Ces femmes ont été extraordinaires, elles ont rendu possible le droit des femmes à disposer de leur corps. Il faut rester vigilantes afin que ce droit ne recule pas!
@@RuanCarlos-zz1fu Oui c'est quelque chose qu'on à tendance à oublier je trouve le slogan "mon corps mon choix" terriblement égocentrique. Quand j'ai porté les enfants mon seul souci était leur santé.
@@anaconda4993 Sauf que la vie de ces femmes importent. Elles ressentent la douleur, elles ont des projets de vie, elles ont une volonté. Un fœtus ça n'a rien de tt ça.
Ça me déprime les gens anti-avortement dans les commentaires… Comment tu peux entendre les souffrances dont ces femmes témoignent dans la vidéo et te montrer irrespectueux comme ça?
N'importe quoi, à l'époque quand on était marié ça ne se faisait pas de se refuser à son mari (pas toujours choisi), c'était le devoir conjugal. Donc elles n'avaient pas le choix et elles étaient très mal informées. Donc au bout d'un moment il faut arrêter de juger surtout sans avoir vécu leurs conditions de vie.
😭😭😭😭😭😭😭😢😢😢Povre femme dire que de nos joir ce droit nest pas ancor legal dans les autre pays du monde dans le monde entier les femme ce batte ancor et toujour pour cette liberté
Une liberte de tuer ?liberter d'etre egoiste et de choisir a la place de l'homme car un enfant se fait a 2 tres cher ! Arreter de vous ecarter les cuisse au 2 seconde et plis besoin d'avortement !
La pillule date de 1972. A un an pres, ma vie aurait bien change sans doute mais j ai choisi la vie. Ma fille metisse est nee en 1971. J ai du affronter le racisme ambiant et familial. Mais je n aurais pas supporte d avorter, surtout pour de tels motifs.
@@dominiquedupont9017 ah oui ? Et tu me réponds quoi à moi qui aie avorté à l'âge de 19 ans ? J'étais étudiante. Je ne pouvais pas prendre la pilule pour raison médicale. J'étais en dépression. J'avais un copain. On mettait des préservatifs et un jour, ça a craqué. Je suis tombée enceinte. Lui, très courageux est parti. Et j'aurais dû faire quoi? Hein? Accoucher et l'abandonner ? Tu l'aurais élevé à ma place ?
@@celinechanteuse8808 La souffrance que vous témoignez est légitime, mais elle ne justifie en aucun cas la mise à mort d’un innocent. Notre société déresponsabilise les hommes de leurs actes. Des solutions (certes difficiles, mais qui a dit que la vie était facile ?) existent : accouchement sous X etc.
@La Muse je le répète je ne pouvais pas prendre la pilule pour raison médicale et je ne supporte pas le stérilet. Il y a le diaphragme, mais hélas je ne connaissais pas à l'époque et les médecins n'en parlent pas. J'ai découvert son existence en faisant mon école d'infirmière que j'ai faite après. Alors je t'écoute pour les autres moyens de contraception. Du reste à l'époque je ne savais pas qu'un préservatif pouvait craquer. Ton commentaire ne répond pas à ma question. ...j'aurais dû faire quoi? Et c'est toi qui aurait géré ?
@@dominiquedupont9017 mais sais tu que les accouchements sous X, qui sont un abandon, appelons un chat un chat, sont pires en terme d'injustice et de souffrance sur un innocent ? Ces enfants portent des blessures inconscientes avec parfois de graves traumatismes. Je te conseille de lire Caŕl Jung qui explique que ta naissance et tes premiers mois de vie sont essentielles dans la construction psychique. Donc abandonner un enfant aura bien plus de conséquences que d'avorter d'un embryon
Pas de mots...Je suis toujours épatée par l'égocentrisme et l'individualisme des gens d'aujourd'hui...s'ils ont été éduqués par cette génération, tout s'explique en fait...
Si je comprends bien, selon vous, il ne faudrait pas être égocentrique vis-à-vis de son corp. Cela étant, mon corps est la propriété de qui si ce n’est de ma personne ? Mon corps fait partie de la communauté au même titre qu’un bâtiment ? L’état, mon voisin, ma mère ont le droit de me dire ce que je dois faire ? Vous-même que je ne connais pas, avez le droit de regard et de décision sur ce que je fais à mon corps ? Quoi de plus normal d’être égocentrique quand on parle de soi-même… par conséquent je ne comprends pas votre réflexion. Peut être que vous pourriez étayer ? Les femmes qui avortent pensent tout autant qu’une femme qui n’avorte pas au bien être de l’enfant dont elles se séparent. Et chaque avortement fait mal, AUCUNE femme ne dira qu’un avortement a été banal ou plaisant : c’est une épreuve Et les femmes qui avortent le font car elles ne sont juste pas en mesure d’élever un enfant donc leur démarche est tout sauf égoïste et individualiste. Au contraire il serait égoïste de garder l’enfant, de ne pas s’en occuper pleinement par la suite et lui faire payer sa venue au monde.
@@eveclaire8992 Avant toute chose, pour éviter une IVG qui reste un traumatisme, connaître et apprendre le fonctionnement de son corps, ce qui ne semble plus vraiment une priorité de nos jours. Que les jeunes filles sachent aussi qu'elles peuvent être enceintes lors d'un premier et seul rapport, et pour les mères, que le retour de couches est redoutable. Ne serait-ce qu'avec ces éléments là, combien de drames évités. Et responsabiliser les garçons et les hommes, mais ça, c'est encore une autre affaire.
A Montréal (canada)Il y eut 1 mes.gyneco Dr morgentalerqui a opéré 1 clinique.on passait devt un comité hospitalier.et l avortement se faisait dans les conditions idéales.unass.feminine référait notre cas. La limite devait être de 2 mois de grossesse.bon il y a les contraceptifs mais ça peut créer des complications!
C'est pas le plus fondamentale ou vous êtes fondamentalement débile ! Le meurtre une libération ? Vous êtes abjecte, ça se voit que vous auriez soutenu les camps de la mort vu votre logique
@@StylifeRap06510 oui vivre lorsque l’on est déjà conscients de soi, sensible et viable. Or ce n’est pas le cas d’un embryon de moins de 14 semaines qui représente un amas de cellules en formation dénuées de tout ce que j’ai énoncé au dessus.
J'avais trop peur, car je n'ais jamais fait un avortement, mais pour cette fois ci je me suis retrouvé avec une grossesse de 3mois, j'ai l'obligation de l'avorté. Merci a Dieu j'ai trouvé Docteur Egba qui m'a donné un produit naturel. Et tout cela s'est eliminé en trois jours sans effets secondaire ni d'ecoulement abondante de sang. Merci seigneur. le docteur.
(÷229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32) L'IVG dans une heure de temps sans effets secondaires (229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32) L'IVG dans une heure😢
La vie commence à la fécondation, ce fait est établi parmi les spécialistes et personne de sérieux ne saurait remettre cela en question. En fait, il n’existe aucune publication scientifique contestant ce fait. Le débat scientifique autour de l’avortement concerne plutôt la nature de cette vie, est-ce une personne (qu’est-ce qu’une personne ?), est-elle consciente ? Possède-t-elle une volonté ? Une première question que l’on peut se poser est celle de la conscience de ces embryons. Avant de relever ce que la science nous apprend à ce sujet, j’aimerai premièrement dire que je ne pense pas que la conscience est ce qui fait qu’une personne a le droit de vivre. En effet, des personnes vivent dans des états d’inconscience (coma) ou de conscience modifiée (sommeil !) sans que cela remette en cause leur droit à la vie. De plus, la conscience est assez difficile à définir de façon certaine. Pour vérifier si les embryons sont conscients, nous nous demanderons alors plutôt si les embryons sont capables d’actions intentionnelles et s’ils sont sensibles, ce qui est bien plus vérifiable scientifiquement. Nous savons que les embryons sont capables de mouvements volontaires (par opposition aux réflexes) car ceux-ci sont commandés par leur cortex, tout comme les nôtres, mais la science a plus à nous apprendre. Dans une étude publiée le 7 octobre 2010 dans le journal de médecine PLOS, des chercheurs ont étudié le processus de décélération chez les embryons. La décélération est ce qui se produit quand des hommes veulent saisir un objet. Au dernier moment, la vitesse de leur main diminue pour qu’ils puissent bien attraper leur verre d’eau, par exemple. Ce processus est propre aux actions volontaires, calculées. Il nécessite d’avoir évalué la distance de l’objet à atteindre, d’avoir visé précisément cet objet pour effectuer un mouvement contrôlé. Ces chercheurs ont ainsi montré, chez des embryons de 14 semaines, l’existence de ce processus qui permet à ces embryons de ne pas se blesser quand ils veulent toucher leur visage ou celui de leur jumeau ! Leur main ralentit progressivement jusqu’à atteindre son but. À 14 semaines donc, les embryons sont capables de mouvements volontaires (contrôlés par le cortex) mais aussi intentionnels et calculés (décélération). Cette étude va plus loin en montrant que les processus de décélération étaient différents en fonction de l’objet à atteindre (le ventre de la mère, son propre corps, ou son jumeau). Il n’y avait presque pas de décélération quand il s’agit de toucher le ventre (d’où les fameux « coups » du bébé), il y a une certaine décélération quand il s’agit de toucher son corps, une décélération encore plus forte quand il s’agit de toucher son visage et une décélération très forte quand il s’agit d’atteindre le jumeau. Une autre manière de vérifier la conscience d’une personne est de voir si celle-ci est sensible, c’est-à-dire vérifier si ses sens sont opérationnels. On sait qu’une importante partie du corps de l’embryon est innervée assez tôt dans son développement mais là encore la science peut nous en apprendre plus. En 2010, une étude sur des embryons de 10 semaines a montré que ceux-ci étaient capables d’actions d’exploration sensitive. C’est-à-dire que ces embryons étaient conscients des territoires de leur corps qui étaient innervés et de ceux qui ne l’étaient pas. On a remarqué cela en analysant la fréquence à laquelle les embryons touchaient avec leur main les différentes parties de leur corps : ceux-ci touchent beaucoup plus fréquemment les parties innervées. Mieux encore, cette même étude a montré que les zones que l’embryon explore pour découvrir son corps se déplacent au fur et à mesure que son corps s’innerve. C’est-à-dire que l’embryon explore par ses mains chaque jour les nouveaux territoires innervés, ce qu’il ne faisait pas quand ils n’étaient pas encore innervés. Les études sur la sensibilité des embryons, au-delà de la question de la conscience, nous permettent de conclure que les embryons peuvent ressentir la douleur et qu’ils la ressentent lors d’un avortement, ce qu’avait déjà montré Bernard Nathanson. Il avait vulgarisé ce savoir en 1984 dans le film le Cri silencieux. Je ne suis pas physicaliste, c’est-à-dire que je ne pense pas que l’être humain se résume à son corps. Mais même si l’on est physicaliste et qu’on définit une personne comme un être sensible et capable d’action volontaires, contrôlées et intentionnelles, alors la science nous montre que les embryons du premier semestre sont des personnes. À chacun d’en tirer les conclusions éthiques.
Qu'un embryon soit doué de sensibilité ou non, on s'en fiche, mon cher monsieur : il n'y a qu'une vérité, une réalité seule qui compte, c'est qu'une femme qui ne veut pas poursuivre sa grossesse trouvera un moyen de s'en débarrasser. Le droit n'a pas pour rôle d'avaliser une étude scientifique douteuse sur la conscience, le droit appréhende des réalités qui existent et qui sont inacceptables. La question du commencement de la vie est sans pertinence pour le législateur, et seules les vies des femmes (nées bien vivantes et viables) sont prises en considération. Je vous rappelle également qu'une fausse couche est possible à tous les stades de la grossesse, et que tout le monde s'en fiche d'éviter à un foetus de souffrir lors d'une fausse couche, simplement car celle-ci est involontaire. Au lieu de vous soucier du bien-être d'embryons qui pourraient ne jamais voir le jour, préoccupez-vous plutôt d'agir pour que les enfants déjà nés vivants et viables de ce monde ne souffrent pas !
Votre démonstration tend à montrer que les fœtus de 14 semaines et plus sont sensibles et conscients de leurs mouvements. Très bien ! En France, l’avortement se réalise en deçà de 14 semaines donc lorsque, selon votre propre article, le fœtus n’est encore qu’un amas de cellules non sensibles, non conscientes, non viables. Par conséquent, rien ne défis ou ne remet en question l’éthique ici
@@rubytuesday8335 Ou bien enseignons à nos gosses qu'il ne faut pas se faire pénétrer par un penis avant d'être en âge de pouvoir assumer les conséquences... je crois que la base est celle ci, une fois qu'elle est ignorée c'est la porte ouverte à tout
Oui c'est bien, car aujourd'hui nous avons le droit de disposer de nos corps. Faire un enfant doit être un choix et non une punition car sinon ça retombe sur l'enfant. Alors vos théories fumeuses on s'en passe. À l'époque on ne choisissait pas toujours son mari et il n'était pas question de repousser monsieur car il y avait le devoir conjugal...
@@camillenguyen1002 C'est le corps de votre bébé, pas le votre... Si vous voulez coucher, il faut assumer les conséquences, au lieu de faire retomber cela sur l'enfant en l'éliminant. Tout doit passer après la volonté et le désir des hommes aujourd'hui mais voilà le résultat : En France u quart des bébés sont tués dans le ventre de leur mère. C'est barbare
@@Jrmy6012 vous n'avez qu'à recueillir tous les enfants non désirés du monde chez vous avez vos super théories ! Ah ben non vous ne ferez jamais cela car vous n'avez que des théories mais rien de concret. Encore quelqu'un qui ne connait rien de la vraie vie et qui est frustré. Autrefois on ne pouvait pas toujours choisir son mari et c'était lui qui décidait. Alors votre morale à deux sous on s'en passe.
À mon avis ça devrait redevenir comme ça! Celles qui veulent tuer leur bébé savent qu'elles risquent la mort... Elles y penseraient à 2 fois avant de le faire!
Réécoutez ce que disent ces femmes et vous comprendrez peut-être... À l'époque la contraception n'était pas autorisée ensuite il y avait le devoir conjugal, c'est à dire que madame n'avait pas le droit de se refuser à son mari. Et actuellement la plupart des femmes qui avortent utilisent déjà une contraception mais ça n'a pas marché. Car aucune contraception n'est diable à 100%. Un enfant doit être un choix afin qu'il ne soit pas maltraité. Mais ça peut-être que vous ne vous en préoccupez pas, vous voulez juste que les femmes pondent mais vous ne vous demandez pas si cet enfant sera nourri, éduqué et aimé. Un enfant non désiré à de grandes chances d'être maltraité. Mais ça, vous vous en fichez. Vous n'avez qu'à tous les accueillir chez vous !
(÷229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32) L'IVG dans une heure de temps sans effets secondaires (229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32) L'IVG dans une heure😢
Terrible. Mesdames vous êtes si fortes. Respect.
Ces femmes ont été extraordinaires, elles ont rendu possible le droit des femmes à disposer de leur corps. Il faut rester vigilantes afin que ce droit ne recule pas!
Disposer du corps d'un tiers aussi faut pas faire les hypocrite !
@@RuanCarlos-zz1fu Oui c'est quelque chose qu'on à tendance à oublier je trouve le slogan "mon corps mon choix" terriblement égocentrique. Quand j'ai porté les enfants mon seul souci était leur santé.
Tout ça pour justifier le meurtre d'un innocent dans le ventre de sa mère sous couvert de liberté, ça suffit les conneries !
@@LOUIS-gf3yd as tu un utérus ?
@@anaconda4993 Sauf que la vie de ces femmes importent. Elles ressentent la douleur, elles ont des projets de vie, elles ont une volonté. Un fœtus ça n'a rien de tt ça.
Incroyable documentaire. Merci!
Tan de souffrance et de lutte pour que la loi des états unis régresse ! Pfff une honte
Sauver des vies humaines signifie régresser ?!?!?!
@@identifiant- tg
@@identifiant- qui parle de ''vies humaines"" (sic)
consulte un dictionnaire, tu auras la définition exacte de ce terme !!!🤪🤪
@@identifiant-on sauve rien
Ça me déprime les gens anti-avortement dans les commentaires… Comment tu peux entendre les souffrances dont ces femmes témoignent dans la vidéo et te montrer irrespectueux comme ça?
Elles se sont causé elles-même leurs souffrances.
N'importe quoi, à l'époque quand on était marié ça ne se faisait pas de se refuser à son mari (pas toujours choisi), c'était le devoir conjugal. Donc elles n'avaient pas le choix et elles étaient très mal informées. Donc au bout d'un moment il faut arrêter de juger surtout sans avoir vécu leurs conditions de vie.
@@camillenguyen1002pas forcément..des couples faisaient chambre séparées quand ils ne voulaient plus d'enfant.
@@Master-be3vr oui mais pas tous... Si monsieur ne voulait pas faire chambre à part y avait pas le choix.
@@camillenguyen1002 ça reste dramatique de tuer son enfant pour autant. Il vaut mieux à mon avis avoir plus d'enfants que de tuer son propre enfant.
La qualité plutôt que la quantité. En certains pays surpeuplés,On limitait les naissces.
Qualité de vie!
Sa fait mal rien que d'y penser
😭😭😭😭😭😭😭😢😢😢Povre femme dire que de nos joir ce droit nest pas ancor legal dans les autre pays du monde dans le monde entier les femme ce batte ancor et toujour pour cette liberté
Une liberte de tuer ?liberter d'etre egoiste et de choisir a la place de l'homme car un enfant se fait a 2 tres cher ! Arreter de vous ecarter les cuisse au 2 seconde et plis besoin d'avortement !
La pillule date de 1972. A un an pres, ma vie aurait bien change sans doute mais j ai choisi la vie. Ma fille metisse est nee en 1971. J ai du affronter le racisme ambiant et familial. Mais je n aurais pas supporte d avorter, surtout pour de tels motifs.
Bravo pour votre courage ! L’avortement n’est jamais une solution.
@@dominiquedupont9017 ah oui ? Et tu me réponds quoi à moi qui aie avorté à l'âge de 19 ans ? J'étais étudiante. Je ne pouvais pas prendre la pilule pour raison médicale. J'étais en dépression. J'avais un copain. On mettait des préservatifs et un jour, ça a craqué. Je suis tombée enceinte. Lui, très courageux est parti. Et j'aurais dû faire quoi? Hein? Accoucher et l'abandonner ? Tu l'aurais élevé à ma place ?
@@celinechanteuse8808 La souffrance que vous témoignez est légitime, mais elle ne justifie en aucun cas la mise à mort d’un innocent. Notre société déresponsabilise les hommes de leurs actes. Des solutions (certes difficiles, mais qui a dit que la vie était facile ?) existent : accouchement sous X etc.
@La Muse je le répète je ne pouvais pas prendre la pilule pour raison médicale et je ne supporte pas le stérilet. Il y a le diaphragme, mais hélas je ne connaissais pas à l'époque et les médecins n'en parlent pas. J'ai découvert son existence en faisant mon école d'infirmière que j'ai faite après. Alors je t'écoute pour les autres moyens de contraception. Du reste à l'époque je ne savais pas qu'un préservatif pouvait craquer. Ton commentaire ne répond pas à ma question. ...j'aurais dû faire quoi? Et c'est toi qui aurait géré ?
@@dominiquedupont9017 mais sais tu que les accouchements sous X, qui sont un abandon, appelons un chat un chat, sont pires en terme d'injustice et de souffrance sur un innocent ? Ces enfants portent des blessures inconscientes avec parfois de graves traumatismes. Je te conseille de lire Caŕl Jung qui explique que ta naissance et tes premiers mois de vie sont essentielles dans la construction psychique. Donc abandonner un enfant aura bien plus de conséquences que d'avorter d'un embryon
Pas de mots...Je suis toujours épatée par l'égocentrisme et l'individualisme des gens d'aujourd'hui...s'ils ont été éduqués par cette génération, tout s'explique en fait...
Pas de mots? Très bien! Taisez-vous on s’en fiche?
@@MC-cg2rr toi ferme la, pauvre facho juste bonne à perpétuer les idées et méthodes nazi !
C’est déconcertant..
Si je comprends bien, selon vous, il ne faudrait pas être égocentrique vis-à-vis de son corp. Cela étant, mon corps est la propriété de qui si ce n’est de ma personne ? Mon corps fait partie de la communauté au même titre qu’un bâtiment ? L’état, mon voisin, ma mère ont le droit de me dire ce que je dois faire ? Vous-même que je ne connais pas, avez le droit de regard et de décision sur ce que je fais à mon corps ?
Quoi de plus normal d’être égocentrique quand on parle de soi-même… par conséquent je ne comprends pas votre réflexion. Peut être que vous pourriez étayer ?
Les femmes qui avortent pensent tout autant qu’une femme qui n’avorte pas au bien être de l’enfant dont elles se séparent. Et chaque avortement fait mal, AUCUNE femme ne dira qu’un avortement a été banal ou plaisant : c’est une épreuve
Et les femmes qui avortent le font car elles ne sont juste pas en mesure d’élever un enfant donc leur démarche est tout sauf égoïste et individualiste. Au contraire il serait égoïste de garder l’enfant, de ne pas s’en occuper pleinement par la suite et lui faire payer sa venue au monde.
@@eveclaire8992 Avant toute chose, pour éviter une IVG qui reste un traumatisme, connaître et apprendre le fonctionnement de son corps, ce qui ne semble plus vraiment une priorité de nos jours. Que les jeunes filles sachent aussi qu'elles peuvent être enceintes lors d'un premier et seul rapport, et pour les mères, que le retour de couches est redoutable. Ne serait-ce qu'avec ces éléments là, combien de drames évités. Et responsabiliser les garçons et les hommes, mais ça, c'est encore une autre affaire.
A Montréal (canada)Il y eut 1 mes.gyneco Dr morgentalerqui a opéré 1 clinique.on passait devt un comité hospitalier.et l avortement se faisait dans les conditions idéales.unass.feminine référait notre cas. La limite devait être de 2 mois de grossesse.bon il y a les contraceptifs mais ça peut créer des complications!
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*AUCUN homme n'a le droit de donner son avis sur l'avortement - AUCUN !* 👩👩👧
@@jadorelesjonquilles984 l'homme est concerné par l'avortement, que je sache on n'avorte pas que des filles.
L’avortement est le droit le plus fondamental. Vive l’avortement, c’est une libération
C'est pas le plus fondamentale ou vous êtes fondamentalement débile ! Le meurtre une libération ? Vous êtes abjecte, ça se voit que vous auriez soutenu les camps de la mort vu votre logique
Le droit le plus fondamentale celui de vivre !
@@StylifeRap06510 oui vivre lorsque l’on est déjà conscients de soi, sensible et viable. Or ce n’est pas le cas d’un embryon de moins de 14 semaines qui représente un amas de cellules en formation dénuées de tout ce que j’ai énoncé au dessus.
on marche sur la tête avec votre commentaire...
@@Jrmy6012 Si seulement on pouvait marcher sur la vôtre, ça m’éviterait de me coltiner le ouin ouin sempiternel des hommes comme vous
Dangereux sa et non veux plus d'enfant moi.
Non, maintenant que c'est pratiqué dans de meilleures conditions c'est devenu peu dangereux ; et heureusement.
"on s'était trompé de groupe sanguin" c'est une blague ?! Ils se sont "trompés"?
J'avais trop peur, car je n'ais jamais fait un avortement, mais pour cette fois ci je me suis retrouvé avec une grossesse de 3mois, j'ai l'obligation de l'avorté. Merci a Dieu j'ai trouvé Docteur Egba qui m'a donné un produit naturel. Et tout cela s'est eliminé en trois jours sans effets secondaire ni d'ecoulement abondante de sang. Merci seigneur. le docteur.
Belle pub déguisée...
@@chawarma1048 merci
Ahh Pâques 🐣
😭😭😭😭
Inversion des valeurs
Moi Pas Enceinte car si je serais bin je serais et Surtout Sans mon concentement.
(÷229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32)
L'IVG dans une heure de temps sans effets secondaires
(229).''''(55).''’'''(34).'''''(63).''''(32)
L'IVG dans une heure😢
En plus je suis attached moi mes tromper
Pendant la pandémie adoptez le lit jumeau!évitez ces conflits domestiques!
La vie commence à la fécondation, ce fait est établi parmi les spécialistes et personne de sérieux ne saurait remettre cela en question. En fait, il n’existe aucune publication scientifique contestant ce fait. Le débat scientifique autour de l’avortement concerne plutôt la nature de cette vie, est-ce une personne (qu’est-ce qu’une personne ?), est-elle consciente ? Possède-t-elle une volonté ?
Une première question que l’on peut se poser est celle de la conscience de ces embryons. Avant de relever ce que la science nous apprend à ce sujet, j’aimerai premièrement dire que je ne pense pas que la conscience est ce qui fait qu’une personne a le droit de vivre. En effet, des personnes vivent dans des états d’inconscience (coma) ou de conscience modifiée (sommeil !) sans que cela remette en cause leur droit à la vie.
De plus, la conscience est assez difficile à définir de façon certaine. Pour vérifier si les embryons sont conscients, nous nous demanderons alors plutôt si les embryons sont capables d’actions intentionnelles et s’ils sont sensibles, ce qui est bien plus vérifiable scientifiquement.
Nous savons que les embryons sont capables de mouvements volontaires (par opposition aux réflexes) car ceux-ci sont commandés par leur cortex, tout comme les nôtres, mais la science a plus à nous apprendre. Dans une étude publiée le 7 octobre 2010 dans le journal de médecine PLOS, des chercheurs ont étudié le processus de décélération chez les embryons.
La décélération est ce qui se produit quand des hommes veulent saisir un objet. Au dernier moment, la vitesse de leur main diminue pour qu’ils puissent bien attraper leur verre d’eau, par exemple. Ce processus est propre aux actions volontaires, calculées. Il nécessite d’avoir évalué la distance de l’objet à atteindre, d’avoir visé précisément cet objet pour effectuer un mouvement contrôlé.
Ces chercheurs ont ainsi montré, chez des embryons de 14 semaines, l’existence de ce processus qui permet à ces embryons de ne pas se blesser quand ils veulent toucher leur visage ou celui de leur jumeau ! Leur main ralentit progressivement jusqu’à atteindre son but. À 14 semaines donc, les embryons sont capables de mouvements volontaires (contrôlés par le cortex) mais aussi intentionnels et calculés (décélération).
Cette étude va plus loin en montrant que les processus de décélération étaient différents en fonction de l’objet à atteindre (le ventre de la mère, son propre corps, ou son jumeau). Il n’y avait presque pas de décélération quand il s’agit de toucher le ventre (d’où les fameux « coups » du bébé), il y a une certaine décélération quand il s’agit de toucher son corps, une décélération encore plus forte quand il s’agit de toucher son visage et une décélération très forte quand il s’agit d’atteindre le jumeau.
Une autre manière de vérifier la conscience d’une personne est de voir si celle-ci est sensible, c’est-à-dire vérifier si ses sens sont opérationnels. On sait qu’une importante partie du corps de l’embryon est innervée assez tôt dans son développement mais là encore la science peut nous en apprendre plus.
En 2010, une étude sur des embryons de 10 semaines a montré que ceux-ci étaient capables d’actions d’exploration sensitive. C’est-à-dire que ces embryons étaient conscients des territoires de leur corps qui étaient innervés et de ceux qui ne l’étaient pas. On a remarqué cela en analysant la fréquence à laquelle les embryons touchaient avec leur main les différentes parties de leur corps : ceux-ci touchent beaucoup plus fréquemment les parties innervées.
Mieux encore, cette même étude a montré que les zones que l’embryon explore pour découvrir son corps se déplacent au fur et à mesure que son corps s’innerve. C’est-à-dire que l’embryon explore par ses mains chaque jour les nouveaux territoires innervés, ce qu’il ne faisait pas quand ils n’étaient pas encore innervés.
Les études sur la sensibilité des embryons, au-delà de la question de la conscience, nous permettent de conclure que les embryons peuvent ressentir la douleur et qu’ils la ressentent lors d’un avortement, ce qu’avait déjà montré Bernard Nathanson. Il avait vulgarisé ce savoir en 1984 dans le film le Cri silencieux.
Je ne suis pas physicaliste, c’est-à-dire que je ne pense pas que l’être humain se résume à son corps. Mais même si l’on est physicaliste et qu’on définit une personne comme un être sensible et capable d’action volontaires, contrôlées et intentionnelles, alors la science nous montre que les embryons du premier semestre sont des personnes. À chacun d’en tirer les conclusions éthiques.
Qu'un embryon soit doué de sensibilité ou non, on s'en fiche, mon cher monsieur : il n'y a qu'une vérité, une réalité seule qui compte, c'est qu'une femme qui ne veut pas poursuivre sa grossesse trouvera un moyen de s'en débarrasser. Le droit n'a pas pour rôle d'avaliser une étude scientifique douteuse sur la conscience, le droit appréhende des réalités qui existent et qui sont inacceptables. La question du commencement de la vie est sans pertinence pour le législateur, et seules les vies des femmes (nées bien vivantes et viables) sont prises en considération. Je vous rappelle également qu'une fausse couche est possible à tous les stades de la grossesse, et que tout le monde s'en fiche d'éviter à un foetus de souffrir lors d'une fausse couche, simplement car celle-ci est involontaire. Au lieu de vous soucier du bien-être d'embryons qui pourraient ne jamais voir le jour, préoccupez-vous plutôt d'agir pour que les enfants déjà nés vivants et viables de ce monde ne souffrent pas !
Tu commence déjà par une erreur du coup je me suis arrêtée là.
... dans une galaxie parallèle.
Votre démonstration tend à montrer que les fœtus de 14 semaines et plus sont sensibles et conscients de leurs mouvements. Très bien !
En France, l’avortement se réalise en deçà de 14 semaines donc lorsque, selon votre propre article, le fœtus n’est encore qu’un amas de cellules non sensibles, non conscientes, non viables. Par conséquent, rien ne défis ou ne remet en question l’éthique ici
@@rubytuesday8335 Ou bien enseignons à nos gosses qu'il ne faut pas se faire pénétrer par un penis
avant d'être en âge de pouvoir assumer les conséquences... je crois que la base est celle ci, une fois qu'elle est ignorée c'est la porte ouverte à tout
parce qu'elle aime le mari d'une autre !!et que celui ci ne peut pas etre polygame !!!parce que la polygamieest interdite ..quelle hypocrisie ..
Si leurs mères les avaient avortées, elles ne seraient pas en train de témoigner de leurs avortements.
Un enfant doit être un choix.
Et ? D'autres femmes l'auraient fait à leur place, c'est la vie.
On croirait que c'est bien ce qu'elles ont fait. Le monde à l'envers
Oui c'est bien, car aujourd'hui nous avons le droit de disposer de nos corps. Faire un enfant doit être un choix et non une punition car sinon ça retombe sur l'enfant. Alors vos théories fumeuses on s'en passe. À l'époque on ne choisissait pas toujours son mari et il n'était pas question de repousser monsieur car il y avait le devoir conjugal...
@@camillenguyen1002 C'est le corps de votre bébé, pas le votre... Si vous voulez coucher, il faut assumer les conséquences, au lieu de faire retomber cela sur l'enfant en l'éliminant. Tout doit passer après la volonté et le désir des hommes aujourd'hui mais voilà le résultat : En France u quart des bébés sont tués dans le ventre de leur mère. C'est barbare
@@Jrmy6012 vous n'avez qu'à recueillir tous les enfants non désirés du monde chez vous avez vos super théories ! Ah ben non vous ne ferez jamais cela car vous n'avez que des théories mais rien de concret. Encore quelqu'un qui ne connait rien de la vraie vie et qui est frustré. Autrefois on ne pouvait pas toujours choisir son mari et c'était lui qui décidait. Alors votre morale à deux sous on s'en passe.
À mon avis ça devrait redevenir comme ça! Celles qui veulent tuer leur bébé savent qu'elles risquent la mort... Elles y penseraient à 2 fois avant de le faire!
Réécoutez ce que disent ces femmes et vous comprendrez peut-être... À l'époque la contraception n'était pas autorisée ensuite il y avait le devoir conjugal, c'est à dire que madame n'avait pas le droit de se refuser à son mari. Et actuellement la plupart des femmes qui avortent utilisent déjà une contraception mais ça n'a pas marché. Car aucune contraception n'est diable à 100%. Un enfant doit être un choix afin qu'il ne soit pas maltraité. Mais ça peut-être que vous ne vous en préoccupez pas, vous voulez juste que les femmes pondent mais vous ne vous demandez pas si cet enfant sera nourri, éduqué et aimé. Un enfant non désiré à de grandes chances d'être maltraité. Mais ça, vous vous en fichez. Vous n'avez qu'à tous les accueillir chez vous !
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