Merci pour cette vidéo qui est entièrement vraie. Ayant fait mes études a Rennes orientation psycha) dans les années 2010, c'était comme vous dites : demerdez vous. Démerdez vous pour avoir de la pratique, trouver des stages, comprendre les tests psychotechniques, le mémoire... Il n'y avait même quasiment pas de travaux en groupe ! A contrario, j'ai fait une année en Espagne et j'ai eu (en équivalent licence 3) un bilan psychologique complet a faire. En 2 mois ! Et yavait pas de "ouin cest trop dur" cetait obligatoire. J'en veux beaucoup a la fac de psycho en France. Ou du moins a la fac d'orientation psychanalytique. C'est vraiment lamentable d'avoir une formation aussi pauvre comparée a d'autres pays. Votre vidéo relate vraiment bien les faits.
Je vois que les études de psycho n'échappent pas au fonctionnement déficient des universités françaises 😅 Je trouve aberrant et presque choquant qu'il n'y ait pas d'apprentissages pratiques (en dehors des stages), notamment pour les entretiens cliniques. Pour moi, à partir du moment où on se dirige vers des métiers en lien avec l'être humain, on ne peut pas s'appuyer uniquement sur de la théorie, d'autant qu'elle est souvent (très) éloignée de la réalité 😬 En tout cas, très bonne vidéo comme toujours ;) Merci de consacrer du temps pour nous en partager aussi régulièrement
Je trouve la qualité des formations en psychologie en France catastrophique, le niveau de stress, d’anxiété généré par des attendus flous, des profs qui ne savent pas clairement ce qu’on doit faire, ect … on doit être en capacité d’être à l’écoute, bienveillant, non jugement mais on ai traité comme des animaux parce le système scolaire n’arrive pas à gérer la quantité d’étudiant en psycho… Je suis extrêmement déçu de cette filière, je suis étudiant en L3 à Toulouse et je trouve le système catastrophique surtout en L3 et je pense que c’est pire en master
Je suis actuellement en M1 de psychologie clinique et psychopathologie, et je trouve également ça aberrant qu’on ait toujours autant de théorie sans pratique. On nous forme à acquérir des savoirs, mais pas des compétences, et le lieu de stage ne suffit pas pour cela (surtout du fait qu’il n’est pas toujours accessible d’assister à des entretiens, à tout le travail d’équipe institutionnel…). Pourtant, à mon sens, acquérir des compétences est crucial pour faire le travail attendu dans notre carrière (savoir mener des entretiens, comment communiquer avec les professionnels, quelles attitudes et choix à faire face à certains patients…). Ça n’est pas normal. Je sais que l’idée de rajouter une sixième année d’études est en discussion. Je ne suis pas contre l’idée s’il s’agit de former sur des compétences concrètes. Mais en revanche, je vois mal comment est que l’on pourrait faire avec aussi peu de places en stage, et toujours aucune revalorisation derrière … (sans compter que c’est en général rare qu’un stage soit rémunéré en psychologie, chose qu’il faut bien préciser aux étudiants aussi :)…)
Choses qui m'ont étonnée : Avant la L1, ne pas savoir que chaque faculté avait une orientation spécifique. Ne pas être avertie de la sélection. La pression intense des études, surtout en L2-L3 à cause de la sélection.
Pour être en L3 de psycho... Je suis tout à fait d'accord avec ces remarques sur cette formation 😅 après, pour avoir fait une fac de droit il y a longtemps... mêmes remarques. Il y a quelque chose à revoir à l'université 😁
Merci pour ta vidéo en tant que lycéenne je l'a trouve hyper importante à voir et bien expliquer ! PS : attention les bac L, S.... n'existent plus malheureusement remplacer par les spe 😁
La fac est avant tout en apprentissage de l’indépendance !!! Et l’avantage c’est que cela te permettra de te préparer à ta vie d’adulte !!!! Eh voui ❤❤❤
Bonjour , je suis en terminale et je sais que je suis pas une élève excellente mais je m'en sors dans toutes les matières , j'ai une question est-ce que vous pensez que je suis capable de suivre le rythme de ces études en étant pas super niveau notes ?
J'ai trop peur 😭 je commence ma L1 cette année dans une fac privée où je vis et je compte continuer mes études les années suivantes en métropole, apparemment chaque faculté a son propre programme, j'ai peur d'être perdue et de me retrouver à etudier la suite qui n'a rien à voir avec ma première licence, ou me retrouver avec pleins de trous dans mon programme 😢
Coucou Vic, oui ça pourrait mais je refuse de faire partie du CPF pour le moment car je n’ai eu que de mauvais retours d’autres structures y ayant adhéré et la réputation du CPF est assez mauvaise en ce moment, donc je n’en ai pas envie. Toutefois, la formation Ose ton Lib est financables par l’employeur, la mission locale et tout autre association. Et nous sommes en train de faire les démarches pour être financables par l’OPCO, Pôle Emploi et le FIFPL. Malheureusement, ces démarches prennent ÉNORMÉMENT de temps (administration française oblige ahah 😅) mais je ne baisse pas les bras en espérant de manière très optimiste que tout soit terminé d’ici fin 2023 🤞
Je suis surpris de certains de vos propos pour une étudiante de Lyon 2... Vous faites comme si dans cette fac il n'y avait pas de lien avec la réalité de terrain...ce qui est faux. Vous dites qu'il n'y a pas de cours sur comment mener un entretien. C'est également faux. Il y a des cours sur l'entretien clinique et des td sous forme de jeu de rôle. Ensuite, vous dites qu'on ne vous donne pas d'instruction sur les trois dossiers de fin de Master 2...ce qui est faux également. Cela donne l'impression qu'il faudrait tout vous dire sans rien laisser de liberté. Même votre remarque sur les jury me semblent un peu à côté... Enfin, c'est dingue d'entendre que l'écart theorico clinique est un problème... Je pensais qu'on vous apprenait justement à faire avec cet écart et qu'il n'y a pas de pratique sans théorie...et pas de théorie sans pratique... J'ai comme l'impression qu'il y a quelque cours que vous avez oublié... Au lieu de se plaindre tout le temps de tout ce qui ne va pas...pourquoi ne pas aussi énumérer tout ce qui va ? Pour finir...à votre avis...pourquoi ne peut-on pas faire de la pratique tout de suite et qu'on dote d'abord les étudiants de théorie ? : si un étudiant présente une trop grande fragilité psychique voire une psychopathologie...n'y aurait-il pas un risque qu'il décompense en cas de stage en Psychiatrie par exemple ? Est-ce que les études de psychologie sont pour tout le monde ? : vous confieriez un de vos proches à quelqu'un atteint de pathologie psychiatrique et qui ne se soigne pas ? La sélection officielle ou officieuse par le temps le travail et les examens et jury est une nécessité absolue. Et pour répondre : @lakouk1901 le propre de la perveRsion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. La décence voudrait que vous vous absteniez de dire n'importe quoi. C'est le problème d'internet où le profane se croit l'égale de l'expert. Ce n'est pas parce que vous affirmez que des étudiants malades ou des personnes souffrant de pathologies psychiatrique peuvent soigber sans faire de dégâts chez les patients que c'est vrai. L'expérience de terrain du professionnel et enseignants surpasse tout discours idéologique. Vous aurez de la légitimité minimum quand vous aurez choisi pour votre propre soin un professionnel qui se déclare psychotique non-soigné.
Bonjour, merci beaucoup pour votre retour ! Faites-vous partie des profs de Lyon 2 ? Je pense qu’aucune formation n’est parfaite et qu’on est toujours en recherche d’amélioration donc si vous faites partie des enseignants, il serait intéressant d’échanger plus longuement sur le sujet afin d’apporter le regard des anciens étudiants (pas que le mien bien entendu) pour co-construire ensemble. Seriez-vous d’accord ? Vous dites qu’au lieu de se plaindre de tout ce qui ne va pas, il vaudrait mieux énumérer ce qui va. Mais énumérer les zones qui me semble non optimales signifie-t-il qu’il s’agit d’une mauvaise formation ? Comme cité plus haut, selon moi, aucune formation n’est parfaite. Il me semble donc qu’informer les étudiants de ces éléments soit pertinent pour eux. D’autant plus que dans la plupart de mes vidéos ainsi que sur mes autres réseaux sociaux, je ne cesse de prôner que Lyon est selon moi, une des meilleures facs de France. De ce fait, je ne comprends pas votre surprise. J’entends votre position et vous avez raison. Il y a des cours d’entretiens cliniques : 1h45 de cours en Master 1 pendant 1 semestre et 2 cours de 1h45 en M2 pour ma part. Mais aucun jeu de rôle. En amphi, je vois mal comment cela serait possible et en TD, je n’en ai pas eu. Peut-être que ça changé depuis ? Mais je ne relate que mon expérience, rien d’autre. De ce fait, pouvez-vous entendre que ça m’a semblé léger ? D’autre part, ces cours ne mentionnent pas comment mener une thérapie avec un patient anxieux, ou dépressif, ni même comment réagir face à la violence institutionnelle… d’où mes propos dans la vidéo. Il m’a semblé qu’il manquait d’outils concrets et d’approfondissement. Certes, nous le voyons lors de nos stages, mais encore faut-il tomber sur un maitre de stage qui soit suffisamment bienveillant et encadrant. Lors de ma promo, il y en avait peu. En tous cas, c’est ce qui était relaté par les autres étudiants. Pensez-vous que j’aurai dû omettre ces éléments à ma communauté ? Concernant les dossiers à fournir, il m’a été transmis « faites un mémoire de recherche ». C’est tout. D’après vos propos, j’aurai dû m’en contenter. De prime abord, ça parait un peu énigmatique et assez inconsistant lorsqu’on arrive en M1 et qu’on ne connait rien de rien à la recherche, ne trouvez-vous pas ? Nous aurions aimé (je parle au nom de plusieurs étudiants d’à l’époque) un peu plus d’informations concernant la structure, à minima. Non loin de moi l’idée qu’il ne faut pas laisser les étudiants se débrouiller, au contraire, mais je pense qu’on peut les guider un peu plus sans pour autant les priver de leur liberté. N’est-ce pas le rôle des professeurs ? Toutefois, vous avez raison sur un point, en Master 2 (en tous cas, de mon expérience à Lyon 2) nous sommes plus guidés en ce qui concerne les 3 dossiers à rendre grâce à notre tuteur. Veuillez m’en excuser, j’aurai dû le préciser à nouveau dans cette vidéo (il y a déjà une vidéo de 2020 qui le mentionne). Pour répondre à votre question, je suis à 100% d’accord avec vous concernant le risque de décompensation des étudiants et je suis la première à en parler, que ce soit sur ma chaine ou sur Instagram. Toutefois, davantage de stages d’observation en licence par exemple ne me semble pas être un facteur de risque de décompensation. Mais peut-être que je me trompe. Quel est votre point de vue sur le sujet ? La sélection est là aussi pour « filtrer » en quelque sorte les étudiants, notamment ceux qui présentent un risque de décompensation. Donc non, selon moi, les études de psychologie ne sont pas faites pour tout le monde, c’est bien pour ça que la sélection L3-M1 est présente (entre autres), n’est-ce pas ? De ce fait, la question de savoir si je confierai un de mes proches à quelqu’un (un psy je suppose ?) atteint d’une pathologie mentale élevée qui ne se soigne pas n’a pas lieu d’être étant donné qu’un psy n’est plus étudiant et qu’il a passé la sélection et obtenu son diplôme. Je vous rejoins donc à 100% sur ce point, à savoir que la sélection par le temps le travail, les examens et le jury est une nécessité absolue. Je ne crois pas avoir soutenu l’inverse dans la vidéo. Si c’est ce que vous avez perçu, alors vous m’en voyez désolée.
@@marionthelisson je ne peux répondre precisement à certaines questions. Cependant, je peux apporter quelques réponses et remarques. Tout d'abord comment faisaient les générations d'avant ? Il n'y avait pas Internet, pas les podcast des profs, pas de watts ap pour tricher ni de chat gpt le nouveau compagnon de triche des étudiants...et , les étudiants se plaignaient moins... A présent, il ne se passe pas une année sans un blocage de la fac pour ensuite entendre des revendications comme "nous exigeons la validation automatique du semestre"... alors que les cours ont largement été adaptés, les dispenses d'assiduité multipliées etc... Les étudiants sont informés dès la deuxième année qu'il faut TRAVAILLER, quil faut LIRE des livres recommandés, qu'il faut s'organiser. Ce n'est pas à la fac qu'incombe la responsabilité de ces choses là, même si c'est évident qu'il y a des points encore problématiques en termes d'organisation etc... mais de là n'enumérer que ce qui ne va pas... je ne l'ai pas fait auparavant et je ne le ferai pas davantage. D'aussi loin que remonte ma mémoire sur le sujet il y a toujours eu des TD dès la Licence 3 sur l'entretien clinique, les épreuves projectives, le psychodrame et les thérapies familiales. Mais c'était des options lors de certains quinquénaux, donc vous ne les aviez pas pris. De plus, deouis deux ans, certaines options reposent essentiellement sur des jeux de rôles. Concernant le manque de préparation au terrain...j'ai l'impression que vous n'avez pas compris malgré votre parcours que l'on ne peut pas être vraiment préparé à tout, ni même à mener une psychothérapie. D'une part cela demanderait trop de temps, d'autre part on ne peut pas former et outiller des jeunes gens dont certains souffrent de pathologies psychiatriques...je vous rappelle que c'est ce genre d'individus qu'on retrouve en "somatothérapeute" ou autre charlatan. On ne peut pas former à "comment faire avec un anxieux" ou je ne sais quoi car il n'y a pas de recette préalable. Aussi, concernant le manque d'outil concret vous omettez que les étudiants disposent dès la 3ème année de Licence un Td d'élaboration de stage et de positionnement clinique. En master 2 ils ont également un tutorat de stage et un td d'élaboration de note de recherche qui vise à leur inculquer la méthodologie universitaire et la méthodologie et l'épistémologie. Il est donc faux de dire que cela n'existe pas. Mais que cela paraisse frustrant et insatisfaisant est monnaie courante. A ce propos, je peux remarquer une nette tendance à la perte d'autonomie chez des étudiants qui ne travaillent plus de leur initiatives pour la majorité et auxquels il faudrait tout indiquer, qui ne cherchent plus et qui se repose sur leur rapport du dépendance aux groupes watts app etc... car les instructions de dossiers de Master 1 et de Master 2 sont clairement énoncé et transmises par écrits et accompagnées durant l'année. Or, vous omettez qu'il est plus simple de faire porter la responsabilité de l'échec ou des difficultés à l'institution plutôt qu'à se remettre en question et à changer de méthodes d'apprentissage et de travail...bien sûr il existe tout de même des problèmes dans la transmission du savoir etc...mais un peu de mesure serait le bienvenu. J'ajoute que si on donne toutes les instructions jusqu'à dire ce qu'il faut écrire et comment, il n'y a plus moyen d'évaluer les étudiants et repérer les forts potentiels des étudiants en faux self qui sont simplement scolaire mais ne seront jamais psychologues...les écrits sont aussi des épreuves projectives. Il est nécessaire d'être suffisamment outillé avant de s'aventurer en Psychiatrie par exemple. Des étudiants fragiles pourraient tomber malades avec une trop longue exposition. De plus, rien n'empêche de faire des stages complémentaires non obligatoires. S'il y a si peu de temps de stage demandé c'est d'abord pour des raisons pratiques : il manque trop de terrains de stage. Je crois que s'il est important de faire ce qu'il est possible de faire pour améliorer les conditions d'enseignements et d'apprentissage mais pas en faisant tout porter à l'université. Et surtout avant de passer son temps en revendications il faut connaitre les contraintes et les problématiques de l'université et des enseignants. Obtenir son diplôme n'est en aucun cas un gage de santé mentale ou de ne pas etre dangereux pour certains patients. Seule une psychothérapie personnelle ou une psychanalyse, ainsi qu'une supervision et une formation continue peuvent constituer des garants.
Je ne suis pas psychologue donc je ne peux pas intervenir sur les deroulements des etudes mais je suis choquée sur vos propos où vous dites qu'une personne qui a une pathologie mentale ne peut pas soigner ou serait un danger pour son patient.e . Ce sont des propos validistes. Une personne atteinte de troubles n' est pas inapte ou dangereux.se pas plus qu'un.e valide et un.e neuro/psychotypique. Je suis outree de constater de la psychophobie , je me demande comment vous pouvez etre apte si vous défendez des idées psychophobes.
@@lakouk1901 @lakouk1901 le propre de la perversion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. Et vous l'avez dit vous-même, vous n'êtes pas psychologue. La décence voudrait donc se vous abstenir. Ce n'est pas parce que vous affirmez qu'un étudiant malade ne peut soigner sans faire du mal au patient que c'est vrai. Car l'expérience de terrain vaut tout vos discours idéologique.
@@lakouk1901le propre de la perveRsion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. La décence voudrait que vous vous absteniez de dire n'importe quoi. C'est le problème d'internet où le profane se croit l'égale de l'expert. Ce n'est pas parce que vous affirmez que des étudiants malades ou des personnes souffrant de pathologies psychiatrique peuvent soigber sans faire de dégâts chez les patients que c'est vrai. L'expérience de terrain du professionnel et enseignants surpasse tout discours idéologique. Vous aurez de la légitimité minimum quand vous aurez choisi pour votre propre soin un professionnel qui se déclare psychotique non-soigné.
![I.N "HALLUCINATION" | [Stray Kids : SKZ-PLAYER]](http://i.ytimg.com/vi/n5B5q1Hwt_U/mqdefault.jpg)
Merci pour cette vidéo qui est entièrement vraie. Ayant fait mes études a Rennes orientation psycha) dans les années 2010, c'était comme vous dites : demerdez vous. Démerdez vous pour avoir de la pratique, trouver des stages, comprendre les tests psychotechniques, le mémoire... Il n'y avait même quasiment pas de travaux en groupe ! A contrario, j'ai fait une année en Espagne et j'ai eu (en équivalent licence 3) un bilan psychologique complet a faire. En 2 mois ! Et yavait pas de "ouin cest trop dur" cetait obligatoire.
J'en veux beaucoup a la fac de psycho en France. Ou du moins a la fac d'orientation psychanalytique. C'est vraiment lamentable d'avoir une formation aussi pauvre comparée a d'autres pays. Votre vidéo relate vraiment bien les faits.
Je vois que les études de psycho n'échappent pas au fonctionnement déficient des universités françaises 😅 Je trouve aberrant et presque choquant qu'il n'y ait pas d'apprentissages pratiques (en dehors des stages), notamment pour les entretiens cliniques. Pour moi, à partir du moment où on se dirige vers des métiers en lien avec l'être humain, on ne peut pas s'appuyer uniquement sur de la théorie, d'autant qu'elle est souvent (très) éloignée de la réalité 😬
En tout cas, très bonne vidéo comme toujours ;) Merci de consacrer du temps pour nous en partager aussi régulièrement
Je trouve la qualité des formations en psychologie en France catastrophique, le niveau de stress, d’anxiété généré par des attendus flous, des profs qui ne savent pas clairement ce qu’on doit faire, ect … on doit être en capacité d’être à l’écoute, bienveillant, non jugement mais on ai traité comme des animaux parce le système scolaire n’arrive pas à gérer la quantité d’étudiant en psycho… Je suis extrêmement déçu de cette filière, je suis étudiant en L3 à Toulouse et je trouve le système catastrophique surtout en L3 et je pense que c’est pire en master
Je suis actuellement en M1 de psychologie clinique et psychopathologie, et je trouve également ça aberrant qu’on ait toujours autant de théorie sans pratique. On nous forme à acquérir des savoirs, mais pas des compétences, et le lieu de stage ne suffit pas pour cela (surtout du fait qu’il n’est pas toujours accessible d’assister à des entretiens, à tout le travail d’équipe institutionnel…). Pourtant, à mon sens, acquérir des compétences est crucial pour faire le travail attendu dans notre carrière (savoir mener des entretiens, comment communiquer avec les professionnels, quelles attitudes et choix à faire face à certains patients…). Ça n’est pas normal.
Je sais que l’idée de rajouter une sixième année d’études est en discussion. Je ne suis pas contre l’idée s’il s’agit de former sur des compétences concrètes. Mais en revanche, je vois mal comment est que l’on pourrait faire avec aussi peu de places en stage, et toujours aucune revalorisation derrière … (sans compter que c’est en général rare qu’un stage soit rémunéré en psychologie, chose qu’il faut bien préciser aux étudiants aussi :)…)
Je pense surtout que l’alternance devrait être possible pour toutes les professions.
Choses qui m'ont étonnée : Avant la L1, ne pas savoir que chaque faculté avait une orientation spécifique. Ne pas être avertie de la sélection. La pression intense des études, surtout en L2-L3 à cause de la sélection.
Connaissez-vous des facs orientée psychologie humaniste ?
Pour être en L3 de psycho... Je suis tout à fait d'accord avec ces remarques sur cette formation 😅 après, pour avoir fait une fac de droit il y a longtemps... mêmes remarques. Il y a quelque chose à revoir à l'université 😁
le manque de pratique ne me choque pas;
Bonjour, merci pour tes vidéos tres inspirantes. En revanche tu ne parles pas des masters a distance. Aurais tu des infos a ce sujet ? Merci
Merci pour ta vidéo en tant que lycéenne je l'a trouve hyper importante à voir et bien expliquer !
PS : attention les bac L, S.... n'existent plus malheureusement remplacer par les spe 😁
Bonjours je suis pas d'accord c'est vraiment bien d'avoir fais ça car ça permet de pouvoir faire un mixe qui est bien pour certaine étude
Merci pour les infos ; j'aimrais bien savoir des choses sur: l' premier entretien / l' bilans psychologique / compte rendu ...
La fac est avant tout en apprentissage de l’indépendance !!!
Et l’avantage c’est que cela te permettra de te préparer à ta vie d’adulte !!!!
Eh voui ❤❤❤
Oui effectivement c'est un sentiment qui me domine et il me laisse pas pendre de bonne décision
À un moment tu parles de jeux de rôles, peux tu en dire plus? Une vidéo consacrée à cela?
Bonjour , je suis en terminale et je sais que je suis pas une élève excellente mais je m'en sors dans toutes les matières , j'ai une question est-ce que vous pensez que je suis capable de suivre le rythme de ces études en étant pas super niveau notes ?
Tente!
J'ai trop peur 😭 je commence ma L1 cette année dans une fac privée où je vis et je compte continuer mes études les années suivantes en métropole, apparemment chaque faculté a son propre programme, j'ai peur d'être perdue et de me retrouver à etudier la suite qui n'a rien à voir avec ma première licence, ou me retrouver avec pleins de trous dans mon programme 😢
Je suis dans la même situation que toi. Je rentre en L1 en septembre et j'ai tellement peur de ne pas avoir un master à la fin de ma licence..
@@cathygalloo913 force à nous, si on se souvient de cet espace commentaire dans deux ans on se fera une update 😂🙌
Le roi Babar déclare l'espace commentaire ouvert. 🐘🐘🐘
Juste une remarque : comme nous sommes en France je préférerais que vous utilisiez un terme français pour dire GAP !!! Un trou peut suffire 😎😎
Dans ma fac, on avait des cours autour de la recherche depuis la L1 et on apprenait petit à petit c'était top.
Bonjour dans quelle fac étiez vous ?
@@geraldinegalleron9988 la faculté de Tours
Merci 🙏
Du coup est ce que ose ton lib et les autres formations que tu propose sont accessibles par le CPF ?
Coucou Vic, oui ça pourrait mais je refuse de faire partie du CPF pour le moment car je n’ai eu que de mauvais retours d’autres structures y ayant adhéré et la réputation du CPF est assez mauvaise en ce moment, donc je n’en ai pas envie. Toutefois, la formation Ose ton Lib est financables par l’employeur, la mission locale et tout autre association. Et nous sommes en train de faire les démarches pour être financables par l’OPCO, Pôle Emploi et le FIFPL. Malheureusement, ces démarches prennent ÉNORMÉMENT de temps (administration française oblige ahah 😅) mais je ne baisse pas les bras en espérant de manière très optimiste que tout soit terminé d’ici fin 2023 🤞
Bravo 👍👍👍👍
Ah oui le coup du stage 😂 vas y débrouilles toi en intervention tout seul et débrouille toi avec ton rapport et ton mémoire
Ahah oui le fameux syndrome de l'imposteur et la culpabilité d'en souffrir en tant que psy...
Je confirme ! 😢😅
Je suis surpris de certains de vos propos pour une étudiante de Lyon 2...
Vous faites comme si dans cette fac il n'y avait pas de lien avec la réalité de terrain...ce qui est faux.
Vous dites qu'il n'y a pas de cours sur comment mener un entretien. C'est également faux. Il y a des cours sur l'entretien clinique et des td sous forme de jeu de rôle.
Ensuite, vous dites qu'on ne vous donne pas d'instruction sur les trois dossiers de fin de Master 2...ce qui est faux également.
Cela donne l'impression qu'il faudrait tout vous dire sans rien laisser de liberté.
Même votre remarque sur les jury me semblent un peu à côté...
Enfin, c'est dingue d'entendre que l'écart theorico clinique est un problème...
Je pensais qu'on vous apprenait justement à faire avec cet écart et qu'il n'y a pas de pratique sans théorie...et pas de théorie sans pratique...
J'ai comme l'impression qu'il y a quelque cours que vous avez oublié...
Au lieu de se plaindre tout le temps de tout ce qui ne va pas...pourquoi ne pas aussi énumérer tout ce qui va ?
Pour finir...à votre avis...pourquoi ne peut-on pas faire de la pratique tout de suite et qu'on dote d'abord les étudiants de théorie ? : si un étudiant présente une trop grande fragilité psychique voire une psychopathologie...n'y aurait-il pas un risque qu'il décompense en cas de stage en Psychiatrie par exemple ?
Est-ce que les études de psychologie sont pour tout le monde ? : vous confieriez un de vos proches à quelqu'un atteint de pathologie psychiatrique et qui ne se soigne pas ?
La sélection officielle ou officieuse par le temps le travail et les examens et jury est une nécessité absolue.
Et pour répondre :
@lakouk1901 le propre de la perveRsion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. La décence voudrait que vous vous absteniez de dire n'importe quoi. C'est le problème d'internet où le profane se croit l'égale de l'expert.
Ce n'est pas parce que vous affirmez que des étudiants malades ou des personnes souffrant de pathologies psychiatrique peuvent soigber sans faire de dégâts chez les patients que c'est vrai. L'expérience de terrain du professionnel et enseignants surpasse tout discours idéologique. Vous aurez de la légitimité minimum quand vous aurez choisi pour votre propre soin un professionnel qui se déclare psychotique non-soigné.
Bonjour, merci beaucoup pour votre retour ! Faites-vous partie des profs de Lyon 2 ? Je pense qu’aucune formation n’est parfaite et qu’on est toujours en recherche d’amélioration donc si vous faites partie des enseignants, il serait intéressant d’échanger plus longuement sur le sujet afin d’apporter le regard des anciens étudiants (pas que le mien bien entendu) pour co-construire ensemble. Seriez-vous d’accord ?
Vous dites qu’au lieu de se plaindre de tout ce qui ne va pas, il vaudrait mieux énumérer ce qui va. Mais énumérer les zones qui me semble non optimales signifie-t-il qu’il s’agit d’une mauvaise formation ? Comme cité plus haut, selon moi, aucune formation n’est parfaite. Il me semble donc qu’informer les étudiants de ces éléments soit pertinent pour eux. D’autant plus que dans la plupart de mes vidéos ainsi que sur mes autres réseaux sociaux, je ne cesse de prôner que Lyon est selon moi, une des meilleures facs de France. De ce fait, je ne comprends pas votre surprise.
J’entends votre position et vous avez raison. Il y a des cours d’entretiens cliniques : 1h45 de cours en Master 1 pendant 1 semestre et 2 cours de 1h45 en M2 pour ma part. Mais aucun jeu de rôle. En amphi, je vois mal comment cela serait possible et en TD, je n’en ai pas eu. Peut-être que ça changé depuis ? Mais je ne relate que mon expérience, rien d’autre. De ce fait, pouvez-vous entendre que ça m’a semblé léger ?
D’autre part, ces cours ne mentionnent pas comment mener une thérapie avec un patient anxieux, ou dépressif, ni même comment réagir face à la violence institutionnelle… d’où mes propos dans la vidéo. Il m’a semblé qu’il manquait d’outils concrets et d’approfondissement. Certes, nous le voyons lors de nos stages, mais encore faut-il tomber sur un maitre de stage qui soit suffisamment bienveillant et encadrant. Lors de ma promo, il y en avait peu. En tous cas, c’est ce qui était relaté par les autres étudiants. Pensez-vous que j’aurai dû omettre ces éléments à ma communauté ?
Concernant les dossiers à fournir, il m’a été transmis « faites un mémoire de recherche ». C’est tout. D’après vos propos, j’aurai dû m’en contenter. De prime abord, ça parait un peu énigmatique et assez inconsistant lorsqu’on arrive en M1 et qu’on ne connait rien de rien à la recherche, ne trouvez-vous pas ? Nous aurions aimé (je parle au nom de plusieurs étudiants d’à l’époque) un peu plus d’informations concernant la structure, à minima. Non loin de moi l’idée qu’il ne faut pas laisser les étudiants se débrouiller, au contraire, mais je pense qu’on peut les guider un peu plus sans pour autant les priver de leur liberté. N’est-ce pas le rôle des professeurs ?
Toutefois, vous avez raison sur un point, en Master 2 (en tous cas, de mon expérience à Lyon 2) nous sommes plus guidés en ce qui concerne les 3 dossiers à rendre grâce à notre tuteur. Veuillez m’en excuser, j’aurai dû le préciser à nouveau dans cette vidéo (il y a déjà une vidéo de 2020 qui le mentionne).
Pour répondre à votre question, je suis à 100% d’accord avec vous concernant le risque de décompensation des étudiants et je suis la première à en parler, que ce soit sur ma chaine ou sur Instagram. Toutefois, davantage de stages d’observation en licence par exemple ne me semble pas être un facteur de risque de décompensation. Mais peut-être que je me trompe. Quel est votre point de vue sur le sujet ?
La sélection est là aussi pour « filtrer » en quelque sorte les étudiants, notamment ceux qui présentent un risque de décompensation. Donc non, selon moi, les études de psychologie ne sont pas faites pour tout le monde, c’est bien pour ça que la sélection L3-M1 est présente (entre autres), n’est-ce pas ? De ce fait, la question de savoir si je confierai un de mes proches à quelqu’un (un psy je suppose ?) atteint d’une pathologie mentale élevée qui ne se soigne pas n’a pas lieu d’être étant donné qu’un psy n’est plus étudiant et qu’il a passé la sélection et obtenu son diplôme.
Je vous rejoins donc à 100% sur ce point, à savoir que la sélection par le temps le travail, les examens et le jury est une nécessité absolue. Je ne crois pas avoir soutenu l’inverse dans la vidéo. Si c’est ce que vous avez perçu, alors vous m’en voyez désolée.
@@marionthelisson je ne peux répondre precisement à certaines questions.
Cependant, je peux apporter quelques réponses et remarques.
Tout d'abord comment faisaient les générations d'avant ?
Il n'y avait pas Internet, pas les podcast des profs, pas de watts ap pour tricher ni de chat gpt le nouveau compagnon de triche des étudiants...et , les étudiants se plaignaient moins...
A présent, il ne se passe pas une année sans un blocage de la fac pour ensuite entendre des revendications comme "nous exigeons la validation automatique du semestre"... alors que les cours ont largement été adaptés, les dispenses d'assiduité multipliées etc...
Les étudiants sont informés dès la deuxième année qu'il faut TRAVAILLER, quil faut LIRE des livres recommandés, qu'il faut s'organiser. Ce n'est pas à la fac qu'incombe la responsabilité de ces choses là, même si c'est évident qu'il y a des points encore problématiques en termes d'organisation etc... mais de là n'enumérer que ce qui ne va pas... je ne l'ai pas fait auparavant et je ne le ferai pas davantage.
D'aussi loin que remonte ma mémoire sur le sujet il y a toujours eu des TD dès la Licence 3 sur l'entretien clinique, les épreuves projectives, le psychodrame et les thérapies familiales. Mais c'était des options lors de certains quinquénaux, donc vous ne les aviez pas pris. De plus, deouis deux ans, certaines options reposent essentiellement sur des jeux de rôles.
Concernant le manque de préparation au terrain...j'ai l'impression que vous n'avez pas compris malgré votre parcours que l'on ne peut pas être vraiment préparé à tout, ni même à mener une psychothérapie. D'une part cela demanderait trop de temps, d'autre part on ne peut pas former et outiller des jeunes gens dont certains souffrent de pathologies psychiatriques...je vous rappelle que c'est ce genre d'individus qu'on retrouve en "somatothérapeute" ou autre charlatan. On ne peut pas former à "comment faire avec un anxieux" ou je ne sais quoi car il n'y a pas de recette préalable. Aussi, concernant le manque d'outil concret vous omettez que les étudiants disposent dès la 3ème année de Licence un Td d'élaboration de stage et de positionnement clinique. En master 2 ils ont également un tutorat de stage et un td d'élaboration de note de recherche qui vise à leur inculquer la méthodologie universitaire et la méthodologie et l'épistémologie. Il est donc faux de dire que cela n'existe pas. Mais que cela paraisse frustrant et insatisfaisant est monnaie courante.
A ce propos, je peux remarquer une nette tendance à la perte d'autonomie chez des étudiants qui ne travaillent plus de leur initiatives pour la majorité et auxquels il faudrait tout indiquer, qui ne cherchent plus et qui se repose sur leur rapport du dépendance aux groupes watts app etc... car les instructions de dossiers de Master 1 et de Master 2 sont clairement énoncé et transmises par écrits et accompagnées durant l'année. Or, vous omettez qu'il est plus simple de faire porter la responsabilité de l'échec ou des difficultés à l'institution plutôt qu'à se remettre en question et à changer de méthodes d'apprentissage et de travail...bien sûr il existe tout de même des problèmes dans la transmission du savoir etc...mais un peu de mesure serait le bienvenu.
J'ajoute que si on donne toutes les instructions jusqu'à dire ce qu'il faut écrire et comment, il n'y a plus moyen d'évaluer les étudiants et repérer les forts potentiels des étudiants en faux self qui sont simplement scolaire mais ne seront jamais psychologues...les écrits sont aussi des épreuves projectives.
Il est nécessaire d'être suffisamment outillé avant de s'aventurer en Psychiatrie par exemple. Des étudiants fragiles pourraient tomber malades avec une trop longue exposition. De plus, rien n'empêche de faire des stages complémentaires non obligatoires. S'il y a si peu de temps de stage demandé c'est d'abord pour des raisons pratiques : il manque trop de terrains de stage.
Je crois que s'il est important de faire ce qu'il est possible de faire pour améliorer les conditions d'enseignements et d'apprentissage mais pas en faisant tout porter à l'université. Et surtout avant de passer son temps en revendications il faut connaitre les contraintes et les problématiques de l'université et des enseignants.
Obtenir son diplôme n'est en aucun cas un gage de santé mentale ou de ne pas etre dangereux pour certains patients.
Seule une psychothérapie personnelle ou une psychanalyse, ainsi qu'une supervision et une formation continue peuvent constituer des garants.
Je ne suis pas psychologue donc je ne peux pas intervenir sur les deroulements des etudes mais je suis choquée sur vos propos où vous dites qu'une personne qui a une pathologie mentale ne peut pas soigner ou serait un danger pour son patient.e . Ce sont des propos validistes. Une personne atteinte de troubles n' est pas inapte ou dangereux.se pas plus qu'un.e valide et un.e neuro/psychotypique. Je suis outree de constater de la psychophobie , je me demande comment vous pouvez etre apte si vous défendez des idées psychophobes.
@@lakouk1901 @lakouk1901 le propre de la perversion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. Et vous l'avez dit vous-même, vous n'êtes pas psychologue. La décence voudrait donc se vous abstenir. Ce n'est pas parce que vous affirmez qu'un étudiant malade ne peut soigner sans faire du mal au patient que c'est vrai. Car l'expérience de terrain vaut tout vos discours idéologique.
@@lakouk1901le propre de la perveRsion est de denier la différence des êtres et de disqualifier celui qui n'est pas d'accord ou dont le propos déplaît, en utilisant un pseudo diagnostic visant à le détruire. Oui. Je ne confierais pas la vie psychique d'un patient ou un proche à un étudiant malade et encore moins quand il ne se soigne pas et j'exclurais de la formation tout étudiant qui n'est pas soigné en psychothérapie. Nous devons au patient d'être suffisamment pas trop malade. Il est hors de question que des étudiants malades n'abîment davantage la psyché de personnes en grande souffrance psychique. Je me contre-fou donc de votre diagnostic de militants sans fondements. Vous navez pas de légitimité donner votre avis puisque vous n'êtes pas enseignant et formateur à la psychologie. La décence voudrait que vous vous absteniez de dire n'importe quoi. C'est le problème d'internet où le profane se croit l'égale de l'expert.
Ce n'est pas parce que vous affirmez que des étudiants malades ou des personnes souffrant de pathologies psychiatrique peuvent soigber sans faire de dégâts chez les patients que c'est vrai. L'expérience de terrain du professionnel et enseignants surpasse tout discours idéologique. Vous aurez de la légitimité minimum quand vous aurez choisi pour votre propre soin un professionnel qui se déclare psychotique non-soigné.
Il n'existe pas de psychologie mais que du bon sens avec quelques mots pompeux d'ordre médical.
Comment ça ?
Quel ignare vous êtes !