Merci Mr Castaignède: il fallait le dire et merci pour vos réfèrences historiques ! J 'ai mis du temps avant d'écouter votre conférence parce que le titre faisait penser que vous alliez parler de voitures electriques: bonne surprise : puissent vos propositions être inspirantes !
Panneaux, télé, internet > consommation d'inutilités accrues partout sur la planète. Avant une coupe du monde de foot > pubs pour une nouvelle télé qui montre de plus belles images pour mieux "vivre" le sport, un abonnement téléphone pour le vivre 24/24 en 8K sur votre tablette. Une belle bagnole ? Elle sera mieux que celle de vos voisins, ira plus vite, 800 boutons et connectée à la bourse ou aux sites porno en 8K, même sous les tunnels. Et plus haute, comme ça vous ne voyez rien, de la misère au sol (F-150 cité dans la vidéo) Mais au moins vous êtes un homme, un vrai... F1, Paris Dakar, Monster Trucks, motos et autres conneries qui donnent des envies de puissance infinie, donc vous achèterez plus puissant, plus gros, plus vite. Un nouveau yahourt ! Au biofidium tétravalent quantique ! Le pot est en plastique, 15 milliards de pots par an juste en France. Ajouter la pub de magazines, les modes de l'été, du pré-été, du post-été, sinon vous serez ringardisées, et n'oubliez pas de jeter le reste. Le parfum pour homme qui fera de vous un homme, un vrai, pas comme vos voisins qui sont des merdes qui puent l'eau de cologne pas chère mais au litre. "Vous le valez bien"... Mais l'emballage est composé à 7% de plastiques recyclés en Inde. La réclame est là pour vendre et cela fonctionne, sinon les agences n'en feraient pas, par tout et tout le temps. Les pétroliers (transport) sont extrèmement éfficaces rapport tonne/temps transportée au km. Ils polluent mais personne n'en fait la pub ;)
Bonjour, merci de votre intervention :) Dans le débat des transports on cite beaucoup les transports de marchandise mais QUID des transports sanitaires ? 6 milliards d'euros d'euros de dépense publique en 2022 = un certain coût carbone pour la planète. Y a-t-il des solutions dans un futur bas carbone ?
Merci. Les commandes pour les paquebots de croisières / avions / 4*4 etc. sont pleins. Et je ne parle même pas des éléments militaires, les navires ne tournent pas à la voile, les tanks à l'électrique, les avions ne sont pas des deltaplanes.
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution). Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”. Des villes végétales Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature. “Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot. Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”. Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030. Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants. Des forêts verticales Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.” À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ. Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊🐸🦜🦚🦩🪶🦤🦉🦢🦆🦅🕊🐧🐦🐥🐤🐣🐓🐔🦃🐾🦡🦘🦨🦦🦥🐼🐻❄️🐨🐻🦇🦔🦫🐿🐇🐰🐹🐀🐁🐭🦛🦏🦣🐘🦒🦙🐫🐪🐐🐑🐏🐗🐄🐃🐂🐮🦬🦌🦓🦄🐎🐴🐆🐅🐯🦁🐈⬛🐈🐱🦝🦊🐺🐩🐕🦺🦮🐕🐶🦧🦍🐒🐵
Les personnes citées : Jancovici, Bihouix, Aurélien (Barreau) ... On est dans le bon! PS: Laurent si tu me lis, depuis que je te "connais" dès que ça parle de transport dans mon entourage, je te cite pour montrer que tout le monde a tout faux sur tout (ou presque), mais personne ne cherche à t'écouter ou à te lire (je prête les livres s'il faut)... Pourquoi personne ne cherche l'inconfort intellectuel? Les gens ont peur de s'apercevoir qu'à 40 ou 60 ans ils ont eu tort toute leur vie? Problème d'égo ? C'est pas moi c'est les chinois ?
"Pourquoi personne ne cherche l'inconfort intellectuel?" Parce que par nature le cerveau humain, mais ça vaut pour un chat, recherche le confort. (du Janco dans le texte) "Les gens ont peur de s'apercevoir qu'à 40 ou 60 ans ils ont eu tort toute leur vie?" Le cas des vieux climatosceptiques parmi les ingénieurs à la retraite est démonstratif, ils ne peuvent pas admettre qu'ils ont bossé dans la mauvaise direction toute leur vie. Là encore c'est une question de confort ou de recherche de cohérence interne du cerveau humain. Le déni est un outil puissant qu'on le veuille ou non.
Merci Mr Castaignède: il fallait le dire et merci pour vos réfèrences historiques ! J 'ai mis du temps avant d'écouter votre conférence parce que le titre faisait penser que vous alliez parler de voitures electriques: bonne surprise : puissent vos propositions être inspirantes !
« L’effet rebond » est trop souvent oublié. Merci.
1:40 la pub pollue plus que les pétroliers ?
Panneaux, télé, internet > consommation d'inutilités accrues partout sur la planète.
Avant une coupe du monde de foot > pubs pour une nouvelle télé qui montre de plus belles images pour mieux "vivre" le sport, un abonnement téléphone pour le vivre 24/24 en 8K sur votre tablette.
Une belle bagnole ? Elle sera mieux que celle de vos voisins, ira plus vite, 800 boutons et connectée à la bourse ou aux sites porno en 8K, même sous les tunnels. Et plus haute, comme ça vous ne voyez rien, de la misère au sol (F-150 cité dans la vidéo) Mais au moins vous êtes un homme, un vrai...
F1, Paris Dakar, Monster Trucks, motos et autres conneries qui donnent des envies de puissance infinie, donc vous achèterez plus puissant, plus gros, plus vite.
Un nouveau yahourt ! Au biofidium tétravalent quantique ! Le pot est en plastique, 15 milliards de pots par an juste en France.
Ajouter la pub de magazines, les modes de l'été, du pré-été, du post-été, sinon vous serez ringardisées, et n'oubliez pas de jeter le reste. Le parfum pour homme qui fera de vous un homme, un vrai, pas comme vos voisins qui sont des merdes qui puent l'eau de cologne pas chère mais au litre.
"Vous le valez bien"... Mais l'emballage est composé à 7% de plastiques recyclés en Inde.
La réclame est là pour vendre et cela fonctionne, sinon les agences n'en feraient pas, par tout et tout le temps.
Les pétroliers (transport) sont extrèmement éfficaces rapport tonne/temps transportée au km. Ils polluent mais personne n'en fait la pub ;)
Bonjour, merci de votre intervention :) Dans le débat des transports on cite beaucoup les transports de marchandise mais QUID des transports sanitaires ? 6 milliards d'euros d'euros de dépense publique en 2022 = un certain coût carbone pour la planète. Y a-t-il des solutions dans un futur bas carbone ?
42:01 chacun sa croix ou chacun s'accroît ?
Hé oui, le mirage de la croix sens!
Merci.
Les commandes pour les paquebots de croisières / avions / 4*4 etc. sont pleins.
Et je ne parle même pas des éléments militaires, les navires ne tournent pas à la voile, les tanks à l'électrique, les avions ne sont pas des deltaplanes.
En Europe, Copenhague est à la pointe des projets de “ville verte intelligente”. Ambitionnant de devenir la première ville au monde neutre en carbone d’ici à 2025, elle ne se contente pas de multiplier les éoliennes et les pistes cyclables. Elle dissémine aussi des milliers de capteurs dans son mobilier urbain. Des “poubelles connectées” permettant de mieux gérer les déchets, jusqu’aux feux rouges mesurant la qualité de l’air, afin de mieux adapter la circulation (notamment lors de pics de pollution).
Mais ce qui ressemble le plus à la ville du futur “intelligente et verte” se trouve en Asie, à Singapour. Cette petite île où se massent 6 millions d’habitants a installé des centaines d’arbres artificiels, hauts de 18 à 50 mètres. Ils sont équipés de modérateurs de température, éclairent les rues grâce à l’énergie solaire, et collectent l’eau de pluie pour alimenter les fontaines et des “fermes urbaines”.
Des villes végétales
Mais les nouvelles technologies ne seront jamais aussi fortes que la nature pour rendre une ville réellement verte. La concentration exponentielle d’individus dans les “mégapoles” du futur amènera celles-ci à remodeler leurs paysages urbains, en laissant davantage de place à la nature.
“Aujourd’hui, à Paris, plus de 50 % de l’espace public est dédié aux voitures, à la circulation, aux parkings ; ce qui veut dire que l’on dispose d’un potentiel phénoménal de végétalisation. Pas du végétal décoratif, mais du végétal massif. Des arbres et de la végétation, des corridors verts, des espaces naturels dans la ville qui auraient un impact positif sur la biodiversité, la qualité de l’air et la régulation des températures”, observe Sylvain Grisot.
Les villes occidentales, de Lyon à Copenhague, commencent peu à peu à se “végétaliser”, afin d’éviter à ceux qui y vivront (d’ici à 2050) d’y suffoquer. Mais en raison d’un manque de foncier disponible, la création de grands parcs urbains n’est bien souvent pas à l’ordre du jour. Ainsi, les villes transforment-elles surtout les emplacements disponibles, notamment les friches industrielles, en jardins partagés et en “coulées vertes”.
Face au réchauffement climatique, la végétation fournit aussi de l’ombre, absorbe le CO2 et refroidit l’air. C’est pourquoi, en Amérique du nord, les villes d’Austin, Seattle et Montréal tentent de planter des centaines de milliers d’arbres d’ici 2030. En France, Paris prévoit d’en faire sortir de terre 170 000 d’ici 2027, à la place des parkings et des voies sur berge. En Italie, Milan va plus loin, avec un programme de plantation de 3 millions d’arbres d’ici 2030.
Mais plusieurs experts ne cachent pas leur scepticisme face aux “forêts urbaines”. “Sur une étude à la Défense, on avait calculé que les 70 premières années de vie des arbres serviraient à absorber le CO2 émis par le renforcement des infrastructures. Avec ces projets, on est plutôt dans un symbolisme de l’écologie. Au niveau du climat, ça ne fonctionne pas réellement”, explique Philippe Rahm, architecte suisse, dans Le Monde. Caroline Mollie, architecte paysagiste, rappelle qu’un arbre, “pour qu’il donne son maximum d’effet, doit avoir au moins une trentaine d’années. Voilà pourquoi mieux vaut planter moins, mais mieux, au bon endroit”. A Melbourne, par exemple, une programme de reforestation ne prévoit “que” 3 000 pieds pour 4,5 millions d’habitants.
Des forêts verticales
Planter ainsi des arbres en ville reste complexe, en raison d’une forte pression du foncier et d’un manque de place. C’est pourquoi des architectes et des urbanistes conçoivent aussi des forêts “verticales”. À Milan, les deux tours résidentielles du projet “Bosco Verticale” regroupent depuis 2017 plus de 20 000 plantes et arbres, soit l’équivalent de 2 hectares de forêt répartis en façade. Ce projet de reforestation verticale a pour objectif “d’augmenter la biodiversité, de réduire l’expansion urbaine et de contribuer à la régulation du microclimat.”
À Singapour, où l’espace est très limité, les plantations d’arbres sur les toits et les terrasses se multiplient depuis 5 ans. Une “architecture verte” à l’origine du surnom de la cité : la “ville-jardin”. Les hôtels Parkroyal et Oasia, notamment, disposent d’une surface végétale 5 à 10 fois plus importante que leur surface au sol. “Ce qui veut dire que dans la ville de demain, la nature pourrait être 10 fois plus présente que si la ville n’existait pas”, estime l’architecte Wong Mun Summ.
Reste le risque de voir naître une nouvelle forme d’inégalités, liées au cadre de vie plus agréable procuré par les tours végétalisées. À Milan, les gratte-ciel boisés de Bosco verticale sont surtout peuplés de personnes fortunées. Le complexe compte 131 appartements, dont le prix varie de 10 000 à 18 000 euros le mètre carré. En Corée du Sud, Songdo n’attire aussi que des familles aisées. Car cette “smart city verte” suit une logique immobilière, qui repose sur des partenariats public-privé, et donc le besoin d’attirer des populations CSP + pour être rentables. C’est sans doute pour éviter cela que les urbanistes de Singapour privilégient de plus en plus des projets d’immeubles végétalisés destinés à toutes les catégories sociales, avec un part importante de HLM.🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷🇫🇷❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️🏙🏙🏙🏙🏙🏙🏞🏞🏞🏞🏞🏠🏡🏢🏣🏤🏥🏯🏭🏬🏫🏪🏩🏨🏦💒⛲️⛰️🏔🗼🌐🌍🌏🌎🌳🌲🪴🌱⚘️🌷🌼🌻🌴🌵🍀🌿🍃🦋🐌🐚🦑🦐🦞🦀🐙🦈🐡🐠🐟🦭🐬🐋🐳🦖🦕🐉🐲🐍🦎🐢🐊🐸🦜🦚🦩🪶🦤🦉🦢🦆🦅🕊🐧🐦🐥🐤🐣🐓🐔🦃🐾🦡🦘🦨🦦🦥🐼🐻❄️🐨🐻🦇🦔🦫🐿🐇🐰🐹🐀🐁🐭🦛🦏🦣🐘🦒🦙🐫🐪🐐🐑🐏🐗🐄🐃🐂🐮🦬🦌🦓🦄🐎🐴🐆🐅🐯🦁🐈⬛🐈🐱🦝🦊🐺🐩🐕🦺🦮🐕🐶🦧🦍🐒🐵
Les personnes citées : Jancovici, Bihouix, Aurélien (Barreau) ... On est dans le bon!
PS: Laurent si tu me lis, depuis que je te "connais" dès que ça parle de transport dans mon entourage, je te cite pour montrer que tout le monde a tout faux sur tout (ou presque), mais personne ne cherche à t'écouter ou à te lire (je prête les livres s'il faut)... Pourquoi personne ne cherche l'inconfort intellectuel? Les gens ont peur de s'apercevoir qu'à 40 ou 60 ans ils ont eu tort toute leur vie? Problème d'égo ? C'est pas moi c'est les chinois ?
"Pourquoi personne ne cherche l'inconfort intellectuel?" Parce que par nature le cerveau humain, mais ça vaut pour un chat, recherche le confort. (du Janco dans le texte)
"Les gens ont peur de s'apercevoir qu'à 40 ou 60 ans ils ont eu tort toute leur vie?" Le cas des vieux climatosceptiques parmi les ingénieurs à la retraite est démonstratif, ils ne peuvent pas admettre qu'ils ont bossé dans la mauvaise direction toute leur vie. Là encore c'est une question de confort ou de recherche de cohérence interne du cerveau humain. Le déni est un outil puissant qu'on le veuille ou non.