Alain Supiot - Le travail au XXIe siècle

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  • Опубликовано: 28 янв 2025
  • НаукаНаука

Комментарии • 11

  • @alcofribasnasier4091
    @alcofribasnasier4091 5 лет назад +5

    Alain Supiot possède ce talent de synthétiser en quelques minutes des siècles d’histoire du travail en les portant à la compréhension de tous. La lecture de l’ouvrage devient incontournable, l’objectif est atteint !

  • @ME-of2nd
    @ME-of2nd 3 года назад

    Honduras, merci Beuacoup ! Alain Supoit cést trés talent.

  • @StintyShorts
    @StintyShorts Месяц назад

    masterclass alain

  • @pascalniyonizigiye3955
    @pascalniyonizigiye3955 5 лет назад +1

    Une Conférence très fascinante!!!!

  • @aidahaouala3778
    @aidahaouala3778 2 года назад

    Supiot dit correctement les choses
    C’est fascinant

  • @lilianemarchand6458
    @lilianemarchand6458 4 года назад

    je découvre l'IEA de Nantes !!

  • @samuelgenissel6627
    @samuelgenissel6627 3 года назад

    Un débat pour une présidentielle, pour l instant la médecine n a pas trouvé de quoi me faire employer, de la a dire que derrière mon confort un peu bourgeois je ne travaille pas..

  • @jeanf6295
    @jeanf6295 4 года назад

    J'ai un peu de mal à suivre M.Supiot lorsqu'il associe l'apparition de la notion de rétroaction avec la révolution numérique, même si ça n'affecte pas vraiment la suite du propos. Ces deux premières notions ne sont pas neuves, elles ont marqué l'histoire de la mesure du temps, avec une première réalisation connue remontant à l'antiquité avec la clepsydre de Ktesibios. On les retrouve aussi tout au long de la révolution industrielle, avec par exemple le régulateur de vitesse de Watt ou la soupape de sécurité. Ce qui change vraiment avec la révolution numérique, c'est la façon de mettre en oeuvre la rétroaction pour asservir le système, et les représentations qui vont avec.
    Dans un monde analogique, le système est pensé en sous systèmes qui manipulent des grandeurs et des flux physiques en fonction de la fonction spécifique qu'ils sont sensé remplir, et dont la conception est guidée par les modèles que l'on a des lois qui régissent le monde.
    Dans un monde numérique on passe par le truchement d'une abstraction mathématique du système considéré, contenue dans un dispositif disposant de capacités de calcul en temps réel et qui est chargé de faire le lien entre les capteurs qui fournissent, avec la commande, les nombres qui caractérisent ce modèle et les composantes agissantes du système.

    • @jean-baptistelasselle4562
      @jean-baptistelasselle4562 4 года назад

      Mais tout simplement parce qye tous les systèmes qui existent ds le champ des technologies de l'information ont une caractéristique commune : ils fonctionnent par rétroaction, notion conceptualisee dans les théories de cybernétique. Ils retroagissent tous suite à une entrée de données par io, senseurs etc... et concrètement c'est bien ainsi que le travailleur est modélisé par les théories de management enseignées ds toutes les écoles, et ds les pratiques du marché.
      La clepsydre ne change pas son fonctionnement en conséquence de stimuli ou d'information reçues de l'extérieur. Une clepsydre n'est pas un cyborg, si vous préférez.

    • @jeanf6295
      @jeanf6295 4 года назад +1

      @@jean-baptistelasselle4562 Que l'on se mette bien d'accord : une rétroaction implique la modulation d'une sortie en fonction de la double donnée de sa mesure et d'une entrée. Un asservissement de système utilise ce principe pour accorder la mesure d'une grandeur, comme une vitesse de rotation d'un moteur, ou encore un débit d'eau, à une valeur souhaitée (la commande) en modifiant son action en fonction de la différence entre la mesure et la commande.
      Une clepsydre stable fonctionne par rétroaction : pour assurer un débit constant il faut stabiliser le niveau d'eau dans le réservoir secondaire dont l'eau s'écoule vers le dernier vase dont la graduation permet de mesurer le temps écoulé. Pour ça il faut accélérer le débit du réservoir primaire vers le réservoir secondaire si ce niveau est trop bas, et le ralentir si il est trop élevé, ce qui peut se faire avec une valve (actionneur) contrôlée par un flotteur (senseur) : c'est une boucle de rétroaction qui assure un fonctionnement stable indépendamment de ce qui se passe dans le réservoir primaire.
      Je ne vois vraiment pas en quoi l'usage de boucle de rétroaction dans les systèmes des technologie de l'information est important, l'idée de l'asservissement d'un système par une boucle de rétroaction est bien antérieure, et la conceptualisation de cette pratique aussi.
      La mise en pratique de la numérisation de l'information me parait être un aspect plus pertinent : en réduisant les entrées et les sorties à des nombres, l'usage de boucles de rétroaction dans l'asservissement de systèmes a été considérablement simplifiée : plus besoin de créer un dispositif spécifique à chaque système pour moduler la forme de la rétroaction, un micro-contrôleur suffit.

    • @INFOSAGI
      @INFOSAGI 4 года назад

      @@jeanf6295 non en amont peut être et seulement en apparence car la codification et les valeurs d'entrées sont différentes. Mais en aval, la spécificité persiste.