Masculin neutre : écriture exclusive (1/2)

Поделиться
HTML-код
  • Опубликовано: 20 окт 2024
  • Dans la langue comme dans notre société, les hommes sont considérés comme étant la norme. Pourtant, cette façon de mettre le masculin au centre en permanence n’est pas naturelle pour notre cerveau. Parce qu’elle influe sur la manière dont on perçoit la réalité, une langue aussi genrée que le français véhicule des stéréotypes aux effets bien concrets dans nos vies, et participe aux discriminations sexistes.
    De quelle manière les clichés formulés dans notre langue influencent nos représentations du monde ? Que faire pour déconstruire les stéréotypes de genre ? Quelles pourraient être les alternatives linguistiques au “masculin générique” ? Est-ce élitiste de vouloir rendre la langue plus inclusive ?
    Pour en parler, Victoire Tuaillon reçoit les psycholinguistes suisses Sandrine Zufferey et Pascal Gygax. Dans leur ouvrage « Le cerveau pense-t-il au masculin ? » (éd. Le Robert, 2021 ; co-écrit avec Ute Gabriel), les invité·es montrent à travers de nombreuses études et expériences scientifiques comment mesurer les effets de ces pratiques langagières excluantes. Leur but : démasculiniser notre langue, et donc notre perception du monde.
    RÉFÉRENCES CITÉES DANS L’ÉMISSION
    Retrouvez toutes les références citées à la page www.binge.audi...
    CRÉDITS
    Les couilles sur la table est un podcast de Victoire Tuaillon produit par Binge Audio. Cet entretien a été enregistré le mardi 11 octobre dans le studio de la webradio Loose Antenna à Pôle Sud (Lausanne, Suisse). Prise de son : Ella Stürzenhofecker, Elys Jones et Camille Evêquoz. Réalisation et mixage : Paul Bertiaux. Production et édition : Naomi Titti. Marketing : Jeanne Longhini. Communication : Lise Niederkorn et Justine Taverne. Générique : Théo Boulenger. Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez. Direction de la rédaction : David Carzon. Direction générale : Gabrielle Boeri-Charles.

Комментарии • 126

  • @nox7371
    @nox7371 Год назад +21

    Je voudrais remercier toutes les personnes impliquées dans ces podcasts fantastiques
    J'ai eu des périodes de maladies assez difficiles et j'ai commencé à écouter toute la série pour m'occuper
    Cela m'a aidé à tenir le coup tout en mettant à profit ce "temps perdu dans un lit" pour devenir quelqu'un de plus conscient des autres, plus respectueux et plus ouvert.
    Aujourd'hui, je vais mieux, et je vois dans mes intéractions avec les autres l'effet positif de ces écoutes
    J'ai toujours une larme à l'oeil quand j'entends ce jingle désormais
    Merci du fond du cœur pour votre travail et votre bienveillance :)

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад

      En écoutant tu n’as pas eu une rechute?

    • @nox7371
      @nox7371 Год назад

      @@yoyolewigolo4292 Non car je vais beaucoup mieux maintenant :)

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад +1

      @@nox7371 parfait coeur sur toi ton âme et ton corps réparé😎

  • @user-ol4nb8dv5z
    @user-ol4nb8dv5z Год назад +3

    Alors je crois que c'est mon épisode préféré. Merci merci. J'ai appris tellement de choses !

  • @sali8392
    @sali8392 Год назад +4

    Merci beaucoup pour cette émission et la qualité des invités. C'était vraiment intéressant !

  • @nickangel6596
    @nickangel6596 Год назад +3

    Cette chaîne pourrait également s'appeler "Les miches sur le comptoir"

  • @angelads2855
    @angelads2855 Год назад +1

    Merci pour la qualité des intervenant.e.s de cette émission !!

  • @arthurjeannot1292
    @arthurjeannot1292 Год назад +1

    Excellente émission
    Avec les inerties et les mécaniques, faisons tout pour provoquer des mouvements : accords de proximité, points médians, adresses directes, féminin générique, épicènes et autres neutralisations, et tutti frutti 🙂

  • @jeiaz
    @jeiaz Год назад +3

    Merci pour cette émission!
    Les différents effets mis en évidence par les études évoquées dans l'émission ont-ils une variabilité en fonction du genre des participants (par ex. les femmes auraient un effort cognitif moindre pour concevoir "les musiciens" comme comprenant des femmes) ou en fonction de leur profil politique (féminisme, attention à l'inclusion en général, égalitarisme...)? Et partant, échappe-t-on dans une certaine mesure à ces effets grâce à une éducation faite à l'âge adulte?

  • @constancerault6665
    @constancerault6665 Год назад +1

    Pertinent et passionnant comme toujours !

  • @Mangayoh
    @Mangayoh Год назад +1

    Excellent cet épisode, merci !

  • @francinetoulemonde6322
    @francinetoulemonde6322 Год назад +3

    Brillant comme d'habitude. Continuons les efforts de conscientisation.

  • @sibyllinegobolino9468
    @sibyllinegobolino9468 Год назад

    Bonjour à toustes et merci beaucoup pour votre podcast🤗.
    Plutôt que le point médian, pourquoi ne peut-on pas privilégier le tirait? Comme un trait d'union?
    Par exemple, "des champion-ne-s" plutôt que des "champion·ne·s"? Ou alors je n'ai pas compris et le point médian est plus épais ?
    En tout cas, moi, je suis assez cliente de ces nouveaux pluriels pour les mots en -eur/-ice comme "auditeurices" ou "spectateurices". Je trouve cela très simple à prononcer, en fait🤔…

  • @NicolasLeclerc
    @NicolasLeclerc Год назад +3

    Tellement content de retrouver le podcast ❤❤❤❤

  • @lamantderagore1340
    @lamantderagore1340 Год назад +1

    Connaissez-vous la série "Martin, sexe faible" (France télévision, slash tv je pense) ? Inverser les situations rend évidentes les traitements différenciés tributaires des genres. Très intéressant. Tout comme le téléfilm de Jean-Michel Carré : "Drôle de genre" (2003).

  • @valcol177
    @valcol177 Год назад

    Bonjour Merci pour votre (vos) émission toujours passionnantes. Pour l écriture inclusive je trouve que cela complexifie l écriture (mais quoi trouver d autre??) Et en plus cela continue quand même à "entretenir" un ordre. Une forme neutre serait mieux.....mais comme faire ?

  • @Incopyré
    @Incopyré 29 дней назад

    L’inclusivisme repose sur une confusion : les genres masculin et féminin en linguistique ne désignent pas les sexes mâle et femelle, mais des catégories grammaticales. Ces genres ne reflètent pas une correspondance directe entre les mots et la réalité. Par exemple, dans « tout le monde est venu », le mot « monde » fait référence à plusieurs personnes, mais reste au singulier et sans lien avec le sexe. Le genre grammatical ne correspond donc pas systématiquement au sexe biologique (comme dans « Sarah est un mannequin » ou « un fournisseur » qui peuvent désigner aussi bien un homme qu’une femme ou une entreprise).
    La complexité du sens linguistique va bien au-delà de la simple dimension sexuelle. On ne peut pas en tirer des conclusions sociales justifiant une politique linguistique. Le genre en français est complexe et comprend des formes neutres (comme l’opposition « quoi »/« qui », ou « cela »/« celui »/« celle »). Le masculin fonctionne souvent comme un neutre ou impersonnel lorsqu’il s’applique aux humains, sans connotation sexuée (par exemple, « il pleut », « ils vont augmenter les impôts », « les gosses, ça crie tout le temps »).
    Ainsi, certaines phrases comme « je me moque de savoir si le traducteur est une traductrice » ne peuvent être mises au féminin ou écrites de manière inclusive. Le masculin morphologique est nécessaire pour exprimer une neutralité sémantique. L’affirmation selon laquelle « la langue est sexiste » n’a pas de sens pour la linguistique, car la langue n’a pas été inventée avec une intention particulière. Comme toutes les langues, le français permet d’exprimer des idées sexistes ou égalitaires : la langue n’impose pas la pensée des individus. Le déterminisme linguistique, autrefois une théorie, est aujourd’hui rejeté par les sciences du langage. C’est une croyance dépassée, comparable aux stéréotypes sur la psychologie des peuples (comme « langue arriérée = peuple arriéré »).
    L’écriture inclusive est davantage une stratégie de marketing politique qu’un réel changement linguistique. Enregistrée comme nom de domaine en 2016, elle est promue par une agence de communication (« Les Mots Clés ») qui vend des services de conseil et de formation. Elle ne découle ni des usages spontanés, ni d’une volonté démocratique, mais de certains milieux militants et commerciaux.
    Si l’objectif de l’écriture inclusive est de neutraliser les genres dans la langue pour réduire les inégalités, on pourrait s’attendre à ce que des pays dont la langue est sans genre montrent de meilleures statistiques en matière d’égalité (salaires, représentativité des femmes, etc.) par rapport à ceux utilisant des langues genrées. Prenons l’anglais, souvent présenté comme une langue « inclusive ». La société britannique est-elle plus égalitaire ? Selon Rashida Manjoo, experte des droits de l’Homme mandatée par l’ONU, la culture des « gentlemen’s clubs » et « boys’ clubs » en Grande-Bretagne a favorisé une société particulièrement misogyne. Ce mépris envers les femmes est ancré dans toutes les couches sociales, y compris dès le plus jeune âge.
    Ainsi, la neutralité ou l’inclusivité d’une langue ne garantit pas celle d’une société. Vouloir rendre une langue plus inclusive dans le but de donner plus de visibilité aux femmes relève donc d’une déduction erronée.

  • @aymericf8119
    @aymericf8119 Год назад

    Merci pour l'émission, c'est pertinent et logiquement expliqué.
    En particulier l'usage de l'accord au féminin en cas de majorité, ou alors simplement à la préférence de la locutrice ou du locuteur ?
    Doit-on privilégier l'usage de l'écriture inclusive qui semble complexifier la langue ? (Déplorant le manque d'études là dessus)
    Ou bien simplifier la langue en supprimant les accords de genre et de pluriel ?

  • @mamievivre689
    @mamievivre689 Год назад +2

    Juste.... "un chirurgien", c'est pas "neutre" ni masculin générique, c'est masculin. Une chirurgienne, c'est féminin. D'ailleurs si chirurgien était "neutre", on dirait pour une femme chirurgien : une chirurgien. Personne ne dit ça, parce qu'on dit une chirurgienne.

  • @robinb312
    @robinb312 Год назад +1

    Génial. Les récits des expériences sont vraiment passionnants !

  • @fredhesse
    @fredhesse Год назад +1

    Le plus dangereux c'est la restriction du vocabulaire. Mais même avec un vocabulaire riche et étendu, arbitrairement l'humain choisira les mots qui conviennent à son idéologie et aura tendance à restreindre le champ lexical, à appauvrir le langage, à interdire le choix de certains mots, en les recouvrant de stigmates.

  • @lamantderagore1340
    @lamantderagore1340 Год назад +3

    Introduction : du coup, l'expérience de la pièce, ça n'était pas une "petite" expérience !!!

  • @rosab4014
    @rosab4014 Год назад +2

    Super épisode toutefois je reste sceptique quant à la qualité des deux expériences évoquées :
    1) le public évalue plus favorablement le même tour de magie lorsqu'il est réalisé par "Nicolas" que quand il est réalisé par "Nathalie". Mais le genre n'est pas la seule différence entre ces deux prénoms ! Nicolas est assez neutre, évoque peut-être un trentenaire, sans plus d'indications. Nathalie en revanche, c'est notre collègue quinqua qui ne sait pas changer la police sous Word et se soigne au miel de Manuka. J'aurais aimé la même expérience avec deux prénoms plus équivalents.
    2) les gens ne pensent pas que "le chirurgien" est la mère du jeune accidenté, lorsque "le chirurgien" dit "c'est mon fils". Mais... tout le monde dit "la chirurgienne" pour parler d'une femme qui pratique la chirurgie ! Donc évidemment on ne pense pas à la mère puisque la version féminine du nom métier est très courante. Il faudrait faire la même expérience avec un nom de métier qui se prête moins bien à la féminisation, parce que là ce n'est pas du tout convaincant.

    • @blochanna3807
      @blochanna3807 Год назад +1

      le but est de faire nous mêmes ces expériences donc si les prénoms et le métier te convient pas c’est à ta guise de les changer

    • @blochanna3807
      @blochanna3807 Год назад +1

      et d’ailleurs je pense quand tu fais des études scientifiques sur ca les prenoms et metier ne sont pas toujours les memes, c’est vraiment chercher la petite bête pour ne pas voir pas la réalité là

  • @Aleaje
    @Aleaje Год назад

    Une autre idée d'écriture inclusive : utiliser aussi bien le féminin que le masculin pour désigner les groupes anonymes ou génériques. C'est le modèle proposé par Isabelle Stengers, "à savoir l'utilisation arbitraire du féminin de temps en temps. L'effet de surprise me semble plus adéquat au but recherché que la lourdeur des doublets". (la réf est empruntée à Jeanne Guien)

  • @sounaturo_cupping733
    @sounaturo_cupping733 Год назад

    Super audio!

  • @Grungerart
    @Grungerart Год назад +1

    Sur la question de la difficulté d'apprentissage ou d'usage du langage inclusif, je fais moi le parallèle avec mon alimentation végétalienne : certes c'est d'abord une contrainte, j'ai dû apprendre de nouvelles recettes, essayer, échouer, recommencer.
    Mais je dis souvent qu'une fois cet apprentissage passé, ce n'est vraiment pas plus difficile en soi !
    La seule difficulté qui persiste, c'est de devoir s'adapter à une société qui ne fonctionne pas comme tel : au resto, chez les proches, au boulot... (Ex : il y a des oeufs dans le plat, c'est bon pour toi ? --")
    Pour l'apprentissage du langage inclusif, ce qui me semble limitant, ce n'est pas sa forme en soi, mais la confrontation régulière avec le système linguistique en place.
    Selon la volonté du/des parent·s, des camarades d'école, des collègues, ou des institutions, à mettre elleux aussi en pratique ces nouvelles formes.
    Une fois les automatismes pris, cela peut encore et parfois créer des quiproquos
    (ex : si qqn me demandait à propos des musicien·es au parc : "alors ? Ils ont bien joué ?" Je ne peux m'empêcher de penser que "zut il n'y avait pourtant pas que des hommes dans l'orchestre!") Lors d'un échange entre 2 personnes, l'une ayant opéré ce changement et l'autre non, celles-ci seront plus à même de ne pas se comprendre sur une description du genre des sujets de la phrase et à se confronter à la norme masculinocentrée.
    Je ne sais pas si mon exemple était très clair, mais l'épisode apporte assez d'exemple de quiproquos possibles dans ce genre (haha) de situation.
    Petit aparté ou autre débat : j'ai été tenté d'utiliser le terme "androcentré" qu'utilise Victoire au début de l'épisode, mais j'ai crains qu'il ne soit essentialisant (rhétorique femelliste orientée sur le sexe et non le genre). J'ai donc écrit "masculinocentré" mais si qqn·e a une autre proposition plus précise je suis preneur.

    • @dominiquecuaz780
      @dominiquecuaz780 Год назад

      Bha moi je trouve juste que le temps passer à changé la langue ( même si c'est souhaitable MAIS dans une réforme globale de l'orthographe serait mieux utilisée à lutter contre le specisme, qui fait 100milliard de victimes terrestre seulement dans les animaux sauvage. Et que le specisme fait bcp plus de dégâts même sur les humains que l'écriture tel qu'elle est aujourd'hui.

    • @Grungerart
      @Grungerart Год назад +1

      @@dominiquecuaz780 Ce n'est pas en opposant les luttes qu'on arrivera à rallier les causes et à avancer collectivement sur toutes les injustices de ce monde.
      Je suis antispéciste et donc vegan, et ça ne m'empêche pas de faire évoluer mes habitudes linguistiques.
      Après, si c'est une manière pour vous de dire que vous êtes opposé au langage inclusif, dites le clairement en ces mots.

    • @dominiquecuaz780
      @dominiquecuaz780 Год назад

      @@Grungerart non mais je trouve qu'ils y a des luttes prioritaire , celle qui font le plus de victime et de mort. Et surtout je pense que cette luttes féministe devrait se faire en incluant tout le monde les dys dont je suis et se faire dans le cadre d'une réforme globale de simplification de la langue, il serai temps ! Puisque personne ne veut de l'espéranto !

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад

      2 choses assez rigolotes qui traduisent un peu mon exaspération face à votre profil.
      Vous expliquez que vous êtes devenu végétalien et que la difficulté réside dans le fait que la société ne vous soit pas adaptée…🙂
      Ça me fait penser à une ancienne amie qui était végétarienne et que j’avais invitée à un repas avc plusieurs personnes non végétarienne ou lienne (me souviens plus). Bref sachant cela j’avais essayé d’adapter le repas CHEZ MOI à son régime. Forcément je m’étais planté et elle avait mangé très peu de choses.
      Qd elle, elle nous avait invité chez elle à manger elle s’était clairement foutu de savoir si nous étions omnivores ou non et nous avait préparé des plats correspondant à SON régime à elle. On en était arrivé à un constat bien assez paradoxal qui est que toutes ces bonnes personnes réclamant sans cesse des arrangements et des adaptations pour elle même se contrefoutaient totalement du confort des autres.
      On avait donc décidé conjointement lorsqu’on l’invitait chez nous de se contrefoutre totalement de son régime alimentaire. Elle mangeait peu ou pas et on en avait strictement rien à foutre.
      J’avais une autre pote végétarienne qui elle par contre sd elle nous invitait chez nous nous proposait gentiment du saucisson et d’autres types d’alimentations carnées et nous étions très touchées de son attention donc nous étions en retour attentifs à ce qu’elle mange selon ses convictions chez nous.

    • @Grungerart
      @Grungerart Год назад +3

      @@yoyolewigolo4292 Je crois que vous confondez "préférences alimentaires" et "valeurs politiques"... Je m'explique : si la présence à table de charcuterie n'était qu'une histoire de préférences personnelles et n'impliquait pas nécessairement la mort d'individus innocents, j'en proposerai à mes invité·es et me servirai une assiette selon mes goûts. Seulement ce n'est pas le cas et acheter des produits d'origine animale (POA) lorsque j'organise un repas revient à trahir mes convictions et mon "choix" de ne pas cautionner/financer l'exploitation animale.
      Je met le mot "choix" entre guillemet car on peut aussi questionner le fait qu'ouvrir les yeux sur cette réalité dépende réellement d'une volonté personnelle quand des images d'abattoirs et de souffrances atroces s'interposent à la vue de viande ou d'autres produits carnés.
      Je vois difficilement comment on pourrait reprocher à son hôte·sse de ne pas servir un aliment précis (et dispensable) afin de satisfaire quelques invité·es qui ne souffriront pas autant de ne pas manger selon leurs habitudes alimentaires (cela revient d'ailleurs à penser qu'un menu vegan serait nécessairement décevant, incomplet alors que de nombreuses personnes non-véganes savent apprécier un repas vegan).
      Pourtant, il n'est pas dur de proposer un menu équilibré et convenant à tous les régimes, qui permet à ses invités végan·es de pouvoir manger autre chose que des chips et de la salade, et se sentir vraiment inclus·e dans le partage d'un repas avec ses proches. (D'où le lien que je fais avec l'écriture inclusive).
      Après, je comprends qu'on puisse ne pas savoir quoi cuisiner pour les régimes "spéciaux", mais rien n'empêche de demander ce qui leur ferait plaisir, des idées de recette simples à végétaliser, ou à défaut un menu avec option permettant à chacun·e d'ajouter des POA selon ses convictions.
      La réalité dans les cas où cet aménagement n'est pas prévu, est que la méconnaissance des gens envers le véganisme (et l'amalgame fréquent avec un régime diététique), empêche de concevoir que la nécessité d'inclusion des invité·es végan·es à un repas, devrait primer sur la satisfaction des attentes préférentielles des autres convives, de l'hôte·sse ou du·la cuisinier·e.

  • @j.b3904
    @j.b3904 Год назад +3

    Je découvre votre chaîne avec cette première vidéo et franchement... c'est affligeant.
    Déjà, commencer l'introduction et mettre au même niveau l'écriture inclusive, la faim dans le monde et la perte des écosystèmes... Clairement il y a un sens des priorités qui n'est pas là. On ressent véritablement la pensée de bobos déconnectée de la réalité...
    Ensuite, les deux intervenants... s'il fallait des parangons du politiquement correcte, ceux-ci sont au top. Entre sophismes, comparaisons douteuses, mauvaise foi et autre, c'est un festival.
    Et en parlant de festival, le mille feuille argumentatif présent pour ne pas devoir trop creuser le fond. Je crois que le plus risible, c'est d'un côter de dénoncer l'effort que le cerveau a à faire pour dissocier une femme parmi un groupe, et de l'autre d'appeler à passer à l'écriture inclusive et le parler inclusif sur base qu'il ne s'agit que d'un effort à faire.
    Dommage d'ailleurs que dans les exemples donner, "la star" de cinéma n'a pas été évoquée pour dire que cela masquait les hommes. Non non non; il faut garder l'image de l'oppression masculine dans la société.
    Pour reparler des quotas tel que nous le présente le yalatollah de la bienpensance, allons y à fond alors :
    Mettons des quotas pour les capitaines de pêche en haute mer, pour les mineurs, pour les ouvriers sur plateformes pétrolières, pour les bûcherons, etc.
    Sinon, les études ont déjà montrer qu'au plus une société est égalitaire, au plus elle marque de différence dans les répartitions de métier.
    i0.wp.com/sciencefiles.org/wp-content/uploads/2018/02/Stoet-Gender-Paradox-2.jpg?ssl=1
    Bref, à part de la masturbation intellectuelle pour flatter l'égo de quelques personnes, cela ne fera qu'accentuer les différence hommes-femmes (le meilleur pour la fin).

  • @Eloiseau
    @Eloiseau Год назад

    Peut-être que je réinterprète l'énigme (auquel cas je préfère de loin ma version), mais l'enfant a grandi avec père et mère, le chirurgien est juste le père biologique.

  • @fredhesse
    @fredhesse Год назад

    Je pense qu'il ne faut pas effacer les pièges en explicitant tout. Plus on mettra de mot conventionnel pour faire de distinction s plus il y aura des cachette. Si je dis je suis suivi par le docteur machin.
    Celui ou celle qui l'entend peut me dire et tu es content de lui. Et je réponds j'estime qu'elle est super compétente . Ça serait dommage de ce privé de ce genre de piège

  • @laurentdalcere
    @laurentdalcere Год назад

    Question : Est-ce que le fait que les personnes "trans" soient le plus souvent des personnes nées avec un corps dit "femelle" puis opérées pour apparaître comme corps "mâle", soit le signe que ces personnes seraient soumises au stéréotype androcentré ?
    Selon les invités, ce serait bel et bien être soumis à une croyance partagée, n'est-ce pas ?

    • @yohanrives3752
      @yohanrives3752 Год назад +3

      Il n'y a pas plus d'hommes trans que de femmes trans, c'est juste qu'avant on ne parlait que des femmes. Et ce n'est pas une croyance c'est une question très personnelle et complexe d'identité

    • @laurentdalcere
      @laurentdalcere Год назад +1

      @@yohanrives3752Merci pour votre répons. Ben me voilà avoir été désinformé sur cette statistique de changement de "sexe". Pourriez-vous m'indiquer sur quelles sources nous pouvons avoir les bornes données statistiques à ce sujet ?
      Merci d'avance

    • @yohanrives3752
      @yohanrives3752 Год назад +1

      Bonjour, pourriez vous expliquer pourquoi vous mettez sexe entre guillemets ?
      Ensuite, et vous le savez, le problème des statistiques en France c'est qu'elles sont interdites, comme pour les questions raciales. Les chiffres qu'on peut avoir proviennent soit des associations sur le terrain, soit du témoignage des équipes médicales qui prennent en charge ces personnes. Après des sources existent dans d'autres pays, vous pourrez les trouver si vous parlez anglais, je vous invite donc à faire vos propres recherches.

    • @laurentdalcere
      @laurentdalcere Год назад +1

      @@yohanrives3752 Merci encore pour votre réactivité. Je ferais donc ma propre recherche.
      Quant aux guillemets, c'est par une forme de prudence d'écriture..., . Vous voyez, par crainte d'être maladroit, j'ai été maladroit...😅

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад +1

      Utiliser le mot sexe entre guillemet pour éviter d’être maladroit??? Maladroit non vous avez surtout eu peur d’heurter la susceptibilité de bons doux furieux.

  • @pivoinebleu2307
    @pivoinebleu2307 Год назад +1

    Bizarre, il y a vraiment des gens qui disent mon chirurgien au lieu de ma chirurgienne ?

    • @antoinemuller2273
      @antoinemuller2273 Год назад

      Non, même s'il y a des gens qui disent mon médecin même pour parler d'une femme. Ce n'est pas ça l'idée. C'est plutôt que lorsqu'on cite des noms de métiers, la plupart seront cités par défaut au masculin. Mais pas "assistant maternel", par exemple. Et qu'on justifie cela par le fait que le masculin a grammaticalement une valeur de neutre en français. Sauf que les études de temps de réaction du cerveau à des enchaînements de phrases montrent que lorsqu'on utilise le terme "chirurgien" au masculin, l'horizon d'attente que nous construisons projette une personne de genre masculin, et pas une personne en général, dont le genre serait laissé en suspens. Voyez par exemple la façon dont ces études sont vulgarisées par la chaîne Scilabus, dans la vidéo : L'écriture inclusive a-t-elle un intérêt, quelles preuves ? ruclips.net/video/url1TFdHlSI/видео.html

    • @pivoinebleu2307
      @pivoinebleu2307 Год назад

      @@antoinemuller2273 oui je suis tout à faut d'accord avec vous. La masculinisation du langage n'est pas anecdotique comme le prétendent certains. Je m'étonne juste t'entendre que certains poussent le truc jusqu'à dire chirurgien au lieu de chirurgienne et auteur au lieu de autrice. J'ai grandit au Cameroun et là bas ces nom de métier au féminin m'ont toujours paru être une évidence.

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад

      Non non la plupart des gens féminise les métiers naturellement. J’ai été opéré par une femme et qd je parlais d’elle je disais « ma chirurgienne ».
      La plupart des gens qui sont contre l’écriture inclusif sont contre les interprétations de doux qui en decoulebt

    • @pivoinebleu2307
      @pivoinebleu2307 Год назад

      @@yoyolewigolo4292 on est d'accord c'est bizarre de dire mon chirurgien en parlant d'une femme.

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад

      @@pivoinebleu2307 tout à fait, je n’ai aucun pb à féminiser les metiers sauf « autrice » que je trouve particulièrement laid je préfère largement auteurE comme professeurE. Et pareil la jounaliste a abandonné l’argument éclaté du « masculin l’empire sur le féminin » puisque si cette règle était apprise comme a c’était avant tout un moyen mémo technique comme la phrase « mais ou est donc or ni car? » en vrai on se fiche de savoir où est iron car🙂

  • @Motheropes
    @Motheropes Год назад

    💙

  • @nyozha7154
    @nyozha7154 Год назад

    9:00 Plus d'empathie pour les garçons à cause de l'androcentisme ? Dans l'exemple cité, j'y vois simplement le fait que les garçons sont plus sportifs, ce qui les concentre au centre des cours. Au collège, je n'ai jamais vu un enfant faire preuve d'empathie, c'est une guerre de popularité, y compris entre les garçons. Je pense que l'androcentisme a un impact dans plein de domaines mais dire que les garçons suscites plus d'empathie que les filles, ce serait nier les punitions systémiques des garçons et les corruptions larmoyantes des filles. J'ai peut-être mal compris, expliquez-moi le point de vue svp 🙂

    • @lamantderagore1340
      @lamantderagore1340 Год назад +7

      Androcentrisme... (racine Grecque) Et sinon, généralisation hâtive ("jamais", "les garçons sont", "des filles", "punitions systématiques"...) à partir d'un seul point de vue biaisé pourrait-elle suffire à remettre en question des recherches contrôlées et les traitements statistiques qui en découlent ? Pourquoi avoir dû inventer la méthode scientifique, puisque tout est si évident ??!!!

    • @nyozha7154
      @nyozha7154 Год назад

      @@lamantderagore1340 Merci pour la correction sur le mot "androcentrisme". Attention, "je n'ai JAMAIS vu" n'est pas une généralisation hâtive mais plutôt le contraire, une expérience empirique. Aussi, je veux bien dire "en moyenne" dans toutes mes phrases mais je ne vois pas l'intérêt puisque c'est évident. Qui penserait que même le plus mauvais en sport des garçons serait meilleur que la meilleure de toutes les filles ? Personne, le propre des langues est de pouvoir prendre des raccourcis tant que le bon sens nous permet de comprendre car aucune phrase ne peut être complètement explicite. Aussi, je voulais dire "systémique" ou "récurrente", pas systématique. Enfin, tu fais des amalgames fallacieux, sauf si tu me trouves plusieurs études rigoureuses démontrant que les filles sont en bord de cour car les enfants manquent plus d'empathie envers les filles. La méthode scientifique et les statistiques sont géniales mais se faire passer pour leur défenseur pour faire passer des idées qu'ils ne véhiculent (peut-être ?) pas est une destruction motivée des sciences. Enfin bref, je ne vois plus l'intérêt de chercher à comprendre si c'est pour m'attaquer ("...", "Et sinon", "phrase rhétorique absurde") sans m'expliquer.

    • @efendal85
      @efendal85 Год назад +3

      pour "les garçons suscites plus d'empathie que les filles", cela a été scientifiquement prouvé donc difficile de le nier, c'est d'ailleurs l'objet de je ne sais plus quelle vidéo de cette chaine, qui parlais du fait que les parents s'inquiétaient plus quand c'est leur bébé garçon qui pleurais que si c'est leur bébé fille à cause du présupposé que les filles pleurent tout le temps alors que si un bébé garçon pleure c'est qu'il doit avoir une bonne raison.

    • @nyozha7154
      @nyozha7154 Год назад +1

      @@efendal85 Ohh, super intéressant ! Je ne m'en serai jamais douté ! Je vais creuser le sujet, merci beaucoup !

    • @antoinemuller2273
      @antoinemuller2273 Год назад

      @@nyozha7154 Le titre de l'article si on parle bien de la même étude, est : « Sex stereotypes influence adults' perception of babies' cries » (David Reby, Florence Levréro, Erik Gustafsson, Nicolas Mathevon, BMC Psychology, 2016). L'article montre que nous avons tendance à attribuer les cris de nourrissons plus aigus à des filles, les cris plus graves à des garçons, même à un âge (trois mois) où il n'y a pas de différence. De plus, les personnes interrogées jugent que les voix les plus graves sont les plus masculines, et les plus aiguës, les plus féminines. Elles tendent aussi à considérer que les pleurs graves expriment une détresse supérieure, et il semble que leur raisonnement soit : une fille pleure plus facilement, mais si un garçon se plaint, c'est que quelque chose ne va vraiment pas. Voir aussi sur un sujet voisin : John et Sandra Condry, 1976, « Sex differences : A study of the eye of the beholder », revue Child Development, 47(3), p. 812-819 : on demande à 204 élèves de collège d'interpréter les réactions de bébés qu'elles et ils voient sur des vidéos. Les réponses varient selon qu'on leur dit que le bébé est un garçon ou une fille. Les mêmes pleurs, du même bébé, seront attribués plutôt à la peur si l'on nous dit qu'il s'agit d'une fille, à de la colère si l'on nous dit que c'est un garçon.
      Un exemple qui me vient aussi (mais là je ne m'appuie que sur mon expérience, je n'ai pas d'étude en tête), c'est qu'un homme qui s'occupe seul de son enfant (pour un temps ou en général) s'attirera davantage d'admiration et d'empathie qu'une femme. Lorsqu'un père qui emmène son enfant à l'école oublie son goûter, son bonnet, ou que sais-je, on trouve que c'est déjà super que ce soit lui qui l'emmène. Lorsqu'une mère oublie ces choses, on fait montre de moins de compréhension : non seulement on trouve naturel qu'elle emmène son enfant à l'école, mais on se demande s'il ne s'agirait pas un peu d'une mauvaise mère, mal organisée.
      Mais dans ce cas, il ne s'agit pas seulement d'empathie envers les hommes, mais d'empathie envers les hommes qui prennent en charge des travaux domestiques traditionnellement dévolus aux femmes.

  • @magalidouillard3810
    @magalidouillard3810 Год назад

    Je suis artisane et non femme d'artisan

  • @etdicila8894
    @etdicila8894 Год назад +4

    Pour la fable, là dessus c'est malhonnêt. Dire "un" chirurgien oriente l'histoire vers une explication logique qui est la vision des enfants : les parents sont deux hommes. Sinon, vous dites la chirurgienne. On ne peut pas pleurer à l'invisibilisation des femmes quand on le fait soi meme

    • @meli-melojaponais
      @meli-melojaponais Год назад +7

      Oui, ca démontre justement que les noms masculins des métiers (un chirurgien, un avocat, etc), sensés être "neutre", ne le sont absolument pas. C'est un argument pour féminiser les nom de métiers pour ne pas invisibiliser les femmes. 🙂

    • @ambarchaves9091
      @ambarchaves9091 Год назад +1

      La fable est seulement un exemple des problématiques que posent la langue. C'est une forme assez courante (le neutre masculin). Point de malhonnêteté, ça pointe juste le doigt là où il y a un problème :)

    • @marmocelle
      @marmocelle Год назад +2

      Mais personne n'invisibilise les femmes à travers cette fable... c'est une fable justement, sensée nous faire prendre conscience de la façon dont notre cerveau invisibilise les femmes. De fait, la plupart des gens parle de "leur chirurgien" même quand c'est une femme.

    • @spaceworld4888
      @spaceworld4888 Год назад

      @@marmocelle a non c’est vous qui invisibilise les femmes pas le cerveau

    • @marmocelle
      @marmocelle Год назад

      @@spaceworld4888 bah non en fait. Si t'es pas capable de prendre conscience du fait que le "neutre masculin" ne l'est que dans le concept et pas dans son application, soit t'as juste pas les capacités cognitives suffisantes pour comprendre les conclusions d'expériences scientifiques menées à ce sujet, soit tu ne la ramène pas, en fait.

  • @jbw0
    @jbw0 Год назад +1

    J'ai cru que c'était une émission satirique ! De la grosse escroquerie intellectuel woke comme on en voit aux USA fait par des gens qui doivent bien s'ennuyer 🤣🤣🤣

  • @hyoh
    @hyoh Год назад

    Ra la la les études on peut leur faire dire ce qu’on veut

  • @Feelisegood
    @Feelisegood Год назад +1

    Le fameux "en même temps" macronien, dès le début pour mettre en jambes... on est bien.

  • @nyozha7154
    @nyozha7154 Год назад

    32:40 Qui finance ces études ? En fait j'aimerais m'assurer qu'il y ait, a priori, autant d'études cherchant à souligner un avantage homme qu'un avantage femme. Car tout le long de la discussion, l'argument phare c'est "il y a plus d'études qui montre tel ou tel handicap du côté féminin (...)". Donc il faut faire attention qu'il n'y ait pas de biais à la base. J'imagine qu'il y a des tonnes de journaux féminin qui aurait un intérêt à financer des études pour le relayer aux femmes mais je n'arrive pas à imaginer un organisme qui le ferait pour souligner les avantages des femmes. Après j'y connais rien, peut-être que c'est état qui finance tout de façon totalement impartiale.

    • @liserotolo5787
      @liserotolo5787 Год назад +2

      Ce sont des chercheurs, je pense qu'en lisant leurs travaux vous pourrez trouver des informations. Ils ont d'ailleurs dit dans le podcasts qu'ils ont présenté ces résultats (allant dans le sens d'une invisibilisation des femmes par le langage), mais que si les résultats avaient tendu dans le sens contraire, ils les auraient publiés de la même façon. Penser un lobbyisme quand les résultats ne nous conviennent pas (alors qu'ils sont énoncés par des spécialistes de la question) n'est pas très honnête intellectuellement.

    • @nyozha7154
      @nyozha7154 Год назад

      @@liserotolo5787 Merci pour votre réponse. Je remets tout en question, et d'autant plus quand les conclusions vont à l'encontre de mes expériences. Je ne pense pas que ce soit un manque d'honnêteté. À tout valider trop rapidement, nos curseurs de Turing finissent par se régler sur la configuration "Parfait Pigeon".

    • @sounaturo_cupping733
      @sounaturo_cupping733 Год назад

      Les magazines féminins sont dédiés à un public féminin... Dans les études, il est question d analyser l impact de la langue masculinocentré sur la confiance en soi des femmes notamment

    • @yoyolewigolo4292
      @yoyolewigolo4292 Год назад +1

      Non, c’est faux, l’expérience de sokale au carré a montré que les recherches en sciences sociales étaient complètement biaisées et « biaisables » a l’idéologie féministe et intersectionnelle entre autre.
      La plupart des études ne reposent que sur du bullshit et ne sont à peine corrigées et vérifiées par des pairs.
      Le pb arrive également dans les études dans les sciences dures (cf études sur ke covid très contradictoires).
      Et juger une étude sur l’orientation politique ou le sexe de leur auteurs c’est exactement ce que font des féministes qd une étude ne leur plait pas- c’est un vieux homme blanc hétérosexuel donc ses écrits ne sont qu’un produit de son patriarcat intériorisé.
      Et ce qui est rigolo c’est que si le français a un masculin neutre d’autres langues ne l’ont pas (turque et anglais par ex) ça serait bien donc de reproduire leurs belles expériences sur des anglais, des turcs ou des bulgares voir s’ils ont les mêmes a priori que les français manipulés par le méchant masculin linguistique dominateur….
      Y a tellement de contre vérités qui sont balancées dès la première minute que ça en est affligeant.
      Je rappelle tout de même que ce posé c’est est clairement orienté politiquement mais qu’il est financé par des deniers publics…le féminisme tellement oppressé qu’il est financé…on n’est plus à une incohérence ores…

    • @nyozha7154
      @nyozha7154 Год назад

      @@sounaturo_cupping733 Totalement, mais ça ne répond pas à ma question. La réponse insinue que les études sont toujours objectives. Pour cela, il faut aussi que le financement soit objectif. A ma connaissance, les chercheurs ne sont pas fonctionnaires. Bref, je vais aller voir 🙂

  • @dominiquecuaz780
    @dominiquecuaz780 Год назад

    S'il y a plus de possibilité de métier pour les hommes que pour les femmes c'est peut-être qu'on ne fait pas des bb dans des utérus artificiel ! Et que les hommes ont en général plus de force physique pour pousser une brouette ect , avec la technologie qui pour remplacer la force Physique les femmes pourront faire toute sorte de métier qui nécessite la force. Mais les enfants et leur "élevage " fait en général pas les femmes c'est cela qui limite les possibilité, 3 enfant ça fait 9ans de mois dans la carrière en admettant que l'enfant aille à la maternelle à 2ans ou 3 .