[TRIBUTE] Elisabeth Platel about RUDOLF NUREYEV
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- Опубликовано: 14 окт 2024
- À l’occasion des trente ans de la disparition de Rudolf Noureev, le 6 janvier 1993, l’Opéra national de Paris lui rend hommage : www.operadepar...
Depuis sa première apparition sur la scène du Palais Garnier en 1961 à ses derniers saluts au public en 1992, à l’issue de la première représentation de La Bayadère, Rudolf Noureev a profondément marqué l’histoire du Ballet de l’Opéra national de Paris.
Directeur de la Danse à l’Opéra de Paris de 1983 à 1989, il enrichit le répertoire par ses relectures des chorégraphies de Marius Petipa ("Don Quichotte", "Raymonda", "Le Lac des cygnes", "Roméo et Juliette", "Casse-Noisette", "La Bayadère"...). Il le renouvelle en invitant de nombreux chorégraphes contemporains et fait rayonner la Compagnie au niveau international en programmant d’importantes tournées.
Trente années après sa disparition, son héritage reste présent au sein de la Compagnie qui continue d’interpréter les grands ballets du répertoire qu’il a remontés pour l’Opéra.
Merci Elisabeth Platel! .... et Rudolf Noureev... qu'on oublie jamais....
Quelle magnifique interview d'Élisabeth Platel, posée, lucide sur les héritages de Rudolf entre passé, présent et futur! Je souhaite le plus bel avenir à cette grande maison et à tous ses artistes qui nous donnent à rêver et nous font partager des moments uniques si extraordinaires
Merci. Vivea Danse et vive le spectacle vivant!
Merci Madame!! Super,!!! 💖💖💖
Elisabeth Platel , la classe et la passion incarnée!❤
It is so nice to hear about the great Nureyev from this amazing lady who has also been a golden ballet artist. Thank you.
🌟👏❤Rudy est toujours dans mon coeur❤👏🌟
Quelle femme intelligente❤.
missing him
Passionnante interview, merci
Merci Paris, Merci La France ❤. 🫂🕎🎆🌳🌲🏆 Bonne Année 2023.
Merveilleux reportage 💜
Love this Lady
💖💖💖💖
💋🚀💖
C’est sûr qu’il avait un sens du travail implacable qui l’a amené vers la liberté de créer. On ne peut pas trouver de liberté sans travail : c’est indispensable. Lui l’avait pigé comme d’autres grands créateurs avant lui: Tchaikovsky, Dostoievsky… Revenir à la barre chaque matin quoiqu’il arrive, c’est une obligation nécessaire qui débouche sur le développement créatif par la suite. Comme le solfège l’est pour le musicien ; le texte pour l’acteur. L’astreinte crée la liberté.
❤❤❤❤❤