Quel esprit brillant ! Son livre est passionnant et cette idée de jeter des ponts entre l'histoire de l'art et le naturalisme est salutaire pour porter un regard plus aiguisé sur notre planète, dans le respect du vivant.
une bonne élève, très scolaire, pas du tout pédagogique et surtout pas convaincue et ce qu'elle récite aussi bien que possible comme une savante éclairée qui ne sait pas trop ce qu'elle est en train de dire, il lui manque l'âme de la conviction...
J'étais bien intéressée d'entendre ces propos mais malheureusement, cette théorie ne tient pas la route. Des hypothèses basées sur de fausses prémisses du type: les naturalistes femmes pcq elles étaient dans leur jardin étaient plus proches de ce qu'elles observaient ou la médiation permet une relation avec le vivant plus riche pcq elle est chargée d'une première rencontre avec ce vivant. Et bien je comprend que ce soit plus facile quand on est historienne de transiger par les livres et les oeuvres du XIX siècle pour rentrer en relation avec le vivant mais on ne pourrait faire l'économie d'une relation directe avec ce vivant. C'est très honorable de vouloir valoriser ces femmes artistes mais cette recherche est faite à l'envers. Une démonstration hâtive qui manque de rigueur intellectuelle et scientifique. Au fond ce n'est pas nouveau cette idée de l'accès aux choses, les icônes étaient peintes dans cet esprit. À mon avis une randonnée ou une observation à l'affut de ce qui nous entoure est de loin plus prometteur d'une sensibilisation au vivant, même dans notre jardin !
Merci !
Quel esprit brillant ! Son livre est passionnant et cette idée de jeter des ponts entre l'histoire de l'art et le naturalisme est salutaire pour porter un regard plus aiguisé sur notre planète, dans le respect du vivant.
Ne vous laissez pas décourager par les « Comment dirais-je ? » exaspérants, cet entretien mérite, malgré tout, d’être écouté jusqu’au bout.
Et les "euuuh"
Ni les du coup!
pourquoi plus il y a d'esprits brillants plus le monde sombre
une bonne élève, très scolaire, pas du tout pédagogique et surtout pas convaincue et ce qu'elle récite aussi bien que possible comme une savante éclairée qui ne sait pas trop ce qu'elle est en train de dire, il lui manque l'âme de la conviction...
J'étais bien intéressée d'entendre ces propos mais malheureusement, cette théorie ne tient pas la route. Des hypothèses basées sur de fausses prémisses du type: les naturalistes femmes pcq elles étaient dans leur jardin étaient plus proches de ce qu'elles observaient ou la médiation permet une relation avec le vivant plus riche pcq elle est chargée d'une première rencontre avec ce vivant. Et bien je comprend que ce soit plus facile quand on est historienne de transiger par les livres et les oeuvres du XIX siècle pour rentrer en relation avec le vivant mais on ne pourrait faire l'économie d'une relation directe avec ce vivant. C'est très honorable de vouloir valoriser ces femmes artistes mais cette recherche est faite à l'envers. Une démonstration hâtive qui manque de rigueur intellectuelle et scientifique. Au fond ce n'est pas nouveau cette idée de l'accès aux choses, les icônes étaient peintes dans cet esprit. À mon avis une randonnée ou une observation à l'affut de ce qui nous entoure est de loin plus prometteur d'une sensibilisation au vivant, même dans notre jardin !
Votre père aurait dû vous amener en rando.
Ça vire au wokisme vers le milieu...je me tire .
Fatigante...