For mi da ble! Voilà, je connais votre travail depuis 2 ans, j’ai tenté le principe de syntropie sur notre terrain, je vais tout reprendre sans arracher les fruitiers que j’ai planté depuis 3 ans… Je vais acheter votre livre et j’envisage un stage chez vous, c’est pour moi une connaissance fondamentale à apprivoiser!! Merci pour TOUT votre travail et vos partages! Bravo encore!
je ne comprends pas tout...j'suis sur un endroit pauvre pauvre pauvre avec une maison mitoyenne vendue il y a 4/5 ans qui a balourdé toutes ses termites et produits toxiques dans "le jardin". les arbres j'adore, la simplicité j'adore avec tous ces adorages à quoi allons nous ariver ? Merci pour l'article, je partage avec enthousiasme. Nilse
les quantités de graines/boutures me font un peu halluciner car je n'y connais pas grand chose. ça vous paraît crédible ou pas pour une personne qui gère seule un jardin? (je précise que je ne suis arrivé qu'à la moitié du livre et c'est en cours)
Il faut faire la part des choses, le livre est en grande partie orienté vers les professionnels "maraichers" pour les particuliers ayant un petit terrain avec un potager, vous allez mettre des bordures (à couper et quelques pieds de petits fruits : cassis, groseillers(les framboisiers sont trop envahissants) ) autour de votre potager et peut-être insérer au coeur du maïs pour faire de la biomasse, et dans un coin quelques coins des tournesols (parce que c''est beau et offrir de la nourriture aux mésanges et autres oiseaux ) mais vous n'allez pas mettre des arbres ou arbustes plus grands. J'ai testé les maïs et les tournesols, pour la biomasse c'est bien par contre si vous avez un terrain très venteux il vous faudra peut-être tuteurer les tournesols.
Je bouture toute l'année ( depuis juin) romarin, lavande, camomille, framboisiers, menthe, santoline, vigne, forsythia , jasmin d'hiver, directement dans le sol ou dans des pots sur le terrain. J'en récupère un peu partout où je me promène des boutures. Je n'ai pas encore osé mettre les groseilliers. Je teste ailleurs. J'ai semé des graines de kiwis ( piquées dans les fruits), je récupère tous les pépins et noyaux des fruits et avocats mangés. J'ai semé des noisettes... Si tout pousse, je vais devoir aiguiser mes sécateurs. Pour les bordures, je vais recommencer à remplir de terre des pots récupérés pour faire les boutures dedans, garder l'humidité dessous et faire une barrière avec les allées. Bon, j'ai deux tortues, quatre buttes et des coins recouverts de tout ce que je trouve. Dès qu'il s'arrête de pleuvoir , geler et neiger ( proche) je fonce. L'an dernier, j'ai dû pailler avec tout ce qui a résisté à la sécheresse. Cannes de Provence nouvelles, romarin, lavande, jasmin, santoline, camomille, tournesols, lierre... Et pour une minuscule tortue de moins de 2 M2 il a fallu en débiter des morceaux au sécateur pour aider les plantes à survivre jusqu'à la pluie. Chaque visite un peu mais régulier, régulièrement... Ça a payé. Comme mon âge ne m'aide pas, j'avance un peu à chaque séance. Quelques boutures nouvelles, quelques perturbations, deux petits carrés de semis denses et 2 plantations de boutures enracinées au bord... Voilà ma routine de printemps. J'ai un petit problème, à force de perturber et mettre au sol, le sol devient une petite butte et j'ai tellement peur qu'une inondation l'emporte que je vais faire des plessis.
Bonjour, La vidéo a été tournée ce mois de février. C'est à partir de juillet que l'on peut voir les plantations. Mais il y a bien sûr des photos dans le livre et vous pouvez vous rendre sur cette page en bas de laquelle vous trouverez d'autres vidéos www.syntropie.info/
@@ami443 Ernst Götsch travaille une terre très pauvre au nord-est du Brésil. Peut-être vous savez quel genre de terre on peut trouvé dans cette région de notre terre.
Sans vouloir aucunement polémiquer, je suis très intéressé par ces explications et en ayant déjà intuitivement commencé à "produire" avec des méthodes très proches, je m'étonne que dans aucune vidéo on n'ait la preuve en image de "l'incroyable efficacité" de ce système dans un potager.
Bonjour, Des débuts de l'agriculture à aujourd'hui, on a toujours cru qu'améliorer la fertilité d'une terre prenait des années voire des décennies... Alors qu'il suffit de seulement 5 mois avec cette super méthode ! C'est fou ce qu'on tente de nous faire avaler pour pouvoir vendre des stages et des bouquins. Tellement comique, ça pourrait déboucher sur un Louis de Funès : "Le gendarme de Syntropie" ?!? Etonnant que Terre Vivante cautionne une telle supercherie...
c'est quoi une terre alimentée abondamment par du feuillage et des branchages ? Cela s'appelle "copié" la forêt avec une terre humifère ! un bon terreau naturel Depuis quand la "mode" du terreau au jardin potager existe ? Depuis quand c'est une supercherie ? Je crois que vous essayez d'être un comique, mais en fait, vous n'êtes ni un comique ni un expert du jardinage !
Sur un terrain dévasté ( le sol avait foutu le camp, les caillasses seules restaient et j'ai arrêté de labourer avec une pioche, j'ai cassé deux manches) cela a marché dans des conditions extrêmes ( températures folles et interdiction d'arroser). Essayez sur un mauvais terrain. Ça marche. Jusque là, je plantais, sur d'autres terrains, des haies pour créer de la matière organique. Cet été,j'ai testé, sur un terrain nouveau, avec des annuelles en attendant la pousse des pérennes. En tous les cas c'est une méthode logique. Créer sur place de la matière organique. A mon âge avancé, je continue de tester. Ce qui ne marche pas tombe aux oubliettes. Je ne peux pas transporter trop de poids, cette méthode me convient et convient à mon sol. Elle ne vous convient pas, je l'entends. Mais pouvez-vous concevoir qu'elle soit adaptée à d'autres?
Bonjour, peut on connaitre le nom de la plante qui est coupée a 3,06. A 6,42, quelle consoude utilise t elle, ce n est pas la Bocking14? merci beaucoup
La consoude officinale, si votre terrain lui convient elle va devenir très, très envahissante, voir impossible à gérer. J'ai mis plus de 3 ans a tenter de retirer la consoude officinale de mon potager (et si vous essayer de la retirer et que vous laissez un tronçon de racine elle va repousser, la racine est très "cassante") , j'en ai finalement mis un pied dans un grand contenant en 2023 alors que je pensais ne plus en avoir) que je garde à l'extérieur du potager. C'est une plante magnifique mais cette variété (officinale) est trop envahissante pour un potager il faut la réserver aux grands espaces naturels...
Si vous voulez absolument mettre de la consoude et qu'elle ne se sement pas partout optez pour la bocking 14 qui est stérile, il existe d'autres variétés de consoude mais je ne sais pas comment elles se comportent (envahissantes ou pas)😊
si le sol est pauvre rien ne pousse peu importe les techniques utilisées , améliorer un sol pauvre prends du temps et doit forcément être amender par des apports extérieurs puisque le sol est pauvre. En réalité votre sol n'a rien de pauvre au départ...
. Bien sûr que cela prend du temps, c'est pour cela qu'elle fait du semis ou des plantations de plantes ayant une croissance importe et rapide afin d'accélérer l'enrichissement et éviter des apports extérieurs. Des plantes poussent aussi sur les sols pauvres. Le mas aime toutes sortes de terre, il me semble¨. Il permet d'obtenir pas mal de matières
J'aurais dû vous faire une photo de mon sol en juin 2023 de mon nouveau terrain.. Des caillasses accumulées ( vous voyez les chemins en pente ou passent les troupeaux , les ''drailles'', et bien au moins sur ces chemins on voit un peu de terre) Après, mon sol avait foutu le camp. J'ai varié les techniques, buttes nettoyantes, lasagnes, sol... Sur les 3 structures, la syntropie était en plus. Il a fallu batailler pour trouver des mauvaises herbes, elles rampaient. Cette année, je suis ravie d'avoir des mauvaises herbes à hauteur de poitrine. Par contre , quand, j'ai cru comprendre le principe, cela m'a demandé un énorme travail de bouturage et de récoltes de graines aussi bien cultivées qu'en extérieur. À oui, j'aérais le sol à la pioche ( avec un casque intégral, les cailloux voltigeaient)ou à la tarière ( pour trouver un peu de terre)... Sud montagne avec interdiction d'arroser plus d'un mois et demi l'été dernier. A la première pluie le potager a explosé et le potager a été production. Les plants ont résisté en attendant des jours meilleurs. En traditionnel, tout a grillé et j'avais des lézardes d'au moins 10 cm dans les cailloux. Et ne me dîtes pas que j'aurais dû faire livrer un camion de terre végétale ou de compost ! Le transport des produits, c'est dans mon sac à dos. C'était un travail de fourmi. Pourtant, automne, hiver, printemps le potager n'a pas arrêté de produire. L'eau, qui est tombée a dû relancer la fertilité. Mais automne, hiver printemps, été, je coupe, je hache aux sécateurs. Il est moins lourd de transporter graines et boutures que du compost.
Je me suis appuyée sur les tournesols, les jeunes cannes de Provence, le romarin, la lavande, les prunelliers, la menthe et le lierre, la première année pour pailler ( on prend ce qui pousse). Vous allez rire, les ronces étaient minuscules ( des bonsaïs). En plus, ce printemps, les fèves et les pois ( énormes cette année) sont au sol. L'an dernier mes pieds de petits plus étaient si riquiquis ( 10 cm) que le bas des pois touchaient le sol, c'était joli, de voir une tige maintenue droite par les petits pois assez nombreux autour. Cette année, les pois nains, sont montés à hauteur de poitrine. Ce n'est pas qu'une question de pluies. L'an dernier juin a été très pluvieux aussi.
Voilà la dernière "nouveauté" dont tout le monde parle dans les potagers! Magique, bien entendu, comme toutes celles qui ont précédé. Depuis les (trop) nombreuses années que je produis une partie de mon alimentation, je peux dire que j'en ai vu passer. Traditionnelle (bêchage, fumage, désherbage, butage, arrosage...) Puis associations de légumes, puis finalement non, puis permaculture, buttes ou pas buttes, avec ou sans bois pourri là dessous? On mélange toutes les productions, puis finalement non, on retrouve rien, et la rotation? On rote ou pas ? Au fait, vous reprendrez bien des lasagnes? Parce qu'on ne doit pas travailler le sol, enfin...ça dépend ! Et couvert végétal surtout...enfin pas tout le temps, hein. Et l'arrosage, parlons-en. Mais non dit l'un, messie dit l'autre (normal à Pâques😅). L'agroforesterie, les sols vivants, les wagons de broyats, de brf, de fumier, de compost. Mais non, vous en mettez trop cher monsieur, soyez parcimonieux avec votre sol, enfin! Mais pas du tout, trop n'est jamais assez, voyons! L'âge a ceci de bon, c'est que si on doit mettre ses lunettes pour lire, les modes, par contre, on les voit venir de loin ! Des bisous 😘
@@jeanwiller3453 Et le biochar, la terra preta , les EM etc .... Tout est bon , si c est bien fait , au bon endroit , sur le sol et le climat qui conviennent . Je ... " pioche" ...ici et là mais sans travail du sol 😁
C'est tentant, on a envie de consacrer une petite parcelle pour expérimenter la chose, mais... Mon potager est en lisière de forêt, et si je laisse une telle densité de végétation, je serai obligé de porter une combinaison intégrale pour me protéger des tiques qui sont déjà abondantes alors que le potager (pour cette raison) est maintenu relativement "clean".
Au Brésil, il a fait pousser une forêt sur un espace qui avait été déboisé et extrêmement appauvri et il y arrivait mieux que ses voisins en monoculture. Ce qui est « extraordinaire » pourrait être tout à fait ordinaire dans un monde où l’on se préoccupe du vivant et de ses cycles, mais aujourd’hui, contre la monoculture, cela semble extraordinaire.
Bonjour, et si nous commencions plutôt par reconnaître notre ignorance ? Un exemple : il existerait entre 3 et 8 millions espèces d'insectes ; aujourd'hui nous ne connaissons qu'un million de ces espèces. ( Sources : Emmanuelle Porcher, leçon inaugurale au Collège de France, 18/012024 ). Concernant la compréhension de le "vie du sol " , la science est pareillement à ses commencements ( Marc - André Selosse, biologiste spécialiste de botanique et de mycologie, vulgarisateur) Tout cela pour dire que l'approche que vous présentez est tout à la fois d'un grand intérêt et d'une immense complexité. J'aimerais ajouter trois remarques qui me semblent de prudence : - quelque soit le projet commençons par bien observer son sol : chez moi il y a une sous-couche rocheuse infranchissable à - 80 cm. Pour qu'un arbre est une chance de bien prendre racine je dois compter 5h de fracturation avec une barre à mine) - Bien se renseigner sur ce qui pousse bien localement, compte tenu du changement climatique la plus grande prudence s'impose. - Enchantons notre quotidien mais tout en restant mesurés et conscients de notre ignorance.
Bonjour, Anaëlle Théry est tout-à-fait en phase avec votre point de vue. Elle dit souvent que "Le vivant est notre professeur" et qu'il nous faut être humble pour pouvoir appendre (en osant remettre en cause nos acquis et croyances)
@@TerreVivanteScop Je n'ai rien contre la démarche d'Annaël Théry et la synthropie est une approche qui mérite notre attention . Si j'ai l'occasion d'avoir son livre entre les mains je le lirai avec intérêt. Solution révolutionnaire je n'y crois pas à cette heure mais je ne demande qu'à en savoir plus 🙂.
Commencé l'été dernier. Beaucoup de choses ont fonctionné alors que j'ai eu une interdiction d'arroser plus d'un mois et demi. J'ai commencé riquiqui, environ 40 cm sur un mètre. La syntropie a résisté mais sur les buttes et lasagnes aussi. Sur le sol normal, les pommes de terre sous paillis ont cuit. Lézardes dans le sol et goût de purée ( sous paillis, jamais vu cela). A ce jour, je pense syntropie sur tout le potager, buttes, lasagnes, sol. Toutes les structures sont en syntropie. Il reste un semi échec en syntropie sur une surface de 30 cm sur 1 mètre... Quoique, sur mon cahier, je n'ai rien noté à part boutures qui ont réussi. Tout l'hiver les semis de fèves étaient en fleurs en syntropie ( test)alors qu' en sol ordinaire ils ont grillé comme attendu avec le gel. Franchement, comme je découvrais ce terrain, je ne sais si c'est la syntropie ou les micro climats du terrain. Le problème, c'est que je ne suis arrivée à couper les plants de fèves qu'après la production. Je mets maintenant certaines tomates. Mon sol s'est reconstitué le premier été. A ce jour, j'ai eu une chance inouïe, j'ai récupéré du sol ( boue) qui a dévalé en plus. J'avais structuré mon terrain pour garder le maximum d'eau. J'ai dû casser un peu la structure pour évacuer l'eau. Je suis convaincue mais c'est un travail sur une année, récoltes de graines, confection de boutures à un niveau jamais atteint. Sur les buttes l'été dernier du lierre et un pied de cannes de Provence se sont invités. Au lieu de les éradiquer, ils m'ont servi à perturber. Je sème et bouture tous les jours. Mes perturbations. Lavande, romarin, cannes vertes de Provence nouvelle en priorité. Un seul problème, j'ai tellement fait de semis nouveaux que je ne reconnais pas toujours mes plantes. Cet été, j'étiquette sérieusement. En creusant pour les semis d'annuelles, je trouve des tas de graines germées d'arbres que je ne reconnais pas toujours . Vous m'avez sortie d'un ronronnement jardinesque. Pour l'instant c'est résilient. Voir la suite.
Bonjour, "Objectivement cest complètement magique " .... ok , encore une nouvelle mode pour des formations a gogo sans réel recul en France ni cas de ferme en fonctionnement 😅 pourtant il y a de bonnes idées , de bon concept et des faits scientifiques intéressants mais noyer dans des croyances et de l'idéologie, quel dommage ! L agronome que je suis reste toujours très septique par cet exemple français que l'on site partout ... Plus de rigueur et d'approche scientifique seraient les bienvenues
Il y a des projets en activité comme la ferme des Mawagitts. On n'a pas un recul énorme en France certes, tout au plus peut-être 5-6 ans, mais ça avance. En tout cas ça bosse ;)
@@LePaysagisteDuSubtil oui donc on est d'accord, il faut laisser le temps aux gens de tester et de faire leur retour d'expérience avant de crier partout que cela fonctionne ;-)
@@naturaewildstudio580 Le livre d'Anaëlle Théry est bien là pour diffuser de la connaissance, basée sur ses 6 années d'expérimentations. Cela permet à d'autres de tester et de prendre des idées.
@@TerreVivanteScop oui j'entends , sauf que 6 ans en agricultures et en agro foresterie ce n'est rien 😂 je suis agronome et je trouve cela vraiment dommage de crier haut et fort que cela marche sans répétition : 1 seul cas en France et pas de répétitions de tous les différents systèmes syntropiques non plus ... Alors oui et désolé si cela ne vous plaît mais ce n'est pas sérieux. C'est juste vendre du rêve, sans identifier les limites et conditions d'application Bien à vous
@@naturaewildstudio580 c'est du flan , si le sol est pauvre rien ne poussera , donc pas de biomasse à récupérer surplace. il faut forcément des apports extérieurs pour améliorer le sol
Vous trouverez des éléments de réponse ici par exemple www.graines-semences.com/actualites/2937-maladie-mildiou-prevention-lutte-engrais-bouillie-bordelaise-potager-vignes-fongicides-bio.html
For mi da ble! Voilà, je connais votre travail depuis 2 ans, j’ai tenté le principe de syntropie sur notre terrain, je vais tout reprendre sans arracher les fruitiers que j’ai planté depuis 3 ans… Je vais acheter votre livre et j’envisage un stage chez vous, c’est pour moi une connaissance fondamentale à apprivoiser!! Merci pour TOUT votre travail et vos partages! Bravo encore!
Merci
Votre livre est un Trésor
absolument enthousiasmant ! Merci !
je ne comprends pas tout...j'suis sur un endroit pauvre pauvre pauvre avec une maison mitoyenne vendue il y a 4/5 ans qui a balourdé toutes ses termites et produits toxiques dans "le jardin". les arbres j'adore, la simplicité j'adore avec tous ces adorages à quoi allons nous ariver ? Merci pour l'article, je partage avec enthousiasme. Nilse
hello , j'arrive pas à trouver un pantalon comme celui que porte Anaelle.. si qq'un sait ? merci à vous
les quantités de graines/boutures me font un peu halluciner car je n'y connais pas grand chose. ça vous paraît crédible ou pas pour une personne qui gère seule un jardin? (je précise que je ne suis arrivé qu'à la moitié du livre et c'est en cours)
Il faut faire la part des choses, le livre est en grande partie orienté vers les professionnels "maraichers" pour les particuliers ayant un petit terrain avec un potager, vous allez mettre des bordures (à couper et quelques pieds de petits fruits : cassis, groseillers(les framboisiers sont trop envahissants) ) autour de votre potager et peut-être insérer au coeur du maïs pour faire de la biomasse, et dans un coin quelques coins des tournesols (parce que c''est beau et offrir de la nourriture aux mésanges et autres oiseaux ) mais vous n'allez pas mettre des arbres ou arbustes plus grands. J'ai testé les maïs et les tournesols, pour la biomasse c'est bien par contre si vous avez un terrain très venteux il vous faudra peut-être tuteurer les tournesols.
Je bouture toute l'année ( depuis juin) romarin, lavande, camomille, framboisiers, menthe, santoline, vigne, forsythia , jasmin d'hiver, directement dans le sol ou dans des pots sur le terrain.
J'en récupère un peu partout où je me promène des boutures.
Je n'ai pas encore osé mettre les groseilliers. Je teste ailleurs.
J'ai semé des graines de kiwis ( piquées dans les fruits), je récupère tous les pépins et noyaux des fruits et avocats mangés. J'ai semé des noisettes...
Si tout pousse, je vais devoir aiguiser mes sécateurs.
Pour les bordures, je vais recommencer à remplir de terre des pots récupérés pour faire les boutures dedans, garder l'humidité dessous et faire une barrière avec les allées.
Bon, j'ai deux tortues, quatre buttes et des coins recouverts de tout ce que je trouve.
Dès qu'il s'arrête de pleuvoir , geler et neiger ( proche) je fonce.
L'an dernier, j'ai dû pailler avec tout ce qui a résisté à la sécheresse. Cannes de Provence nouvelles, romarin, lavande, jasmin, santoline, camomille, tournesols, lierre...
Et pour une minuscule tortue de moins de 2 M2 il a fallu en débiter des morceaux au sécateur pour aider les plantes à survivre jusqu'à la pluie. Chaque visite un peu mais régulier, régulièrement... Ça a payé.
Comme mon âge ne m'aide pas, j'avance un peu à chaque séance.
Quelques boutures nouvelles, quelques perturbations, deux petits carrés de semis denses et 2 plantations de boutures enracinées au bord... Voilà ma routine de printemps.
J'ai un petit problème, à force de perturber et mettre au sol, le sol devient une petite butte et j'ai tellement peur qu'une inondation l'emporte que je vais faire des plessis.
Pas beaucoup de visuels sur les expérimentations déjà réalisées.
cest un suisse allemand au brésil dans des terres fertiles LOL.... trop facile...il aurait du faire ça dans le sahara, on aurait pris ça au sérieux.
Bonjour, La vidéo a été tournée ce mois de février. C'est à partir de juillet que l'on peut voir les plantations. Mais il y a bien sûr des photos dans le livre et vous pouvez vous rendre sur cette page en bas de laquelle vous trouverez d'autres vidéos www.syntropie.info/
@@ami443 Ernst Götsch travaille une terre très pauvre au nord-est du Brésil. Peut-être vous savez quel genre de terre on peut trouvé dans cette région de notre terre.
@@vheidiheberhard2590 non, même les terres pauvres du brésil sont très très très très riches par rapport au sahara ou au sahel.
Slt merci pour le moment 😊
Sans vouloir aucunement polémiquer, je suis très intéressé par ces explications et en ayant déjà intuitivement commencé à "produire" avec des méthodes très proches, je m'étonne que dans aucune vidéo on n'ait la preuve en image de "l'incroyable efficacité" de ce système dans un potager.
Bonjour, vous aurez un bel aperçu de la vie sur le terrain syntropique d'Anaëlle Théry. ruclips.net/video/kFCDZZmZLPk/видео.html
Bonjour
En accord
J ai le livre
Je teste
Enthousiaste
Quoi de plus beau que la nouveauté et les expériences
Merci
Ok
Merci
Magnifique
Complet
A la ligne
Le vivant
Énorme
La pluie
J’adore
C’est superbe
Derien
Et tes sprouts c'est du channel 5?
Bonjour,
Des débuts de l'agriculture à aujourd'hui, on a toujours cru qu'améliorer la fertilité d'une terre prenait des années voire des décennies... Alors qu'il suffit de seulement 5 mois avec cette super méthode !
C'est fou ce qu'on tente de nous faire avaler pour pouvoir vendre des stages et des bouquins.
Tellement comique, ça pourrait déboucher sur un Louis de Funès : "Le gendarme de Syntropie" ?!?
Etonnant que Terre Vivante cautionne une telle supercherie...
c'est quoi une terre alimentée abondamment par du feuillage et des branchages ? Cela s'appelle "copié" la forêt avec une terre humifère ! un bon terreau naturel
Depuis quand la "mode" du terreau au jardin potager existe ? Depuis quand c'est une supercherie ?
Je crois que vous essayez d'être un comique, mais en fait, vous n'êtes ni un comique ni un expert du jardinage !
Sur un terrain dévasté ( le sol avait foutu le camp, les caillasses seules restaient et j'ai arrêté de labourer avec une pioche, j'ai cassé deux manches) cela a marché dans des conditions extrêmes ( températures folles et interdiction d'arroser).
Essayez sur un mauvais terrain. Ça marche.
Jusque là, je plantais, sur d'autres terrains, des haies pour créer de la matière organique.
Cet été,j'ai testé, sur un terrain nouveau, avec des annuelles en attendant la pousse des pérennes.
En tous les cas c'est une méthode logique. Créer sur place de la matière organique.
A mon âge avancé, je continue de tester. Ce qui ne marche pas tombe aux oubliettes.
Je ne peux pas transporter trop de poids, cette méthode me convient et convient à mon sol.
Elle ne vous convient pas, je l'entends.
Mais pouvez-vous concevoir qu'elle soit adaptée à d'autres?
Moins on en sait plus on croit savoir...
Bonjour, quelle est la différence entre SYNTROPIE et POLYCULTURE et aussi avec PERMACULTURE et aussi avec les méthode de PIERRE RABHI ?????
Bonjour, peut on connaitre le nom de la plante qui est coupée a 3,06.
A 6,42, quelle consoude utilise t elle, ce n est pas la Bocking14?
merci beaucoup
C'est de la consoude officinale, qui a une croissance plus rapide et qui donne plus de biomasse (un élève d'Anaëlle)
La consoude officinale, si votre terrain lui convient elle va devenir très, très envahissante, voir impossible à gérer. J'ai mis plus de 3 ans a tenter de retirer la consoude officinale de mon potager (et si vous essayer de la retirer et que vous laissez un tronçon de racine elle va repousser, la racine est très "cassante") , j'en ai finalement mis un pied dans un grand contenant en 2023 alors que je pensais ne plus en avoir) que je garde à l'extérieur du potager. C'est une plante magnifique mais cette variété (officinale) est trop envahissante pour un potager il faut la réserver aux grands espaces naturels...
@@xivixfi5540 merci pour le retour.
Si vous voulez absolument mettre de la consoude et qu'elle ne se sement pas partout optez pour la bocking 14 qui est stérile, il existe d'autres variétés de consoude mais je ne sais pas comment elles se comportent (envahissantes ou pas)😊
❤❤❤❤
si le sol est pauvre rien ne pousse peu importe les techniques utilisées , améliorer un sol pauvre prends du temps et doit forcément être amender par des apports extérieurs puisque le sol est pauvre. En réalité votre sol n'a rien de pauvre au départ...
. Bien sûr que cela prend du temps, c'est pour cela qu'elle fait du semis ou des plantations de plantes ayant une croissance importe et rapide afin d'accélérer l'enrichissement et éviter des apports extérieurs. Des plantes poussent aussi sur les sols pauvres. Le mas aime toutes sortes de terre, il me semble¨. Il permet d'obtenir pas mal de matières
J'aurais dû vous faire une photo de mon sol en juin 2023 de mon nouveau terrain..
Des caillasses accumulées ( vous voyez les chemins en pente ou passent les troupeaux , les ''drailles'', et bien au moins sur ces chemins on voit un peu de terre)
Après, mon sol avait foutu le camp.
J'ai varié les techniques, buttes nettoyantes, lasagnes, sol... Sur les 3 structures, la syntropie était en plus.
Il a fallu batailler pour trouver des mauvaises herbes, elles rampaient.
Cette année, je suis ravie d'avoir des mauvaises herbes à hauteur de poitrine.
Par contre , quand, j'ai cru comprendre le principe, cela m'a demandé un énorme travail de bouturage et de récoltes de graines aussi bien cultivées qu'en extérieur.
À oui, j'aérais le sol à la pioche ( avec un casque intégral, les cailloux voltigeaient)ou à la tarière ( pour trouver un peu de terre)...
Sud montagne avec interdiction d'arroser plus d'un mois et demi l'été dernier.
A la première pluie le potager a explosé et le potager a été production. Les plants ont résisté en attendant des jours meilleurs.
En traditionnel, tout a grillé et j'avais des lézardes d'au moins 10 cm dans les cailloux.
Et ne me dîtes pas que j'aurais dû faire livrer un camion de terre végétale ou de compost ! Le transport des produits, c'est dans mon sac à dos.
C'était un travail de fourmi.
Pourtant, automne, hiver, printemps le potager n'a pas arrêté de produire.
L'eau, qui est tombée a dû relancer la fertilité.
Mais automne, hiver printemps, été, je coupe, je hache aux sécateurs.
Il est moins lourd de transporter graines et boutures que du compost.
Je me suis appuyée sur les tournesols, les jeunes cannes de Provence, le romarin, la lavande, les prunelliers, la menthe et le lierre, la première année pour pailler ( on prend ce qui pousse).
Vous allez rire, les ronces étaient minuscules ( des bonsaïs).
En plus, ce printemps, les fèves et les pois ( énormes cette année) sont au sol.
L'an dernier mes pieds de petits plus étaient si riquiquis ( 10 cm) que le bas des pois touchaient le sol, c'était joli, de voir une tige maintenue droite par les petits pois assez nombreux autour.
Cette année, les pois nains, sont montés à hauteur de poitrine.
Ce n'est pas qu'une question de pluies.
L'an dernier juin a été très pluvieux aussi.
Voilà la dernière "nouveauté" dont tout le monde parle dans les potagers! Magique, bien entendu, comme toutes celles qui ont précédé. Depuis les (trop) nombreuses années que je produis une partie de mon alimentation, je peux dire que j'en ai vu passer. Traditionnelle (bêchage, fumage, désherbage, butage, arrosage...) Puis associations de légumes, puis finalement non, puis permaculture, buttes ou pas buttes, avec ou sans bois pourri là dessous? On mélange toutes les productions, puis finalement non, on retrouve rien, et la rotation? On rote ou pas ? Au fait, vous reprendrez bien des lasagnes? Parce qu'on ne doit pas travailler le sol, enfin...ça dépend ! Et couvert végétal surtout...enfin pas tout le temps, hein. Et l'arrosage, parlons-en. Mais non dit l'un, messie dit l'autre (normal à Pâques😅). L'agroforesterie, les sols vivants, les wagons de broyats, de brf, de fumier, de compost. Mais non, vous en mettez trop cher monsieur, soyez parcimonieux avec votre sol, enfin!
Mais pas du tout, trop n'est jamais assez, voyons!
L'âge a ceci de bon, c'est que si on doit mettre ses lunettes pour lire, les modes, par contre, on les voit venir de loin !
Des bisous 😘
Vous avez oublié la mode des légumes oubliés...😂
40 ans d experiences! Une mode!
@@Panchapoilblan Il n'y a de nouveau que ce qui a été oublié 😄
@@jeanwiller3453
Et le biochar, la terra preta , les EM etc ....
Tout est bon , si c est bien fait , au bon endroit , sur le sol et le climat qui conviennent . Je ... " pioche" ...ici et là mais sans travail du sol 😁
@@dominiqueperney3058 vous avez bien raison! Je prends aussi les techniques que je trouve les plus intéressantes et je ne travaille plus mon sol ;)
C'est tentant, on a envie de consacrer une petite parcelle pour expérimenter la chose, mais...
Mon potager est en lisière de forêt, et si je laisse une telle densité de végétation, je serai obligé de porter une combinaison intégrale pour me protéger des tiques qui sont déjà abondantes alors que le potager (pour cette raison) est maintenu relativement "clean".
Donc en gros, un allemand fait une méthode révolutionnaire dans la foret brésilienne ?????? Mais c'est la foret brésilienne, tout y pousse !!!!!
Il aurait dû essayer dans certaines régions africaines. Le problème de la faim aurait été en partie résolu.
@@lerucherdesmonts plutot dans le sahara, car dans les forets c 'est trop facile.
Au Brésil, il a fait pousser une forêt sur un espace qui avait été déboisé et extrêmement appauvri et il y arrivait mieux que ses voisins en monoculture. Ce qui est « extraordinaire » pourrait être tout à fait ordinaire dans un monde où l’on se préoccupe du vivant et de ses cycles, mais aujourd’hui, contre la monoculture, cela semble extraordinaire.
Même au Brésil, il y a des sols dégradés par la culture intensive
Bonjour, et si nous commencions plutôt par reconnaître notre ignorance ?
Un exemple : il existerait entre 3 et 8 millions espèces d'insectes ; aujourd'hui nous ne connaissons qu'un million de ces espèces. ( Sources : Emmanuelle Porcher, leçon inaugurale au Collège de France, 18/012024 ). Concernant la compréhension de le "vie du sol " , la science est pareillement à ses commencements ( Marc - André Selosse, biologiste spécialiste de botanique et de mycologie, vulgarisateur)
Tout cela pour dire que l'approche que vous présentez est tout à la fois d'un grand intérêt et d'une immense complexité. J'aimerais ajouter trois remarques qui me semblent de prudence :
- quelque soit le projet commençons par bien observer son sol : chez moi il y a une sous-couche rocheuse infranchissable à - 80 cm. Pour qu'un arbre est une chance de bien prendre racine je dois compter 5h de fracturation avec une barre à mine)
- Bien se renseigner sur ce qui pousse bien localement, compte tenu du changement climatique la plus grande prudence s'impose.
- Enchantons notre quotidien mais tout en restant mesurés et conscients de notre ignorance.
Bonjour, Anaëlle Théry est tout-à-fait en phase avec votre point de vue. Elle dit souvent que "Le vivant est notre professeur" et qu'il nous faut être humble pour pouvoir appendre (en osant remettre en cause nos acquis et croyances)
@@TerreVivanteScop Je n'ai rien contre la démarche d'Annaël Théry et la synthropie est une approche qui mérite notre attention . Si j'ai l'occasion d'avoir son livre entre les mains je le lirai avec intérêt. Solution révolutionnaire je n'y crois pas à cette heure mais je ne demande qu'à en savoir plus 🙂.
Mon problème c'est que je dois adapter la syntropie au sud-montagne sur un terrain dévasté.
Commencez petit !
Commencé l'été dernier.
Beaucoup de choses ont fonctionné alors que j'ai eu une interdiction d'arroser plus d'un mois et demi.
J'ai commencé riquiqui, environ 40 cm sur un mètre. La syntropie a résisté mais sur les buttes et lasagnes aussi. Sur le sol normal, les pommes de terre sous paillis ont cuit. Lézardes dans le sol et goût de purée ( sous paillis, jamais vu cela).
A ce jour, je pense syntropie sur tout le potager, buttes, lasagnes, sol.
Toutes les structures sont en syntropie.
Il reste un semi échec en syntropie sur une surface de 30 cm sur 1 mètre... Quoique, sur mon cahier, je n'ai rien noté à part boutures qui ont réussi.
Tout l'hiver les semis de fèves étaient en fleurs en syntropie ( test)alors qu' en sol ordinaire ils ont grillé comme attendu avec le gel.
Franchement, comme je découvrais ce terrain, je ne sais si c'est la syntropie ou les micro climats du terrain.
Le problème, c'est que je ne suis arrivée à couper les plants de fèves qu'après la production. Je mets maintenant certaines tomates.
Mon sol s'est reconstitué le premier été. A ce jour, j'ai eu une chance inouïe, j'ai récupéré du sol ( boue) qui a dévalé en plus.
J'avais structuré mon terrain pour garder le maximum d'eau. J'ai dû casser un peu la structure pour évacuer l'eau.
Je suis convaincue mais c'est un travail sur une année, récoltes de graines, confection de boutures à un niveau jamais atteint.
Sur les buttes l'été dernier du lierre et un pied de cannes de Provence se sont invités.
Au lieu de les éradiquer, ils m'ont servi à perturber.
Je sème et bouture tous les jours.
Mes perturbations.
Lavande, romarin, cannes vertes de Provence nouvelle en priorité.
Un seul problème, j'ai tellement fait de semis nouveaux que je ne reconnais pas toujours mes plantes.
Cet été, j'étiquette sérieusement.
En creusant pour les semis d'annuelles, je trouve des tas de graines germées d'arbres que je ne reconnais pas toujours .
Vous m'avez sortie d'un ronronnement jardinesque. Pour l'instant c'est résilient. Voir la suite.
Bonjour,
"Objectivement cest complètement magique " .... ok , encore une nouvelle mode pour des formations a gogo sans réel recul en France ni cas de ferme en fonctionnement 😅 pourtant il y a de bonnes idées , de bon concept et des faits scientifiques intéressants mais noyer dans des croyances et de l'idéologie, quel dommage !
L agronome que je suis reste toujours très septique par cet exemple français que l'on site partout ... Plus de rigueur et d'approche scientifique seraient les bienvenues
Il y a des projets en activité comme la ferme des Mawagitts. On n'a pas un recul énorme en France certes, tout au plus peut-être 5-6 ans, mais ça avance. En tout cas ça bosse ;)
@@LePaysagisteDuSubtil oui donc on est d'accord, il faut laisser le temps aux gens de tester et de faire leur retour d'expérience avant de crier partout que cela fonctionne ;-)
@@naturaewildstudio580 Le livre d'Anaëlle Théry est bien là pour diffuser de la connaissance, basée sur ses 6 années d'expérimentations. Cela permet à d'autres de tester et de prendre des idées.
@@TerreVivanteScop oui j'entends , sauf que 6 ans en agricultures et en agro foresterie ce n'est rien 😂 je suis agronome et je trouve cela vraiment dommage de crier haut et fort que cela marche sans répétition : 1 seul cas en France et pas de répétitions de tous les différents systèmes syntropiques non plus ... Alors oui et désolé si cela ne vous plaît mais ce n'est pas sérieux. C'est juste vendre du rêve, sans identifier les limites et conditions d'application
Bien à vous
@@naturaewildstudio580 c'est du flan , si le sol est pauvre rien ne poussera , donc pas de biomasse à récupérer surplace. il faut forcément des apports extérieurs pour améliorer le sol
Dans un lieu humide comment ne pas avoir de mildiou lors des annees humides
Vous trouverez des éléments de réponse ici par exemple www.graines-semences.com/actualites/2937-maladie-mildiou-prevention-lutte-engrais-bouillie-bordelaise-potager-vignes-fongicides-bio.html
Ou comment vendre du rêve et des formations à des gogos...
Des arguments scientifiques en dehors de vos accusations ? kedechi