Quelle émission passionnante 🎉 et quel talent , Rose Lamy ! Bravo et merci
Год назад+9
Merci pour ce chouette épisode. Enfant d’un père violent multirécidiviste, je n’ai entendu ce discours du « bon père de famille » que du côté de ma famille paternel, par celles et ceux qui le soutenaient… J’ai vite associé ce propos à quelque chose de mauvais, comme une réponse systématique pour défendre un agresseur. Je rejoins ce que dit l’invitée sur cet aspect. Et vais m’empresser de ce pas, de trouver son livre. Bravo à vous ! :)
Une différence quand même entre les milieux de droite et de gauche : si effectivement Mélenchon est monté au créneau pour défendre Quatennens, ça n'a clairement pas fait l'unanimité au sein de la FI, et il y a beaucoup de voix discordantes dans le mouvement qui n'ont pas du tout soutenu Quatennens, son intervention publique sur BFM, ou sa réintégration. Dans d'autres partis, il y a davantage d'alignement avec "les chefs".
Très interessant. Je me suis dit moi aussi que cette personne passait completement à côté du 2eme degré de ces titres de faits divers. Le 2eme degré étant "quel motif aberrant pour un tel acte". Mais à la réflexion l'accumulation de ces titres produit peut-être une forme d'habituation et de légitimation dans la tête de ceux qui justement ont tendance à penser que la violence est la bonne réponse à sa frustration de ne pas être obéi/servi/.... Par ailleurs il y a toujours l'angle mort des violences éducatives commises en majorité par les peres mais souvent acceptées ou commises aussi par les mères, et le lien entre les 2 violences me manque. Si on arrive à justifier qu'un enfant qui nous frustre (ne nous obéit pas) mérite cris, punition, coups, privations etc... alors on s'habitue à ce type de réponse sans le remettre fondamentalement en question. Sur le theme de l'éducation les discours sont tellement caricaturaux (chacun caricature le discours de l'autre sans aucune nuance pour mieux se convaincre qu'il a raison) que je pense qu'on a encore beaucoup de chemin à faire en direction de la nuance.... Merci pour cette émission.
Alors j'y connais rien. Je suis un sociologue de canapé. Je regard Mody... 😅 Dans une vidéo, elle évoque le concept de fait social pathologique. C'est quand un groupe (ici la société globale) récuse un fait. Cela montre les limites. En gros tuer une femme pour de la pâte à crêpes c'est pas normal mais ... S'énerver... frapper Ça peu être "normal" et les blague c'est un moyen de testé les limites de l'acceptation.
@@sophieb4135 une sociologue qui joue au jeux vidéo. Et qui lie de la sociologie sur twitch. Elle a remplacer usul pour les portraits de blast J'ai fait une faute de frappe c'est modiie son pseudo
Quelle rencontres exceptionnelle ! Merci à vous deux pour la clarté et la qualité de votre travail. Encore un épisode que je vais vivement conseiller autour de moi.
Merci de ces réflexions, cependant j'ai eu un sentiment désagréable en entendant que les hommes qui ont commis des actes violents sont des hommes violents. Cette assimilation fige l'auteur des actes violents dans la violence. Moi, femme, j'ai commis un acte violent vers un compagnon, un jour. J'ai de la colère en moi qui s'est exteriorisée un jour par de la violence. J'ai pu faire un chemin pour ne plus commettre d'acte violent quand une colère m'envahit... peut-être parce que personne ne m'a dit : Tu es une femme violente.
Exactement, cependant depuis quelque temps il faut seulement s'en prendre aux hommes, d'ailleurs ici on critique même les bons pères de famille sous prétexte que certains ne le sont pas vraiment. On oublie bien souvent que 70% des meurtres d'enfants sont commis par des femmes, mais ça il ne faut surtout pas en parler, et surtout pas ici...
@@mickaelegalite8335 Dans les médias mainstream c'est clair, sur internet c'est autre chose. J'ai l'impression que le féminisme déraisonné crée en miroir une misogynie très forte. J'ai envie d'être solidaire des femmes et des hommes, de reconnaître à chacun son humanité dans ce qu'elle a de bon comme de mauvais, mais cette position est apparemment intolérable. Dire qu'être une femme c'est loin de jouer la vie en mode easy = féministe hystérique, dire qu'être un homme c'est pareil = traitresse soumise au patriarcat... Je ne dis pas qu'il faut accepter n'importe quelle forme de statut quo et évacuer toute radicalité mais ça m'attriste de voir de chaque bord toujours plus de haine de l'autre et toujours moins de remise en question de ses propres défauts.
@lucnatluc8317 Avec des généralités pareilles rien n'est près de changer en effet. Quand on ne donne pas d'empathie à quelqu'un il ne faut pas s'attendre à en recevoir, c'est bien le problème. D'un côté comme de l'autre quand on a vécu de la violence et que cette réalité est niée c'est une injustice supplémentaire.
J'aimerais bien aussi avoir un épisode "des couilles sur la tables" nous expliquant les rapports des hommes machos, sexistes parfois même violeurs avec leur mère, leurs sœurs ou leurs amies filles. Parceque des fois je me demande : un mec qui agresse sexuellement une femme ne se dit pas que cette dernière aurait pu être une de ses proches ? J'avoue que j'ai du mal à comprendre comment leur esprit et leur conscience fonctionnent...
La domination fonctionne toujours en duo avec la soumission. Dans toute hiérarchie, si on est un bon soldat, un lèche-botte, un zélé sans esprit, on gagnera le droit de devenir chef à son tour. C'est ce qui se passe à l'armée, dans la politique, dans les entreprises, chez les scouts, dans l'administration, dans les clubs genre franc-maçonnerie, même à l'Académie Française (où les bleus doivent écouter et se taire), mais aussi à l'école avec les anciens élèves deviennent profs et se vengent éventuellement des violences encaissées enfant et de violences générales du système sur leurs nouveaux élèves ("c'est moi qui ait le contrôle, maintenant"). (Bien sûr, cette logique rencontre d'autres logiques locales qui lui mettent parfois des bâtons dans les roues : une personne manipulatrice dans la hiérarchie qui bloque la promotion d'une autre, un accident de la vie, etc.) Dans tous les systèmes de hiérarchies (systèmes physiques ou symboliques organisés verticalement), il y a cette idée profondément ancrée qu'il faut être bien soumis pour devenir un jour un bon chef. Dans le cadre des familles, les machos/mascus ont tendance à porter aux nues les femmes de leur famille (la Mère, la Soeur), et toujours de façon essentialisante évidemment. Porter aux nues va de pair avec le mépris (qui peut s'appliquer sur les mêmes personnes à d'autres moments - par exemple si la mère ou la soeur sort volontairement ou involontairement du rôle précis qui lui incombe - ou sur d'autres personnes, soit parce que celles-ci sont jugées non conformes, soit parce qu'elles sont jugées inférieures dès le départ, "faites pour" subir cette domination (qui doit absolument s'entretenir comme on entretient sa souplesse, par plein de petits gestes, mots, moyens,...). Je me suis fait agresser toute mon adolescence par des gars ...qui étaient mes potes de sport dans la rue jusqu'à 10 ans, et qui, la puberté apparaissant, se sont sentis obligés de me mépriser et de m'attaquer pour se faire une identité et renforcer la complicité masculine. Ils disaient adorer leurs soeurs et respecter leur mère (mais leur mère se tuait aux tâches domestiques et leurs soeurs ont été piégées dans des mariages arrangés alors qu'elles auraient voulu faire des études). Ces gars sont ensuite tous passé par la case deal et prison, ce qui n'a pu que renforcer leur image viriliste d'eux-mêmes, malheureusement, ainsi que leur sentiment d'être des nobles voyous victimes du système (ce qui n'est pas 100% faux : ils sont victimes des conditionnements éducatifs ultra-violents qu'ils ont avalés). Je ne sais plus qui a dit que les gens qui demandent du respect, ce qu'ils demandent, en général, c'est de la soumission (cf. l'école, l'armée, les politiques,...). Ce terme "respect" est donc ultra-galvaudé et relié au fait de prendre une position humble / inférieure. Les hommes étant éduqués par la culture patriarcale à être dominant, leur demander d'être par ailleurs respectueux envers les femmes (dans leur esprit : soumis à la catégorie qui leur est inférieure) c'est ...absurde. Pas étonnant qu'ils ne sachent donc même pas ce que signifie cette notion (en théorie et en pratique).
Il faudrait surtout qu'ils se disent : "ça pourrait être moi". On passe toujours par la sœur, la mère ou la fille pour susciter de l'empathie. Mais c'est toujours une séparation entre les hommes et les femmes. Qu'est-ce-que ces hommes ressentiraient s'ils subissaient ces violences ? voilà la bonne question.
Il y a rien d'extraordinaire de dire que lorsque quelqu'un est inculpé et coupable qu'il puisse être de mauvaise foi, en toute circonstances, c'est un classique. c'est comme cela les martyrs de la vérité prêt à se sacrifier sont plus que rare. surtout quand il pense agir dans les limites de l'acceptable. ce n'est pas une question de genre, on ment quand on se sent en position d'infériorité. A part cela les procès de violence sexuels devraient toujours être traité avant ce lui de diffamation qui est contingent au résultat du premier.
Il y a peu d'hommes qui réagissent de façon adéquate après la révélation d'un comportement violent, sexiste ou abusif. Il est rarissime qu'ils ne soient pas dans le déni ou l'inversion accusatoire. Un seul contre-exemple me vient à l'esprit : Roméo Elvis.
@@umungork Bill Clinton a nié tant qu'il a pu, a évoqué publiquement Monica Lewinsky avec mépris, l'a traitée de menteuse. Ce n'est que quand sa position n'était plus tenable, qu'il était complètement acculé, qu'il a reconnu avoir eu une liaison avec Lewinsky. Il s'est excusé devant le peuple américain non pas de s'être rendu coupable de violences sexuelles, mais d'avoir commis un adultère. Il va de soi que sa fonction a subjugué Lewinsky qui, en outre, était sous ses ordres. Mais il y a eu consentement si mes souvenirs sont exacts.
@@Pinpin781 Je pense qu'ils nient parce qu'ils le peuvent tout simplement. La société dans son ensemble les y encourage, prend leur parti, parce que c'est trop effrayant de se dire qu'il y a de nombreux prédateurs parmi nous, qui ont l'apparence de la normalité, qui semblent ordinaires, qui peuvent même être décrits comme bons ou bienveillants par une partie de leur entourage. Ils mentent par instinct de conservation, pour ne pas voir leur réputation ternie. Et puis, pour pas mal d'agresseurs, les femmes ne sont pas des êtres humains comme eux. Elles sont des ressources dont ils disposent. Elles sont là pour apporter du prestige en leur associant leur beauté, ou du plaisir, ou pour les servir, mais ils n'imaginent pas qu'elles ont une vie propre en-dehors d'eux, ou s'en moquent. Dans leur tête, en agressant une femme, ils ne commettent donc pas un crime bien grave.
Merci encore pour cet épisode et vos réflexions intéressantes. Il me semble que pour pouvoir aborder une attitude d'excuses et ce que vous proposez ensuite,ces hommes ont besoin de prendre conscience de ce qu'ils ont fait avec l'aide d'un psychologue.
10:53 Et bien non. Il ne faut pas entendre ce qui n’est pas dit. Les titres mentionnent le motif donné par l’homme violent, souvent pour appuyer sur l’absurdité du motif justement...on clique parce que quand meme « quel fou, il frappe sa compagne pour des grumeaux dans la pate a crepe?! »....(aucun motif n’est valable, mais certains sont clairement abject et révèlent en prime tout le sexisme du violent, comme ceux basés sur la non-complétion des taches domestiques par les femmes)... Pour le reste, je suis bien d’accord avec ce qui est dit et aucune violence n’est justifiable ou provoquée légitimement.
Si aucun motif n'est valable, pourquoi évoquer le motif ? Sinon pour dire que le motif évoqué était particulièrement abject. Et par là, admettre une hiérarchisation des motifs parmi lesquels des moins valable, des plus valables.
@@romarin6853je l’ai dit. Parce que le motif revele un autre aspect violent de l’homme impliqué: son sexisme, en general. Dans l’exemple donné, ça revèle comment l’homme violent considere que la femme doit lui fournir sa nourriture...
Parce que c’est minimiser les autres meurtres. « Pour une pâte à crêpes » on se dit que c’est pas un motif. Si c’etait « parce qu’elle l’a trompé » il se trouverait des gens pour le défendre. Alors que tout meurtre doit scandaliser, et pas plus l’un que l’autre
Merci pour cet épisode !! Une question concernant la "bonne" manière qu'un homme aurait de gérer ses actes à posteriori : que pensez vous de l'exemple de Roméo Elvis ? Je trouve ça très complexe et en aimerait beaucoup une analyse plus poussée que celle que j'en fais aujourd'hui!
Ces titres de faits divers essayant de justifier ces actes de violences m'ont fait penser à cette justification que j'entends très souvent dans le monde des jeux vidéos par des auteurs (bien souvent des hommes) de réactions violentes/très virulentes : "il m'avait manqué de respect" ou "il m'avait mal parlé". (Ces réactions sont incomparables aux violences physiques bien réelles, je ne fais que le parallèle entre les deux processus de justifications) Ce "manque de respect", cette atteinte à leur honneur (je cite), les autoriserait à enfreindre des règles auxquels ils ont pourtant souscrit et à se faire justice eux même. Ces tentatives de justifications me semblent relever d'un seul et même mécanisme où un sentiment de manque de respect est censé justifié une réaction violente (sentiment nécessairement subjectif). Comme s'ils s'estimaient légitimes à punir la personne qui leur avait manqué, selon eux, de respect : de "victimes" ils passent à juges et bourreaux pour "se faire respecter" ou pour "défendre leur honneur".
intéressant mais dommage qu'elle trouve des excuses aux hommes violents, genre on est des êtres nuancés, même les femmes commettent des violences, dommage qu'elle tienne ce discours, ça décrédibilise un peu le reste du coup... Ben non en fait il n'y a pas d'excuses à braquer sa femme avec un fusil.
Pardon mais encore la semaine dernière mon responsable homme a osé me dire que si je ne m'en sortais pas dans mon quotidien de maman solo qui bosse sur les JO avec tout ce qu'il y a faire dans la maison et en dehors c'est que je n'étais pas organisée !!!!! C'est quoi ça ??
@@marcoprolo7318 si les hommes savaient faire des enfants seuls ça se saurait en attendant c'est tjrs eux qui laissent tomber les femmes une fois le gosse arrivé. Patriarcat et lâcheté
Une petite analyse sémantique et lexicale d'une heure, avec mon amie (féministe) m'auront permis d'évaluer le contenus de ce podcast. Dramatiquement con, je pense devoir dire. Certains raccourcis démontre un sexisme évident, d'autres démontrent une présomptions systématique de culpabilité (de l'homme, bien sûr), quand d'autres, encore, démontre une ignorance assez dantesque des statistiques (violences intra-familiale, conjugale...). Je sais pourtant qu'ignorer la responsabilité de 'la femme' (si tant est qu'il y ai une représentation sociale ambivalente de genre, ce qu'il reste à démontrer..!) quand on parle de violences conjugales (pour ne citer qu'elles) permet d'entrevoir qu'il ne sera en aucuns cas possible de régler ce problème (violences conjugales, donc) au niveau d 'une société. 150 000 enregistrements de violences conjugales (de femmes violentes) en moyenne ces dernières années, certes moins que les 220 000 déclarations de femmes, mais ne pas comprendre que la violence conjugale est le fait du genre humain et pas du genre masculin frise la malhonnêteté intellectuelle (ou pire, la bêtise). Vous ai-je parlé des abus sexuel de femmes sur des enfants, comme justement ce qu'à subis un très bon ami à ma copine? Sans parler des infanticides, ou les femmes se distinguent, tristement. Bref, non, la violence n'est pas que le fait des hommes, très très loin de là. Far away. Loin comme ma naïveté. Ma copine, comme moi, avons tout deux vécu la violence (comme fait de femmes) au sein de notre couple, et pendant notre analyse lexicale et sémantique de ce podcast, on a quand même bien pigé le sexisme idéologique. De la présomption de culpabilité (avec le genre comme déterminant-sic-), du raccourcis de merde, des généralités honteuses et des glissement sémantiques plus qu'hasardeux, voilà le contenus de ce podcast. 1H30 à prendre chaque phrase sémantiquement parlant, à la décortiquer et à analyser le sens inhérent ou connotatif... Et ben ça fait mal: Biais de confirmation à outrance, à peine conscientisé d'ailleurs, et très peu (trop peu) d'analyse contradictoire (ce qui est un des déterminants du biais de confirmation). Bref, une fois qu'on a travaillé son sujet au niveau psycho-social et statistique, et qu'on à pigé cela (la violence existe chez les deux genre), on peu plus écouter ce genre de podcast sans bondir ou rigoler. Beurk. Presque aussi con que 'les hommes, amis ou ennemis de féminisme' (ou un truc comme ça, avec un politologue du Quebec, laveur de vaisselle). Là aussi, on pense pouvoir déterminer le comportement de personnes parce qu'ils sont des hommes! Aussi con que de s'imaginer qu'il y a une représentativité comportementale ambivalente de genre en société, d'ailleurs. Je n'ai, personnellement, comme quelques millions d'hommes dans ce pays, rien à voir avec Depardieu, pas plus que 'les femmes' n'ont à voir avec Dominique Cottrez. Faut arrêter d'être bête. Cela sens très fort l'auto-congratulation dans vos contenus... Cela sent comme une salle de sport occupée par des ados. Vous voyez? Comme mes pompes de chantiers. Là vous voyez... ça sent la connerie.
Effectivement il y des hommes et des femmes violentes. C'est juste que dans les mentalités l'homme est plus souvent agressif et les femmes sont vu comme des choses douces etc.. aussi car les hommes victimes de violence par une femme osent moins en parler. Quand une femme le fait c'est déjà dur alors un homme certains pourraient se moquer et dire "ce n'est pas un homme" ou ce genre de conneries car un homme est sensé être "fort" alors qu'ils ont des faiblesses et des émotions comme les femmes.
Une remarque sur le film Barbie: comment le trouver génial? C'est malheureusement une ébauche du féminisme mais encore un féminisme super marketing et capitaliste! Je rappelle juste que Mattel est une multinationale qui défend une image de la femme stéréotypée....! En plus ils font aussi travailler des personnes sous payées pour fabriquer des jouets avec des produits chimiques.....Alors svp avant de crier au génie avec ce film....RENSEIGNEZ VOUS SVP! UN PEU DÉÇUE QUE LES COUILLES FASSENT LA PROMO DE CE FILM SANS AUCUN ESPRIT CRITIQUE ET RECHERCHE! SINON J'AIME TOUJOURS VOTRE CONTENU ET JE SUIS HEUREUSE QUE LE PODCAST EXISTE! MERCI À VOUS!
Ce n'était pas le propos que j'ai entendu, que ce soit celui de Victoire Tuaillon ou de Rose Lamy. Au contraire, Rose Lamy a bien dit qu'il était imparfait et que le discours du film n'est pas forcément adroit. Mais que le film a le mérite d'exister juste pour rendre le combat féministe visible par le plus grand nombre. Jamais elle n'en a fait l'apologie, elle reste au contraire nuancée sur le film.
@@cali97118 la question est plutôt est ce qu'un jour elle regarderons leur parents comme il se doit, et accepter qu'un bon père de famille reste un homme qui a pris soin des siens. 09:35 balancer des brèves de journaux pour analyser des faits en admettant d'elle même qu'elle interprète les faits à sa sauce et que c'est comme ca que la société existe autour d'elle, bah elle n'a pas fini de se faire des films, et je passe sur le reste des débilités, a plus.
@@dreaticadta806vous avez des idoles, des modèles idiots auxquels vous tenez tellement que vous êtes incapables de critique, quand bien même ce serait sain
Votre inspiration du titre de vos postes, est le point zéro de la vulgarité,.. "" tu travailles ou, toi ..?? ..moi? A Les couilles sur la table...! "" bravo..on peut pas faire pire.
Quelle émission passionnante 🎉 et quel talent , Rose Lamy !
Bravo et merci
Merci pour ce chouette épisode.
Enfant d’un père violent multirécidiviste, je n’ai entendu ce discours du « bon père de famille » que du côté de ma famille paternel, par celles et ceux qui le soutenaient… J’ai vite associé ce propos à quelque chose de mauvais, comme une réponse systématique pour défendre un agresseur. Je rejoins ce que dit l’invitée sur cet aspect. Et vais m’empresser de ce pas, de trouver son livre. Bravo à vous ! :)
Une différence quand même entre les milieux de droite et de gauche : si effectivement Mélenchon est monté au créneau pour défendre Quatennens, ça n'a clairement pas fait l'unanimité au sein de la FI, et il y a beaucoup de voix discordantes dans le mouvement qui n'ont pas du tout soutenu Quatennens, son intervention publique sur BFM, ou sa réintégration.
Dans d'autres partis, il y a davantage d'alignement avec "les chefs".
En même temps c'est quasi toujours des hommes de gauche qui commettent des violences faites aux femmes en tout cas dans le monde médiatique.
Très interessant. Je me suis dit moi aussi que cette personne passait completement à côté du 2eme degré de ces titres de faits divers. Le 2eme degré étant "quel motif aberrant pour un tel acte". Mais à la réflexion l'accumulation de ces titres produit peut-être une forme d'habituation et de légitimation dans la tête de ceux qui justement ont tendance à penser que la violence est la bonne réponse à sa frustration de ne pas être obéi/servi/.... Par ailleurs il y a toujours l'angle mort des violences éducatives commises en majorité par les peres mais souvent acceptées ou commises aussi par les mères, et le lien entre les 2 violences me manque. Si on arrive à justifier qu'un enfant qui nous frustre (ne nous obéit pas) mérite cris, punition, coups, privations etc... alors on s'habitue à ce type de réponse sans le remettre fondamentalement en question. Sur le theme de l'éducation les discours sont tellement caricaturaux (chacun caricature le discours de l'autre sans aucune nuance pour mieux se convaincre qu'il a raison) que je pense qu'on a encore beaucoup de chemin à faire en direction de la nuance.... Merci pour cette émission.
Alors j'y connais rien. Je suis un sociologue de canapé. Je regard Mody... 😅
Dans une vidéo, elle évoque le concept de fait social pathologique. C'est quand un groupe (ici la société globale) récuse un fait. Cela montre les limites. En gros tuer une femme pour de la pâte à crêpes c'est pas normal mais ... S'énerver... frapper
Ça peu être "normal" et les blague c'est un moyen de testé les limites de l'acceptation.
@@pommeterre5198 Qui est Mody?
@@sophieb4135 une sociologue qui joue au jeux vidéo. Et qui lie de la sociologie sur twitch. Elle a remplacer usul pour les portraits de blast
J'ai fait une faute de frappe c'est modiie son pseudo
D'autant que le 2nd degré ça reste de l'humour, ce qui légitime le fait qu'on peut en rire.
Quelle rencontres exceptionnelle ! Merci à vous deux pour la clarté et la qualité de votre travail. Encore un épisode que je vais vivement conseiller autour de moi.
Merci de ces réflexions, cependant j'ai eu un sentiment désagréable en entendant que les hommes qui ont commis des actes violents sont des hommes violents. Cette assimilation fige l'auteur des actes violents dans la violence. Moi, femme, j'ai commis un acte violent vers un compagnon, un jour. J'ai de la colère en moi qui s'est exteriorisée un jour par de la violence. J'ai pu faire un chemin pour ne plus commettre d'acte violent quand une colère m'envahit... peut-être parce que personne ne m'a dit : Tu es une femme violente.
Exactement, cependant depuis quelque temps il faut seulement s'en prendre aux hommes, d'ailleurs ici on critique même les bons pères de famille sous prétexte que certains ne le sont pas vraiment.
On oublie bien souvent que 70% des meurtres d'enfants sont commis par des femmes, mais ça il ne faut surtout pas en parler, et surtout pas ici...
@@mickaelegalite8335 Dans les médias mainstream c'est clair, sur internet c'est autre chose. J'ai l'impression que le féminisme déraisonné crée en miroir une misogynie très forte. J'ai envie d'être solidaire des femmes et des hommes, de reconnaître à chacun son humanité dans ce qu'elle a de bon comme de mauvais, mais cette position est apparemment intolérable. Dire qu'être une femme c'est loin de jouer la vie en mode easy = féministe hystérique, dire qu'être un homme c'est pareil = traitresse soumise au patriarcat... Je ne dis pas qu'il faut accepter n'importe quelle forme de statut quo et évacuer toute radicalité mais ça m'attriste de voir de chaque bord toujours plus de haine de l'autre et toujours moins de remise en question de ses propres défauts.
@lucnatluc8317 Avec des généralités pareilles rien n'est près de changer en effet. Quand on ne donne pas d'empathie à quelqu'un il ne faut pas s'attendre à en recevoir, c'est bien le problème. D'un côté comme de l'autre quand on a vécu de la violence et que cette réalité est niée c'est une injustice supplémentaire.
J'aimerais bien aussi avoir un épisode "des couilles sur la tables" nous expliquant les rapports des hommes machos, sexistes parfois même violeurs avec leur mère, leurs sœurs ou leurs amies filles.
Parceque des fois je me demande : un mec qui agresse sexuellement une femme ne se dit pas que cette dernière aurait pu être une de ses proches ? J'avoue que j'ai du mal à comprendre comment leur esprit et leur conscience fonctionnent...
La domination fonctionne toujours en duo avec la soumission. Dans toute hiérarchie, si on est un bon soldat, un lèche-botte, un zélé sans esprit, on gagnera le droit de devenir chef à son tour. C'est ce qui se passe à l'armée, dans la politique, dans les entreprises, chez les scouts, dans l'administration, dans les clubs genre franc-maçonnerie, même à l'Académie Française (où les bleus doivent écouter et se taire), mais aussi à l'école avec les anciens élèves deviennent profs et se vengent éventuellement des violences encaissées enfant et de violences générales du système sur leurs nouveaux élèves ("c'est moi qui ait le contrôle, maintenant").
(Bien sûr, cette logique rencontre d'autres logiques locales qui lui mettent parfois des bâtons dans les roues : une personne manipulatrice dans la hiérarchie qui bloque la promotion d'une autre, un accident de la vie, etc.)
Dans tous les systèmes de hiérarchies (systèmes physiques ou symboliques organisés verticalement), il y a cette idée profondément ancrée qu'il faut être bien soumis pour devenir un jour un bon chef. Dans le cadre des familles, les machos/mascus ont tendance à porter aux nues les femmes de leur famille (la Mère, la Soeur), et toujours de façon essentialisante évidemment. Porter aux nues va de pair avec le mépris (qui peut s'appliquer sur les mêmes personnes à d'autres moments - par exemple si la mère ou la soeur sort volontairement ou involontairement du rôle précis qui lui incombe - ou sur d'autres personnes, soit parce que celles-ci sont jugées non conformes, soit parce qu'elles sont jugées inférieures dès le départ, "faites pour" subir cette domination (qui doit absolument s'entretenir comme on entretient sa souplesse, par plein de petits gestes, mots, moyens,...).
Je me suis fait agresser toute mon adolescence par des gars ...qui étaient mes potes de sport dans la rue jusqu'à 10 ans, et qui, la puberté apparaissant, se sont sentis obligés de me mépriser et de m'attaquer pour se faire une identité et renforcer la complicité masculine. Ils disaient adorer leurs soeurs et respecter leur mère (mais leur mère se tuait aux tâches domestiques et leurs soeurs ont été piégées dans des mariages arrangés alors qu'elles auraient voulu faire des études). Ces gars sont ensuite tous passé par la case deal et prison, ce qui n'a pu que renforcer leur image viriliste d'eux-mêmes, malheureusement, ainsi que leur sentiment d'être des nobles voyous victimes du système (ce qui n'est pas 100% faux : ils sont victimes des conditionnements éducatifs ultra-violents qu'ils ont avalés).
Je ne sais plus qui a dit que les gens qui demandent du respect, ce qu'ils demandent, en général, c'est de la soumission (cf. l'école, l'armée, les politiques,...). Ce terme "respect" est donc ultra-galvaudé et relié au fait de prendre une position humble / inférieure. Les hommes étant éduqués par la culture patriarcale à être dominant, leur demander d'être par ailleurs respectueux envers les femmes (dans leur esprit : soumis à la catégorie qui leur est inférieure) c'est ...absurde. Pas étonnant qu'ils ne sachent donc même pas ce que signifie cette notion (en théorie et en pratique).
@@aie_aie_ : La majorité des hommes en prison ont été élevé que par leur maman, cela veut dire que leur violence provient de leur mère ?
Il faudrait surtout qu'ils se disent : "ça pourrait être moi". On passe toujours par la sœur, la mère ou la fille pour susciter de l'empathie. Mais c'est toujours une séparation entre les hommes et les femmes. Qu'est-ce-que ces hommes ressentiraient s'ils subissaient ces violences ? voilà la bonne question.
Bah svt ils les ont subies
Il y a rien d'extraordinaire de dire que lorsque quelqu'un est inculpé et coupable qu'il puisse être de mauvaise foi, en toute circonstances, c'est un classique. c'est comme cela les martyrs de la vérité prêt à se sacrifier sont plus que rare. surtout quand il pense agir dans les limites de l'acceptable. ce n'est pas une question de genre, on ment quand on se sent en position d'infériorité. A part cela les procès de violence sexuels devraient toujours être traité avant ce lui de diffamation qui est contingent au résultat du premier.
Merci
Merci pour cette discussion riche.
💰💲
C'est toujours une question d'argent.
Excellente analyse
Merci Victoire :)
Merci d'avoir appelé Alexia FOUILLOT par son vrai nom, nous ne l'oublierons jamais ❤
Il y a peu d'hommes qui réagissent de façon adéquate après la révélation d'un comportement violent, sexiste ou abusif. Il est rarissime qu'ils ne soient pas dans le déni ou l'inversion accusatoire.
Un seul contre-exemple me vient à l'esprit : Roméo Elvis.
Quid de Bill Clinton après l'affaire Lewisky ?
@@umungork Bill Clinton a nié tant qu'il a pu, a évoqué publiquement Monica Lewinsky avec mépris, l'a traitée de menteuse. Ce n'est que quand sa position n'était plus tenable, qu'il était complètement acculé, qu'il a reconnu avoir eu une liaison avec Lewinsky. Il s'est excusé devant le peuple américain non pas de s'être rendu coupable de violences sexuelles, mais d'avoir commis un adultère.
Il va de soi que sa fonction a subjugué Lewinsky qui, en outre, était sous ses ordres. Mais il y a eu consentement si mes souvenirs sont exacts.
Mais justement comment peut-on expliquer ce déni que l'on rencontre si souvent ?
@@Pinpin781 Je pense qu'ils nient parce qu'ils le peuvent tout simplement. La société dans son ensemble les y encourage, prend leur parti, parce que c'est trop effrayant de se dire qu'il y a de nombreux prédateurs parmi nous, qui ont l'apparence de la normalité, qui semblent ordinaires, qui peuvent même être décrits comme bons ou bienveillants par une partie de leur entourage.
Ils mentent par instinct de conservation, pour ne pas voir leur réputation ternie.
Et puis, pour pas mal d'agresseurs, les femmes ne sont pas des êtres humains comme eux. Elles sont des ressources dont ils disposent. Elles sont là pour apporter du prestige en leur associant leur beauté, ou du plaisir, ou pour les servir, mais ils n'imaginent pas qu'elles ont une vie propre en-dehors d'eux, ou s'en moquent. Dans leur tête, en agressant une femme, ils ne commettent donc pas un crime bien grave.
@@amandinebukuru9722 je vous conseillerais d'arrêter de vous essayer à la pensée.
Merci encore pour cet épisode et vos réflexions intéressantes.
Il me semble que pour pouvoir aborder une attitude d'excuses et ce que vous proposez ensuite,ces hommes ont besoin de prendre conscience de ce qu'ils ont fait avec l'aide d'un psychologue.
Quand j'écoute ce podcast, je comprend Napoléon.
La notion meme de "bon père de famille" est totalement détournée de son sens oritinal, et n'apporte rien à la réflexion, qui est ici très laborieuse.
Oui à la base on parle de “BON père de famille” elle a juste oublié le mot le plus important qui est
BON!
10:53 Et bien non. Il ne faut pas entendre ce qui n’est pas dit. Les titres mentionnent le motif donné par l’homme violent, souvent pour appuyer sur l’absurdité du motif justement...on clique parce que quand meme « quel fou, il frappe sa compagne pour des grumeaux dans la pate a crepe?! »....(aucun motif n’est valable, mais certains sont clairement abject et révèlent en prime tout le sexisme du violent, comme ceux basés sur la non-complétion des taches domestiques par les femmes)...
Pour le reste, je suis bien d’accord avec ce qui est dit et aucune violence n’est justifiable ou provoquée légitimement.
ah du mansplaining, ça faisait lgtps
Si aucun motif n'est valable, pourquoi évoquer le motif ?
Sinon pour dire que le motif évoqué était particulièrement abject.
Et par là, admettre une hiérarchisation des motifs parmi lesquels des moins valable, des plus valables.
@@romarin6853je l’ai dit. Parce que le motif revele un autre aspect violent de l’homme impliqué: son sexisme, en general. Dans l’exemple donné, ça revèle comment l’homme violent considere que la femme doit lui fournir sa nourriture...
@@elisaatypical5261Tu considères mon propos a l’aune de mon sexe/genre supposé. C’est sexiste.
Parce que c’est minimiser les autres meurtres. « Pour une pâte à crêpes » on se dit que c’est pas un motif. Si c’etait « parce qu’elle l’a trompé » il se trouverait des gens pour le défendre. Alors que tout meurtre doit scandaliser, et pas plus l’un que l’autre
Merci pour cet épisode !! Une question concernant la "bonne" manière qu'un homme aurait de gérer ses actes à posteriori : que pensez vous de l'exemple de Roméo Elvis ? Je trouve ça très complexe et en aimerait beaucoup une analyse plus poussée que celle que j'en fais aujourd'hui!
Ces titres de faits divers essayant de justifier ces actes de violences m'ont fait penser à cette justification que j'entends très souvent dans le monde des jeux vidéos par des auteurs (bien souvent des hommes) de réactions violentes/très virulentes : "il m'avait manqué de respect" ou "il m'avait mal parlé". (Ces réactions sont incomparables aux violences physiques bien réelles, je ne fais que le parallèle entre les deux processus de justifications)
Ce "manque de respect", cette atteinte à leur honneur (je cite), les autoriserait à enfreindre des règles auxquels ils ont pourtant souscrit et à se faire justice eux même.
Ces tentatives de justifications me semblent relever d'un seul et même mécanisme où un sentiment de manque de respect est censé justifié une réaction violente (sentiment nécessairement subjectif).
Comme s'ils s'estimaient légitimes à punir la personne qui leur avait manqué, selon eux, de respect : de "victimes" ils passent à juges et bourreaux pour "se faire respecter" ou pour "défendre leur honneur".
intéressant mais dommage qu'elle trouve des excuses aux hommes violents, genre on est des êtres nuancés, même les femmes commettent des violences, dommage qu'elle tienne ce discours, ça décrédibilise un peu le reste du coup... Ben non en fait il n'y a pas d'excuses à braquer sa femme avec un fusil.
Pour l’exemple de réaction intéressante à sa violence interne, il y a Joeystarr
N'importe quoi. Il y a longtemps que "le systeme" n'est plus patriarcal. Cette hysterie stipendiee systematique devient penible.
Pardon mais encore la semaine dernière mon responsable homme a osé me dire que si je ne m'en sortais pas dans mon quotidien de maman solo qui bosse sur les JO avec tout ce qu'il y a faire dans la maison et en dehors c'est que je n'étais pas organisée !!!!! C'est quoi ça ??
@@lallamimi676 Maman solo. Vous voyez bien que le système n'est pas patriarcal.
@@marcoprolo7318 si les hommes savaient faire des enfants seuls ça se saurait en attendant c'est tjrs eux qui laissent tomber les femmes une fois le gosse arrivé. Patriarcat et lâcheté
Une petite analyse sémantique et lexicale d'une heure, avec mon amie (féministe) m'auront permis d'évaluer le contenus de ce podcast. Dramatiquement con, je pense devoir dire. Certains raccourcis démontre un sexisme évident, d'autres démontrent une présomptions systématique de culpabilité (de l'homme, bien sûr), quand d'autres, encore, démontre une ignorance assez dantesque des statistiques (violences intra-familiale, conjugale...). Je sais pourtant qu'ignorer la responsabilité de 'la femme' (si tant est qu'il y ai une représentation sociale ambivalente de genre, ce qu'il reste à démontrer..!) quand on parle de violences conjugales (pour ne citer qu'elles) permet d'entrevoir qu'il ne sera en aucuns cas possible de régler ce problème (violences conjugales, donc) au niveau d 'une société. 150 000 enregistrements de violences conjugales (de femmes violentes) en moyenne ces dernières années, certes moins que les 220 000 déclarations de femmes, mais ne pas comprendre que la violence conjugale est le fait du genre humain et pas du genre masculin frise la malhonnêteté intellectuelle (ou pire, la bêtise). Vous ai-je parlé des abus sexuel de femmes sur des enfants, comme justement ce qu'à subis un très bon ami à ma copine? Sans parler des infanticides, ou les femmes se distinguent, tristement. Bref, non, la violence n'est pas que le fait des hommes, très très loin de là. Far away. Loin comme ma naïveté. Ma copine, comme moi, avons tout deux vécu la violence (comme fait de femmes) au sein de notre couple, et pendant notre analyse lexicale et sémantique de ce podcast, on a quand même bien pigé le sexisme idéologique. De la présomption de culpabilité (avec le genre comme déterminant-sic-), du raccourcis de merde, des généralités honteuses et des glissement sémantiques plus qu'hasardeux, voilà le contenus de ce podcast. 1H30 à prendre chaque phrase sémantiquement parlant, à la décortiquer et à analyser le sens inhérent ou connotatif... Et ben ça fait mal: Biais de confirmation à outrance, à peine conscientisé d'ailleurs, et très peu (trop peu) d'analyse contradictoire (ce qui est un des déterminants du biais de confirmation). Bref, une fois qu'on a travaillé son sujet au niveau psycho-social et statistique, et qu'on à pigé cela (la violence existe chez les deux genre), on peu plus écouter ce genre de podcast sans bondir ou rigoler. Beurk. Presque aussi con que 'les hommes, amis ou ennemis de féminisme' (ou un truc comme ça, avec un politologue du Quebec, laveur de vaisselle). Là aussi, on pense pouvoir déterminer le comportement de personnes parce qu'ils sont des hommes! Aussi con que de s'imaginer qu'il y a une représentativité comportementale ambivalente de genre en société, d'ailleurs. Je n'ai, personnellement, comme quelques millions d'hommes dans ce pays, rien à voir avec Depardieu, pas plus que 'les femmes' n'ont à voir avec Dominique Cottrez. Faut arrêter d'être bête. Cela sens très fort l'auto-congratulation dans vos contenus... Cela sent comme une salle de sport occupée par des ados. Vous voyez? Comme mes pompes de chantiers. Là vous voyez... ça sent la connerie.
Je partage totalement votre analyse.
👍
Effectivement il y des hommes et des femmes violentes. C'est juste que dans les mentalités l'homme est plus souvent agressif et les femmes sont vu comme des choses douces etc.. aussi car les hommes victimes de violence par une femme osent moins en parler. Quand une femme le fait c'est déjà dur alors un homme certains pourraient se moquer et dire "ce n'est pas un homme" ou ce genre de conneries car un homme est sensé être "fort" alors qu'ils ont des faiblesses et des émotions comme les femmes.
Une remarque sur le film Barbie: comment le trouver génial? C'est malheureusement une ébauche du féminisme mais encore un féminisme super marketing et capitaliste! Je rappelle juste que Mattel est une multinationale qui défend une image de la femme stéréotypée....! En plus ils font aussi travailler des personnes sous payées pour fabriquer des jouets avec des produits chimiques.....Alors svp avant de crier au génie avec ce film....RENSEIGNEZ VOUS SVP! UN PEU DÉÇUE QUE LES COUILLES FASSENT LA PROMO DE CE FILM SANS AUCUN ESPRIT CRITIQUE ET RECHERCHE! SINON J'AIME TOUJOURS VOTRE CONTENU ET JE SUIS HEUREUSE QUE LE PODCAST EXISTE! MERCI À VOUS!
Ce n'était pas le propos que j'ai entendu, que ce soit celui de Victoire Tuaillon ou de Rose Lamy. Au contraire, Rose Lamy a bien dit qu'il était imparfait et que le discours du film n'est pas forcément adroit. Mais que le film a le mérite d'exister juste pour rendre le combat féministe visible par le plus grand nombre. Jamais elle n'en a fait l'apologie, elle reste au contraire nuancée sur le film.
Faut aller voir le film, alice, avant de crier en lettres capitales ☝
@@proovemewrong Je l'ai vu! ;)
la vie selon une personne de 25 ans ... des conneries
Pour être crédible il faut argumenter et ne pas se contenter de seulement dénigrer :)
@@Pinpin781 vu les arguments entendus, pas envie d'en dire plus
Alors faut avoir quel âge pour donner son avis ?
@@cali97118 la question est plutôt est ce qu'un jour elle regarderons leur parents comme il se doit, et accepter qu'un bon père de famille reste un homme qui a pris soin des siens.
09:35 balancer des brèves de journaux pour analyser des faits en admettant d'elle même qu'elle interprète les faits à sa sauce et que c'est comme ca que la société existe autour d'elle, bah elle n'a pas fini de se faire des films, et je passe sur le reste des débilités, a plus.
@@dreaticadta806vous avez des idoles, des modèles idiots auxquels vous tenez tellement que vous êtes incapables de critique, quand bien même ce serait sain
Votre inspiration du titre de vos postes, est le point zéro de la vulgarité,.. "" tu travailles ou, toi ..?? ..moi? A Les couilles sur la table...! "" bravo..on peut pas faire pire.
Pauvre petit. C’est sûr c’est plus grave que tuer des femmes
Titre astucieusement choisi: le critiquer sous l'unique angle de la vulgarité est le point zéro de l'indignation facile.
Moi je le trouve cool , ce titre