Ça serait intéressant de savoir à partir de quel taux hypotécaire (en imaginant que cela viennent à baisser) le budget du propriétaire et du locataire deviennent similaire ( sans l’amortissement)
Effectivement, cela serait très pertinent. Sur le principe ce n'est pas bien compliqué de faire ce genre de simulation en restant assez général, mais si l'on veut être précis, tout se complique car plus les taux vont baisser les plus intérêts payés seront faibles et plus les impôts seront élevés. Il sera donc nécessaire de recalculer la charge fiscale pour chaque hausse et baisse de taux. Mais effectivement avoir ce genre d'outil peut être très intéressant pour prendre une décision. :)
Bonjour et merci pour votre commentaire. 😊 Votre proposition est exacte, en nantissant votre 2e pilier, cela évitera de payer l'impôt sur le retrait au moment de l'achat par contre deux conséquences négatives vont se produire : - Vous allez devoir emprunter la partie nantie auprès une institution financière afin de payer le prix d'achat ce qui augmentera votre dette et avec les taux d'emprunt actuels la différence financière sur le moyen/long terme pourrait être importante (économie fiscale prise en compte) - Vous ne pourrez plus profiter des rachats LPP au fil de votre carrière tant que le capital n'a pas été remboursé. Dans cette vidéo nous avons pris un seul scénario mais effectivement il existe de nombreux moyens de financer un achat immobilier qui auront chacun des avantages et des inconvénients. En fonction du profil de l'acheteur et du marché, les solutions peuvent être très différentes (nantissement, retrait, taux fixe, durée, Saron, amortissement direct, indirect, remboursement total, plusieurs rangs, etc.).
Bonjour :) Le système de financement en France est très différent du système Suisse. En France vous êtes tenu sur des durées généralement bien plus longues qu'en Suisse (15 -25 ans) de rembourser votre crédit en totalité tandis qu'en Suisse une fois la part d'amortissement terminée l'hypothèque peut perdurer indéfiniment. De plus les loyers, assurances et impôts Suisses et Français ne sont pas comparables. En conclusion, le fond de notre vidéo pourrait s'appliquer aux frontaliers mais les calculs et paramètres à prendre en compte sont très différents.
Est-ce qu'il ne serait pas avantageux de déduire ses couts d'entretien "au réel" plutôt que de prendre le forfait de 20% de la valeur locative du bien ? On reduirait plus les impots comme cela non ?
Bonjour, merci pour votre commentaire. Il n'y a pas vraiment de règle générale, il est nécessaire de calculer les deux méthodes (forfait ou réel) chaque année. Pour vous donner un exemple, lors de l'achat d'une maison individuelle neuve, les frais devraient être relativement limités les premières années, à l'exception de l'impôt foncier qui varie entre 1 pour mille et 1.5 pour mille, les assurances, et les diverses taxes sur les ordures. Il est courant que ces frais ne représentent pas 10% de la valeur locative. En revanche, pour des biens plus anciens, les frais d'entretien peuvent devenir bien plus importants.
Dans votre calcul , vous négligez "le coût d'opportunité" , c'est à dire que si vous placez votre apport à 7%/an (moyenne des marchés financiers), vous doublez votre capital en 10ans... Et là, devenir propriétaire est tout de suite beaucoup moins rentable.
Merci pour votre commentaire. Chaque vidéo que nous produisons poursuit un objectif bien précis. Pour offrir une information complète et répondre au mieux à la question posée, nous choisissons parfois d’aborder certains sujets de manière condensée. Vous avez raison de souligner que nous aurions pu inclure une analyse plus détaillée du coût d’opportunité lié aux fonds propres des personnes choisissant de rester locataires. Cela ouvre effectivement la réflexion sur les rendements potentiels - 2 %, 5 %, 7 % ? - et sur la fiscalité qui s’applique aux investissements, qu’il s’agisse des revenus ou de la fortune. Nous aurions également pu considérer l’option d’investir via le 2e pilier plutôt que directement en bourse. En résumé, les options sont nombreuses, et nous avons à cœur d’apporter des réponses aussi complètes que possible aux questions de nos clients. Il est possible que nous approfondissions cette thématique dans une prochaine vidéo, en explorant davantage de choix, au-delà de la simple comparaison entre locataire et propriétaire.
Excellente vidéo, merci BEAUCOUP! Sujet complexe, expliqué de manière simple et transparente 😍
Merci beaucoup, ravi que cette vidéo vous ait été utile ! ☺
Ça serait intéressant de savoir à partir de quel taux hypotécaire (en imaginant que cela viennent à baisser) le budget du propriétaire et du locataire deviennent similaire ( sans l’amortissement)
Effectivement, cela serait très pertinent. Sur le principe ce n'est pas bien compliqué de faire ce genre de simulation en restant assez général, mais si l'on veut être précis, tout se complique car plus les taux vont baisser les plus intérêts payés seront faibles et plus les impôts seront élevés. Il sera donc nécessaire de recalculer la charge fiscale pour chaque hausse et baisse de taux. Mais effectivement avoir ce genre d'outil peut être très intéressant pour prendre une décision. :)
Ne pas oublier l'option du nantissement du second pilier permettant de ne pas payer d'impôt dessus 😊
Bonjour et merci pour votre commentaire. 😊
Votre proposition est exacte, en nantissant votre 2e pilier, cela évitera de payer l'impôt sur le retrait au moment de l'achat par contre deux conséquences négatives vont se produire :
- Vous allez devoir emprunter la partie nantie auprès une institution financière afin de payer le prix d'achat ce qui augmentera votre dette et avec les taux d'emprunt actuels la différence financière sur le moyen/long terme pourrait être importante (économie fiscale prise en compte)
- Vous ne pourrez plus profiter des rachats LPP au fil de votre carrière tant que le capital n'a pas été remboursé.
Dans cette vidéo nous avons pris un seul scénario mais effectivement il existe de nombreux moyens de financer un achat immobilier qui auront chacun des avantages et des inconvénients. En fonction du profil de l'acheteur et du marché, les solutions peuvent être très différentes (nantissement, retrait, taux fixe, durée, Saron, amortissement direct, indirect, remboursement total, plusieurs rangs, etc.).
Top. Ca s'applique pour les frontaliers?
Bonjour :) Le système de financement en France est très différent du système Suisse. En France vous êtes tenu sur des durées généralement bien plus longues qu'en Suisse (15 -25 ans) de rembourser votre crédit en totalité tandis qu'en Suisse une fois la part d'amortissement terminée l'hypothèque peut perdurer indéfiniment. De plus les loyers, assurances et impôts Suisses et Français ne sont pas comparables.
En conclusion, le fond de notre vidéo pourrait s'appliquer aux frontaliers mais les calculs et paramètres à prendre en compte sont très différents.
Merci , très édifiant
Tres intéressant merci bcp
Encore une chouette explication. Merci. J’ai par contre la migraine, même si bien expliqué
Très bonne vidéo
Est-ce qu'il ne serait pas avantageux de déduire ses couts d'entretien "au réel" plutôt que de prendre le forfait de 20% de la valeur locative du bien ? On reduirait plus les impots comme cela non ?
Bonjour, merci pour votre commentaire.
Il n'y a pas vraiment de règle générale, il est nécessaire de calculer les deux méthodes (forfait ou réel) chaque année. Pour vous donner un exemple, lors de l'achat d'une maison individuelle neuve, les frais devraient être relativement limités les premières années, à l'exception de l'impôt foncier qui varie entre 1 pour mille et 1.5 pour mille, les assurances, et les diverses taxes sur les ordures. Il est courant que ces frais ne représentent pas 10% de la valeur locative. En revanche, pour des biens plus anciens, les frais d'entretien peuvent devenir bien plus importants.
Dans votre calcul , vous négligez "le coût d'opportunité" , c'est à dire que si vous placez votre apport à 7%/an (moyenne des marchés financiers), vous doublez votre capital en 10ans...
Et là, devenir propriétaire est tout de suite beaucoup moins rentable.
Merci pour votre commentaire.
Chaque vidéo que nous produisons poursuit un objectif bien précis. Pour offrir une information complète et répondre au mieux à la question posée, nous choisissons parfois d’aborder certains sujets de manière condensée. Vous avez raison de souligner que nous aurions pu inclure une analyse plus détaillée du coût d’opportunité lié aux fonds propres des personnes choisissant de rester locataires. Cela ouvre effectivement la réflexion sur les rendements potentiels - 2 %, 5 %, 7 % ? - et sur la fiscalité qui s’applique aux investissements, qu’il s’agisse des revenus ou de la fortune. Nous aurions également pu considérer l’option d’investir via le 2e pilier plutôt que directement en bourse.
En résumé, les options sont nombreuses, et nous avons à cœur d’apporter des réponses aussi complètes que possible aux questions de nos clients. Il est possible que nous approfondissions cette thématique dans une prochaine vidéo, en explorant davantage de choix, au-delà de la simple comparaison entre locataire et propriétaire.