Point de termes grandiloquents c'est tout simplement touchant même si l'original a subit quelques retouches totalement inutiles. Cette chanson demeure sublime. Merci maître.
Nous ne vous oublierons jamais et les générations futures écouteront aussi vos chansons pour toujours. Nous avons grandi en écoutant vos chansons, et chaque chanson a des souvenirs et une histoire pour chacun de nous, Si tous les artistes sont comme le fleuve, alors vous et Salimn Azam êtes comme la vaste mer. Que Dieu te protège et prolonge ta vie, philosophe.
La portée philosophique, existentielle et poétique de cette chanson est très profonde. Il faut être Lwnis At Mangellat pour pouvoir aborder avec pudeur et tact un sujet aussi sensible et délicat que la perte d’un être cher. Le génie de cet homme, sa grandeur d’âme, réside aussi dans cette faculté à transcender l’adversité, lui, avec qui la vie n’a pas été tendre, et à produire une œuvre artistique résolument humaniste car tournée vers la condition humaine et une de ses angoisses majeures : sa disparition.
Traduction mélodique de : Anidha tedjam mmi (Où avez-vous laissé mon fils) Ô compagnons, à trois Vous qui êtes là, m'entourez Je vois la mort, elle est là Je la vois et elle me voit Portez la nouvelle à ma mère Qui arrivera lui dira Dites-lui : Il n'a pas souffert Qu'elle surmonte le deuil de moi Si je lui manque, il y aura Mon fils qu'elle regardera A vous de la consoler Avant de partir, jurez-moi J'ai fait un cauchemar, cette nuit Des morts qui m'ont visitée Un pigeon que je tenais C'est des mains qu'ils me l'ont pris La gargoulette m'est tombée Des mains, avant de marcher Son eau, la terre, arrosant Dépitée, en la cassant Toujours, en rêve, voyant Celui que, le plus, je chéris Il m'a dit : C'est ça , la vie Tout ce que tu tiens le perdant Voilà quelqu'un arrivant Ce rêve-là ne me plaisant Je te demande, s'il te plaît Mon fils, où l'as-tu laissé ? Du travail, usine-logement La lumière ne la voyant Longtemps, même pas un salut Je ne l'ai vu, il ne m'a vu J’ai entendu, il n’a rien Par son travail, affairé Notre occupation nous tient Aucun ne voit son copain C’est cela, gagner son pain Chenus, de pénibilité Toujours plus, cette vie Elle fait de nous son envie Deux amis vont arriver Ils l’ont peut-être rencontré Il leur a peut-être parlé Tu trouveras la vérité Tout ce qu’il aurait affirmé Eux, te le rapporteraient Inutile cette crainte, ainsi Ton fils n’a rien, lui aussi A une française, marié Fondant un nouveau foyer De la vie, bien profiter Avoir la prospérité La Kabyle est oubliée Et nos fêtes abandonnées Pour lui, c’est comme s’il renaît Heureux, la route est tracée Il anéantit, il sait Les aînés et le passé La maison non édifiée Enlève-le de ton cœur, va Mer qui veut l’emportera L’amer ne devient sucré Assieds-toi, ô ma chère mère Entière est la vérité Je vais dire des mots amers J'ai vu ce qui s'est passé Tu te rappelles le laboureur Aux champs versant sa sueur C'est la terre qui l'a élevé Qui, maintenant, l'a mangé De tous les morts, te souvenant Vivants, triomphant du temps En un seul instant, partis Chacun d'eux perdant la vie Tu te rappelles ceux qui frappaient Éternelle leur force, croyant Quand ils tombèrent, t'en souvenant Chacun eut sa destinée Tu te rappelles les murs tenant La lumière, ils l’arrêtaient Tu étais là, ils tombèrent La voie, ils la libérèrent Montre-moi qui va rester Comme une bougie, nous brûlons Éteints, nous disparaissons Et c'est l'obscurité La richesse, quel intérêt La vérité, on la voit Moi, je te dis ce qu'il y a Le bon Dieu sait ce qu'Il fait Ton fils, par le temps, trompé Et sa trace, on la suivra J'ai promis de te dire ça Peu avant sa mort. Voilà. N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Point de termes grandiloquents c'est tout simplement touchant même si l'original a subit quelques retouches totalement inutiles. Cette chanson demeure sublime. Merci maître.
vraiment cette noria c’est un bijou voies d’or.
Nous ne vous oublierons jamais et les générations futures écouteront aussi vos chansons pour toujours. Nous avons grandi en écoutant vos chansons, et chaque chanson a des souvenirs et une histoire pour chacun de nous, Si tous les artistes sont comme le fleuve, alors vous et Salimn Azam êtes comme la vaste mer.
Que Dieu te protège et prolonge ta vie, philosophe.
Dite moi ci on peux vivre. Sans da lounis
Des chansons qui touchent l'âme ! Ait Menguellet ne laisse pas indifférent. Merci pour le partage.
Noria toujours a la hauteur ,merci !
C'est beau dès la base.La présence d'autres artistes a rajouté du charme de l'union.
La portée philosophique, existentielle et poétique de cette chanson est très profonde. Il faut être Lwnis At Mangellat pour pouvoir aborder avec pudeur et tact un sujet aussi sensible et délicat que la perte d’un être cher. Le génie de cet homme, sa grandeur d’âme, réside aussi dans cette faculté à transcender l’adversité, lui, avec qui la vie n’a pas été tendre, et à produire une œuvre artistique résolument humaniste car tournée vers la condition humaine et une de ses angoisses majeures : sa disparition.
À chaque fois, j’écoute sa chanson, je pleure toutes les larmes de mon corps
Le meilleur. Souvenir. De da lounis. Merci. "". Thanmirthr ""
INCROYABLE C UN FILM ,HISTOIRE, CONTE ,CCCCC BRAVO DA LOUNIS
Longue vie Dda Lounis ❤❤
Tous simplement magnifique
Ils sont tous merveilleux
Une très belle voix noria ❤❤❤
Bravo. Beaucoup d'émotion. Tanmirt n'wen Sumata.
Noria la voi ines 👍♥️🌹 tanmirt af le partage tughzi tudertik da lounis
Tres bonnechanson thanmirth je vous comprend tres bien 😊
un grand des grand
Jai des larmes au
Magnifique 😍😍😍
Best trio ❤
Lounge vie le papa pour les kabyles
Nous oublions jamais Dahbiya que Dieu ait son âme, avec sa belle douce voix en duo avec Mr Ait Menguellet ❤
Your music brings me so much joy; it's a pleasure to listen to. Thanmert
Noria ❤❤
Teghzi la3mar akw d wafud igerzen
Tanmirth ❤
Longue vie da lounis
Bravo
Traduction mélodique de : Anidha tedjam mmi (Où avez-vous laissé mon fils)
Ô compagnons, à trois
Vous qui êtes là, m'entourez
Je vois la mort, elle est là
Je la vois et elle me voit
Portez la nouvelle à ma mère
Qui arrivera lui dira
Dites-lui : Il n'a pas souffert
Qu'elle surmonte le deuil de moi
Si je lui manque, il y aura
Mon fils qu'elle regardera
A vous de la consoler
Avant de partir, jurez-moi
J'ai fait un cauchemar, cette nuit
Des morts qui m'ont visitée
Un pigeon que je tenais
C'est des mains qu'ils me l'ont pris
La gargoulette m'est tombée
Des mains, avant de marcher
Son eau, la terre, arrosant
Dépitée, en la cassant
Toujours, en rêve, voyant
Celui que, le plus, je chéris
Il m'a dit : C'est ça , la vie
Tout ce que tu tiens le perdant
Voilà quelqu'un arrivant
Ce rêve-là ne me plaisant
Je te demande, s'il te plaît
Mon fils, où l'as-tu laissé ?
Du travail, usine-logement
La lumière ne la voyant
Longtemps, même pas un salut
Je ne l'ai vu, il ne m'a vu
J’ai entendu, il n’a rien
Par son travail, affairé
Notre occupation nous tient
Aucun ne voit son copain
C’est cela, gagner son pain
Chenus, de pénibilité
Toujours plus, cette vie
Elle fait de nous son envie
Deux amis vont arriver
Ils l’ont peut-être rencontré
Il leur a peut-être parlé
Tu trouveras la vérité
Tout ce qu’il aurait affirmé
Eux, te le rapporteraient
Inutile cette crainte, ainsi
Ton fils n’a rien, lui aussi
A une française, marié
Fondant un nouveau foyer
De la vie, bien profiter
Avoir la prospérité
La Kabyle est oubliée
Et nos fêtes abandonnées
Pour lui, c’est comme s’il renaît
Heureux, la route est tracée
Il anéantit, il sait
Les aînés et le passé
La maison non édifiée
Enlève-le de ton cœur, va
Mer qui veut l’emportera
L’amer ne devient sucré
Assieds-toi, ô ma chère mère
Entière est la vérité
Je vais dire des mots amers
J'ai vu ce qui s'est passé
Tu te rappelles le laboureur
Aux champs versant sa sueur
C'est la terre qui l'a élevé
Qui, maintenant, l'a mangé
De tous les morts, te souvenant
Vivants, triomphant du temps
En un seul instant, partis
Chacun d'eux perdant la vie
Tu te rappelles ceux qui frappaient
Éternelle leur force, croyant
Quand ils tombèrent, t'en souvenant
Chacun eut sa destinée
Tu te rappelles les murs tenant
La lumière, ils l’arrêtaient
Tu étais là, ils tombèrent
La voie, ils la libérèrent
Montre-moi qui va rester
Comme une bougie, nous brûlons
Éteints, nous disparaissons
Et c'est l'obscurité
La richesse, quel intérêt
La vérité, on la voit
Moi, je te dis ce qu'il y a
Le bon Dieu sait ce qu'Il fait
Ton fils, par le temps, trompé
Et sa trace, on la suivra
J'ai promis de te dire ça
Peu avant sa mort. Voilà.
N.B. Ces vers peuvent être chantés avec la musique de la chanson.
Tanmirth nwn❤
❤❤❤❤❤❤❤❤❤
le phénomène ait menguellet ?
ta ghuct el lebda , tughzi lleàmer a Dda Lunis.
❤❤❤❤❤
thaghezi ala3mer a da lounes jusque a150 ans a vava rabi.
❤❤❤
Thanmirth@ khali 0Lounis Ait menguellet
❤❤❤❤❤