Sur le fil de la lame

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  • Опубликовано: 5 сен 2024

Комментарии • 6

  • @legendrebernard2549
    @legendrebernard2549 4 года назад +1

    la parfaite union : "fonction -esthétique" Voilà le crédo, l' exigence du forgeron qui, en outre fabrique toujours des couteaux uniques : le fait main l'implique nécessairemenr. Merci à Azarias Abdenago pour partager la beauté, à Henri Viallon qui nous offre son savoir-faire d' exception ainsi que sa philosophie du feu, du fer, de l' acier damassé unis à une poétique de la forme maîtrisée, parachevée. C 'est du grand grand ART !! Un belle rencontre humaine, artistique. :) :) :)

  • @legendrebernard2549
    @legendrebernard2549 4 года назад +1

    Abonné bien sûr et le pouce levé !

  • @forgeferron
    @forgeferron 2 года назад +1

    Rip Henri :/

  • @MrPhillyval
    @MrPhillyval 2 года назад

    Vous confondez le damas d'aujpourd'hui; moderne, et le wootz d'antan. Le damas moderne n'apporte que du décor aux lames, pas de qualité supplémentaire.

    • @alanaliyev456GT
      @alanaliyev456GT 4 дня назад

      A l'epoque c'etait le seul moyen d'obtenir un acier souple /solide / tranchant .... à partir de fer,d'acier et quelquefois de nickel PLUS OU MOINS LIÉ AU FER... ...C'EST TOUT.... de nos jours, avec le Niobium ,le Vanadium et bien sur le chrome ya plus besoin de damasquiner... d'où les " aspects damas" totalement faux.... mais il existe toujours cette technique