Magnifique !!! Le travail pédagogique de cette vidéo est remarquable, extraordinairement clair ! Quelle belle découverte, je me reconnais bcp dans cette pensée. Un très grand merci, il y aurait tant à dire... et j'écris ce commentaire en conduisant, brûlant d'enthousiasme !
Merci de nous faire découvrir un autre auteur passionnant. Par ailleurs, j'ai beaucoup aimé lire "les années décisives" de Spengler dont vous avez parlé dans une précédente vidéo. Je me suis retrouvé dans une grande partie de sa thèse.
Inspirant à la réflexion sur ce vaste sujet qu'est le concept de la liberté duquel est historiquement semble-t-il toujours corrélé la politique. Belle découverte merci beaucoup !
Superbe vidéo. Berlin me fait toujours penser à ce passage chez Nietzsche : Libre de quoi ? Qu'importe cela à Zarathoustra ! Mais ton œil clair doit m'annoncer : libre pour quoi ? Peux-tu te donner à toi-même ton bien et ton mal et suspendre ta volonté au-dessus de toi comme une loi ?
Excellente vidéo ! Après je pense que pour un établir un pluralisme harmonieux, l'utilisation de la liberté positive validé, dans le respect de la liberté négative d'autrui me semble nécessaire sans violer cette dernière. L'exercice d'une certaine égalité ne peut se faire donc depuis un espace libre et cela est possible a travers justement ce qui fait de nous des humains. Les êtres humains sont fondamentalement sociaux et laisse peu dans l'entourage proche ou dans le clans les personnes dans la misère la plus basique. En somme je ne m'inquiète pas en France en tout cas de l'analphabétisme des plus pauvres dans le respect le plus absolu de la liberté négative. Mais peut être suis je naïf.
Bonjour je vous remercie pour votre travail. Je m'étonne cela dit de ne pas vous avoir entendu faire un rapprochement entre pluralisme et Heraclite, avec la tension des opposés, cette vision tragique qui n'impose aucune chose sur une autre, mais que existe par la tension entre différentes forces. Merci Prenez soin de vous
J'ai l'impression que de plus en plus, vous vous concentrez sur des auteurs moins "à droite". Comme ils sont passionnants, ce n'est pas un mal, bien au contraire. Et cette vidéo sur Isaiah Berlin est une très bonne nouvelle, merci beaucoup !
Ce dont parle Berlin fait beaucoup penser à ce que disait Alain de Benoist dans "comment peut on être païen?". Le retour de la pensée du multiple sur la pensée moniste issue du christianisme.
Sans doute un détail de la vidéo, mais ça m'a rappelé ta critique sur les anarcho-capitalistes de la FAQ 3 qui était assez expéditive (et pour cause, c'est pas en une minute que ça se démonte), mais la pensé de Berlin permet en partie d'en voir les limites. Et ce à travers le monisme systémique du droit naturel, qui ne tient que dans le cas où les individus sont non violents, ce qui implique de vivre dans une communauté un minimum unie, et donc permettre à ce droit de s'appliquer pleinement
C'est juste. Curtis Yarvin propose justement une critique du libertarianisme allant dans ce sens dans "De Mises à Carlyle" et "Pourquoi je ne suis pas libertarien". Le collectif Rage culture en propose une traduction française sur leur tipee. On peut trouver ces essais dans le Tome 04 de "Unqualified Reservations".
@@onclesam1463 Ouais, merci, je connais un peu, c'est pas le fait qu'il y ait besoin d'un cadre qui structure la possible liberté, qui est actuellement réduite par la cathédrale ?
Chez nous, la solution a été trouvé il y a longtemps : il s'agissait simplement de distinguer l'acte de représenter le monde et celui de représenter l'action, le spirituel et le temporel. La fonction spirituelle consiste à rendre compte de la réalité, elle donne un cadre où tout se produit. Elle le fait pour situer ce qui est bon (l'ethos) pour soi (le soi authentique, collectif, l'ethnos, de même racine), afin de diriger les volontés autrement dispersées vers un but unique. La fonction temporelle consiste à rendre compte de ce qu'il faut faire, de la bonne décision à prendre compte tenu des péripéties et du contexte. Elle repose sur une autre manière d'appréhender les choses que la fonction spirituelle, mais comme complémentaire, pas comme antagoniste : à l'intérieur du paradigme dessiné par les agents de la fonction spirituelle, ceux de la fonction temporelle utilisent leurs connaissances des choses particulières pour représenter l'action efficace et la mettre en oeuvre. La troisième fonction, enfin, est celle de ceux qui font. Le relativisme libéral, économiciste, est une tentative d'unification des trois fonctions : il s'agirait d'un paradigme où la liberté de faire organiserait spontanément des actions efficaces, sans nécessité de connaître le but à atteindre ni l'ordre des choses. Il en résulte une ignorance volontaire de ce qui est le plus essentiel : la reproduction de groupe, la conformation des personnes au nécessaire de cette reproduction (l'effort, la bonne foi, la bienveillance, la défense du territoire, ...). Et cette ignorance, rendue obligatoire, faite éthique à elle toute seule, ne devient pas par hasard le règne d'un arbitraire réactionnaire et féroce, presque califal.
Je viens de quitter Frédéric Lenoir chez Stéphane Bureau, Contact, dans vidéos les plus anciennes lenoir #1, du Québec.. sur le sujet. Très jolie musique dintro. Soif de libertés.
Mon cher Antoine : excellent exposé, comme à l'accoutumée. La référence à Machiavel est on ne peut plus éclairante : chaque sphère de l'existence humaine a ses propres règles qui sont incompatibles avec celles des autres sphères - ainsi, par exemple, les règles de la morale et celles du politique. Lorsqu'il me faut expliquer ce genre de différence à quelqu'un, l'exemple que j'emploie est le suivant : cela a-t-il un sens de dire que les triangles rectangles sont sucrés ? Non, parce que les règles de la géométrie et celles de la cuisine n'ont rien à voir les unes avec les autres. Et si cela ne choque pas dans ce cas précis, pourquoi cela choquerait-il dans la dichotomie morale/politique ? Uniquement parce qu'un individu est à l'origine de l'action dans les deux cas de figure ? Mais l'action morale et l'action politique n'ont rien à voir l'une avec l'autre : veiller à agir selon le principe du bien d'une part, et selon le principe de la paix et de la guerre, de la puissance et de la faiblesse d'autre part (pour reprendre la distinction opérée par Raymond Aron), voilà qui est strictement différent, et l'organisation de la cité n'a que faire de principes moraux. Ainsi, il a été nécessaire de brider la liberté pendant la crise sanitaire. Comportement immoral ? C'est incontestable. Nécessité politique ? Incontestable également si l'on part du principe que le Covid était un virus mortel qui mettait en danger la survie de la communauté. La politique est ainsi amorale (et non pas immorale), c'est-à-dire qu'elle n'a rien à voir avec la morale, au sens exact où un séisme est amoral. L'incompatibilité entre les sphères de l'existence humaine est déchirante mais cette déchirure est l'essence même de ladite existence et la caractéristique du sage, sans doute, consiste-t-elle à savoir naviguer dans une sphère propre et d'une sphère à l'autre, à chaque fois avec une boussole différente, en admettant le désespoir qu'il n'y ait pas de boussole supérieure. Peut-être le sage est-il ainsi plus un renard qu'un hérisson - et c'est un hérisson qui vous dit cela, mon cher Antoine...
Hâte de t'écouter à nouveau ! Je serais curieux que tu présentes la philosophie d'une femme un jour (si tant est qu'une telle chose puisse exister, j'aurais quand même tendance à répondre par l'affirmative.) ⚜️⚜️⚜️
La tradition indo-européenne a toujours porté une vision moniste. C'est sur la base d'un Ciel-tout que le tableau du cycle cosmique est constitué, c'est par rapport à son caractère intangible que le reste se meut, et c'est ainsi qu'il y a le bien contingent qu'il faut conquérir, situé dans ce qui se meut (le vrai, le beau, le bon) et le nécessaire réalisé par l'Être qui persévère nécessairement (la "réalité"). L'idée même de sagesse, celle qui consiste à percevoir la réalité en son for intérieur, n'existe que chez nous. Partout ailleurs, la "sagesse" se réduit au savoir de ce qu'il faut faire pour obtenir les honneurs. Je n'exagère pas ! Si chez nous existe la possibilité d'une relation personnelle au monde, c'est parce qu'il existe une distinction essentielle et basale : il y a une totalité qui demeure toujours égale à elle-même, éternelle, sans forme, sans contexte, l'Absolu, l'Être, et il y a les existences situées, périssables, nécessairement changeantes et limitées ; celles-ci étant parties du Tout, elle sont à son contact, en lui, elles ont accès à la réalité par leurs propres moyens, directement, car leur expérience située est une expérience vécue à l'intérieur du Tout, une expérience qui dit nécessairement quelque chose du Tout. Chaque fois qu'on a adopté un autre point de vue c'était sur une base étrangère : par l'orphisme et autres pythagorismes, pleins d'orientalismes, dont le platonisme et les gnosticismes font parties ; par les religions sémitiques, même si le christianisme est finalement assez peu sémitique ; de manière plus originale, par le contre-pied anglais, empiriste, libéral, "pragmatique", opposé à la culture continentale, française, moniste, intolérante, dogmatique. On peut reprocher aux cultures indo-européennes leur intolérance, leur caractère implacable, leur goût pour le sacrifice de soi, leur fascination pour l'Absolu, leur fanatisme, mais dès que l'on sort de ce paradigme, c'est pour celui du conservatisme arbitraire et forcené des sémites, ou pour celui des chinois, et de toutes les autres humanités. Il n'y a que nous, par la conscience que nous avons de ce que nous vivons en relation intime avec l'Être, qui avons pu échapper à l'arbitraire. Et nous ne pouvons que chuter à nouveau dans celui-ci si nous adoptons d'autres vues. Nous avons à sortir du relativisme anglais pour retrouver le goût du dogmatisme, tel celui des scolastes médiévaux, dans l'objectif, comme Machiavel, de renouveler la vue et le discours pour rendre l'action efficace.
Commentaire intéressant et érudit. J'imagine que vous êtes Chrétien. Quelles sont les critiques que vous faites à la philosophie Chinoise qui est complexe, multiforme et souvent mal comprise. Comme elle repose sur 3 "bases", Confucianisme, Taoïsme, Bouddhisme, elle n'est pas forcement conservatrice comme vous semblez le lui reprocher. Le "sage" taôiste peut être une figure de la liberté et du rejet de la société, un peu comme un Diogène.
@@CVB-23 Je suis athée ;) Le bouddhisme est une religion indo-européenne, elle a introduit en Extrême-Orient les éléments familiers qu'on y trouve aujourd'hui. La méditation comme relation personnelle à l'Absolu en est un exemple. Mais le fond culturel chinois, et alentours, est complètement étranger à ça. Leur fond propre appelle à l'imitation servile, à l'obéissance aveugle, à l'arbitraire du pouvoir. C'est ce que j'entends par "conservatisme arbitraire". Tout ce qui les détourne de cette pratique vient de nous, que ce soit le communisme à la sauce chinoise ou la démocratie libérale à la sauce japonaise, le bouddhisme, etc.
@@baptistegilbert6421 J’apprécie cette discussion, c'est si rare sur YT. Ce "conservatisme arbitraire" est, je pense, le coté Confucianiste, qui est d'ailleurs très bien intégré par le pouvoir chinois de ces dernières décennies. Mais le Taoïsme par exemple, qui est foisonnant, est à l'opposé : il prône la liberté individuelle absolue sans souci de l’État.
@@CVB-23 Il est foisonnant parce qu'il est hétérogène, parce qu'il n'est pas une seule chose. C'est un fourre-tout, il n'a pas de sens pris dans son ensemble. Ce serait plutôt comme un recueil de nos présocratiques, contradictoire, parcellaire, plein de figures plus mythiques qu'historiques (Homère, Thalès, etc). Il témoigne seulement du fond culturel qui a précédé l'hégémonie culturelle des aristocraties postérieures. Or ce qu'on doit constater, c'est que le fruit de ce fond est très différent de ce qui s'est fait chez nous, notamment parce qu'il n'était pas moniste et qu'à cause de cela il laissait prospérer l'arbitraire. Il n'y a que chez nous que l'arbitraire fut encadré par un paradigme auquel même les aristocraties, surtout elles, obéissaient : l'unité des existences prend la forme d'une réalité implacable à laquelle il faut s'adapter, qui rend coupable tout ce qui s'écarte du vraisemblable, du cohérent et de l'efficace. Partout ailleurs que chez les monistes, l'arbitraire a régné seul. Partout ailleurs, ce que nous appelons la vérité n'existe pas, il n'y a pas de relation personnelle au monde à travers elle, par le sentiment qu'on en a, par ce qu'on peut en dire, par ce qu'on peut en faire. Tout ça nous est propre.
Vous êtes magnifique pour ces propositions. Je réécoute d'abord. Et je cherchais justement des pensées sur la cohabitation des libertés. Donc 1ère ecoute, pose des éléments, des concepts. 2ème écoute compréhension de leurs liens. Le dernier texte à la fin qui se réfère à l'enfance et notre quête au travers d'absolu, magnifique... c'est....? Qui a cité votre chaine ? Un philosophe sûrement.. merci à lui. Vous avez du être reçu kk part ?
La liberté dans un monde inhumain on a la liberté de voter de consommer de partir en vacances de travailler etc.. mais pas de vivre sans revenus ni être anti argent anti état. Dans un monde où l’économie n’existe pas les êtres humains sont eux-mêmes vivent leur vie et ne savent pas ce qu’est la liberté
Le capitalisme est un monisme mondiale qui fonde la liberté comme étant la capacité à consommer et qui impose à l'humanité l'asservissement à la productivité, faisant perdre la liberté de consommer à la plus grande majorité des individues du monde. Nous devons produire toujours plus pour satisfaire la liberté économique d'un petit groupe. Le temps rythme nos vies en faisant de la majorité des hommes des producteurs, il n'est dés lors pas possible à un individu d'exprimer son unicité car produire c'est construire la vision d'une autre personne. Le capitalisme empêche alors l'humain d'exprimer ses valeurs dans son travail pour permettre à un petit groupe de s'exprimer pleinement par les productions d'autres travailleurs. La majorité des travailleurs du monde entier n'a dés lors que peu de temps personnel à accorder à ses idées, il perd ainsi le sens du monde car l'homme, avant d'être social, est une conscience et la conscience à pour but de produire des idées. La grande majorité du monde à perdu un sens à l'existence en se contentant de produire et si possible de consommer. Le but de la philosophie devrait être de changer de société et donc de ne plus utiliser la méthode capitaliste. La liberté de l'ensemble du monde est en périle, nous devons trouver un méthode pour que chacun puisse s'exprimer par son travail et dans sa vie affective, la liberté devenant la réalisation de sa conscience. La conscience recherche l'équilibre tout en étant le produit d'un déséquilibre biologique et psychologique. J'aime ce qui me fascine et ce qui me fascine n'est pas ce que je suis, j'aime alors ce qui me fait évoluer et qui est différent de moi. La liberté est alors l'évolution dans un équilibre, qu'il soit affective matériel ou psychique. Le tout devant se réaliser dans une continuité formée d'une société donc d'une limitation de cette liberté. Pour exprimer sa propre liberté il est alors nécessaire de comprendre quelle contrainte j'impose comme individu au groupe que forme l'humanité. Il est nécessaire d'ajuster continuellement ses désires en fonction du groupe tout en profitant de ce que le groupe nous permet d'accomplir. Etre libre dans une société ne peut se faire que d'une façon dynamique en fonction des ressources et de la production et des valeurs du groupe. Lorsque ceux qui ont l'énergie et le temps de penser, reconnait un déséquilibre fort comme l'est le capitalisme il est alors de son devoir de faire évoluer ce déséquilibre vers l'équilibre, il est temps de changer.
le mot liberté est tellement sali par les masses ,qui en font n'importe quoi, qu'il faut quand même le laver et lui redonner sa dignité et son sens systémique - - > donc du point de vue de l'initiation dont je me réclame ( notamment la théorie des humanités yang et yin de mon enseignement) , la liberté , c'est pouvoir faire son devoir , donc ramener l'ordre naturel des choses , au sens de la tradition primordiale et d'auteurs comme Evola, sans en être empêché par l'énergie sociale, la stupidité des masses pain jeux irrationnelles . -- > donc pouvoir ramener l'ordre systémique des choses sans en être empêché par la stupidité de l'humanité YIN . relire cette phrase jusqu'à compréhension
du reste, je démontre dans mon enseignement que les mots" liberté Egalite fraternité " répétés par les perroquets pain jeux qui dansent au 14 juillet, sans savoir ce qu'ils signifient selon la lecture des initiés , sont d'une part ,des mots liés à l'humanité yang pour ses buts séculaires et d'autre part ,le fonctionnement de tout système dans l'univers donc actif, passif et neutralité. - - - > je vais pas faire un pavé ici pour expliquer car j'ai pas la place mais retenez ces associations : "liberté activité thèse yang capitalisme " puis "égalité passivité antithèse yin communisme " puis enfin , troisième temps rythmique , systémique du slogan : " fraternité neutralité synthèse nouvel ordre mondial. - -> ce slogan est simplement le PROGRAMME séculaire de gestion du troupeau pain jeux , l'énergie sociale inconsciente, par une parti de l'humanité yang pour ses buts également séculaires ( depuis 250 ans) selon les lois de l'univers ( actif passif neutralité de tout système ) . - - > j'explique tout cela en profondeur (cause buts et conséquences ) dans mon enseignement, notamment les rapports avec l'alchimie.
La liberté est la faculté de se mouvoir dans le bien: "La liberté par cela même qu'elle est un élément de perfection pour l'homme doit se mouvoir dans la sphère de la liberté et du bien" (Léon XIII, Immortale Dei). Toute autre définition, surtout celle des frères la truelle, est totalement à rejeter, même pour les adeptes de groslaid avec sa devise "fais ce que voudras sera le tout de la loi", avis aux gros nases d'antifas, de wokistes et autres rouges complètement encrassés du cerveau
PS : C'EST fou la poetesse russe son histoire...on se rends pas compte des lents glissements vers l'abetissement pour binariser les pensées... kk chose en marche...?? #pas ToucheMon Cerveau ..!!!😊
Dieu, que c'est brillant et nourrissant pour l'esprit ! Merci pour ce beau travail Antoine, et bonne suite à l'Iliade !
Excellent, exigeant, excitant
Un peu de lumière, dans toute cette obscurité...Toujours bon à prendre. Merci pour ce travail.
C’est parfois difficile à suivre mais c’est toujours très enrichissant. Avec Antoine Dresse on apprend à réfléchir et cela fait un bien fou.
Merci!
Merci Antoine, nous attendons tous ton œuvre - a toi. Tu es bien trop brillant pour YT.
très beau travail, merci beaucoup !
J'adore ta chaîne et toutes ses découvertes philo qu'on ne trouve pas dans les écoles ni dans les bibliothèques.
Magnifique !!! Le travail pédagogique de cette vidéo est remarquable, extraordinairement clair !
Quelle belle découverte, je me reconnais bcp dans cette pensée. Un très grand merci, il y aurait tant à dire... et j'écris ce commentaire en conduisant, brûlant d'enthousiasme !
J'ai toujours autant de plaisir à écouter vos vidéos avec attention.
Signé : un Hérisson qui aspire depuis longtemps à être plus Renard. 😉
Excellent contenu, comme d'habitude. Merci pour votre travail, Antoine.
Merci à toi Antoine pour ce nouvel eclairage.
Merci de nous faire découvrir un autre auteur passionnant.
Par ailleurs, j'ai beaucoup aimé lire "les années décisives" de Spengler dont vous avez parlé dans une précédente vidéo. Je me suis retrouvé dans une grande partie de sa thèse.
Merci de nous faire partager vos connaissances de manière si claire.bravo !👏
Inspirant à la réflexion sur ce vaste sujet qu'est le concept de la liberté duquel est historiquement semble-t-il toujours corrélé la politique. Belle découverte merci beaucoup !
Merci beaucoup pour cette vidéo !
C'est une belle découverte, très stimulante.
Encore un excellent épisode. Compliments ! Cela change des délires sociétaux de France Culture.
PS: Merci pour le référence à Hadot.
France Culture, oh mon Dieu !!! J'ai beaucoup écouté dans les années 90. Depuis, c'est pire que du France Inter, c'est dire !!
Merci Antoine 🙏🏻
Bravo
Superbe vidéo. Berlin me fait toujours penser à ce passage chez Nietzsche : Libre de quoi ? Qu'importe cela à Zarathoustra ! Mais ton œil clair doit m'annoncer : libre pour quoi ? Peux-tu te donner à toi-même ton bien et ton mal et suspendre ta volonté au-dessus de toi comme une loi ?
"Il est terrible d'être seul avec le juge et le vengeur de sa propre loi."
Excellente vidéo ! Après je pense que pour un établir un pluralisme harmonieux, l'utilisation de la liberté positive validé, dans le respect de la liberté négative d'autrui me semble nécessaire sans violer cette dernière. L'exercice d'une certaine égalité ne peut se faire donc depuis un espace libre et cela est possible a travers justement ce qui fait de nous des humains. Les êtres humains sont fondamentalement sociaux et laisse peu dans l'entourage proche ou dans le clans les personnes dans la misère la plus basique. En somme je ne m'inquiète pas en France en tout cas de l'analphabétisme des plus pauvres dans le respect le plus absolu de la liberté négative. Mais peut être suis je naïf.
Bonjour je vous remercie pour votre travail.
Je m'étonne cela dit de ne pas vous avoir entendu faire un rapprochement entre pluralisme et Heraclite, avec la tension des opposés, cette vision tragique qui n'impose aucune chose sur une autre, mais que existe par la tension entre différentes forces.
Merci Prenez soin de vous
Totalement favorable à la "liberté négative", pour ma part.
J'ai l'impression que de plus en plus, vous vous concentrez sur des auteurs moins "à droite". Comme ils sont passionnants, ce n'est pas un mal, bien au contraire. Et cette vidéo sur Isaiah Berlin est une très bonne nouvelle, merci beaucoup !
Je vous remercie pour ce commentaire, je suis heureux que vous ayez apprécié cette vidéo !
Ce dont parle Berlin fait beaucoup penser à ce que disait Alain de Benoist dans "comment peut on être païen?". Le retour de la pensée du multiple sur la pensée moniste issue du christianisme.
Évidemment, tout ceci, une fois satisfaits les besoins vitaux de base.
Maslow😂
Sans doute un détail de la vidéo, mais ça m'a rappelé ta critique sur les anarcho-capitalistes de la FAQ 3 qui était assez expéditive (et pour cause, c'est pas en une minute que ça se démonte), mais la pensé de Berlin permet en partie d'en voir les limites. Et ce à travers le monisme systémique du droit naturel, qui ne tient que dans le cas où les individus sont non violents, ce qui implique de vivre dans une communauté un minimum unie, et donc permettre à ce droit de s'appliquer pleinement
C'est juste. Curtis Yarvin propose justement une critique du libertarianisme allant dans ce sens dans "De Mises à Carlyle" et "Pourquoi je ne suis pas libertarien". Le collectif Rage culture en propose une traduction française sur leur tipee. On peut trouver ces essais dans le Tome 04 de "Unqualified Reservations".
@@onclesam1463 Ouais, merci, je connais un peu, c'est pas le fait qu'il y ait besoin d'un cadre qui structure la possible liberté, qui est actuellement réduite par la cathédrale ?
43:13 Incroyable, il a prévu Sonic et Tails
Chez nous, la solution a été trouvé il y a longtemps : il s'agissait simplement de distinguer l'acte de représenter le monde et celui de représenter l'action, le spirituel et le temporel.
La fonction spirituelle consiste à rendre compte de la réalité, elle donne un cadre où tout se produit. Elle le fait pour situer ce qui est bon (l'ethos) pour soi (le soi authentique, collectif, l'ethnos, de même racine), afin de diriger les volontés autrement dispersées vers un but unique.
La fonction temporelle consiste à rendre compte de ce qu'il faut faire, de la bonne décision à prendre compte tenu des péripéties et du contexte. Elle repose sur une autre manière d'appréhender les choses que la fonction spirituelle, mais comme complémentaire, pas comme antagoniste : à l'intérieur du paradigme dessiné par les agents de la fonction spirituelle, ceux de la fonction temporelle utilisent leurs connaissances des choses particulières pour représenter l'action efficace et la mettre en oeuvre.
La troisième fonction, enfin, est celle de ceux qui font.
Le relativisme libéral, économiciste, est une tentative d'unification des trois fonctions : il s'agirait d'un paradigme où la liberté de faire organiserait spontanément des actions efficaces, sans nécessité de connaître le but à atteindre ni l'ordre des choses.
Il en résulte une ignorance volontaire de ce qui est le plus essentiel : la reproduction de groupe, la conformation des personnes au nécessaire de cette reproduction (l'effort, la bonne foi, la bienveillance, la défense du territoire, ...). Et cette ignorance, rendue obligatoire, faite éthique à elle toute seule, ne devient pas par hasard le règne d'un arbitraire réactionnaire et féroce, presque califal.
Video particulièrement éclairante, merci! Il est curieux qu'Isaiah Berlin reste assez peu connu.
Je serais plutôt renard, même si je cherche ma vision totalisatrice.
Merci de cet éclairage.
Je viens de quitter Frédéric Lenoir chez Stéphane Bureau, Contact, dans vidéos les plus anciennes lenoir #1, du Québec.. sur le sujet.
Très jolie musique dintro.
Soif de libertés.
Mon cher Antoine : excellent exposé, comme à l'accoutumée. La référence à Machiavel est on ne peut plus éclairante : chaque sphère de l'existence humaine a ses propres règles qui sont incompatibles avec celles des autres sphères - ainsi, par exemple, les règles de la morale et celles du politique. Lorsqu'il me faut expliquer ce genre de différence à quelqu'un, l'exemple que j'emploie est le suivant : cela a-t-il un sens de dire que les triangles rectangles sont sucrés ? Non, parce que les règles de la géométrie et celles de la cuisine n'ont rien à voir les unes avec les autres. Et si cela ne choque pas dans ce cas précis, pourquoi cela choquerait-il dans la dichotomie morale/politique ? Uniquement parce qu'un individu est à l'origine de l'action dans les deux cas de figure ? Mais l'action morale et l'action politique n'ont rien à voir l'une avec l'autre : veiller à agir selon le principe du bien d'une part, et selon le principe de la paix et de la guerre, de la puissance et de la faiblesse d'autre part (pour reprendre la distinction opérée par Raymond Aron), voilà qui est strictement différent, et l'organisation de la cité n'a que faire de principes moraux. Ainsi, il a été nécessaire de brider la liberté pendant la crise sanitaire. Comportement immoral ? C'est incontestable. Nécessité politique ? Incontestable également si l'on part du principe que le Covid était un virus mortel qui mettait en danger la survie de la communauté. La politique est ainsi amorale (et non pas immorale), c'est-à-dire qu'elle n'a rien à voir avec la morale, au sens exact où un séisme est amoral. L'incompatibilité entre les sphères de l'existence humaine est déchirante mais cette déchirure est l'essence même de ladite existence et la caractéristique du sage, sans doute, consiste-t-elle à savoir naviguer dans une sphère propre et d'une sphère à l'autre, à chaque fois avec une boussole différente, en admettant le désespoir qu'il n'y ait pas de boussole supérieure. Peut-être le sage est-il ainsi plus un renard qu'un hérisson - et c'est un hérisson qui vous dit cela, mon cher Antoine...
Un video sur Leo Strauss svp Antoine! Jdr tes videos, merci infiniment
Hâte de t'écouter à nouveau ! Je serais curieux que tu présentes la philosophie d'une femme un jour (si tant est qu'une telle chose puisse exister, j'aurais quand même tendance à répondre par l'affirmative.)
⚜️⚜️⚜️
Si tant est qu'une chose...
@@philippepons8924je savais que je faisais une faute 😂
Simone Weil peut-être
La tradition indo-européenne a toujours porté une vision moniste. C'est sur la base d'un Ciel-tout que le tableau du cycle cosmique est constitué, c'est par rapport à son caractère intangible que le reste se meut, et c'est ainsi qu'il y a le bien contingent qu'il faut conquérir, situé dans ce qui se meut (le vrai, le beau, le bon) et le nécessaire réalisé par l'Être qui persévère nécessairement (la "réalité").
L'idée même de sagesse, celle qui consiste à percevoir la réalité en son for intérieur, n'existe que chez nous. Partout ailleurs, la "sagesse" se réduit au savoir de ce qu'il faut faire pour obtenir les honneurs. Je n'exagère pas !
Si chez nous existe la possibilité d'une relation personnelle au monde, c'est parce qu'il existe une distinction essentielle et basale : il y a une totalité qui demeure toujours égale à elle-même, éternelle, sans forme, sans contexte, l'Absolu, l'Être, et il y a les existences situées, périssables, nécessairement changeantes et limitées ; celles-ci étant parties du Tout, elle sont à son contact, en lui, elles ont accès à la réalité par leurs propres moyens, directement, car leur expérience située est une expérience vécue à l'intérieur du Tout, une expérience qui dit nécessairement quelque chose du Tout.
Chaque fois qu'on a adopté un autre point de vue c'était sur une base étrangère : par l'orphisme et autres pythagorismes, pleins d'orientalismes, dont le platonisme et les gnosticismes font parties ; par les religions sémitiques, même si le christianisme est finalement assez peu sémitique ; de manière plus originale, par le contre-pied anglais, empiriste, libéral, "pragmatique", opposé à la culture continentale, française, moniste, intolérante, dogmatique.
On peut reprocher aux cultures indo-européennes leur intolérance, leur caractère implacable, leur goût pour le sacrifice de soi, leur fascination pour l'Absolu, leur fanatisme, mais dès que l'on sort de ce paradigme, c'est pour celui du conservatisme arbitraire et forcené des sémites, ou pour celui des chinois, et de toutes les autres humanités.
Il n'y a que nous, par la conscience que nous avons de ce que nous vivons en relation intime avec l'Être, qui avons pu échapper à l'arbitraire. Et nous ne pouvons que chuter à nouveau dans celui-ci si nous adoptons d'autres vues. Nous avons à sortir du relativisme anglais pour retrouver le goût du dogmatisme, tel celui des scolastes médiévaux, dans l'objectif, comme Machiavel, de renouveler la vue et le discours pour rendre l'action efficace.
Commentaire intéressant et érudit. J'imagine que vous êtes Chrétien.
Quelles sont les critiques que vous faites à la philosophie Chinoise qui est complexe, multiforme et souvent mal comprise. Comme elle repose sur 3 "bases", Confucianisme, Taoïsme, Bouddhisme, elle n'est pas forcement conservatrice comme vous semblez le lui reprocher. Le "sage" taôiste peut être une figure de la liberté et du rejet de la société, un peu comme un Diogène.
@@CVB-23 Je suis athée ;)
Le bouddhisme est une religion indo-européenne, elle a introduit en Extrême-Orient les éléments familiers qu'on y trouve aujourd'hui. La méditation comme relation personnelle à l'Absolu en est un exemple.
Mais le fond culturel chinois, et alentours, est complètement étranger à ça.
Leur fond propre appelle à l'imitation servile, à l'obéissance aveugle, à l'arbitraire du pouvoir. C'est ce que j'entends par "conservatisme arbitraire".
Tout ce qui les détourne de cette pratique vient de nous, que ce soit le communisme à la sauce chinoise ou la démocratie libérale à la sauce japonaise, le bouddhisme, etc.
@@baptistegilbert6421 J’apprécie cette discussion, c'est si rare sur YT.
Ce "conservatisme arbitraire" est, je pense, le coté Confucianiste, qui est d'ailleurs très bien intégré par le pouvoir chinois de ces dernières décennies.
Mais le Taoïsme par exemple, qui est foisonnant, est à l'opposé : il prône la liberté individuelle absolue sans souci de l’État.
@@CVB-23 Il est foisonnant parce qu'il est hétérogène, parce qu'il n'est pas une seule chose. C'est un fourre-tout, il n'a pas de sens pris dans son ensemble.
Ce serait plutôt comme un recueil de nos présocratiques, contradictoire, parcellaire, plein de figures plus mythiques qu'historiques (Homère, Thalès, etc).
Il témoigne seulement du fond culturel qui a précédé l'hégémonie culturelle des aristocraties postérieures.
Or ce qu'on doit constater, c'est que le fruit de ce fond est très différent de ce qui s'est fait chez nous, notamment parce qu'il n'était pas moniste et qu'à cause de cela il laissait prospérer l'arbitraire.
Il n'y a que chez nous que l'arbitraire fut encadré par un paradigme auquel même les aristocraties, surtout elles, obéissaient : l'unité des existences prend la forme d'une réalité implacable à laquelle il faut s'adapter, qui rend coupable tout ce qui s'écarte du vraisemblable, du cohérent et de l'efficace.
Partout ailleurs que chez les monistes, l'arbitraire a régné seul.
Partout ailleurs, ce que nous appelons la vérité n'existe pas, il n'y a pas de relation personnelle au monde à travers elle, par le sentiment qu'on en a, par ce qu'on peut en dire, par ce qu'on peut en faire.
Tout ça nous est propre.
@@baptistegilbert6421 L'Islam étant un monisme, il est donc, selon vous, pas arbitraire.
Vous êtes magnifique pour ces propositions. Je réécoute d'abord. Et je cherchais justement des pensées sur la cohabitation des libertés. Donc 1ère ecoute, pose des éléments, des concepts. 2ème écoute compréhension de leurs liens.
Le dernier texte à la fin qui se réfère à l'enfance et notre quête au travers d'absolu, magnifique... c'est....? Qui a cité votre chaine ? Un philosophe sûrement.. merci à lui. Vous avez du être reçu kk part ?
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Monothéisme vs Polythéisme ❤
La liberté dans un monde inhumain on a la liberté de voter de consommer de partir en vacances de travailler etc.. mais pas de vivre sans revenus ni être anti argent anti état. Dans un monde où l’économie n’existe pas les êtres humains sont eux-mêmes vivent leur vie et ne savent pas ce qu’est la liberté
Soyons libres de relever la tête quand tous les autres la tienne basse Ego Non 😉
Est-il possible d'être pluraliste sans tomber peu de temps après dans le relativisme ?
Le capitalisme est un monisme mondiale qui fonde la liberté comme étant la capacité à consommer et qui impose à l'humanité l'asservissement à la productivité, faisant perdre la liberté de consommer à la plus grande majorité des individues du monde. Nous devons produire toujours plus pour satisfaire la liberté économique d'un petit groupe.
Le temps rythme nos vies en faisant de la majorité des hommes des producteurs, il n'est dés lors pas possible à un individu d'exprimer son unicité car produire c'est construire la vision d'une autre personne. Le capitalisme empêche alors l'humain d'exprimer ses valeurs dans son travail pour permettre à un petit groupe de s'exprimer pleinement par les productions d'autres travailleurs. La majorité des travailleurs du monde entier n'a dés lors que peu de temps personnel à accorder à ses idées, il perd ainsi le sens du monde car l'homme, avant d'être social, est une conscience et la conscience à pour but de produire des idées.
La grande majorité du monde à perdu un sens à l'existence en se contentant de produire et si possible de consommer. Le but de la philosophie devrait être de changer de société et donc de ne plus utiliser la méthode capitaliste. La liberté de l'ensemble du monde est en périle, nous devons trouver un méthode pour que chacun puisse s'exprimer par son travail et dans sa vie affective, la liberté devenant la réalisation de sa conscience.
La conscience recherche l'équilibre tout en étant le produit d'un déséquilibre biologique et psychologique. J'aime ce qui me fascine et ce qui me fascine n'est pas ce que je suis, j'aime alors ce qui me fait évoluer et qui est différent de moi. La liberté est alors l'évolution dans un équilibre, qu'il soit affective matériel ou psychique. Le tout devant se réaliser dans une continuité formée d'une société donc d'une limitation de cette liberté. Pour exprimer sa propre liberté il est alors nécessaire de comprendre quelle contrainte j'impose comme individu au groupe que forme l'humanité. Il est nécessaire d'ajuster continuellement ses désires en fonction du groupe tout en profitant de ce que le groupe nous permet d'accomplir. Etre libre dans une société ne peut se faire que d'une façon dynamique en fonction des ressources et de la production et des valeurs du groupe.
Lorsque ceux qui ont l'énergie et le temps de penser, reconnait un déséquilibre fort comme l'est le capitalisme il est alors de son devoir de faire évoluer ce déséquilibre vers l'équilibre, il est temps de changer.
le mot liberté est tellement sali par les masses ,qui en font n'importe quoi, qu'il faut quand même le laver et lui redonner sa dignité et son sens systémique - - > donc du point de vue de l'initiation dont je me réclame ( notamment la théorie des humanités yang et yin de mon enseignement) , la liberté , c'est pouvoir faire son devoir , donc ramener l'ordre naturel des choses , au sens de la tradition primordiale et d'auteurs comme Evola, sans en être empêché par l'énergie sociale, la stupidité des masses pain jeux irrationnelles . -- > donc pouvoir ramener l'ordre systémique des choses sans en être empêché par la stupidité de l'humanité YIN . relire cette phrase jusqu'à compréhension
du reste, je démontre dans mon enseignement que les mots" liberté Egalite fraternité " répétés par les perroquets pain jeux qui dansent au 14 juillet, sans savoir ce qu'ils signifient selon la lecture des initiés , sont d'une part ,des mots liés à l'humanité yang pour ses buts séculaires et d'autre part ,le fonctionnement de tout système dans l'univers donc actif, passif et neutralité. -
- - > je vais pas faire un pavé ici pour expliquer car j'ai pas la place mais retenez ces associations : "liberté activité thèse yang capitalisme " puis "égalité passivité antithèse yin communisme " puis enfin , troisième temps rythmique , systémique du slogan : " fraternité neutralité synthèse nouvel ordre mondial. - -> ce slogan est simplement le PROGRAMME séculaire de gestion du troupeau pain jeux , l'énergie sociale inconsciente, par une parti de l'humanité yang pour ses buts également séculaires ( depuis 250 ans) selon les lois de l'univers ( actif passif neutralité de tout système ) .
- - > j'explique tout cela en profondeur (cause buts et conséquences ) dans mon enseignement, notamment les rapports avec l'alchimie.
La liberté est la faculté de se mouvoir dans le bien: "La liberté par cela même qu'elle est un élément de perfection pour l'homme doit se mouvoir dans la sphère de la liberté et du bien" (Léon XIII, Immortale Dei).
Toute autre définition, surtout celle des frères la truelle, est totalement à rejeter, même pour les adeptes de groslaid avec sa devise "fais ce que voudras sera le tout de la loi", avis aux gros nases d'antifas, de wokistes et autres rouges complètement encrassés du cerveau
Les frères la truelles 😂❤
On va tous mourir à Isaiah Berlin
PS : C'EST fou la poetesse russe son histoire...on se rends pas compte des lents glissements vers l'abetissement pour binariser les pensées... kk chose en marche...?? #pas ToucheMon Cerveau ..!!!😊