Une amie m'a offert un livre d'Isabelle à la naissance de ma fille... on a suivi ça. "Positif" ça sonnait bien et tout le monde ne jurait que par ça. Le comportement de notre fille (3ans) est devenu ingérable.. elle mordait d'autres enfants nous ne savions plus quoi faire, j'étais désarmé devant ses crises malgré tout "l'amour positif" que nous essayions de mettre dans nos explications patientes... Et puis j'ai cherché autre chose .. le livre de Caroline Goldman (sur le même plateau) m'a permis en quelques semaines un changement radical et de trouver un équilibre en clarifiant des limites. Ma fille a gagné en confiance, s'est épanouie et est aujourd'hui très sociable. 3 ans après.. je n'ai plus jamais besoin d'envoyer ma fille "dans sa chambre". Elle comprend qu'il y a une limite qui est plus un cadre sur lequel elle peut compter qu'une prison. Elle se sent accompagné et explore le monde en confiance J'ai une sensation étrange à voir Isabelle sur ce plateau... Je la désigne responsable de ce temps perdu avec ma fille à suivre cette approche que je trouve aujourd'hui idiote et dangereuse. Son discours sur le plateau est confus, comme quelqu'un qui a vendu n'importe quoi pendant trop d'années et n'arrive plus à retourner sa veste.
Très intéressant merci pour votre retour ! J’ai eu le même parcours livresque mais pendant ma grossesse donc j’ai directement appliqué les conseils de Carole Goldman (qui me semblaient beaucoup plus sensés et pratiques) et je me demandais justement ce que ça aurait donné si j’avais appliqué les conseils de mes lectures précédentes…
Je n'ai pas du tout trouvé ses propos confus. Le changement de comportement de votre enfant peut être lié à tellement d'autres choses, il a grandi, etc. Il est préférable d'éviter les raccourcis.
@@CG-li3gz ben attendez.. je suis la méthode d'isabelle rien ne va et c'est de pire en pire pendant des années, la semaine ou je suis la méthode de Caroline Goldman tout change.. c'est pas ma fille qui a grandi en une semaine quand même. Je pige pas le raccourcit dont vous parlez.
J’adore l’émission des maternelles, et je me suis bcp demandé l’année passée, pourquoi Isabelle Filiozat n’avait pas été autant invitée que Caroline Goldman, lorsqu’il y avait tout se débat.. et j’ai ici un peu l’impression, malheureusement, que l’équipe est bcp plus réticente que face à Goldmann.. Je suis maman de 2 enfants (bientôt 3) et tout ce que j’ai lu sur la parentalite positive ne m’a jamais semblé laxiste.. ça m’a semblé difficile de mette en place, car c’est pas facile tous les jours, ça nécessite bcp de patience de la part des parents, envers les enfants et envers nous-mêmes.. on n’arrive pas a se défaire de notre propre éducation tout le temps.. mais je vois les résultats avec le temps, et je suis bcp plus sereine de suivre ce chemin la, que celui de l’autoritarisme..
J'ai lu "J'ai tout essayé" et je trouve que oui c'est laxiste, pas parce qu'on dit que l'enfant peut tout faire mais parce qu'il n'y a jamais de limites ni de cadre défini qui reconnaisse une autorité dans cette approche. Pour résumer tout est : comprendre l'enfant, expliquer, mettre la faute sur le parent qui ne prend jamais la bonne perspective sur un problème et, puisque ça ne fonctionne pas, est invité à plus d'achat de livre et visionnage de vidéos étayés par de la psychologie de comptoir.
Cette éducation positive nous demande d'agir sans nous écouter nous-même en tant que parent et d'agir d'une manière pas naturelle et qui ne correspond pas non plus à la réalité de la société. Cette éducation réfute le fait que le mal existe aussi et il est en chaque être humain, réagir positivement quand un enfant agit mal lui envoie un mauvais message et renforce son comportement. Je trouve cette approche culpabilisante pour les parents car contre nature et surtout difficile pour les enfants, comment s'y retrouver ? Les enfants ont besoin de limite et cela les structure.
Pour le coup, je suis parfaitement d'accord avec la conclusion de cette vidéo (Aaah). Mais on voit encore la faille chez I. Filliozat avec l'exemple du four... Non, on a pas tous des fours hors d'atteinte, froids au toucher et pas les moyens de "mettre aux normes" l'entièreté de notre maison. Je regrette aussi la façon dont ce type d'éducation a été Instagramisé... Ce qui a totalement corrompu la base de l'éducation positive avec des gourous/influenceurs qui ont cru comprendre quelque chose et en ont fait la nouvelle bible de l'éducation. Bref. Moi j'ai trouvé ma voie dans "Chasseurs, cueilleurs, parents" qui revenaient sur une éducation plus "naturelle" que l'éducation positive où on doit se baser sur des moyens artificiels (comme le four inaccessible ou froid au toucher) pour éduquer sereinement. Malheureusement, une fois à l'école, les enfants sont de toute façon face à de l'autoritarisme et ont leurs réactions personnelles face à ça et ce n'est jamais une bonne réaction (phobie, anxiété, opposition, frustration, colère, mensonges, etc.). À l'école, seul l'interdit est mentionné, jamais l'alternative, créant des frustrations des deux côtés avec un fort sentiment de nostalgie du côté enseignant où "c'était quand même mieux avant quand on mettait un coup de règle sur les doigts et ça les séchait". Pour être allée une paire de fois en maternelle, j'avoue que l'autorité naturelle existe, les enfants ne sont pas dupes et savent qui a le plus d'aplomb, qui est le plus sécurisant et suivent naturellement sans avoir à utiliser 10000 explications.
Ce que veut dire Isabelle avec l'exemple du four c'est que l'enfant n'a pas à prendre la part de la responsabilité du parent. La sécurité du four incombe au parent. C'est tout. Appliquer l'éducation positive c'est ne pas prononcer d'interdit (ex: ne touche pas le four !) mais plutôt expliquer, avec amour et bienveillance, à hauteur de l'enfant, pourquoi il ne faut pas s'en approcher. L'intention n'est pas la même. Cela marche très bien. En fait, je ne vois pas en quoi avoir un four chaud quand il fonctionne dispense d'utiliser les préceptes d'une éducation positive .... Par contre si l'enfant se fait mal ça ne sert à rien de lui hurler dessus. C'est de la faute du parent. S'assurer de la sécurité de son petit enfant c'est quand même la base.
@@CG-li3gz Merci de me faire la morale et de confirmer ce que je dis 🤷🏻♀️ Je signale tout de même que le commentaire ici a été "Oui enfin avec les fours d'aujourd'hui...", ce qui laisse supposer qu'il faut vivre dans certaines conditions pour ne pas passer son temps aux fesses de ses enfants pour les empêcher de se blesser grièvement. Avez-vous lu "Chasseurs cueilleurs parents"? C'est I. Filliozat qui en fait la préface... Oui ? Pourquoi avez-vous commenté alors ? Non ? Pourquoi avez-vous commenté alors ?
J'aimerai lire ce livre car effectivement je suis sceptique sur la parentalité positive... encore une fois, sur une question simple on se retrouve avec une reponse floue
une autre version pourrait être : Je suis sceptique sur la parentalité positive, je n'ai pas de temps à perdre avec ce livre" "sur une question simple on se retrouve avec une reponse floue" tout à fait d'accord... le plateau à réussit, sans pousser trop de questions, à montrer que Filliozat et l'éducation positive sont confuses, brouillonnes... Tout ce dont je n'ai pas besoin pour mes enfants.
L'autoritarisme est présent en milieu scolaire, au travail ... Comme parent c'est enseigner à l'enfant l'envers de la réalité. Un juste milieu est requis... mon humble avis
Isabelle Filliozat fait de son cas une généralité. Je ne sais pas vraiment ce qu'elle a vécu enfant, mais elle semble faire de son expérience une vérité. Avec elle, on a l'impression que tout est violence : dire non c'est violent, mettre des interdits c'est violent... Adieu nuances, aléas et contraintes qui n'existent pas dans son discours, Adieu la responsabilité sociale et politique, tout est de la faute des parents, qui ne peuvent plus s'en prendre qu'à aux-mêmes. Mme Filliozat : avant de demander aux parents de s'occuper d'eux-mêmes, occupez-vous de vous-même, et lâchez nous la grappe.
Complètement d'accord avec ce discours d'I. Filliozat, par contre pour reprendre l'exemple, mon four est accessible et fermé la porte est chaude. Le four n'est pas une issue chez nous. Ça se situe sur d'autres sujets.
Une amie m'a offert un livre d'Isabelle à la naissance de ma fille... on a suivi ça. "Positif" ça sonnait bien et tout le monde ne jurait que par ça. Le comportement de notre fille (3ans) est devenu ingérable.. elle mordait d'autres enfants nous ne savions plus quoi faire, j'étais désarmé devant ses crises malgré tout "l'amour positif" que nous essayions de mettre dans nos explications patientes... Et puis j'ai cherché autre chose .. le livre de Caroline Goldman (sur le même plateau) m'a permis en quelques semaines un changement radical et de trouver un équilibre en clarifiant des limites. Ma fille a gagné en confiance, s'est épanouie et est aujourd'hui très sociable.
3 ans après.. je n'ai plus jamais besoin d'envoyer ma fille "dans sa chambre". Elle comprend qu'il y a une limite qui est plus un cadre sur lequel elle peut compter qu'une prison. Elle se sent accompagné et explore le monde en confiance
J'ai une sensation étrange à voir Isabelle sur ce plateau... Je la désigne responsable de ce temps perdu avec ma fille à suivre cette approche que je trouve aujourd'hui idiote et dangereuse. Son discours sur le plateau est confus, comme quelqu'un qui a vendu n'importe quoi pendant trop d'années et n'arrive plus à retourner sa veste.
Très intéressant merci pour votre retour ! J’ai eu le même parcours livresque mais pendant ma grossesse donc j’ai directement appliqué les conseils de Carole Goldman (qui me semblaient beaucoup plus sensés et pratiques) et je me demandais justement ce que ça aurait donné si j’avais appliqué les conseils de mes lectures précédentes…
Bonjour, avez-vous lu le livre « une enfance en nOrd » de marion Cuerq?
Bravo, tout à fait d’accord!
Je n'ai pas du tout trouvé ses propos confus. Le changement de comportement de votre enfant peut être lié à tellement d'autres choses, il a grandi, etc. Il est préférable d'éviter les raccourcis.
@@CG-li3gz ben attendez.. je suis la méthode d'isabelle rien ne va et c'est de pire en pire pendant des années, la semaine ou je suis la méthode de Caroline Goldman tout change.. c'est pas ma fille qui a grandi en une semaine quand même. Je pige pas le raccourcit dont vous parlez.
J’adore l’émission des maternelles, et je me suis bcp demandé l’année passée, pourquoi Isabelle Filiozat n’avait pas été autant invitée que Caroline Goldman, lorsqu’il y avait tout se débat.. et j’ai ici un peu l’impression, malheureusement, que l’équipe est bcp plus réticente que face à Goldmann..
Je suis maman de 2 enfants (bientôt 3) et tout ce que j’ai lu sur la parentalite positive ne m’a jamais semblé laxiste.. ça m’a semblé difficile de mette en place, car c’est pas facile tous les jours, ça nécessite bcp de patience de la part des parents, envers les enfants et envers nous-mêmes.. on n’arrive pas a se défaire de notre propre éducation tout le temps.. mais je vois les résultats avec le temps, et je suis bcp plus sereine de suivre ce chemin la, que celui de l’autoritarisme..
J'ai lu "J'ai tout essayé" et je trouve que oui c'est laxiste, pas parce qu'on dit que l'enfant peut tout faire mais parce qu'il n'y a jamais de limites ni de cadre défini qui reconnaisse une autorité dans cette approche. Pour résumer tout est : comprendre l'enfant, expliquer, mettre la faute sur le parent qui ne prend jamais la bonne perspective sur un problème et, puisque ça ne fonctionne pas, est invité à plus d'achat de livre et visionnage de vidéos étayés par de la psychologie de comptoir.
Cette éducation positive nous demande d'agir sans nous écouter nous-même en tant que parent et d'agir d'une manière pas naturelle et qui ne correspond pas non plus à la réalité de la société. Cette éducation réfute le fait que le mal existe aussi et il est en chaque être humain, réagir positivement quand un enfant agit mal lui envoie un mauvais message et renforce son comportement. Je trouve cette approche culpabilisante pour les parents car contre nature et surtout difficile pour les enfants, comment s'y retrouver ? Les enfants ont besoin de limite et cela les structure.
Pour le coup, je suis parfaitement d'accord avec la conclusion de cette vidéo (Aaah). Mais on voit encore la faille chez I. Filliozat avec l'exemple du four... Non, on a pas tous des fours hors d'atteinte, froids au toucher et pas les moyens de "mettre aux normes" l'entièreté de notre maison.
Je regrette aussi la façon dont ce type d'éducation a été Instagramisé... Ce qui a totalement corrompu la base de l'éducation positive avec des gourous/influenceurs qui ont cru comprendre quelque chose et en ont fait la nouvelle bible de l'éducation.
Bref.
Moi j'ai trouvé ma voie dans "Chasseurs, cueilleurs, parents" qui revenaient sur une éducation plus "naturelle" que l'éducation positive où on doit se baser sur des moyens artificiels (comme le four inaccessible ou froid au toucher) pour éduquer sereinement. Malheureusement, une fois à l'école, les enfants sont de toute façon face à de l'autoritarisme et ont leurs réactions personnelles face à ça et ce n'est jamais une bonne réaction (phobie, anxiété, opposition, frustration, colère, mensonges, etc.). À l'école, seul l'interdit est mentionné, jamais l'alternative, créant des frustrations des deux côtés avec un fort sentiment de nostalgie du côté enseignant où "c'était quand même mieux avant quand on mettait un coup de règle sur les doigts et ça les séchait". Pour être allée une paire de fois en maternelle, j'avoue que l'autorité naturelle existe, les enfants ne sont pas dupes et savent qui a le plus d'aplomb, qui est le plus sécurisant et suivent naturellement sans avoir à utiliser 10000 explications.
Ce que veut dire Isabelle avec l'exemple du four c'est que l'enfant n'a pas à prendre la part de la responsabilité du parent. La sécurité du four incombe au parent. C'est tout. Appliquer l'éducation positive c'est ne pas prononcer d'interdit (ex: ne touche pas le four !) mais plutôt expliquer, avec amour et bienveillance, à hauteur de l'enfant, pourquoi il ne faut pas s'en approcher. L'intention n'est pas la même. Cela marche très bien. En fait, je ne vois pas en quoi avoir un four chaud quand il fonctionne dispense d'utiliser les préceptes d'une éducation positive .... Par contre si l'enfant se fait mal ça ne sert à rien de lui hurler dessus. C'est de la faute du parent. S'assurer de la sécurité de son petit enfant c'est quand même la base.
@@CG-li3gz Merci de me faire la morale et de confirmer ce que je dis 🤷🏻♀️ Je signale tout de même que le commentaire ici a été "Oui enfin avec les fours d'aujourd'hui...", ce qui laisse supposer qu'il faut vivre dans certaines conditions pour ne pas passer son temps aux fesses de ses enfants pour les empêcher de se blesser grièvement.
Avez-vous lu "Chasseurs cueilleurs parents"? C'est I. Filliozat qui en fait la préface...
Oui ? Pourquoi avez-vous commenté alors ?
Non ? Pourquoi avez-vous commenté alors ?
J'aimerai lire ce livre car effectivement je suis sceptique sur la parentalité positive... encore une fois, sur une question simple on se retrouve avec une reponse floue
une autre version pourrait être : Je suis sceptique sur la parentalité positive, je n'ai pas de temps à perdre avec ce livre"
"sur une question simple on se retrouve avec une reponse floue" tout à fait d'accord... le plateau à réussit, sans pousser trop de questions, à montrer que Filliozat et l'éducation positive sont confuses, brouillonnes... Tout ce dont je n'ai pas besoin pour mes enfants.
@@logiqueraison5631 C'est votre opinion.
@@CG-li3gz ben oui. C'est un peu le principe des commentaires hein, les gens donnent leur opinions.
L'autoritarisme est présent en milieu scolaire, au travail ... Comme parent c'est enseigner à l'enfant l'envers de la réalité.
Un juste milieu est requis... mon humble avis
Isabelle Filliozat fait de son cas une généralité. Je ne sais pas vraiment ce qu'elle a vécu enfant, mais elle semble faire de son expérience une vérité. Avec elle, on a l'impression que tout est violence : dire non c'est violent, mettre des interdits c'est violent... Adieu nuances, aléas et contraintes qui n'existent pas dans son discours, Adieu la responsabilité sociale et politique, tout est de la faute des parents, qui ne peuvent plus s'en prendre qu'à aux-mêmes. Mme Filliozat : avant de demander aux parents de s'occuper d'eux-mêmes, occupez-vous de vous-même, et lâchez nous la grappe.
Une petite fessée et au lit c est cliché mais ça marche😂😂
Complètement d'accord avec ce discours d'I. Filliozat, par contre pour reprendre l'exemple, mon four est accessible et fermé la porte est chaude. Le four n'est pas une issue chez nous. Ça se situe sur d'autres sujets.
quel "discours" ? Tout ce qu'elle dit est brouillon et confus.
Pas du tout d'accord avec elle, on apprend à un enfant à avoir peur des adultes, où va t elle chercher ça !?