5/5 Céleste Albaret chez monsieur Proust (Grande traversée / France Culture)
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- Опубликовано: 19 ноя 2020
- 5/5 Céleste Albaret chez monsieur Proust : « Vous n’oublierez pas, Céleste ? » (Grande traversée / France Culture). Diffusion sur France Culture le 2 août 2019. Une série documentaire produite par Philippe Garbit et réalisée par Clotilde Pivin. Photographie : Céleste Albaret en 1973 • Crédits : Nicole PRAYER - Getty. Dans cet ultime épisode, la gouvernante de Marcel Proust, Céleste Albaret, s'épanche sur les derniers instants de la vie de l'écrivain. Plus qu'une simple gouvernante, elle l'épaule dans la rédaction de son œuvre et veille sur lui jusqu’à sa mort en 1922. Marcel Proust meurt en 1922, épuisé, et emporté par une bronchite mal soignée. Mais selon Céleste, Proust ne devait pas mourir. Pourtant, l'écrivain avait en tête la perspective de la mort. Dans "La Recherche", il décrit longuement la mort du romancier Bergotte, artiste reconnu et admiré par le narrateur. Bergotte meurt après avoir revu le tableau qu'il aimait tant, la "Vue de Delft" de Johannes Vermeer, et son petit pan de mur jaune.
01:18 : Entretiens entre Céleste Albaret et Georges Belmont
44:44 : Entretien de Philippe Garbit avec Nathalie Mauriac-Dyer et Jean-Yves Tadié
1:04:01 : Reprise des entretiens entre Céleste Albaret et Georges Belmont
Intervenants :
Nathalie Mauriac-Dyer, universitaire, spécialiste de Proust
Jean-Yves Tadié, écrivain et biographe de Marcel Proust
Nathalie Mauriac et Jean-Yves Tadié sont les invités du cinquième et dernier épisode de cette "Grande traversée" consacrée à Céleste Albaret. Dans cette seconde partie, ces deux spécialistes de l’œuvre de Proust évoquent le rôle-clé de Céleste Albaret dans la rédaction de "La Recherche".
Source : France Culture
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*5/5 Céleste Albaret chez monsieur Proust : « Vous n’oublierez pas, Céleste ? » (Grande traversée / France Culture). Diffusion sur France Culture le 2 août 2019. Une série documentaire produite par Philippe Garbit et réalisée par Clotilde Pivin. Photographie : Céleste Albaret en 1973 • Crédits : Nicole PRAYER - Getty. Dans cet ultime épisode, la gouvernante de Marcel Proust, Céleste Albaret, s'épanche sur les derniers instants de la vie de l'écrivain. Plus qu'une simple gouvernante, elle l'épaule dans la rédaction de son œuvre et veille sur lui jusqu’à sa mort en 1922. Marcel Proust meurt en 1922, épuisé, et emporté par une bronchite mal soignée. Mais selon Céleste, Proust ne devait pas mourir. Pourtant, l'écrivain avait en tête la perspective de la mort. Dans "La Recherche", il décrit longuement la mort du romancier Bergotte, artiste reconnu et admiré par le narrateur. Bergotte meurt après avoir revu le tableau qu'il aimait tant, la "Vue de Delft" de Johannes Vermeer, et son petit pan de mur jaune.*
01:18 : *Entretiens entre Céleste Albaret et Georges Belmont*
44:44 : *Entretien de Philippe Garbit avec Nathalie Mauriac-Dyer et Jean-Yves Tadié*
1:04:01 : *Reprise des entretiens entre Céleste Albaret et Georges Belmont*
*Intervenants :*
*Nathalie Mauriac-Dyer, universitaire, spécialiste de Proust*
*Jean-Yves Tadié, écrivain et biographe de Marcel Proust*
*Nathalie Mauriac et Jean-Yves Tadié sont les invités du cinquième et dernier épisode de cette "Grande traversée" consacrée à Céleste Albaret. Dans cette seconde partie, ces deux spécialistes de l’œuvre de Proust évoquent le rôle-clé de Céleste Albaret dans la rédaction de "La Recherche".*
*Source : France Culture*
#MarcelProust #CélesteAlbaret #MonsieurProust #ÀLaRechercheDuTempsPerdu #Littérature #Bergotte #JohannesVermeer #VueDeDelft #PetitPanDeMurJaune #Entretien #GeorgesBelmont #Production #PhilippeGarbit #Réalisation #ClotildePivin #Intervenants #NathalieMauriacDyer #JeanYvesTadié #Émission #GrandeTraversée #CélesteAlbaretChezMonsieurProust #FranceCulture
Quelle chance de pouvoir écouter Céleste. C est un trésor. Grand merci à l interwiewer.
Être avec Céleste pour l écouter dans le grand silence.de mes nuits sans sommeil a été pour moi un pur bonheur .... j en ai éprouvé un grand apaisement .. merciiiiii de nous avoir offert ces riches entretiens.... à la toute fin, Céleste nous dit combien sa vie a été sans relief après avoir connu ces années en compagnie de mr Proust...... comme je la comprends, ! j ai connu ce vide immense à la fin de mon adolescence apres le décès brutal de la personne extraordinaire qui m avait adoptée ....... une vie jamais retrouvée ensuite ..... qui m a souvent fait basculer dans la grande tristesse contre laquelle je lutte encore souvent. des décennies après !
Merci pour votre poignant témoignage, Geraldine. Je vous envoie mes plus belles pensées.
Merci beaucoup de votre réponse ! l internet, en ce sens , est une chose fabuleuse .... souvent je pense à Pierre , mon mari qui a disparu brutalement sans avoir le temps par sa profession de savourer selon ses goûts à lui , ces entretiens , ces reportages , ces anciennes émissions ... comme il aurait apprécié lui aussi ! c est une chance formidable ! d un sujet l on passe à un autre en faisant des recherches sur ce que l on vient de voir et sur ce que l on aime ! oui, un grand bonheur et merci , vraiment à tous ceux qui nous offrent ces vidéos inestimables
Merci pour ces cinq émissions passionnantes et émouvantes. Un bonheur d'écouter Céleste Albaret raconter Proust. Une femme simple, mais fine et intelligente, véritable gardienne du temple proustien !
Je suis content que ces cinq émissions vous aient plu. Merci pour votre chaleureux commentaire !
Quelle chance ils ont eu, ces deux là, de se rencontrer. Émotion intense de l’entendre raconter la mort du petit Marcel et du grand Proust
Quelle série fabuleuse, merci ! Ayant déjà lu auparavant son livre, l'entendre dire ce qui a ultérieurement été couché sur papier est vraiment très agréable.
Je vous en prie. Merci pour votre commentaire.
On écoute et on réécoute avec plaisir ce témoignage des premières loges à la création de la Recherche du temps perdu, et pour s'apercevoir, que l'homme était à la mesure de la délicatesse, de l'attention, de la prévenance et de la sensibilité, qui sont au fond les grands files conducteurs de l'oeuvre.
Voilà qui est fort bien dit, Nicolas, et je souscris complètement à vos propos. Merci pour votre commentaire.