Que d'histoires ! Il suffit que l'homme mette une capote anglaise et c'est fait, le rapport est stérile. L' enfilage peut même faire l'objet de jeux érotiques entre l'homme et la femme. (Je laisse votre imagination s'exprimer. La vasectomie est une mutilation, mais chacun est libre de disposer de son corps. En effet, les contraceptifs oraux sont incriminés de sévères effets secondaires indésirables et de conséquenses fâcheuses sur l'environnement. Pour moi, le seul contraceptif valable, c'est le préservatif masculin et, du fait que les enfants sont faits conjointement par l'homme et la femme, il incombe à la responsabilité des deux partenaires de l'utiliser, donc de penser à l'enfiler sur le sexe de l'homme.
Malheureusement, la réalité est toute autre et quand on voit la repartition de la charge contraceptive dans les couples hétéros c'est clairement les femmes qui trinquent. Et bien souvent les hommes ne veulent ou pas mettre de préservatifs, ou vont dire oui mais au final tenter de se dérober à leurs responsabilités, voire carrément retirer la capote pendant le rapport. "Il suffit" ne suffit visiblement pas. Dans ces conditions, de nouvelles méthodes, de nouvelles options, de nouveaux acteurs politiques pourraient permettre de changer la mentalité, de responsabiliser les hommes sans rentrer dans une rhétorique incel diabolisant les femmes, et de pouvoir participer à une plus grande équité de la charge contraceptive par la démultiplication des méthodes. Plein d'hommes n'aiment pas la capote parce que ça leur tue les sensations, que ça les fait débander, etc ... Seulement le cruel manque d'agentivité de ces derniers fait qu'une fois ce constat fait, c'est la femme qui prend quasi systématiquement le relai contraceptif, avec toutes les conséquences, souvent hormonales, que cela implique. Un changement de paradigme pour faire évoluer les mentalités masculines ferait du bien et donnerait réellement du poids à l'argument "la capote me fait débander", car enfin, il y aurait une suite à cela "la capote me fait débander, maintenant que fait on ? comment résoudre cela ensemble ? (plutot que laisser sa partenaire gérer cela seule)", mais également "la capote me fait débander, donc je vais aller me renseigner, faire mes recherches sur d'autres méthodes alternatives et ne pas attendre que ma passivité te pousse a l'action". Avoir un problème avec une méthode, c'est normal, chaque personne est différente. Par contre utiliser cela comme une excuse pour ne rien faire derrière, c'est la que la rationalisation devient problématique. Surtout quand d'autres méthodes existent ! Et si la capote existe mais qu'on préférerait s'en passer (évidemment dans les cas ou on peut s'en passer ... On en a toujours besoin pour des rapports à risque), pourquoi ne pas se tourner vers la méthode thermique, la méthode hormonale, la vasectomie ?
Que d'histoires ! Il suffit que l'homme mette une capote anglaise et c'est fait, le rapport est stérile. L' enfilage peut même faire l'objet de jeux érotiques entre l'homme et la femme. (Je laisse votre imagination s'exprimer. La vasectomie est une mutilation, mais chacun est libre de disposer de son corps. En effet, les contraceptifs oraux sont incriminés de sévères effets secondaires indésirables et de conséquenses fâcheuses sur l'environnement. Pour moi, le seul contraceptif valable, c'est le préservatif masculin et, du fait que les enfants sont faits conjointement par l'homme et la femme, il incombe à la responsabilité des deux partenaires de l'utiliser, donc de penser à l'enfiler sur le sexe de l'homme.
Malheureusement, la réalité est toute autre et quand on voit la repartition de la charge contraceptive dans les couples hétéros c'est clairement les femmes qui trinquent. Et bien souvent les hommes ne veulent ou pas mettre de préservatifs, ou vont dire oui mais au final tenter de se dérober à leurs responsabilités, voire carrément retirer la capote pendant le rapport. "Il suffit" ne suffit visiblement pas.
Dans ces conditions, de nouvelles méthodes, de nouvelles options, de nouveaux acteurs politiques pourraient permettre de changer la mentalité, de responsabiliser les hommes sans rentrer dans une rhétorique incel diabolisant les femmes, et de pouvoir participer à une plus grande équité de la charge contraceptive par la démultiplication des méthodes.
Plein d'hommes n'aiment pas la capote parce que ça leur tue les sensations, que ça les fait débander, etc ... Seulement le cruel manque d'agentivité de ces derniers fait qu'une fois ce constat fait, c'est la femme qui prend quasi systématiquement le relai contraceptif, avec toutes les conséquences, souvent hormonales, que cela implique. Un changement de paradigme pour faire évoluer les mentalités masculines ferait du bien et donnerait réellement du poids à l'argument "la capote me fait débander", car enfin, il y aurait une suite à cela "la capote me fait débander, maintenant que fait on ? comment résoudre cela ensemble ? (plutot que laisser sa partenaire gérer cela seule)", mais également "la capote me fait débander, donc je vais aller me renseigner, faire mes recherches sur d'autres méthodes alternatives et ne pas attendre que ma passivité te pousse a l'action".
Avoir un problème avec une méthode, c'est normal, chaque personne est différente. Par contre utiliser cela comme une excuse pour ne rien faire derrière, c'est la que la rationalisation devient problématique. Surtout quand d'autres méthodes existent ! Et si la capote existe mais qu'on préférerait s'en passer (évidemment dans les cas ou on peut s'en passer ... On en a toujours besoin pour des rapports à risque), pourquoi ne pas se tourner vers la méthode thermique, la méthode hormonale, la vasectomie ?
Préservatif et retrait.