Les sciences de l'éducation - TenL#50
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- Опубликовано: 12 сен 2017
- Il existe une science dont le but est de comprendre et améliorer les mécanismes par lesquels les humains (en particulier les plus jeunes) apprennent, se sociabilisent, acquièrent des connaissances et s’autonomisent jusque dans cette acquisition.
Où en est l’école actuelle vis-à-vis de la recherche sur ces sujets ? Nous en parlerons avec le chercheur Olivier Rey de l’Institut Français de l’Education.
Invité : Olivier Rey
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Наука
Bravo ! Olivier Rey pour cette belle analyse sur les sciences de l'éducation .
Il est surprenant que les "Sciences de l'éducation" nous dispensent de ses lumières, nous guident dans nos évaluations, nos pédagogies, nos didactiques mais dans le même temps refusent systématiquement toute remise en question de sa propre évaluation et de ses résultats.
Déjà lors de la rédaction des nouveaux programmes du collège on nous tenait ce discours.
Dès qu'il est question de test pisa on nous ressort cette excuse.
Il serait quand même nécessaire un jour de faire un bilan des orientations prises depuis les années 80 / 90 ........................... (à défaut de casser le thermomètre)
Et sinon, question qui fâche : On a voulu copier les méthodes des pays nordiques, au motif qu'ils font mieux que nous mais
1) Pourquoi ne copier que leur méthode mais ni le taux d'encadrement des élèves ni l'absence d'établissements privés dans certains de ces pays.
Ok, d'un point de vu scientifique on ne fait varier qu'une donnée -.-
2) Pourquoi ne pas copier les pays qui font les meilleurs résultats, mieux que les pays nordiques : à savoir Corée, Japon ... il est sûre que la pédagogie risque d'être quelque peu violente pour nous -.-
Le terme "sciences" est totalement inapproprié concernant les réflexes de ces praticiens.
Aucune acceptation de la critique,
Des résultats chiffrés biaisés.
Des analyses de résultats totalement partisanes et sans prise de recul (comme prendre par exemple la diminution du nombre de redoublements pour expliquer que les élèves progressent, alors que le redoublement est devenu quasi illégal, ou prendre l'augmentation du pourcentage de réussite au bac alors que l'on sait de quoi il en retourne en coulisses).
Un scientifique reste neutre par rapport à ce qu'il aimerait démontrer. Et si au bout de ses différents protocoles mis en place, il se rend compte que son hypothèse de départ est fausse, son travail restera de qualité, car il sera arrivé à un résultat fiable (hypothèse fausse et donc non validée). S'il réussit à prouver son hypothèse de départ, il en sera bien entendu heureux, mais le travail ne sera pas plus fiable que s'il prouve l'inverse.
Les sciences de l'éducation ne sont pas du tout dans cette objectivité. Tout ce qui est mis en place l'est pour prouver que les théories de départ sont valides. À tout prix.
D'emblée, niveau : "il existe une science [appellée les sciences de l'éducation]".
Ils ne connaissent pas la notion d'autoévaluation, et n'allez pas leur parler de niveau, ça les énerve. Ni de d'enseignement ailleurs qu'à l'école, enseignement qu'ils confondent avec éducation, vous dire leur maîtrise des concepts... Pour eux la pếdagogie c'est la pratique traditionnelle des enseignants, irrationnels puisque dépourvus de labo et d'IRM, donc intuitifs (ils ne réfléchissent bien sûr pas à leur pratique: ils n'ont pas de stats): pas bieeeeeeen....
Les "sciences de l"éducation" sont des pseudosciences selon la définition de la zététique: pas d'effets prouvés, pas de réfutabilité, prétentions, novlangue, ouailles. Déni de la réalité et du savoir dans le domaine qu'ils prétendent connaître... J'en oublie mais tout y est. Il est vrai que la TeB sen fout complet... Ils font pareil, entre deux ventes... Cela dit la zététique elle-même possède toutes ces caractéristiques aussi...
Puis pas du tout marqué à droite tout ça: ils ne font pas d'idéologie, qu'ils vous disent. Sans le prouver, mais on voit bien qu'ils se foutent de l'avis des non-élites scientifiques. Et qu'ils aiment bien Macron: on va pouvoir enfin choisir le contenu de l'enseignement sans faire d'idéologie... Et si à terme on peut dégager un process, pis automatiser tout ça, on va pouvoir privatiser facile. Chercher "sciences de l'éducation" sur RUclips, et hop on a une liste d'entrepreneurs de l'enseignement... Chercher sur Facebook, et on tombe sur Lyon 2, repaire connu de validateurs étranges...
sdtc.unblog.fr/2017/09/05/la-zetetique-decouvre-lenseignement/
et ça respam encore ce blog :') à croire qu'il y a un manque d'attention.
Bah non mais mes comms sont supprimés. Réfléchis un peu.
oui oui le vilains youtube diabolique censeur .
Bonjour,
J'ai écouté la vidéo en faisant autre chose, je me fie donc à mon souvenir et peut-être vais-je émettre quelques critiques erronées, je m'en excuse. D'abord, merci pour la vidéo, beaucoup de questions et de réponses étaient intéressantes.
Cependant, dans le fond, je trouve que la vidéo manque de clarté sur un point, qui me semble pourtant fondamental:
- La différence entre éducation et enseignement (question bottée en touche), pédagogie, didactique et processus cognitifs. C'est, je pense, sur une définition correcte de ces notions que l'on pourra commencer à déterminer quelle est l'autorité des sciences de l'éducation dans la formation des enseignants et éducateurs et dans la prescription de méthodes. Je parle que pour l'école, pas pour l'éducation dans d'autres milieux que je ne connais pas.
Je pense par exemple, que les neurosciences ont beaucoup à nous dire dans les processus cognitifs et neuronaux qui sont sollicités dans les apprentissages, par exemple du calcul et de la lecture. Sur cette base, nous pouvons réfléchir aux moyens de mettre en oeuvre des enseignements qui tiennent compte, quelque part de la mécanique.
Il faut donc que travaillent ensemble chercheurs en neurosciences et cognition et chercheurs en didactique de la discipline concernée. La pédagogie n'intervient qu'après, c'est-à-dire l'adaptation de la didactique au public que l'on a en face de soi.
Il me semble important également de se poser les questions suivantes:
- Qui compose les départements de Sciences de l'éducation dans les universités française ? Pour voir quelle est l'école de pensée ou la méthodologie suivie. Par exemple, à Montpellier, la tradition psychanalytique est très présente dans les sciences de l'éducation. Cela n'implique pas une invalidité de ce qui y est enseigné, mais vérifions quand même les approches. Surtout que lorsqu'on s'inscrit en fac, quelque part, on est éduqué selon la perspective du département. Deux bacheliers s'inscrivant en psychologie dans la fac la plus proche de chez eux parce que la psychologie les intéresse, n'auront pas la même conception s'ils s'inscrivent dans un département de psychologie clinique ou dans un département pro neurosciences.
- Qui s'inscrit en sciences de l'éducation et qui fait la recherche en sciences de l'éducation ? Quels sont les débouchés des sciences de l'éducation ? L'éducation en général, par exemple les CPEs, les éducateurs spécialisés et autres formateurs ? Dans ce cas, comment passe-t-on d'une réflexion sur l'éducation, comment pourrait-on l'appeler, citoyenne ? sociale ? à une réflexion et des prescriptions sur l'éducation disciplinaire (dans le sens de discipline scolaire : lettres, maths, histoires, arts plastiques ...) ? C'est là que je trouve regrettable d'avoir botté en touche, c'est un point crucial. Il suffit de consulter les plaquettes de formation sur les sites des universités qui accueillent un département de sciences de l'éducation pour se poser les questions.
Merci Mendax de dire tout haut mon indignation au regard du système éducatif et notamment la formation initiale et continue des enseignants !
Super live! sujet très intéressant! Son de bien meilleur qualité (pas encore parfait mais en Très bonne voie!)
C'est seulement maintenant que je regarde cette vidéo pcq, il y a 5 ans, je préparais mes cours et je corrigeais mes copies..... J'ai été maître aux, donc en roue libre puis en 1988, j'ai passé mon PLP, équivalent du CAPES pour les lycée pro. + une année de formation en ENNA et cours en lycée d'application.
J'espère avoir fait mon job au mieux puisque j'ai grimpé tous les échelons au plus rapide. Cependant au fil des décennies, enseigner correctement s'est avéré de plus en plus éprouvant. Trop de réformes prises par dessus la tête des 1ers concernés: les profs qui, n'en déplaise aux dirigeants, sont en première ligne pour savoir ce dont nos élèves ont besoin et qu'elles seraient les meilleures conditions pour un apprentissage "utile". Un ex: quand j'ai débuté il y avait un BEP en 2 ans + un Bac Pro en deux ans aussi. Cela nous donnait le temps de transmettre à peu près correctement les apprentissages (on a pas tous, non plus, la science infuse). Et puis, un ministre, désireux de "valoriser" le Bac Pro, nous l'a imposé en 3 ans. "Comme ça vous serez comme les bacheliers de lycées généraux". Belle initiative positive... Sauf que le public n'est pas le même! Non, nos élèves ne sont pas moins intelligents, simplement, rester des heures dans une salle de classe, c'est pas leur truc. Ils veulent du concret, montrer à leurs profs que leurs mains sont en connection avec leur cerveau pour réaliser de belles choses dont ils seront toujours fiers.
J'ai un bac + 5 pour gagner moins que mon fils qui a fait un bac pro, qui a bien progressé dans sa boîte pour être le bras droit de son boss. Et il fait ma fierté, tandis que j'ai passé mes 10 dernières années à me rendre au lycée à reculons, parce que je savais que les programmes qui nous étaient imposés étaient à des années lumières (clin d'œil à Étienne Klein) des préoccupations de mes gamins et que, comme la plupart de mes collègues, je ne pourrai pas leur en vouloir de décrocher à un moment plus ou moins long.
Constat d'une prof fraîchement retraitée et qui peut maintenant regarder la TEB, car il n'a pas de limite d'âge pour se cultiver!
Des bisous.
Essayez de lisser ces saturations, c'est vraiment pas top, le confort d'écoute est quand même très important sur une vidéo de plus d'une heure. Vous gagneriez en visibilité, c'est la première fois que je le dis mais c'est un problème récurrent. A la rigueur, essayez de mixer le son pour "lisser", si impossible d'avoir un résultat net avec l'enregistrement live.
Au cas où, je glisse ça là, si ça intéresse qq'un "les neurosciences cognitives dans la classe" gregoire brost, Jean-Luc Berthier, mickael desnos, Frédéric guilleray. Si je ne dis pas de bêtises, ils ont une association permettant d'accompagner et de former les enseignants qui souhaiteraient mettre en place ces méthodes dans leur classe (oui, oui, je dis méthode...). Voilà voilà très bon ouvrage et qui à mon sens est prometteur dans l'avenir des sciences de l'éducation. Ils parlent des neuromythes, expliquent le fonctionnement du cerveau, et des clés pour se servir au mieux de la mémoire, de l'attention, et de la motivation des élèves peu importe la matière.
Merci pour ce live mais en tout honnêteté, je n'ai que très peu apprécier le fond de cette intervention. Si vous réussissiez à nous avoir Grégoire brost... 😏
Le voici. Heureux ? :D
ruclips.net/video/8Jis_K-xR8E/видео.html
Merci ! 😁 Comment ne pas l'être !
Bizarrement, je pense que mon jugement va être biaisé 🤔
Courage pour les prochaines émissions les amis, ça serait vraiment top qu'on est un son audible. Je sais que ça coûte, que c'est de l'organisation, mais vos live durent 2h c'est donc très important et vous le savez. Moi je suis le commentaire relou qui vous le ressasse (bizarre ce mot) une énième fois...sorry
Au début j'ai cru que Vled était l'invité car j'ai l'impression qu'il a exactement la même voix !
Pour le son il y a une astuce pour les plus motivés d'entre vous.
TUTO:
téléchargez le mp3 sur un site de type RUclips mp3 (youzik.com fonctionne pas trop mal), ensuite ouvrez la piste sur Audacity (logiciel gratuit de traitement de son). Une fois cela fait, cliquez sur ''effets'', puis sur ''graves et aigus'', montez les graves à +15 dB et les aigus à -15 dB, refaites l'opération une seconde fois pour plus de confort. Vous avez à présent un son correct, en revanche vous n'aurez pas l'image.
Dommage pour le son. Cette vidéo au contenu de qualité mérite plus d'attention.
Non, je ne peux pas... T.T
Pourrait on avoir une version écrite de cette vidéo ?
Pour votre interrogation sur les classements internationaux, je peux vous éclairer un petit peu. Je travaille dans une université française généralement bien positionnée et m'occupe, entre autre, d'une partie des données remontées aux organismes de classements.
Comme mentionné par Olivier Rey, les classement se basent surtout sur la recherche académique (citations, publications etc.). Cela se basent aussi sur des ratios étudiants/enseignants.
Au-delà de ces défauts pour évaluer la qualité de l'enseignement, il faut savoir que les termes utilisés par les organismes ne sont pas directement transposables au système éducatif français (diplôme d'Etat, d'université, particularité du cursus de médecine, définition sur le personnel enseignant et/ou de recherche etc.). Il y a une certaine amplitude d'interprétation dans la définition des indicateurs, d'autant plus lorsqu'on souhaite améliorer le classement de son université.
Ils ont fait des efforts pour entrer dans classement.
Meme si ça devient dommage de se consentrer sur des critères non objectifs,j'espère que ce ne nuit pas trop.
Mais es ce qu la France est me seul pays dans se problème?
Dommage j'était pas la pour le live, es que sa a parlé des 3 type d’éducation ?
Formatif (apprendre a utiliser des outils, obtenir un diplome pour un métier)
Propagranda (Savoir commun nécessaire pour être accepté dans notre groupe sociale : histoire de la france, langue parlé...)
Éducatif (Comment vivre entre humain : Philosophie, esprit critique, morale, rhétorique, respect..)
Pas en ces termes, mais ces dimensions ont été évoquées par l'invité, oui.
Rappelle grossier :
Le formatif est donner aux bac professionnaliser, et formation continue durant la vie de travaille.
Le propaganda est apprit durant le scolaire générale + médias.
L'éducatif est laisser au soins des parents (qui n'ont pas le temps de l’enseigner).
Une question a vous Tronche en Biais.
Moralement, quelle type d'enseignement aimeriez vous voire maximiser ?
Avant, l'école c'était bien, on y apprenait, mais ça c'était avant !
#c'étaitmieuxavant.. maisavant quoi :v
14:50 sinon
Oui quand on apprennait comme ils enseignent: un prof sur une estrade, des élèves silencieux.
c'est vrai que de nos jours tous les élèves sont debout et hurle partout , pis le profs est assie par terre.
ça doit être fatiguant de penser avec un mono-neurone connecté au passé , Nan ?
Jean Valjean, ça, c'était avant ! :p
hmm hmm demander d'arrêter d'utiliser le passé comme exemple c'est dire " réac " ou " émotionelle réactionnaire" , " ne pas penser " .. et c'est moi qui fais dans l'émotionnelle ? venant de quelqu'un qui parle de son papa mais ne citant que les fais divers de la presse à scandale :') , il a bien changer jean valjean.. il avais l'air moins con avant... oups :o j'ai dit avant..
vous pouvez pas juste comprendre que le cadre dans le quel c'est déroulé le passé n'est pas le même que le cadre présent ? juste ça c'est bien trop dur à admettre?
écrire parfaitement , je demande à voir :) c'est toujours aussi facile de balancé des petites anecdotes comme ça ..
le taux de quoi par rapport à quoi ? 10 gars à l'école contre 10 millions ? super pertinent en effet et laisser moi deviner avec une école qui s'arrête à 16 ans et le droit de travail pour les mineurs, ils sont devenus quoi ces jeunes parfaitement lettré avocats / astronaute / médecins ?... ah bas non.. ils ce sont cassé du système scolaire.
vous avez regardez la vidéo ou vous êtes trop vieux pour écouter quelqu'un parler ?
Peut-être que c'est le fait qu'il vous donne tord qui pose problème.
les profs avant , ceux qui fumais dans la salle et frappais à tous vas les élèves pour " gagner leur respect " c'est un fait intéressant aussi. C'est donc ça qui vous manque les menaces et les coups :) .. de la pédagogie me direz vous, ou simplement une jalousie mal assumé qui voudrais que les jeunes souffres comme les vieux (sois disant), car c'était ça la " bonne rigueur ".
arrêter de croire que TOUS les jeunes sont des analphabètes violent et incapable de tenir 1H sur une chaise essayez 5min de faire semblant d'avoir un vrai recul et pas seulement de reculer. Oups ça fais réac' :o .. enfin ça ira vous niez tellement que ça donne l'air progressiste aussi, ça ira.
la paille dans l'oeil du voisin , mais pas la poutre devant sa face.
j'applaudis cela dit , arrivez à un tel déni des réalités à cause de l'image de l'écoles donné par le prisme des médias poubelles.. vous êtes un artiste. Ou un vieux con :o .. mais je ne porte pas de jugement ça risquerais de donner une mauvaise image anti progressiste du coup.
Bon, avant d'entrée dans le sujet qui m'intéresse. Je propose d'aller voir la définition (dictionnaire et encyclopédique [voir "culturel"]) de : éducation, pédagogie!
La question numéro 1, avant même de ce questioné sur "comment" dispensé une "éducation". Celle qu'il faut se poser est quel est le but rechercher? (CONTEXTE!)
Dand une "société" capitaliste, ce qu'il faut ces des esclaves "travailleurs" qui vont faire le "travail" pour enrichir les "Capitaleux". Et comme il y a une innévitable "hiéarchie" de "valeur" (salaire, coût de production, valeur marchande, ...) il faut une hiéarchie "similaire" et "proportionnel" pour combler ses "besoins" (main d'oeuvre). (et consommateur bien évidemment)
Et donc, le but de "l'éducation" (éducation "nationnal") est de "répondre" à cette "demande".
Dans d'autre mot: Pas besoin d'un "bac + 3" pour servire du café dans un "fast food coffee shop".
Et donc, le "système" doit produire se que l'on a de besoin... (d'où "méthode" d'évaluation => "construction" de l'hiéarchie)
Et donc, de ce point de vue là, la pédagogie doit "s'orienté" vers un objectif de masse. (donc "poubelle" l'individu)
La pédagogie. Je vois les individus comme des "objects" plus ou moins différent. Certain sont des vise, d'autres sont des cloues, d'autres sont des écroues, ...
Et donc, la pédagogie doit répondre a (basé sur l'analogie décrite si haut) "3" types "d'élèves". Certain élèves vont répondre mieux à la pédagogie "tournevis", d'autre à la pédagogie "marteau", et d'autre à la pédagogie "clé à molette"!
Et donc, collecter des données dans une "classe" (ou école) ou ses "3" types d'étudiants sont présente et tous évaluer avec la même méthode... le résultat de cette étude ne peut qu'être irrecevable! (biaisé)
Et là, je ne tient compte que des facteurs "propre" à la forme de pédagogie suceptible de fonctionné pour "3" types d'élève.
Voilà quelque années (désolé, je ne suis pas de la France... Québécois), j'écoutais une émission télé, une espèce de "revue scientifique" (nom de l'émission: Découverte à la SRC) qui parlais de recherche justement en "science de l'éducation", et ce que les chercheurs "constataient" c'est qu'il y a des "critères" qui ont bien plus d'impact que la pédagogie elle-même: Critère "sociologique et physiologique". Si un "enfant" (élève) manquait de sommeil par exemple ... si un enfant subisait des "violences" (autant physique que psychologique: sévice, parent en divorce, ... harcèlement psychologique, ...) tu aura beau utilisé la "meilleur" méthode d'apprentissage... Ca ne changera pas grand chose! (ces facteurs ne sont pas exhautif!) [quelque uns supplémentaire qui mérite mention: persécution par les autres élèves, timidité, ..].
Tien la timidité, j'en ai soufert personnellement. Une "pédagogie" inévitable est la fameuse question (main lever) par l'élève. Tu as pas compris, tu lève la main et demande plus d'explication... Quand tu est très timide, et que tu voix le jugement des autres "enfants" (quand quelqu'un pose une question "stupide" et qu'ils se moquent de l'élève), il en résulte que j'osais pas trop poser de question.
Tien en parlant de question... ca m'amène à la méthode "cd-rom" (contenu intéractif et multimédia)
Un problème fréquent (de mémoire, j'ai quitter les banc de l'école depuis environ 20ans), quand je possais une question, il y avait 2 cas de figure...
1) il y a d'autre main lever, et le temps qu'on se rendent à ma question, moi, j'avais oublier, ou le sujet avaient tellement "dévier" qu'elle était devenu "hors propos/sujet" (et donc je baissais la main et restait dans l'incompréhension)
2) ou pire, tellement "occuper" à retenir la question que je manque toute ce que dit le prof sur les quelques minutes ou il décide de finalement "s'intérompe" et consent, finalement, à répondre à ma main lever. (et donc, non seulement j'ai pas compris le bout/début de l'explication "A", mais j'ai raté, tout le reste de l'explication et/ou explication suivante: bout B, ou B et C, ou, B,C et D, ...)
Et donc, pour en venir a un "cd-rom" Si j'ai une question... je peut mettre sur pause, et rien "raté" de la suite, poser la question, et continuer la lecture du cd-rom. Voir je peux revenir en arrière et réécouté l'explication une 2nd, 3e, ... n fois. Ce que un prof ne peut pas faire (n'a pas le temps de faire).
Pour la plurialité de l'information (contexte "cd-rom") un livre avec le mot pizza, versus, un cd-rom avec le mot pizza, l'image pizza, et le son pizza (pronociation du mot)... A mon sens, ce n'est pas divisé l'attention de l'élève! (mais je peux me tromper)
Par contre, quand c'est mal "fait", le mot pizza, une music en arrière plan, et des petits bonhommes qui cour partout déguisé en "pizza" ... et qui font des accrobatie... (pour essayer de "divertir" l'enfant => intéresser) Alors la, c'est autre chose!
La pédagogie peut s'amélioré, c'est sure, mais globalement, elle n'a pas si mal servi "nos" société. Par contre, ce qui sert très mal "nos" "sociétés", c'est le contenu des "programmes d'éducations" qui ont bien plus un intérêt "politique" que scolaire!
Par exemple, puisque vous avez abordé l'enseignement de """l'histoire""". (volet "culturel") Il me semble (je ne sais pas pour la France) que, côté contenu, il serait bien plus utile d'expliqué le pouvoir, comment s'en protéger, son origine, pourquoi il est dangereux, quel sont les pratiques les plus répanduent (pour l'exercé, se l'apporprié, en abusé...) que d'apprendre par coeur la liste des "21" présidents de la "république" d'hier à aujourd'hui!
Et donc, je pense que le problème fondammental dans "nos" écoles, est que l'on essaie, a tord selon moi, de trouver une pédagogie "universel" (qui fonctionne avec tous, ou avec le plus grand nombre) au détriment de l'individu. Et que l'on minimise les facteurs "environnemental" qui ont bien plus d'impact. (sommeil, faim, violence, ... temps alloué à l'étude, ... !!!repos!!!)
{repos, cas 2 élèves: un qui a aucun mal a se concentrer 1h, versus l'autre max 30min. Pour un cours format 1h l'un des 2 élèves va être privilégier! En "additionnnant" les cours sur une journée écoles... et une pose entre chaque période qui sert à peine à: pisser et se rendre à la classe suivant: bourage de cran suivant...}
Les notes. La question redondante (et très innaproprié!) qui reviens systhématiquement lorsque l'on parle "d'éducation".
Ici, c'est une question "binaire". Soit on a compris, soti on n'a pas compris! Et on ne traite pas les deux "situation" de la même manière!
* Quand on a compris... on peut approfondir, travail sur la maitrise, développé les "bon" réflexes... ("travail" / "pratique") et/ou passé à l'étape suivante.
* Quand on n'a pas compris... on "enseigne" encore jusqu'à la compréhension! En changent la méthode... Analogie différente, pédagogie alternative, ... Et seulement ensuite on passe au "second" point. ("travail / pratique", développé la "maitrise")
Et c'est le problème fondamental d'un "système" d'éducation "nationnal". *On n'a pas besoin que tout le monde soit "parfait" en tout!* Car on a besoin de plombier, de cuistôt, ... on a besoin de "petit esclave" sous payer pour rentabiliser les secteurs peu payant et qui doivent gardé des prix "bas" (nourriture, logement, ...) [quoi que pour le logement c'est de moins en moins le cas et c'est un problème de société de plus en plus grave.] Et ici, ca "répond" à la première question au début de ce texte. À quoi sert l'éducation? À créer les esclaves nécessaire à la bonne "marche" du capital. Et donc, peu, pas du tout "d'éducation populaire" (comme la nomme Franck Lepage).
SUITE!!!
Je vois les "problèmes" en ordre de priorité! Je vais utilisé une analogie avec un film.
Sunshine: www.imdb.com/title/tt0448134/
SPOILER
A un moment donnée le vaisseau subit un sabotage. Il perd de l'oxygène, la serre est détruite (source de nouriture et air | production d'air).
Les priorités?
Certe la serre produit air et nouriture, donc on pourrait dire que la priorité est de "réparé/solutionné" se problème là. Mais ca c'est un problème à long/moyen/très long terme. Alors que la perte oxygène/déprésurisation du vaisseau lui est un problème immédait. Et donc, si tu a plus d'air et plus de pression, les humain ca meurt en 3 minutes. (environ) alors que tu va avoir des semaines avant de manquer de nouriture (réserves). Il est clair qu'il faut résoudre les 2 "problèmes". Mais l'un devient complètement inutile si tu résoud pas l'autre.
Et en ce moment, le problème [majeure] de "l'éducation" ce n'est pas un problème de pédagogie! Mais de contenu, et de qui y a accès et dans quel condition (environnement: faim, sommeil, argent, ... violence, ...)
Certe amélioré les methodes pédagogiques c'est une très bonne chose! Mais ce n'est pas le plus important, ni même le plus urgent!
Mais j'ai l'impression (opinion) que nous allons, encore, sacrifier l'individu aux besoins des intérêts d'une petit minorité (capitaleux). Et se qu'ils ont de besoin c'est: une masse "ignare" qui ne remet pas en question l'autorité, qui demande pas de bon salaire et de bonne condition de travail, ... et qui savent rester à leur place, plus quelque rare "doué" qui vont faire les jobs "compliquer": médecin, ingénieur, chercheurs, ...
PS:
Dans l'émission de Découverte, il y avait des chercheurs en éducation qui parlaient aussi de la *fréquence* et des *moments* opporutun pour l'enseignement [des math] et (plus sur, de mémoire) de la *"similarité"* entre matière.
[ex. moment] Genre le matin, ou l'après midi.
[ex. fréquence] Aussi, laisser une journée d'écart entre deux court (Ex.: un cours de math le lundi, et ensuite le mercredi pas avant)
[ex. similarité] Ou alterné Math et un cours moins "demandant cognitivement"... faissant appel a d'autre aspect de la cognition.
C'est trop stylé un cyclotron.
Zecky 🌀
le socio-constructivisme a pourtant apporté des éléments de réussites convaincants
La courtitude ou la coutrescence ? 53'
Bon travail comme d'habitude ! J'aime que vous ayez cette approche très globale de l'Art du doute dans vos Lives, mais j'ai hâte d'un bon vieux Live de Zététique du genre TenL#40 avec Stop Mensonge, ou bien le TenL#19 (#RATOPNU) que j'ai revu un bon paquet de fois !
J'ai une question qui n'a rien à voir avec la vidéo (ou alors de très loin), j'aimerai savoir ce que vous pensez de DEFAKATOR ? Personnellement j'aime beaucoup ce qu'il fait, je trouve juste qu'il se laisse un peu trop aller aux attaques Ad Hominem contre les "complotistes", mais sur le fond de l'argumentaire je ne voit rien à redire...
Un avis ? Je conseille à ceux qui ne connaissent pas d'aller voir ! ruclips.net/video/BrEtgFHVvkY/видео.html
Et que l'obscurantisme retourne à l'obscurité ! ;)
Il fait du bon travail.
C'est un registre différent du notre, et la diversité des approches est une bonne chose ! :)
M.
Merci Mendax t'es un Lucky Luke de la réponse aux commentaires ! x) J'ai modifié mon com', et le temps que j'envoie la modif' t'as déjà répondu !
Ouais enfin sa vidéo sur le nucléaire comporte les mêmes biais que ceux qu'il a pour habitude de dénoncer d'habitude...
Quels biais avez vous remarqué dans sa vidéo sur le nucléaire ? Personnellement j'ai juste trouvé que c'était du bon boulot.
Tant que la langue française ne sera pas drastiquement réformée, nous ne pourrons réduire les inégalités.
On s'en moque des inégalités.
Il est légitime que les intelligents s'en sortent mieux que les couillons.
Il est légitime que les bosseurs s'en sortent mieux que les branleurs.
Il est logique que ceux nés dans des environnements "culturellement favorisés" s'en sortent mieux que ceux qui n'ont pas cette chance, même si c'est injuste... mais les victimes de ce genre d'injustice ont tendance à acquérir une super-combativité qui, lorsqu'ils arrivent à l'âge adulte, leur permet de prendre une revanche sur "ces ex-premiers de la classe qui sont si intelligents mais qui ne savent pas trouver leur place dans la société pour autant".
Et il est hors de question de "reformer" la langue s'il s'agit de l'enlaidir et de l'appauvrir pour faire plaisir à ceux qui n'en ont de toute façon rien à faire.
Ah tient salut Jacques-Olivier ;)
Je rebondissais par rapport à ce qui est dit à 29:52 mais ma remarque se veut autonome. J'ai parlé de réduire les inégalités et non pas de les supprimer, ce dernier point étant inenvisageable. Ma position n'est pas de favoriser les "branleurs", mais de faire en sorte que la langue française ne soit pas une machine à exclure car si énergivore dans son apprentissage. C'est toute la société qui en pâtit. Le pragmatique que je suis ne peut accepter cela! ;)
Bien t'a voie peut nous donné courage d'écouter où kokokokl
Ah ben tiens, je vais écouter jusqu'au bout... je fais partie des profs qui ont une très mauvaise image des sciences de l'éducation, à tort ou à raison, mais en tout cas le sujet m'intéresse.
PS : et j'ai écouté l'interview du 1er septembre de votre ami Grimault par Nuréa TV... ce soir je mets en ligne une vidéo où je réagis à plein de grosses débileries et autres nawakeries que Grigri raconte. Saviez-vous que 51 est un nombre premier ?
51 = 3*17, un nombre premier ? Il raconte ça ?
Oui.
Un de mes élèves m'a parlé de lui cet aprem (les pyramides, les E.T., tout ça...).
J'ai du prendre 20 minutes pour débunker ses âneries (je me refuse à laisser mes élèves dans le doute), et j'ai placé quelques mots sur son penchant complotiste au sujet de l'homme qui n'a jamais été sur la Lune.
Bref, merci à toi, j'ai une nouvelle bille. ;)
ruclips.net/video/fFfFHSJ1PUA/видео.html
hu hu hu !
Olivier Viaud ce serait plus intéressant de savoir ce que disait l'enfant mais visiblement vous étiez trop occupé à "débunker". Ce que vous avez fait on s'en fout, c'est toujours les mêmes platitudes que tout le monde raconte. C'est tellement évident que vous êtes un idiot et malheureusement cette catégorie de gens pullule et traite les autres d'idiots. Et non, moi même je n'en fait pas partie.
referencement
Quel dommage que le son soit mauvais !
C'est trèèèèèèèèèèèsssss désagréable d'écouter (et je viens de commencer la vidéo...) pas sûre d'arriver à écouter jusqu'à la fin...
le son est dégueulasse c'est inaudible mes oreilles saignent, dommage
"inaudible mes oreilles saignent" (lol) Tu ne serais pas un peu marseillais toi par hasard? Ok le son n'est pas parfait mais ça s'écoute sans problème. Et puis la Tronche en live sans problème technique ça ne serait plus la Tronche en live ! ;)
Jean Némar on me le dit souvent ^^ . Nan mais la franchement c'est trop désagréable
Utiliser ce plugin pour Chrome et baisser tout au dessus de 2kHz résout assez bien le problème ;)
chrome.google.com/webstore/detail/audio-eq/lfafdlnjaliaghpjdajmlcnnblkgcefh
Bien vu paltoquet merci ! Je le ferai quand je vais revoir la vidéo, surement bientôt.. :)
@paltoquet.quet géniale cette astuce ! merci :)
Quand Grimault parlait d'éducation nationale et d'instruction publique! blblbl
Le jour où l'éducation nationale proposera un travail de vulgarisation plutôt que d'enseignement dans ses programmes, on aura enfin réussi à donner l'envie aux enfants d'apprendre et de réussir. Je pose ça là. Qui sait, peut être qu'un jour quelqu'un de haut placé comprendra enfin ce qu'il cloche... Peut-être.
Yarflam C'est trop simpliste mais l'idée est quand même intéressante. cependant, pas tout le monde est doué pour faire de la vulgarisation ;)
Le fond de ma pensée c'est que l'éducation vise le bourrage de crâne en s'appuyant beaucoup trop sur des cours théoriques. La plupart du temps, l'étudiant apprend toutes les exceptions avant de comprendre réellement le sujet. En vulgarisant, on propose de comprendre avant d'apprendre et c'est à mon sens le plus important. Par exemple au lycée nous étions nombreux à interroger les profs de math sur l'utilité des intégrales ... On a jamais eu de réponse cohérente ! C'était si simple de dire "les intégrales permettent de calculer des aires et des volumes sous une courbe ou une surface" ... ouai bah non, au lieu de ça on apprenait bêtement les formules.
Je conseille à tous les jeunes d'apprendre par eux même. L'école n'est pas à même de les éduquer, les parents pas toujours non plus ... ouvrez Google et soyez curieux !!
Yarflam Non mais je suis d'accord avec toi. J'ai toujours plus appris en dehors de l'école qu'à l'école. Mais je dis que ce n'est pas aussi simple non plus et qu'il n'y a pas qu'un seul paramètre à prendre en compte.
Par exemple, le système de notes. On est beaucoup, dans mon cas, à se contenter du strict minimum et à viser une moyenne en calculant les objets où faire l'impasse car ça n'a rien de stimulant un système comme tel. Même avec de la vulgarisation, ce n'est pas sur que spontanément, on se mettrait à produire plus d'effort. Le côté compétitif de notre système crée énormément de personnes qui perdent intérêt à se donner en cours.
Et ce n'est qu'un autre paramètre, à côté de celui que tu donnes. Moi, j'ai tendance à m'éloigner de ceux qui prétendent pouvoir tout améliorer en apportant un seul élément de réponse, ignorant complètement tout autre élément. Il n'y a pas de solution toute faite.
Je pense également qu'il serait bon d'instruire la méthode critique très jeune. Il serait bien d'apprendre à lire les jeunes, en essayant de les ouvrir à ça. Il serait passionnant d'introduire la philosophie beaucoup plus tôt dans la formation des enfants. Et c'est que des propositions parmi tant d'autres à étudier. Il faut surtout changer la vision qu'on a des étudiants, des écoliers. Mais aussi de leurs enseignants. Et de leurs relations. De ce que doit être l'école.
Le lien avec les aires est TOUJOURS fait pour les intégrales puisque les calculs d'aire constituent la principale activité qui fasse intervenir des intégrales.
Excusez-moi, je voulais écrire "fonctions dérivées". En STMG, ces fonctions n'ont pas de lien avec les aires ... enfin en tout cas, on ne te l'explique pas comme ça.
Pas trop de discussion sur les méthodes alternatives. Encore heureux que TEB lui parle viteuf de Montessori, mais pas grand chose à dire... Alors que beaucoup de problèmes évoqués sont résolus avec la pédagogie Montessori.
Commençons le débat ici ! ;)
J'écoute depuis 15 minutes et cela commence très mal.
A la question de savoir si le niveau monte ou baisse, l'invité répond par le sophisme qui consiste à expliquer que puisqu'à toutes les époques, il s'est trouvé des gens pour dire que le niveau baissait, et bien , ceux qui le disent ont toujours tort.
Lorsque l'intervieweur donne l'exemple de l'orthographe, il répond "je crois que cela baisse", comme s'il n'en était pas sûr ou plutôt comme si cet aveu lui coûtait......
Amusant détail concernant les enquêtes PISA: Olivier Roy reconnait que les résultats français se détériorent en mathématiques. Or, il faut savoir que cette discipline était dans notre pays il y a quelques années à peine citée en exemple pour l"évolution de la pédagogie pratiquée sous l'influence des sciences de l'éducation...
Autre point, lOlivier Roy nous explique que les sciences de l'éducation n'ont quasiment aucune influence...
Lorsqu'on sait que les programmes la formation des enseignants et de ceux qui les encadrent(les inspecteurs) sont fortement influencées par les dites sciences de l'éducation, cela fait sourire.
45' A la question des erreurs passées des sciences de l'éducation o. Roy évoque la question des limites des supports numériques en invoquant la notion de surcharge cognitive(jugée trop compliquée pour être expliquée...)
Il ne lui est pas venu à l'esprit de parler des théories pourtant fort en vogue dans les années 80-90 de Charmeux et Foucambert sur l'apprentissage de la lecture par la méthode "idéovisuelle" aujourd'hui discréditée. Pourquoi cette pudeur?
1h04 Un intervenant "cela nous oblige à réfléchir sur c'est quoi les objectifs"
PITIE POUR LA LANGUE FRANCAISE !
1h15 A la question de l'acceptation des résultats de la science par les enseignants, O. Roy répond en parlant des résistances à la réforme du collège. Est-ce à dire que cette réforme est juste une application des connaissances scientifiques (qu'O Roy a lui-même jugé parcellaires dans l'interview) sans auxun choix politique derrière? Sérieusement?
A la question sur les méthodes d'apprentissage de la lecture, L'intervieweur doit s'y reprendre à trois fois pour qu'Olivier Roy dise que l'apprentissage des correspondance graphèmes-phonèmes est fondamentale.
Par contre Olivier Rey, si sa page perso est à jour, c'est un ingénieur de recherche, donc un statut qui ne désigne pas les chercheurs, ce n'est pas un chercheur a priori. Et vu son âge... On n'a pas affaire à un génie si vous voyez ce que je veux dire...
Il le dit qu'il est ingénieur de recherche au début, ça ne veut pas dire qu'il est moins bon que les chercheurs, il fait un autre métier (il le dit aussi). Et utiliser son age pour le discréditer me parait un peu léger.
Cheveux bleus ! Oo" (Ceci était un commentaire constructif, a+)
C' pas du tput normal monsieur l'invité...
Je vous conseille le livre intitulé( les sciences de l'education ) de Eric Plaisance et Gerard Vergnaud. De la Collection Repères... Lisez svp
Je suis un éducateur en formation je me specialise en Philosophie et l'administration scolaire.
Oh seigneur !... Qu'est ce qu'il s'est passé avec tes cheveux Vled ?!... :O
Mais bravo quand pour votre analyse
Nous sommes en présence ici du discours habituel et ressassé.
Lorsque, et cela se lit ici dans nombre de commentaires, ceux qui "forment" (entendu dans la vidéo, terme horripilant), ou plutôt ceux qui enseignent, apportent leur témoignage contestant certains paradigmes plus ou moins récents, ils se voient accusés de passéisme, de rigidité, ou de conservatisme.
Certes, de tels témoignages sont empiriques. Ils n'ont pas valeur de preuves. Mais, lorsque l'invité parle de l'évaluation des méthodes issues des sciences de l'éducation, il omet soigneusement d'évoquer COMMENT elles sont évaluées. Il ne suffit pas, toujours, de se remplir de chiffres pour être scientifique.
J'en veux pour preuve une anecdote, qui ne prétend en aucun cas avoir valeur de preuve, mais simplement poser une question, en forme de problème, justement à propos de l'évaluation des paradigmes "modernes" des sciences de l'éducation.
Année 1 : BTS. Matière scientifique. Réunion avec l'inspecteur. Mise en place la même année des CCF (mieux vaut tard que jamais^^).
Il s'agit d'une évaluation dont le sujet est réalisé par l'enseignant, corrigé par l'enseignant, noté par l'enseignant. Pas d'anonymat. En deux parties. Elle se déroule par compétences
.
Il ne s'agit pas ici vraiment de discuter de la pertinence de ce mode d'évaluation (même si je suppose que mon ton laisse deviner ce que j'en pense).
Juste de souligner une petite phrase répétée plusieurs fois par l'inspecteur : "Je ne pourrais comprendre que vous obteniez des moyennes trop inférieures à 12/20 , puisque je sais que vous êtes compétents et que vous exercez correctement votre métier".
Au passage, pour ceux que cela surprendrait, oui. On évalue des compétences, tout en mettant une note à la fin, souvent hélas dans un certain flou...
Pour ceux qui n'auraient, par candeur, pas su lire entre les lignes, il s'agit bien ici d'une injonction de la part de l'inspecteur : si vos moyennes générales à l'examen sont par trop inférieures à 12, vous aurez intérêt à pouvoir le justifier...
Année 2 : Les félicitations de l'inspecteur pour le bon déroulement des CCF. Il valide la méthode de l'enseignement par compétences et du CCF. En effet, les moyennes de l'épreuve ont pris, depuis son application, un peu plus de deux points. Il s'agit donc bien, dit-il d'une complète réussite - et j'ajouterais : une complète réussite pédagogique !
Et, voilà, vous aurez tout loisir ainsi de pouvoir valider la réussite et de ce mode d'évaluation, et aussi du paradigme de l'enseignement par compétence. Les résultats chiffrés le montrent, n'est ce pas ? Et moi, pendant ce temps, je vois, ébahi, des jeunes gens qui la plupart seront diplômés dans un BTS ne sachant pas déterminer, et ceci est hélas véridique, "l'écart entre 700 et 1300". Pas tous. Pas sytématiquement. Mais souvent, trop souvent. Il ne s'agit pas d'un souci de vocabulaire. Je ne suis pas un maniaque de "l'écart". Les synonymes, croquis, exemples n'ont de loin pas toujours permis que les jeunes concernés surmontent cette difficulté.
Il est clair qu'un témoignage personnel seul n'est pas preuve. Mais combien de collègues pour faire, sur d'autres sujets, dans d'autres disciplines, le même ? A tout le moins, cela pose le doute. Et un arrière goût, amer, que l'on change la graduation du thermomètre - et pourquoi pas ? - mais sans le préciser. Et, cela, n'est en rien compatible avec le mot sciences.
En dehors du son, ignoble, j'ai été mal à l'aise avec cette vidéo. Vous avez laissé énoncer un discours convenu, et surtout, qui n'est pas falsifiable (où plutôt sur une "science" qui ne l'est pas......). En partie, mais pas uniquement, parce que l'évaluation des méthodes en elle même est biaisée. Un genre de trucage général des résultats de l'expérience, en somme. Et les références de l'intervenant à la psychologie cognitive ou aux neurosciences étaient courtes, bien trop courtes. Il manque un chaînon dans le raisonnement. Tout ceci ressemblait quelque peu aux "sciences de l'éducation pour les nuls". Passons, enfin sur l'argument du type "si la France ne faisait pas, "environ" comme tout le monde, cela à cause d'internet, cela se saurait". Sérieusement, ceci est un argument scientifique ? Et, en plus, cette affirmation elle même est hautement contestable, comme évoqué déjà dans certains commentaires.
Pour ceux et celles que ça intéresse, un lien vers la «pédagogie ouverte» utilisée depuis 40 ans au Québec. atelier.csdm.ca/files/referentiel_equipe_ecole.pdf
Naaaan mais c'est intuitif ça. Ils n'ont pas appliqué leurs théories scientistes donc ça peut pas être valide, en plus je parie que ça contient de l'idéologie, brrrrrr....
De se qu'on pouvait en dire en 2009 : fr.canoe.ca/cgi-bin/imprimer.cgi?id=420307
Et les résultats excellents obtenus par le Québec au test Pisa 2015 :
Oui : www.fil-information.gouv.qc.ca/Pages/Article.aspx?idArticle=2412062009
Mais un peu trop ouvert pour se présenter à l'évaluation :
www.ledevoir.com/societe/education/486525/les-bonnes-notes-du-quebec-remises-en-question
jeanneemard.wordpress.com/2016/12/14/les-resultats-des-eleves-quebecois-au-pisa-2015-1/
On parle même de "Biais de non répons" histoire de rester dans le thème de la chaîne.
Le lien que j'ai laissé dans le commentaire à l'origine de ce fil n'est rien d'autre qu'une suggestion de lecture d'un référentiel pédagogique très intéressant (ce qui n'a rien à voir avec le PISA). Je ne développerai pas plus avant, sauf pour dire deux choses :
1. ma fille a fréquenté une école «alternative» durant tout son primaire. Elle s'y est très bien développée, à tout point de vue (y compris dans l'esprit critique :). Elle fait aujourd'hui partie des cadres de l'entreprise où elle travaille. C'est pas ce qu'on peut appeler un ratage.
2. ce type d'enseignement et d'apprentissage ne convient pas à tous les enfants. Les enfants qui s'y développent bien sont ceux qui ont un cadre familial où « les valeurs d’autonomie et d’interdépendance, de liberté et de responsabilisation, de démocratie et de participation» sont à l'oeuvre au quotidien. (Les enfants vivant dans des cadres familiaux rigides ne s'y sentent pas à l'aise. )
J'ai perdu en audition ^^
Un discours conformiste et consensuel ; grand amateur de la langue de bois et du politiquement correct cet expert en sciences de l'éducation ?... Il ne dit pas grand chose, ou si peu... Sorte d'impression qu'il a peur de froisser, de déplaire (à qui d'ailleurs ? aux profs ? aux différents professionnels du ministère de l'E.N. et des Rectorats ? aux universitaires ?...). Je m'attendais à une véritable critique (pas nécessairement négative) intelligente et éclairée de notre système éducatif, mais là j'ai le sentiment que... rien n'a été dit de très fin. Bref, malgré les questions qui mettent le doigt sur pas mal de problèmes et de sujets intéressants et essentiels à creuser, explorer et questionner sur ce sujet, j'ai eu le sentiment de perdre mon temps. Dommage.
Je définis la langue de bois par l'utilisation d'expressions convenues, telles qu'elles décrivent sans justifier.
Par justification, j'entends un énoncé, acceptable, mis en relation avec un énoncé que l'on veut démontrer. J'appelle ce dernier conclusion. J'appelle la mise en relation : argument.
Moi, je remarque que tu utilises beaucoup d'expressions utilisées par les "critiques".
Je remarque que tu utilises des stratégies rhétoriques(ce qui n'est pas un problème en soi, sauf quand ) :
-Des questions rhétoriques
-Des antithèse (tu opposes tes attentes "véritables" à ce qui a été dit ; des intéressantes à du temps perdu)
-Des appositions, des climaxs, des anacoluthes.
Je remarque que tu n'utilises aucune justification, au sens défini supra, pour soutenir ta thèse : "Il fait de la langue de bois".
Tu vois où je veux en venir ?
J'ai perdu au jeu
La didactique est imbuvable
c'est un FAKE !!! la post-synchro est lamentable, c'est bourré de jump-cut ! même l'étalonnage est foireux ! Mr Rey semble orange et Vled a des cheveux vert/bleu....
un peu de bachotage?! sérieux?! on fait que ca ya zéro formation par rapport à la classe!...
Pas trop fan "La truffe" quand même
Oui c'est très léger...
vous inquiétez pas maintenant on peut regarder un poisson rouge nager au fond de la classe si t'es nul en cours
Son trop mauvais, j'abandonne. dommage
Autant j'aime ce que vous faites et j'aime écouter vos live mais mon dieu Mandax est toujours aussi insupportable.