Les premiers "trans" reviennent (déjà) en arrière | 🅥🅘🅓🅔́🅞🅢🅒🅞🅟🅘🅔
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- Опубликовано: 6 сен 2024
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Bon, et bien je crois n'avoir rien oublié. Merci de m'avoir lu jusque là, et bon dimanche, "sous vos applaudissements".
#transitioning #detransitioning
Question à un million d euros; Est ce que Libération, Mediapart et le quotidien seraient prêt à interviewer des trans qui souffrent ?
Oui,
Dans un monde où ils seraient honnêtes
Non.
Allé aboule le milion
Quotidien avait invité la jeune Mila alors que nous connaissons tous leur inclinaison politique vis à vis de l'islam... Parfois ils prennent des risques seulement ils font cela uniquement pour l'audience (j'ai l'impression) et de toute façon une parole un peu dissidente comme celle de Mila se verra toujours moquée après coup.
On peut imaginer qu'une personne qui a détransitioné puisse passer par quotidien un jour mais bon le sujet est quand même casse-gueule pour la télévision je trouve...
Hahahaha cette question me fait bien rire, en ce qui concerne Mediapart ils sont gangrénés de l'intérieur déjà ça c'est une certitude. Quoique j'ai un petit doute sur le sens de la question, des trans ou bien des détrans ? Et qui souffrent pour quelle raison exactement ? Par désillusions, difficultés sociales post ou pré transition ? Ces précisions sont importantes car des trans qui souffrent est trop vague à mon avis. Ces cas sont différents.
Quand leur maitre le leur demandera
Je me permet de commenter pour la première fois sous ces vidéos, d'une part je suis directement concerné par le sujet (étant trans moi même), et je suis tout à fait d'accord sur le manque de suivi médicale. Certaines associations trans, et militants, cherchent à supprimer tout suivi psychiatrique avant de commencer un traitement hormonale, et c'est grave. Certes les personnes qui detransitionent sont rares, mais c'est déjà une vie de gâché en trop. Ce qui fait le plus de mal finalement, ce sont les personnes trans les plus médiatisées qui partagent des idées extrêmes et veulent demédicalisé les transitions, sachez que la majorité des personnes trans mènent une vie "normale", et que beaucoup refusent ce laxisme médicale.
Merci mon dieu, ayant moi-même une connaissance qui se trouve être un transgenre qui mène une vie "normale"; qui ne vit pas à travers sa transidentité, qui est perçu comme un mec banal par le monde entier, et qui n'est pas pro LGBT, ça me rassure.
À en voir les commentaires plus hauts, on dirait que les gens transgenres n'existent pas et qu'ils sont soit des LGBT hystériques, ou des gens qui le regretteront amèrement. Alors que c'est faux, les gens qui se fondent dans la masse ne se voient simplement pas c'est tout.
@@vivelafrance8244 exactement
Je suis trans et je me fonds dans la masse, pas besoin de le crier sur tous les toits.
Pourquoi ne suis-je ABSOLUMENT PAS surpris par ce soudain afflux de "de-transition" ?...
Quel gâchis...
Ca dépend de quel coté on se place,pour big pharma et les hôpitaux qui pratiquent ces chirurgies ça ne l'est pas,ils sont payés pour faire le changement mais aussi pour la détransition (on pourrait faire le même lien avec ce qui se passe actuellement)
@@lilianeriu821 C'est pour ca qu'en Angleterre et en Suede ils sont revenus sur l'autorisation pour les mineurs de transitionner. Ils se sont apercus que les hopitaux poussaient a la transition (pognon, pognon).
ça va... Au moins, ils comprennent qu'ils ont fait une connerie. Maintenant, il serait pas mal de pousser la porte un peu plus, à savoir réfléchir sur ce système économique.
"Faire et défaire, c'est toujours travailler."
@@lilianeriu821 sauf si vous seriez renseigné, il est irréversible après une opération, on peut pas revenir en arrière, donc même s'il voudrait revoir son pénis ça sera la construction du pénis.
Si c'était seulement que les hormones sans chirurgie, c'est réversible, car il peut soit arrêter les hormones ou soit prendre les hormones masculine.
Les adulescents sont les meilleurs consommateurs. Tout est dit.
Il a dit précisément : les adulescents capricieux...
Ok boomer
Surtout ceux qui basent tout sur leur acquisition de pognon. J'appelle ça des rêves de singes car si les gens se réalisaient, ils ne seraient pas frustrés du manque de pognon à afficher quand il s'agit de se distinguer en ayant une personnalité. Le voilà, le rêve du patriarcat paternaliste dans lequel ils se précipitent pour gonfler le contingent de gens, femmes y compris, qui ne se distinguent qu'ainsi. Les trans font une initiation dans le monde des initiations mais ils sont souvent juste brillants et leur intelligence est confondue avec cette recherche qui est autre que physiosexualitopsychoagendabelzebuthoanimusanima(l)eïque lol.
175 euros hahaha
@@b-__-bb-_-b pour ma part, le pognon ça sert surtout à survivre, comme se payer de quoi se loger, se nourrir, s'entretenir, et surtout payer les factures essentielles.
Ma petite sœur est exactement dans cette situation, elle n'a que 20 ans. En tant que que grande sœur je l'ai mise en garde, en lui expliquant que que toute cette culture pro-trans... est une idéologie mortifère qui promeut la haine de soi et encourage l'automutilation et la destruction de son corps. Dieu merci, elle n'a pris aucune décision irréversible pour le moment, pas d'injections et de chirurgie. J'espère qu'elle n'ira jamais jusque là. 😰
Quelle est la cause de son rejet d'identité à ton avis ?
@@PetiteLicorne je peux pas l'affirmer a 100%, mais on a vraiment été maltraité psychologiquement et physiquement par nos parents. ça vient sûrement de là. Mon père extrêmement misogyne, nous a appris que la femme est mauvaise, qu'elle est a l'origine du péché originel. Que c'est pour cela qu'elles souffrent durant leurs règles et à l'accouchement, c'est une punition divine. Il disait également que les femmes n'ont pas leurs places à des postes de haut rang ou à grande responsabilité (exemple : hôtesse de l'air = oui ; pilote d'avion = non). Et puis que la femme doit se soumettre à son mari, etc...
Ma mère elle, a été un exemple de féminité déplorable, non seulement elle adhérait aux idées de mon père, mais elle a toujours été dans une attitude victimaire et incapable de s'assumer elle même ainsi que de prendre ces responsabilités. Elle était aussi très instable, tantôt négligente, tantôt affectueuse, tantôt agressive. Quand on a grandi dans de telles conditions, on en sort pas indemne.
@@PetiteLicorne les hommes ont la vie facile 😆. Ils ont tous des postes à responsabilités bien payés, tout le monde les respectent dans la rue, personne ne vient les déranger et ils peuvent coucher facilement à droite à gauche tous les soirs avec une personne différente sans passer pour des flûtes. Tous les hommes savent ça 🤣
Moi j'ai toujours été un garçon manqué, je rejette les stéréotypes féminins, j'aimais jouer à la poupée et grimper aux arbres avec mes copains.
J'ai peu d'amies, je m'entends mieux avec les hommes.
Ça ne m'empêche pas d'être féminine, et hétéro.
Je ne suis pas non plus féministe, je suis pour l'égalité de chacun.
Les normes imposées aux femmes sont de pire en pire, et contrairement à ce qui affiche le respect régresse.
Dans mon métier, on me prend souvent pour la secrétaire, et beaucoup d'hommes ne feraient jamais affaires avec une femme.
On peut être la Femme que l'on souhaite.
Elle est encore jeune, et y'a encore trop d'importance au regard des autres.
Le plus important est d'être soit même et de s'aimer.
Pas changer pour de mauvaises raisons.
Moi aussi j'aurai préféré naître homme, avec tout ce que j'ai vécu comme abus et manque de reconnaissance.
Ce sont les stéréotypes de cette société qui donnent envie aux gens de devenir quelqu'un d'autre.
Et nos civilisations qui ne croient pas au Karma.
Nos âmes choisissent le corps dans lequel elles vont naître, après on oublie pourquoi et on est confronté à la vie, aux autres et à leur jugement et leurs actes.
Changer de sexe n'est pas anodin, il faut bien réfléchir, et en débattre avec des personnes qui savent écouter.
Ta sœur ou ton frère ducoup
Il y'a quelques années quand j'étais au lycée on m'a traité de "transphobe" car j'avais osé dire que j'avais du mal avec le processus de transition (qui est lourd , long et éprouvant et avec un retour en arrière quasi impossible pour retrouver sa précédente apparence en cas de regrets). Et innocemment quand j'avais dit à la personne avec qui je débattais "imagine ils regrettent" , elle m'a répondu personne "impossible ils sont surs d'eux, ils souffrent trop". Ben voyons ... Les remords des dé-trans me peinent énormément et ce, rien à voir avec de la transphobie...
Je peut vous posez une question ?
Pour moi qui suis concerné, je ne trouve pas ça transphobe… Mais ça ne doit en aucun cas invalider toutes les personnes transgenres qui transitionnent et se sentent beaucoup mieux après !
Yyy
La commu LGBT est connue pour être très radicale et intolérante, aux antipodes de ce qu'elle "met en avant". C'est pour ça que je ne soutiens absolument pas le lobby LGBT, mais je soutiens au cas par cas les homo, trans etc, ceux qui ne vont pas m'insulter, me stigmatiser, me haïr, si je ne dis pas comme eux.
La sélection naturelle se feras d’elle même
J'ai dû répondre à un questionnaire psychologique et personnel pour me faire recoller les oreilles (une intervention esthétique banale et quasi sans risque mais j'étais encore mineure à l'époque) bien plus lourd que tous ces gens pour se lancer dans une prise d'hormones irréversible et destructrice.
Le chirurgien a vérifié que je le faisais de mon plein gré. Il m'a reçue seule, plusieurs fois, pour être sûr que mes parents ne me forçaient pas et que je ne le faisais pas sous la pression des moqueries de mes camarades...
Au final 4 ans plus tard, je ne regrette rien. Mais la prudence dont à fait preuve ce monsieur était celle que l'on attend d'un vrai médecin.
Se contenter de deux rendez-vous pour prendre une décision aussi risquée et importante qu’une prise d’hormone ayant pour but final une transition semble impensable !
Témoignage intéressant.
J'imagine que quand on vit ce genre de frein à l'intervention, on doit mal le supporter. Mais après, on comprend mieux, surtout avec cette vidéo en exemple des débilités de notre civilisation.
Ceci dit prendre des hormones n'est ni irréversible (si des gens passent de homme a femme et d'autres de femme a homme, faire femme - homme - femme ou inversement est donc possible) ni destructrice. Enfin je ne vois pas ce que cela pourrait détruire, ton corps ? ce sont uniquement des hormones qui sont déjà présentes en toi, en quantité différents mais déjà présentes, ton esprit ? en règle générale tu sais ce que tu fais ou pourquoi tu le fais, et puis dans tout les cas il y a tjrs un retour en arrière possible.
@@piliste1480 Au contraire ! Les hormones entraînent une sorte de seconde "puberté". Chez la femme qui prend de la testostérone, la voix mue de manière irréversible (Dans la vidéo, on entend bien à la voix de certaines qu'elles ont pris de la testostérone) et la pilosité se repend sur tout le corps notamment le visage (elle continue de pousser malgré l'arrêt du traitement) Chez l'homme qui prend des estrogènes, des seins commencent à pousser. De plus, certains traitement hormonaux altèrent définitivement la fertilité.
Affirmer que la prise d'hormones est aussi insignifiante et qu'un retour en arrière est possible est dangereux et irresponsable. C'est justement de ce genre de discours que la vidéo vise à mettre en garde. Les hormones ne sont pas des pastilles pour la gorge que l'on prend quand on en a envie et qu'on arrête du jour au lendemain.
@@sunflowerpainter
Les personnes MtF apprennent bien à adoucir et contrôler leurs voix, passent par des scéance de laser pour leur pilosité.
Il y a des opérations pour l'ablation des sein, même chez l'homme pour les personnes atteintes de gynécomastie.
Tout reste réversible, ça prend du temps, de l'argent, mais ça reste réversible.
Pour la question de la fertilité, déjà est-ce vraiment important ? Il y a toujours moyen d'adopter un enfant
Et j'imagine qu'ils sont au courant que ça ne prend pas 2h pour revenir à l'état originel, vu que ça leur a pris du temps pour y arriver.
@@piliste1480 Mais tu imagines tout ce qu'ils doivent faire pour revenir à ce qu'ils avaient déjà naturellement ? L'ablation des seins laisse une cicatrice considérable sur le torse (de plus toutes les opérations sous anesthésie générale comportent un risque !), l'épilation au laser est douloureuse... C'est de la mutilation !
Et est ce que tu as vraiment vu la vidéo ?? Comme je l'ai écrit plus tôt, ces gens ont eu besoin de moins de rdv chez le psy pour entamer une transition que moi pour me faire recoller les oreilles ! C'est aberrant !
Aujourd'hui, on fait croire aux gens qu'il suffit d'arrêter les hormones pour que tout revienne comme avant, or ce n'est pas vrai.
Je suis passé par la, retour en arrière après 2 ans de traitement hormonal...et totalement détruit mentalement, c'est la religion (et la philosophie) qui m'a beaucoup aidé a remonter la pente, mais maintenant tout va bien, même très bien !!!
Il vous a fallu 2 ans pour vous rendre compte de votre erreur?
C'est intéressant, à vrai dire, je n'avais jamais entendu parler d'un délai de réalisation aussi long, pouvez-vous m'en dire plus?
Bon courage 🙂
@@vivelafrance8244 C’est quoi ce jugement facile ?!
J’avais vu une personnalité assez connu aux États-Unis dire quelque chose de très pertinent, à laquelle je n’avait pas du tout pensé avant mais qui, après réflexion, est d’une évidence sans nom (évidemment, je paraphrase) : « si l’idéologie woke consiste à dire que le genre est uniquement une construction sociale, pourquoi ces gens supportent et valident les transitions hormonales…? ».
Je serait donc d’accord en un sens avec les gens « woke » mais j’irais jusqu’au bout, contrairement à eux, en disant que le phénomène de transidentité, plus précisément le principe de dysphorie du genre, n’a en réalité aucun fondement et que « se sentir femme » et « se sentir homme », la contraposée étant tout aussi valide, ne veut absolument rien dire (étant donné qu’on n’a jamais expérimenté l’autre sexe, comment peut-on savoir que c’est ce qui nous correspond…), ce qui rend la transidentité totalement absurde. Mais ce n’est que mon avis et j’invite n’importe qui à me contredire et si possible des trans pour avoir leur avis sur tout ça.
La transidentité n’est pas forcément se sentir homme ou femme, mais aussi les deux ou aucun des deux
Pour le moment, je me considère non-binaire ( aucun des deux ). De toute manière, j’avais commencé à dégenrer les choses, les vêtements, les jouets, etc… Parce que ça ne devrait pas l’être tout simplement.
En tant que personne transgenre, peut être femme vers homme qui se cache derrière une non-binarité par peur de me sentir invalide ce qui est très possible, je dois t’avouer que ton commentaire suscite beaucoup de questions et je me sens partagé…
Je ne serai pas te dire mais la dysphonie de genre quand je me vois dans le miroir, cette douleur quand je vois cette poitrine que je ne veux pas, que j’aimerais arracher si je le pouvais, cette déprime qui s’installe, la sensation de malaise quand on m’appelle Madame, et bien elle est bien là…
Bien qu’on ne sait pas comme tu dis ce que c’est que d’être l’autre, et d’avoir les contraintes de l’autre, on a sérieusement le besoin d’être l’autre pour certains.
On ne sait pas encore véritablement l’expliquer scientifiquement mais psychologiquement, ce changement qui peut paraître absurde à changer des vies, a rendu des êtres humains heureux dans leurs vies, bien dans leurs nouveaux corps, dans leurs nouvelles vies, dans cette seconde vie.
@@Luxi_Lilcos Je te rejoins et pense qu'il y a deux écoles finalement.
Ceux qui font une transition pour les raisons que tu expliques parfaitement bien, et ceux qui suivent une mode et malheureusement ces gens là se retrouvent à vouloir retrouver leur état physique d'origine.
C'est un peu complexe mais il y a en ce moment des études sur le cerveau des personnes transgenres en train de se faire, certains soupçonnant que la différence vient peut-être de là. La question a cependant l'air de partager (j'ai vu des études se contredire par exemple) et elles sont présentées de manière un peu indigeste avec beaucoup de vocabulaire pointu. Piste à creuser donc.
Personnellement, tant qu'on n'a rien d'unanime sur le cerveau, j'émets les mêmes reserves que toi. De ce que j'en retiens, la physionomie a un rapport avec certaines tendances comportementales chez l'homme ou la femme (de part les hormones notamment) mais les hommes et les femmes sont tout de même plus semblables que différents. J'ai l'impression que l'idée du genre pour certains n'est que les stéréotypes que nos chères féministes s'efforcent à combattre. Ainsi, pour l'instant je n'adhère qu'à la théorie de la dysphorie de genre. Oui, il y a des personnes qui en souffrent réellement et méritent qu'on les aide. Il faudrait en revanche se pencher sur la méthode, la transition gâche la vie de certaines personnes et ne devrait donc pas être une solution administrée à la légère.
@@Luxi_Lilcos par contre, je veux être clair : je ne remet certainement pas en cause le sentiment de « malaise » qu’on peut avoir quand on ne se sent pas dans le corps qu’on pense devoir être, je ne fais que pointer une incohérence que beaucoup de gens semblent accepter qui est que les transgenres se définissent comme tel ou tel genre quand bien même certain considèrent que tout ça n’est qu’une construction sociale, donc n’a aucune valeur, ce qui fait que si c’était bien le cas, alors les personnes trans n’auraient pas de problème en se définissant comme « rien du tout » et rien d’autre, étant donné que « non-binaire » est déjà un genre, ou ne porterait juste aucune importance au genre auquel on les renvois car de toute manière, ça n’a aucune valeur pour eux.
Maintenant, je ne suis pas trans et je ne comprend pas ce sentiment de ne pas se sentir dans la catégorie dans laquelle on appartient car pour moi, le sexe ne se choisi pas, il s’accepte. Alors certains ne l’accepteront jamais : c’est le cas des transgenres, mais chaque personne appartient à une catégorie à laquelle elle ne pourra jamais échapper, ce qui fait que tout ce qu’elle peut faire est soit la renier, soit l’accepter. Après voilà, ce n’est que mon avis et je n’exclus pas le fait que je puisse avoir faux, mais c’est comme ça que je vois les choses pour l’instant.
De toute manière, je ne porte que peu d’intérêt au sexe car ce n’est pas très important du moment où la personne arrive à sortir de la façon de penser de la catégorie à laquelle elle appartient, c’est pour ça que même si je ne comprend pas les transgenres, je n’interfère pas avec leur libertés de se définir comme ils veulent du moment qu’ils n’interfère pas avec les miennes.
@@lastquarter3992 Personnellement, je serais pour faire un étude pour voir si le problème de dysphorie du genre est réellement lié au genre ou si ce n’est que la conséquence d’une ou plusieurs autres causes qui ferait que la personne ne s’accepte pas comme elle est.
Mais j’imagine qu’une telle étude serait impossible à faire car elle serait instantanément jugé comme transphobe… En tout cas, pour l’instant, il y a énormément de choses qui feraient qu’on puisse détester le genre auquel on appartient, d’où l’utilité de devoir faire très attention à qui et la facilité avec laquelle on accepte les transitions hormonales aux personnes qui demandent.
Elles se rendent compte que vivre en homme n'est pas si facile que prévu. Sans valeur et travail acharné, un homme n'est pas reconnu.
La promotion canapé fonctionne peu pour les hommes.
Travail acharné Oaui bof, moi je travail normalement et ça me va bien
@@jeremiem3015 Et tu n'es reconnu nulle part. CQFD.
@@Didier88600 car tu penses que les promotions canapé sont si répandues que ça ?
Le divorce dans quelques années en ligne de mire
Je sais pas si tu en parle, mais dans VA+ y'a eu le témoignage d'un trans qui revient en arrière également. Ça arrive déjà.
ruclips.net/video/Vc27c3WTvLk/видео.html
Oui j'ai pensé à ça aussi! D'ailleurs quand j'ai vu le titre de la vidéo je pensais qu'il allait faire une vidéo-scopie là-dessus
Ca fait longtemps que ca arrive.
en angletterre il y a une clinique spécialicé pour les trans qui les prennent en charge etc. dans un article le co fondateur "s'inquiéter" du nombre de faux cas de trans après visite de la psy. Une explosion des cas qu'il qualifie "d'effet de mode déléterre pour tous".
@@lepigeonrhouurhouu5759 les pseudo psy qui delivre une ordonnance pr des hormones au bout d'une séance MDR
J'adhère à la prédiction de Stéphane et je ne suis pas surprise par l'apparition du phénomène de détransition. Malheureusement, le sujet de la transition est totalement verrouillé par l'idéologie. Sous prétexte de tolérance et par peur d'être taxé de transphobe (crime ultime!), personne ne remet en question l'autodiagnistic de "trans". Il y a quelques années, on parlait encore de dysphorie de genre. A présent, le simple "sentiment d'être trans" suffit pour autoriser, voire inciter, un jeune à changer d'identité et à subir des traitements lourds. Quand je dis tout le monde, c'est le corps médical évidemment, mais aussi le milieu scolaire, l'entourage amical. Plus rarement les parents: quand les parents s'en inquiètent, ils sont immédiatement taxés de transphobes. Le sujet de la transition de genre est à la mode: résultat, dès qu'un adolescent éprouve un mal être ou simplement, se questionne sur lui-même, ses goûts et son identité (questionnement normal!), le diagnostic transgenre tombe à l'emporte-pièce. Tant pis si le jeune est en souffrance! Et hop, mutilations, stérilité, modifications irréversibles de l'apparence...
Les forums, les chaînes youtubes, les associations,... constituent un bloc solidaire, très uni, très convaincant, et qui agit exactement comme un embigadement sectaire.
Ces histoires de transition deviendront un énorme scandale, dans les décennies à venir. Un peu comme les affaires de pédophilie des années 70-80 qui commencent à émerger (Vanessa Springora, Camille Kouchner, etc) mais en bien pire, puisqu'entre temps, les victimes auront subi des dommage irréversibles dans leurs corps.
D'où l'importance des bloqueurs de puberté, pour éviter aux adolescents peut-être trans des modifications irréversibles (que ce soit à cause de la puberté naturelle ou d'un traitement hormonal) avant la majorité
@@raphael-le3237 oui et non. les bloqueurs de pubertés ne sont pas une solution sur le long terme, ça peut même constituer une violence, une épée de damoclès au dessus de la tête d'un jeune qui hésite, avec l'obligation de se décider vite. Dans des cas très précis d'une dysphorie de genre claire, diagnostiquée et stable, oui , ça peut être une solution. mais ces traitements ne sont pas sans risques (c'est quand même une perturbation profonde de la croissance de l'enfant, en agissant sur tout le corps, la croissance, le cerveau, la formation des organes sexuels... et souvent douloureux). Il ne faut surtout pas s'imaginer que les bloquerus de pubertés suspendent le temps! Pendant ce temps, la croissance continue. La dysphorie de genre existe, mais l'identité de genre est bien trop souvent invoquée dès qu'un jeune se sent mal dans sa peau ou se questionne. D'ailleurs, un adulte peu très bien effectuer une transition réussie longtemps après la fin de sa croissance. Regardez cette vidéo: www.lyoncapitale.fr/actualite/bloqueurs-de-puberte-on-empeche-le-developpement-normal-de-l-enfant-video
@@Caroline-nw7cu Les bloqueurs de puberté ne suspendent pas le temps, mais c'est pour l'instant la solution la moins irréversible qu'on ait.
Au sujet de l'épée de Damoclès qui force à faire un choix : c'est déjà mieux que de faire le choix à la place de l'enfant, non ?
Quant aux transitions post-puberté réussies : déjà elles se font souvent au prix d'opérations chirurgicales très lourdes (mastectomie pour les hommes, épilation laser et potentiellement chirurgie du visage pour les femmes). Et surtout, ce n'est pas parce que de l'extérieur ça a l'air réussi qu'à l'intérieur il ne reste pas de séquelles d'avoir passé son adolescence à voir son corps changer de la manière qui ne leur convient pas, à se faire systématiquement mégenrer, et à subir toutes les violences du placard.
Commentaire de la vidéo :
1:20 « C'est d'une violence extrême » Alors non, pas si c'est voulu par l'enfant... Aucune source, aucune citation sur les conséquences violentes.
2:57 Non, on leur dit pas ça. Cette dame s'appuie sur une croyance populaire de lobby trans sans citer aucune source.
3:05 6-7 ans ? Sources ? Les bloqueurs se commencent à la puberté. (Et pour les quelques enfants qui font effectivement leur puberté à 6 ans, est-ce que c'est vraiment une bonne chose de laisser la puberté arriver si tôt, transidentité ou pas ?)
3:30 La différence c'est peut-être que les enfants excisés on leur a pas demandé leur avis avant, non ?
3:45 Une meilleure information
4:00 Va-t-elle sortir le coup des pauvres autistes qui se croient trans mais qui sont trop autistes pour pouvoir le déterminer par elleux-mêmes ? Ah tiens, non.
4:30 Sources ? N'importe quelle personne un minimum renseignée sait que les personnes trans se prennent statistiquement beaucoup plus de violences que les femmes cis (en tout cas que les femmes cis blanches riches). Donc non, les adolescents AFAB ne transitionnent pas pour échapper aux violences sexistes.
5:40 C'est pas du chantage, c'est des statistiques réelles. Oui, un enfant trans a plus de risques de se suicider si on l'empêche de transitionner. Cherchez "huffpost, the truth about transgender suicide"
5:53 Si un enfant va suffisamment mal pour être prêt à s'automutiler, c'est peut-être qu'il faut l'aider... L'automutilation c'est pas du chantage, merde ! ruclips.net/video/8PSCi4330qA/видео.html
Par ailleurs, il est presque impossible d'accéder à une transition médicale sans passer par la case psychiatre. Parmi les personnes trans de mon entourage, celles qui souhaitent prendre des hormones font face à un long parcours avec des psys et des endocrynos, il ne suffit pas de se pointer chez le généraliste pour avoir une ordonnance. C'est un mythe sur lequel s'appuient de nombreux opposants à la transition médicale. Les hormones ne s'achètent pas en pharmacie comme le doliprane.
J'avais jamais pensé au lien entre les modifications corporelles du type tatouage et la transition de genre. Je trouve ça très intéressant comme analyse et plutôt pertinent je n'y vois rien à y redire. Merci pour le travail !
Je voulais un tatouage apres refletion jai changé d avis
Je tacle rarement sur le physique😂
Légendaire!🤝🥇
C’est rare de rencontrer des âmes. Si vous avez autre chose que le physique pour vous faire une idée sur n’importe qui allez-y. Bon courage.
Dans la mesure où les gens choisissent leurs stéréotypes, leur apparence est souvent pertinente pour se faire une idée d’eux...
@@Malagom5091 la posture, la gestuelle…
Vous vouliez écrire un bel homme ?
Le running-gag est confirmé x)
Depuis que nous avons éradiqués tous les vrais problèmes (la famine, la guerre, le froid, la pauvreté, l'inconfort, la douleur physique, la puanteur, la perte précoce des choses ou des proches, l'angoisse de cette perte...)
Nous imaginons des problèmes, des faux problèmes qui finissent par nous envahir et nous travailler l'esprit dans nos cauchemars nuit et jours tant que l'esprit de chômeur ou d'intérimaire qui ferme des bouchons de dentifrice n'est plus stimulé, par une vraie activité, physique, sociale... Ça manque terriblement aux jeunes aujourd'hui.
Et en plus, le moindre problème prend des proportions dramatiques et pousse les gens à accepter n'importe quoi pour le juguler... L'épidémie du bière-virus, en particulier le délire du pass sanitaire (qui était une théorie du complot il y a six mois, rappelons-le) en est un parfait exemple.
@@erwanp9523 Ah oui un grave problème... À l'échelle sociétal aussi tu as raison, je n'y avais pas pensé.
Exactement j'aurais pas dit mieux ..
Je vous remercie et vous félicite pour votre travail de grande qualité.
Sensibilité, intelligence d'analyse et de synthèse, éthique et respect le caractérisent.
Cordialement
Olivier
vous êtes l'incarnation parfaite du nihilisme ....en aviez vous conscience ?
Moi je me dit souvent qu'un individus qui change de sexe pour se sentir mieux ne fera que rajouter du malheur à ce qu'il avait déja.
L'herbe qui est plus verte chez le voisin n'est qu'une illusion.
du coup il reste quoi ? le suicide ?
@@naruniko78 une bonne psychothérapie, avec une recherche des causes profondes du mal être.
@@naruniko78 le sucide c’est un truc de lache
@@naruniko78 1. lire, se cultiver un tant soit peu
2. cesser de contempler son nombril
3. faire qqch de sa vie misérable
@@naruniko78 comme si le suicide pouvait régler le probleme. Peut etre un peu trop définitif comme méthode.
en générale, c'est en changent d'environnement qu'on change de point de vue. deja commencer par ca, peu etre une solution.
Petit conseil pour regarder les videos : vitesse 1.75, je trouve ca bien plus agréable. Pour ceux qui preferent aussi, c’est réglable.
Pendant des années on m'a soufflé que "toute ta famille est obèse, tu le seras aussi", donc je me suis laissé aller.
Récemment j'ai commencé un régime (sévère certes, mais bon, il faut ce qu'il faut), et je suis sur la pente descendante.
Tout ça pour dire que non, ce n'est pas gravé dans le marbre.
courage!
👍👍👍
J'espère que tout ira bien pour toi !
J'ai fais un peu pareil avec mon métier.
Mes parents m'ont éduqué avec l'idée que je serais un ouvrier car ils l'ont toujours été mais ça ne m'a jamais vraiment plus et un jour j'ai tout mis en place pour créer mon activité et devenir indépendant dans un autre secteur d'activité.
Bravo pour ton action et ton combat de tous les jours.
Bravo 👍🏼💪🏼💪🏼💪🏼
Benjamin Boyce, sur YT a fait des interviews exhaustives d'elle et d'autre détrans (qui sont à 80% des jeunes filles) et c'est très intéressant de voir comment elles ont toutes été influencées par les réseaux sociaux et par le féminisme.
Merci pur l'info, je vais voir ça.
C’est faux. Le féminisme radical critique et combat le transactivisme. On nomme ces féministes des TERFS et c’est une insulte. Merci de bien vouloir les soutenir.
La motivation pour les trans hommes et les trans femmes seraient différentes alors..
Très bonne vidéo. J’aime rarement les vidéos, seulement quand elles sont excellentes. Là, tout y est : les renvois vers autres vidéos, les incitations aux prises de conscience, la pitié/empathie pour ces pauvres gens, etc., me fait aimer cette vidéo ! L’une des meilleures parmi toutes ! Bravo !
Finalement cette société qui se pense évoluée nous démontre que rien n’a changé depuis la nuit des temps....la loi de la jungle est de mise et ce sont toujours les créatures les plus fragiles ou blessées qui se font dévorer par les prédateurs....
La seule différence c'est que ça ne se traduit plus forcément par la mort. Ou du moins immédiate...
Exactement. C'est aussi la conclusion à laquelle j'arrive. In finé, certains se font duper par d'autres qui exploitent leur mal-être.
C'est plus flou dans une société de bien-pensance comme la nôtre où personne ne peut dire ouvertement que des délire comme le changement de sexe sont des décadence de peur d'être traité de LGBT phobe. Résultats de moins en moins de personnes dans entourage de ces jeunes n'osent les corriger dans cette bêtise. Les conseils d'opposition sont remplacés par des phrases "tu fais comme tu veux, chacun se défini comme il veut".
@@jo_xq58valkyrie21 La transition n'est pas un changement de sexe. La transition = se rapprocher le + possible de son sexe psycho-sexuel. Les transitions existent depuis que l'Homme existe, ce n'est pas du tout un phénomène nouveau. La détransition concerne une minorité de personnes trans. Ils détransitionnent, non pas parce qu'ils ne sont pas trans, mais à cause du rejet social que la transition entraîne. Sur 1,3 millions de transitions, qu'il y en ait 19000 qui regrettent n'est pas du tout alarmant. + il y aura de transitions, et + il y aura de détransitions, c'est comme pour le mariage. Combien de personnes regrettent s'être mariées ? Donc il faut interdire le mariage ?
@@jo_xq58valkyrie21 Pour la majorité des trans qui font une transition, il n'existe aucun regret. J'ai fait une transition y a 23 ans et je ne regrette absolument pas. Donc, les anti-trans et les extrémistes normatifs, attendez un peu avant de vous jeter sur la première information anti-transition qui défile.
@@tirelipimponsurlechihuahua3788 Ouah le comparatif avec le mariage j'étais pas prêt. Très belle désémantisassions...
Les personnes sur la fin de la vidéo qui ne trouvent pas satisfaction après leurs traitements et opérations me font penser à des acheteurs compulsifs qui courent dans les magasins quand ils vont mal ou pour essayer de combler un vide. Tout du moins, j'ai l'impression que c'est le même mécanisme.
Je le pense aussi, bonne analyse. Ca reste une pulsion de consommation comme une autre.
non c'est bien pire, des jeunes fragiles psychologiquement se retrouvent sur des groupes d'activistes qui fonctionnent de la même façon que les sectes, ils cibles leurs proies, les coupent de l'entourage, leurs bourrent le crâne en leur disant que c'est ça ton problème qui fait que tu ne te sent pas bien et la solution c'est ça, les assocs dirigent systématiquement les jeunes vers des psys "trans friendly", c'est tout un réseau qui est mis en place
Exactement. Le monde du commerce qui persuade les con-sommateurs qui leur manque toujours quelque chose pour aller mieux, chose qu'ils ont - ô miracle - à vendre.
Toujours des vidéos de qualité et une analyse pleine de finesse, d’humour et d’intelligence.
Tout à fait d'accord avec vous.
Des vidéos Toulouse de qualités, instructives et laissant place à la réflexion.
Meilleure vidéo depuis que je connais vôtre chaîne youtube. Elle commence avec les trans et devient bien plus globale au fur et à mesure et parle de l'essence de l'existence. Merci et bravo pour ce moment de lucidité devenu trop rare.
Je pense que ton titre est trompeur, en réalité, les trans ne reviennent pas en arrière. La dysphorie de genre est un trouble listé comme trouble psychiatrique, mais qui pourrait avoir des causes hormonales, les hypothèses actuelles sont que certaines conditions d'exposition pré-embryonnaire aux hormones sexuelles causeraient la dysphorie, et c'est aussi possiblement l'une des explications de l'homosexualité. Le livre et le travail de Jacques Balthazar - Biologie de l'homosexualité - sur ce sujet est extrêmement intéressant.
Bref, les homosexuels et transsexuels ont toujours existé, ils font partie de la variabilit éde l'espèce humaine. Les détransitionneurs ne sont pas trans, ils n'ont jamais souffert de dysphorie de genre, ce sont des personnes vulnérables qui ne rentrent pas dans les cases à qui on a vendu l'idéologie du genre sortie des cervelles des docteurs mabouls des facs de socio, et à qui on a fait croire que se bourrer d'hormones et se faire charcuter par les chirurgiens complices de ce massacre les réconcilieraient avec eux-mêmes.
Ce sont simplement des hommes efféminés, des femmes masculines, parfois des personnes homosexuelles mal à l'aise avec leur sexualité, il y a même des femmes qui ont subi des agressions sexuelles et qui veulent changer de corps pour se protéger des hommes. Ils sont victimes de la prédation et du sexisme des nouveaux militants LGBT (paradoxalement ils poussent à la transition les personnes qui ne rentrent pas dans les stéréotypes féminins ou masculins), et de la lâcheté du corps médical qui a trouvé un nouveau business très rémunérateur (psys et chirurgiens).
Les personnes véritablement trans ne reviennent généralement pas en arrière, même si la transition ne résout pas tous leurs problèmes et a aussi parfois des effets secondaires délétères.
"She developed gender disphoria", le voilà le problème de départ, ce n'est pas le cas ... Elle avait à peine 20 ans, sortait tout juste de son adolescence, se cherchait toujours et cherchait sa place dans le monde. Se sentir mal dans son corps ne veut pas dire que ce n'est pas le bon, ça peut n'être qu'une phase, c'est arrivé à tout le monde à un moment ... Sauf qu'entre la malléabilité de certains, et les trouducs soit disant "progressistes" (il faudra se demander sérieusement ce que veut dire progrès à l'heure actuelle ...), ça donne ce genre de choses, on essaie de nous faire croire qu'une grande partie de la population souffre de dysphorie de genre, histoire de légitimer certaines positions, mais ce n'est pas le cas ...
On a la possibilité de modifier le corps des gens qui en ont besoin, c'est génial pour eux, à qui le corps ne convient pas, pour qui la Nature a eu un petit raté, et c'est très bien qu'on puisse le faire (quoique, le bien, le mal ...), mais à bourrer le crâne de tout le monde avec l'idée que c'est un bien universel, ça finira mal ...
Tu viens d'expliquer pourquoi ''she developed gender dysphoria''.
20ans n'est pas un âge pour être adulte seulement pour en avoir l'apparence mais certainement rien d'autre hélas
En Amérique, il y a des colonie pour les enfants trans, témoignage d'une fillette trans: je suis une fille car j'aime le rose.
@luciole bleue
Oui, parce que ces gens qui sont contre les "clichés de genre" n'ont aucun mal à dire à un petit garçon qu'il est sûrement une fille... Puisqu'il aime le rose !
@@luciolebleue9345 c'est la contradiction totale
Pour les médecins oui c'est vrai. Je travaille dans une pharmacie et quand le médecin fait une erreur et qu'on la remarque on ne dit pas au patient que son médecin s'est trompé. Soit on minimise en disant que c'est un oubli de rien du tout que l'on rectifie soit on lui dit pas et on contacte le médecin pour le prévenir de son erreur. Le but étant que le patient garde confiance en son médecin.
La confiance dans le médecin est nécessaire, mais 99% de la population a un excès de confiance et une déresponsabilisation face à la prise en charge/gestion de leur santé et de leur dire intégrité corporelle.
@@PetiteLicorne un excès de confiance je pense pas quand on entend les gens parler des lobbies pharma, des médecins corrompus et de l'argent qu'il se font. Et il y a une montée de la violence envers les professionnels de santé. Combien de fois on m'a menacé de me tuer si je ne dispensais pas tel boîte de médicaments au patient. Pareil pour les parents qui s'en prennent au médecin qui font "mal" à leur enfant en lui administrant les soins. Quasi tout mes collègues le disent. Mais c'est vrai qu'il y a une déresponsabilisation mélangée au manque de respect, je veux parler par exemple du fait de prendre un rendez-vous médical et de ne pas y aller ou d'exiger de ne jamais rien payer à la pharmacie
Très bonne vidéo qui parle d'un sujet qui ressort de plus en plus les jours qui défilent. Il existe un article qui parle des méfaits de la transition chez les jeunes adolescents et enfants avec des chiffres qui sont apparus dessus. C'est très grave que même les psys ne cherchent pas à simplement émettre l'hypothèse que "c'est la puberté" ou d'autre pronostics. Surtout avec ses communautés trans au profil sectaire qui sévissent dans notre société
Alors c'est quelque chose qui m'a toujours choqué : il nous est interdit de rentrer en conflit avec un confrère ou une consœur. C'est dans le code de déontologie. Sur le papier celait semblait pertinent et nécessaire, cependant j'ai vu que ça engendrait des situations ubuesques, ou l'erreur ne pouvait être admise, ou le patient passe au second plan et le plus important c'est de garder la face et l'honneur du confrère qui a "fauté" (ou juste eu tord). A moindre mesure, pour les médecins qui ne sont pas très doués avec l'art des mots, par pur flemme cela banni tout critique et toute possibilité de second avis.
Je suis tout à fait d'accord avec toi et je suis content que tu en parles avec un œil de "moldu" comme on appel dans le milieu.
C'est quand meme dingue la facilité d'accès à des opérations qui te rendent stérile (juste...) à moins de 20 ans, alors qu'on voit comme il est (heureusement) compliqué de se faire ligaturer les trompes ou de subir une vasectomie quand on a jamais eu de gosse. En France en tout cas. Mais j'imagine que ça aussi ça va se simplifier..
Franchement je vois pas pourquoi c'est compliqué pour se faire ligaturer les trompes ou subir une vasectomie. J'ai su que je ne voulais d'enfant dès l'adolescence. Aujourd'hui à 36 ans j'ai pas changé d'avis. J'en ai marre de porter un implant hormonal. Le fait que je sois nullipare ne devrait en rien influer sur l'approbation de ma décision. Au contraire ça devrait être une preuve que je suis sérieuse. Faire des gosses c'est surfait. Je dis pas qu'on devrait l'accorder comme ça mais faudrait assouplir les règles parceque c'est très frustrant de te voir dire comment tu dois gérer ta fertilité
@@melancolielupine2023 je suis assez d'accord avec toi. Une opération non réversible ne doit pas être une opération à laquelle quiconque peut avoir accès sans limite, mais je trouve que son accès est actuellement trop limité. En plus, on dit souvent que la vasectomie et la ligature des trompes sont irréversibles, et c'est vrai, mais il y a des couples naturellement stériles qui aujourd'hui arrivent à procréer malgré tout. Un homme qui demandent une vasectomie peut demander au préalable à faire congeler ses spermatozoïdes. Une femme qui se fait ligaturer les trompes, il me semble, devrait être en mesure de faire recours à une fécondation in vitro, puisque ses ovaires contiennent toujours des ovules et que son utérus n'est pas concerné par l'opération. Je ne dis pas qu'on doit tous sauter sur les opérations et ensuite faire des enfants dans des tubes, je dis juste que si vraiment il y a une crainte que la personne regrette son choix, la médecine lui offre toujours des alternatives et il ne faudrait donc pas empêcher des personnes qui sont sûres d'elles d'avoir accès à ces opérations. Les solutions proposées pour les femmes qui ne veulent pas d'enfants sont finalement la pilule et les contraceptives hormonales, qui impliquent des effets secondaires plutôt sévères et qui sont mauvaises pour la santé, le stérilet au cuivre, qui peut provoquer des règles plus abondantes et douloureuses, ou bien le préservatif, ou bien trouver un partenaire qui lui arriverait à convaincre son médecin de le laisser faire une vasectomie. Je trouve personnellement assez embêtant de pousser des femmes à se bourrer d'hormones pendant des décennies sous prétexte qu'elles pourraient regretter leur choix, plutôt que d'ouvrir un peu plus l'accès à cette procédure, sachant que, si jamais une femme qui ne devrait pas avoir accès à cette opération la fait quand même, elle peut encore avoir accès à la fécondation in vitro, à l'adoption et à d'autres moyens qui lui permettront de devenir mère malgré tour.
Mais juste un énorme merci ! je suis tellement heureuse d’être tombée sur ta chaîne à seulement 19 ans. J’avais des doutes sur mon arrêt d’antidépresseurs a cause de mon médecin mais heureusement que papa Stéphane Édouard s’est brutalement glissé sur ma route. Le doute ne persiste plus du tout en seulement 5 min d’explications de sa part sur « la quête du vrai soi ».
Première fois que je vois une vidéo intéressante et intelligente de Stéphane Edouard. Cette vidéo devrait être montrée dans les écoles ! 👏🏻👏🏻
Medecin :
1/ difficile de critiquer ouvertement un autre médecin car on peut être attaqué juridiquement par l'ordre pour anticonfraternalité. Donc toujours quand remettre en question un diagnostic : rester humble et pas critiquer ouvertement trop sévèrement, mais c'est toujours faisable.
2/ c'est toujours plus facile (intellectuellement et emotionellement) d'aller dans le sens du patient (et d'autres confrères) plutôt que de tout reprendre à zéro et remettre tout en doute. Le biais de confirmation touche aussi les médecins et il faut en être vigilant.
3/ pas forcément beaucoup de formation médicale sur la trans-identité, finallement peu médicale, la plupart des médecins ne s'y intéressent pas (et c'est normale, il y a assez de domaine médicale où on soigne des gens qui en ont plus besoin). Les rares médecins qui s'en soucient particulièrement au point d'en faire leur spécialité sont souvent des personnes LGBTQ+ ou proche du mouvement.
4/ rien à voir mais ça me saigne toujours autant les oreilles quand tu parles de "big pharma" c'est comme toutes les folles qui crient au "patriarcat" ou au "racisme systémique". Comme partout il y a des abus mais heureusement qu'il y a des entreprises qui font de la recherche pharmacetique et vendent des médicaments sinon on serait encore au temps des chamanes et aux sangsues. Tout n'est pas vilains médecins et complots pharmaceutique 😉
Les sociétés pharmaceutiques comme les autres optimisent leurs profits, vu la sensibilité du secteur un encadrement légal est plus que nécessaire.
On part du principe - incontestable, dans le sens où poser la question est jugé comme un acte d'intolérance - que vouloir changer de sexe ou se sentir d'un sexe autre que le sien est parfaitement normal. Que c'est la Nature qui s'est trompée. Qu'il ne faut pas poser de question ni suggérer que c'est peut-être le symptôme d'un problème psychologique (dépression ou autre). Vouloir comprendre ce qui se passe est devenu condamnable, un acte de haine. C'est l'inversion totale des valeurs humaines. Au nom de la tolérance, on fait le mal. Certains en profitent consciemment, d'autres poussent cette tendance par une gentillesse naïve totalement destructrice et mortifère.
Pour les tatouages et les piercings - je parle de ceux qui recouvrent une grosse partie du corps, le visage, et qui présentent une importante altération du corps - c'est exactement la même chose.
Sur la majorité à 18 ans, je suis mille fois d'accord. 21 ans c'est très bien. Ça réglera beaucoup de problèmes.
En tout cas ces jeunes me font de la peine. L'Enfer est pavé de bonnes intentions.
Vouloir changer de sexe pourrait provenir du fait que la personne ne s'accepte pas telle qu'elle est et pense que changer de sexe (la question du genre est factice et surtout justifie l'idée que le sexe serait seulement social) résoudra le problème de la non-acceptation de soi. Il faudrait demander à ces jeunes gens ce qui les pousse à s'imaginer qu'ils n'ont pas le bon sexe. La réalité est qu'ils ne seront jamais du sexe auquel ils prétendent aspirer, car la transformation ne peut être qu'artificielle.
ruclips.net/video/h7-JBOGft7E/видео.html
21 ans. C'est pas l'âge le problème. C'est le monde. Entre les réseaux sociaux, le capitalisme, le consumérisme etc le monde est devenu nihiliste. Il y a quand-même beaucoup beaucoup de gens de plus de 21 ans en accord avec le wokisme. La plupart des 18-25 ou 18-30 ans le sont.
Si les dé-transitionneurs sont une petite minorité, il est fort probable qu'une partie des trans regrettent leur choix mais par dénie refuse d'accepter leurs erreurs, difficile pour des personnes déjà affaiblies psychologiquement de faire face aux dégâts de leurs caprices
J'ai cru entendre dire que c'était très tabou d'en parler, ils sont sûrement plus que l'on puisse imaginer
(Pour faire simple, je suis d'accord avec vous)
Comme les vegans qui se détériorent et refusent de reconnaître que c'est à cause de leur diet
@Sacha Barbie 😐
Hey, c'est réversible et pas reversible ;) super vidéo à part ça - j'ai adoré le "être majeur, c'est se désinfluencer"
Bravo Stephane! Cette vidéo est vraiment d'utilité publique👍
Merci Stéphane et merci au monteur de la chaîne d’avoir bien illustré toutes les analyses d’images, chose qui manquait cruellement d’habitude, et c’est très agréable de réellement savoir de quoi tu parles
Oui le code de déontologie de l'ordre de médecin précise "Les médecins doivent entretenir entre eux des rapports de bonne confraternité.
Un médecin qui a un différend avec un confrère doit rechercher une conciliation, au besoin par l'intermédiaire du conseil départemental de l'ordre.
Les médecins se doivent assistance dans l'adversité." Autrement dit on lave le linge en famille surtout pas de vague, donc impossible qu'un médecin juge l'action néfaste de son collègue en publique.
Il en va généralement de même pour les autres professions libérales organisé en corporation régit par un ordre.
Bonjour, la question de la transidentité me concerne malheureusement directement, ma fille de 14ans veut effectivement transité, elle est soutenue par ça mère, les associations, ainsi que le milieu médical, de ce fait elle ce coupe de moi, on m´enleve mon enfant et je ne peux rien faire. Merci pour cette vidéo ça me donne la force de lutter.
C'est le lot de cette jeune génération malheureusement.
Vous aurez de moins en moins votre mot à dire, sous peine de passer pour le vilain anti-progrès.
La solution? Attendre que votre fille atteigne l'âge de raison (le plus tôt possible je l'espère pour vous) et se rende compte que son envie était simplement due à un phénomène de mode, étrangement encouragé par la populace...
Courage à vous ceci dit.
@@Valmont646 j´espère qu´elle ouvrira les yeux, mais ça me détruit de la voire risquer sa santé mentale et physique
@@hqz8607 je me bats biensur, sa mère est effectivement inconscientes, omnibulé par son idéologie d´universitaire déconnectée de la réalité
16:08
"Vous vous attendiez à ce que je taille sur le physique?"
Mais voyons, quelle drôle d'idée...
😄
Pas franchement son style, tout le monde le sait ... ^^
Ces problemes de trans qui se sentaient toujours mal après transition, j en étais déjà conscient depuis 1 ou 2 ans, mais c'est très intéressant d'avoir une analyse du pourquoi!
Par contre ta photo de profil c'est Kairi, et ça bg c'est incroyable, j'te kiffe
vidéo très intéressante, j'aimerais beaucoup l'envoyer à une personne prise dans cette toile, malheureusement je sais parfaitement que rien qu'en voyant le titre elle ne sera pas visionnée, oui quelqu'un de mon entourage est concerné, et je peux vous assurer que tout cela est bien pire et ne peux être comparé à des tatouages ou piercing, les activistes de ces groupes LGBT-woke, sont une véritable secte, les mêmes codes, cibler les jeunes fragiles psychologiquement, les couper de leur entourage, il n'y a plus de communication possible avec un jeune qui est pris dans cette toile, le jeune est sous totale influence, à savoir que les assoc ont une liste de psy "trans friendly" vers qui elles dirige les jeunes, c'est tout un réseau, et au vu de la journaliste oui c'est quasiment sûr qu'elle a été touché par le problème, car c'est très éprouvant et douloureux de n'avoir aucun moyen d'amener quelqu'un à prendre du recul et réfléchir à tout ça plus en profondeur
la personne vous parle encore ?
Le fait qu'il y ait une liste de psy "trans-friendly" est bien la preuve qu'ils se foutent totalement d'avoir un diagnostique réel. Si une personne souffre réellement de dysphorie de genre, elle n'a pas besoin d'un psy "friendly".
Carole Vary : Votre témoignage se résume en une phrase et celle-ci ne date pas d'hier : "Il n'est de pire sourd que qui ne veut point entendre."
Certains l'ont bien compris et se chargeront de tout mettre en oeuvre pour rendre sourd ces jeunes à votre égard.
@@Kamfrenchie oui mais ce sujet est totalement tabou pour eux en dehors de leur cercle à partir du moment que les arguments ou réflexions avancés ne vont pas dans leur sens
Être transgenre n'est pas être pris dans une toile.
Dieuu merci ce genre de témoignage commence a pleuvoir aux US et ça peut permettre aux parents d'obtenir des éléments clés pour désamorcer les debuts d'aspiration trans de nos ados pris dans le "mouvement"
Ce qu’on voit souvent chez les personnes « détrans » ce qu’ils pourraient limite se plaindre des personnes qui les prennent en charge (soignants), car selon eux ils n’informent pas assez des conséquences de la prise d’hormones, et n’insistent pas assez pour savoir si le patient est sûr de vouloir faire cette transition etc.. sauf qu’à contrario si le soignant insiste sur le choix du patient lui demande si il est vraiment sûr de lui etc.. ça retombera sur le soignant car le patient dira que le soignant remet pleinement en cause, et peut-être même que le soignant sera catégorisé comme transphobe.
Je ne sais pas si ce que j’ai dit est clair.
Il est juste censé faire son métier en fait. Je pense que c’est plus important que d’être accusé de transphobie que d’être responsable d’avoir gâché la vie de qlqn
*plus grave d’avoir gâché la vie de qlqn que d’être accusé de transphobe
Un psychologue est à la solde de son seul portefeuille : ils disent au patient / client ce qu'ils veulent entendre et leurs facturent des séances à n'en plus finir alors qu'il n'y en a pas besoin. Plus le patient va mal, et plus c'est une machine à cash !! Leur but n'est pas de "guérir" les gens.
Oui mais les psy sont aussi à la solde des idéologies dans l'air du temps. Quitte à se contredire totalement.
Bof alors ce sont de mauvais psy.
Il faut se dire que ce sont des personnes qui ont souvent vécu de graves traumas (je ne sais pas si tu vas le dire...) Une génération perdue , ils ont brisé les familles , cassé le patriarcat , et flouter les genres...."Ils doivent s'en délecter"....Mais qui?
George sorros,,,rockfeler,rotchild,,,,
Une des meilleures videoscopie que j'ai vu , le thème est vraiment important et la jeune femme à eu pas mal de courage de témoigner de ce problème qui va sûrement créer d'autres drame dans le futur . Beau boulot .
Bonjour. Je suis un jeune homme transgenre qui souhaite commencer sa transition. Ce questionne a commencé à 13 ans. En revanche, à l'époque, je ne pouvais pas être accompagné car il y avait un manque de compassion véritable de la part des psychiatres. Aujourd'hui j'ai 29 ans. Mais je me suis laissé un an de réflexion encore, le temps de régler des problèmes de santé et surtout d'être sur de mon choix. Pourquoi un doute ? J'ai un parcours catastrophique vis à vis de la condition de la femme ( Pression pour avoir des enfants, place de la femme réduite à l'image de la mère en cuisine avec les enfants et qui doit obéir au mari, rabaissement concernant ma capacité à réfléchir car je suis né ''fille'', meurtre d'une cousine ainsi que coups et abus sexuels.). Je veux être certain qu'il n'y a pas de liens avec ce qui est un choix à mes yeux aujourd'hui et ce passif. Et je m'oppose fortement à ce qu'il se passe : Laxisme sur les diagnostics + certains qui veulent autoriser la prise d'hormones dès l'âge de 8 ans. Pour moi, il faut déjà dépasser la majorité et prendre le temps de réfléchir avec les bonnes personnes. Aujourd'hui, je suis presque sur de mon choix, mais il m'a fallu 18 ans pour y arriver. La vidéo quant à elle est bien construite et je vous remercie pour votre bienveillance.
Bonjour, on remarque que, souvent, les personnes qui veulent changer de sexe ont grandi dans un environnement familial "non sain".
Souvent, ce sont des gens plutôt instables, qui ont manqué de repères étant jeunes etc.
Du coup mon interrogation serait : Ne serait-il pas envisageable (avant d'entamer un changement de sexe) de passer par la case thérapie avec un bon psy, histoire d'essayer d'exorciser les démon du passé (si ce n'est pas déjà fait)?
Attention, rien de dénigrant ou méchant dans ce commentaire, mais peut-être qu'un changement de sexe est à voir en dernier sur une liste de reconstruction de soi non?
@@Valmont646 C'est un raisonnement tout à fait légitime et par lequel je suis passé justement toute ces années. J'ai eu le plaisir d'avoir une excellente thérapeute qui a pris le temps de m'aider à me reconstruire. ''L'exorcisme'' comme vous l'appelez, s'est réalisé sur presque 12 ans. Aujourd'hui, j'ai la tête haute et ce qui m'atteignaient autrefois, ne peut plus le faire aujourd'hui. La transidentité avait été abordée par elle car elle notait que parfois je me genrais directement au masculin sans m'en rendre compte. Elle avait été très claire sur le fait qu'il faudrait approfondir la question tôt ou tard car pour moi cela sonnait comme une hérésie à l'époque. Toutefois, je garde un esprit très ouvert sur la question et je ne compte pas me lancer encore. J'ai des problèmes de santé à faire disparaitre avant de penser à une prise d'hormones. Et je compte bien réfléchir encore un moment et m'auto questionner plus profondément avant de faire le grand saut. ( Ce qui me freine étant la peur de la violence envers les personnes trans et surtout l'avenir de mon conjoint, qui a accepté avec une réelle bienveillance au bout de 10 ans de couple, cette idée de transition alors qu'il s'agit d'un homme hétéro à la base. J'ai peur de ce qu'on pourrait lui faire alors que lui m'encourage plutôt à réfléchir et prendre une décision.)
Comme on a de plus en plus de gens qui n acceptent pas et plus de se gérer émotionnellement on va avoir de plus en plus de "transitions" et aussi des detransitions...mais c est toujours plus facile de dire ah bah oui j' ai été mal accompagné. A toute personne qui souhaiteraient se faire une lourde opération comme le cas d une transition ou d autres choses comme une ablation des seins pour x raisons perte de poids par ex...Il faudrait imposer aux gens une thérapie chez le psy pendant 6 mois afin de détecter les vraies raisons de la motivations.
Oui on a un principe qui s’appelle « confraternité » on a pas le droit d’émettre une critique sur un confrère même si ça démange fortement c’est punissable par l’ordre (rappel a l’ordre voir pire) d’ailleurs étant absolument incapable de mentir je suis parfois très mal à l’aise vis à vis de ce principe qu’il m’arrive parfois de violer.. car il y a des bons et des mauvais et mettre en danger les gens et les tourner en bourrique je ne supporte pas. Pour revenir au sujet je suis très très inquiète de ce phénomène j’ai 2 patients trans qui sont en mal-être total malgré la transition tout simplement car à mon sens ce n’était pas la solution ils ont un gros problème de perception d’eux même, ne sont pas suivi correctement par des psychologues c’est une grosse thérapie longue durée dont ils ont besoin. D’ailleurs l’un d’eux a eu plusieurs interventions de chirurgie de la face car il « ne trouve pas son visage assez féminin » franchement gros gros risques pris alors que personnellement je ne vois aucune différence et pourtant je suis chirurgien dentiste donc je vois assez bien les variations de détails à ce niveau là. Probablement remboursé par la secu car patient CMU avec peu de revenus donc plusieurs chirurgies vue le coût ça m’étonnerait que ce soit de sa poche. J’ai trouvé ça honteux de la part du chirurgien car il aurait du l’envoyer vers une psy ça crevait les yeux qu’il/elle avait un problème de perception de son corps car cette chirurgie ne l’a pas du tout rendu plus féminin mais dans l’histoire le chirurgien s’en ait mis plein les poches. J’ai refusé plusieurs traitements inutiles à ce patient du d’ailleurs à cette mauvaise perception de lui même et il a suffit de lui expliquer de façon empathique qu’il n’en avait pas besoin pour qu’il y renonce puis passe à autre chose et je suis sur que le chirurgien esthétique n’a pas pris la peine de le faire. C’est dramatique car d’une part il prend des risques une anesthésie générale c’est pas rien mais en plus on voit très bien qu’il reste mal et que ça ne résoudra pas son mal-être au contraire puisqu’à chaque fois il a de la déception en se rendant compte que la situation ne change pas. Sans parler du fait que ça gaspille l’argent de la sécurité sociale.
J'ai eu une maladie de Ménière fin Janvier, elle a été diagnostiqué que fin Avril car mon médecin traitant m'avait donné des anti-dépresseurs avant tout examen pour déterminer ma maladie, ces derniers ont empiré mon état, rajouté des symptômes qui ont faussé les examens que j'ai passé par la suite.
Voilà mon anecdote récente (j'en ai d'autres mais plus vielles) sur la médecine actuel, on te prescrit tout et n'importe quoi avant d'être sûr du diagnostic. On veut te guérir avant de savoir de quoi tu souffres exactement.
J'ai une malformation de la cage thoracique qui s'appelle le pectus excavatum (je vous laisse regarder de vous-même).
Après tests respiratoires/cardiaques au début de l'âge adulte (cette malformation s'est développée lors de l'adolescence), il s'est avéré que mes fonctions vitales n'étaient pas ou peu altérées par cette malformation.
Une opération existe. Elle consiste en l'introduction d'une barre en acier tout du long de la cage thoracique dans une opération risquée, notamment risque de perforation du coeur et/ou des poumons pouvant entraîner de fait la mort. Cette barre doit, de plus, être gardée pendant plus d'un an et, durant tout ce temps, le patient se voit dans l'incapacité de pratiquer quelconque activité physique.
Le choix s'est donc présenté à moi. Et, bien que cette malformation a été un grand complexe, j'ai fais le choix sage et raisonnable de refuser cette opération. J'ai préféré faire le choix de m'accepter tel que je suis, car j'ai su déceler à l'époque la course vaine à laquelle je m'apprêtais à me lancer (les complexes ne cessent que lorsqu'ils sont traités comme leur nature suggère qu'ils doivent être traités, c'est-à-dire comme troubles mentaux) et, surtout, les risques que cette entreprise représentait.
Je suis heureux d'avoir eu cette maturité, et peiné de voir que beaucoup ne comprennent pas la nécessité d'apprendre à s'accepter. Ce n'est pas toujours facile, et nous ne sommes clairement pas tous égaux quant à cette thématique. Mais c'est absolument primordial pour notre bien-être individuel à tous.
ravie que le sujet soit enfin abordé en France, c'était prévisible !
et dans quelques années on aura des enfants en guerre avec leur parents qui n'auront pas tout simplement classé ces "demandes" dans la case caprice d'enfant !
Entre deux il y a le covid (complot) et la futur crise économique dans les 5 ans maximum, ne t'inquiète pas tt cela se fini déjà.
Excellente vidéo et oui y'a plus assez de recul et le progressisme (qui est une sorte de nouveau fascisme tant on ne peut le remettre en question) rime finalement avec bêtise un peu comme avec les xénogenres (à ne pas confondre avec xénomorphe) ça relève du psychiatrique je pense (pas au sens péjoratif et fou) et voire pourquoi la personne pense t'elle être un elfe et non ce qu'elle est réellement.
J'ai toujours l'impression que les xénogenres sont finalement des personnes qui ne sont finalement jamais sorties de leur cosplay, une personne qui s'identifie bien à son genre biologique peut le temps d'une journée être un elfe (lors d'une Japan expo) ou avoir les comportements d'un elfe et aimer l'univers fantasy mais elle sait qu'elle joue une comédie et qu'elle n'est pas un elfe elle à la capacité d'analyse et d'objectivité.
Pour les personnes trans je pense qu'il y'a un vrai travail à faire du genre une femme qui veut devenir un homme pourquoi veut elle le faire, s'agit il d'une mode, de quelque chose encré depuis la naissance ou bien d'un traumatisme, par exemple une femme violée déciderait elle de devenir un homme pour ne plus être celle qui à été violée ?
Aussi j'ai l'impression qu'on informe pas assez les personnes qui veulent changer de sexe que ça ne sera pas simple et surtout qu'il y'aura toujours un jugement ou un questionnement de la société sur elles car le naturel biologique va malgré tout rester et ce voir.
Les personnes devraient finalement apprendre à accepter d'être ce qu'elles sont réellement au lieu de chercher un moi inaccessible.
Ce qui est fou c'est que j'ai beau être bi et mon copain homo on ne s’identifie pas mais alors pas du tout à tous ces délires et finalement la propagande LGBT qu'on essaye de nous faire avaler.
Perso je trouve l'homophobie complétement conne et il faut faire de la prévention mais à côté il ne faut pas tout accepter et il faut respecter les choix de chacun, un hétéro n'a pas à être converti à l'homosexualité (et inversement), déjà l'orientation sexuelle devrait rester ce qu'elle est, une orientation sexuelle et non politique or les deux ont tendance à être mélangés ce qui est une dérive à mon sens dangereuse.
Le réel problème avec cet histoire de "vrai soi" ce n'est même pas la question du fait que l'on puisse changer tout au long de sa vie ou que l'on découvre des facettes de sa personnalité petit à petit ( ce qui déjà inclu un principe d'illusion concernant la possibilité d'atteindre le dit " vrai soi " ), le vrai problème que cherche à nier les études de genre et compagnie c'est que son "soi" inclu non pas juste une logique mentale ( typiquement " je sent que je suis ceci ou cela " ) mais aussi une réalité physique/biologique, ainsi son "vrai soi" implique non seulement une compréhension de soi-même ( ce que même en étant bien adulte, plus de 35/40 ans, n'est pas évident d'où la folie de prétendre être capable de le trouver à 18 ans... ) mais aussi une acception de ce que l'on est physiquement... chose nié par les mouvement LGBT and co... d'où le nombre de suicidaire chez les trans, comment voulez vous être vraiment bien dans votre peau quand vous vous rejettez vous même vu que le corps ( et donc son sexe ) avec lequel vous êtes né est une partie de vous même.
Le pire avec tout cela c'est que ces groupes ( LGBT and co ) qui n'ont de cesse de prétendre vouloir lutter contre les stéréotypes de genre sont en fait ceux qui les mettent les plus en avant en expliquant à quelqu'un qu'en fait même s'il est biologiquement de tel sexe bah en fait intérieurement il est d'un autre au vu de sa personnalité et de ses goûts... quand on voit des trans dire des choses du genre " oui je suis né homme mais en fait je suis une femme né dans un corps d'homme " il faut clairement qu'ils aient de sacrés clichés sur les sexes pour penser une chose pareille alors qu'en réalité, même s'il existe des généralités en particulier d'un point de vue physique, il y a globalement autant de façon d'être un homme qu'il existe d'homme et pareil pour les femmes, accepter son vrai soi ce n'est donc pas "changer de sexe" ( expression conne vu qu'il n'existe pas de moyen de réellement changer de sexe de nos jours, c'est uniquement un changement d'apparence, un homme ne pourra pas obtenir un vagin et tomber enceinte par exemple ) mais accepter ce que vous êtes physiquement et les goûts que vous avez, ce n'est qu'ainsi que vous pourrez être bien dans votre peau et vous rapprocher de votre vrai vous et certainement pas en rejettant le corps dans lequel vous êtes né.
Le vrai soi existe. SE confond le vrai soi et l'image de soi qu'elle soit interne ou projetée. Et c'est bien ça que peu de gens arrivent à distinguer.
Une bienveillance palpable dans cette vidéo émouvante.Bravo
Bonjour et bon dimanche, chers amis.
Très rassurant de constater que le bon sens finit par l'emporter face à l'aberration intellectuelle vers laquelle certains tentent de nous pousser. Même si , malheureusement, les trop crédules devront payer avec des séquelles avant de faire ce constat. Merci à eux de nous alerter. Et merci à toi pour ta vidéo.
Déjà dans les yeux des autres, homme ≠ homme trans, donc changer de sexe ne permettra JAMAIS à une ancienne femme d'accéder au même statut.
Ensuite ce qu'on envie principalement à la masculinité, et ce pour quoi se battent les vraies féministes, c'est le droit en tant que femme d'être aussi acceptée et valorisée quand on a des caractéristiques qui sont habituellement associées à la masculinité comme la force physique, la performance sportive et professionnelle, le fait de ne pas se cantonner au rôle de parent ou le détachement émotionnel. In fine, justement le but est de pas avoir à changer de matériel reproductif à s'en rendre stérile. Et idem côté mecs, qu'ils puissent exprimer leur sensibilité s'ils en ont envie, être papa au foyer, ne pas être sportifs ou même intéressés par le sport, développer un goût pour le beau etc. sans qu'on leur nie le fait qu'ils soient hommes.
Enfin, le manque de verrou fort au niveau du corps médical US est juste le fruit de leur idéologie mortifère de la liberté de l'individu à outrance, couplée à un système de santé privatisé qui encourage par exemple les césariennes de confort (pour l'hôpital et l'OB-GYN), même quand les mères pourraient accoucher par voie basse. Alors qui est réellement surpris 🙄 ...
Je pensais Stéphane plus avisé sur les questions scientifiques. Sur le Covid, il dit absolument n'importe quoi. Sur le principe de précaution et la balance bénéfices/risques, les études et les données de terrain montrent justement que les bénéfices l'emportent largement. C'est dingue d'en être toujours à nier le consensus scientifique et l'évidence des faits à ce sujet. Quant au questions des conflits d'intérêt, Raoult empoche entre 10 000 et 20 000 euros par mois avec la vente de ses livres. C'est étrange d'ailleurs qu'il trouve le temps d'écrire plusieurs livres en pleine pandémie. Alors, à qui profite le crime ? Du reste, l'hydroxychloroquine est fabriqué par Sanofi, on est loin du professeur indépendant. Les chercheurs en université qui font les études épidémiologiques sont rémunérés par leur université publiques et ne prescrivent pas des médicaments de Big Pharma, eux. Alors que les défenseurs de Raoult ne donnent pas de leçons d'indépendance.
Quel consensus scientifique?
Le principe de bénéfice/risque s'évalue sur l'individualité dans un premier temps, avant de pensez au collectivisme.
@@Winnie67493 ça tombe bien, je parlais de la balance bénéfices/risques à titre individuel ET collectif. D'ailleurs, en cas de pandémie, il est bien difficile de distinguer l'individuel et le collectif car les deux sont très liés.
@@Winnie67493 Trouvez-moi plusieurs études épidémiologiques qui montrent que la vaccination ne marche pas. Bon courage. En revanche, on a quasiment tous les jours des études montrant les effets bénéfiques de la vaccination, venant de plein de pays différents, se basant sur les statistiques, les données de terrain, la pharmacovigilance, qui corroborent les résultats des phases expérimentales. Et c'est la même méthode scientifique qui a permis d'éradiquer d'anciennes épidémies, de doubler l'espérance de vue et de réduire drastiquement la mortalité infantile. Je pense que cette méthode a fait ses preuves, on n'a rien de mieux.
@@Polski8120 pour l'instant je doute que ça soit une pandémie, mais peut-être une syndémie. Mais si elle est, sa létalité est vraiment extrêmement minime.
Pourrais je avoir le lien de la vidéo d'origine de votre vidéoscopie ? Est elle en entier quelque part merci.
Je soumet cette hypothèse, cher Edouard: est-ce que cette tendance à vouloir se "mutilier" ou tout du moins à se "métamorphoser" est une ultime tentative de réasctualiser les rituels initiatiques de passage à la vie d'adulte, étant donné que dnas notre société qui a aboli les traditions, ces rituels font cruellement défaut ? Autrement dit, la jeunesse contemporaine reproduirait les coûtumes qui lui manquent, mais d'une manière complétement anarchique. Je me suis souvent posé la question en observant l'engouement des jeunes générations pour les piercings et tatouages. Et vous semblez avoir abordé les mots clés: "adulescence, ligne de fuite, état de transition".
C'est pourquoi je ne suis pas aussi pessimiste que vous, cher Edouard, car ces jeunes gens ont tenté désespérement de devenir adulte. Ce faisant, leur prise de conscience les a sûrement rendus matures.
Très très intéressant votre analyse ! A creuser !
Il y a toujours le rituel mutilant des extractions de dents de sagesse, auquel beaucoup se soumettent alors qu'il n'y a presque jamais de raisons à cela. Pas sûre que cela soit efficace
@@claireaurore3594 Il y a très souvent une excellente raison de les ôter: une trop petite mâchoire. À moins de vouloir se retrouver avec des chevauchements dans le genre british du XIXème siècle
pour les piercings et tatouages, c'est inconstatable
par contre, le changement de sexe, c'est autre chose.
@@claireaurore3594
La plupart des dentistes ne retirent les dents de sagesse que si c'est vraiment un problème. J'en ai deux personnellement qui ne m'ont jamais posé de problème et ma dentiste actuelle ne voit aucun mal à les garder. Il faut cependant les surveiller régulièrement. Donc je ne pense pas que cela rentre dans la catégorie rituel. Le BAC, les diplômes en général ou le permis de conduire sont plus proche de ce sens là. Pour le tatouage on a surtout un phénomène de mode qui va produire un boom dans les années qui viennent pour les dermatologues . Un vrai métier d'avenir :) .
Est-ce que c'est l'âge de la majorité qu'on doit revoir ou l'éducation ? Aussi bien à la maison qu'à l'école on n'apprend plus aux enfants la responsabilité, c'est à dire à tenir compte des conséquences de leurs actions ni l'analyse, tout passe par l'émotion et l'immédiat. Pas étonnant qu'à 18 ou même 20 ans ils ne soient pas en mesure de prendre des décisions rationnelles et construites.
S'ils finissent par apprendre au fil des années c'est parce qu'ils sont enfin confrontés au réel sans filtre (parents école etc), les garder quelques années de plus sous cloche ne va rien y changer à mon sens.
Après il se peut que le cerveau humain ne soit pas entièrement développé à 18 ans et que reculer l'âge de la majorité ait un sens aussi mais si c'est la seule mesure mise en place je doute que ça change grand chose.
Aider un adolescent en souffrance à s'accepter et à positiver : 0€.
L'encourager à charcuter sa poitrine, son sexe et à prendre des médicaments à vie : 200 000€.
Le choix est vite fait pour les vautours.
Le problème c'est que ça marche pas (sans parler du prix des antidépresseurs pour la sécurité sociale)
La meilleure des vidéos que j'ai vues de M. Stéphane Ed. depuis une année que je le " fréquente ". C'est mon avis et je le partage volontiers.
Ce sujet lui tient particulièrement à cœur, et la sincérité qu'il perçoit chez l'autre, il nous l'exprime dans son analyse.
Un grand merci pour ces considérations si perspicaces qui démontrent la maîtrise du " coaching " dans ce qu'il a de plus utile pour la compréhension des personnes qui peuplent le monde dans lequel nous vivons.
Le progressisme est la mort programmée de l'humanité.
Au secours !
Moi qui te suit depuis longtemps je suis très heureux d’apprendre que tu es un ingénieur mécanique. Je suis actuellement dans des études de génies méca à l’IUT de cachan. On sent les grands hommes ahaha merci pour ta vidéoscopie !
On devrait faire un parcours d'évaluation sur 1-2 ans pour voir si la transition est un réelle besoin et que la personne n'est pas sous influence des lobby lgbt. La famille devrait être consulter aussi car ils seront tous impacté par ce changement.
C'est pas la vie de leur famille après surtout à un certain âge
Pour info, j'ai une amie qui travaille comme infirmière en hôpital psychiatrique et elle me fait part de ses difficultés à y exercer son métier du fait que c'est le secteur de santé publique qui souffre le plus de manque de moyens à cause des restrictions budgétaires qu'impose l'état !!! Il est donc compliqué de former de bons psychologues, psychiatres etc etc
La qualité des formations et la pénétration d'idéologies morbides est plus en cause, dans le cas des "trans", que le manque de moyens.
Ce n'est pas le manque de moyens qui a fait prescrire à ce jeune femme des injections de testostérone et l'amputation de ses seins.
Cela dit, la psychiatrie française manque cruellement de moyens, comme tous les domaines du service public national (lorsqu'ils ne sont pas livrés au secteur privé).
@@baptistegilbert6421 Oui, en 15 ans, la formation en psychopathologie à l'université s'est considérablement modifiée. Encore au début des années 2000, la transidentité était considérée comme un trouble psychologique. Mais comme il fallait accepter les trans, ne pas les stigmatiser, finalement, ce n'était plus une maladie.
Par contre pour engager des agents de sécurité pour contrôler les pass ils mettent les sous.
@@baptistegilbert6421 Je suis d'accord avec vous, les réseaux sociaux sont inondés de ces témoignages de trans, pansexuel(le)s, asexuel(le)s, cela influence très négativement une jeunesse en recherche et questionnement d'identité et qui trouve là-dedans la facilité de s'y réfugier sans prendre le recul nécessaire et de consulter longuement un psy avant toute prise de décision
Sujet d'utilité publique. Continuez s'il vous plaît.
Excellent contenu comme à votre habitude. Vous confirmez un point que je défend becs et ongles, il faut revoir l'âge de la majorité. Mais surtout il faut apprendre aux gens à devenir mature. Et là c'est tout un système qu'il faut reformer.
Vrai. Mais avec l'abrutissement généralisé, beaucoup ne seront tous simplement jamais matures de leur vie..
Michel Onfray s’inquiétait également des parents qui poussent leur enfant de 5 ou 6 ans à vouloir changer de genre...., on y va tout droit, on y est déjà.
Stephane est une personne très perspicace, je peux ne pas toujours être d'accord avec lui mais j'admire sa vivacité d'esprit et il est d'une éloquence qui devient rare.
Je dois probablement être le seul anarcho à être abonné à cette chaîne.
On est au moins deux!
La partie du cerveau qui nous rend aptes à faire des choix éclairés est celle qui se développe en dernier, & n'est pas mature avant 25 ans ...
Je suis tombé sur un reportage sur les trans d'une 50 aine d'année qui regrettent absolument tout
La référence ?
Quand les racines sont profondes et lorsque le tronc est robuste, même les meilleurs des bûcherons auront les plus des grandes difficultés à empêcher la sève d'atteindre les feuilles.
Merci pour le contenu gratuit que tu nous fait grâce (un pourcentage deviendra VIP, c'est juste des maths.)
En tout cas, je n'ai pas besoin d'attendre la nouvelle année pour être convaincu et persuadé (oui) que la meilleure des résolutions sera d'avoir pris le temps de te rémunérer pour ton travail inouï.
Je n'ose même pas imaginer le nombre d'heures, de mois, d'années que tu as dû passer à étudier et œuvrer pour arriver au sommet de ton art.
RUclips a ces mauvais côté, mais t'avoir dans le creux de l'oreille à loisir montre bien que l'outil n'est pas en faute.
Tu assures. Merci le génie.
Meilleure videoscopie de tous les tps, bravo 👏
Pour ta prochaine vidéo peux tu nous faire une analyse des équipes homme et femme du 1er épisode de Koh Lanta sorti ce soir ? Je crois que ce sera un bon cas d'école avec des bons stéréotypes H et F ;)
De tout mon cœur, une excellente vidéo !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
D'utilité publique en fait !
Merci à toi !
21:40 Dans le même genre (sans mauvais jeu de mot). La plupart des stylistes qui habillent les femmes sont homosexuels donc par définition n'aiment pas les femmes. Mais se sont eux qui prétendent dire aux femmes ce que les hommes (hétéro) aiment que les femmes portent. Alors qu'en fait se sont ce que les homos aiment que les femmes portent.
C'est dingue quand on y penses.
Mon dieu que c'est bête à cet âge là: il est vrai que dans le monde de la mode il n'y a pas de femme , ni d'heterosexuel, juste des homosexuels qui pour ennuier les femmes les obligent à porter des vêtements horrible...
@Miss Gachalive:
1) "La plupart". Je vous renvoie à l'article de Slate "L’homosexualité masculine est-elle une norme dans l’industrie de la mode?" Je vous spoil la réponse est oui.
2) Ce n'est pas pour ennuyer "les femmes". Se sont les gouts d'individus gays, qui ne sont pas attirés par les corps des femmes.
3)D'ailleurs leurs mannequins reflètent aussi ces gouts. Elles sont grandes mais sans fesse et sans sein. Les corps des mannequins femmes sont plus proches de corps d'hommes que des corps de femmes de la vie de tous les jours.
@@trorisk la partie 3 je l'ai compris ya quelque temps. Et c'est vraiment dingue comme on nous a fait inconsiamment rentré dans la tête leur goût comme une norme de beauté hetero.
@@trorisk donc un article reflète la réalité ?
Cette vidéo m'a mis dans une grande tristesse.
Je souffre à la vue de cette dé-trans.
Les idéologies nihilistes post-moderne sont de réels fléaux... 😡
Mais les nihilistes sont aussi à droites.
Le problème c'est le manque d'identité que l'existence prétend combler par le vide. Ça donne l'ego et sa régence.
Stéphane Édouard a chaque début de vidéo : je tacle rarement sur le physique mais …
Le problème c'est qu'une fois qu'ils et elles regrettent, là ils se plaignent (à raison !) De la facilité et la rapidité avec laquelle la transition c'est faite, les ordonnances d'hormones, les rdv de chirurgie, mais quand ils vont demander à prendre des hormones, *ce sont eux qui poussent et se plaignent si les docteurs hésitent* :
la faiblesse est humaine et obviously (je n'aime pas les anglicismes mais je ne connais pas ce mot en français) ils ont peur que les jeunes portent plainte pour _transphobie_ s'ils hésitent à prescrire...
Ces jeunes ne sont rien d'autre que des enfants en plein caprice, ils veulent transitionner *tout de suite* et *complètement* .
Et malgré tout les entretiens qu'il puisse exister, ils diraient simplement les paroles magiques *"je suis sûr de moi, je le sais depuis que j'ai deux ans, je souffre dans ce corps, etc etc"* et beaucoup font même du chantage au suicide.
Imaginez le médecin qui refuse une prescription d'hormones et la jeune se suicide, imaginez le backlash dans les médias, on dirait que par transphobie, le médecin a refusé d'aider cette pauvre personne blablabla...
Alors forcément, même les Dr qui ne touchent rien en plus que leurs honoraires et ne reçoivent pas d'argent des chirurgiens ou du lobby lgbtqyz, sont juste faibles, et ont peur d'être montrés du doigt, dénoncés sur les réseaux sociaux comme _transphobes_ ou carrément affichés dans les médias mainstream.
Le chantage au suicide est une des techniques que l'on trouve sur les forums LGBTxyz pour aider les gosses à transitionner, ils leur disent _"si le Dr hésite, dites que vous pensez au suicide à cause de ce corps"_
C'est vraiment une technique pour pousser à Prescrire et immédiatement.
Obviously= évidemment ou forcément.
Notre société est complètement malade et dégénérée. Je ne pensais pas vivre ça un jour.
A qui la faute ? QUI ?
La prochaine étape sera-t-elle les re-trans qui après être devenu dé-trans voudront redevenir trans. Puis ensuite les re-détrans, qui voudront pour la 2ème fois annuler leur transitude? 🥵
Vraiment j'apprécie vos réflexions et études du comportement , j'espère que d'autres que vous étudies et pensent comme vous ! quand je vous écoute , je me dis que d'une il se passe des choses vraiment glauques , alors qu'il y a seulement quelques années en arrière , les priorités de l'etre humain n'étaient pas du tout les memes ! un toit , du pain , c'était ça la priorité !!!! maintenant c'est " changer de sexe " !!!!! c'est FOU ! et en plus ils retournent en arrière , c'et encore plus fou !!! cela veut dire : ré - opération , re - changement des papiers d'identité ? retrouver sa place dans la société ?? victimes d'une mode ? ou caprice d'un moment ? , la vie n'est pas assez compliquée ? il faut encore se la compliquer d'avantage ? le cout des opérations , la douleur ....cela en vaut il vraiment la peine ?
Cette interview est tellement touchante... Vous avez employer le bon ton.
Comment arrivent-ils à ce chiffre de 1,4 millions de trans ? Quelle est la définition ? Quelle est la proportion qui ont entamé une transition médicamenteuse ou chirurgicale ?
Bonne question.
Définitions du Wiktionnaire : transgenre \tʁɑ̃s.ʒɑ̃ʁ\ masculin et féminin identiques
Dont l’identité de genre ne correspond pas (ou plus) à celle que l’état civil indique à la naissance.
transsexuel \tʁɑ̃s.sɛk.sɥɛl\ masculin (pour une femme, on dit : transsexuelle)
Personne qui a changé ou souhaite changer de sexe, ou est en cours de transition.
@@johnthefool Quand je parle de définition, j'en demande un peu plus que ça. Ce qui m'intéresse, c'est la définition opératoire dans l'étude qui donne ce chiffre étonnant. Y a-t-il des critères cliniques, constatés par des psychologues ou des membres du corps médical ? Ou bien considère-t-on comme transgenre simplement ceux qui se déclarent comme tels, sans vérification de leur auto-diagnostic? Faut-il avoir entrepris une démarche de changement de genre pour être comptabilisé? Si oui, laquelle ? Administrative? Médicale ?
Le chiffre me paraît élevé. Aussi, je me demande si c'est une extrapolation ou si cela repose sur des données solides.
@@stanislaskowalski7461 Bien sûr, j'apportais juste un début de réponse en définissant les termes.
On interdit des produits dopants pour les gens qui souhaitent gagner davantage de muscle, probablement légitimement, pour des raisons de santé par contre la c’est open bar et remboursé
Pourtant c'est le même mouvement de l'esprit qui pousse l'individu à vouloir prendre du muscle. En effet, souvent négligé ; ces hommes dans leur culte du Corps pratiquent la même logique que ces féministes dans leur culte de la haine ; c'est du nihilisme.
Le vrai soi, est celui qu'on voit dans la glace. C'est celui qui prend des décisions, qui les assume, qui vit sa vie et qui l'analyse après coup. On se façonne avec le temps et l'expérience, pas avec des coups de bistouri.
Salut Stéphane, merci à toi pour ce travail d'information qui à le mérite de montrer l'autre versant du débat autour du genre qui anime notre société.
Vidéo hautement nécessaire.
Une chose manquante à l'analyse de la question est l'origine de toutes ces idées. J'invite tout le monde à se renseigner notamment sur un certain John Money, père de l'expression 'identité de genre', et comment il a mis en pratique ses théories.
Moi je n'ai pas besoin de faire preuve de discernement, j'écoute notre gouvernement comme ça, je suis sûr d'être bien informé !
Et je fais l'exact contraire, comme ça je suis sûr de faire le bon choix.
😌🤣
C'est l'effet de groupe qui leur fait faire ce genre de transition... le problème c'est que c'est devenu une espèce de secte!
Tu as un certain mal être qui est sûrement plus profond que ton identité sexuelle, mais tu es dans ton groupe, physique ou virtuel, et tout le monde te bombarde le cerveau en te disant que la seule solution à ton bien être c'est de faire le pas de la transition.
Le jeune trans interrogé sur VA le dit très bien!
C'est un réel souci car cela oblitère totalement ton réel mal être, tu te retrouvera avec l'idée que la transition sexuelle est la clé de ta guérison psychologique, alors que ton mal être est toujours là, au fond de toi et que tu vas juste perdre l'occasion de te remettre en question et de te guérir pour aller réellement mieux !
Surtout que chaque fois qu'on voit des gens qui ont fait la transition, ils sont souvent fort jeune (adolescents ou début vingtaine)
C'est tragique...
C'est le progrès sociétal du 21e siècle. Or après avoir vu des siècles de mentalités nouvelles nous apporter des bénéfices, les gens pensent que le progrès qui se présente en émancipation est bon par essence. Ils pensent que la liberté de changer de sexe est finalement l'aboutissement ultime des libertés individuelles.
La plus grave des illusions c'est l'idée que tout est construction et donc que quand quelque chose ne va pas, il faut le reconstruire. Ainsi un jeune pas à l'aise dans son corps en arrive à croire qu'il faut le modifier.
Et comme s'opposer au progrès c'est passer pour un "facho" (terme sur-employé), beaucoup de personnes trouvent la transexuealité c'est de la décadence mais personne n'ose le dire, tout le monde feint la tolérance et sourit. Avant la dictature de pensée était ferme, aujourd'hui elle revêt le masque de compassion et d'empathie.
Résultat : de moins en moins de personnes pour dire à ces adolescents qu'ils se trompent de solution et à la place on les sourit et on les félicite pour leur courage de s'auto-definir. Alors même que personne ne veut cela pour son propre enfant ou frère ou sœur.
@@jo_xq58valkyrie21
Mais il ne s'agit pas d'émancipation, mais d'aliénation à une groupe, et à une image portée par cette secte, à des stéréotypes ( si tu as un trouble d'identité, tu dois te conformer au stéréotype du sexe opposé, pour faire court ) .
C'est totalement anti progressiste comme mentalité.
Le moteur du vrai progressisme c'est l'autonomie, et là ce qui est décrit c'est 0% d'autonomie.
L'autonomie c'est ne pas se comparer aux autres, à des images toutes faites, mais de s'accepter comme on est , et pouvoir s'améliorer par soi même. L'autonomie ce n'est pas faire un copié collé de stéréotypes.
Tout ça c'est une histoire de pouvoir, de manipulation , comme dans toute secte.
En poussant l'autre à effectuer sa transition, on a un pouvoir sur cet autre.
Quand je vous dis que ce mouvement a le même fonctionnement qu'une secte
Je pense exactement la même chose sur les psy depuis bien longtemps, ils ne font plus leur travail, j'espère qu'ils seront jugés un jour pour tout le mal qu'ils ont fait.
Lets gooo :) le rendez vous avec tonton stéphane le meilleurs rendez vous de la semaine
South Park et Stéphane Édouard l’avaient prédit... Monsieur Garrison est devenu Madame Garrison, puis de nouveau Monsieur Garrison. Amen.
Très bonne vidéo. Dommage de ne pas faire preuve d'un peu plus de DISCERNEMENT concernant l'ensemble très hétérogène que constituent les "psys", en particulier lors d'une vidéoscopie concernant un sujet psychologique aux états unis (assez différents de la France).