Merci! Excellents épisode permettant d'alimenter de discussions/réflexions entre voisins et amis par delà l'écume des médias de masse. Je souhaiterais rajouter 2 points qui me semblent manquer : 1. point subjectif qui découle d'une observation personnelle: il me semble que depuis plusieurs décennies, le champs économique et son impact sur la société a été exclus des prérogatives 'antagonisme "droite" vs "gauche". Comme si "droite" et "gauche" étaient d'accord sur les orientations économiques et leurs impacts sur les blocs populaires et les blocs bourgeois. J'ai l'impression également qu'un antagonisme de remplacement a été scénarisé pour occuper l'entièreté de l'espace médiatique et politique occultant complètement le réel économique des classes populaires; leur clochardisation. A partir de là, les médias et les partis politiques qui se focalisent sur les sujets déconnectés du réel du bloc populaire sont dégagés par ce dernier car illégitimes à permettre son émancipation et sa souveraineté. Les partis historiques néolibéraux/libéraux économiques ( = gagnants de la mondialisation qui ne vivent pas la tiers-mondisation de leurs conditions de vie alors que le bloc populaire se la prend violemment de plein fouet), se focalisent sur les questions sociétales prioritaires pour le bloc bourgeois. Nous voyons ainsi autour de zemmour/dupont-haignan et affiliés une priorité donnée à l'identitaire "conservateur" et autour du ps/eelv et affiliés une priorité donnée à l'identitaire "progressiste". Le rn et lfi étant dans l'entre-deux (mi identitaire mi économique). Où le rn, depuis sont arrivée massive à l'assemblée nationale, semble petit à petit montrer qu'il n'est qu'un cheval de troie néolibéral/libéral économique (tout comme tsipras en grèce et meloni en italie). Un exemple qui parle de lui-même de cette rupture entre le bloc bourgeois et le bloc populaire en faveur du premier. Il a été décidé qu'en 2035, il serait interdit de commercialiser dans l'UE des véhicules à moteurs thermiques (voitures et camions) sauf...pour les véhicules dit de "prestique" (ferrari, porsches, lomborghini, etc...). Aucun média n'en parle. Aucun politicien français élu à l'échelle européenne n'en parle. La population n'est pas au courant... Idem, pendant que le bloc populaire paie plein pot les taxes sur le carburant, le kérosène des jets privés en est totalement exempté. C'est, entre autre, cette inégalité de traitement et cette occultation médiatique/politique des questions économiques et de l'absence de souveraineté populaire pour les traiter qui ont fait ce que les gilets jaunes sont. 2. point objectif non abordé: la créations de couches administratives technocratiques territoriales (commune, département, métropole, communauté de communes, région...) et supra-nationales (otan, union européenne, commission européenne, parlement européen, conseil européen, conseil de l'europe, onu, banque mondiale, fmi, bce, troïka, G7, G20, davos, etc...) qui rendent les centres décisionnels liquides/vaporeux et inaccessibles aux populations et aux manifestations/révoltes/révolutions. Les blocs populaires comprennent que ces strates sont autant de lignes Maginots placées là par les blocs bourgeois pour que les volontés et espoirs populaires de changements s'y fracassent. C'est, je pense, l'une des principales raisons d'une recherche de retour à une organisation/échelle qui a fait ses preuves par le passé où le bloc populaire peut espérer reprendre la main sur sa souveraineté; les institutions à l'échelle nationale. Plus bas, c'est l'écueil des baronnies/clans locaux, plus haut rien n'est à portée de "mains" et "d'actions" Toutes ce intermédiations (sciemment et patiemment construites et organisées par le bloc bourgeois pour défendre ses intérêts) entre les peuples et les décideurs correspondent à la fracture de réalité entre les blocs populaires et les blocs bourgeois en faveur de ces derniers (car les lieux de pouvoirs sont absolument inaccessibles de manière systémique au bloc populaire)
Ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain. Par exemple j'aimerais qu'on réanime l’hôpital (même si les dégâts vont irrémédiablement durer). Soignons aussi nos idées avec les docteurs.
@@fantos2175 vous êtes correct. il vaut mieux enlever le bébé et se débarrasser de l'eau. Allons voir un médecin, tant que nous sommes libres de choisir le médecin, sans être obligés par l'etat
Une vidéo de qualité, comme d'habitude. Je regrette cependant qu'il n'y ait jamais de confrontation plus claire entre les notions de République et de Démocratie. Dans les cours d'Education Morale et Civique (EMC) dispensés dans les collèges lycées, la confusion entre les deux notions est particulièrement évidente. C'est vrai que le seul nom d'EMC fait déjà frémir, et je constate que contenu est assez effrayant. Actuellement, je dois passer autant de temps à domicile que le prof auprès d'un gamin de 14 ans démonter les sottises et remettre un minimum d'ordre sur le sens des mots de ce qui apparait dans le cahier. Et l'un de ces problèmes majeurs, c'est précisément l'amalgame entre Démocratie et République qui ressemble souvent au mariage de la carpe et du lapin. La République est une approche politique d'enchâssement centrifuge comme dirait nos amis québecois où l'on cherche une régulation totale de la société sur un territoire, alors que la démocratie est au contraire une régulation sociale centripète où l'on part de la cohérence communautaire. Il me semble que la Chose Publique et le Pouvoir du peuple sont deux angles nécessaires, mais encore faudrait-il explicitement les distinguer, montrer leurs contradictions et éventuellement proposer des articulations. Et l'on pourrait retrouver au coeur de cette contradiction les questions de la propriété de bien ou d'usage, de pouvoir d'agir ou de contraindre. Il me semble que nous sommes là sur un point aveugle : qui propose une thèse ?
je traite surtout de théorie politique mais je ne connais pas vraiment cet auteur donc peut être qu'il a écrit des choses intéressantes de ce côté là :)
Transcription à partir de 14:18 Résumons-nous : Le discours falsifié de la république défend un néolibéralisme qui fait du marché et de la propriété le fondement de la société. Mais problème. Les défenseurs de la propriété absolue font reposer cette propriété sur un droit. Ils prétendent alors qu'exercer une contrainte sur ce droit serait injuste. Et dans le même temps, ils déclarent que l'on peut s'approprier quelque chose, que cela est juste, si aucune contrainte indue n'a été exercée. Alors ici le droit est définit comme ce qu'on a le droit de faire sans contraindre les autres de manière injuste. Et la contrainte, comment est-elle caractérisée ? He bien elle l'est comme ce qu'on peut faire quand le droit nous le permet . D'un cote, le droit est définit par la contrainte. De l'autre la contrainte est définie par le droit... Pour simplifier, le libertarien, ou le libéral qui ne pense qu'a la propriété déclare "J'ai le droit de faire ce qui ne contraint pas les autres de manière indue, et ce qui ne contraint pas les autres de manière indue, c'est ce que j'ai le droit de faire." Le résonnement est donc circulaire et l'on ne peut en sortir que si l'on fait complètement abstraction des effets de nos actions en relation avec autrui. L'argument libertarien se postule donc lui-même, il tourne en rond. Il faut pour en sortir prendre en compte les autres, car le droit est toujours relationnel. Il doit être accepté de manière commune, et se faire compatible avec l'indépendance mutuelle de tous. L'égalité et la liberté sont elles-mêmes des valeurs relationnelles de coopération à travers le social et le collectif. L'égalité ne repose ainsi pas tant sur une distribution égale de certain biens, mais sur le fait qu'aucun individu ne peut en dominer un autre et l'utiliser à son profit et pour ses seuls intérêts. L'égalité, c'est le fait que chacun puisse être radicalement et véritablement indépendant et ce de manière réciproque, c'est-à-dire que l'organisation sociale assure et respecte l'indépendance de tous les autres.
Tout cela n' existe pas, les entraves au droit de propriété sont légion et l' Etat non seulement possède mais intervient massivement et dans les entreprises et dans l' économie, de manière directe ou indirecte, normal, on est dans un système socialiste
Libertarien... Quand je pense que le mot anglais "Libertarian" vient de Libertaire. Donc les Anarchistes ... Ca me fait bien rigoler leur niveau d'anglais de certains. Les libertarien sont des anarchiste individualiste, les besoins individuels passent avant le reste alors que les anarchistes se sont les besoins du groupe qui priment sur le besoin individuel. La différence est très importante. Merci pour ta vidéo ! :)
Libertarien =la liberté sans l'égalité = darwinisme social Anarchie = pas de liberté sans égalité L'anarchie est la forme ultime de la démocratie qui ne peut être atteinte qu'avec l'émancipation de tous. Donc pas de liberté ni d'égalité sans accès à l'éducation universelle et à l'information la plus exhaustive/objective/factuelle
Ah non, libertarien ne vient pas du tout de "libertaire", ce sont les partisans d' Ayn Rand qui sont les premiers à s' être qualifiés de la sorte, terme qu' elle n' a par ailleurs jamais revendiqué.
Les libertariens sont des capitalistes ultra-libéraux, dont les idées, si elles étaient appliquées à la lettre, amèneraient à une société fasciste. Ils ont repris le terme libertarian pour se distancer de "liberal" qui en anglais a une connotation de gauche. C’est tout. Ils n’ont absolument rien à voir avec l’anarchisme, qui dès le début comportait des idées de liberté, d’égalité, et de justice sociale, pas de défense sans limite de la domination des possédants.
Hum ... voyons voir ... “Tout pour l’Etat, rien hors de l’Etat, rien contre l’Etat” Voilà la devise fasciste, on est rien qu' ici aux antipodes des libertariens qui eux n' en veulent pas du tout d' Etat Ajoutons que le fondateur du fascisme vient du ... parti SOCIALISTE italien Si les socialistes et libertariens étaient compatibles, cela se saurait il n' y a pas "l' anarchisme" mais des anarchistes et des anarchismes Je ne vois pas ce qu' il y a de plus anarchiste que d' abolir l' Etat et l' impôt qui va avec et à ce titre, les libertariens le sont bel et bien Les libertariens ne défendent que la liberté et la propriété de l' individu, pas des histoires de "domination" ou de "possédants" Quant à "capitalistes ultra-lbéraux" ça ne veut évidemment rien dire et pas seulement parce que personne ne revendique telle étiquette
"...alors que les anarchistes se sont les besoins du groupe qui priment sur l'individuel." Ce ne serait pas plutôt le communisme cela. L'anarchisme individualiste propose que l'Individu, donc tous les individus, priment sur le groupe et non inversé, c'est à dire que des individus soient contraint par la force de se "sacrifient" ou de se soumettre au groupe. L'anarchisme individualiste, c'est le respect du consentement de chaque individu. Individualisme qu'il ne faut pas confondre avec l'égoïsme. L'idée de l'anarchisme, quel que soit le courant, c'est la lutte pour des relations interpersonnelles sans domination. En quoi, faire primer les besoins du groupe au détriment des besoins des individus qui le composent auraient avoir avec la lutte contre les hiérarchies de dominance? Il me semble que c'est même plutôt le contraire.
J'ai tendance à définir la République comme un état social où un peuple politiquement actif modèle sans relâche ses institutions (le com est assez long, vous pouvez aller directement au dernier paragraphe pour un peu de lynchage sur les macronistes). L'idée étant que la pensée et les habitudes individuelles sont (exclusivement) modelées par un grand nombre de causes dont certaines sont certes purement biographiques et personnelles (une lecture, une rencontre, etc ...), ou sont biologiques, ce qui implique ou bien qu'on y peut rien ou bien que ce sont des effets facilement réversibles par l'individu si l'effet est néfaste ; mais dont certaines autres relèvent aussi de grandes institutions qui causent pour des vastes pans de la population et de façon difficilement réversible des habitudes d'action et de pensée contraires aux intérêts de cette population. On pense aux médias chiens de garde de la grande bourgeoisie, ou au maintien de comportements individuels fortement dépendants de la voiture du fait d'infrastructure inappropriées, mais ça peut être une politique scolaire, une question d'urbanisme, l'existence ou non d'une campagne publique de promotion de telle ou telle pratique, etc ... La République c'est donc la possibilité pour l'individu, parce qu'il est pris dans un contexte social de débat et de remodelage constants de la société existante, de comprendre son intérêt, de questionner ses habitudes à l'aune de ces derniers, puis, parce que tout ceci se fait à un échelon collectif important, de prendre des mesures de réformes sociales. C'est donc une société d'individus (ce qui suppose qu'ils aient le même poids, donc une société sans classe) qui s'entendent entre eux sur la réalisation de nouvelles politiques qui les réorientent tous vers des comportements plus proches de leurs intérêts. L'intérêt d'une telle définition, à mon sens : 1° une redéfinition de la liberté (dans un cadre théorique qui est pourtant celui d'un déterminisme complet) comme participation à l'action politique permettant de se réaligner par la réforme sociale sur son intérêt objectif perçu, rompant avec l'idéalisme hors sol des conceptions libérales dominantes, 2° une disparition de la contradiction purement apparente entre individualisme et collectivisme, 3° un projet de société pour une société post-capitaliste et écologiste, puisque non seulement on décrit relativement succinctement (mais avec abstraction) ce que la société sans classe permettra de réaliser comme œuvre positive, mais en plus on donne un cadre d'action publique qui permet de changer les habitudes individuelles dans un sens écolo à partir du souhait éclairé des individus eux-mêmes au lieu de recourir à un paternalisme étatique assez malsain, et enfin : 4° la démonstration est faite que la République pensée Darmanin-Blanquer est l'anti-République. Ils n'arrêtent (arrêtaient, pour ce qui est du regretté Beluga) pas de dire que la République c'est respecter des institutions, que c'est être bien gentil et obéissant sous une loi donnée de toute éternité et en apparence de l'extérieur (par qui alors ? si ça n'est pas par la vaste masse des salariés, c'est par les autres). Blanquer a même sorti l'idée de "tenue républicaine", où, comme le faisait remarquer Bégaudeau, "républicain" veut ici très exactement dire "correct", "conforme aux bonnes mœurs", "dans l'ordre établi". La République dont parlent les bourgeois, et en particulier les macronistes, elle est définie comme un peuple passif sous des institutions imposées par la classe dominante, alors que ma définition, dont j'ose penser qu'elle est plus proche de ce que les gens attendraient habituellement du mot "République", correspond à l'exact contraire, un peuple actif au-dessus des institutions qu'il se donne et qu'il recrée à souhait. En fait, il y a un recoupement entre la controverse théorique entre Républicains français jacobins pendant la Révolution et conservateurs anglais guidés par Burke ... Inutile de vous dire que c'est la position macroniste que j'associe à la position burkienne.
Je dirais qu'il est relativement accessible surtout dans l'intro et la conclusion (et d'autres passages bien sûr). Certains chapitres sont par contre bien plus spécialisés et même s'il faut pas avoir fait Sorbonne un bagage sur le sujet peut aider :)
Parler d'indépendance des autres sachant que cette même indépendance dépend du vol des ressources des personnes : peut on vraiment dire qu'il y a alors indépendance dans ce cas ? Personnellement je ne pense pas. Et sptiz n'a absolument pas démonter que le libertarianisme était fallacieux... Enfin tellement de choses à dire : loi du plus fort : si le DN le fait alors tous les autres système comme le socialisme le fait. En effe, le groupe des pauvres deviennent les plus fort et imposent aux riches leur vision du monde et donc prennent la place de bourreau... Il serait temps de sortir enfin du triangle de karpmann
Intéressant. Mais on arrive à la meme conclusion. La DUDH est la Bible des valeurs politiques. Si seulement on l'appliquait radicalement, en prenant cette fois en compte les réalités écologiques.
@@merlin2368 Y a pas de problèmes de températures ou de climat, ça c' est sur, y a pas non plus de problèmes d' érosion ou je ne sais quoi Tout cela n' est que du catastrophisme déversé par les médias
@@Udiaq est-ce que chaque années la diminution de la taille des glaciers dans les Alpes et les sécheresse avec les restrictions préfectorales d'utilisation des nappes phréatiques aux agriculteurs n'est pas la preuve qu'il fait de plus en plus chaud très très vite?
@@merlin2368 Totalement faux, les pôles gagnent de la glace au contraire Y a toujours eu des sécheresses et y en aura toujours et qui plus est, c' est naturel, pas anormal du tout La nature n' est pas responsable de la connerie des bureaucrates, ici manifestée par des décisions préfectorales Il faisait plus chaud au moyen âge que maintenant, y a eu des records de froid au premier semestre 2022 et l' été 2021 était frais, gris, pluvieux Donc non, il ne fait pas "de plus en plus chaud"
"La propriété selon les libertariens est défini comme ce qui est approprié sans contrainte... et la contrainte est déterminée par le droit". Ok tu n'as rien compris et sans doute rien lu des libéraux/libertariens... La voix et la lecture est très bonne, le contenu est déplorable. Il y a beaucoup de poncifs sans réflexion sur le fond...
17:05 si "la République est une arme de la droite" comment se fait-il qu'il y ait de plus en plus de progressisme d'État et que l'État soit de plus en plus interventionniste dans l'économie ? la vérité est que comme le résultat ne vous plaît et que vous ne l'assumez pas vous remettez la faute sur les autres tel un enfant
L'Etat c'est la bourgeoisie (les Hauts fonctionnaires et les "représentants" du peuple sont tous des amis ou des affidés aux grands propriétaires), les "interventions" de l'Etat vont dans le sens des affaires de la bourgeoisie. Ce que vous qualifiiez de "progressisme d'Etat" sont tout simplement l'ouverture de nouveaux marchés économiques. Il me semble que vous ne savez pas du tout ce qu'est le néo libéralisme (ou votre statut de proprio parasite nuit à votre jugement?).
@@liryc8909 de 1 quand l'État intervient en faveur de Pierre, Paul ou Jacques ça reste de l''interventionnisme et de 2 je ne suis aucunement propriétaire (votre statut de gauchiste fait que vous faites dans l'homme de paille et que vous faites dans l'attaque à la personne car vous n'avez pas d'argument sur le fond) 😉
@@grosenerve6537 Et en quoi un interventionnisme ne peut pas être de droite? Mais vous devez être de ceux qui pensent que le national socialisme ou que le gouvernement de Pinochet étaient de gauche (dans ce cas, on ne peut plus rien faire pour vous). D'ailleurs, tout le monde le sait mais l'Empire napoléonienn était en réalité une dicature communiste ^^ Pour les attaques ad hominen, c'est quand, en face, il n'y a pas le moindre argument et qu'il n'y a aucune maîtrise des notions employées (bref, on s'amuse comme un peu avec les trolls et/ ou les incultes)
C'est pourtant pas si compliqué : libéralisme économique classique = le minimum d'intervention étatique dans l'économie. Neoliberalisme = intervention de l'Etat au service du capital. Ce n'est pas parce que l'Etat intervient beaucoup qu'il fait une politique de gauche.
En quoi il y a eu des politiques dites "néo-"libérales, alors que l'État n'a fait qu'augmenter son intervention dans l'économie ? Le planisme et le collectivisme n'ont fait qu'augmenter.
@@vvlaunay Baratin marxiste qu' il faut évidemment inverser, c' est parce que les dirigeants ont fait grossir l' Etat que les grosses entreprises sont venus lui demander des faveurs "le capital" ça ne veut rien dire et ce n' est pas une personne
@@grosenerve6537 Le capitalisme d'Etat c'est ce qu'ont construit De Gaulle et les communistes entre 1945 et 1966 avec la mise en application du programme de Conseil National de la Résistance "les jours heureux". EDF, GDF, SNCF, Alstom, Framatom, le CEA, le GIATT, ONF, les routes et autoroutes, etc... tout ça a été crée par l'Etat dans l'intérêt général de la population française. Le capitalisme libéral c'est le laisser-faire qui a conduit à la crise financière mondiale de 1929 Le capitalisme dont il parle est le néolibéral. Il a été crée pour que l'Etat agisse activement pour protéger les marchés privés par tous les moyens à sa disposition.
@@merlin2368 1. tu le sors d'où ton néolibéralisme dont personne se revendique ? 2. pk reprocher ce genre d'économie aux libertariens sachant qu'ils veulent un capitalisme de laissez-faire ? 3. néo-libéralisme ce serait pas plutôt un terme fourre-tout pour critiquer tout étatisme qui n'est pas le sien, pk ne pas parler de néo-socialisme aussi ?
à 8:00 il parle de non interférence de l'État alors que précédemment il parle d'interventions de l'État soi-disant voulu par l'el famoso néo-libéralisme il comprend même pas qu'il se contredis 🤣
Que ... quoi ?.. comment ?.. "défaire les libertariens" ?.. "les libertariens" ???... Ou ça ?... les "défaire" ?.. mais les défaire de qui de quoi ? De quel endroit ? Pour quoi faire ? Dans quel but ? Je ne pige pas l' intitulé, quel rapport a tout cela avec la réalité ?
La thèse de base livre, c'est que le concept de République et de "valeurs républicaines" a subi une dérive libertarienne, càd que l'idée que l'État doit assurer l'indépendance et la non-servitude de chacun a cédé la place à la protection absolue de la propriété privée. "Les libertariens" dans le titre et le propos ne désignent pas les trois cryptobros qui peuvent se dire libertariens en France, mais les institutions politiques et leur logiciel idéologique qui créent de l'inégalité et freinent l'émancipation d'une partie ses citoyens. Pour le but, tout est à 12:51. J'ai trouvé ça assez clair (ou alors j'ai rien compris).
LOL LOL LOL "une dérive libertarienne" LOL LOL LOL à ce simple énoncé, je sais que je n' ai pas besoin d' aller plus loin tant ça sent le n' importe quoi à des Km à la ronde Si l' Etat asservit la population, on est à des années lumière des libertariens mais je ne vais passer mon temps à expliquer ça à des gens totalement à l' ouest
@@grosenerve6537 Moi je ne fais que paraphraser la vidéo pour quelqu'un dont je pensais qu'il posait une vraie question. De quoi je suis au courant ou pas, c'est pas le sujet
à 3:30 "Un capitalisme agressif, qui utilise les interventions juridiques et Étatiques, d'un néo-libéralisme pas dénué d'autoritarisme." Ça na aucun sens, le libéralisme s'oppose justement à l'autoritarisme et le dit néo-libéralisme consiste à une séparation du marché et de l'État. Comme tout les marxistes, je suis sûr qu'il ne comprend pas qu'il parle en réalité d'un capitalisme d'État/socialo-capitalisme (Keynésiannisme/socialisme de marché), ce qui n'a rien à voir avec le capitalisme libéral/capitalisme de laissez-faire. Il est clairement binaire, pour lui soit il y a le socialo-communisme ou alors tout ce qui est capitaliste est forcément "néo-"libéral. 😮💨😩🤦🏻♂️
@Gros Énervé j'ai l'impression que tu ne sais pas ce qu'est le néolibéralisme et que tu le confonds avec le libéralisme économique. Idem, je pense que tu confonds libéralisme économique et libéralisme philosophique. Le libéralisme économique c'est le laisser-faire des marchés. L'idée est de faire disparaître l'Etat de toute implication dans l'économie Ce laisser-faire à abouti à la catastrophe mondiale de la crise financière de 1929. Le néolibéralisme espérait corriger ça en partant du principe que si les conditions de la concurrence libre et non faussée n'étaient pas réunies alors les marchés ne seraient jamais efficients et les prix ne refléteraient jamais l'équilibre réel entre la demande et l'offre. C'est la raison pour laquelle, la doctrine néolibérale impose à l'Etat de : 1. tout faire, y compris par la force, pour que les marchés soient protégés par des règles privées (par exemple via des tribunaux d'arbitrages privés) et soient dans les conditions optimales d'exercices 2. privatiser par tous les moyens, y compris la force, les Etats Au final, après 40 années de néolibéralisme, de création et de protection d'une concurrence même s'il fallait qu'elle soit artificielle ( = démembrement et privatisation d'EDF faisant exploser les prix pour les consommateurs alors que l'entreprise sous sa forme publique est plus rentable et moins chère), il est apparu que la privatisation de l'Etat a conduit à ce que les décideurs soient ceux qui avaient les moyens de se l'acheter. La démocratie s'est transformée en oligarchie/ploutocratie
@@merlin2368 ça n' existe pas "le néolibéralisme" C' est plutôt toi qui ne réalise pas que l' on a traversé 40 ans de socialo étatisme Et t' es tellement à l' ouest que tu vois une "privatisation" qui n' existe pas alors que Borne a annoncé la renationalisation totale d' EDF.
@@Udiaq 1. si tu sais lire et utiliser un ordinateur, ouvre un moteur de recherche et tape: "ordolibéralisme + wikipédia" "colloque de Lippmann + wikipédia" 2. macron veut nationaliser EDF, parce qu'une partie de l'actionnariat est salarié. Ces salariés ont mené une action en justice pour dire que le gouvernement les arnaquait en prenant des décisions contre les intérêts de l'entreprise, des actionnaires et des clients. ça n'a pas plus à macron, qui a décidé de renationaliser EDF (au frais du contribuable évidemment) pour ne plus être embêté par les actionnaires dans le démembrement et la vente des filiales pépites et de tous les brevets comme il a fait avec Alstom 3. la vente d'Alstom aux américains avec au passage presque 1 milliards d'euros de commissions pour les cabinets d'avocats d'affaires où travaillait C.Lagarde et les banques d'affaires où a travaillé macron et ses copains, c'est du socialo-étatisme? 4. Les autoroutes qui pile au moment où les 25ans de contributions fiscales étaient amorties et allaient devenir rentable pour les contribuable, se voient privatisés! Du coup, depuis 2014, chaque années les 4 à 5 milliards d'euros de bénéfices au lieu de venir réduire la dette publique servent à engraisser les paradis fiscaux!!! 5. Idem la privatisation de la Française Des Jeux qui rapportait à l'Etat presque 1 milliards d'euro/an 6. idem pour l'aéroport de Toulouse-Blagnac qui rapportait aux collectivités territoriales des dizaines de millions d'euros. Privatisé et vendu à un mafieux chinois qui après avoir pillé et endetté cette entreprise pour plusieurs centaines de millions d'euros la fait racheter par l'Etat français au double du prix d'achat grace à la validation personnelle de macron!! 7. la destruction en cours des services de santé publiques (qui il y a 3 décennies était le meilleur au monde!) en vue de le vendre une poignée de cacahuètes à des mutuelles privées, c'est quoi pour toi!!!??? 8. des exemples comme ça de détournement de la puissance publique pour des intérêts financiers privés, il y en a des tonnes! Alors enlèves tes œillères et cultive toi pour comprendre quel système est utilisé pour nous clochardiser à vitesse grand V
@@merlin2368 1. personne ne se revendique néolibéral 2. tu confonds le néo-libéralisme et le capitalisme d'État (Keynésiannisme) qui est anti-libéral donc au pire il s'agit de néo-capitalisme 3. les libertariens veulent un laissez-faire du marché donc dire que les libertariens sont des néo-libéraux (selon ta définition) ça tombe à l'eau
@@grosenerve6537 Le Keynesianisme c'est la création d'entreprises qui servent la population, comme l'Etat doit servir la servir également Le néolibéralisme, c'est la privatisation de l'Etat pour qu'il serve les intérêts privés Le libéralisme, c'est la séparation de l'Etat et de l'économie--> oui, je suis d'accord avec toi, les libertariens sont des libéraux intégristes/extrémistes. J'ai partagé avec toi mon opinion (qui ne vaut pas plus que celle d'un autre sur cette question) dans un autre fil de commentaires
Merci pour ce travail d'éducation populaire.
À quand un livre de théorie politique par Politikon? Je l’attends impatiemment.
Il arrive en janvier :)
@@Politikon_ le titre? chouette vidéo comme d'hab merci
Ah "politikon" rien que ça ^^
@@pimcgd2657 merci ! j'en parle ici :) twitter.com/_Politikon_/status/1577913598147497984
@@pimcgd2657 héhé, trouver le titre ça été le plus dur ^^ du coup on est revenu au nom de la chaîne ! :)
Merci! Excellents épisode permettant d'alimenter de discussions/réflexions entre voisins et amis par delà l'écume des médias de masse.
Je souhaiterais rajouter 2 points qui me semblent manquer :
1. point subjectif qui découle d'une observation personnelle: il me semble que depuis plusieurs décennies, le champs économique et son impact sur la société a été exclus des prérogatives 'antagonisme "droite" vs "gauche". Comme si "droite" et "gauche" étaient d'accord sur les orientations économiques et leurs impacts sur les blocs populaires et les blocs bourgeois.
J'ai l'impression également qu'un antagonisme de remplacement a été scénarisé pour occuper l'entièreté de l'espace médiatique et politique occultant complètement le réel économique des classes populaires; leur clochardisation.
A partir de là, les médias et les partis politiques qui se focalisent sur les sujets déconnectés du réel du bloc populaire sont dégagés par ce dernier car illégitimes à permettre son émancipation et sa souveraineté.
Les partis historiques néolibéraux/libéraux économiques ( = gagnants de la mondialisation qui ne vivent pas la tiers-mondisation de leurs conditions de vie alors que le bloc populaire se la prend violemment de plein fouet), se focalisent sur les questions sociétales prioritaires pour le bloc bourgeois.
Nous voyons ainsi autour de zemmour/dupont-haignan et affiliés une priorité donnée à l'identitaire "conservateur" et autour du ps/eelv et affiliés une priorité donnée à l'identitaire "progressiste".
Le rn et lfi étant dans l'entre-deux (mi identitaire mi économique). Où le rn, depuis sont arrivée massive à l'assemblée nationale, semble petit à petit montrer qu'il n'est qu'un cheval de troie néolibéral/libéral économique (tout comme tsipras en grèce et meloni en italie).
Un exemple qui parle de lui-même de cette rupture entre le bloc bourgeois et le bloc populaire en faveur du premier. Il a été décidé qu'en 2035, il serait interdit de commercialiser dans l'UE des véhicules à moteurs thermiques (voitures et camions) sauf...pour les véhicules dit de "prestique" (ferrari, porsches, lomborghini, etc...).
Aucun média n'en parle. Aucun politicien français élu à l'échelle européenne n'en parle. La population n'est pas au courant...
Idem, pendant que le bloc populaire paie plein pot les taxes sur le carburant, le kérosène des jets privés en est totalement exempté.
C'est, entre autre, cette inégalité de traitement et cette occultation médiatique/politique des questions économiques et de l'absence de souveraineté populaire pour les traiter qui ont fait ce que les gilets jaunes sont.
2. point objectif non abordé: la créations de couches administratives technocratiques territoriales (commune, département, métropole, communauté de communes, région...) et supra-nationales (otan, union européenne, commission européenne, parlement européen, conseil européen, conseil de l'europe, onu, banque mondiale, fmi, bce, troïka, G7, G20, davos, etc...) qui rendent les centres décisionnels liquides/vaporeux et inaccessibles aux populations et aux manifestations/révoltes/révolutions.
Les blocs populaires comprennent que ces strates sont autant de lignes Maginots placées là par les blocs bourgeois pour que les volontés et espoirs populaires de changements s'y fracassent.
C'est, je pense, l'une des principales raisons d'une recherche de retour à une organisation/échelle qui a fait ses preuves par le passé où le bloc populaire peut espérer reprendre la main sur sa souveraineté; les institutions à l'échelle nationale. Plus bas, c'est l'écueil des baronnies/clans locaux, plus haut rien n'est à portée de "mains" et "d'actions"
Toutes ce intermédiations (sciemment et patiemment construites et organisées par le bloc bourgeois pour défendre ses intérêts) entre les peuples et les décideurs correspondent à la fracture de réalité entre les blocs populaires et les blocs bourgeois en faveur de ces derniers (car les lieux de pouvoirs sont absolument inaccessibles de manière systémique au bloc populaire)
merci de présenter cet ouvrage, et joli boulot !
Merci excellent
Ça fait du bien de vous réentendre
vous faites bien plus pour nous que la république. merci!!
Ne jetons pas le bébé avec l'eau du bain. Par exemple j'aimerais qu'on réanime l’hôpital (même si les dégâts vont irrémédiablement durer).
Soignons aussi nos idées avec les docteurs.
@@fantos2175 vous êtes correct. il vaut mieux enlever le bébé et se débarrasser de l'eau. Allons voir un médecin, tant que nous sommes libres de choisir le médecin, sans être obligés par l'etat
Supe taf comm d'hab ! C'est diablement velu par contre là, ça méritera plusieurs visionnages 😅
Merci pour cette vidéo claire qui pose clairement les enjeux actuels de notre société.
Merci merci !
la liberté c'est le pouvoir déconcentré et dilué si bien qu'il est distribué à tous
Comme toujours : excellent, très clair et .... "d'accord avec moi" !!!!!!!!!!😁
Merci pour votre travail"
Une vidéo de qualité, comme d'habitude. Je regrette cependant qu'il n'y ait jamais de confrontation plus claire entre les notions de République et de Démocratie. Dans les cours d'Education Morale et Civique (EMC) dispensés dans les collèges lycées, la confusion entre les deux notions est particulièrement évidente. C'est vrai que le seul nom d'EMC fait déjà frémir, et je constate que contenu est assez effrayant. Actuellement, je dois passer autant de temps à domicile que le prof auprès d'un gamin de 14 ans démonter les sottises et remettre un minimum d'ordre sur le sens des mots de ce qui apparait dans le cahier. Et l'un de ces problèmes majeurs, c'est précisément l'amalgame entre Démocratie et République qui ressemble souvent au mariage de la carpe et du lapin.
La République est une approche politique d'enchâssement centrifuge comme dirait nos amis québecois où l'on cherche une régulation totale de la société sur un territoire, alors que la démocratie est au contraire une régulation sociale centripète où l'on part de la cohérence communautaire. Il me semble que la Chose Publique et le Pouvoir du peuple sont deux angles nécessaires, mais encore faudrait-il explicitement les distinguer, montrer leurs contradictions et éventuellement proposer des articulations. Et l'on pourrait retrouver au coeur de cette contradiction les questions de la propriété de bien ou d'usage, de pouvoir d'agir ou de contraindre. Il me semble que nous sommes là sur un point aveugle : qui propose une thèse ?
Juste
Merci !
Bravo et encore bravo
Excellentes vidéo, bravo! Peut-on espérer un jour une vidéo sur les essais de Ernst Jünger ?
je traite surtout de théorie politique mais je ne connais pas vraiment cet auteur donc peut être qu'il a écrit des choses intéressantes de ce côté là :)
Merci!!
Il semble y avoir un problème de définition du concept de république.
Merci pour cette excellente vidéo qui donne très envie de lire
Il doit y avoir une dizaine de libertariens en France...
👍
Sur le sujet!
Le complexe d’Orphée de Jean Claude Michéa.
💥
Excellent
Transcription à partir de 14:18
Résumons-nous :
Le discours falsifié de la république défend un néolibéralisme qui fait du marché et de la propriété le fondement de la société. Mais problème. Les défenseurs de la propriété absolue font reposer cette propriété sur un droit. Ils prétendent alors qu'exercer une contrainte sur ce droit serait injuste. Et dans le même temps, ils déclarent que l'on peut s'approprier quelque chose, que cela est juste, si aucune contrainte indue n'a été exercée. Alors ici le droit est définit comme ce qu'on a le droit de faire sans contraindre les autres de manière injuste. Et la contrainte, comment est-elle caractérisée ? He bien elle l'est comme ce qu'on peut faire quand le droit nous le permet .
D'un cote, le droit est définit par la contrainte.
De l'autre la contrainte est définie par le droit...
Pour simplifier, le libertarien, ou le libéral qui ne pense qu'a la propriété déclare "J'ai le droit de faire ce qui ne contraint pas les autres de manière indue, et ce qui ne contraint pas les autres de manière indue, c'est ce que j'ai le droit de faire."
Le résonnement est donc circulaire et l'on ne peut en sortir que si l'on fait complètement abstraction des effets de nos actions en relation avec autrui. L'argument libertarien se postule donc lui-même, il tourne en rond.
Il faut pour en sortir prendre en compte les autres, car le droit est toujours relationnel. Il doit être accepté de manière commune, et se faire compatible avec l'indépendance mutuelle de tous. L'égalité et la liberté sont elles-mêmes des valeurs relationnelles de coopération à travers le social et le collectif. L'égalité ne repose ainsi pas tant sur une distribution égale de certain biens, mais sur le fait qu'aucun individu ne peut en dominer un autre et l'utiliser à son profit et pour ses seuls intérêts. L'égalité, c'est le fait que chacun puisse être radicalement et véritablement indépendant et ce de manière réciproque, c'est-à-dire que l'organisation sociale assure et respecte l'indépendance de tous les autres.
Tout cela n' existe pas, les entraves au droit de propriété sont légion et l' Etat non seulement possède mais intervient massivement et dans les entreprises et dans l' économie, de manière directe ou indirecte, normal, on est dans un système socialiste
Libertarien... Quand je pense que le mot anglais "Libertarian" vient de Libertaire. Donc les Anarchistes ... Ca me fait bien rigoler leur niveau d'anglais de certains. Les libertarien sont des anarchiste individualiste, les besoins individuels passent avant le reste alors que les anarchistes se sont les besoins du groupe qui priment sur le besoin individuel. La différence est très importante.
Merci pour ta vidéo ! :)
Libertarien =la liberté sans l'égalité = darwinisme social
Anarchie = pas de liberté sans égalité
L'anarchie est la forme ultime de la démocratie qui ne peut être atteinte qu'avec l'émancipation de tous.
Donc pas de liberté ni d'égalité sans accès à l'éducation universelle et à l'information la plus exhaustive/objective/factuelle
Ah non, libertarien ne vient pas du tout de "libertaire", ce sont les partisans d' Ayn Rand qui sont les premiers à s' être qualifiés de la sorte, terme qu' elle n' a par ailleurs jamais revendiqué.
Les libertariens sont des capitalistes ultra-libéraux, dont les idées, si elles étaient appliquées à la lettre, amèneraient à une société fasciste.
Ils ont repris le terme libertarian pour se distancer de "liberal" qui en anglais a une connotation de gauche. C’est tout. Ils n’ont absolument rien à voir avec l’anarchisme, qui dès le début comportait des idées de liberté, d’égalité, et de justice sociale, pas de défense sans limite de la domination des possédants.
Hum ... voyons voir ...
“Tout pour l’Etat, rien hors de l’Etat, rien contre l’Etat”
Voilà la devise fasciste, on est rien qu' ici aux antipodes des libertariens qui eux n' en veulent pas du tout d' Etat
Ajoutons que le fondateur du fascisme vient du ... parti SOCIALISTE italien
Si les socialistes et libertariens étaient compatibles, cela se saurait
il n' y a pas "l' anarchisme" mais des anarchistes et des anarchismes
Je ne vois pas ce qu' il y a de plus anarchiste que d' abolir l' Etat et l' impôt qui va avec et à ce titre, les libertariens le sont bel et bien
Les libertariens ne défendent que la liberté et la propriété de l' individu, pas des histoires de "domination" ou de "possédants"
Quant à "capitalistes ultra-lbéraux" ça ne veut évidemment rien dire et pas seulement parce que personne ne revendique telle étiquette
"...alors que les anarchistes se sont les besoins du groupe qui priment sur l'individuel."
Ce ne serait pas plutôt le communisme cela.
L'anarchisme individualiste propose que l'Individu, donc tous les individus, priment sur le groupe et non inversé, c'est à dire que des individus soient contraint par la force de se "sacrifient" ou de se soumettre au groupe.
L'anarchisme individualiste, c'est le respect du consentement de chaque individu. Individualisme qu'il ne faut pas confondre avec l'égoïsme.
L'idée de l'anarchisme, quel que soit le courant, c'est la lutte pour des relations interpersonnelles sans domination.
En quoi, faire primer les besoins du groupe au détriment des besoins des individus qui le composent auraient avoir avec la lutte contre les hiérarchies de dominance? Il me semble que c'est même plutôt le contraire.
Merci
Très intéressant
Sauver la république 😂 oui bien sûr sauver des mafieux c’est ça 😂
J'ai tendance à définir la République comme un état social où un peuple politiquement actif modèle sans relâche ses institutions (le com est assez long, vous pouvez aller directement au dernier paragraphe pour un peu de lynchage sur les macronistes). L'idée étant que la pensée et les habitudes individuelles sont (exclusivement) modelées par un grand nombre de causes dont certaines sont certes purement biographiques et personnelles (une lecture, une rencontre, etc ...), ou sont biologiques, ce qui implique ou bien qu'on y peut rien ou bien que ce sont des effets facilement réversibles par l'individu si l'effet est néfaste ; mais dont certaines autres relèvent aussi de grandes institutions qui causent pour des vastes pans de la population et de façon difficilement réversible des habitudes d'action et de pensée contraires aux intérêts de cette population. On pense aux médias chiens de garde de la grande bourgeoisie, ou au maintien de comportements individuels fortement dépendants de la voiture du fait d'infrastructure inappropriées, mais ça peut être une politique scolaire, une question d'urbanisme, l'existence ou non d'une campagne publique de promotion de telle ou telle pratique, etc ...
La République c'est donc la possibilité pour l'individu, parce qu'il est pris dans un contexte social de débat et de remodelage constants de la société existante, de comprendre son intérêt, de questionner ses habitudes à l'aune de ces derniers, puis, parce que tout ceci se fait à un échelon collectif important, de prendre des mesures de réformes sociales. C'est donc une société d'individus (ce qui suppose qu'ils aient le même poids, donc une société sans classe) qui s'entendent entre eux sur la réalisation de nouvelles politiques qui les réorientent tous vers des comportements plus proches de leurs intérêts.
L'intérêt d'une telle définition, à mon sens : 1° une redéfinition de la liberté (dans un cadre théorique qui est pourtant celui d'un déterminisme complet) comme participation à l'action politique permettant de se réaligner par la réforme sociale sur son intérêt objectif perçu, rompant avec l'idéalisme hors sol des conceptions libérales dominantes, 2° une disparition de la contradiction purement apparente entre individualisme et collectivisme, 3° un projet de société pour une société post-capitaliste et écologiste, puisque non seulement on décrit relativement succinctement (mais avec abstraction) ce que la société sans classe permettra de réaliser comme œuvre positive, mais en plus on donne un cadre d'action publique qui permet de changer les habitudes individuelles dans un sens écolo à partir du souhait éclairé des individus eux-mêmes au lieu de recourir à un paternalisme étatique assez malsain, et enfin :
4° la démonstration est faite que la République pensée Darmanin-Blanquer est l'anti-République. Ils n'arrêtent (arrêtaient, pour ce qui est du regretté Beluga) pas de dire que la République c'est respecter des institutions, que c'est être bien gentil et obéissant sous une loi donnée de toute éternité et en apparence de l'extérieur (par qui alors ? si ça n'est pas par la vaste masse des salariés, c'est par les autres). Blanquer a même sorti l'idée de "tenue républicaine", où, comme le faisait remarquer Bégaudeau, "républicain" veut ici très exactement dire "correct", "conforme aux bonnes mœurs", "dans l'ordre établi". La République dont parlent les bourgeois, et en particulier les macronistes, elle est définie comme un peuple passif sous des institutions imposées par la classe dominante, alors que ma définition, dont j'ose penser qu'elle est plus proche de ce que les gens attendraient habituellement du mot "République", correspond à l'exact contraire, un peuple actif au-dessus des institutions qu'il se donne et qu'il recrée à souhait. En fait, il y a un recoupement entre la controverse théorique entre Républicains français jacobins pendant la Révolution et conservateurs anglais guidés par Burke ... Inutile de vous dire que c'est la position macroniste que j'associe à la position burkienne.
Masterclass
Ce serait possible de mettre quelque part la transcription de texte ? CE serait top :)
Question depuis la suisse, cet ouvrage est accessible ou faut-il avoir fait Sorbonne..? 😅
Je dirais qu'il est relativement accessible surtout dans l'intro et la conclusion (et d'autres passages bien sûr). Certains chapitres sont par contre bien plus spécialisés et même s'il faut pas avoir fait Sorbonne un bagage sur le sujet peut aider :)
Merci pour la réponse… ce que vous faites est très important… lâchez rien. 🙂
Politikon c'est toujours génial
Pour les bas du front ?
16:25 c'est justement en quoi consiste le libertariannisme
Vivons nous dans une technocratie à rite démocratique. Vous avez 4 heures
15:40 si il connaîtrait le principe de non agression des libertariens il ne dirait pas ça
Parler d'indépendance des autres sachant que cette même indépendance dépend du vol des ressources des personnes : peut on vraiment dire qu'il y a alors indépendance dans ce cas ? Personnellement je ne pense pas. Et sptiz n'a absolument pas démonter que le libertarianisme était fallacieux... Enfin tellement de choses à dire : loi du plus fort : si le DN le fait alors tous les autres système comme le socialisme le fait. En effe, le groupe des pauvres deviennent les plus fort et imposent aux riches leur vision du monde et donc prennent la place de bourreau... Il serait temps de sortir enfin du triangle de karpmann
Une raie public 🤔🤔🤔
C'est du petit lait 🙂
Intéressant.
Mais on arrive à la meme conclusion.
La DUDH est la Bible des valeurs politiques. Si seulement on l'appliquait radicalement, en prenant cette fois en compte les réalités écologiques.
Les réalités écologiques sont que la planète se porte très bien, merci pour elle.
@@Udiaq
Qu'est ce qui te fait penser qu'il n'y a pas de problèmes écologiques?
@@merlin2368 Y a pas de problèmes de températures ou de climat, ça c' est sur, y a pas non plus de problèmes d' érosion ou je ne sais quoi
Tout cela n' est que du catastrophisme déversé par les médias
@@Udiaq est-ce que chaque années la diminution de la taille des glaciers dans les Alpes et les sécheresse avec les restrictions préfectorales d'utilisation des nappes phréatiques aux agriculteurs n'est pas la preuve qu'il fait de plus en plus chaud très très vite?
@@merlin2368 Totalement faux, les pôles gagnent de la glace au contraire
Y a toujours eu des sécheresses et y en aura toujours et qui plus est, c' est naturel, pas anormal du tout
La nature n' est pas responsable de la connerie des bureaucrates, ici manifestée par des décisions préfectorales
Il faisait plus chaud au moyen âge que maintenant, y a eu des records de froid au premier semestre 2022 et l' été 2021 était frais, gris, pluvieux
Donc non, il ne fait pas "de plus en plus chaud"
"La propriété selon les libertariens est défini comme ce qui est approprié sans contrainte... et la contrainte est déterminée par le droit".
Ok tu n'as rien compris et sans doute rien lu des libéraux/libertariens... La voix et la lecture est très bonne, le contenu est déplorable. Il y a beaucoup de poncifs sans réflexion sur le fond...
@Frédéric Jollien éclaire-nous avec un liste de lectures et/ou des vidéos?
On ne voit pas où tu veux en venir dans ce commentaire...
17:05 si "la République est une arme de la droite" comment se fait-il qu'il y ait de plus en plus de progressisme d'État et que l'État soit de plus en plus interventionniste dans l'économie ?
la vérité est que comme le résultat ne vous plaît et que vous ne l'assumez pas vous remettez la faute sur les autres tel un enfant
L'Etat c'est la bourgeoisie (les Hauts fonctionnaires et les "représentants" du peuple sont tous des amis ou des affidés aux grands propriétaires), les "interventions" de l'Etat vont dans le sens des affaires de la bourgeoisie. Ce que vous qualifiiez de "progressisme d'Etat" sont tout simplement l'ouverture de nouveaux marchés économiques.
Il me semble que vous ne savez pas du tout ce qu'est le néo libéralisme (ou votre statut de proprio parasite nuit à votre jugement?).
@@liryc8909
de 1 quand l'État intervient en faveur de Pierre, Paul ou Jacques ça reste de l''interventionnisme
et de 2 je ne suis aucunement propriétaire (votre statut de gauchiste fait que vous faites dans l'homme de paille et que vous faites dans l'attaque à la personne car vous n'avez pas d'argument sur le fond) 😉
@@grosenerve6537 Et en quoi un interventionnisme ne peut pas être de droite?
Mais vous devez être de ceux qui pensent que le national socialisme ou que le gouvernement de Pinochet étaient de gauche (dans ce cas, on ne peut plus rien faire pour vous).
D'ailleurs, tout le monde le sait mais l'Empire napoléonienn était en réalité une dicature communiste ^^
Pour les attaques ad hominen, c'est quand, en face, il n'y a pas le moindre argument et qu'il n'y a aucune maîtrise des notions employées (bref, on s'amuse comme un peu avec les trolls et/ ou les incultes)
@@liryc8909 tu peux dire que c'est de droite si tu veux mais en tout cas ça n'a rien à voir avec le libéralisme ou le libertariannisme
C'est pourtant pas si compliqué : libéralisme économique classique = le minimum d'intervention étatique dans l'économie. Neoliberalisme = intervention de l'Etat au service du capital.
Ce n'est pas parce que l'Etat intervient beaucoup qu'il fait une politique de gauche.
tu ne décris pas la république mais la Ploutocratie
@@vvlaunay c’est le rapport de force qui fait l’un ou l’autre
En quoi il y a eu des politiques dites "néo-"libérales, alors que l'État n'a fait qu'augmenter son intervention dans l'économie ? Le planisme et le collectivisme n'ont fait qu'augmenter.
Et la bureaucratie
@@vvlaunay Baratin marxiste qu' il faut évidemment inverser, c' est parce que les dirigeants ont fait grossir l' Etat que les grosses entreprises sont venus lui demander des faveurs
"le capital" ça ne veut rien dire et ce n' est pas une personne
@@vvlaunay sauf que ce dont tu parles il s'agit de capitalisme d'État et non de capitalisme liberal
@@grosenerve6537
Le capitalisme d'Etat c'est ce qu'ont construit De Gaulle et les communistes entre 1945 et 1966 avec la mise en application du programme de Conseil National de la Résistance "les jours heureux".
EDF, GDF, SNCF, Alstom, Framatom, le CEA, le GIATT, ONF, les routes et autoroutes, etc... tout ça a été crée par l'Etat dans l'intérêt général de la population française.
Le capitalisme libéral c'est le laisser-faire qui a conduit à la crise financière mondiale de 1929
Le capitalisme dont il parle est le néolibéral.
Il a été crée pour que l'Etat agisse activement pour protéger les marchés privés par tous les moyens à sa disposition.
@@merlin2368
1. tu le sors d'où ton néolibéralisme dont personne se revendique ?
2. pk reprocher ce genre d'économie aux libertariens sachant qu'ils veulent un capitalisme de laissez-faire ?
3. néo-libéralisme ce serait pas plutôt un terme fourre-tout pour critiquer tout étatisme qui n'est pas le sien, pk ne pas parler de néo-socialisme aussi ?
à 8:00 il parle de non interférence de l'État alors que précédemment il parle d'interventions de l'État soi-disant voulu par l'el famoso néo-libéralisme
il comprend même pas qu'il se contredis 🤣
Et de surcroit, "le néolibéralisme" ça n' existe pas.
16:10 pk s'opposer au capitalisme alors et donc vouloir que ce soit l'État qui gère tout ?
"néo-libéralisme autoritaire" non mais la blague, autoritaire mais (néo-)libéralisme c'est d'un ridicule 🤣
Que ... quoi ?.. comment ?.. "défaire les libertariens" ?.. "les libertariens" ???... Ou ça ?... les "défaire" ?.. mais les défaire de qui de quoi ? De quel endroit ? Pour quoi faire ? Dans quel but ? Je ne pige pas l' intitulé, quel rapport a tout cela avec la réalité ?
Je sais pas, quelques milliers de random dans toute la France sans aucun contrôle des institutions doivent être un problème il faut croire.
La thèse de base livre, c'est que le concept de République et de "valeurs républicaines" a subi une dérive libertarienne, càd que l'idée que l'État doit assurer l'indépendance et la non-servitude de chacun a cédé la place à la protection absolue de la propriété privée. "Les libertariens" dans le titre et le propos ne désignent pas les trois cryptobros qui peuvent se dire libertariens en France, mais les institutions politiques et leur logiciel idéologique qui créent de l'inégalité et freinent l'émancipation d'une partie ses citoyens.
Pour le but, tout est à 12:51.
J'ai trouvé ça assez clair (ou alors j'ai rien compris).
@@LordCivers "la protection absolue de la propriété privée" je crois que t'es pas au courant de certaines choses en France 🤣
LOL LOL LOL "une dérive libertarienne" LOL LOL LOL
à ce simple énoncé, je sais que je n' ai pas besoin d' aller plus loin tant ça sent le n' importe quoi à des Km à la ronde
Si l' Etat asservit la population, on est à des années lumière des libertariens mais je ne vais passer mon temps à expliquer ça à des gens totalement à l' ouest
@@grosenerve6537 Moi je ne fais que paraphraser la vidéo pour quelqu'un dont je pensais qu'il posait une vraie question. De quoi je suis au courant ou pas, c'est pas le sujet
à 3:30 "Un capitalisme agressif, qui utilise les interventions juridiques et Étatiques, d'un néo-libéralisme pas dénué d'autoritarisme."
Ça na aucun sens, le libéralisme s'oppose justement à l'autoritarisme et le dit néo-libéralisme consiste à une séparation du marché et de l'État.
Comme tout les marxistes, je suis sûr qu'il ne comprend pas qu'il parle en réalité d'un capitalisme d'État/socialo-capitalisme (Keynésiannisme/socialisme de marché), ce qui n'a rien à voir avec le capitalisme libéral/capitalisme de laissez-faire.
Il est clairement binaire, pour lui soit il y a le socialo-communisme ou alors tout ce qui est capitaliste est forcément "néo-"libéral. 😮💨😩🤦🏻♂️
@Gros Énervé j'ai l'impression que tu ne sais pas ce qu'est le néolibéralisme et que tu le confonds avec le libéralisme économique.
Idem, je pense que tu confonds libéralisme économique et libéralisme philosophique.
Le libéralisme économique c'est le laisser-faire des marchés. L'idée est de faire disparaître l'Etat de toute implication dans l'économie
Ce laisser-faire à abouti à la catastrophe mondiale de la crise financière de 1929.
Le néolibéralisme espérait corriger ça en partant du principe que si les conditions de la concurrence libre et non faussée n'étaient pas réunies alors les marchés ne seraient jamais efficients et les prix ne refléteraient jamais l'équilibre réel entre la demande et l'offre.
C'est la raison pour laquelle, la doctrine néolibérale impose à l'Etat de :
1. tout faire, y compris par la force, pour que les marchés soient protégés par des règles privées (par exemple via des tribunaux d'arbitrages privés) et soient dans les conditions optimales d'exercices
2. privatiser par tous les moyens, y compris la force, les Etats
Au final, après 40 années de néolibéralisme, de création et de protection d'une concurrence même s'il fallait qu'elle soit artificielle ( = démembrement et privatisation d'EDF faisant exploser les prix pour les consommateurs alors que l'entreprise sous sa forme publique est plus rentable et moins chère), il est apparu que la privatisation de l'Etat a conduit à ce que les décideurs soient ceux qui avaient les moyens de se l'acheter.
La démocratie s'est transformée en oligarchie/ploutocratie
@@merlin2368 ça n' existe pas "le néolibéralisme"
C' est plutôt toi qui ne réalise pas que l' on a traversé 40 ans de socialo étatisme
Et t' es tellement à l' ouest que tu vois une "privatisation" qui n' existe pas alors que Borne a annoncé la renationalisation totale d' EDF.
@@Udiaq
1. si tu sais lire et utiliser un ordinateur, ouvre un moteur de recherche et tape:
"ordolibéralisme + wikipédia"
"colloque de Lippmann + wikipédia"
2. macron veut nationaliser EDF, parce qu'une partie de l'actionnariat est salarié.
Ces salariés ont mené une action en justice pour dire que le gouvernement les arnaquait en prenant des décisions contre les intérêts de l'entreprise, des actionnaires et des clients.
ça n'a pas plus à macron, qui a décidé de renationaliser EDF (au frais du contribuable évidemment) pour ne plus être embêté par les actionnaires dans le démembrement et la vente des filiales pépites et de tous les brevets comme il a fait avec Alstom
3. la vente d'Alstom aux américains avec au passage presque 1 milliards d'euros de commissions pour les cabinets d'avocats d'affaires où travaillait C.Lagarde et les banques d'affaires où a travaillé macron et ses copains, c'est du socialo-étatisme?
4. Les autoroutes qui pile au moment où les 25ans de contributions fiscales étaient amorties et allaient devenir rentable pour les contribuable, se voient privatisés!
Du coup, depuis 2014, chaque années les 4 à 5 milliards d'euros de bénéfices au lieu de venir réduire la dette publique servent à engraisser les paradis fiscaux!!!
5. Idem la privatisation de la Française Des Jeux qui rapportait à l'Etat presque 1 milliards d'euro/an
6. idem pour l'aéroport de Toulouse-Blagnac qui rapportait aux collectivités territoriales des dizaines de millions d'euros. Privatisé et vendu à un mafieux chinois qui après avoir pillé et endetté cette entreprise pour plusieurs centaines de millions d'euros la fait racheter par l'Etat français au double du prix d'achat grace à la validation personnelle de macron!!
7. la destruction en cours des services de santé publiques (qui il y a 3 décennies était le meilleur au monde!) en vue de le vendre une poignée de cacahuètes à des mutuelles privées, c'est quoi pour toi!!!???
8. des exemples comme ça de détournement de la puissance publique pour des intérêts financiers privés, il y en a des tonnes!
Alors enlèves tes œillères et cultive toi pour comprendre quel système est utilisé pour nous clochardiser à vitesse grand V
@@merlin2368
1. personne ne se revendique néolibéral
2. tu confonds le néo-libéralisme et le capitalisme d'État (Keynésiannisme) qui est anti-libéral donc au pire il s'agit de néo-capitalisme
3. les libertariens veulent un laissez-faire du marché donc dire que les libertariens sont des néo-libéraux (selon ta définition) ça tombe à l'eau
@@grosenerve6537
Le Keynesianisme c'est la création d'entreprises qui servent la population, comme l'Etat doit servir la servir également
Le néolibéralisme, c'est la privatisation de l'Etat pour qu'il serve les intérêts privés
Le libéralisme, c'est la séparation de l'Etat et de l'économie--> oui, je suis d'accord avec toi, les libertariens sont des libéraux intégristes/extrémistes.
J'ai partagé avec toi mon opinion (qui ne vaut pas plus que celle d'un autre sur cette question) dans un autre fil de commentaires
Merci ❤