Words can’t describe the feeling I felt, the very first time I heard this symphony year or two ago. The Andante made me feel like I was transported into whole different world where beauty and serenity exists in form of music. This was such a good find.
Im not a music major, just an elementary teacher of 28 years, but I do enjoy listening to classical music, and Wolfl's music is a pleasure for me . Thanks to Composersby numbers, I am enjoying this music immensely.
I wish I were still a teacher of 28 years enjoying to listen to classical music. Unhappily I discovered this kind of music too late! You have 50 years more than I have to enjoy...
The wonderful thing is you’re here now. We all are together. From five years to ninety. When it moves your soul, it is sublime. Sending my love from Michigan USA
While strolling in the meadows of the present, you can pick bouquets of crazy and improbable flowers, come back with sumptuous extracts from this sensitive and flayed musician and say that you sometimes save time ignoring so much of this redundant & futile contemporary musics for gain in serenity ;-)
I think that this is a very important composer which unfortunately has not been properly discussed. His melodic lyricism has nothing to envy to Mozart, for example, on the contrary, I find that there are very beautiful finesses and inventive riches that distinguish him from the traditional classical repertoire. We need to talk more about Joseph Wölfl. The Andante is a pearl that makes us dream; Movements I and III are extraordinary too.
Virtuos. Was so ein Pianist können kann, die Fingerfertigkeit, das Tempo durchhalten, um keinen Millimeter langsamer werden, "on drive" bleiben. Man kann nur staunen.
Joseph Woelfl est un compositeur et pianiste virtuose autrichien, né à Salzbourg le vendredi 24 décembre 17731 et mort à Londres le jeudi 21 mai 18121. Biographie Plaque commémorative à l'emplacement de la maison natale, 2012 (von der Stieglbrauerei gestiftet) Joseph est le fils de Johann Paul Woelfl, d'abord juriste administratif, « percepteur de la cour » de Hieronimus von Coloredo à Salzbourg, chargé du recouvrement des taxes sur l'alcool et les aliments, puis intendant de l'hôpital St-Johann. Ce qui laisse à penser que la famille vivait dans une relative aisance matérielle. L'enfant reçut dans sa ville natale l'enseignement de Leopold Mozart (pour le violon notamment) et de Michael Haydn2 (à la maîtrise de la Cathédrale) respectivement père et frère de deux compositeurs de génie du même nom (Mozart et Haydn). Leopold parle souvent dans sa correspondance de « de Sepperl » de l'intendant (en français « p’tit Jo »). Il fait sa première apparition en public, au violon, à l'âge de sept ans. En 1783 il entre à la Kapellhaus qui est l'école des petits chanteurs de la Cathédrale, où l'enseignement est à la fois musical et général. Il compose son opus 1 à l'âge de treize ans (1786), bien que l'œuvre ne fut publiée qu'en 1795. Woelfl était très grand (six pieds) et très mince et possédait d'énormes mains qui lui permettaient avec aisance les plus grandes extensions au clavier, jusqu'à l'intervalle de treizième, comme le rapporte le compositeur tchèque Václav Jan Tomášek dans son autobiographie, qui le comparait à un épouvantail. Son caractère joyeux et sociable, lui vaut le surnom de Wölfl (louveteau) extravagant. Vienne et Varsovie C'est en 17901 que son père lui conseille de se rendre à Vienne, pour y parfaire son éducation musicale avec Mozart. Il se lie d'amitié avec Mozart, mais on ignore s'il prend des cours avec ce dernier. Recommandé par Mozart qui l'admirait beaucoup, vers 1792, il entre au service du comte Ogiński1 à Slonim où sont les terres du comte et Varsovie, où, pendant près de quatre ans, il compose, enseigne la musique et donne ses premiers concerts publics en tant que pianiste. Mais les troubles de 1794, liés à la partition de la Pologne l'obligent à partir : Ogiński perdant ses terres et sa fortune. Romanza extraite de l'Opéra « La Belle laitière » En 1795, âgé de vingt-deux ans, il revient à Vienne et y monte quelques opéras au Théâtre de Vienne alors dirigé par Schikaneder. À sa création, son Der Hollenberg [« La montagne d'Enfer »] (21 novembre 1795) reçoit un certain succès et est même publié en partition réduite chez Artaria. Suivent bientôt, Das Schöne Milchmächen [« La Belle laitière »] (5 janvier 1797) ; Der Kopf ohne Mann [« La tête sans homme »], un opéra-comique monté à Vienne (3 décembre 1798), puis à Prague ; Das trojanische Pferd [« Le cheval de Troie »] opéra-comique (1799). En 1798, il épouse Thérèse Klemm, actrice et chanteuse au Théâtre National (National Theater)3. Mais leur vie commune ne sera que de courte durée. À la même époque, très impressionné par ses talents d'improvisateur et de compositeur, il dédie à Beethoven, ses sonates opus 6. Les œuvres sont comparées plus au style de Clementi qu'à celui de Haydn ou Mozart. L’Allgemeine musikalische Zeitung - le fameux journal avait été créé la même année - s'en fait écho : « Elles sont dans l'ensemble à peu près dans la manière des meilleurs travaux de Clementi, mais avec beaucoup plus d'érudition, quoique parfois avec moins de délicatesse. La première sonate est la préférée de l'auteur de ce compte-rendu, bien qu'on y trouve quelque légers souvenir d'une sonate de Mozart. Dans la deuxième, l’Andante mérite une mention spéciale en tant que spécimen de chant simple mais beau. La modulation en si mineur de sa seconde phrase (mesures 11-12) n'est pas seulement surprenante, mais d'un effet très agréable. La troisième sonates se soucie trop peu d'unité. » - Allgemeine musikalische Zeitung, Leipzig, 15 janvier 1799 Le duel avec Beethoven Il devient le principal « rival » de Beethoven4, de trois ans son aîné, dans un duel pianistique, comme il y en eut quelques-uns à l'époque, dans les salons de la villa Grunberg du Baron Raimund Wetzlar von Plankenstern, « devant une société nombreuse mais choisie » (Seyfried). L’Allgemeine musikalische Zeitung s'en fait écho : « Les opinions sont partagées quant à savoir lequel à la préférence du public, toutefois, il semble que la majorité penche en faveur de [Woelfl]. [...] Le jeu de Beethoven est très brillant, mais moins délicat et se rend coupable d'imprécision. Il est à son plus grand avantage dans l'improvisation. [...] Sur ce plan, Woelfl n'est pas à sa hauteur. Mais Woelfl a pour lui de réussir des traits qui paraissent impossibles avec une aisance, une précision et une netteté vraiment surprenante (ce en quoi il est aidé par une grande dimension de ses mains), et de toujours jouer (en particulier les Adagios) de façon si plaisante et insinuante que non seulement on admire, mais on éprouve du plaisir. Rien d'étonnant que Woelfl tire avantage de ses manières aimables, par opposition au caractère quelque peu hautain de Beethoven. » - Allgemeine musikalische Zeitung, Leipzig, 22 avril 1799. Ignaz von Seyfried (1776-1841), le créateur de Fidelio, rapporte dans le Ludwig van Beethoven's Studien (écrit conjointement avec Haydn et Albrechtsberger et publié en 1832), plus de trente ans après les faits : « Assis face à deux pianoforte, ils improvisaient parfois alternativement sur des thèmes qu'ils se donnaient l'un à l'autre et créèrent ainsi plus d'un caprice à quatre mains qui, s'ils avaient pu être notés à l'instant, aurait assurément défié le temps. Sous le rapport de l'habilité mécanique il eut été difficile, impossible peut-être, d'adjuger la palme à l'un des rivaux : et cependant la nature avait traité bien favorablement Woelfl, en lui donnant des mains d'une grandeurs si prodigieuses qu'il atteignait des dixièmes aussi facilement que d'autres peuvent embrasser des octaves, et qu'il pouvait exécuter des deux mains de longs passages à cet intervalle avec la rapidité de l'éclair. » - Ignaz von Seyfried Les deux hommes semblent se respecter mutuellement, et leur « rivalité » ne pas nuire à une amicale et cordiale joute : « Il se respectaient, car ils étaient les mieux placés pour s'apprécier. [...] Pour que le génie de Beethoven ait pris plaisir à ces tournois maintes fois renouvelés, pour qu'il ait accepté de partager avec son rival les faveurs du monde musical viennois, il fallait en vérité que ce Woelfl possédât de magnifiques ressources, une instruction des plus solides jointe à un tempérament des plus rares. » - Ignaz von Seyfried Quelques années plus tard lors d'un voyage à Vienne, Ignaz Pleyel rendit compte de ses sentiments dans une lettre : « Enfin, j'ai entendu Beethoven. Il m'a fait grand plaisir en préludant. Il ne prélude pas froidement comme Woelfl, il fait tout ce qui lui vient dans la tête et il ose tout. »
I'm impressed. Fresh, delightful, and interesting. I would like some clarification of what it actually is. I found the jump from movement 1 to movement 2 rather odd. Not the same tone world at all as movement one, so is this a mixture of two concertos? I must hear more of this guy.
Il est à espérer que la maison de disques CPO grave enfin ce concerto, car elle a produit deux autres disques de concertos de Wölfl, avec le même pianiste et le même orchestre. Sur un de ces deux disques on peut retrouver seulement le mouvement lent de ce concerto numéro 4, par manque d'espace, j'imagine.
Surpreendente e interessante. Não se confunde com Mozart nem Haydn, e é bastante diferente dos concertos de Beethoven, porventura menos profundamente trabalhado.
Before Mozart André Grétry's bufo opera "The Loving Lover" (L'Amant jaloux, 1778), on the text of Bomarshee, Pichini's "Didon" (Niccolò Piccinni "Didon" 1783), and Pichini's "Dodon abandonat" Didone abbandonata ", 1770) with Mozart's" Figueres marriage.(1786) " Pogledati vioti11.blogspot.com/ ЧЕТВРТАК, 16. АВГУСТ 2018. Genije Mocart
Und Woelfl? „Er wird viel zu wenig wahrgenommen. Zu Lebzeiten wurde er von 120 Verlegern verlegt, mehr noch als Haydn und Beethoven.“ Der Wiener Komponist sei nicht so populär wie seine Kollegen Mozart und Beethoven, weil er sich nicht als Nationalkomponist profiliert habe, erläutert die Pianistin. Er wirkte in fünf Ländern und sprach sechs Sprachen: „Er war der erste europäische Komponist.“
en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Wölfl Vertaal deze pagina Joseph Johann Baptist Woelfl (German spelling:) Joseph Wölfl (24 December 1773 - 21 May 1812) was an Austrian pianist and composer.
I agree with David Griffiths: pleasant, elegant a sound that reminds Mozart(surely Wolfi's model) . Better the parts for the solist. The structure is not as refined as in Mozart's concerts. Far from the chef d'oeuvres of Mozart or Beethoven ( Haydn unfortunately wrote only one piano concert worth to be considered atthe level of his genius.)
Pleasant and inoffensive but not exactly one of the world's great piano concertos. I'm glad to have heard it once but I don't think it would stand repeated listening.
Just because it doesn't "wow" you, does not mean it's not a master piece. Just because a bad piece like beethoven's 5th wows you, does not mean it's a master piece.
It is barely distinguishable from an early Mozart piano concerto. Masterpiece...I'm not sure...but then few of Mozart's early piano concertos (or Beethoven's) were masterpieces either.
davís goodman barely distinguishable from an early Mozart concerto? For one this concerto is in a romantic style- unlike any 'early Mozart concerto' because early Mozart concertos were in a gallant style. Besides, although this kinda sounds genetically like Mozart, it actually contains very few true Mozartian gestures. The overall style of the piano writing writing in this work is completely nothing like Mozart would write.
Surpreendente e interessante. Não se confunde com Mozart nem Haydn, e é bastante diferente dos concertos de Beethoven, porventura menos profundamente trabalhado.
Mozart, Beethoven und so weiter, es ist schön, ihre Werke zu hören, aber es ist ein anderes Gefühl, wenn ich die Werke von Wölfl höre. Vielen Dank!
Still so many unknown composers to discover. I'll never get to them all.
Ah, but such joy in trying!
Jose
And how!!! Thank you ComposersbyNumbers!
That sums it up perfectly.
Not that many good ones, maybe 1 or 2 including this one.
Thank you.
what a delightful discovery! JOSEPH WOLF's music sounds lovely here.
Man kann hier nicht Vergleiche anstellen, denn jedes dieser Konzerte ist ein Meisterstück für sich, alles Musikgenuß in Reinkultur.
Замечательный композитор и превосходная музыко
This splendor is undisputed.
No comfort is as interesting and intriguing and captivating as the comfort of this performance
FromTokyo
brilliant, refined and lovely
Words can’t describe the feeling I felt, the very first time I heard this symphony year or two ago. The Andante made me feel like I was transported into whole different world where beauty and serenity exists in form of music. This was such a good find.
Im not a music major, just an elementary teacher of 28 years, but I do enjoy listening to classical music, and Wolfl's music is a pleasure for me . Thanks to Composersby numbers, I am enjoying this music immensely.
I wish I were still a teacher of 28 years enjoying to listen to classical music. Unhappily I discovered this kind of music too late! You have 50 years more than I have to enjoy...
The wonderful thing is you’re here now. We all are together. From five years to ninety. When it moves your soul, it is sublime. Sending my love from Michigan USA
@@arlettehellemans2117 ❗👍❗😎❗👍❗
Danke an Klassik Radio. Man stößt hier immer wieder auf weniger bekannte Komponisten, so wie jetzt bei Wölfl. Sehr schönes Werk!
Bravissimi!
une merveille !
Thanks for posting this, I really enjoyed it.
Am I the only person to think the first movement is actually theme and variations on 'Non piu andrai'?
While strolling in the meadows of the present, you can pick bouquets of crazy and improbable flowers, come back with sumptuous extracts from this sensitive and flayed musician and say that you sometimes save time ignoring so much of this redundant & futile contemporary musics for gain in serenity ;-)
I think that this is a very important composer which unfortunately has not been properly discussed. His melodic lyricism has nothing to envy to Mozart, for example, on the contrary, I find that there are very beautiful finesses and inventive riches that distinguish him from the traditional classical repertoire. We need to talk more about Joseph Wölfl.
The Andante is a pearl that makes us dream; Movements I and III are extraordinary too.
Sublime concerto, un véritable enchantement l'Allegro moderato, en fait, un vrai bonheur dans sa globalité 🙏🎶💓🎶✨
Delightful. Must discover more.
"Nun vergiss leises Fleh'n, süßes Kosen und das Flattern von Rose zu Rose" aus Mozart's Figaro klingt hier an. Ein wunderbares Konzert.
Maravilloso
Adoreiiiiiiiiiiiiii..........
This stunning Piano Concerto can take on any of Mozart's Piano Concertos!
No it cannot...and by no means I m saying anything against Wolfl or this particular piano concerto...
@@santi4332 this concerto is greater than most of mozart's
Mozart Concerto #28!
Анданте и рондо - гениальны!
С днём рождения, Маэстро)
Virtuos. Was so ein Pianist können kann, die Fingerfertigkeit, das Tempo durchhalten, um keinen Millimeter langsamer werden, "on drive" bleiben. Man kann nur staunen.
Belíssimo
Joseph Woelfl est un compositeur et pianiste virtuose autrichien, né à Salzbourg le vendredi 24 décembre 17731 et mort à Londres le jeudi 21 mai 18121.
Biographie
Plaque commémorative à l'emplacement de la maison natale, 2012 (von der Stieglbrauerei gestiftet)
Joseph est le fils de Johann Paul Woelfl, d'abord juriste administratif, « percepteur de la cour » de Hieronimus von Coloredo à Salzbourg, chargé du recouvrement des taxes sur l'alcool et les aliments, puis intendant de l'hôpital St-Johann. Ce qui laisse à penser que la famille vivait dans une relative aisance matérielle.
L'enfant reçut dans sa ville natale l'enseignement de Leopold Mozart (pour le violon notamment) et de Michael Haydn2 (à la maîtrise de la Cathédrale) respectivement père et frère de deux compositeurs de génie du même nom (Mozart et Haydn). Leopold parle souvent dans sa correspondance de « de Sepperl » de l'intendant (en français « p’tit Jo »). Il fait sa première apparition en public, au violon, à l'âge de sept ans. En 1783 il entre à la Kapellhaus qui est l'école des petits chanteurs de la Cathédrale, où l'enseignement est à la fois musical et général. Il compose son opus 1 à l'âge de treize ans (1786), bien que l'œuvre ne fut publiée qu'en 1795.
Woelfl était très grand (six pieds) et très mince et possédait d'énormes mains qui lui permettaient avec aisance les plus grandes extensions au clavier, jusqu'à l'intervalle de treizième, comme le rapporte le compositeur tchèque Václav Jan Tomášek dans son autobiographie, qui le comparait à un épouvantail. Son caractère joyeux et sociable, lui vaut le surnom de Wölfl (louveteau) extravagant.
Vienne et Varsovie
C'est en 17901 que son père lui conseille de se rendre à Vienne, pour y parfaire son éducation musicale avec Mozart. Il se lie d'amitié avec Mozart, mais on ignore s'il prend des cours avec ce dernier. Recommandé par Mozart qui l'admirait beaucoup, vers 1792, il entre au service du comte Ogiński1 à Slonim où sont les terres du comte et Varsovie, où, pendant près de quatre ans, il compose, enseigne la musique et donne ses premiers concerts publics en tant que pianiste. Mais les troubles de 1794, liés à la partition de la Pologne l'obligent à partir : Ogiński perdant ses terres et sa fortune.
Romanza extraite de l'Opéra « La Belle laitière »
En 1795, âgé de vingt-deux ans, il revient à Vienne et y monte quelques opéras au Théâtre de Vienne alors dirigé par Schikaneder. À sa création, son Der Hollenberg [« La montagne d'Enfer »] (21 novembre 1795) reçoit un certain succès et est même publié en partition réduite chez Artaria. Suivent bientôt, Das Schöne Milchmächen [« La Belle laitière »] (5 janvier 1797) ; Der Kopf ohne Mann [« La tête sans homme »], un opéra-comique monté à Vienne (3 décembre 1798), puis à Prague ; Das trojanische Pferd [« Le cheval de Troie »] opéra-comique (1799).
En 1798, il épouse Thérèse Klemm, actrice et chanteuse au Théâtre National (National Theater)3. Mais leur vie commune ne sera que de courte durée.
À la même époque, très impressionné par ses talents d'improvisateur et de compositeur, il dédie à Beethoven, ses sonates opus 6. Les œuvres sont comparées plus au style de Clementi qu'à celui de Haydn ou Mozart. L’Allgemeine musikalische Zeitung - le fameux journal avait été créé la même année - s'en fait écho :
« Elles sont dans l'ensemble à peu près dans la manière des meilleurs travaux de Clementi, mais avec beaucoup plus d'érudition, quoique parfois avec moins de délicatesse. La première sonate est la préférée de l'auteur de ce compte-rendu, bien qu'on y trouve quelque légers souvenir d'une sonate de Mozart. Dans la deuxième, l’Andante mérite une mention spéciale en tant que spécimen de chant simple mais beau. La modulation en si mineur de sa seconde phrase (mesures 11-12) n'est pas seulement surprenante, mais d'un effet très agréable. La troisième sonates se soucie trop peu d'unité. »
- Allgemeine musikalische Zeitung, Leipzig, 15 janvier 1799
Le duel avec Beethoven
Il devient le principal « rival » de Beethoven4, de trois ans son aîné, dans un duel pianistique, comme il y en eut quelques-uns à l'époque, dans les salons de la villa Grunberg du Baron Raimund Wetzlar von Plankenstern, « devant une société nombreuse mais choisie » (Seyfried). L’Allgemeine musikalische Zeitung s'en fait écho :
« Les opinions sont partagées quant à savoir lequel à la préférence du public, toutefois, il semble que la majorité penche en faveur de [Woelfl]. [...] Le jeu de Beethoven est très brillant, mais moins délicat et se rend coupable d'imprécision. Il est à son plus grand avantage dans l'improvisation. [...] Sur ce plan, Woelfl n'est pas à sa hauteur. Mais Woelfl a pour lui de réussir des traits qui paraissent impossibles avec une aisance, une précision et une netteté vraiment surprenante (ce en quoi il est aidé par une grande dimension de ses mains), et de toujours jouer (en particulier les Adagios) de façon si plaisante et insinuante que non seulement on admire, mais on éprouve du plaisir. Rien d'étonnant que Woelfl tire avantage de ses manières aimables, par opposition au caractère quelque peu hautain de Beethoven. »
- Allgemeine musikalische Zeitung, Leipzig, 22 avril 1799.
Ignaz von Seyfried (1776-1841), le créateur de Fidelio, rapporte dans le Ludwig van Beethoven's Studien (écrit conjointement avec Haydn et Albrechtsberger et publié en 1832), plus de trente ans après les faits :
« Assis face à deux pianoforte, ils improvisaient parfois alternativement sur des thèmes qu'ils se donnaient l'un à l'autre et créèrent ainsi plus d'un caprice à quatre mains qui, s'ils avaient pu être notés à l'instant, aurait assurément défié le temps. Sous le rapport de l'habilité mécanique il eut été difficile, impossible peut-être, d'adjuger la palme à l'un des rivaux : et cependant la nature avait traité bien favorablement Woelfl, en lui donnant des mains d'une grandeurs si prodigieuses qu'il atteignait des dixièmes aussi facilement que d'autres peuvent embrasser des octaves, et qu'il pouvait exécuter des deux mains de longs passages à cet intervalle avec la rapidité de l'éclair. »
- Ignaz von Seyfried
Les deux hommes semblent se respecter mutuellement, et leur « rivalité » ne pas nuire à une amicale et cordiale joute :
« Il se respectaient, car ils étaient les mieux placés pour s'apprécier. [...] Pour que le génie de Beethoven ait pris plaisir à ces tournois maintes fois renouvelés, pour qu'il ait accepté de partager avec son rival les faveurs du monde musical viennois, il fallait en vérité que ce Woelfl possédât de magnifiques ressources, une instruction des plus solides jointe à un tempérament des plus rares. »
- Ignaz von Seyfried
Quelques années plus tard lors d'un voyage à Vienne, Ignaz Pleyel rendit compte de ses sentiments dans une lettre :
« Enfin, j'ai entendu Beethoven. Il m'a fait grand plaisir en préludant. Il ne prélude pas froidement comme Woelfl, il fait tout ce qui lui vient dans la tête et il ose tout. »
magnificent!!!!
Thankyou for introducing my unknown work and composer.
Contact with works othe than the well−known works is fresh and stimulates curiosity
FromTokyo
Not so "Mozartian" as I assumed in the beguinning but exquisite enough. Filigranatic....
Maravilhoso!
18:18 mozart used this sequence before Wolfl but here its so beautifully done.
I'm impressed. Fresh, delightful, and interesting. I would like some clarification of what it actually is. I found the jump from movement 1 to movement 2 rather odd. Not the same tone world at all as movement one, so is this a mixture of two concertos? I must hear more of this guy.
Yes, movements 1 & 3 are from Piano Concerto No. 1.
For those of you who want to catch up on some of the fond old memories, you can take a look at Andante "The Calm".....
Uh, the first movement you have up is from Concerto No. 1 (also in G major), not No. 4.
Please refer to the information provided with the video.
Nice! Interesting!
voila encore un Beethoven ou Mozart ou bien chopin encor un grand compositeur de musique classic
Wolfl è molto vicino a quello che usiamo definire stile mozartiano che in realtà precede Mozart
He, Wölf was the " Verwalter - Sepp " , a pupil of W.A. Mozart ❗😎❗
Il est à espérer que la maison de disques CPO grave enfin ce concerto, car elle a produit deux autres disques de concertos de Wölfl, avec le même pianiste et le même orchestre. Sur un de ces deux disques on peut retrouver seulement le mouvement lent de ce concerto numéro 4, par manque d'espace, j'imagine.
Please help me..... What piece does that main theme remind me off??.... racking my brains...
non piú andrai, farfallone amoroso... [from J Fernando OM, above] ?
Maybe is the piece from Amadeus movie, where Mozart plays a Salieri march ridiculing him.
Sounds almost like me
how have you been?
Wölfl...Wolfgang. Say, you're right!
Very much like your variations on Salieri's piece.
Well, Woelfl was born in Salzburg in 1773, and studied with Leopold Mozart and Michael Haydn.
9:22 sounds like a part of his concerto 5
Surpreendente e interessante. Não se confunde com Mozart nem Haydn, e é bastante diferente dos concertos de Beethoven, porventura menos profundamente trabalhado.
António GS :eso mismo pensé,se asemeja a mozart y a f.j.haydn
this is far greater than beethoven's concertos
Before Mozart André Grétry's bufo opera "The Loving Lover" (L'Amant jaloux, 1778), on the text of Bomarshee, Pichini's "Didon" (Niccolò Piccinni "Didon" 1783), and Pichini's "Dodon abandonat" Didone abbandonata ", 1770) with Mozart's" Figueres marriage.(1786) " Pogledati vioti11.blogspot.com/ ЧЕТВРТАК, 16. АВГУСТ 2018. Genije Mocart
UpAndOut,
Join the club!
Perhaps you don't know what I just discovered: a marvellous Pianoconcerto of a Wladislaw Zelenski (1837-1921) on Hyperion CD. Make music, not war
What CD is this from?
Und Woelfl? „Er wird viel zu wenig wahrgenommen. Zu Lebzeiten wurde er von 120 Verlegern verlegt, mehr noch als Haydn und Beethoven.“ Der Wiener Komponist sei nicht so populär wie seine Kollegen Mozart und Beethoven, weil er sich nicht als Nationalkomponist profiliert habe, erläutert die Pianistin. Er wirkte in fünf Ländern und sprach sechs Sprachen: „Er war der erste europäische Komponist.“
I would appreciate some details of his life , beginning with how to pronounce his last name and whether he was German or not .
en.wikipedia.org/wiki/Joseph_Wölfl
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Joseph Johann Baptist Woelfl (German spelling:) Joseph Wölfl (24 December 1773 - 21 May 1812) was an Austrian pianist and composer.
Dear Sodality, open the link and find more. Pronouncing Wölfl can be quite hard for an English-speaking person.
www.arkivmusic.com/classical/Name/Joseph-Wölfl/Composer/74813-1
Here'another link.
non piú andrai, farfallone amoroso...
I really enjoyed hearing this. It would have been nice to be shown the score - it's not as if you've got anything else for us to look at.😉
I agree with David Griffiths: pleasant, elegant a sound that reminds Mozart(surely Wolfi's model) . Better the parts for the solist. The structure is not as refined as in Mozart's concerts. Far from the chef d'oeuvres of Mozart or Beethoven ( Haydn unfortunately wrote only one piano concert worth to be considered atthe level of his genius.)
Pleasant and inoffensive but not exactly one of the world's great piano concertos. I'm glad to have heard it once but I don't think it would stand repeated listening.
Just because it doesn't "wow" you, does not mean it's not a master piece.
Just because a bad piece like beethoven's 5th wows you, does not mean it's a master piece.
Pretty dull stuff but a few recognizable gestures...
Opinion is an opinion but I disagree. It is not a masterpiece but it is very enjoyable.
are you a musician if you were then you understand that this is akin to mozart one of the greatest ever. thanks for uploading it
It is barely distinguishable from an early Mozart piano concerto. Masterpiece...I'm not sure...but then few of Mozart's early piano concertos (or Beethoven's) were masterpieces either.
davís goodman barely distinguishable from an early Mozart concerto? For one this concerto is in a romantic style- unlike any 'early Mozart concerto' because early Mozart concertos were in a gallant style. Besides, although this kinda sounds genetically like Mozart, it actually contains very few true Mozartian gestures. The overall style of the piano writing writing in this work is completely nothing like Mozart would write.
mooi pianospel
Marry Schot-Ceton
15 september 2017
Surpreendente e interessante. Não se confunde com Mozart nem Haydn, e é bastante diferente dos concertos de Beethoven, porventura menos profundamente trabalhado.
Beethoven's piano concertos are garbage. Wölfl's are masterpieces. There is no comparison.
@@Whatismusic123 Não seja parvo.