CELUI-QUI-EST N’est pas le temps, l’espace. Le temps et l’espace sont une fabrication, une sécrétion de la pensée. IL EST Et tout ce qui peut en être dit ne dit pas ce qu’IL EST. CELUI-QUI-EST dissout tous les concepts. CELUI-QUI-EST n’est pas conceptualisable, IL EST, par-delà toute conceptualisation. CELUI-QUI-EST est négation de tout ce qui n’est pas Lui. Tout ce qui n’est pas Lui, c’est la conceptualisation! Toute conceptualisation est pensée. La sphère de pensées fourmille de concepts juste à l’embouchure de CELUI-QUI-EST, et le dénie. La pensée, fabricatrice du un et du deux, Pose un plus un et pense deux. La nature soumise au mental ― qui se manifeste dans l’être humain par la pensée ― détourne les énergies, l’ÉNERGIE de la nature, de la Source nourricière de CELUI-QUI-EST Immobilité ― Dynamisme pur. LE FAIT IMMOBILE EST la maîtrise de l’Énergie de la nature humaine. Il abolit l’activité obsessionnelle du DIVISEUR qu’est la pensée. LA PENSÉE NE PEUT SE PENSER COMME IMPENSABLE. La pensée dont on ne peut rien dire Si ce n’est son habileté à re-couvrir l’Impensable. La pensée, cette farce transitoire, ce jeu de contre-Maître, cette évidence de passage, fait que la nature souffre de l’extériorisation, distraction du Centre, de l’ETRE-LA maîtrisant sa nature. La souffrance est occasionnée par la pensée, Créatrice d’un état second de la manifestation. Fabricatrice de l’autre! Fabricatrice de la personnalité! Cette fabricatrice des contraires tels que naissance/mort, esprit/matière, éternité/temps. Cette fabricatrice de concepts se saisit de l’ÉNERGIE, d’où la souffrance, L’ÉNERGIE en mal de l’ETRE-LA, dans sa nostalgie de l’océan de l’Innocence…
Quand un organisme cosmique de l’ETRE-LA est bourré à bloc d’expériences, Que l’errance de cet organisme soulève la nausée et son absurdité, Que la souffrance est au paroxysme de la souffrance, Que l’errance est au paroxysme de l’errance, Que les pas n’arrêtent pas de trébucher; Quand notre vie dévide son fiel à chaque seconde, Son fiel de négation du Vivant, Quand le désir n’en finit pas de désirer le plaisir… où se love le déplaisir, Quand la SENSATION D’ÊTRE se perd dans les sensations fabriquées par la pensée, Nous touchons le point crucial du rappel à l’évidence : La souffrance est la pensée, la pensée est la souffrance Et tous les concepts qui en dérivent sont la pensée. La pensée est un concept, Tout concept est négation de CELUI-QUI-EST, et La négation-absurdité révèle ou appelle la Grande Intelligence, le Sens impensable, L’Impensable sens de la PRÉSENCE DE L’ETRE-LA, De l’ETRE-LA dans sa PRÉSENCE. CELUI-QUI-EST JE-ÉNERGIE, Le Simple, Le Vivant, Le Pur… L’Homme. Au paroxysme, au centre même de la souffrance, La Rupture, Le Rappel à la séparation fondamentale, LE CRASH, La catastrophe, le cataclysme dans le système de la pensée, Dans la pensée édificatrice du faux positionnement des énergies ou de l’ÉNERGIE, dans l’éprouvé même de l’impasse de l’être humain. LA PENSÉE EST UNE IMPASSE, Un concept mystificateur et sécréteur de mythes, Un local fermé sans aucune porte d’entrée ni de sortie ― Le piège demeure le piège ― Et l’habitat humain souffre du piège. La Souffrance est l’évidence du RAPPEL au TOUT-AUTRE, A CELUI-QUI-EST L’HOMME Without thinking, CRASH, L’éprouvé direct de l’impasse où plus aucune solution de la pensée ne passe, Où nous sommes « MORT ET VIF » dans la QUESTION INCANDESCENTE, Où nous sommes sur le gril et la grille de notre ignorance. Alors la souffrance prend corps et l’ETRE-LA s’éprouve Dans sa PRÉSENCE au cœur même de cette absurdité.
Comme une baudruche se dégonfle, Une roue infernale ralentit, Tout l’organisme ou tous les corps de la manifestation sont poussés au Rendez-Vous du brûlage et de l’abolition de tous les concepts, Ce qui libère les énergies du JE-ÉNERGIE. Nous passons du quatre pattes psychologique à la verticalisation des énergies qui remontent vers la Source nourricière, De l’épuisement de nos corps par la pensée vers la reddition totale à CELUI-QUI-EST le Principe unifiant, Reliant les énergies de la créature en errance. La pensée-souffrance est une gangue qu’autorise la Grande Intelligence de l’ETRE-LA pour se dévoiler L’éprouvé de la JOIE D’ETRE dans la présence humaine, Qui est la créature la plus complexe et la plus disposée À laisser transparaître l’Évidence du JE SUIS. Sans la pensée, l’INCONDITIONNÉ EST! Sans la pensée, la souffrance n’est pas. D’où vient la pensée? On ne le sait pas! Ce qu’est la pensée? On voit qu’elle est souffrance… Souffrance de savoir, savoir de souffrance! Où va la pensée? On ne le sait pas! VOIR la pensée-négation! VOIR des mots, des images, Un jeu de représentation, un théâtre, Une mise en situation des énergies, Un manège de couleurs et de formes Un jeu de perception où défile la bande dessinée de la pensée aux mille désirs Qui sont l’insatisfaction née de la SÉPARATION occasionnée par la pensée. Séparation de l’Essence intérieure d’avec l’Être Universel.
Revenons à la question primordiale de la Grande Intelligence, Au cône précieux de la pensée proche du silence Qui lance la question de l’évidence : Qui est JE? Premier cri de la quête. ÊTRE dans le premier cri de l’enfant de la quête et s’abîmer en elle sans se laisser distraire par les ramifications de la Question-première, ÊTRE cette lumière dans la nuit, À l’embouchure, à l’aurore de la nuit, en amont de la nuit, Où la pensée est dans son cône lumineux de la Question-première, Où l’intuition, le Fait direct de l’Océan s’écoule en interrogation de Lui-même dans un jeu temporaire de l’Intemporel. La Question nous porte à l’unisson de l’Interrogation primordiale, Dans le Foyer et la brûlure, Le dessèchement et le délabrement du manège du petit « je » De la pensée séparatrice qui pose 1 plus 1 plus 1 Et pense trois sans voir que trois est Un. L’humain est convoqué à cette invocation-incantation de la Question-primordiale Où la pensée, à son cône lumineux, à son essence interrogatrice, Est dans l’Interrogation de l’univers, Où l’Impensable se laisse penser par ce qui ne peut le penser sans exploser. Maturation dans son échauffement même. Au sein de la Question… L’EXPLOSION!... LE CRASH! La possible ouverture à CELUI-QUI-EST le grand Alchimiste, le Maître de l’Univers, la Grande Intelligence qui ordonne toute chose en LUI-MÊME. La Question est condensation, concentré de la CONSCIENCE-ÉNERGIE Dans le creuser de l’Interrogation, Au cœur de l’existence, au cœur de l’OUBLI. L’Interrogation est la profondeur de la surface, La surface de la profondeur Où explose la Grande Intelligence dans Son retournement, dans Son rappel à ELLE-même, à travers Son oubli qu’est le Jeu de « penser le JE impensable ». La pensée-corps entraîne le jeu de Cause à Effet, la SOUFFRANCE, Mouvement excentré, excentrique du FAIT RÉEL A-CAUSAL, CELUI-QUI-EST LE FAIT IMMOBILE dans le Volcan de la PRÉSENCE CELUI-QUI-EST L’HOMME DE SAGESSE-AMOUR-VOLONTÉ
CELUI-QUI-EST
N’est pas le temps, l’espace.
Le temps et l’espace sont une fabrication,
une sécrétion de la pensée.
IL EST
Et tout ce qui peut en être dit ne dit pas ce qu’IL EST.
CELUI-QUI-EST dissout tous les concepts.
CELUI-QUI-EST n’est pas conceptualisable,
IL EST, par-delà toute conceptualisation.
CELUI-QUI-EST est négation de tout ce qui n’est pas Lui.
Tout ce qui n’est pas Lui, c’est la conceptualisation!
Toute conceptualisation est pensée.
La sphère de pensées fourmille de concepts
juste à l’embouchure de CELUI-QUI-EST, et le dénie.
La pensée, fabricatrice du un et du deux,
Pose un plus un et pense deux.
La nature soumise au mental
― qui se manifeste dans l’être humain par la pensée ―
détourne les énergies, l’ÉNERGIE de la nature,
de la Source nourricière de CELUI-QUI-EST
Immobilité ― Dynamisme pur.
LE FAIT IMMOBILE EST la maîtrise de l’Énergie
de la nature humaine. Il abolit l’activité obsessionnelle
du DIVISEUR qu’est la pensée.
LA PENSÉE NE PEUT SE PENSER
COMME IMPENSABLE.
La pensée dont on ne peut rien dire
Si ce n’est son habileté à re-couvrir l’Impensable.
La pensée, cette farce transitoire, ce jeu de contre-Maître,
cette évidence de passage, fait que la nature souffre de
l’extériorisation, distraction du Centre, de l’ETRE-LA
maîtrisant sa nature.
La souffrance est occasionnée par la pensée,
Créatrice d’un état second de la manifestation.
Fabricatrice de l’autre!
Fabricatrice de la personnalité!
Cette fabricatrice des contraires tels que naissance/mort,
esprit/matière, éternité/temps.
Cette fabricatrice de concepts se saisit de l’ÉNERGIE,
d’où la souffrance,
L’ÉNERGIE en mal de l’ETRE-LA,
dans sa nostalgie de l’océan de l’Innocence…
Quand un organisme cosmique de l’ETRE-LA
est bourré à bloc d’expériences,
Que l’errance de cet organisme soulève
la nausée et son absurdité,
Que la souffrance est au paroxysme de la souffrance,
Que l’errance est au paroxysme de l’errance,
Que les pas n’arrêtent pas de trébucher;
Quand notre vie dévide son fiel à chaque seconde,
Son fiel de négation du Vivant,
Quand le désir n’en finit pas de désirer le plaisir…
où se love le déplaisir,
Quand la SENSATION D’ÊTRE se perd
dans les sensations fabriquées par la pensée,
Nous touchons le point crucial du rappel à l’évidence :
La souffrance est la pensée, la pensée est la souffrance
Et tous les concepts qui en dérivent sont la pensée.
La pensée est un concept,
Tout concept est négation de CELUI-QUI-EST, et
La négation-absurdité révèle ou appelle
la Grande Intelligence, le Sens impensable,
L’Impensable sens de la PRÉSENCE DE L’ETRE-LA,
De l’ETRE-LA dans sa PRÉSENCE.
CELUI-QUI-EST
JE-ÉNERGIE,
Le Simple,
Le Vivant,
Le Pur…
L’Homme.
Au paroxysme, au centre même de la souffrance,
La Rupture,
Le Rappel à la séparation fondamentale,
LE CRASH,
La catastrophe, le cataclysme dans le système de la pensée,
Dans la pensée édificatrice du faux positionnement
des énergies ou de l’ÉNERGIE,
dans l’éprouvé même de l’impasse de l’être humain.
LA PENSÉE EST UNE IMPASSE,
Un concept mystificateur et sécréteur de mythes,
Un local fermé sans aucune porte d’entrée ni de sortie
― Le piège demeure le piège ―
Et l’habitat humain souffre du piège.
La Souffrance est l’évidence du RAPPEL
au TOUT-AUTRE,
A CELUI-QUI-EST L’HOMME
Without thinking,
CRASH,
L’éprouvé direct de l’impasse
où plus aucune solution de la pensée ne passe,
Où nous sommes « MORT ET VIF » dans la
QUESTION INCANDESCENTE,
Où nous sommes sur le gril et la grille de notre ignorance.
Alors la souffrance prend corps et l’ETRE-LA s’éprouve
Dans sa PRÉSENCE au cœur même de cette absurdité.
Comme une baudruche se dégonfle,
Une roue infernale ralentit,
Tout l’organisme ou tous les corps de la manifestation
sont poussés au Rendez-Vous du brûlage
et de l’abolition de tous les concepts,
Ce qui libère les énergies du JE-ÉNERGIE.
Nous passons du quatre pattes psychologique
à la verticalisation des énergies qui remontent
vers la Source nourricière,
De l’épuisement de nos corps par la pensée
vers la reddition totale à CELUI-QUI-EST
le Principe unifiant,
Reliant les énergies de la créature en errance.
La pensée-souffrance est une gangue qu’autorise la Grande
Intelligence de l’ETRE-LA pour se dévoiler
L’éprouvé de la JOIE D’ETRE dans la présence humaine,
Qui est la créature la plus complexe et la plus disposée
À laisser transparaître l’Évidence du JE SUIS.
Sans la pensée, l’INCONDITIONNÉ EST!
Sans la pensée, la souffrance n’est pas.
D’où vient la pensée? On ne le sait pas!
Ce qu’est la pensée? On voit qu’elle est souffrance…
Souffrance de savoir, savoir de souffrance!
Où va la pensée? On ne le sait pas!
VOIR la pensée-négation!
VOIR des mots, des images,
Un jeu de représentation, un théâtre,
Une mise en situation des énergies,
Un manège de couleurs et de formes
Un jeu de perception où défile
la bande dessinée de la pensée aux mille désirs
Qui sont l’insatisfaction née de la SÉPARATION
occasionnée par la pensée.
Séparation de l’Essence intérieure d’avec l’Être Universel.
Revenons à la question primordiale
de la Grande Intelligence,
Au cône précieux de la pensée proche du silence
Qui lance la question de l’évidence : Qui est JE?
Premier cri de la quête.
ÊTRE dans le premier cri de l’enfant de la quête
et s’abîmer en elle sans se laisser distraire
par les ramifications de la Question-première,
ÊTRE cette lumière dans la nuit,
À l’embouchure, à l’aurore de la nuit, en amont de la nuit,
Où la pensée est dans son cône lumineux
de la Question-première,
Où l’intuition, le Fait direct de l’Océan
s’écoule en interrogation de Lui-même
dans un jeu temporaire de l’Intemporel.
La Question nous porte à l’unisson
de l’Interrogation primordiale,
Dans le Foyer et la brûlure,
Le dessèchement et le délabrement du manège du petit « je »
De la pensée séparatrice qui pose 1 plus 1 plus 1
Et pense trois sans voir que trois est Un.
L’humain est convoqué à cette invocation-incantation
de la Question-primordiale
Où la pensée, à son cône lumineux,
à son essence interrogatrice,
Est dans l’Interrogation de l’univers,
Où l’Impensable se laisse penser
par ce qui ne peut le penser sans exploser.
Maturation dans son échauffement même.
Au sein de la Question… L’EXPLOSION!...
LE CRASH!
La possible ouverture à CELUI-QUI-EST le grand
Alchimiste, le Maître de l’Univers, la Grande Intelligence
qui ordonne toute chose en LUI-MÊME.
La Question est condensation,
concentré de la CONSCIENCE-ÉNERGIE
Dans le creuser de l’Interrogation,
Au cœur de l’existence, au cœur de l’OUBLI.
L’Interrogation est la profondeur de la surface,
La surface de la profondeur
Où explose la Grande Intelligence dans Son retournement,
dans Son rappel à ELLE-même, à travers Son oubli qu’est le
Jeu de « penser le JE impensable ».
La pensée-corps entraîne le jeu de Cause à Effet,
la SOUFFRANCE, Mouvement excentré, excentrique
du FAIT RÉEL A-CAUSAL,
CELUI-QUI-EST LE FAIT IMMOBILE
dans le Volcan de la PRÉSENCE
CELUI-QUI-EST L’HOMME
DE SAGESSE-AMOUR-VOLONTÉ