est appliqué, discipliné, livré à ses émotions, admis ses ambitions personnelles, développé sa créativité, vécu dans l'imaginaire, s'est ouvert à soi et aux autres, on a fait des choix, des tentatives et pris des risques. Alors que tant d'autres (les adeptes du "oui, mais..." = non pas pour moi) ne se lanceront jamais.
Il me semble que s'installer devant l'ordinateur en se disant : "je vais écrire un roman et il sera publié" n'est pas obligatoirement voué à l'échec, même pour une première tentative. "Aux innocents les mains pleines" ? Ouais... mais on ne dit jamais de quoi. (souvent pleines d'échec plutôt que des chèques) Bien sûr, c'est comme en... oui, ça, mais pas que ! Il y a toujours une première fois. En fait, l'erreur - ou le risque - c'est de se donner (ben oui, c'est gratuit) un objectif hors d'atteinte, au moins provisoirement. Personnellement, écrire un roman est toujours un défi. Pour le premier, celui d'aller au bout et pour les suivants, choisir des thèmes ou des formes d'écriture différents. La publication ? Immédiatement... après le neuvième manuscrit. Allégorie de l'escalier : les marches, une par une. L'ascenseur ? Oh non ! J'ai peur d'y rester bloqué...
Bien sûr que le "je vais écrire un roman et il sera publié" n'est pas voué à l'échec. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Ce que je constate, en revanche, c'est que les personnes qui sont obnubilées par la publication se mettent une pression sur les épaules qui peut être bloquante (qui peut, mais qui ne l'est pas forcément ;)
@@johannaconseileditorial Tu ne t'es pas méfiée... C'était du deuxième degré, une conversation affirmation/réponse maquillée. La charnière est à "ouais"...
@@johannaconseileditorial Parce que Chatmachin a de l'humour ? Te comparer à ça, c'est de la science-fiction ! Tu tiens un sujet : une autrice-pianiste de talent kidnappée par un robot qui l'emprisonne dans ses entrailles électroniques. Dommage ! C'est moins crédible que de me présenter à un casting pour un rôle de figurant dans "La planète des singes"... Quoique...🙊
Bravo pour cette vidéo comme toujours pleine de bon sens. J'écris depuis que je sais tenir un crayon. Des poèmes, des journaux intimes, des nouvelles... et je profite de ma retraite pour me lancer dans le roman initiatique... J'ai trouvé mon bonheur ! Une héroïne victime d'un secret de famille. Elle porte ma douleur et l'allège. Ce projet d'écriture m'a permis de survivre. J'ai de bon retour de mes bêta lecteurs. En attendant leurs précieux conseils, j'écris un deuxième roman tout en continuant à écrire des nouvelles...
Merci pour vos vidéos encourageantes pour la néophyte que je suis !
Merci à vous Nicole pour le commentaire et bon travail d'écriture à vous !
Merci Johanna pour tous vos précieux conseils, grâce à vous mon projet avance (certes, très lentement... je dois le dire...mais dans la bonne direction). Bien à vous AH
Ravie de ce retour. Merci Aymeric ! :)
Merci Johanna pour vos conseils qui me redonnent confiance. J’ai commencé à écrire il y peu de temps, ayant la cinquantaine passée. Je vais essayer de ne pas juger. Je suis portée par un thème qui touche l’environnement et cela devient vital pour moi. Merci encore.
Merci à vous. Je suis très heureuse de savoir que mes vidéos vous aident. C'est le but. Belle journée !
Faire confiance à la vie, merci a vous, c'est toujours aussi bien .
Merci pour le commentaire :)
Merci bcp, c'est très clair et très intéressant. Je vais peut être m'y remettre.
Merci Michel :)
Bonjour Johanna. Comme beaucoup, je vous remercie pour vos vidéos toujours très constructives et instructives.
Je crois traverser en ce moment ce qui s'apparente à un blocage émotionnel. J'ai publié récemment deux livres pour enfants dans la lignée d'Harry Potter où une fée nommée Agathe vient en aide aux humains. Pour ce troisième manuscrit, j'ai prévu de la faire pourchasser un sorcier malfaisant qui squatte des châteaux et parvient à s'enfuir in extremis dès que l'héroïne libère les lieux.
Pour l'un de ces lieux, j'aimerais m'inspirer d'un épisode de l'histoire irlandaise, à savoir l'insurrection de Pâques 1916.
Ce qui me bloque, c'est que l'action que je trouve intéressante et souhaite reprendre est faite par ceux que je considère comme les gentils et que dans mon cas de figure, elle sera attribuée au méchant. Cela me bloque car j'ai l'impression de trahir l'histoire, les Irlandais et moi-même...
Avez-vous déjà été confrontée à cela?
D'avance merci et continuez comme cela...
Merci Gilles. Si je comprends bien, vous craignez de trahir la vérité historique ? Je parle de ces problématiques dans mes 3 vidéos "Ecrire un roman historique". Maintenant, puisque vous avez bâti un univers de fantasy/merveilleux, rien ne vous empêche d'utiliser tous les éléments de cette insurrection de 1916 que vous souhaitez utilisez, mais par contre, vous gommez les repères temporels clairs et le.s personnages historiques dont vous pourriez trahir la vérité. Et si vous ne vous voyez pas faire cela parce vous tenez absolument à évoquer cette insurrection de 1916, créez peut-être des nouveaux personnages qui vous donneront plus de liberté. En fait, c'est difficile de vous répondre comme ça, sans connaître le projet et sans lire le texte. Pour essayer d'être plus claire, si, par exemple, je décide d'écrire un roman de fantasy qui a pour cadre la période des guerres de religions en Europe, je peux tout à fait me servir d'événements historiques réels (le massacre de la Saint Berthelemy, par exemple), mais je le fais surtout pour avoir des décors/lieux, une structure, un enchaînements d'événements, une ambiance, des rapports de force déjà déterminés, etc. En revanche, je gomme les références à l'Histoire, c'est-à-dire que je repabtise le massacre, je crée d'autres personnages qui n'ont "pas existé" (mais potentiellement inspirés de personnes réelles) et je gomme aussi les repères temporels en inventant une autre temporalité. Le genre fantasy et tous les genres relevant de l'imaginaire permettent de faire ça facilement. L'avantage, en plus, c'est que cela propulse le lecteur dans un "nouveau monde" qui reste inspiré du réel et qui créera donc des résonnances dans l'esprit du lecteur. Voilà ! J'espère vous avoir aidé.
Génial ! 😊
"L'écriture est un très bon moyen de se débloquer" : mais carrément ! Même si ce n'est pas le seul, nous sommes bien d'accord. Et d'ailleurs, je m'interroge, les textes que l'on écrit seulement pour soi ne sont-ils pas les meilleurs ?
Pour ma part, enfant, je n'écrivais pas. Je ne lisais même pas. Dans un roman, il y avait trop de mots. Quels étaient ces malades capables de noircir des pages, des pages et des pages ? Incompréhensible ! En toute logique, je détestais les fiches de lecture que les professeurs de français nous donnait en devoir. Je n'ai lu qu'une page sur trois de "La Chartreuse de Parme". Et même, j'ai carrément inventé le livre dont j'ai fait ma dernière fiche de lecture ! Lorsque la prof m'a demandé d'où je tirais cet ouvrage, je lui ai répondu que c'était un vieux roman qui appartenait à mon père. A l'époque, il n'y avait pas internet :). J'ai eu 12/20, comme d'habitude. Et puis je me suis engouffré dans la musique, j'ai fais partie d'un premier groupe. C'est à ce moment que j'ai commencé à écrire des paroles de chanson - comme vous Johanna :). Nous faisions du rock et le rock se chante en anglais, tout le monde le sait. J'étais content, personne n'allait comprendre ce que je racontais. Vint ensuite le second groupe, toujours de rock. Et le rock se chante en français, tout le monde le sait. Donc j'ai écrit des trucs inintéressants ; je n'avais pas envie d'exprimer les couleurs que j'avais au fond de mon cœur. J'ai eu d'autres groupes et j'en ai eu marre aussi. Donc j'ai décidé de poursuivre ma route en solo. Et j'ai commencé, par petites touches, tel un impressionniste, à donner. Je suis allé jusqu'à "Donne-moi l'énergie". J'ai fini par ressentir le besoin impérieux de dépasser le cadre de la page A4, propre à la forme paroles de chanson et je me suis lancé dans un roman, mon premier. Vous vous en doutez, il n'était rien que pour moi même s'il s'agissait d'une fiction. Par curiosité, je l'ai envoyé à un éditeur ; je n'avais rien à perdre puisque je ne voulais pas être publié. Son retour me fut bénéfique. Je continue à écrire.
Aujourd'hui, je commente votre vidéo Johanna et je me dis que j'ai dépassé quelques blocages. J'adore écrire ! Je crois bien que je suis devenu malade (ah ouais..... lol) :)
L'écriture est une bonne maladie, dans ce cas ;)
@@johannaconseileditorial Il s'agit même de la plus belle des maladies, Johanna ;)
Encore merci, cette video est une véritable bouée décidément.
Merci pour ce nouveau commentaire. Si vous voyez des thématiques liées à cette vidéo que vous souhaiteriez que je traite, n'hésitez pas à me le dire. Bonne soirée :)
Tellement de commentaires sur cette vidéo. Peut-être un fil conducteur. Binarité : la société entretient l'illusion qu'on va réussir ou rater, soit l'un, soit l'autre, en ayant pris soin de marteler en quoi consiste la réussite par des agents extérieurs à soi (argent, célébrité et popularité). Je pense qu'on est plus complexe et intéressant que ça. Je crois que réussir c'est aussi simplement terminer un livre, livrer une oeuvre finie. En route, on a réussi (et vécu sa vie) car on a pris le temps, pris soin, façonné comme un artisan, pratiqué la solitude, l'introspection, l'autocritique, mené des études, on s'est appliqué, discipliné, livré à ses émotions, admis ses ambitions personnelles, développé sa créativité, vécu dans l'imaginaire, s'est ouvert à soi et aux autres, on a fait des choix, des tentatives et pris des risques. Alors que tant d'autres (les adeptes du "oui, mais..." = non pas pour moi) ne se lanceront jamais.
Tellement juste ce que vous dites. Merci :)
Il me semble que s'installer devant l'ordinateur en se disant : "je vais écrire un roman et il sera publié" n'est pas obligatoirement voué à l'échec, même pour une première tentative.
"Aux innocents les mains pleines" ? Ouais... mais on ne dit jamais de quoi. (souvent pleines d'échec plutôt que des chèques)
Bien sûr, c'est comme en... oui, ça, mais pas que ! Il y a toujours une première fois. En fait, l'erreur - ou le risque - c'est de se donner (ben oui, c'est gratuit) un objectif hors d'atteinte, au moins provisoirement. Personnellement, écrire un roman est toujours un défi. Pour le premier, celui d'aller au bout et pour les suivants, choisir des thèmes ou des formes d'écriture différents. La publication ? Immédiatement... après le neuvième manuscrit.
Allégorie de l'escalier : les marches, une par une. L'ascenseur ? Oh non ! J'ai peur d'y rester bloqué...
Bien sûr que le "je vais écrire un roman et il sera publié" n'est pas voué à l'échec. Ce n'est pas ce que j'ai dit. Ce que je constate, en revanche, c'est que les personnes qui sont obnubilées par la publication se mettent une pression sur les épaules qui peut être bloquante (qui peut, mais qui ne l'est pas forcément ;)
@@johannaconseileditorial Tu ne t'es pas méfiée... C'était du deuxième degré, une conversation affirmation/réponse maquillée. La charnière est à "ouais"...
@@jean-yvespajaud134 Je n'avais pas saisi, en effet. Peut-être que ChatGPT aurait mieux répondu que moi lol
@@johannaconseileditorial Parce que Chatmachin a de l'humour ? Te comparer à ça, c'est de la science-fiction ! Tu tiens un sujet : une autrice-pianiste de talent kidnappée par un robot qui l'emprisonne dans ses entrailles électroniques. Dommage ! C'est moins crédible que de me présenter à un casting pour un rôle de figurant dans "La planète des singes"... Quoique...🙊
Mais l'écriture peut aller contre les mauvaises émotions ; est-ce vrai ?
Bonjour Francis, je ne vois pas exactement ce que vous voulez dire par "aller contre les mauvaises émotions". Pourriez-vous développer ?
Écrire peut être un exutoire à la tristesse, peut-être ? !!
Le soin apporté à l'écriture peut "changer les idées".
@@francisfournier3177 Oui totalement !