Pour en savoir plus sur une méthode pour réussir ses ultras en étant un sportif amateur, équilibré et en prenant plaisir : www.coachingultra.com et si vous voulez échanger avec moi : calendly.com/antoinecoachingultra/session-strategique
Très bonne analyse. Pour partager ma propre expérience d’amateur « moyen » : j’ai fini la Diag en 2018 et abandonné en 2022 sur l’UTMB à Arnouvaz. Ce que je retire de toutes mes courses à mon niveau: l’importance de la fraîcheur mental au départ d’une course et la gestion du passage des 18-24h de course.
Très intéressant ! 👍 Sur la partie abandon, dans ta réflexion, tu ne parles que de l’aspect mental, tu mets de côté à mon avis l’abandon pour blessure et pb digestif.
Stats intéressantes ! Un abandon est toujours un échec pour un coureur ! Dans le cas d’ un problème de santé grave , il est préférable d’’ anticiper et d’ abandonner ! 1/3 d’ abandons reflète que pour ces Coureurs leurs préparation physique et mentale n n’était pas top ! Tu nous dit que c’ est avant une grande difficulté (le col avant courmayeur ) est fatal ! Il n ´y a pas d’ abandon s’ il n n’ y a pas de difficultés ! C’ est bien le rapport distance à parcourir / dénivelé qui est de sdesicif. Bravo donc aux finishers qui avaient la prépa et les qualités propres à chacun pour aller au bout . Certains tentent l’ aventure dans l ´espoir que tout ira bien , se voiler la face mène souvent a l’ abandon🏃♂️🏃♂️🏃♂️🏃♂️
A mon sens, s'il y a un grand nombre d'abandons entre Courmayeur et Champex, c'est aussi lié aux "bêtises" faites avant, avec pour beaucoup de coureurs un départ trop rapide qu'ils finissent par payer tôt ou tard. Après Courmayeur, on se prend un double coup de bambou, le premier est d'avoir fait 80 km en montagne, le second est d'encaisser une nuit blanche, et si en plus on est parti trop vite, c'est la goute d'eau qui fait déborder le vase ... J'ajoute qu'il est particulièrement facile de partir trop vite sur un UTMB dans la mesure où les 35 premiers kilomètres (jusqu'à notre Dame de la Gorge) sont les plus rapides du parcours. De mon expérience personnelle, il faut partir avec le frein à main, être fort dans sa tête pour accepter de se faire doubler sur les premières heures de courses, et c'est comme cela que l'on sera d'autant plus à l'aise après Courmayeur (aussi bien dans son corps que dans sa tête), et que l'on doublera tous ceux en PLS car partis trop vite ...
Merci pour cette vidéo avec beaucoup de chiffres intéressants. Par contre, il faudrait différencier les vrais abandons par rapport aux coureurs pris par les barrières horaires. Par exemple, à Arnouvaz, j'ai l'impression que beaucoup d'abandons sont dus à la barrière horaire. Ceux qui sont partis à la limite de Courmayeur ont à priori eu du mal à atteindre Arnouvaz en temps et en heure. Il y a donc une grosse partie mentale sur ce genre d'ultra mais il faut tout de même avoir une vitesse de déplacement suffisante pour passer les barrières horaires avec suffisamment de marge pour se reposer et se nourrir à chaque ravitaillement.
Bonne analyse sur le début de la vidéo et donc très intéressant très factuelle Pas compris ensuite l analyse si longue sur les pros j aurai préféré que tu continues l analyse des chiffres sur le parcours amateurs et donc rester factuels
Ceci est une question,merci de ne pas me déglinguer en commentaires: A 5km/h de moyenne sur un ultra , devrait t'on parler de "fast hiking" plutôt que de "trail running" ??
Pour en savoir plus sur une méthode pour réussir ses ultras en étant un sportif amateur, équilibré et en prenant plaisir :
www.coachingultra.com et si vous voulez échanger avec moi : calendly.com/antoinecoachingultra/session-strategique
Un grand merci pour ces recherches et cette analyse qui nous ouvre les yeux sur la réalité d'un amateur 👏👏👏
Très bonne analyse. Pour partager ma propre expérience d’amateur « moyen » : j’ai fini la Diag en 2018 et abandonné en 2022 sur l’UTMB à Arnouvaz. Ce que je retire de toutes mes courses à mon niveau: l’importance de la fraîcheur mental au départ d’une course et la gestion du passage des 18-24h de course.
Très intéressant ! 👍
Sur la partie abandon, dans ta réflexion, tu ne parles que de l’aspect mental, tu mets de côté à mon avis l’abandon pour blessure et pb digestif.
Stats intéressantes ! Un abandon est toujours un échec pour un coureur ! Dans le cas d’ un problème de santé grave , il est préférable d’’ anticiper et d’ abandonner ! 1/3 d’ abandons reflète que pour ces
Coureurs leurs préparation physique et mentale n n’était pas top ! Tu nous dit que c’ est avant une grande difficulté (le col avant courmayeur ) est fatal ! Il n ´y a pas d’ abandon s’ il n n’ y a pas de difficultés ! C’ est bien le rapport distance à parcourir / dénivelé qui est de sdesicif. Bravo donc aux finishers qui avaient la prépa et les qualités propres à chacun pour aller au bout . Certains tentent l’ aventure dans l ´espoir que tout ira bien , se voiler la face mène souvent a l’ abandon🏃♂️🏃♂️🏃♂️🏃♂️
A mon sens, s'il y a un grand nombre d'abandons entre Courmayeur et Champex, c'est aussi lié aux "bêtises" faites avant, avec pour beaucoup de coureurs un départ trop rapide qu'ils finissent par payer tôt ou tard. Après Courmayeur, on se prend un double coup de bambou, le premier est d'avoir fait 80 km en montagne, le second est d'encaisser une nuit blanche, et si en plus on est parti trop vite, c'est la goute d'eau qui fait déborder le vase ... J'ajoute qu'il est particulièrement facile de partir trop vite sur un UTMB dans la mesure où les 35 premiers kilomètres (jusqu'à notre Dame de la Gorge) sont les plus rapides du parcours. De mon expérience personnelle, il faut partir avec le frein à main, être fort dans sa tête pour accepter de se faire doubler sur les premières heures de courses, et c'est comme cela que l'on sera d'autant plus à l'aise après Courmayeur (aussi bien dans son corps que dans sa tête), et que l'on doublera tous ceux en PLS car partis trop vite ...
Merci pour cette vidéo avec beaucoup de chiffres intéressants. Par contre, il faudrait différencier les vrais abandons par rapport aux coureurs pris par les barrières horaires. Par exemple, à Arnouvaz, j'ai l'impression que beaucoup d'abandons sont dus à la barrière horaire. Ceux qui sont partis à la limite de Courmayeur ont à priori eu du mal à atteindre Arnouvaz en temps et en heure. Il y a donc une grosse partie mentale sur ce genre d'ultra mais il faut tout de même avoir une vitesse de déplacement suffisante pour passer les barrières horaires avec suffisamment de marge pour se reposer et se nourrir à chaque ravitaillement.
Exactement, il s’agit d’ avoir une vitesse de course assez élevée sinon il vaut mieux s’ inscrire sur des formats plus courts
Génial cette vidéo 👍
Beau travail, merci👍
Bonne analyse sur le début de la vidéo et donc très intéressant très factuelle
Pas compris ensuite l analyse si longue sur les pros j aurai préféré que tu continues l analyse des chiffres sur le parcours amateurs et donc rester factuels
Pour terminer il ne faut pas abandonner !😂😂👏🏻
Mais c'est sympa cette analyse
Ceci est une question,merci de ne pas me déglinguer en commentaires:
A 5km/h de moyenne sur un ultra , devrait t'on parler de "fast hiking" plutôt que de "trail running" ??