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Plutôt que dire que nous avons découvert la matière noire, il serait plus correct de formuler nous avons découvert un phénomène gravitationnel inconnu et encore inexpliqué à ce jour. Le commentaire qui dit à 23’ tout se passe bien avec la relativité générale est surfait alors que cela fait 50 ans environ que la matière noire reste totalement inexpliquée et qu’aucune théorie vérifiée n’en donne une description.
C'est plus complexe que cela. Car avec la matière noire, on résout l'asymétrie des pics impairs/pairs dans le spectre de temperature du Fond Diffus Cosmologique, le pic des BAO dans la distribution des galaxies en même temps que la dynamique des amas de galaxies et la dynamique des galaxies. Donc il y a un faisceau d'évidence en faveur de la matière noire plutôt que d'un phénomène gravitationnel qu'on pourrait expliquer par une modification de la théorie.
@@cosmoseb bonjour je n’ai pas bien compris comment la relation entre les BAO et la matière noire a été historiquement établie. Pouvez-vous développer?
@@mauricecinque5618 les BAO s(Oscillation Acoustique des Baryons) est en fait l'évolution des perturbations durant la phase de plasma, soit avant "l'émission du Fond Diffus Cosmologique (CMB)". Autant le spectre de puissance de température du CMB comme celui de la distribution des galaxies dans l'Univers tardif contient cette information. Dans le cas du CMB, il y a une mesure très claire de l'asymétrie entre les modes en phase de compression par rapport aux modes en phase de dillatation. Cette asymétrie est parfaitement expliquée avec de la matière noire car elle ne contribuerait qu'a la phase de compression et altèrerait la phase de dilatation. Elle permet de reproduire pécisément le spectre. (Je continue dans un second message)
@@mauricecinque5618 l'évolution de ces perturbations sans pression de radiation, donc uniquement par évolution gravitationnelle dans l'Univers neutre (apres le CMB) permet de modéliser la formation de la strucutre de l'Univers. Pour la partie galaxie, je vais revenir en espace réelle, le spectre de puissance est en espace de Fourier et sa soeur en espace réel est la fonction de corrélation de deux points ait (2PCF). Dans le cadre des galaxies, la 2PCF estime le profil de densité radial moyen autour d'un centre de surdensité. Apparait un pic dans ce profil de densité a environ 150 Mpc. C'est en fait exactement la distance qu'a pu parcourir le son dans la phase de plasma. Autour de chaque surdensité primordiale, s'ait propagée une onde sphérique de matière-photon. Au moment du CMB, ces ondes se figent car il n'y a plus de support de propagation. Il y aura plus de galaxies qui se formeront dans ces ondes sphériques que dans un endroit aléatoire de l'Univers observable (suite dans 3eme message)
@@mauricecinque5618 Sans la présence de matière noire, toute la surdesnité de matière devrait être dans ces ondes, de la même manière que si tu lance un caillou sur la surface lisse d'un lac, se forme une surdensité sur la zone d'impact puis se propagent les ondes circulairement autour ne laissant plus rien de particulier au centre. En présence de matière noire, celle ci n'étant pas couplée à la radiation (les photons) elle ne peut propager une onde de pression. Elle reste donc au centre de la surdensité. La 2PCF mesure justement que l'on a une grande partie de la surdensité qui est resté au centre et qu'il y a ensuite le pic de densité autour de 150 Mpc. Sans matière noire on ne sait pas comment reproduire ces observations qui sont de très très grandes précisions. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle en cosmologie on n'étudie plus vraiment les modèles de gravitation modifiée pour remplacer la matière noire, car ça ne marche pas. En revanche on les étudie pour l'énergie noire. C'est pour cela que les modeles type MOND ne sont pas considérés par la communauté cosmo.
D'après ce que je comprends, la théorie du « Big Bounce » est un concept selon lequel l'univers est considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces ») afin que l'univers soit considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces »). être d'un âge infini. Voici quelques références…
James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !
Il y a un indice : elle disperse spatialement façon puzzle ! 🤣 Je n'ai qu'une chose a dire : on va voir qui c'est Raoul 😂 Merci pour cette belle référence humoristique !
Étonnant j’ai toujours eu l’intuition que l’espace était à l’équilibre a l’état de vide quantique et que la présence de matière baryonique créait une tension répulsive et je pense que cette hypothèse apparaît 😮
Ceux qui écrivent des commentaires désobligeants sont plutôt des personnes énervées de voir la science bien pensante refuser de voir l'évidence : l'énergie noire n'existe pas, on a beau la chercher depuis des années, rien n'y fait. 🖖🏻😄. Alors remuez vos méninges messieurs les scientifiques intelligents et trouvez nous la partie de l'univers qui manque à vos théories. 👋🏻😏
Qd on a un problème (nos théories sont bonnes à -10% près ...) , on bosse sur le diagnostic, ce que Jean-Charles fait. J'aurais bien aimé travailler avec lui.
Si l'univers a commencé par un big bang, il devrait nécessairement y avoir qq chose qui a causé cette explosion spacio/temporelle et c'est l'energie noire.
@@georgesryschenkow9491 de la même manière que pour les trois autres interactions forte, faible, électromagnétique, il existe respectivement la charge de couleur, la charge de saveur, la charge électrique, on peut spéculer qu’il existerait la charge massique pour la gravitation et qu’elle pourrait avoir deux signes opposés comme pour les trois autres charges citées. Évidemment cela impliquerait de prolonger la théorie de la relativité générale pour y inclure une nouvelle métrique.
@@ericmaas55l’antimatière telle qu’on la nomme ne concerne que les charges électriques opposées à celles de notre monde macroscopique fait d’atomes, à savoir l’antiproton (négatif) et le positron (positif). Il n’empêche que les interactions forte et faible comportent aussi des « charges de couleur et de saveur » de signes opposés. Il est donc réducteur de parler d’antimatière uniquement pour l’électromagnétisme. La gravitation n’étant pas encore quantifiée, elle n’utilise qu’un seule signe de la charge massique qui suffit pour l’instant à décrire le monde observable. Bon d’accord, matière noire et énergie noire représentent 95% de l’énergie sans qu’on n’ait à ce jour le début du commencement d’une explication quant à leur nature.
L'énergie noir est un bidouillage a été théorisé pour éviter de remettre en cause les modèles utilisés.... Appartement ces modèles sont de plus en plus lis a mal par les découvertes récente de j.w. et si tout simplement nous nous étions fourvoyés il y a visiblement quelque-chose que nous avons mal compris ou même pas compris du tout
@@bellic653 bonjour, pardon c'est vrai Que ce poste était incompréhensible. Alors il me semble que l'énergie noir a très peu de chance d'exister en réalité... C'est un arrangement mathématique bien pratique si vous préférez. Le fait d'avoir découvert des galaxies et trous noir qui (d'après nos modèles mathématique) ne devraient pas exister, remettent partiellement en question leur validitée. Il y a forcément quelque chose de fondamental que nous n'avons pas compris et expliquerais peut être ces incohérences, personnellement je trouve que c'est une bonne piste car ça remet en question la dynamique même de l'univers. Les scientifiques vont être obligés de se pencher là dessus car il ne pourront plus inventer des forces ou des constantes pour équilibrer les équations. Ou peut-être que nous allons nous rendre compte que la nature de l'univers est incompréhensible pour nos cerveaux étriqués d'êtres humains. En attendant je garde l'esprit ouvert car nous ne savons rien Bonne journée
Big Bang ou rebond éternel : de nouvelles découvertes redessinent les débuts de notre univers L’origine de l’univers a toujours été un sujet de débat passionnant et complexe parmi les scientifiques. Deux théories dominantes ont émergé au fil des temps : la théorie du Big Bang et celle de l’Univers rebondissant. Cependant, de nouvelles recherches semblent remettre en question la viabilité de cette dernière, ouvrant une nouvelle perspective sur nos origines et l’évolution de l’Univers. La théorie du Big Bang est la plus largement acceptée concernant l’origine de l’univers. Selon cette dernière, il aurait commencé comme un point extrêmement chaud et dense, souvent appelé « singularité », il y a environ 13,8 milliards d’années. Pour des raisons encore inconnues, cette singularité aurait commencé à se dilater dans un processus appelé « inflation ». Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait, permettant la formation de particules subatomiques, puis d’atomes. Par la suite, de manière schématique, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies. Les preuves de cette théorie comprennent l’expansion continue de l’univers et le fond diffus cosmologique, représentant l’écho du Big Bang. Face à elle, la théorie de l’Univers rebondissant propose une alternative à la singularité du Big Bang. Dans cette perspective, l’univers actuel est le dernier d’une série d’univers, chacun se contractant en un petit volume avant de se dilater à nouveau. Cette contraction et cette expansion forment le « rebond ». Dans certains modèles de l’Univers rebondissant, ce cycle se répète indéfiniment. L’idée derrière cette théorie est de résoudre certains problèmes associés à la singularité du Big Bang, notamment le dysfonctionnement des lois de la physique conventionnelle. Cependant, il est important de noter que la théorie de l’Univers rebondissant est encore largement débattue contrairement à la théorie du Big Bang. Récemment, deux études publiées indépendamment mettent en doute cette idée, soutenant plutôt que l’expansion et la contraction de l’univers pourraient n’avoir eu lieu qu’une seule fois. L’une est publiée dans la revue Physical Review Letters, l’autre dans la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics. Anomalies dans le fond diffus cosmologique La première étude s’est concentrée sur un aspect spécifique de la théorie de l’Univers rebondissant connu sous le nom de cosmologie quantique en boucle (LQC). La LQC prédit certaines anomalies dans le fond diffus cosmologique, un écho lumineux de l’univers encore jeune, qui devraient être observables si notre univers est le produit d’un rebond. En effet, la LQC évite les singularités, qui sont problématiques, car la physique et les mathématiques ne fonctionnent pas quand elles sont appliquées à un point infiniment petit. La LQC s’appuie sur un pont entre la physique classique et la mécanique quantique, connu sous le nom de gravité quantique en boucle, qui postule que la force de gravité s’épuise à de très petites distances plutôt que d’augmenter à l’infini. Cependant, lorsque les chercheurs ont comparé les prédictions de la LQC avec les données réelles du CMB, de 2009 à 2013, fournies par l’observatoire spatial Planck, ils n’ont trouvé aucun signe tangible de ces anomalies. Cela suggère que les modèles de l’Univers rebondissant qui s’appuient sur la LQC pour expliquer les anomalies du CMB peuvent être écartés. Malgré ces découvertes, la question sur l’origine de l’univers perdure. Les partisans du Big Bang soutiennent qu’il a eu un début, mais cela laisse en suspens la singularité insondable qui a tout déclenché. D’autre part, les théories des cosmologies cycliques proposent que l’univers soit immortel et traverse des rebonds sans fin. Un univers véritablement cyclique n’a ni début ni fin. Il se compose d’une série de rebonds qui remontent à un nombre infini de cycles et qui continueront à l’infini. Et parce qu’un tel univers n’a pas de début, il n’y a pas de Big Bang et pas de singularité. Cependant, un obstacle se dresse face à la théorie d’un univers éternellement cyclique, selon le physicien William Kinney de l’Université de Buffalo, co-auteur de la seconde étude. Il s’agit de l’entropie, qui s’accumule à chaque rebond de l’univers. Souvent considérée comme la quantité de désordre dans un système, l’entropie est liée à la quantité d’énergie utile du système : plus l’entropie est élevée, moins il y a d’énergie disponible. En remontant dans le temps, au début de l’univers, cette idée implique de facto une quantité infiniment petite d’entropie certes, mais bien présente et qui ressemble alors très fortement à un Big Bang. Les chercheurs ont donc examiné les implications de cette augmentation de l’entropie dans un univers cyclique. Ils ont conclu que même si un univers cyclique peut contourner le problème de l’entropie en se dilatant beaucoup à chaque cycle, cette solution elle-même garantit que l’univers n’est pas immortel. En d’autres termes, même un univers qui subit des rebonds cycliques aurait dû avoir une singularité pour tout mettre en mouvement en premier lieu. Cela renforce l’idée que l’univers a probablement eu un début, ce qui est en accord avec la théorie du Big Bang et contredit l’idée d’un univers éternellement rebondissant. Bien que le débat sur l’origine de l’univers soit loin d’être terminé, ces nouvelles recherches apportent des perspectives intéressantes et remettent en question certaines théories existantes. En effet, elles ne prouvent pas définitivement que la théorie de l’Univers rebondissant est incorrecte, mais elles mettent en évidence des problèmes avec certaines versions de cette théorie. Les chercheurs continuent donc d’étudier ces questions, à la recherche de la vérité sur l’origine de l’Univers et son évolution.
Quel long baratin pour dire, au final, que vous n'en savez rien ! Je vous recommande plutôt d'aller écouter Etienne Klein qui a plein de choses à dire, bien plus concrètes : Etienne Klein répond à la question : ce qui est mathématiquement beau est-il physiquement vrai : ruclips.net/video/R1YDAxnpCsg/видео.html Et c'est merveilleusement dit !! Lui sait s'envoler dans l'espace comme il faut !!! Bon voyage ...
L intervenant est très bien, juste écoute le un peu JBX. Bientôt toutes ces théories seront mises en défaut, mais c est ça le progrès. Aristote se trompait, Newton aussi, puis et puis
La physique THÉORIQUE…. Continuellement remise en cause avec chaque nouvelle avancée technologique,des qu’un truc est inexpliqué alors il devient noir , c’est simple non?
@@didiers62 personne ne sait vraiment ce qu'est l'énergie noire... et si elle existe ... d'autres parlent de masses négatives à l'origine de la formation d'un univers à structure bullaire ( genre bulles de savon jointives)
14:38 : non la courbure de l'espace, Etienne, réveille-toi!, une courbure de quelque chose dans l'espace, qui lui est vide et sans caractère courbé ou droit. Ce quelque chose peut etre appelé "éther".
Et si la matière noire n'etait qu'une erreur de calcul des vitesses de rotation galactique ? Je vous invite à vous renseigner sur le théorie MOND (Modified Newton Dynamics).
Est ce que la gravité est toujours attractive, et si elle pouvait être répulsive ? il n'y aurait plus besoin d'invoquer une hypothétique énergie noire !
Ni l'un ni l'autre. La gravité c'est une propriété de l'espace qui fait que l'espace se courbe en présence de matière. La gravité n'est pas une force qui attire ou qui répulse
@@Hoputinlaurent je fais référence aux propos d’Étienne Klein "la gravitation toujours attractive..." dans sa présentation, donc je vous suggère de lui adresser à lui votre remarque pertinente. Vous dites l'espace se courbe en présence de matière, je reformule ma remarque, les courbures de l'espace peuvent être positive ou négative ?
La science française (Académie des Science, CNRS, CEA, laboratoires, instituts, universités, etc...) REJETTE EN BLOC ma science de l'EXPANSOLOGIE. Or celle-ci explique (entre autres) qu'il existe une nouvelle forme de gravité (non entrevue et donc non décrite par Newton et Einstein) que je nomme la SURGRAVITATION. La surgravité est produite par les objets en mouvement mais se distingue de l'inertie. C’est la raison pour laquelle elle n’est pas expérimentable sur Terre. LES "PREDICTIONS" DE LA SURGRAVITE: 1) La surgravité explique la formation « en disque » du système solaire et en règle générale des disques d’accrétions et ainsi de mieux comprendre la formation des trous noirs et des galaxies ainsi que le fonctionnement des flux de gaz polaires. 2) La surgravité est à l'origine de la "stabilité" du système solaire. La surgravité limite considérablement le chaos gravitationnel inhérent aux mouvements désordonné des planètes (problème à n corps). 3) La surgravité produit la platitude des anneaux des géantes gazeuses (Saturne et autres) et la platitude de la ceinture de Kuiper. 4) Inversement, par manque de surgravité dans le lointain, ceci explique la raison des orbites plus ou moins erratiques « sortant de l’écliptique moyenne du Soleil vers la ceinture de Kuiper » des nouvelles planètes lointaines ou ETNO ; ex ; Farout, Sedna, Biden, planète 9, etc… (Alessandro Morbidelli/Obs Côte d’Azur, Mike Brown, Renu Malhotra, Cat Volk, David Gerdes, Kevin Napier, Chad Trujillo, etc…). 5) La surgravité produit l'anomalie de masse manquante liée à la rotation paradoxale des galaxies (Véra Rubbin). 6) La surgravité produit l'anomalie de masse manquante liée aux vitesses des amas (Fritz Zwicky). 6) La surgravité permet de comprendre la formation précoce des galaxies grâce à la surgravité équatoriale produite par les trous noirs primordiaux. 7) La surgravité "produit" la création de matière dans les accélérateurs de particules et permet ainsi de mieux expliquer la formule E=mc2. 8) La surgravité explique le mouvement d’ensemble des galaxies dans les amas comme Laniakéa par exemple et donc l’origine des dipôles (Hélène Courtois). 9) La surgravité est produite par le SPINEX qui est une onde de dilatation quantique SPIRALEE qui se propage à 666 000 m/s (et donc c multiplié par pi et divisé par la racine de 2) ce qui fait environ 2,22 fois la vitesse de la lumière. Ceci explique pourquoi il ne peut exister de particule qui se déplace plus vite que la lumière (les tachyons n'existe pas). Malheureusement la surgravité n’est « à priori » pas expérimentable sur Terre car l’effet est beaucoup trop faible pour être mesurable par une balance de torsion (mais j’espère me tromper). Ces prédictions de la surgravité ne représente que 5% de ce qu’explique l’expansologie qui est une science (un ensemble de théories complémentaires) et non pas une simple théorie. Les 95% restant expliquent entre autres : 1) La raison de l’accélération de la récession des galaxies par effet de marée interstructure (grâce au modèle des multi-structures). L'énergie noire n'existe donc pas. 2) Le big bang n'existe pas car nous sommes dans une structure en expansion et non pas dans un univers en expansion. 3) L’absence d’antimatière (grâce au neutrino linéospinal). Le neutrino n'est pas un fermion/lepton. 4) La gravité quantique (grâce à l’orbitospinex). Le graviton n'est pas une particule. 5) La raison de la vitesse de la lumière (grâce au linéospinex). Les tachyons n'existe pas. 6) Le fonctionnement de la création de la matière (grâce au particulex). 7) L’anomalie de la constante cosmologique, la constante 1/137, la constante h, l'antimatière, etc… 8) Mais surtout la « théorie du tout » grâce à LA FORCE EXPANSOLOGIQUE qui gouverne l’ensemble de l'univers matériel. Guy Patel; Expansologue, coopérologue, intellectuologue et inventeur
@@isabellegoux267 Bah non, c'est juste une personne qui est à jour sur les publications des collaborations importantes. Ce sont les données les plus précises que l'on ai pour étudier la distribution des galaxies
Bonjour Etienne, J’ai une explication sur l’univers, ça serait cool que tu me répondes, mais bon faut pas trop rêver ! ben si j’y vais, James Webb à trouvé des galaxies trop « vielles » pour être là ! et alors ! Imaginons un ciel nocturne un soir de feux d’artifice du 14 juillet …… ho la belle bleu ….ho la grosse rouge ….les boules de feux explosent pas très loin l’une de l’autre et se mélangent ? une infime partie de la belle bleu vas se mélanger avec la grosse rouge, Pour moi, l’univers n’a pas de fin, pas de commencement, et notre petit cerveau d’animal violent est incapable d’imaginer l’infini de l’univers ….des univers ….comment en serait il autrement ….aujourd’hui ou la France s’apprête à voter pour les Fachos ! en pensant que ça vas changer quelque chose ……j’espère mourir après que l’on ai découverts la vie ailleurs ….. ça me donnera le sourire , au jour et à l’heure de ma mort !
L'énergie noire c'est du bluff, ça n'existe pas. Pour celà voir la thèse Janus de Jean Pierre Petit. L'univers négatif est responsable de l'accélération des galaxies. 😂 Bidon, étrange pour un type intelligent.
@@mauricecinque5618 V= GMm/r (1 + j^2 / r c^2) Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne. Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
@@vedjillou4751 V= GMm/r (1 + j^2 / r ^2 c^2) Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne. Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
@@mauricecinque5618 V= GMm/r (1 + j^2 / r^2 c^2) Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne. Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
Livres audio GRATUITS (nouveautés régulièrement) : amzn.to/3HOJ3UG
Livres audio S.F GRATUITS : amzn.to/42QRecQ
Le meilleur de la vulgarisation : amzn.to/3Soo4wA
Le meilleur d'Etienne Klein : amzn.to/4bv9s7n
Le meilleur d'Aurélien Barrau : amzn.to/4bt1DPK
Le meilleur de Hubert Reeves : amzn.to/4br7Ewj
Le meilleur de Stephen Hawking : amzn.to/3OzxJ2q
Le,magma,noir❤dedans
No,reponse
Cambouis,mecano,moto,cambouis😊
Merci pour votre travail c’est top de prendre le temps de mettre en ligne ces podcast sur RUclips !! Merci beaucoup 🎉
Plutôt que dire que nous avons découvert la matière noire, il serait plus correct de formuler nous avons découvert un phénomène gravitationnel inconnu et encore inexpliqué à ce jour. Le commentaire qui dit à 23’ tout se passe bien avec la relativité générale est surfait alors que cela fait 50 ans environ que la matière noire reste totalement inexpliquée et qu’aucune théorie vérifiée n’en donne une description.
C'est plus complexe que cela. Car avec la matière noire, on résout l'asymétrie des pics impairs/pairs dans le spectre de temperature du Fond Diffus Cosmologique, le pic des BAO dans la distribution des galaxies en même temps que la dynamique des amas de galaxies et la dynamique des galaxies. Donc il y a un faisceau d'évidence en faveur de la matière noire plutôt que d'un phénomène gravitationnel qu'on pourrait expliquer par une modification de la théorie.
@@cosmoseb bonjour je n’ai pas bien compris comment la relation entre les BAO et la matière noire a été historiquement établie. Pouvez-vous développer?
@@mauricecinque5618 les BAO s(Oscillation Acoustique des Baryons) est en fait l'évolution des perturbations durant la phase de plasma, soit avant "l'émission du Fond Diffus Cosmologique (CMB)". Autant le spectre de puissance de température du CMB comme celui de la distribution des galaxies dans l'Univers tardif contient cette information.
Dans le cas du CMB, il y a une mesure très claire de l'asymétrie entre les modes en phase de compression par rapport aux modes en phase de dillatation. Cette asymétrie est parfaitement expliquée avec de la matière noire car elle ne contribuerait qu'a la phase de compression et altèrerait la phase de dilatation. Elle permet de reproduire pécisément le spectre. (Je continue dans un second message)
@@mauricecinque5618 l'évolution de ces perturbations sans pression de radiation, donc uniquement par évolution gravitationnelle dans l'Univers neutre (apres le CMB) permet de modéliser la formation de la strucutre de l'Univers.
Pour la partie galaxie, je vais revenir en espace réelle, le spectre de puissance est en espace de Fourier et sa soeur en espace réel est la fonction de corrélation de deux points ait (2PCF). Dans le cadre des galaxies, la 2PCF estime le profil de densité radial moyen autour d'un centre de surdensité. Apparait un pic dans ce profil de densité a environ 150 Mpc. C'est en fait exactement la distance qu'a pu parcourir le son dans la phase de plasma. Autour de chaque surdensité primordiale, s'ait propagée une onde sphérique de matière-photon. Au moment du CMB, ces ondes se figent car il n'y a plus de support de propagation. Il y aura plus de galaxies qui se formeront dans ces ondes sphériques que dans un endroit aléatoire de l'Univers observable
(suite dans 3eme message)
@@mauricecinque5618 Sans la présence de matière noire, toute la surdesnité de matière devrait être dans ces ondes, de la même manière que si tu lance un caillou sur la surface lisse d'un lac, se forme une surdensité sur la zone d'impact puis se propagent les ondes circulairement autour ne laissant plus rien de particulier au centre.
En présence de matière noire, celle ci n'étant pas couplée à la radiation (les photons) elle ne peut propager une onde de pression. Elle reste donc au centre de la surdensité. La 2PCF mesure justement que l'on a une grande partie de la surdensité qui est resté au centre et qu'il y a ensuite le pic de densité autour de 150 Mpc.
Sans matière noire on ne sait pas comment reproduire ces observations qui sont de très très grandes précisions. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle en cosmologie on n'étudie plus vraiment les modèles de gravitation modifiée pour remplacer la matière noire, car ça ne marche pas. En revanche on les étudie pour l'énergie noire.
C'est pour cela que les modeles type MOND ne sont pas considérés par la communauté cosmo.
Bravo les amis...chapeau bas!
D'après ce que je comprends, la théorie du « Big Bounce » est un concept selon lequel l'univers est considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces ») afin que l'univers soit considéré comme ayant existé à travers de multiples expansions (« Big Bangs ») et contractions (« Big Bounces »). être d'un âge infini. Voici quelques références…
James Webb a la capacité de regarder très loin dans l'espace, et par conséquent, très loin dans le passé. En effet, la lumière a beau se déplacer à la vitesse vertigineuse de 300 000 kilomètres par seconde, l'Univers est si vaste que certaines images qui nous parviennent aujourd'hui ont des milliards d'années !
Merci je viens de vous croiser dans un parking a Marseille, merci pour vos émissions
Il est de Marseille ?
Ho peuchère
Bravo les ingénieurs dans ce domaine
Il y a un indice : elle disperse spatialement façon puzzle ! 🤣
Je n'ai qu'une chose a dire : on va voir qui c'est Raoul 😂
Merci pour cette belle référence humoristique !
L’intervenant se perd dans des bavardages généralistes et parle beaucoup pour dire peu de choses. Le thème est peu et mal abordé sur le fond. Dommage.
Étonnant j’ai toujours eu l’intuition que l’espace était à l’équilibre a l’état de vide quantique et que la présence de matière baryonique créait une tension répulsive et je pense que cette hypothèse apparaît 😮
Moi y'en a rien comprendre missié !
C'est possible mais pourquoi la matière baryonique ferait ça ?
Vous pourriez peut être faire un débat avec jean pierre Petit sur le model JANUS ? 🙏
Merci, ceux qui écrivent des commentaires désobligeants manquent de matière grise c'est une certitude ...
Ce commentaire leur donne bien trop d'importance ! ils sont comme la matière noire: invisible
Ceux qui écrivent des commentaires désobligeants sont plutôt des personnes énervées de voir la science bien pensante refuser de voir l'évidence : l'énergie noire n'existe pas, on a beau la chercher depuis des années, rien n'y fait. 🖖🏻😄. Alors remuez vos méninges messieurs les scientifiques intelligents et trouvez nous la partie de l'univers qui manque à vos théories. 👋🏻😏
Merci beaucoup
Qd on a un problème (nos théories sont bonnes à -10% près ...) , on bosse sur le diagnostic, ce que Jean-Charles fait. J'aurais bien aimé travailler avec lui.
Si l'univers a commencé par un big bang, il devrait nécessairement y avoir qq chose qui a causé cette explosion spacio/temporelle et c'est l'energie noire.
Qu'on n'a toujours pas trouvé ! Étonnant non ?
Aborder l'interétation en terme de masse négative, selon le modèle Janus, impossible.
C'est quoi une interétation ? Pourriez-vous nous la définir ? Et qu'est-ce qu'est une "masse négative" ? Pourriez-vous nous en dire quelque chose ?
Pouvez vous répondre ? Merci. 👋🏻😄
L'antimatière repousse la matière ? C'est, pour moi, la meilleure explication ...
@@georgesryschenkow9491 de la même manière que pour les trois autres interactions forte, faible, électromagnétique, il existe respectivement la charge de couleur, la charge de saveur, la charge électrique, on peut spéculer qu’il existerait la charge massique pour la gravitation et qu’elle pourrait avoir deux signes opposés comme pour les trois autres charges citées. Évidemment cela impliquerait de prolonger la théorie de la relativité générale pour y inclure une nouvelle métrique.
@@ericmaas55l’antimatière telle qu’on la nomme ne concerne que les charges électriques opposées à celles de notre monde macroscopique fait d’atomes, à savoir l’antiproton (négatif) et le positron (positif). Il n’empêche que les interactions forte et faible comportent aussi des « charges de couleur et de saveur » de signes opposés. Il est donc réducteur de parler d’antimatière uniquement pour l’électromagnétisme. La gravitation n’étant pas encore quantifiée, elle n’utilise qu’un seule signe de la charge massique qui suffit pour l’instant à décrire le monde observable. Bon d’accord, matière noire et énergie noire représentent 95% de l’énergie sans qu’on n’ait à ce jour le début du commencement d’une explication quant à leur nature.
L'énergie noir est un bidouillage a été théorisé pour éviter de remettre en cause les modèles utilisés.... Appartement ces modèles sont de plus en plus lis a mal par les découvertes récente de j.w. et si tout simplement nous nous étions fourvoyés il y a visiblement quelque-chose que nous avons mal compris ou même pas compris du tout
@@bellic653 bonjour, pardon c'est vrai Que ce poste était incompréhensible. Alors il me semble que l'énergie noir a très peu de chance d'exister en réalité... C'est un arrangement mathématique bien pratique si vous préférez. Le fait d'avoir découvert des galaxies et trous noir qui (d'après nos modèles mathématique) ne devraient pas exister, remettent partiellement en question leur validitée. Il y a forcément quelque chose de fondamental que nous n'avons pas compris et expliquerais peut être ces incohérences, personnellement je trouve que c'est une bonne piste car ça remet en question la dynamique même de l'univers. Les scientifiques vont être obligés de se pencher là dessus car il ne pourront plus inventer des forces ou des constantes pour équilibrer les équations. Ou peut-être que nous allons nous rendre compte que la nature de l'univers est incompréhensible pour nos cerveaux étriqués d'êtres humains.
En attendant je garde l'esprit ouvert car nous ne savons rien
Bonne journée
Ce que nous avons mal compris c'est la gravité
Pour comprendre ces mesures ne faut t il pas remettre en cause la relativité générale ?
Non
Ho que oui
Big Bang ou rebond éternel : de nouvelles découvertes redessinent les débuts de notre univers
L’origine de l’univers a toujours été un sujet de débat passionnant et complexe parmi les scientifiques. Deux théories dominantes ont émergé au fil des temps : la théorie du Big Bang et celle de l’Univers rebondissant. Cependant, de nouvelles recherches semblent remettre en question la viabilité de cette dernière, ouvrant une nouvelle perspective sur nos origines et l’évolution de l’Univers.
La théorie du Big Bang est la plus largement acceptée concernant l’origine de l’univers. Selon cette dernière, il aurait commencé comme un point extrêmement chaud et dense, souvent appelé « singularité », il y a environ 13,8 milliards d’années. Pour des raisons encore inconnues, cette singularité aurait commencé à se dilater dans un processus appelé « inflation ».
Au fur et à mesure que l’univers se dilatait, il se refroidissait, permettant la formation de particules subatomiques, puis d’atomes. Par la suite, de manière schématique, ces atomes se sont regroupés pour former des étoiles et des galaxies. Les preuves de cette théorie comprennent l’expansion continue de l’univers et le fond diffus cosmologique, représentant l’écho du Big Bang.
Face à elle, la théorie de l’Univers rebondissant propose une alternative à la singularité du Big Bang. Dans cette perspective, l’univers actuel est le dernier d’une série d’univers, chacun se contractant en un petit volume avant de se dilater à nouveau. Cette contraction et cette expansion forment le « rebond ».
Dans certains modèles de l’Univers rebondissant, ce cycle se répète indéfiniment. L’idée derrière cette théorie est de résoudre certains problèmes associés à la singularité du Big Bang, notamment le dysfonctionnement des lois de la physique conventionnelle.
Cependant, il est important de noter que la théorie de l’Univers rebondissant est encore largement débattue contrairement à la théorie du Big Bang. Récemment, deux études publiées indépendamment mettent en doute cette idée, soutenant plutôt que l’expansion et la contraction de l’univers pourraient n’avoir eu lieu qu’une seule fois. L’une est publiée dans la revue Physical Review Letters, l’autre dans la revue Journal of Cosmology and Astroparticle Physics.
Anomalies dans le fond diffus cosmologique
La première étude s’est concentrée sur un aspect spécifique de la théorie de l’Univers rebondissant connu sous le nom de cosmologie quantique en boucle (LQC). La LQC prédit certaines anomalies dans le fond diffus cosmologique, un écho lumineux de l’univers encore jeune, qui devraient être observables si notre univers est le produit d’un rebond.
En effet, la LQC évite les singularités, qui sont problématiques, car la physique et les mathématiques ne fonctionnent pas quand elles sont appliquées à un point infiniment petit. La LQC s’appuie sur un pont entre la physique classique et la mécanique quantique, connu sous le nom de gravité quantique en boucle, qui postule que la force de gravité s’épuise à de très petites distances plutôt que d’augmenter à l’infini.
Cependant, lorsque les chercheurs ont comparé les prédictions de la LQC avec les données réelles du CMB, de 2009 à 2013, fournies par l’observatoire spatial Planck, ils n’ont trouvé aucun signe tangible de ces anomalies. Cela suggère que les modèles de l’Univers rebondissant qui s’appuient sur la LQC pour expliquer les anomalies du CMB peuvent être écartés.
Malgré ces découvertes, la question sur l’origine de l’univers perdure. Les partisans du Big Bang soutiennent qu’il a eu un début, mais cela laisse en suspens la singularité insondable qui a tout déclenché. D’autre part, les théories des cosmologies cycliques proposent que l’univers soit immortel et traverse des rebonds sans fin.
Un univers véritablement cyclique n’a ni début ni fin. Il se compose d’une série de rebonds qui remontent à un nombre infini de cycles et qui continueront à l’infini. Et parce qu’un tel univers n’a pas de début, il n’y a pas de Big Bang et pas de singularité.
Cependant, un obstacle se dresse face à la théorie d’un univers éternellement cyclique, selon le physicien William Kinney de l’Université de Buffalo, co-auteur de la seconde étude. Il s’agit de l’entropie, qui s’accumule à chaque rebond de l’univers. Souvent considérée comme la quantité de désordre dans un système, l’entropie est liée à la quantité d’énergie utile du système : plus l’entropie est élevée, moins il y a d’énergie disponible.
En remontant dans le temps, au début de l’univers, cette idée implique de facto une quantité infiniment petite d’entropie certes, mais bien présente et qui ressemble alors très fortement à un Big Bang.
Les chercheurs ont donc examiné les implications de cette augmentation de l’entropie dans un univers cyclique. Ils ont conclu que même si un univers cyclique peut contourner le problème de l’entropie en se dilatant beaucoup à chaque cycle, cette solution elle-même garantit que l’univers n’est pas immortel. En d’autres termes, même un univers qui subit des rebonds cycliques aurait dû avoir une singularité pour tout mettre en mouvement en premier lieu. Cela renforce l’idée que l’univers a probablement eu un début, ce qui est en accord avec la théorie du Big Bang et contredit l’idée d’un univers éternellement rebondissant.
Bien que le débat sur l’origine de l’univers soit loin d’être terminé, ces nouvelles recherches apportent des perspectives intéressantes et remettent en question certaines théories existantes. En effet, elles ne prouvent pas définitivement que la théorie de l’Univers rebondissant est incorrecte, mais elles mettent en évidence des problèmes avec certaines versions de cette théorie. Les chercheurs continuent donc d’étudier ces questions, à la recherche de la vérité sur l’origine de l’Univers et son évolution.
Quel long baratin pour dire, au final, que vous n'en savez rien ! Je vous recommande plutôt d'aller écouter Etienne Klein qui a plein de choses à dire, bien plus concrètes : Etienne Klein répond à la question : ce qui est mathématiquement beau est-il physiquement vrai : ruclips.net/video/R1YDAxnpCsg/видео.html
Et c'est merveilleusement dit !! Lui sait s'envoler dans l'espace comme il faut !!! Bon voyage ...
Energie noire est la rustine de l'inconnu, energie répulsive me semble plus approprié qui chemine mieux av l'antimatiere.
L intervenant est très bien, juste écoute le un peu JBX. Bientôt toutes ces théories seront mises en défaut, mais c est ça le progrès. Aristote se trompait, Newton aussi, puis et puis
Merci
La physique THÉORIQUE…. Continuellement remise en cause avec chaque nouvelle avancée technologique,des qu’un truc est inexpliqué alors il devient noir , c’est simple non?
Il ne savent pas ce qu'est l'energie, et il nous expliquent ce qu'est "l'energie noire" dont l'existence n'a jamais en 100 ans ete prouvé !
Etienne Klein ne sait pas ce qu'est l'énergie vous plaisantez j'espère
Une petite piqûre de rappel…
La démarche scientifique
d’ailleurs Monsieur Klein en parle souvent…
@@didiers62 personne ne sait vraiment ce qu'est l'énergie noire... et si elle existe ... d'autres parlent de masses négatives à l'origine de la formation d'un univers à structure bullaire ( genre bulles de savon jointives)
Les grecs parlaient déjà de l'atome...il a fallu plus de 2000 ans pour le decouvrir
Ça fait longtemps que la matière noire est ici 😂❤
Plutôt de la matière grise 😉
14:38 : non la courbure de l'espace, Etienne, réveille-toi!, une courbure de quelque chose dans l'espace, qui lui est vide et sans caractère courbé ou droit. Ce quelque chose peut etre appelé "éther".
Oui mais non
Au jour d'aujourd'hui.....🥺
Et si la matière noire n'etait qu'une erreur de calcul des vitesses de rotation galactique ?
Je vous invite à vous renseigner sur le théorie MOND (Modified Newton Dynamics).
Pourriez-vous supprimer ce fond de bruitage pseudo musical?
Sinon passionnant. Mais ce bruitage au début est une torture
Est ce que la gravité est toujours attractive, et si elle pouvait être répulsive ? il n'y aurait plus besoin d'invoquer une hypothétique énergie noire !
Ni l'un ni l'autre. La gravité c'est une propriété de l'espace qui fait que l'espace se courbe en présence de matière. La gravité n'est pas une force qui attire ou qui répulse
@@Hoputinlaurent je fais référence aux propos d’Étienne Klein "la gravitation toujours attractive..." dans sa présentation, donc je vous suggère de lui adresser à lui votre remarque pertinente. Vous dites l'espace se courbe en présence de matière, je reformule ma remarque, les courbures de l'espace peuvent être positive ou négative ?
La science française (Académie des Science, CNRS, CEA, laboratoires, instituts, universités, etc...) REJETTE EN BLOC ma science de l'EXPANSOLOGIE.
Or celle-ci explique (entre autres) qu'il existe une nouvelle forme de gravité (non entrevue et donc non décrite par Newton et Einstein) que je nomme la SURGRAVITATION.
La surgravité est produite par les objets en mouvement mais se distingue de l'inertie. C’est la raison pour laquelle elle n’est pas expérimentable sur Terre.
LES "PREDICTIONS" DE LA SURGRAVITE:
1) La surgravité explique la formation « en disque » du système solaire et en règle générale des disques d’accrétions et ainsi de mieux comprendre la formation des trous noirs et des galaxies ainsi que le fonctionnement des flux de gaz polaires.
2) La surgravité est à l'origine de la "stabilité" du système solaire. La surgravité limite considérablement le chaos gravitationnel inhérent aux mouvements désordonné des planètes (problème à n corps).
3) La surgravité produit la platitude des anneaux des géantes gazeuses (Saturne et autres) et la platitude de la ceinture de Kuiper.
4) Inversement, par manque de surgravité dans le lointain, ceci explique la raison des orbites plus ou moins erratiques « sortant de l’écliptique moyenne du Soleil vers la ceinture de Kuiper » des nouvelles planètes lointaines ou ETNO ; ex ; Farout, Sedna, Biden, planète 9, etc… (Alessandro Morbidelli/Obs Côte d’Azur, Mike Brown, Renu Malhotra, Cat Volk, David Gerdes, Kevin Napier, Chad Trujillo, etc…).
5) La surgravité produit l'anomalie de masse manquante liée à la rotation paradoxale des galaxies (Véra Rubbin).
6) La surgravité produit l'anomalie de masse manquante liée aux vitesses des amas (Fritz Zwicky).
6) La surgravité permet de comprendre la formation précoce des galaxies grâce à la surgravité équatoriale produite par les trous noirs primordiaux.
7) La surgravité "produit" la création de matière dans les accélérateurs de particules et permet ainsi de mieux expliquer la formule E=mc2.
8) La surgravité explique le mouvement d’ensemble des galaxies dans les amas comme Laniakéa par exemple et donc l’origine des dipôles (Hélène Courtois).
9) La surgravité est produite par le SPINEX qui est une onde de dilatation quantique SPIRALEE qui se propage à 666 000 m/s (et donc c multiplié par pi et divisé par la racine de 2) ce qui fait environ 2,22 fois la vitesse de la lumière. Ceci explique pourquoi il ne peut exister de particule qui se déplace plus vite que la lumière (les tachyons n'existe pas).
Malheureusement la surgravité n’est « à priori » pas expérimentable sur Terre car l’effet est beaucoup trop faible pour être mesurable par une balance de torsion (mais j’espère me tromper).
Ces prédictions de la surgravité ne représente que 5% de ce qu’explique l’expansologie qui est une science (un ensemble de théories complémentaires) et non pas une simple théorie.
Les 95% restant expliquent entre autres :
1) La raison de l’accélération de la récession des galaxies par effet de marée interstructure (grâce au modèle des multi-structures). L'énergie noire n'existe donc pas.
2) Le big bang n'existe pas car nous sommes dans une structure en expansion et non pas dans un univers en expansion.
3) L’absence d’antimatière (grâce au neutrino linéospinal). Le neutrino n'est pas un fermion/lepton.
4) La gravité quantique (grâce à l’orbitospinex). Le graviton n'est pas une particule.
5) La raison de la vitesse de la lumière (grâce au linéospinex). Les tachyons n'existe pas.
6) Le fonctionnement de la création de la matière (grâce au particulex).
7) L’anomalie de la constante cosmologique, la constante 1/137, la constante h, l'antimatière, etc…
8) Mais surtout la « théorie du tout » grâce à LA FORCE EXPANSOLOGIQUE qui gouverne l’ensemble de l'univers matériel.
Guy Patel; Expansologue, coopérologue, intellectuologue et inventeur
Merci
14:32
80kmh,poid,lourd 0:43 noir 0:50
Tout,est,dans,l,etable❤
J'ai entendu dire que l'accélération diminuait ??
La personne qui vous a dit ça s'est trompée. Ça arrive
Ce sont les derniers résultats publiés par la colaboration DESI (Dark Energy Spectroscopic Instrument) au début du mois d'Avril oui.
@@isabellegoux267 Bah non, c'est juste une personne qui est à jour sur les publications des collaborations importantes. Ce sont les données les plus précises que l'on ai pour étudier la distribution des galaxies
@@cosmoseb Passionnant! 😊
Janus jpp
Euclide /webb ?
Bonjour Etienne,
J’ai une explication sur l’univers, ça serait cool que tu me répondes, mais bon faut pas trop rêver ! ben si j’y vais, James Webb à trouvé des galaxies trop « vielles » pour être là ! et alors ! Imaginons un ciel nocturne un soir de feux d’artifice du 14 juillet …… ho la belle bleu ….ho la grosse rouge ….les boules de feux explosent pas très loin l’une de l’autre et se mélangent ? une infime partie de la belle bleu vas se mélanger avec la grosse rouge,
Pour moi, l’univers n’a pas de fin, pas de commencement, et notre petit cerveau d’animal violent est incapable d’imaginer l’infini de l’univers ….des univers ….comment en serait il autrement ….aujourd’hui ou la France s’apprête à voter pour les Fachos ! en pensant que ça vas changer quelque chose ……j’espère mourir après que l’on ai découverts la vie ailleurs ….. ça me donnera le sourire , au jour et à l’heure de ma mort !
Toujours,seul,je,suis,terra 2:31
La,vache❤ 7:07
ça pourris pas juste être de la création du vide ?
Si mais ça explique pas comment ça fonctionne
La science c.est la controverse svp invitez JP Petit
Ce n'est pas un vrai podcast d'étienne klein, c'est de l'intelligence artificielle, ce podcast est rempli d'informations fausses.
Flûte de pan
L'énergie noire c'est du bluff, ça n'existe pas. Pour celà voir la thèse Janus de Jean Pierre Petit. L'univers négatif est responsable de l'accélération des galaxies. 😂 Bidon, étrange pour un type intelligent.
Ca existe pas ; cf. Jp petit
JP Petit est un perché qui a reçu son "savoir" d'extraterrestres 😂😂😂
@@isabellegoux267oui il conteste l'existence des trois noirs alors qu'on découvre une douzaine chaque 3😂
@@vedjillou4751 ce sont des plug-stars
Depuis 1905 les psycho-physiciens (Einstein en premier) ont complètement perdu le contact avec la réalité et la raison !
Laphysiqueneoclassique fr
Marius arrête de faire le fadoli
Un début d'argument scientifique peut-être? en lieu et place de votre élucubration
@@mauricecinque5618 V= GMm/r (1 + j^2 / r c^2)
Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne.
Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
@@vedjillou4751 V= GMm/r (1 + j^2 / r ^2 c^2)
Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne.
Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
@@mauricecinque5618 V= GMm/r (1 + j^2 / r^2 c^2)
Avec une modification minime de la loi de Newton et des transformations de Lorentz, on obtient tous les résultats empiriques de la relativité générale, sans toutes les idioties de l'interprétation einsteinienne.
Je vais publier sur mon site dans 2-3 semaines un article sur la gravitation quantique neoclassique dans lequel vous aller trouver la démonstration.
J'ai bien ma petite idée sur l'énergie noire, mais personne ne s'intéresse aux divagations d'un simple amateur.