Françoise Hardy - Bien longtemps - 1963
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- Опубликовано: 22 окт 2024
- (Paroles/Musique: F. Hardy)
Bien longtemps j'ai erré dans les rues
bien longtemps, trop longtemps j'ai bien cru
pouvoir te retrouver
toi que j'avais perdu
bien longtemps je me suis souvenue
des instants qu'avec toi j'ai connus
je vivais au passé
et je ne vivais plus
j'espérais qu'un certain soir
je pourrais bien te revoir
combien de fois j'ai rêvé
que tout recommençait
bien longtemps j'ai pensé que jamais
quelqu'un d'autre viendrait me délivrer
et pourtant c'est bien vrai
j'ai fini de t'aimer
Toujours la nostalgie de ces magnifiques annees des sixties
A melhor cantora de todos os tempos da França, sou apaixonado pelas suas músicas
Thanks for sharing this with us! Merci de partager ce bijou avec nous
she is very spontaneous , i love her.
0:27 FRANÇOIS Hardy 😂😂😂🤔🤔🤔
Apesar da gafe, contudo, vídeo repleto de fotos raras e bonitas da Françoise 😍❤🇧🇷🇫🇷
Escutem "IL N'y'a pas d'amour heureux!
É uma bela canção. Curiosamente há duas versões dela, uma gravada para o álbum "Ma Jeunesse fout le Camp" em 1967 e outra lançada no álbum seguinte "Comment Te Dire Adieu", de 1968. Ela não gostou de jeito nenhum da primeira versão e quis gravar de novo... mas o interessante é que as versões são bem parecidas! Vai entender... 😂
Je ne suis pas une grande fan de Françoise Hardy (j'ai le droit !) Pourtant, cette chanson me touche beaucoup. Elle dit très simplement une chose incroyable, inexplicable et qui pourtant arrive (je peux en témoigner !) On peut être fou (folle) d'amour, obsédée par une personne qui ne vous aime pas (ou plus), en souffrir affreusement avec l'impression qu'il ne peut en être autrement et que cela ne cessera jamais, qu'on ne pourra jamais vivre autre chose, penser à autre chose, c'est long, long, et sans doute éternel… et puis, pourtant, un jour, soudain, un jour comme un autre, on constate : "Mais… je ne l'aime plus, c'est fini !" On se demande depuis combien de temps, si cela vient d'arriver à l'instant ou non. On ne sait pas trop. Mais on a bien la certitude éclatante que c'est fini. Délivrance, mais aussi stupeur, hébétement. Et enfin, tout de même, on pousse (intérieurement ou non) un grand cri de joie et de liberté (enfin, moi…) ! J'ai bel et bien vécu ça (il y a des siècles, mais bon… Comment l'oublier ?)