Investissement Immobilier, mes 3 échecs à Disneyland Serris !

Plongez dans l'univers (parfois imprévisible) de l'investissement immobilier avec mes trois histoires (hélas) vraies d'investissement ratés à Serris, juste à côté de Disneyland Paris. De la négociation avortée à un héritage compliqué, en passant par un appartement inondé sans assurance, découvrez les aléas de la recherche de la rentabilité en location courte durée.
Au-delà des échecs, je partage avec vous des conseils clés sur la négociation, la gestion des imprévus et l'importance de faire les bons choix.
Tout ça, dans un ton humoristique et bienveillant, car oui, on peut rire de tout, même de ses propres mésaventures immobilières. Si vous envisagez d'investir dans l'immobilier ou que vous aimez simplement les histoires d'investissements avec leurs hauts et leurs bas, cette vidéo est pour vous ! #InvestissementImmobilier #ÉchecImmobilier #Serris #DisneylandParis #ConseilsImmobilier #LocationCourteDurée
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2) Ci-dessous, une copie du mail que j'ai envoyé au notaire pour lui dire de "me lâcher les baskets..." :)
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Bonjour Maître
Je reviens vers vous suite à votre précédent message.
Vous m'indiquez que je ne peux me rétracter suite au décès de Madame Dxxxx. Mais plusieurs éléments n’ont pas été mentionnés, ou oubliés, qui ont toute leur importance et qui peuvent également invalider la promesse de vente.
1) La vendeuse est décédée seulement quelques jours après la signature du compromis, mais AVANT la fin du délai de rétractation. Pourtant je n’ai été mis au courant par l’agence du décès du vendeur qu’APRES le délai de rétractation. Ce qui veut dire que je n’ai pas pu profiter de mon droit de rétractation en prenant en compte la nouvelle situation (mise sous curatelle du successeur) qui modifiait le contexte de la vente.
2) Lorsque j’ai appris le décès de la vendeuse, personne ne m’a indiqué que le nouveau vendeur (co-vendeur à l’origine) devait être mis sous curatelle. Je ne l’ai appris que plusieurs semaines après l’annonce du décès de la vendeuse. Soit bien plus en aval du délai de rétractation. Je suppose que l’état de dépendance du vendeur actuel (qui implique sa mise sous curatelle aujourd’hui), n’est pas un fait nouveau et que celui-ci devait déjà être dans un état de dépendance avant le décès de sa mère, et probablement sous la tutelle de celle-ci ou d’un autre parent. Pourtant, dans le compromis, il n’a JAMAIS été mentionné que l'un des vendeurs était dans un état de dépendance et qu'il n'était pas capable de prendre une décision par lui-même. Là encore, j’ai été privé d’informations qui m'auraient fait prendre une autre décision, ou d’user de mon droit de rétractation en toute connaissance du contexte.
3) Il existe un autre point important qui remet en question la validité du compromis de vente. En effet, la date de réitération était fixée au 4 juillet, soit 1 mois avant que je n’écrive ces lignes. Aujourd’hui le vendeur n’est pas en mesure de finaliser cette vente, car celui-ci doit être mis sous curatelle et le curateur doit être désigné. C’est encore une des raisons qui me permet de sortir de cette transaction, puisque le délai est largement dépassé et qu’il ne peut être respecté dans un délai raisonnable, c'est à dire sous quelques jours.
En résumé, je vous confirme mon retrait de cette acquisition aux motifs que dans un premier temps l'agence ne m'a averti du décès du vendeur qu'après le délai de rétraction, sans mentionner la nécessaire mise sous curatelle du nouveau vendeur, dont je n'ai été averti que dans un second temps et plusieurs semaines après l'annonce du décès. Ainsi, à chaque fois et successivement, j'ai été privé d'informations qui m'auraient permis de reconsidérer la situation et d'user de mon droit de rétractation.
Bien à vous.